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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Batinfo

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Il y a 4 ans et 99 jours

Le jugement de l'ex-sénateur Joseph Castelli pour trafic d'influence reporté

Lors des deux jours d'audience en janvier, le procureur de Bastia Arnaud Viornery avait souligné qu'"un parfum entêtant de corruption systémique" flottait sur ce dossier, en requérant quatre ans de prison dont un avec sursis et 200.000 euros d'amende contre l'ex-sénateur de Haute-Corse, 72 ans, et la confiscation de la villa au coeur de l'affaire.Poursuivi devant le tribunal correctionnel de Bastia pour trafic d'influence passif, recel de biens provenant d'un délit, blanchiment aggravé et faux en écriture, M. Castelli, qui nie les faits qui lui sont reprochés, a bénéficié de "subventions aimables d'entrepreneurs" pour près de "200.000 euros" pour compléter le financement de sa villa, "via des fausses factures", avait tancé le magistrat.Pour le procureur, la mécanique des malversations est claire: une société gérée par un entrepreneur décédé et jamais entendu dans l'enquête était chargé de la construction de la villa de M. Castelli. Des factures lui ont été réglées par trois autres sociétés pour des travaux fictifs de sous-traitance sur d'autres chantiers, et ces sommes finançaient des travaux sur la villa de l'ex-sénateur. En échange, ces entreprises obtenaient ensuite des marchés publics octroyés par M. Castelli.Le magistrat n'a cependant retenu pour les poursuites qu'un marché public, pour 1,7 million d'euros, alors que plusieurs autres, pour un montant total de 10 millions d'euros, avaient été mis en cause.Il a appelé le tribunal à condamner M. Castelli pour le "pacte de corruption" existant dans l'attribution du marché public et pour les accusations de faux en écriture mais a requis la relaxe pour le blanchiment de fraude fiscale."Je n'ai jamais perdu une élection. Je me demande ce que je fais dans cette galère. Si j'étais si pourri que ça, vous pensez que ces gens-là ne s'en seraient pas rendus compte?", avait assuré à la barre M. Castelli, jugé avec trois entrepreneurs dont un avait reconnu des faits de corruption.Les avocats des quatre accusés ont tous plaidé la relaxe pour leurs clients, l'un relevant qu'"on ne condamne pas des gens pour le parfum d'un fait" mais sur des preuves quand un second soutenait que "juridiquement dans ce dossier, il n'y a rien" à part "de la magie grossière judiciaire".
Il y a 4 ans et 99 jours

QB « Service pose de fenêtres »

Thierry Garnier, gérant des Menuiseries du Foultot, premier certifié QB Service pose de fenêtres.
Il y a 4 ans et 99 jours

Jouplast lance une nouvelle plaque stabilisatrice de gravier

L’offre JOUPLAST® s’urbaniseL'urbanisation galopante et l'imperméabilisation des sols posent de nombreux problèmes liés à la gestion des eaux pluviales : inondation, ruissellement, réseaux sous-dimensionnés… Dans ce cadre, la solution la plus fiable consiste à utiliser des revêtements drainants pour rétablir la perméabilité des sols en zone urbaine. Avec URBANGRAVEL® de JOUPLAST®, les professionnels du BTP disposent d'une solution fiable et performante qui permet d'aménager facilement des surfaces gravillonnées.Haute résistance à la compressionPréconisées pour résoudre les problèmes d'imperméabilisation des sols, et donc les risques d'inondations ou de saturation des réseaux, les plaques alvéolées URBANGRAVEL® de JOUPLAST® assurent à la fois un parfait maintien des graviers et une résistance remarquable à la compression, autorisant le passage de véhicules lourds.Surface stable et perméableRésistantes et adaptées à de nombreux concepts de réalisations, les plaques stabilisatrices de gravier URBANGRAVEL® de JOUPLAST® favorisent le drainage naturel et optimal des eaux de pluie. En polyéthylène alvéolé 100% recyclé, elles permettent d'installer durablement une surface stable et perméable ne générant ni flaques, ni ruissellement, ni ornières, pour les aménagements gravillonnés.Système d'assemblage intégréFabriquées en France, les plaques URBANGRAVEL® structurées en nid d'abeilles sont simples et rapides à mettre en œuvre. Antidérapantes, légères et faciles à découper avec une disqueuse, elles disposent d'un système d'assemblage intégré pour un excellent maintien des plaques entre elles. Une pente de 5% maximum est tolérée pour les voies carrossables, chaque plaque étant alors maintenue au sol par quatre picots d'ancrage intégrés.À combler avec du gravier 8/16 mm, les plaques URBANGRAVEL® de JOUPLAST® supportent jusqu'à 600 tonnes au m². Elles peuvent ainsi être utilisées pour le passage de véhicules avec une charge à l'essieu de 20 tonnes et sont compatibles avec les voies accès pompiers.De plus, les plaques stabilisatrices de gravier URBANGRAVEL® de JOUPLAST® sont conformes à la circulation des personnes à mobilité réduite (dans le cadre d'une pose avec des graviers de type 8/16 et une finition à fleur).Enfin, les plaques stabilisatrices de gravier URBANGRAVEL® peuvent être associées à des plots de marquage blancs ou gris JOUPLAST®, vendus séparément, pour délimiter aisément un espace (des places de parking, par exemple).Plaque stabilisatrice de gravier en milieu urbain URBANGRAVEL® JOUPLAST®Matière : polyéthylène recycléCouleur : grisDimensions utiles : 591 mm x 378 mm x 40 mmSurface utile : 0,223 m²Poids : 0,850 kg soit 3,63 kg /m²Volume/poids gravier par m² : 33 litres - 48 kgRésistance en compression à vide : 112 T/m2 (soit 3 camions remplis)Résistance en compression remplie : 600 T/m2 (soit 30 camions remplis)Résistance aux températures : entre - 30 °C et + 60 °CConditionnement : 120 pièces/palette, préassemblées par 4Points de vente : négoces en matériauxPlot de marquage JOUPLAST®Couleurs : blanc/grisConditionnement : 40 pièces/cartonPoints de vente : négoces en matériaux
Il y a 4 ans et 99 jours

Le Groupe Knauf engage ses clients dans l’Économie Circulaire du PSE avec Knauf Circular®

Knauf Circular® : la réponse aux enjeux réglementaires, économiques et environnementaux du recyclage L’avenir du plastique, la gestion des déchets et l’économie circulaire constituent les sujets phares des nouvelles réglementations qui se développent en France et en Europe. Les bases de ces nouvelles réglementations avaient été initiées par la Feuille de Route Économie Circulaire (FREC). Dans ce contexte, l’AFIPEB (Association Française de l’Isolation en Polystyrène dans le Bâtiment) prenait déjà un engagement volontaire visant annuellement une valorisation de 2500 tonnes de PSE d’ici 2025. Membre d’Elipso (association des entreprises de l’emballage plastique fortement impliquée dans une dynamique d’économie circulaire), Knauf Industries s’est aussi engagée à réincorporer 4000 tonnes par an de polystyrène expansé recyclé dans ses calages industriels et emballages de manutention, et ce d’ici 2023. Promulguée le 10 février 2020, la Loi Anti-Gaspillage pour une Économie Circulaire, dite AGEC, entre en application au travers de la publication des différents décrets.Pour la filière emballage, l’AGEC, et en particulier son futur décret 3R, imposera le recyclage, la réutilisation ou le réemploi des emballages et la réduction de l’emploi de plastiques vierges. Son objectif est de tendre vers 100 % de plastiques recyclés en 2025. Pour la filière bâtiment, elle imposera à partir du 1er juillet 2021, à toute entreprise, d’intégrer dans ses devis les informations relatives à la gestion des déchets de travaux de construction : les modalités, leurs coûts, les installations dans lesquelles ils seront déposés en fonction de leur typologie. Dès le 1er janvier 2022, une Responsabilité Élargie du Producteur ainsi qu’une éco-contribution (création d’un éco-organisme chargé de la gestion des déchets pour accélérer leur valorisation) seront mises en place. L’éco-contribution sera financée par un système d’écotaxes, modulées en fonction de la performance environnementale du produit. Et, enfin, la loi de Transition Énergétique pour la Croissance Verte (LTECV) ambitionne que la part du recyclage des déchets non dangereux devra atteindre les 65 % d’ici 2025. Knauf Circular®, en développant un service de collecte et de recyclage des déchets de PSE pour qu’ils soient réintroduits dans de nouveaux produits, répond totalement à ces exigences.Knauf Circular® : un service innovant pour la lutte contre le gaspillage, l’enfouissement ou la mise en décharge De par cette véritable opportunité économique et environnementale, le Groupe Knauf témoigne concrètement de son engagement en faveur de l’environnement et de sa volonté d’accompagner ses clients dans cette démarche. Knauf Circular® se destine à tous les utilisateurs de PSE : négoces en matériaux, entreprises du bâtiment, grandes surfaces de bricolage et alimentaires, professionnels de la mer, industriels et aussi déchetteries, permettant de collecter les PSE post consommation des ménages.Knauf Circular® opère la collecte sur sites des déchets propres de PSE : chutes de chantier d’isolation (hors déconstruction), caisses marée, emballages industriels et commerciaux, calages de protection…, commercialisés par Knauf ou non, pour les introduire dans une filière de collecte et de recyclage responsable, fiable, et garante de leur revalorisation en de nouveaux produits en polystyrène pour le bâtiment, l’emballage ou la vie courante. Pour s’assurer d’une valorisation optimale, vertueuse et suivie des déchets de PSE, il suffit pour l’entreprise qui souhaite bénéficier de Knauf Circular® de signer la convention prévue à cet effet. Cette prestation de service payante Knauf Circular® se traduit par la mise à disposition de sacs de 1 m³ de contenance (ou le cas échéant, d’un moyen de reprise plus conséquent) et de leur reprise sous 10 jours sur sites (chantiers, entreprises, points de regroupement...) pour un minima de sacs de PSE établi en fonction de la quantité de déchets de PSE générée par l’activité et le profil de l’entreprise (industriels, négoces, mareyeurs, déchetteries…). Knauf Circular® se veut d’une grande praticité d’utilisation au quotidien, avec des sacs faciles à porter, fermés et transparents qui seront enlevés sur site sur simple appel au numéro vert dédié. Lors de cette collecte, un bordereau de suivi des déchets sera délivré, pour preuve de traçabilité, justifiant du recyclage des déchets.Knauf Circular® : un service unique ouvert à tous les secteurs d’activité au niveau national qui apporte la garantie du recyclage du PSE Pour la phase pilote du quart Sud-Est de la France, Knauf Circular® s’est déjà traduit par la signature d’une cinquantaine de conventions en quelques mois et la mise à disposition de 10000 sacs dans les 4 usines pilotes du projet. Knauf Circular® s’impose à date comme la seule proposition de service de collecte et de recyclage du PSE en France avec un tel maillage du territoire et une telle proximité avec ses clients. Des investissements industriels d’un montant supérieur à 2 millions d’euros ont ainsi été engagés pour doter chacun des 18 sites en équipements de traitement du PSE collecté, offrant une capacité de recyclage annuelle de plusieurs milliers de tonnes de PSE. Knauf Circular® se traduit également par la création d’un poste au siège de l’entreprise en Alsace, pour assurer l’administration commune aux différentes entités Knauf de cette activité. Knauf Circular® apporte la preuve que le PSE est recyclable et recyclé. Il pérennise l’usage du PSE dans ses différentes applications en lui apportant une solution concrète de recyclage, totalement en adéquation avec les nouvelles réglementations. Cette action forte s’inscrit sur le long terme dans le cadre de la démarche de responsabilité sociétale du Groupe Knauf.« Nous développons les filières de collecte et de recyclage du PSE pour réduire l’utilisation de la matière vierge. Nos usines sont équipées de dispositifs de collecte et de recyclage des déchets d’emballages alimentaires et industriels et de chutes de chantiers du bâtiment. Grâce à la proximité géographique avec les clients, de plus en plus de déchets post-consommation et de chutes de production trouvent une seconde vie et entrent dans la composition de nouveaux produits Knauf, cales, panneaux d’isolation… Ceux qui s’avèrent impropres à une réintroduction dans nos productions seront retraités par des recycleurs partenaires en France ou en Europe pour devenir des biens de consommation courante ou des produits d’isolation pour le bâtiment. » Kurt Münder, PDG Knauf Industries« Le Groupe Knauf relève et relèvera plusieurs défis pour que la filière PSE entre concrètement dans l’économie circulaire. Aujourd’hui, avec Knauf Circular®, les utilisateurs sont assurés de la totale revalorisation de leurs déchets de PSE. D’autres programmes de recherche et développement viendront enrichir cette première initiative dans les années à venir. Des recherches sont en cours en matière d’écoconception pour favoriser le recyclage des matériaux en fin de vie. Knauf travaille également à augmenter la part de PSE recyclé dans ses produits neufs, qui doivent répondre aux exigences techniques et réglementaires de leur domaine d’application – bâtiment et emballage. De belles perspectives s’offrent à nous pour inscrire notre Groupe dans l’économie circulaire ! » Christine Muscat, DG Knauf FranceKnauf Circular® : un service simple et complet qui accompagne le client et valorise son action Toute l’actualité Knauf Circular® est à suivre sur le site dédié, www.knaufcircular.fr qui informe sur les modalités de reprises en fonction de la typologie de convention signée (négoces et entreprises de pose, professionnels de la mer, industriels et grandes surfaces, déchetteries) et sur les différents types de PSE collectés. Knauf y propose notamment une vidéo de présentation avec des témoignages clients issus des différentes activités (bâtiment, emballages, industrie). Le Groupe Knauf accompagne également les professionnels signataires de conventions Knauf Circular® pour qu’ils puissent porter haut les couleurs de leur engagement au travers de supports de communication dédiés ; des outils utiles et pragmatiques, qui reprennent les arguments justifiant de cette démarche concrète en faveur de l’économie circulaire du PSE.
Il y a 4 ans et 99 jours

Sans perte avérée, le banquier n'est pas fautif

Le client ne peut pas faire de reproches à son banquier tant que l'opération n'est pas terminée, tant que la perte n'est pas constatée, car avant cela son préjudice est seulement éventuel, explique la Cour de cassation.Que le client prenne peur devant le risque ou la mauvaise tournure des événements, ou que l'opération tourne vraiment mal, il faut commencer par mener l'opération à son terme, selon les juges.Un particulier avait décidé d'acheter un appartement locatif pour augmenter ses revenus lors de sa retraite. À une époque où les taux d'intérêt le permettaient, il achetait grâce à un crédit in fine, remboursable vingt ans plus tard en capital et intérêts. Le remboursement était garanti par l'ouverture d'un contrat d'assurance-vie sur lequel il mettait ses économies et dont la rentabilité devait permettre de rembourser le crédit dans vingt ans.Mais au bout de dix ans, l'emprunteur observait que l'affaire prenait un mauvais chemin, que le contrat d'assurance-vie ne permettrait peut-être pas de rembourser le crédit, qu'il faudrait aussi vendre l'appartement et que le tout risquait même d'être insuffisant.Le banquier se voyait donc reprocher de ne pas avoir mis en garde ce client "profane" contre le risque de l'opération, susceptible de lui créer un endettement excessif, au regard de ses biens et revenus.La demande de cet emprunteur est peut-être fondée, a dit la Cour de cassation, mais tant que la date de remboursement n'est pas atteinte, il n'est pas certain de ne pas être en mesure de rembourser. La perte n'est pas réalisée, elle n'est qu'éventuelle, et l'erreur ou la faute du banquier n'a pas, en l'état, de conséquences indemnisables.(Cass. Com, 13.2.2019, X 17-14.785).
Il y a 4 ans et 99 jours

Rockwool rénove le Lycée de l'image et du son d'Angoulême avec Rockfaçade et Ecorock

Le bâtiment fait encore partie des quatre secteurs les plus émetteurs de gaz à effet de serre en France et est responsable de 18% des émissions territoriales et de 40% de la consommation finale d’énergie. C’est pourquoi, dans le cadre du plan de relance, le gouvernement va consacrer 2,7 milliards d’euros à la rénovation énergétique du patrimoine de l’Etat. Il est ainsi prévu, d’ici à 2023, de rénover plus de 4.200 bâtiments publics qui devront répondre à deux critères essentiels : leur performance énergétique et la capacité de mise en œuvre rapide du projet.Parmi ces chantiers, les produits de la gamme Ecorock Duo et Rockfaçade de ROCKWOOL, leader mondial des solutions en laine de roche, ont été utilisés pour les travaux de rénovation énergétique du Lycée de l'Image et du Son d'Angoulême LISA, débutés en janvier 2020.Comme l’explique Franck Porcel, directeur de GEO Environnement : « La particularité du chantier LISA consistait à réaliser un ITE sur 10.000 m² de murs faïencés, nous devions préalablement faire sauter 3000 ml de listel, traiter des façades arrondies sur des satellites, composer avec des façades truffées de colonnes Gréco-Romaines et sur un lycée en site occupé. »Plus de 10.000 m² d’isolation sous enduit de la gamme Ecorock Duo et 3.500 m² d’isolation en bardage ventilée de la gamme Rockfaçade ont ainsi été utilisés pour l’enveloppe du bâtiment.« Compte tenu de la famille dans le classement feux pour des établissements recevant du public, dans le cadre d’un ITE seule la laine de roche peut répondre aux exigences sécurité incendie » explique Franck Porcel.Le traitement des façades, de l'obélisque et de l'arche est accompagné d'une amélioration énergétique grâce au remplacement de toutes les huisseries et à la pose de châssis double vitrage pour une économie thermique attendue de l'ordre de 40%.ROCKWOOL a également mis à disposition son programme de recyclage des déchets de chantier Rockcycle, afin d’accompagner la région Nouvelle Aquitaine dans sa démarche Développement Durable.« Nous valorisons nos mémoires techniques en mettant en avant le Rockcycle dans la majorité des appels d’offres publics sur lesquels nous répondons. Ce sont des points supplémentaires qui font parfois la différence sur les notes techniques en raison de la simplicité de la mise en œuvre du service Rockcycle et son côté écologique (...) Au final, le procédé mis en place est plutôt simple. C’est pour nous un retour très positif au regard de nos donneurs d’ordres, vis-à-vis de notre philosophie d’entreprise et cela ne nous complique pas plus la tache une fois le mode de fonctionnement intégré par nos équipes. » détaille Franck Porcel ITE : Ecorock, RockfaçadeMaître d’ouvrage : Région Nouvelle AquitaineMaitrise d’œuvre : ALTEREAEntreprise générale : Eiffage Construction Poitou CharenteArchitecte : SIGN ArchitectureBureau d’étude : ILAOEntreprises : Géo Environnement et SILVEA (revêtements extérieurs), GREGOIRE et MERCIER VAUNAC (menuiseries extérieures), REVET ISOL 24 (étanchéité)
Il y a 4 ans et 102 jours

Les tarifs réglementés du gaz augmentent de 5,7% en moyenne en mars

"Cette augmentation est de 1,5% pour les clients qui utilisent le gaz pour la cuisson, de 3,4% pour ceux qui ont un double usage, cuisson et eau chaude, et de 5,9% pour les foyers qui se chauffent au gaz" a détaillé la Commission de régulation de l'énergie (CRE) dans un communiqué.Selon la CRE, cette hausse des tarifs s'explique par une augmentation des "prix sur les marchés", "soutenus cet hiver par une forte demande mondiale (...) en raison de la vague de froid sur le continent asiatique"."A ce facteur s'ajoute une forte sollicitation des stockages en Europe au mois de janvier ainsi que la poursuite de l'augmentation des prix du pétrole", a ajouté le régulateur.La loi prévoit l'extinction progressive d'ici à 2023 des tarifs réglementés de vente (TRV) du gaz pour les particuliers. Ils ont déjà été supprimés pour les consommateurs professionnels depuis le 1er décembre.Depuis le 1er janvier 2019, les tarifs réglementés ont baissé en tout de 9,2%, et leur niveau reste inférieur à celui de 2015, souligne la CRE.
Il y a 4 ans et 102 jours

La récession de l'économie française en 2020 revue à la baisse à -8,2%

Sur le seul quatrième trimestre 2020, le recul du PIB est de 1,4%, contre -1,3% estimé auparavant, évalue également l'Insee, qui précise que l'économie française a terminé l'année 2020 avec une activité 4,9% en dessous de son niveau du dernier trimestre 2019, soit avant l'apparition de l'épidémie de Covid-19.Comme indiqué fin janvier, lors de la publication des premières estimations, la récession s'explique principalement par la forte baisse des dépenses de consommation des ménages (-7%), empêchées par les périodes de confinement et les restrictions d'activité, la contraction des investissements (-10,3%), et le plongeon des exportations (-16,3%), bien supérieur à la réduction des importations.Les données détaillées publiées par l'Insee vendredi confirment également que les revenus et le pouvoir d'achat des ménages ont bien résisté durant la crise, grâce aux mesures de soutien mises en place par le gouvernement (chômage partiel, aides spécifiques aux plus modestes, etc.) et à des baisses d'impôts (impôt sur le revenu, taxe d'habitation).Leur revenu disponible brut a ainsi progressé de 1,1% sur l'ensemble de l'année, et le pouvoir d'achat a progressé de 0,6%. Il est toutefois resté stable, lorsqu'on le considère par unité de consommation, c'est-à-dire en tenant compte de la composition des ménages."L'effet conjoint de la hausse du pouvoir d'achat et de la baisse des dépenses de consommation induit une forte hausse du taux d'épargne des ménages", souligne encore l'Insee.Sur l'année, ce taux a grimpé à 21,3%, contre 14,9% en 2019, illustrant à la fois la constitution d'une épargne forcée, du fait des restrictions d'activité, mais aussi d'une épargne de précaution, liée aux inquiétudes sur l'avenir.Enfin, le taux de marge des entreprises a poursuivi son rattrapage au dernier trimestre, mais sur l'ensemble de 2020, il touche son plus bas niveau depuis 1985, à 29,3% (-4 points sur un an).Toutefois, "environ un quart de cette chute est liée à la suppression du CICE (crédit d'impôt compétitivité emploi) début 2020, alors qu'en 2019, (les entreprises) bénéficiaient à la fois du CICE et des allègements des cotisations sociales qui l'ont remplacé", précise l'Insee.
Il y a 4 ans et 102 jours

Les entreprises de la construction demandent le maintien du Gazole Non Routier

Après une baisse d’activité historique de l’ordre de 14 % en 2020, les perspectives d’activité pour les entreprises du BTP restent inquiétantes, malgré « France relance ». De fait, les appels d’offres des collectivités locales ressortent toujours à la peine, les blocs communal et intercommunal enregistrant respectivement des baisses de - 27 % et - 37 % en janvier 2021 comparé à janvier 2020. Quant aux marchés privés, les permis en logement comme en non résidentiel affichent des chutes respectives de 15 % et 20 % en 2020.Autre signal d’alarme : le BTP fait partie des secteurs qui ont le plus eu recours aux Prêts Garantis par l’État (PGE), ainsi qu’aux crédits divers cette dernière année, ce qui témoigne d’une situation de trésorerie très dégradée, notamment des TPE/PME.Par ailleurs, l’engagement du gouvernement pris en 2019 de mettre en place un carburant non routier avec une couleur spécifique au BTP, après la suppression de l’accès au GNR pour le secteur, ne pourra pas être respecté au 1er juillet 2021. En effet, les dernières hypothèses présentées par le ministère de la Transition Écologique font état d’une période nécessaire à sa mise en place de près de 24 mois. A fortiori, les deux réunions tenues avec l’ensemble des représentants de l’État et des organisations professionnelles concernées n’ont pas permis d’aboutir à une solution acceptable pour les entreprises du bâtiment et des travaux publics.Enfin, les dispositions contenues dans le projet de loi portant climat et résilience font déjà l’objet de vives inquiétudes dans le secteur, notamment la suppression de la taxe intérieure de consommation sur les produits énergétiques (TICPE) pour le transport de marchandises, qui viendra renforcer l’envolée des prix des intrants dont souffrent les entreprises du BTP et leurs clients depuis décembre 2020. La disponibilité sur le marché de moyens de transport écologiques à un prix abordable et réellement opérationnels est un élément de conditionnalité de cette suppression. Il est regrettable qu’une telle conditionnalité ne s’applique pas au GNR, alors même que la finalité poursuivie est la même !C’est pourquoi, dans le contexte actuel, les entreprises de la construction demandent un geste de bon sens de la part du gouvernement pour soutenir l’activité dans un secteur qui emploie près de 1,7 million de personnes.
Il y a 4 ans et 102 jours

La construction de logements a marqué le pas entre novembre et janvier

Sur les trois derniers mois, le nombre de permis de construire a certes augmenté de 9,6% par rapport aux trois mois précédents, mais après la "progression régulière" de juillet à novembre 2020, les autorisations se sont repliées en décembre pour finalement se "stabiliser" en janvier, selon le ministère de la Cohésion des Territoires.Sur cette même période de novembre 2020 à janvier 2021, "le nombre de logements autorisés est resté inférieur de 10,6 % à la moyenne des trois mois précédant le premier confinement", entre décembre 2019 à février 2020.En chiffres absolus, 377.600 logements ont été autorisés à la construction au cours des douze derniers mois, soit 73.500 de moins qu'au cours des douze mois précédents.Cette baisse vaut aussi pour les mises en chantier. Elles sont estimées en repli de 11,2 % par rapport à la période qui va d'août à octobre 2020. "On estime que 344.900 logements ont été mis en chantier, soit 44.000 de moins (-11,3 %) que pendant les douze mois précédents", explique le ministère.Si l'on regarde dans le détail, ce sont surtout les autorisations et les mises en chantier d'immeubles qui s'effritent. Entre novembre et janvier, le nombre de permis de construire a chuté de 21,5% et les mises en chantier de 15,9%.Du côté des des maisons, la tendance est plus contrastée sur la même période: +2,8% de permis de construire pour les logements individuels dits purs et -14,4% pour les logements groupés, c'est-à-dire intégrés à un programme immobilier plus large. Sur le front des mises en chantiers, les chiffres sont uniformément en baisse: -5,6% et -12,5% respectivement.
Il y a 4 ans et 102 jours

Le bénéfice d'Eiffage chute de près de moitié en 2020

Le bénéfice net consolidé part du groupe s'établit à 375 millions d'euros contre 725 M EUR en 2019, selon un communiqué du groupe qui qualifie l'impact du Covid-19 sur son activité de "majeur", mais note un "redressement significatif au second semestre".Au premier semestre, le groupe avait subi une perte nette de 8 M EUR.Sur l'année, le chiffre d'affaires consolidé s'établit à plus de 16,3 mds EUR, en baisse de 10%.Dans la branche travaux, le chiffre d'affaires a atteint plus de 13,7 mds EUR, en baisse de 9,5%, mais cette activité a retrouvé au second semestre le même niveau qu'en 2019 en France, selon le groupe. Dans ce segment, l'activité construction est la plus touchée, avec un recul de 13,4% à 3,69 mds d'euros, mais elle elle baisse moins sensiblement en France (-12,6%) qu'en Europe (-16,1%), précise le groupe.Dans la branche concessions autoroutières et aéroportuaires -qui ont continué à être affectées par la crise sanitaire au second semestre- le chiffre d'affaires s'établit à près de 2,6 mds EUR, en baisse de 12,7%, avec par exemple des trafics en baisse de 24% sur le viaduc de Millau, de 22% sur l'A65 et de 67,3% sur les aéroports dont le groupe est le gestionnaire.A la fin de l'année, le carnet de commandes des travaux atteignait 16 mds d'EUR, en augmentation de 14% sur un an et "représente plus de quatorze mois d'activité" en raison "du report d'activité du premier semestre (à hauteur de 1,3 milliard d'euros) mais également à l'obtention de contrats majeurs (infrastructures de transport et éolien offshore)", selon le groupe.Il anticipe un chiffre d'affaires "en augmentation significative dans les Travaux, proche de son niveau de 2019".En revanche, dans les concessions, les incertitudes qui continuent à peser sur les déplacements ne permettent pas au groupe "d'estimer de façon fiable l'évolution du chiffre d'affaires correspondant".
Il y a 4 ans et 102 jours

Voies navigables de France annonce un investissement de 300 millions d'euros pour développer le trafic fluvial

"La capacité de financement des investissements de VNF est portée à 300 millions d'euros pour 2021, mais aussi 2022, accélérant l'augmentation du programme d'investissement de ces dernières années", indique dans un communiqué l'établissement public qui gère la majeure partie du réseau fluvial français et bénéficie de crédits issus du plan de relance gouvernemental.Le budget dédié aux investissements était de 170 millions d'euros en 2019 et de près de 220 millions en 2020, précise VNF.Le principal exploitant du trafic fluvial note que 2020 a été "marquée par une série de réalisations majeures pour l'établissement, visant à favoriser le développement de la logistique fluviale".Une grosse partie du budget a été engagée "sur la partie française de la liaison européenne Seine Escaut, qui connectera à grand gabarit le bassin de la Seine avec le réseau fluvial de l'Europe du Nord, et favorisera le développement économique des territoires". En jeu en particulier: des modernisations d'écluses et de barrages.Cette année, "de nouveaux projets vont être lancés (...) pour continuer à soutenir le développement et la régénération du réseau fluvial" : rénovation d'écluses, reconstruction ou confortement de barrages..."Il est important de rappeler que ce mode de transport bas carbone concourt directement, de par ses très fortes capacités de chargement, à lutter contre le réchauffement climatique, qui est un objectif plus que prioritaire", souligne le directeur général de VNF Thierry Guimbaud, cité dans le communiqué.
Il y a 4 ans et 102 jours

Le projet "Air acteur" du Cerema est retenu dans le cadre du Programme d'investissements d'avenir

Le projet est destiné à fédérer l'ensemble des acteurs de la filière professionnelle ventilation et qualité de l'air intérieur et s'adresse à un vivier de 200.000 artisans. Il vise à structurer durablement un dispositif national de qualification des professionnels et prévoit en l'état actuel un budget estimé à 3,8 millions d'euros. Le projet pourra être lancé dès septembre pour une durée de 3 ans. La qualité de l'air à l'intérieur des bâtiments a un effet démontré sur la santé et le bien-être. On lui attribue un coût annuel minimum de 19 milliards d'euros par an en France pour la collectivité. Pourtant, la ventilation, qui est un des moyens de renouveler l'air intérieur, est le parent pauvre du bâtiment : sans véritable spécialistes de la pose et de l'entretien, 50% des installations neuves sont non-conformes aux règles de l'art et c'est un lot inexistant dans les maisons individuelles.C'est pour répondre à ces enjeux et aux évolutions réglementaires prévues par la réglementation environnementale 2020 (RE2020), que le Cerema coordonne « Air'acteurs ». Retenu dans le cadre de l'appel à projet national « Ingénierie de Formations Professionnelles et d'offres Accompagnement Innovantes », Air'acteurs prévoit notamment la création de parcours de formations innovantes, basées sur le numérique (programmes, supports), des formations pilotes et des formations de formateurs, développement de nouveaux outils (campus multimodal, réalité virtuelle…). Il vise à structurer durablement un dispositif national de qualification des professionnels. Dans le contexte actuel de relance de l'économie, la spécialisation et montée en compétence sur une spécialité d'avenir est une opportunité de professionnalisation et de reconnaissance de la filière.Ce projet partenarial rassemble un panel représentatif de toute la filière de la construction avec l'Association Ouvrière des Compagnons du Devoir, le Centre de formation Tipee, la fédération interprofessionnelle des métiers de l'environnement atmosphérique (FIMEA), le Comité Scientifique et Technique des Industries Climatiques (COSTIC), le syndicat national de la maintenance et des services en efficacité énergétique (SYNASAV) et le Syndicat des industries thermiques, aérauliques et frigorifiques (UNICLIMA).
Il y a 4 ans et 102 jours

Altarea a souffert en 2020 du report de livraisons majeures

Le chiffre d'affaires d'Altarea s'est établi à près de 3,1 mds EUR (-1,7%) "porté par la croissance du Logement (+5,3%) qui a compensé la baisse des loyers nets en Commerce et celle de l'activité en Immobilier d'entreprise", indique le groupe dans un communiqué.Le résultat net récurrent part du Groupe (FFO, un indicateur clé de la performance du groupe) s'élève à 230,3 millions d'euros en baisse de -21,4%, précise le groupe qui ajoute qu'il est "conforme des prévisions communiquées en juillet"."La baisse provient essentiellement de notre division bureaux" avec de "très grosses affaires qui ont pris du retard" avec l'arrêt des chantiers pendant le premier confinement dont "Bridge", le futur siège d'Orange à Issy-les-Moulineaux, ainsi que le projet "Eria" à la Défense, qui sera occupé par le futur pôle de Cybersécurité, mais "ces résultats sont différés sur 2021", a expliqué à l'AFP Eric Dumas, directeur général en charge des Finances du groupe."Le principal motif de satisfaction, c'est la performance du logement", a-t-il poursuivi.Cette activité, la principale du groupe, a atteint un chiffre d'affaires de 2,4 mds EUR, en hausse de 5% par rapport à 2019.Comme c'est le cas pour la plupart des promoteurs, Altarea a cette année vendu beaucoup de logements à des acheteurs institutionnels, avec des marges plus faibles mais d'importantes économies sur les frais de transaction.Selon le groupe, le résultat net récurrent (FFO) "devrait reprendre sa trajectoire de croissance en 2021, sous réserve d'une non aggravation significative de la situation sanitaire"."Le deuxième semestre devrait notamment bénéficier des décalages de résultats en immobilier d'entreprise", indique-t-il."Cette confiance se matérialise par la proposition d'un dividende en hausse de +5,6%", précise le groupe.Sur son activité de Commerce, le taux de recouvrement des loyers de l'année 2020 s'élève à 77%, précise le groupe qui a comme ses concurrents négocié un abandon de deux mois de loyer avec en contrepartie un allongement des baux de 2,6 ans en moyenne.
Il y a 4 ans et 102 jours

Saint-Gobain Distribution Bâtiment France déploie un escape game digital au sein des écoles de commerce

Afin de se faire mieux connaître des plus jeunes, Saint-Gobain Distribution Bâtiment France a choisi de faire appel à un outil tout à la fois ludique, pédagogique, dynamique et moderne : l’escape game. Et pour être sûre de pouvoir toucher les étudiants quel que soit le contexte sanitaire, l’entreprise a opté pour un escape game digital.Un moyen original de se faire connaître et de créer du lienL’un des éléments clés du recrutement est de faire connaître son entreprise, ses engagements, son potentiel. Cela est d’autant plus vrai auprès des jeunes publics qui connaissent mal toutes les possibilités offertes par une entreprise telle que Saint-Gobain Distribution Bâtiment France.Afin de pourvoir les 700 postes en alternance et en stage disponibles chaque année, l’entreprise a choisi une manière innovante d’aller au-devant des étudiants en leur proposant de participer à un escape game. Crise sanitaire oblige, Saint-Gobain Distribution Bâtiment France organise ce jeu en virtuel. Vingt-quatre étudiants de la Burgundy Business School de Dijon ont eu la primeur de cet escape game le 1er décembre 2020. À la clé, un moment de partage qui les a enthousiasmés et qui a constitué pour les quatre équipes de six étudiants un véritable challenge ludique et pédagogique.Créer de l’animation dans les écolesLes écoles sont aussi en recherche d’activités pour animer des rencontres entre les étudiants et les entreprises.Le principe de l’escape game mis en place par Saint-Gobain Distribution Bâtiment France est donc une façon très originale de créer du lien et un réel dynamisme. Le scenario choisi embarque les étudiants dans unemission à la fois amusante et fédératrice, issu d’une série télévisée célèbre et dans lequel ils doivent déjouer les plans d’un braquage de banque.En travaillant ensemble et en cherchant des solutions, les étudiants développent un véritable esprit d’équipe et une vraie cohésion de groupe et cela même en jouant à distance les uns des autres.En observant leurs attitudes et leurs réactions, les équipes de Saint-Gobain Distribution Bâtiment France peuvent déterminer les compétences comportementales de chacun et les mettre en parallèle des besoins des métiers proposés par l’entreprise.Saint-Gobain Distribution Bâtiment France prévoit de mettre en place cet escape game dans trois écoles dès le début d’année 2021 puis de le déployer dans 11 écoles partenaires.
Il y a 4 ans et 103 jours

Le consulat américain vend un ensemble immobilier à Hong Kong après le feu vert de Pékin

Cet accord, qui porte sur six villas de luxe situées dans le quartier le plus huppé du territoire, permettra au Département d'État américain d'empocher quelque 330 millions de dollars.Cette vente, annoncée l'an passée, avait été soudainement suspendue en décembre en raison des tensions sino-américaines.Pékin avait justifié cette décision par le fait que cette transaction immobilière exceptionnelle nécessitait un feu vert spécifique.Jeudi, l'acquéreur Hang Lung Properties a annoncé que l'accord a été conclu après l'aval donné à Washington par Pékin.La vente de la propriété "a été finalisée le 25 février 2021", a précisé le promoteur immobilier dans un communiqué.Les résidences, situées dans un des quartiers les plus chers de Hong Kong, sont nichées sur une colline et offrent une vue sur l'océan. Elles étaient auparavant utilisées pour loger du personnel.Les relations entre Washington et Pékin sont au plus bas, en raison d'un conflit commercial mais également au sujet du respect des droits de l'Homme en Chine et de Hong Kong. Les Etats-Unis et les puissances occidentales dénoncent notamment la répression engagée par les autorités chinoises dans l'ex-colonie.
Il y a 4 ans et 103 jours

Le moral des ménages français fléchit encore légèrement en février

Dans un contexte de persistance de l'épidémie, l'indicateur qui reflète la confiance des ménages dans la situation économique perd un point en février, à 91 points, contre 92 en janvier et 95 en décembre, restant ainsi en dessous de sa moyenne de longue période qui est de 100.Le solde d'opinion des ménages estimant qu'il est opportun d'épargner, signe d'une inquiétude dans l'avenir, "reste à son plus haut niveau historique", tandis que les soldes d'opinion des ménages sur leur capacité d'épargne actuelle et future atteignent aussi un niveau record, souligne l'Insee.Les restrictions d'activités depuis le début de l'épidémie (loisirs, restauration, etc.) et les mesures de soutien au pouvoir d'achat, notamment le chômage partiel, ont en effet conduit les ménages à épargner massivement.En parallèle, en février, la part des ménages estimant qu'il est opportun de faire des achats importants reste stable, sous sa moyenne de longue période.Le solde d'opinion des ménages sur leur situation financière future reste aussi stable, également sous sa moyenne de longue période.En revanche, la part des ménages qui estiment que le niveau de vie va s'améliorer en France durant les douze prochains mois a de nouveau reculé. Et les craintes concernant l'augmentation du chômage ont continué d'augmenter en février.
Il y a 4 ans et 103 jours

Première réunion du Conseil National de l’Hydrogène

La stratégie pour le développement d’un hydrogène décarboné place la France parmi les pays les plus en pointe sur cette technologieCette stratégie, qui a été annoncée par le gouvernement le 8 septembre 2020, prévoit 7 milliards d'euros de soutien public d'ici 2030, dont 2 milliards d'euros d'ici 2022, dans le cadre de France Relance et des Investissements d’Avenir.La supervision des travaux menés pour la mise en œuvre de cette stratégie est assurée par un coordonnateur, Hoang Bui, dont la nomination a été confirmée.Les co-présidents du CNH, Benoit Potier, président directeur général d’Air Liquide, et Patrick Koller, directeur général de Faurecia, ont présenté une analyse comparative des stratégies internationales sur l’hydrogène, se fondant notamment sur les travaux du Conseil mondial de l’hydrogène (Hydrogen Council).Il en ressort que la France est positionnée dans le peloton de tête des pays les plus avancés pour leur stratégie, aux côtés de l’Allemagne en Europe ou de la Chine, la Corée et le Japon en Asie. Les critères d’évaluation suivants ont été analysés : développement de la production de l’hydrogène renouvelable et bas carbone, définition d’objectifs clairs, dispositif de pilotage et de suivi de la stratégie, moyens financiers, adaptation des réglementations.Le lancement de la stratégie en septembre a engendré une forte dynamique industrielleLe Conseil national de l’hydrogène constate une forte dynamique industrielle qui est amenée à se poursuivre dans les prochains mois.Dans le cadre de France Relance, 27 projets de R&D et d’intégration de technologies hydrogène ont d’ores et déjà été soutenus, pour 212 M€ d’investissement total et 37 M€ de soutien public(2).A ces projets viennent s’ajouter 60 M€ de soutien à la filière aéronautique dans le cadre du CORAC (Comité d’orientation de la recherche pour l’aéronautique civile). Par ailleurs, début 2021, un soutien financier a été annoncé pour aider 4 régions (Occitanie, Bourgogne-Franche-Comté, Auvergne-Rhône-Alpes, Grand-Est) à acquérir 14 trains hydrogène représentant un investissement total de 300 M€.Dans le cadre de la première session de l’appel à projets « écosystèmes territoriaux » de l’ADEME, 7 projets, représentant un investissement de 136M€ et une demande d’aide de 45M€, ont été présélectionnés pour soutenir la production par électrolyse et la mobilité hydrogène. La deuxième session de cet appel à projets compte déjà plus de 47 nouvelles demandes ouvertes, pour une présélection en juin.De premiers éléments ont été présentés concernant les projets d’envergure qui pourraient bénéficier d’un accompagnement dans le cadre du PIIEC(3) en cours de construction au niveau européen, sous l’impulsion de la France et de l’Allemagne. Ces projets français représentent un montant total d’aide avoisinant les 8 Mds € et concernent la production d’électrolyseurs, la décarbonation de l’industrie lourde, la production des équipements pour la mobilité. Les projets retenus donneront lieu aux premiers versements d’aides dès la fin de l’année.Dans ce cadre France Hydrogène a dénombré 4 projets d’usines en France de fabrication d’électrolyseurs et a identifié des installations d’électrolyse projetées d’une puissance totale de 3,2 GW, soit d’ores et déjà près de 50% de l’objectif fixé par la stratégie nationale de disposer d’une capacité d’électrolyse sur notre territoire de 6,5 GW en 2030.Des projets innovants utilisant les technologies de l’hydrogène sont également en développement dans les systèmes électriques des zones non interconnectées en outre-mer, tel que le projet CEOG(4) de centrale photovoltaïque à puissance garantie avec stockage hydrogène. Les modalités de son soutien sont en cours d’étude.Les écosystèmes français affichent une bonne maîtrise des technologies clés et le CNH travaille à renforcer les compétences et la chaine de valeur françaiseLe Conseil national Hydrogène a établi une cartographie des technologies clés, en s’appuyant sur l’expertise de l’ensemble des comités stratégiques de filières concernés. Cette analyse montre que la France maîtrise ou disposera rapidement de toutes les technologies critiques nécessaires à sa souveraineté et permettant un passage rapide à l'échelle industrielle. Des thématiques prioritaires ont été identifiées pour faire l’objet de travaux complémentaires. Il s’agit par exemple des membranes, des compresseurs d’air pour piles à combustible et électrolyseurs, ou encore des procédés de décarbonation pour l’industrie sidérurgique et les cimenteries.Le Conseil national de l’Hydrogène a ainsi initié des travaux pour identifier des contributeurs, former des consortia et développer des technologies, équipements, applications et logiciels correspondant pour renforcer la chaine de valeur française.Afin de soutenir ces nouveaux projets de R&D, le Secrétariat général pour l'investissement a amélioré le dispositif d’aide « briques technologiques et démonstrateurs hydrogène » opéré par l’ADEME, en portant notamment la part de subvention dans les aides accordées à 60%, voire 75% sous certaines conditions.Les industriels du Conseil national de l’hydrogène s’engagent pour développer les formations au sein de la filièreLa dynamique de la filière hydrogène est porteuse de perspectives importantes d’emplois.France Hydrogène est ainsi en cours de finalisation d’un référentiel des compétences-métiers qui sera présenté fin mars et accessible par internet. Sur les 75 métiers identifiés, une quinzaine apparait déjà en tension. Pour y remédier, des initiatives dans le domaine de la formation professionnelle ont été évoquées lors de cette réunion, telles que « la Symbio Hydrogen Academy » portée par l’entreprise Symbio et ses actionnaires Faurecia et Michelin. Elle vise à former 300 personnes par an aux métiers de l’hydrogène dans la région lyonnaise.De la même manière, le groupe Air Liquide apporte son soutien aux initiatives telles que la « H2 Académie », qui est destinée notamment à former des étudiants en BTS à partir de septembre 2021 à Port-Jérôme, près du Havre.Le Conseil national de l’hydrogène se réunira régulièrement pour s’assurer de la bonne mise en œuvre de la stratégie hydrogèneLa prochaine réunion du Conseil national de l'hydrogène se tiendra d’ici l’été. Elle permettra de faire le point sur des thématiques d’intérêt commun telles que :les enjeux de réglementation et de normalisation spécifiques au domaine de l’hydrogène, via des groupes de travail associant les industriels pour construire un cadre réglementaire permettant le développement de la filière en toute sécuritéles projets et partenariats autour des technologies clefs qui font encore défaut à la filière françaisela mise en place de mécanismes de soutien à la production d’hydrogène renouvelable et décarbonéla question des infrastructures de transport et de distribution(1) Le rôle et la constitution du Conseil national de l’hydrogène avaient été précisés lors d’un communiqué de presse le 11 janvier 2021.(2) Les subventions proviennent des fonds de modernisation automobile et aéronautique, du soutien aux projets industriels dans les territoires, du Programme Investissements d’Avenir dans le cadre du Comité d’orientation de la recherche pour l’automobile et les mobilités (CORAM).(3) Projet Important d’Intérêt Européen Commun. Le dispositif, à l’instar de celui sur les batteries, autorise les Etats membres à financer les projets au-delà des limites habituellement fixées par la réglementation européenne lorsqu’il s’agit de soutenir des projets de grande ampleur qui apportent une contribution très importante à la croissance économique, à l’emploi et à la compétitivité de l’industrie et de l’économie de l’Union(4) Centrale Electrique de l’Ouest Guyanais
Il y a 4 ans et 103 jours

Lancement d'une concertation publique dédiée au bâti scolaire

Tous sont invités à exprimer leurs "attentes, envies et idées" en répondant à une "enquête d'une dizaine de minutes" ou en "partageant des propositions sur une boîte à idées".La plateforme de consultation sera accessible jusqu'au 8 avril à l'adresse :https://batirlecole.education.gouv.fr.Parmi les enjeux de cette concertation, les sujets de la "transition écologique, de la santé, la sécurité, l'évolution des pratiques pédagogiques, le bien-être, l'inclusion et l'ouverture sur le territoire"...Des kits pédagogiques sont mis à disposition des enseignants pour organiser des ateliers avec les élèves, précise le ministère.Une synthèse des contributions précisant les attentes des différents publics sera publiée par le ministère, qui promet des "référentiels de conception et d'aménagement" pour les établissements scolaires à partir de septembre prochain.
Il y a 4 ans et 103 jours

Les prix des logements anciens à Paris commencent à baisser, après une nouvelle hausse en 2020

Dans la capitale, "les prix ont fait une pause du 3e au 4e trimestre 2020 en passant de 10.790 EUR le m² à 10.770 EUR", selon la Chambre des notaires du Grand Paris."Après un record historique en novembre 2020 (10.850 EUR le m²) suivi d'une baisse, la tendance baissière des prix devrait se prolonger dans les prochains mois à Paris. La hausse annuelle pourrait être inférieure à 1%, ce qui n'est pas arrivé depuis 2015", ajoute l'organisation dans un communiqué."Aujourd'hui, la tension [sur les prix] diminue" mais "quand les biens sont au prix du marché, les ventes se font sans négociation", a commenté au cours d'une conférence de presse Thierry Delesalle, le président de la commission des statistiques immobilières de la Chambre.Le "freinage, initié dans Paris, se dessine et se diffuse progressivement vers la proche périphérie", selon la Chambre.Globalement, selon les notaires, de nombreux éléments décrivent en Ile-de-France "un marché qui résiste, compte tenu d'un contexte économique, psychologique et social particulièrement difficile, mais qui s'essouffle et se fragilise".Ainsi à Paris "les prix, qui augmentaient encore de 8% par an au 1er trimestre 2020, de 7,8% au 2e trimestre puis de 7% au 3e trimestre, n'étaient plus qu'en hausse annuelle de 5,4% au 4e trimestre 2020", selon l'organisation professionnelle.D'après les indicateurs avancés sur les avant-contrats, dans Paris, "le mouvement légèrement baissier se prolongerait début 2021 pour laisser un prix au mètre carré attendu à 10.600 EUR en avril 2021, en baisse de 0,4% en 3 mois".Il serait ainsi quasiment identique (+0,8%) à la valeur d'avril 2020 (10.520 EUR le m²), selon la même source.La Grande Couronne attireAu quatrième trimestre, les prix au m² s'échelonnent entre 9.210 EUR dans le XIXe arrondissement et 14.240 EUR dans le VIe, c'est-à-dire "1,55 fois plus cher que le XIXe" ce qui est un "ratio historiquement bas", selon les notaires.Au 4e trimestre 2000, le quartier le plus onéreux était cinq fois plus cher que le quartier le plus abordable, rappellent la Chambre des notaires.Quatre arrondissements se situent encore en dessous de 10.000 EUR le m² (XIIe, XIIIe, XIXe et XXe), tandis que quatre dépassent 12.000 EUR le m² (Paris Centre, Ve, VIe et VIIe). Le VIe arrondissement est le seul à dépasser 14.000 EUR le m².Conséquence de l'épidémie de Covid-19 et des restrictions de déplacement, le nombre d'acquéreurs étrangers non résidents, habituellement très présents sur le marché de l'immobilier haut de gamme, n'a jamais été aussi bas, avec 1,8% des ventes contre 2,5 à 3% habituellement.Pour 2021, les notaires restent prudents, car l'année sera "la résultante, complexe et incertaine, d'un contexte économique qui pourrait se durcir pour les ménages et d'une situation sanitaire toujours très fragile".Par ailleurs, la situation sanitaire, les confinements et le développement du télétravail semblent précipiter les choix de vie pour certains en poussant de nombreux parisiens hors de la capitale.Le marché de la maison en Ile-de-France "a bel et bien profité d'une attractivité renforcée avec une croissance de ses volumes de ventes de 8%, uniquement imputable à la Grande Couronne (+13%), où l'offre est abondante et les prix plus modérés".Les notaires de Grande Couronne indiquent rencontrer davantage d'acquéreurs parisiens et de la Petite Couronne que dans le passé, intéressés par de grandes maisons.
Il y a 4 ans et 103 jours

Hausse du prix de l'immobilier ancien à Paris de 5,4% au 4ème trimestre 2020 selon les notaires

"Aujourd'hui, la tension (sur les prix, NDLR) diminue" mais "quand les biens sont au prix du marché, les ventes se font sans négociation", a commenté au cours d'une conférence de presse Thierry Delesalle, le président de la commission des statistiques immobilières de la Chambre ajoutant que le "coup de frein sur les prix était attendu et bienvenu".Globalement en Ile-de-France, les volumes de ventes de logements anciens (159.140) ont baissé de 12% et la hausse annuelle des prix a atteint 6,4%.Paris a été plus touchée par la baisse du nombre de transactions avec un recul de 16% sur 12 mois.Mais la chambre des notaires ajoute que le prix du mètre carré est en baisse depuis la fin 2020. "Après 5 ans de hausses, les prix sont désormais légèrement baissiers dans Paris mais résistent à 10.600 euros le m²", selon des projections sur les transactions qui seront finalisées en avril.Les notaires notent "une nette différenciation géographique" des prix avec des arrondissements centraux à plus de 12.000 euros le m², l'ouest parisien entre 10.000 et 12.000 euros et l'est périphérique de la capitale à moins de 10.000 euros le m².Les hausses les plus importantes ont été enregistrées dans le Vè arrondissement (+8,5%), le XVIIIè (+7,2%) et le VIIIè (+6,7%), là encore lorsqu'on compare les quatrièmes trimestres 2020 et 2019.
Il y a 4 ans et 103 jours

Le groupe Kramer retire son offre de reprise de l’usine Jacob Delafon à Damparis dans le Jura

Par cette acquisition, le groupe Kramer souhaitait diversifier ses activités et étoffer logiquement son offre sur l’ensemble du marché sanitaire (céramique et robinetterie) en France et à l’export.Malgré la réactivité et l’implication des services de l’Etat, de la région et de ses partenaires commerciaux, le groupe Kramer a pris la décision de retirer son offre de reprise.Selon le groupe Kramer, l’opacité dont a fait preuve le groupe Kohler en matière d’informations ne permet pas de répondre aux conditions et délais imposés par celui-ci et emporte aujourd’hui la conviction de l’impossibilité de mener à bien ce projet que le repreneur n’aura jamais pu exposer directement aux salariés.Manuel Rodriguez, président du groupe Kramer, a adressé à l’ensemble des salariés du site de Damparis, une lettre ouverte pour leur faire part de sa décision de renoncer de façon responsable au projet, ne souhaitant pas ajouter davantage d’incertitude à leur situation déjà très anxiogène.Manuel Rodriguez a fait part également de sa déception de n’avoir pu sauver 91 emplois sur les 150 que compte le site de Damparis. Il assure, par ailleurs, que son groupe continuera de porter haut et fort les valeurs du Made in France.Le gouvernement tente de "renouer le dialogue"Le gouvernement s'efforce de "renouer les liens du dialogue" entre le groupe américain Kohler, qui veut se séparer de l'usine Jacob Delafon, à Damparis (Jura), et le groupe français Kramer qui a retiré mardi l'unique offre de reprise.La ministre déléguée à l'Industrie Agnès Pannier-Runacher "tente de renouer les liens du dialogue aujourd'hui rompus entre les deux groupes pour voir si une solution de reprise peut exister", a affirmé le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal, à l'issue du conseil des ministres."Il y a donc une mobilisation du gouvernement sur ce sujet", a-t-il ajouté, au lendemain de l'annonce par Kramer du retrait de la seule offre de rachat du dernier fabricant français de sanitaires en céramique haut de gamme, qui compte 140 salariés à Damparis.Le groupe américain veut se séparer depuis septembre parce qu'il "n'entre plus dans sa stratégie" à partir de 2021.PME de robinetterie basée à Etain (Meuse), Kramer avait déposé début février une lettre d'intention auprès de Kohler pour la reprise partielle du site de Damparis à partir du 30 juin prochain, avec la préservation de 91 emplois sur 140 et l'objectif d'augmenter l'effectif au bout de trois ans grâce à la montée en puissance de la production.Son projet reposait sur une première année de fabrication pour le compte de Kohler.
Il y a 4 ans et 103 jours

La pergola alu bioclimatique Wallis&Outdoor® Profils Systèmes reçoit l'homologation du CSTB

La pergola alu made in France de Profils Systèmes a passé une série d'essais au CSTB (Centre Scientifique et Technique du Bâtiment) et a réussi parfaitement l'ensemble des tests d'endurance mécanique et de corrosion au brouillard salin neutre.Le CSTB a réalisé une série d'essais afin d'analyser l'endurance, et la corrosion de la pergola aluminium Wallis&Outdoor® de Profils Systèmes d'une dimension de 4mx4m.Endurance mécanique du système du tablier de toitCes essais ont permis de vérifier la résistance des lames lors de l'ouverture et la fermeture du système. Les résultats ont montré que la résistance est assurée après 14000 cycles, permettant à la pergola alu bioclimatique Wallis&outdoor® d'obtenir une classe 2 d'endurance.Résistance au brouillard salinL'ensemble des pièces composant la pergola bioclimatique Wallis&Outdoor® ont été exposé pendant 96 heures au brouillard salin neutre (NSS).Ce test a permis de vérifier que l'ensemble des composants n'ont pas engendré une corrosion.Homologation CSTB Pergola alu Wallis&Outdoor : Certificat N°101-01-P01Ce 1er certificat délivré en France (sous le N°101-01-P01) par le CSTB, pour une pergola à ossature aluminium, vient ainsi confirmer l'endurance et la résistance de la Pergola alu Wallis&Outdoor®, même dans des conditions météorologiques extrêmes.Pour rappel, la pergola bioclimatique Wallis&Outdoor® avait déjà obtenu l'homologation Vent et Pluie du CSTB en 2015. La pergola alu Wallis&Outdoor® est certainement le produit le plus robuste et le plus qualitatif sur le marché de la pergola bioclimatique !
Il y a 4 ans et 103 jours

Année 2020 exceptionnelle pour Nexity avec une hausse de 8% du chiffre d'affaires

Le chiffre d'affaires a atteint 4,86 milliards d'euros, un niveau supérieur aux prévisions qui le situaient à 4,7 milliards, selon un communiqué.Le premier confinement a fortement affecté l'activité au premier semestre mais celui du second semestre "n'a pas eu d'impact" avec un bon avancement des chantiers, la signature des actes notariés et la commercialisation de grands projets pour le segment de promotion d'immobilier d'entreprise, a détaillé le groupe.2020 a été pour Nexity "une année exceptionnelle en termes d'activité commerciale", a indiqué à l'AFP son directeur général délégué, Julien Carmona.Le groupe a réalisé "une performance historique, alors que le marché français est en baisse" aussi bien dans sa branche d'immobilier résidentiel que dans sa branche d'immobilier de bureaux, a-t-il ajouté.En immobilier résidentiel, à fin 2020, les réservations de logements neufs, un indicateur clé du secteur, ont été "à un niveau équivalent à 2019 (21.077 unités contre 21.837 unités en 2019).Nexity, déjà "numéro 1" de l'immobilier résidentiel, estime que sa part de marché des réservations faites par les promoteurs est passée de 13,5% à 17% en 2020, selon M. Carmona.Ces chiffres sont dus, selon lui, à trois facteurs: la présence du groupe sur tout le territoire, sa capacité à capter la demande très importante (+38%) venant des investisseurs institutionnels (assurances vie, Caisse des dépôts...) après "une longue période" où ils étaient sortis du secteur du logement et enfin "une approche servicielle" (gestionnaire, syndic...) apportée par le groupe à ses clients.Dans sa branche de promotion d'immobilier d'entreprise, le groupe indique que son activité a été "très soutenue sur la fin de l'année 2020 avec la commercialisation de grandes opérations" lui permettant "d'atteindre un volume de prises de commandes de 1,47 milliard d'euros, "soit le plus haut niveau historique (dont 1,24 milliard sur le seul quatrième trimestre)".Pour se "centrer" sur ses métiers de promotion immobilière et de services à l'immobilier, Nexity prévoit en outre de céder en 2021 Aegide-Domitys, sa filiale de gestion de résidences pour personnes âgées non médicalisées.Pour cette année, le groupe vise "autour de 20.000 réservations de logements neufs en France en immobilier résidentiel et 400 millions d'euros hors taxes de prises de commandes en immobilier d'entreprise".
Il y a 4 ans et 103 jours

Une alarme pour protéger sa maison post confinement ?

Souvent épaulée par des équipements de vidéosurveillance, l’alarme de maison permet de signaler toute tentative d’intrusion dans votre propriété et offre un véritable effet de dissuasion pour de potentiels cambrioleurs.Dans une situation sanitaire particulière qui nous pousse à réaliser des allers-retours entre le bureau et le télétravail, il est important de s’équiper convenablement pour protéger sa maison des cambriolages.Une période de crise sanitaire opportune pour les cambrioleursBien que l’on puisse penser que le premier confinement dû à la crise du COVID-19 ait considérablement réduit les tentatives de vols et cambriolages, la période est opportune pour les cambrioleurs.En effet, le télétravail a fait chuter de manière notable les cambriolages sur le territoire français. Avec une forte présence des citoyens dans leur foyer et le contrôle des forces de l’ordre pour ceux qui essaient de s’aventurer à l’extérieur, le risque de cambriolage était faible.Néanmoins, les maisons de campagne ou de vacances n’ont pas pour autant été épargnées pendant l’année 2020, tout comme les résidences principales post confinement.Effectivement, d’après le ministère de l’Intérieur, le nombre de cambriolages a augmenté de manière exponentielle à la fin du premier confinement jusqu’à atteindre 114% d’augmentation au mois de mai dernier.Des retours au travail qui exposent aux risquesLa principale raison de cette explosion des chiffres post confinement s'explique par le retour au bureau d’une majorité de Français.Si l’on ajoute à cela le fait qu’encore de nombreux foyers ne sont pas équipés d’alarmes de maison, nous trouvons assez facilement l’explication de cette forte augmentation post confinement.Une maison non sécurisée et vide de ses occupants est une cible plus facile pour les cambrioleurs alors qu’une maison équipée de caméras de surveillance ou d’une alarme réduit les risques du fait de son fort potentiel de dissuasion.Une alarme Atlantic’S pour sécuriser votre maisonL’alarme Atlantic’S sécurise votre maison contre les tentatives d’intrusions et de cambriolages en votre absence. Dotés d’un système de protection complet, les alarmes Atlantic’S vous garantissent une sérénité totale.En effet, ces alarmes sont équipées d’un système intelligent sans fil et de nombreux équipements. Installer une alarme vous assure une protection de qualité.Ce système d'alarme maison se présente en kit contentant :Une centrale d’alarme sans filDes télécommandes sans filDe sirènes intérieures ou extérieures (ou les deux)Trois différents types de capteurs : détecteur d’ouverture, de présence, d’ouverture de garageGrâce à l’ensemble de ces détecteurs, vous pouvez sécuriser l’ensemble de vos pièces et fenêtres afin de partir de votre maison en toute tranquillité.Le système intelligent de centrale d’alarme sans fil permet d’avoir accès sur votre téléphone au statut de l’ensemble des capteurs connectés.En cas de cambriolage ou de mouvements suspects détectés par un capteur, le système vous envoie un appel instantané sur votre mobile afin de réagir le plus rapidement possible.
Il y a 4 ans et 103 jours

La justice entérine la poursuite du chantier contesté de déviation de la RN88 en Haute-Loire

"Aucun des moyens invoqués" par ces quatre associations "n'est de nature à faire naître un doute sérieux quant à la légalité de la décision attaquée", estime le tribunal, saisi en référé, dans son ordonnance dont une copie a été transmise à l'AFP.En conséquence, la demande de suspension des travaux déposée par France Nature Environnement (Haute-Loire et Auvergne-Rhône-Alpes), AUTA (usagers) et SOS Loire Vivante est rejetée."C'est une décision sans aucune motivation, qui se contente de résumer les positions des uns et des autres, comme si tout était déjà décidé", a regretté Jean-Jacques Orfeuvre, responsable de FNE 43."J'espère sincèrement que les opposants vont enfin comprendre tout l'intérêt (de cette déviation) à la fois pour limiter l'accidentologie pour le bien des habitants mais aussi pour l'économie et le tourisme", a réagi de son côté Michel Chapuis, maire du Puy-en-Velay.Les travaux, permettant la création d'une 2x2 voies entre Saint-Hostien et Le Pertuis, ont commencé début janvier après l'accord donné par la préfecture le 28 octobre dernier, malgré plusieurs manifestations d'opposants.Les 10,7 km de route menacent "140 hectares d'espaces naturels, forestiers et agricoles, 16 habitats d'intérêt communautaire, plus de 100 espèces protégées", alors que "l'actuelle RN88 ne présente pas une dangerosité plus élevée que la moyenne des routes du même type", selon ces associations.Au-delà de leur demande de suspension en référé, elles ont déposé un recours sur le fond pour réclamer l'annulation de l'autorisation environnementale.Des élues du groupe d'opposition RCES (Rassemblement citoyen, écologiste et solidaire) au conseil régional ont également déposé des recours devant les tribunaux administratifs de Lyon et Clermont-Ferrand, dénonçant un "conflit d'intérêts du président de région Laurent Wauquiez" dans son fief de Haute-Loire, où il a été député et maire du Puy-en-Velay.Le budget primitif 2021 de la Région comprend un investissement de 23,3 millions d'euros dévolu à ces travaux.Le coût total de cette déviation est estimé à 226,5 millions d'euros, dont 198 millions d'euros financés par la Région, auxquels s'ajoute le coût du doublement de la déviation d'Yssingeaux, dans le même département, pour un montant de 37,8 millions d'euros de fonds exclusivement régionaux, selon le groupe RCES.
Il y a 4 ans et 104 jours

En pleine pandémie, les micro-maisons cassent la baraque en Turquie

Gizem Baburhan se souvient avec émotion de son premier séjour dans une micro-maison plantée au milieu d'un vignoble de l'ouest de la Turquie."Cette vie minimaliste nous a offert une tranquillité incomparable", dit-elle. "J'espère que nous pourrons devenir propriétaires d'une micro-maison et voyager avec dans le monde entier".Apparu il y a quelques décennies aux États-Unis, le mouvement des "tiny houses" a pris de l'ampleur après la crise financière de 2008, mais n'est apparu que récemment en Turquie.Dans un pays où les habitants privilégient les logements spacieux et modernes, ces maisonnettes, qui ressemblent à des préfabriqués montés sur des remorques, n'avaient a priori pas de quoi séduire.Pourtant, les constructeurs de micro-maisons ont vu leurs carnets de commandes se remplir depuis l'an dernier et ont bien du mal à faire face à la demande."En 2020, nos commandes ont été multipliées par 20 par rapport à l'année précédente", affirme à l'AFP Galip Olmez, patron de YAKO Groups qui s'est lancé sur le marché en 2017.Pelin Dustegor, architecte travaillant pour l'entreprise Casa Lokomotif, explique que la plupart de ses clients viennent du secteur du tourisme et veulent proposer une offre "de type camping"."En 2019, nous avons reçu un peu moins de 250 commandes. En 2020, nous en avons reçu 4.500 par mois", indique Mme Dustegor. "Il y a un engouement extraordinaire".Peur de l'hôtelLa Turquie est mondialement connue pour ses plages de sable fin et ses gigantesques hôtels aux formules tout inclus qui peuvent héberger plusieurs milliers de touristes.Mais la crise sanitaire a contraint les compagnies touristiques à revoir leurs plans et nombre d'entre elles font désormais le pari que les touristes préféreront éviter les lieux bondés dans les années à venir.Les micro-maisons s'imposent donc comme un recours permettant de proposer un hébergement individuel et rassurant.Mme Dustegor souligne aussi que la popularité des micro-maisons auprès du secteur touristique s'explique par leur coût relativement faible et la possibilité d'amortir l'investissement rapidement.Ces maisonnettes, montées sur roues, ont également l'avantage de pouvoir être "garées" sur des terrains sans nécessiter de permis de construire, car elles sont considérées en Turquie comme des véhicules.Les micro-maisons sont également de plus en plus populaires auprès des 30-40 ans qui souhaitent investir et faire de la location saisonnière, explique-t-elle.Caglar Coskun en fait partie. Il a acquis une micro-maison qu'il loue à des touristes après l'avoir installée dans un vignoble sur la côte égéenne de la Turquie."Les gens ne voudront plus rester dans des hôtels de 500 personnes, mais en petit groupe dans la nature. Personne ne voudra plus faire la queue devant un buffet ouvert", prédit-il.Jardin pour salonC'est justement dans la maisonnette de M. Coskun que Mme Baburhan a vécu avec son mari sa première expérience en micro-maison."C'était une petite maison, mais entièrement équipée et située au cœur d'un très beau vignoble. Nous nous sommes rapidement habitués et avons fini par avoir l'impression d'y avoir toujours vécu", confie-t-elle.M. Olmez indique que sa firme YAKO Groups construit des surfaces allant de 15 m2 à 40 m2, soit la taille d'un studio ou d'une chambre d'hôtel. Leur prix varie entre 15.000 et environ 30.000 euros.Mme Dustegor, l'architecte, a pris l'habitude de passer deux jours par semaine dans sa micro-maison qu'elle a installée au milieu d'un jardin à l'extérieur d'Istanbul, au bord de la mer de Marmara."Mon salon, c'est le jardin", s'amuse-t-elle en regardant un coq qui gambade dans l'herbe. "Je regarde les insectes, je vois les fleurs éclore et les saisons passer. C'est un voyage intérieur, une façon de se purifier", dit-elle.M. Olmez estime que les périodes de confinement liées à la crise sanitaire ont poussé un grand nombre de personnes à s'interroger sur l'intérêt de vivre dans des immeubles en ville."Les gens ne devraient pas avoir peur du minimalisme" des micro-maisons, dit-il. "Cela ne rétrécit pas la vie, mais cela la libère".
Il y a 4 ans et 104 jours

Dans la construction le client peut exiger des prestations non prévues

L'absence de ces éléments indispensables fait que la construction n'est pas achevée, alors que le constructeur, lorsqu'il signe un contrat de construction de maison avec fourniture de plan, est tenu à une garantie de livraison, ce qui signifie que tout doit être terminé et habitable.Au moment de prendre livraison de son pavillon, un couple réclamait la réalisation de travaux supplémentaires mais le constructeur répondait que ces travaux n'étaient envisagés ni dans le contrat, ni dans la notice descriptive qui précise les caractéristiques techniques de l'immeuble et les équipements indispensables.La justice a fait une distinction. Les travaux supplémentaires qui n'étaient pas indispensables à l'usage de la maison ont été refusés puisqu'ils n'étaient pas mentionnés dans les documents contractuels. Peu importe, ajoutait la cour d'appel, que le constructeur ait "illicitement omis" ces équipements. Il s'agissait de la clôture et du portail.Mais les travaux indispensables, comme la rampe d'accès au garage, bien que non prévus, ont été jugés exigibles par la Cour de cassation puisqu'ils étaient nécessaires à l'achèvement de la construction et donc à sa livraison garantie.La notice descriptive peut cependant prévoir, selon le code de la construction et de l'habitation, que des travaux indispensables demeurent à la charge du maître d'ouvrage, c'est à dire du client, mais il faut que cela soit expressément indiqué, écrit et signé par celui-ci.(Cass. Civ 3, 27.6.2019, H 17-25.949).
Il y a 4 ans et 104 jours

5ème période des CEE : Les artisans du bâtiment déplorent le manque de lisibilité et de cohérence de la politique énergétique publique

Selon la CAPEB, certaines dispositions touchant aux évolutions de plusieurs opérations « Coup de Pouce » risquent de créer en cours d’année des ruptures brutales dans la compréhension des dispositifs d’aides à la rénovation énergétique des bâtiments d’une part, également en termes d’activité d’autre part. Enfin, la CAPEB déplore que la simplification du dispositif annoncée par la Ministre Emmanuelle Wargon ne soit toujours pas à l’ordre du jour.La suppression soudaine de certaines opérations « Coup de Pouce »Si la CAPEB se félicite de l’allongement à 4 années de la durée de la 5e période du dispositif des CEE, cette évolution ne doit pas s’accompagner de changements des règles du jeu en cours de période, au risque de réduire la lisibilité du dispositif des CEE et de le rendre insuffisamment compréhensible par les différents acteurs sur le terrain. Ainsi, la CAPEB regrette que de nouvelles dispositions touchant aux évolutions de certaines opérations « Coups de Pouce » soient envisagées en cours d’année 2021, dès le 1er juillet. Ce bouleversement créerait des ruptures brutales dans la compréhension des dispositifs d’aides à la rénovation énergétique des bâtiments, tant auprès des usagers que des professionnels réalisant ces travaux, ainsi qu’une déstabilisation de certaines filières.Les opérations « Coup de Pouce » présentent l’avantage, outre de bonifier les travaux concernés, d’améliorer la lisibilité de l’aide apportée en forfaitisant le montant de la prime de manière uniforme pour l’ensemble du territoire et des obligés. Si certaines d’entre elles ont pu occasionner les dérives de certains acteurs au détriment de la qualité de réalisation et du respect des règles commerciales avec pour conséquence l’apparition de comportements frauduleux, la CAPEB demande qu’elles soient prolongées et que la lutte contre la fraude soit intensifiée.Jean-Christophe Repon, Président de la CAPEB, témoigne : « Disposer d’aides stables et cohérentes est essentiel pour assurer la réussite du Plan de Relance mis en place par le Gouvernement. Nous demandons à ce titre que certaines opérations « Coups de Pouce » soient adaptées, en concertation avec les acteurs concernés, dans le cadre de la 5e période du dispositif, en les ajustant pour éviter la fraude ou les éventuels effets d’aubaine ».Des promesses de simplification non tenuesSuite à l’interpellation de la CAPEB devant les nombreuses remontées des entreprises artisanales soulignant les disfonctionnements et aberrations du dispositif des certificats d’économies d’énergie, propres à les décourager d’y recourir, la Ministre du Logement avait décidé de simplifier le dispositif, aujourd’hui devenu extrêmement complexe, avec des règles tatillonnes et inadaptées. Le groupe de travail alors créé au sein de la Direction Interministérielle de la Transformation Publique (DITP) avait pour objectif de dresser un état des lieux et de dégager des pistes de simplifications.Ainsi, une cinquantaine de propositions ont été réunies dans un rapport que la DITP a remis à la Ministre du Logement, qui, après en avoir pris connaissance, s’était engagée à appliquer la totalité de ces propositions selon un ordre de priorité à définir ensemble. La CAPEB en appelle désormais à la Direction Générale de l’Écologie et du Climat (DGEC) pour concrétiser rapidement les propositions de simplification validées par la Ministre du Logement, main dans la main avec les acteurs du secteur.Pour la CAPEB, il est essentiel que l’intégralité de ces propositions soit mise en œuvre. Il serait incompréhensible que la Direction générale de l’énergie et du climat (DGEC) en décide autrement.« Nous avons salué la qualité des travaux réalisés fin 2020 et le respect de l’agenda initial et attendons que cette dynamique se poursuive pour cette seconde phase (...) il y a urgence à simplifier et notamment les points les plus sensibles et irritants pour les entreprises. » alerte Jean-Christophe Repon.
Il y a 4 ans et 104 jours

Hausse des effectifs des parcs nationaux et aires marines protégées

La ministre de la Transition écologique "Barbara Pompili et (la secrétaire d'Etat à la biodiversité) Bérangère Abba confirment que, dès 2021, les aires protégées bénéficieront d'une augmentation de 40 ETP qui viendront renforcer les effectifs des parcs nationaux et des parcs naturels marins gérés par l'Office français de la biodiversité (OFB)", selon un communiqué."Lors du One Planet Summit du 11 janvier 2021 (consacré à la biodiversité), le Président de la République avait annoncé que les moyens humains consacrés à la gestion des aires protégées par les opérateurs de l'Etat seraient renforcés sur les trois années à venir", rappelle le communiqué.Le plan de relance prévoit par ailleurs 60 millions d'euros pour les aires protégées et la loi de finances 2021 quelque 11 millions pour la création de nouvelles aires protégées.En décembre, le porte-parole de la conférence des présidents de parcs nationaux, Laurent Grandsimon, s'alarmait dans un courrier adressé à Emmanuel Macron d'une "érosion des moyens des parcs nationaux". "Nous avons perdu 15% de nos effectifs ces dix dernières années", avertissait-il.Ce renforcement des effectifs "s'inscrit dans le cadre de la stratégie nationale des aires protégées, qui vise à protéger dès 2022 30% de nos espaces terrestres et maritimes, en Outre-mer comme en métropole", avec 10% des espaces terrestres et maritimes sous protection forte, contre 1,8% aujourd'hui, indique le ministère.
Il y a 4 ans et 104 jours

Bilan 2020 et perspectives 2021 du monde de la copropriété

Le monde de la copropriété : quel bilan pour 2020 La crise sanitaire qui a touché la France en 2020 nous a poussés à modifier de nombreuses habitudes du quotidien. La vie en copropriété a elle aussi subi quelques adaptations. Pour y voir plus clair, Cotoit dresse un bilan de cette année et des changements liés au monde de la copropriété.L'introduction du vote par correspondanceDe nombreux changements ont été apportés au droit de la copropriété par l'ordonnance du 30 octobre 2019, modifiant l'article 17-1 A de la loi du 10 juillet 1965 pour y introduire le vote par correspondance des copropriétaires lors des assemblées générales. L'arrêté du 2 juillet 2020 a ensuite permis de fixer le modèle de formulaire de vote par correspondance aux AG, permettant alors à tous les copropriétaires de voter par correspondance lors des assemblées générales. Une nouveauté bien utile pour éviter la désertion des AG dans le contexte actuel.De nombreuses réformes de la copropriétéD'autres réformes ont également fait leur apparition en 2020, apportant quelques modifications aux fonctionnements des copropriétés :L'ordonnance du 30 octobre 2019 a également simplifié la possibilité de changer de syndic, en rendant obligatoire la mise en concurrence des syndics tous les ans (contre tous les 3 ans auparavant) et en mettant en place un meilleur encadrement de la transmission des documents lors d'un changement de syndic.La gestion des petites copropriétés (moins de 5 lots ou budget prévisionnel moyen inférieur à 15 000 € sur 3 ans consécutifs) a également été simplifiée : celles-ci n'ont plus l'obligation de constituer un conseil syndical, de suivre une comptabilité en partie double et d'organiser une assemblée générale (sauf pour le vote du budget prévisionnel et l'approbation des comptes).Il est désormais possible de réaliser une AG par visioconférence ou par correspondance jusqu'au 1er avril 2021.Les contrats de syndic et mandats des membres des conseils syndicaux qui expiraient entre le 29 octobre 2020 et le 31 décembre 2020 ont pu être prolongés.Le décret du 2 juillet 2020 apporte également des précisions quant aux contrats-types des syndics, en fournissant des précisions sur le rôle du conseil syndical, dont le pouvoir est renforcé, en changeant les règles de mise en concurrence, en encadrant la résiliation du contrat de syndic et en plafonnant l'état daté.Toutes ces nouveautés arrivées au cœur de l'année ont permis de faciliter la gestion des copropriétés et de s'adapter en partie au contexte sanitaire.Une meilleure solidarité au sein des copropriétésLe contexte sanitaire compliqué de l'année 2020 et la mise en place de confinements ont permis de favoriser la solidarité au sein de certaines copropriétés ainsi que l'entente et l'entraide entre voisins.Des nouveaux services accessibles en ligneL'année 2020 a également grandement favorisé la mise en place de solutions et de démarches en ligne. Désormais, toutes les démarches sont simplifiées et peuvent être réalisées à distance, telles que les AG en visio, l'accès à tous les documents de la copropriété sur une plateforme unique, mais également de mieux communiquer avec l'ensemble des copropriétaires.Des nouveautés pour les copropriétés en 2021Un accès facilité au dispositif MaPrimeRénov'Qui dit nouvelle année dit encore des nouveautés pour le monde de la copropriété.En 2021, le dispositif MaPrimeRénov' a été réformé : depuis le 11 janvier 2021, toutes les copropriétés peuvent désormais le solliciter pour financer une partie de leurs travaux de rénovation énergétique !Certaines conditions doivent toutefois être respectées :Disposer d'au moins 75% de lots de résidences principales,Réaliser des travaux de rénovation qui permettent d'améliorer la performance énergétique,Faire appel à une entreprise RGE (reconnu garant de l'environnement) pour mener les travauxLa prolongation de la tenue des AG à distanceSi certaines AG ont dû être reportées ces derniers mois en raison du contexte sanitaire, elles doivent tout de même avoir lieu avant la date limite du 31 janvier 2021.Pour aider les copropriétés à s'organiser, la tenue des AG en visioconférence est toujours autorisée jusqu'au 1er avril 2021. Pour rappel, le vote par correspondance est également possible : les copropriétaires qui votent par correspondance se voient d'ailleurs attribuer 15% des voix du syndicat des copropriétaires contre 10% habituellement.Voilà qui devrait simplifier la prise de décision au sein des copropriétés, malgré l'impossibilité de tenir des AG en présentiel.« En 2020, de nombreux changements ont bouleversé le monde de la copropriété, permettant cependant de faciliter son organisation et son fonctionnement », conclut Luigi Del Moral, DG de la startup Cotoit.
Il y a 4 ans et 104 jours

La ligne 16 du métro du Grand Paris sera terminée dès 2028

Longue de 29 km, la ligne 16 du Grand Paris Express doit irriguer toute la Seine-Saint-Denis, de Saint-Denis à Noisy-Champs, en désenclavant notamment les quartiers défavorisés de Clichy-Montfermeil.Le marché, qui concerne le tronçon terminal entre Clichy-Montfermeil et Noisy-Champs a été attribué à un groupement d'entreprises constitué de Razel-Bec, Sefi-Intrafor et Fayat Metal pour à 325 millions d'euros, a précisé la SGP dans un communiqué.Les travaux doivent commencer en septembre 2021 et durer sept ans, selon la SGP."La signature de ce troisième marché de génie civil de la ligne 16 permettra de boucler la ligne avec un objectif de mise en service amélioré à 2028 au lieu de 2030 initialement" a relevé Thierry Dallard, président du directoire de la SGP, cité dans le communiqué.Le groupe Eiffage a parallèlement indiqué lundi avoir remporté des contrats de la SGP pour les travaux d'aménagement des gares La Courneuve Six-Routes et Le Blanc-Mesnil sur cette même ligne, ainsi que de plusieurs ouvrages de service, pour un montant de près de 97 millions d'euros.
Il y a 4 ans et 104 jours

Parrot choisi par la Direction Générale de l’Armement (DGA) pour la fourniture de micro-drones ANAFI USA

Parrot, le premier Groupe européen de micro-drones, a été choisi par la DGA pour fournir son micro-drone ANAFI USA en vue d’équiper les 3 armées françaises (Air, Mer et Terre), dans le cadre de son appel d'offre lancé en février dernier.Ce succès est le fruit de deux années de travail pour développer, sécuriser et produire un micro-drone spécifiquement conçu pour répondre aux besoins des forces armées. Le drone ANAFI USA, spécialement adapté pour les Forces armées du monde entier, offre aux soldats un micro-drone quadricoptère de 500 g disposant de capacités d’observation de jour et de nuit. Avec 32 minutes de vol, il détient la meilleure performance de sa catégorie. Le contrat-cadre d’une durée de 5 ans s’entend pour plusieurs centaines de systèmes de drones, des équipements complémentaires, le développement d'adaptations et la formation de pilotes référents. Les premiers systèmes seront livrés dans les prochains mois. ANAFI USA permet d’étendre les capacités de reconnaissance des forces françaises. Grâce à son puissant zoom 32x, articulé autour de deux caméras 4K 21 mégapixels, la détection de cibles de taille humaine est possible jusqu’à 2 km de distance avec une précision de 13 cm de détail. Les images du zoom sont fusionnées avec celles obtenues par la caméra thermique FLIR Boson. Cette dernière permet de repérer les points chauds de jour comme de nuit. Déployable en 55 secondes, il est également très discret : avec une signature sonore de 79 dB à une distance de 1 m, il est inaudible dès 130 m.Grâce aux partenariats de développement logiciels mis en œuvre par Parrot avec des acteurs à la pointe dans leurs domaines, les utilisateurs peuvent également bénéficier de l'écosystème grandissant de logiciels compatibles. Ceux-ci permettent par exemple de gérer des flottes de drones en temps réel (Skyward, A Verizon company, DroneSense), de générer des photos/vidéos visibles et thermiques (Survae) et des cartographies tactiques (Pix4Dreact). Des prestations de R&D sont également prévues pour adapter ANAFI USA aux besoins des armées françaises. ANAFI USA est une révolution pour les organisations de Défense, issu de l’expertise développée par Parrot dans le grand public. Celles-ci cherchent désormais à mettre rapidement à disposition de leurs Hommes des technologies récentes, à la performance éprouvée, à un coût maitrisé.La technologie de la plateforme ANAFI, basée sur la banque de composants de la téléphonie mobile, atteint un niveau de fiabilité renforcée par les centaines de milliers d’heures de vol des drones grand public. Les choix technologiques de ANAFI USA offrent un coût d’acquisition et des performances sans commune mesure avec ceux de produits traditionnellement développés pour les forces armées.ANAFI USA a aussi répondu aux exigences de la DGA en termes de sécurité. Sécurisation de la liaison, sécurisation des données, sécurisation du firmware : il répond aux normes de cybersécurité les plus exigeantes. Une signature numérique protège de tentatives de modification malveillante du logiciel du drone.Le drone permet d’enregistrer les données de la mission uniquement sur le segment sol, et non dans le vecteur aérien, puis de les extraire pour analyse, par connexion physique. Le drone dispose d’une connexion WPA2 sécurisée et de protocoles ouverts qui garantissent la confiance dans l’interopérabilité des données enregistrées pour des missions sensibles.ANAFI USA est entièrement développé en France et produit aux États-Unis. Aucun composant essentiel n’est produit en Chine. Le drone et son application de pilotage fonctionnent sans nécessiter d'accès à Internet.Les traitements de données sont soumis aux normes les plus strictes du RGPD (Règlement Général sur la Protection des Données). Toutes les données du drone sont entièrement sous la maîtrise de l’utilisateur. Lorsqu'elles sont partagées, les données sont stockées sur des serveurs sécurisés en Europe.L’application de pilotage FreeFlight 6 auditée par l’entreprise privée Bishop Fox mondialement réputée pour ses services de sécurité offensive, confirme également la sécurité offerte aux utilisateurs et la protection de leurs données.ANAFI USA a aussi été sélectionné par des organisations partenaires du gouvernement fédéral américain dans le cadre du projet Blue sUAS. Il s’agit du seul drone d’une entreprise non américaine à être commercialisé sur la plateforme d’achat de l’armée, des agences gouvernementales et des forces de sécurité américaine : le « GSA Schedule ». Il est déjà commandé et utilisé par de nombreux policiers, agences fédérales et pompiers aux États-Unis et dans d’autres pays du monde.Le prototype de Parrot a également été finaliste dans la première tranche du programme SRR du ministère de la défense américain. Celui-ci continuera d’être évalué de manière indépendante par le gouvernement dans le cadre des mesures de réussites de l’« Other Transaction Agreement » (OTA). Le gouvernement américain fournira une notification séparée pour permettre à d'autres agences du DoD ou du gouvernement fédéral de passer d'éventuelles futures commandes.Parrot, pionnier et leader de l’industrie du drone en Europe, avec une R&D à Paris de 200 ingénieurs, se réjouit d’avoir été sélectionné par la DGA. Le Groupe qui s’appuie sur un total de plus 350 ingénieurs avec ses filiales en Europe et aux États-Unis, considère le marché de la Défense et de la Sécurité comme l’un des plus prometteurs.Le savoir-faire du Groupe Parrot s’articule principalement autour des micro-drones professionnels à marque Parrot, d’ailes volantes dédiées aux professionnels pour réaliser des missions plus longues (senseFly) et de solutions logiciels d’analyses et de mesures d’images (Pix4D) adaptées à un grand nombre de drones de toutes marques.Au-delà de la Défense et de la Sécurité, les autres domaines d’applications du Groupe Parrot sont la gestion et l’inspection des infrastructures d’énergie et de communication (lignes haute tension, tours de réseaux cellulaires, fermes solaires, centrales nucléaires et éoliennes, mines et carrières), la gestion et le suivi de chantiers (immobilier, routes, rails, ouvrage d’art), l’agriculture de précision (santé des cultures, hydrométrie, contrôles des parasites).Henri Seydoux, Président Directeur général, fondateur et principal actionnaire de Parrot conclut : « Nous sommes très fiers d’avoir gagné cet appel d’offre de la DGA et de continuer à travailler sur de nouvelles opportunités avec les États-Unis. C’est le fruit du travail minutieux accompli par nos équipes en France depuis plus de 2 ans, et celui de 10 ans d’expertises. En faisant le pari de développer la plateforme ANAFI, conçue pour le grand public, robustifiée pour les besoins des professionnels, et sécurisée pour les exigences des forces armées, nous avons franchi une étape importante pour le Groupe. Dans le monde actuel, Parrot est convaincu qu'il est clé pour les forces de sécurité, et les armées, de s’appuyer sur les puissants équipements issus de la high-tech grand public, et hautement sécurisés. ».
Il y a 4 ans et 104 jours

L'italien Eni acquiert trois projets photovoltaïques en Espagne

Eni et X-Elio ont en outre entamé des discussions en vue d'une collaboration plus large pour le développement de projets d'énergie renouvelable en Espagne, où Eni vise à augmenter sa capacité installée à 1 gigawatt dans les cinq prochaines années.Une fois finalisée la transaction, dont le montant n'a pas été divulgué, Eni sera responsable de la construction des trois centrales photovoltaïques et de la commercialisation de l'électricité."Cette initiative renforce considérablement la présence d'Eni sur le marché espagnol (...) et constitue un élément clé de l'engagement d'Eni sur la réduction des émissions de CO2", a commenté son patron, Claudio Descalzi, cité dans un communiqué.Le groupe italien avait annoncé déjà fin janvier l'acquisition de 100% du distributeur de gaz et électricité espagnol, Aldro Energia.Eni s'est fixé un objectif de réduction de 80% des émissions nettes de gaz à effet de serre de ses produits énergétiques d'ici 2050, au-delà du seuil de 70% indiqué par l'Agence internationale d'énergie (AIE). Il prévoit également d'atteindre la neutralité en terme d'émissions de carbone dans le secteur "upstream" (la production et l'exploration) d'ici à 2030.Eni a annoncé en outre être sur le point de finaliser des accords à l'amiable dans des litiges concernant l'opérateur de gaz espagnol Union Fenosa Gas, dont le groupe italien avait acquis une part de 50% en 2003.Eni débutera dans la foulée la commercialisation de gaz naturel en Espagne auprès des secteurs industriel et thermoélectrique et des grossistes.
Il y a 4 ans et 104 jours

Hager enrichit son offre KNX avec une passerelle de communication pour compteurs d’énergie

La marque franco-allemande confirme ainsi sa présence dans l’univers KNX, et sa volonté de proposer aux intégrateurs, aux bureaux d’études et aux installateurs des solutions de comptage toujours plus simples à installer et à connecter.Compatible avec la majorité des compteurs d’énergie Hager[1] et tous les modes de communication (impulsionnel, Modbus, M-bus), la passerelle de comptage KNX TXF121 se connecte automatiquement grâce à une cellule infrarouge, dès lors qu’elle est positionnée à gauche d’un compteur d’énergie Hager. Elle se distingue aussi par son encombrement réduit : un seul module. Elle s’intègre facilement sur le rail DIN d’un tableau électrique.Avec la passerelle TXF121, il est désormais possible de rendre les compteurs d’énergie communicants et de transmettre sur le bus KNX les données mesurées sur les réseaux monophasés jusqu’à 80A et sur les réseaux triphasés jusqu’à 125A en lecture directe. Il est également possible de renvoyer les données des compteurs triphasés utilisant des transformateurs de courant.Dans le cadre d’installations tertiaires (commerces, centres commerciaux hôtels etc.) ou résidentielles (villa, multi-résidentiel), la passerelle TFX121 permet notamment de connaître l’état du réseau électrique, la qualité d’énergie, les consommations par zone ou par usage.C’est une nécessité, voire une obligation dans le cadre normatif de la RT2012 ainsi que les mesures environnementales de l’IEC 60 364-8-1 et de l’ISO 50 001, qui exigent que les constructions soient équipées d’instruments de mesure de la consommation par zone ou par usage.Auto-alimentée par le bus KNX, le TXF121 permet de renvoyer l’ensemble des données de mesure sur n’importe quel superviseur KNX. Il est alors possible de cibler les consommations, d’établir un diagnostic pour mettre en place des actions correctives et d’anticiper les dérives afin d’éviter une surconsommation.Disponible en programmation sous ETS pour les grands projets, la passerelle de comptage KNX Hager est également paramétrable en mode Easy, afin de permettre des installations simples et rapides dans un environnement produit Hager. Grâce à la nouvelle passerelle de comptage KNX TXF121, il est désormais possible de renvoyer sur un superviseur Hager domovea paramétré en Easy des données de comptage électrique.Grâce à la nouvelle passerelle de communication TXF121, les professionnels de la filière ont accès à une solution simple à installer, à encombrement réduit, avec une référence unique adaptée à la majorité des compteurs de la gamme Hager.[1] Sauf ECM140D et ECR140D.
Il y a 4 ans et 105 jours

New York va prolonger jusqu'à mai 2021 son moratoire sur les expulsions locatives

Le texte met en pause les procédures d'expulsion déjà en cours pour 60 jours supplémentaires et interdit toute nouvelle expulsion jusqu'au 1er mai 2021."Nous voulons que ça soit simple, nous ne voulons pas que des personnes se fassent expulser", a justifié dans une conférence de presse le gouverneur de l'État, Andrew Cuomo.Le moratoire devait expirer à la fin de l'année. Mais les États-Unis, le pays le plus endeuillé par le Covid-19 en valeur absolue, souffrent encore des ravages de la pandémie.De nombreux commerces ont dû baisser à nouveau le rideau cet automne, face à la multiplication de contaminations.Et des millions de chômeurs, privés de leur emploi à cause de la pandémie, ne savent pas quand ils recevront leurs prochaines allocations, et donc comment payer leur loyer.Le gouverneur n'a pas exclu de prolonger encore ce moratoire, si la situation sanitaire ne s'améliorait pas."Nous verrons ce qu'il se passe en mai, mais nous voulons protéger les locataires", a détaillé Andrew Cuomo.
Il y a 4 ans et 105 jours

Plus d'un milliard d'euros pour les transports du quotidien en Provence-Alpes-Côte-d'Azur

La première de ces conventions, toutes deux signées au conseil régional Provence-Alpes-Côte-d'Azur, va permettre d'engager 580 millions d'euros de travaux et d'entretien sur 435 km de petites lignes ferroviaires: la ligne de la Côte bleue, au nord-ouest de Marseille, et les dessertes autour des étoiles de Breil et Veynes, respectivement dans les Alpes-Maritimes et les Hautes-Alpes."Tout sera donc mis en oeuvre pour éviter la fermeture de ces lignes essentielles à la mobilité rurale", insiste le communiqué de la région au sujet de cette convention ratifiée par le ministre délégué chargé des Transports Jean-Baptiste Djebbari et le président LR de la région Renaud Muselier.La seconde convention, signée entre le ministre, la région, les départements concernés et Vinci Autoroutes, prévoit quant à elle 460 millions d'euros de travaux pour supprimer des points de congestion récurrents du réseau routier régional.Ces 13 projets permettront notamment de créer des échangeurs et demi-échangeurs autoroutiers, afin de faciliter les connexions entre territoires, autour notamment de Sophia-Antipolis (Alpes-Maritimes), du Luc (Var) ou d'Orange (Vaucluse).Un de ces chantiers permettra la création d'une voie réservée aux transports en commun sur l'autoroute A8, entre Villeneuve-Loubet et Antibes afin de mieux desservir le technopôle de Sophia-Antipolis depuis Nice, via une ligne de cars."Aujourd'hui, le réseau autoroutier a un rôle essentiel à jouer dans la décarbonation des mobilités, car les déplacements des Français par la route représentent plus d'un tiers des émissions totales de CO2 du pays", a plaidé Pierre Coppey, président de Vinci Autoroutes.Cette seconde convention fait intervenir Vinci Autoroutes, à hauteur de 235 millions d'euros, la région Paca (115 M EUR) et les départements et métropoles concernés (110 M EUR).
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ARCHLine 2021 : Top 5 des nouveautés

Il y a 4 ans et 105 jours

Inquiets pour leur avenir, les BE et ingénieurs conseils appellent à un renforcement des mesures de soutien

Alors que le retour à un niveau d'activité comparable à celui de 2019 ne devrait pas intervenir avant la mi-2022, la Fédération CINOV émet plusieurs propositions pour soutenir ces petites et moyennes entreprises.Les principaux enseignements de l'étude :Seules 43% des entreprises de moins de 10 salariés ont eu recours à l'activité partielle, contre 78% des entreprises de plus de 250 salariésPour les TPE PME de la branche, le retour à une activité comparable à celle de 2019 ne devrait avoir lieu avant – au mieux – la mi-202255% des petites entreprises du numérique, de l'ingénierie, du conseil et de l'événement identifient la gestion de leur trésorerie comme une difficulté majeure36% des TPE PME de la branche ont eu recours au PGE30% des entreprises de la branche ont mis ou vont mettre en place des formations pour répondre à la crise sanitaireLes recommandations de la Fédération CINOV :Pérenniser l'information sur les dispositifs de soutien existants et le soutien à la transformation des TPE PME de la brancheMettre en place des diagnostics stratégiques et des prestations d'accompagnement RH, en les élargissant à d'autres thématiques (transition numérique et transition écologique notamment)Miser sur les TPE PME de la branche BETIC pour un meilleur accompagnement des entreprises des autres secteurs qui ont besoin des expertises de la branche pour traverser la crise et favoriser la relance de l'économie.L'étude OPIIEC révèle notamment que, si les TPE PME de la branche sont celles qui souffrent le plus de la crise sanitaire, et qu'elles devraient retrouver une activité normale plus tardivement que les grandes entreprises, elles sont aussi celles qui font le moins appel aux dispositifs de soutien mis en place par l'Etat. Ainsi, seules 43% des entreprises de moins de 10 salariés ont eu recours à l'activité partielle, contre 78% des entreprises de plus de 250 salariés. Aussi, alors que les grandes entreprises devraient retrouver un niveau d'activité comparable à celui de 2019 d'ici la fin de l'année 2021, cela ne sera vraisemblablement pas le cas pour les TPE PME de la branche pour lesquelles un retour au statu quo ante ne devrait avoir lieu avant – au mieux – la mi-2022.Plus inquiétant encore : les petites entreprises du numérique, de l'ingénierie, du conseil et de l'événement identifient la gestion de leur trésorerie comme une difficulté majeure. C'est le cas pour 55% d'entre elles, contre seulement 29% des entreprises de plus de 250 salariés.Un recours mesuré aux dispositifs de soutien et à la formationBien que fragilisées par la crise et inquiètes pour leur avenir, les TPE PME de la branche ont su faire preuve de résilience et solliciter un dispositif de soutien en particulier : le prêt garanti par l'Etat (PGE). Elles sont ainsi 36% à y avoir eu recours, contre seulement 16% des entreprises de plus de 250 salariés. Ce recours au PGE, s'il n'est pas massif, concerne toutefois plus du tiers des TPE PME de la branche, et n'est pas sans risque pour ces entreprises. Celles-ci manquent en effet parfois de visibilité dans leur activité, et certaines doutent de leur capacité à rembourser leur dette.Outre l'utilisation du Prêt garanti par l'Etat, les TPE PME du numérique, de l'ingénierie, du conseil et de l'événement ont également développé des stratégies résilientes et innovantes pour faire face à la crise à laquelle elles sont confrontées. Elles ont notamment renforcé la formation de leurs effectifs, afin de développer l'expertise technique de leurs salariés pour les accompagner dans leur transformation tant digitale qu'organisationnelle. Ce sont ainsi près de 30% des entreprises de la branche qui ont mis ou vont mettre en place des formations pour répondre à la crise sanitaire.La Fédération CINOV appelle ainsi à renforcer le soutien à la transformation des TPE PME de la branche. Selon Frédéric LAFAGE, Président de CINOV, « si les petites et moyennes entreprises ne sont pas soutenues dans cette transformation, seules les entreprises possédant la trésorerie nécessaire prendront ce virage plus qu'essentiel », au risque de mettre en difficulté l'ensemble des autres secteurs pour lesquels ces TPE PME fournissent des services de prestation intellectuelle.De l'urgence de renforcer les dispositifs de soutien aux entreprises et de mieux informer à leur sujetFace à ces constats alarmants et au recours encore parcellaire aux dispositifs de soutien existants, CINOV appelle d'abord à renforcer l'information sur ces derniers. « La fédération a déjà mis en place une plateforme d'information juridique liée à la crise sanitaire consultable par toutes les entreprises », précise Frédéric LAFAGE, qui rappelle que de nombreux webinars thématiques liés à la crise sanitaire sont dispensés régulièrement par la Fédération.CINOV propose également de mettre en place des diagnostics stratégiques et des prestations d'accompagnement RH, en les élargissant à d'autres thématiques (transition numérique et transition écologique notamment). « De tels dispositifs auraient pour effet d'accélérer considérablement la relance de l'économie », considère Frédéric LAFAGE, pour qui les TPE PME du numérique, de l'ingénierie, du conseil et de l'événement disposent de nombreux atouts pour accompagner ces transformations : « Le secteur du conseil est riche de compétences, notamment dans la gestion commerciale et financière d'une crise. »Enfin, la Fédération CINOV tient à rappeler son rôle sociétal dans cette période difficile en s'engageant à accompagner ses adhérents dans leur activité, mais également à être penseurs et acteurs des transitions en cours et à venir. « C'est là le cœur de notre ambition », précise Frédéric LAFAGE, qui considère que la promotion des savoir-faire des entreprises de la branche est indispensable à la relance de l'activité économique globale. « En effet, un recours plus large aux services de la branche permettrait d'une part une relance de l'activité des entreprises proposant de tels services et, d'autre part, un meilleur accompagnement des entreprises des autres secteurs qui ont besoin des expertises de la branche pour traverser la crise », parmi lesquelles celles des coachs professionnels ou du conseil en management.