Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Batinfo

(32248 résultats)
Il y a 4 ans et 111 jours

ZW France annonce la sortie d'ARCHLine 2021

Dans cette version 2021, vous découvrirez de nombreuses nouveautés qui contribuent à accélérer et à améliorer le flux de travail de conception et de documentation.Les principales nouveautés :1. Fonction Pousser/Tirer: La fonction Pousser/Tirer, bien connue des utilisateurs de logiciels de conception 3D est désormais intégrée afin de vous donner toujours plus de possibilité et de fluidité dans la modélisation de vos modèles 3D. Utilisez cet outil pour créer des solides en 3D à partir de contours en 2D et transformez vos solides en bâtiment paramétrique en un clic !2. Références externes IFC, RVT, DWG, PDF… : Cette fonctionnalité permet de lier des fichiers IFC, RVT, DWG, PDF au sein du projet. L'utilisation de Xref est la meilleure option pour visualiser du contenu externe à des fins de coordination.Le fichier IFC, RVT, DWG, PDF est automatiquement mis à jour lorsque vous ouvrez le projet et peut être mis à jour à tout moment. De plus, le modèle importé est traité comme une unité. Le modèle est affiché en 2D / 3D et les données BIM associées peuvent être visualisées.3. Nouvelles classifications IFC :La classification IFC est un outil universel pour communiquer des informations BIM dans un format standardisé. Le système de classification permet aux différentes parties d'avoir une compréhension commune de tous les éléments. Divers systèmes de classification des informations sur les bâtiments sont utilisés au niveau international, (OmniClass - Etats-Unis, Uniclass 2015 - Royaume-Uni). En outre, vous pouvez classer les éléments en fonction de n'importe quelle norme nationale. ARCHLine.XP est prêt à intégrer toute sorte de matrice et convention BIM au format Excel. Il est également possible de gérer les normes industrielles et les bases de données personnalisées, afin de partager des données de la classification IFC avec tout le monde, même s'ils utilisent des logiciels différents.4. Calepinage intégré dans les styles : Une nouvelle fonctionnalité vous permet d'intégrer un style de calepinage complexe à un style de mur existant. Vous pouvez créer des systèmes de fixation et des structures complexes et les intégrer à des motifs de calepinage.5. Gabarits Métier : Un gabarit de projet est un environnement de départ pour un nouveau projet.Le gabarit contient les paramètres personnalisés par défaut pour le projet et détermine les unités de mesure par défaut, les styles, les calques, la structure des niveaux et du bâtiment et les mises en plans. Si le gabarit par défaut n'est pas tout à fait adapté à votre méthode de travail, vous pouvez le modifier selon vos propres besoins et l'enregistrer comme gabarit personnalisé. L'utilisateur peut créer ou enrichir ses propres gabarits.Plus de détails et d'informations, vidéos & tutoriels PDF sur : www.archline.fr
Il y a 4 ans et 112 jours

A la ZAD de Gonesse, comme un petit air de Notre-Dame-des-Landes

Leur combat n'a débuté que depuis une semaine, mais les militants qui l'occupent se rêvent déjà en héritiers de ceux de Notre-Dame-des-Landes. Après des années d'occupation de ce bocage nantais, le gouvernement avait fini en 2018 par renoncer à y construire un nouvel aéroport."On a toujours dit qu'on s'inspirait de Notre-Dame-des-Landes mais on ne fera pas du copier-coller", prévient toutefois Bernard Loup, le président du Collectif pour le Triangle de Gonesse (CPTG).Dans la nouvelle ZAD de Gonesse (Val-d'Oise), la contestation vise le projet de construction d'une gare du Grand Paris Express, qui doit relier en 2030 Saint-Denis à l'aéroport Charles-de-Gaulle, et d'une zone d'activités sur une partie des 280 hectares de terres agricoles du site.Le secteur avait déjà échappé à l'artificialisation en novembre 2019, quand Emmanuel Macron avait annoncé l'abandon du projet de mégacomplexe commercial et de loisirs Europacity.Aujourd'hui, les militants jugent que la future gare contraire aux enjeux écologiques actuels et défendent un projet alternatif agricole.Par roulement, une trentaine de personnes assurent une présence permanente sur le site, où se dressent quelques cabanes en bois, palettes et tôles qui font office de dortoirs ou salle de bain. En journée, les effectifs grimpent jusqu'à une centaine de personnes qui se retrouvent à la "bibliothèque", au "saloon" ou pour construire au plus vite de nouveaux abris."En se rassemblant en nombre avec juste de la récup', de l'énergie et beaucoup de courage, on peut s'opposer à ce genre de projets immenses que sont des aéroports, des grands centres commerciaux, des pistes de skis, des gares...", confie près d'un dortoir de fortune Malal (prénom d'emprunt), un militant du mouvement Extinction Rebellion."Tenir""Ça donne du courage Notre-Dame-des-Landes, ça prouve que ces combats peuvent être gagnés", ajoute ce technicien audiovisuel de 22 ans avant de céder sa place à la relève après deux nuits glaciales sur place.Face à la mobilisation, le propriétaire du terrain, l'Etablissement public foncier d'Ile-de-France (EPFIF), a fait constater son occupation illégale. Le litige doit être étudié par le tribunal de Pontoise mercredi matin.D'ici à une éventuelle évacuation, "notre but est de tenir la ZAD le plus longtemps possible. On ne perturbe en rien l'ordre public", assure Bernard Loup. "On n'a pas d'agriculteurs avec des tracteurs pour venir bloquer les camions de CRS", ajoute-t-il, assurant que le collectif "reste dans la non-violence".L'occupation de Notre-Dame-des-Landes a donné lieu à de nombreuses violences entre forces de l'ordre et "zadistes", jusqu'à une grande opération d'évacuation en avril 2018, trois mois après l'abandon du projet d'aéroport."Ici, c'est pas le bocage. La mobilisation n'est pas du même ordre, on est proche de Paris", confie Aline Pires, sympathisante du CPTG et occupante de la ZAD, "c'est aussi une force pour nous car ça veut dire que les lieux de pouvoir sont proches et les forces militantes aussi".Les autorités locales, elles, fulminent. Marie-Christine Cavecchi, la présidente (LR) du département du Val-d'Oise, fustige des "militants extrémistes" qu'elle accuse de "prendre en otage l'avenir de tout un territoire" défavorisé.Quant à la présidente (Libres!) de la région Ile-de-France, Valérie Pécresse, elle a dénoncé "une occupation illégale du domaine public qui bloque la réalisation d'un métro qui est attendu par 1,5 million d'habitants dans le Val-d'Oise."Samedi, quelques dizaines d'habitants de Villiers-le-Bel et Gonesse se sont rassemblés pour réclamer plutôt la modernisation des transports existants.Usagère du RER D, Ilham Sehhouli peste contre les "complications" régulières sur cette ligne, une problématique plus urgente selon elle que de construire une gare sur le Triangle de Gonesse, "trop éloigné de la ville". "Pourquoi supprimer la verdure ?", ajoute-t-elle, "c'est le peu qu'il nous reste ici."
Il y a 4 ans et 112 jours

L'AP-HP vend un hôtel particulier 60 millions d'euros pour payer la rénovation de l'Hôtel-Dieu

Les pièces jaunes vont changer de tirelire: l'hôtel Scipion, dans le Ve arrondissement, qui héberge entre autres la Fondation Hôpitaux de Paris-Hôpitaux de France, a été vendu vendredi au groupe français GDG Investissements, sélectionné "à l'issue d'une procédure de consultation publique lancée en 2019", précise l'AP-HP dans un communiqué.Bâtie au XVIe siècle, l'ancienne demeure du banquier de Catherine de Médicis, transformée en hospice au XVIIe, puis en boulangerie centrale des hôpitaux parisiens après la Révolution, avait été reconvertie en bureaux et logements au début des années 1980.Le nouveau propriétaire prévoit d'y ouvrir "pour la rentrée universitaire 2023" un "campus international d'exception" doté d'une "résidence sociale réservée aux étudiants".L'opération rapporte 60,5 millions d'euros à l'AP-HP qui "affectera une partie du produit de cette vente au financement du projet hospitalier de l'Hôtel-Dieu".Le plus vieil hôpital parisien, sur l'île de la Cité, doit regrouper ses activités médicales (urgences, consultations, psychiatrie, recherche) sur deux-tiers de sa surface après une rénovation en profondeur.Un chantier à 100 millions d'euros, qui doit être financé par "des cessions de bâtiments" et "sans recourir à l'emprunt ni à des financements qui auraient pu bénéficier à d'autre hôpitaux", selon l'institution.Le tiers restant, dont l'aile donnant sur le parvis de la cathédrale Notre-Dame, a été cédé en 2019 au promoteur Novaxia, via un bail de 80 ans d'une valeur totale de 241 millions d'euros.Une somme censée "équilibrer le plan de financement global de la transformation de l'Hôtel-Dieu", mais pas seulement: 30 millions sont déjà fléchés vers un fonds "consacré à l'amélioration des conditions de travail et aux prises en charges innovantes des patients".
Il y a 4 ans et 112 jours

Eclisse 40, une huisserie inédite et révolutionnaire

ECLISSE 40, l'huisserie sous un autre angleLes portes affleurantes, aussi appelées portes invisibles, sont de plus en plus proposées dans les projets. Le côté opposé n'était à ce jour pas exploité. ECLISSE 40 est née de cette idée en y laissant apparaître le cadre en aluminium. D'un côté la porte est à fleur de mur et de l'autre, l'huisserie est apparente et s'incline à 40°. Elle émerge du mur avec finesse et subtilité.L'inclinaison de 40° crée un sentiment de profondeur. L'aluminium, résistant et élégant, permet un jeu de lumière et une apparence originale. L'huisserie visible et raffinée laisse son empreinte dans la pièce, tout en s'adaptant à son environnementElle se décline en quatre finitions : brut avec primaire, bronze clair, bronze foncé et bronze graphite.Avec cette innovation, ECLISSE crée une nouvelle façon d'imaginer la porte d'intérieur, tout en conservant l'aspect d'une porte à fleur de mur.Les caractéristiques techniques d'ECLISSE 40Compatible avec les cloisons en plaques de plâtre d'épaisseur finie de 100 mmLargeur de porte : de 616 à 1016 mmHauteur de porte standard : 2040 mmHauteur sur-mesure disponible : de 1650 à 2700 mmPour plus d'informations : télécharger la brochure
Il y a 4 ans et 112 jours

Une nouvelle formule du DPE dès juillet pour lutter contre les passoires énergétiques

Le DPE, créé en 2006, renseigne sur une échelle de A à G sur la performance énergétique d'un logement et oriente notamment les choix en termes de travaux de rénovation.La méthode de calcul du DPE élimine désormais la référence à la consommation énergétique sur la base des factures passées pour s'appuyer "sur les caractéristiques physiques du logement comme le bâti, la qualité de l'isolation, le type de fenêtres ou le système de chauffage", précise le ministère.Cette modification apportera "plus de fiabilité" et évitera des "DPE vierges" en l'absence de facture disponible qui représentent près de 20% des DPE réalisés, selon la même source.A partir du 1er juillet, ce nouveau DPE deviendra "opposable juridiquement" au même titre que les autres diagnostics du bâtiment, comme ceux relatifs à l'état des installations électriques ou la présence d'amiante ou de plomb, précise le ministère.Les étiquettes F et G de ce nouveau DPE désigneront dès son entrée en application les logements qualifiés de "passoires énergétiques". Leur nombre est évalué à 4,8 millions par la dernière étude du ministère de la Transition écologique.Ces deux catégories de logements devront être rénovées sous peine d'être exclues du marché locatif d'ici 2028, avec deux étapes intermédiaires: la première en 2023 avec une interdiction pour les logements les plus énergivores (plus de 450kWh au m2 par an) et une deuxième en 2025 pour les logements classés G.La nouvelle étiquette "énergie" tiendra compte "à la fois de la consommation d'énergie primaire et des émissions de gaz à effet de serre", précise le ministère.Le DPE comportera en outre des recommandations, qu'il s'agisse de travaux de rénovation ou de bons usages du logement et donnera une estimation du coût des travaux à entreprendre.Les DPE réalisés avant le 1er juillet et dans la limite de leur validité actuelle (10 ans) pourront néanmoins encore être utilisés pour conclure des ventes ou des baux immobiliers pendant une phase transitoire qui durera jusqu'au 31 décembre 2024, précise le ministère.Cette refonte du DPE était prévue dans la loi Elan (évolution du logement, de l'aménagement et du numérique) de 2018.
Il y a 4 ans et 112 jours

Restaurons Notre-Dame dévoile ses premières études pour la restitution de la charpente et de la flèche

Mobilisant de nombreux experts et dans un premier temps 30 jeunes architectes et ingénieurs en Master II Génie Civil « Architecture Bois Construction » de l'École Nationale Supérieure d'Architecture de Nancy (ENSAN) et de l'École Nationale Supérieure des Technologies et des Industries du Bois d'Épinal (ENSTIB), Restaurons Notre-Dame (rND) s'est constitué en un véritable « PÔLE BOIS » avec l'ambition de contribuer à la restitution optimale de la charpente, de la flèche et de la toiture de Notre-Dame de Paris. rND dévoile aujourd'hui la phase 1 de son programme menée par ces étudiants de nos Grandes Écoles.Les équipes ont établi une série de propositions en s'inscrivant dans la forme, la géométrie et l'aspect extérieur d'origine de la toiture tout en restant dans le champ de la conservation du patrimoine. Bien que ces scénarios puissent s'éloigner parfois d'une restauration « à l'identique » comme l'entendrait un néophyte, il s'agit ici, avant tout, de mettre en lumière la problématique complexe de la charpente et flèche de Notre-Dame de Paris dont on ne peut faire l'économie.Les propositions pour la charpente, flèche et toiture de Notre-Dame prennent en compte différents critères comme le nombre de points d'appui, la conservation ou la réduction du poids propre de l'ensemble de la charpente, le choix du matériau de couverture, la maintenance de la charpente et de la couverture, la sécurité incendie, etc.Ces scénarios utilisent judicieusement des modules paramétriques qui permettent d'adapter toute solution à la pathologie de la maçonnerie de la Cathédrale sérieusement affectée par l'incendie.Les propositions s'intéressent également aux moyens de production actuels, aux enjeux environnementaux, aux questions de salubrité des matériaux employés, au développement de la filière bois, de ses métiers et des bénéfices qui pourraient en résulter, en particulier pour la formation des jeunes en leur ouvrant de nouvelles perspectives d'emploi.Deux articles complètent ce communiqué et donnent de plus amples précisions sur ce programme :« Les Grandes Écoles se mobilisent pour La charpente et la flèche de Notre-Dame de Paris » (par Alain Hays)« Un programme ambitieux pour la restauration de la toiture de Notre-Dame de Paris : Charpente - Flèche - Couverture » (par Pascal Jacob)
Il y a 4 ans et 112 jours

Hausse des redevances aéroportuaires : refus à Lyon, feu vert à Marseille

L'ART, chargée de la régulation des activités ferroviaires routières et aéroportuaires, "refuse l'homologation des tarifs des redevances aéroportuaires applicables aux aérodromes de Lyon-Bron et de Lyon-Saint-Exupéry pour la période tarifaire du 1er avril 2021 au 31 mars 2022", a-t-elle expliqué dans un communiqué.La demande portait sur une hausse homogène de 4,9%, "qui n'a pu être considérée comme modérée"."Dès lors, les tarifs des redevances aéroportuaires et leurs modulations actuellement en vigueur demeureront applicables au 1er avril 2021 sur ces aérodromes", a ajouté l'autorité.En décembre, l'ART avait déjà rejeté une première demande du gestionnaire des aéroports lyonnais, qui portait alors sur une hausse de 9% des tarifs.A l'époque, l'organisme avait également mis son veto à la demande d'homologation du gestionnaire de l'aéroport de Marseille-Provence, pour des tarifs en hausse de 8,2%.Cette demande a été revue à la baisse à 3,1%, et l'ART a cette fois décidé de l'homologuer, remarquant qu'il s'agissait d'une "augmentation moyenne différenciée des tarifs (...) reposant notamment sur un partage des risques et opportunités entre l'exploitant et les compagnies aériennes concernant le taux de remplissage des aéronefs".Les redevances aéroportuaires, réclamées par les aéroports aux compagnies aériennes et revues chaque année, correspondent à l'usage des infrastructures et équipements aéroportuaires nécessaires à l'atterrissage, au décollage et à la circulation au sol.Ces propositions donnent chaque année lieu à un bras de fer entre les aéroports et les compagnies aériennes.
Il y a 4 ans et 112 jours

Ursa dévoile Cladursa, une nouvelle solution monocouche dédiée au bardage métallique

Meilleur classement de résistance au feu, très bonne performance thermique, rapidité et facilité de mise en œuvre... : avec ses nombreux bénéfices, CLADUSA saura très vite trouver sa place sur le marché et se rendre indispensable pour tous les acteurs.Avec ce lancement, URSA confirme ainsi sa volonté de répondre à toutes les problématiques du marché, y compris en isolation intégrée.Le bardage métallique double-peau : une solution idéale, en particulier pour les locaux d'activitésPrincipalement utilisé dans les grands entrepôts industriels, le bardage métallique double-peau présente des avantages non négligeables : structures faciles à monter, simplicité et rapidité de mise en œuvre, résistant aux intempéries, avec des finitions modifiables à souhait (couleurs, rainures...). Pour ce type de construction, l'isolation se doit donc d'être tout aussi efficace et performante.Pour répondre à ce besoin, URSA lance CLADURSA : une solution associant performance thermique et facilité de mise en œuvre.CLADURSA, la nouvelle référence URSA pour les bardages métalliquesPrésenté sous la forme d'un panneau de laine de verre semi-rigide densifié et rainuré, CLADURSA est la nouvelle solution monocouche spécialement conçue pour les bardages métalliques, lancée par le spécialiste de l'isolation, URSA.CLADURSA présente de nombreux avantages pour tous les acteurs (installateurs, occupants...) :De très bonnes performances thermiques, grâce à un rainurage de l'isolant garantissant un maintien parfait, compatible avec tous les profils de lèvres du marché* et présentant une excellente résistance thermique (lambda = 32).Une mise en œuvre rapide et facile : solution monocouche, légère et semi-rigide, permettant ainsi une pose plus rapide et facilitée.Un gain économique, grâce à la mise en œuvre d'une seule couche d'isolant et à l'absence d'écarteur pour les bardages verticaux.Le meilleur classement de résistance au feu : classé A1, CLADURSA répond aux exigences les plus fortes en termes de résistance au feu.CLADURSA est disponible à partir de 11,66€/m², hors main d'œuvre, en négoces.*Les lèvres sont des appuis présents sur les plateaux de bardages, permettant la fixation du bardage extérieur. Ces lèvres peuvent être "droites" ou en "en caissons". CLADURSA est compatibles avec les 2 profils.
Il y a 4 ans et 112 jours

La chapelle de Ronchamp en Haute-Saône conçue par Le Corbusier va être restaurée

Les travaux vont principalement consister à colmater les fissures qui affectent l'édifice construit en pierre et en béton en 1955, a décrit Jean-Jacques Virot, président de l'Association Œuvre Notre-Dame-du-Haut (AONDH), propriétaire du site.Ils porteront aussi sur l'étanchéité, les vitraux et le parement dans le but de retrouver la blancheur mate d'origine, a complété M. Virot.Les travaux se dérouleront en cinq phases pendant trois ans, dont la plus importante s'achèvera dès octobre prochain, a-t-il ajouté au cours d'un point de presse.Ils représentent un montant de 2,3 millions d'euros, apporté à 90% par les pouvoirs publics (État, Région Bourgogne-Franche-Comté, département de la Haute-Saône) et à 10% par l'AONDH, selon le communiqué de l'association.Pour financer sa contribution, celle-ci a lancé un appel au mécénat d'entreprises et aux dons de particuliers, selon un objectif de collecte de 75.000 euros cette année, ont exposé ses responsables."Depuis sa construction, elle n'a pas fait l'objet d'une reprise globale de ses pathologies subies par les bétons au cours du temps", a également rappelé M. Virot.La chapelle Notre-Dame-du-Haut de Ronchamp est classée monument historique depuis 1967 et est inscrite depuis 2016 au patrimoine mondial de l'Unesco, parmi 17 sites œuvres de Le Corbusier. Elle est considérée comme l'une des réalisations majeures de l'architecte français d'origine suisse (1887-1965), qui révolutionna sa discipline au XXème siècle."Ce n'est pas un monument en péril, mais c'est un monument malade quand même", a commenté Richard Duplat, architecte en chef des monuments historiques en charge de la chapelle.Les travaux permettront de "fermer le robinet de ce qui l'agresse, pour faire durer" la chapelle, a-t-il ajouté lors du point de presse. Avant le Covid-19, la chapelle était fréquentée par 70.000 visiteurs chaque année, a indiqué l'association.
Il y a 4 ans et 112 jours

Orange signe un contrat avec Engie pour l'achat d’électricité renouvelable

Signé pour 15 ans, ce contrat d'achat d'électricité (connu sous le nom de "Corporate Power Purchase Agreement" ou "Corporate PPA") doit permettre le développement de deux parcs solaires de 51 MWc dans les Hautes-Alpes, sur les communes de L'Epine (38 MWc) et Ribeyret (13 MWc). Leur mise en service est prévue au plus tard en janvier 2023.L'accord comprend aussi la gestion de la production de l'ensemble des capacités renouvelables contractées par Orange auprès d'autres producteurs.Par exemple, en juillet 2020, Orange avait annoncé un contrat avec Boralex pour se fournir directement en électricité auprès de ce producteur d'énergie éolienne.Engie devra aussi fournir des volumes complémentaires d'électricité pour répondre à la consommation effective d'Orange."L'ambition d'Orange pour 2025 est de réduire de 30% ses émissions de CO2 directes par rapport à 2015 et d'atteindre 50% d'énergies renouvelables dans son mix électrique", a souligné Fabienne Dulac, directrice générale adjointe d'Orange et CEO d'Orange France, citée dans le communiqué."La signature de notre accord avec Engie (...) témoigne de notre volonté d'être un acteur majeur des PPA en France", a-t-elle ajouté.Ces contrats de type "corporate PPA", entre producteurs de renouvelables et entreprises de secteurs divers, se développent fortement en France depuis deux ans.
Il y a 4 ans et 112 jours

Icade choisit les interphones avec ou sans fil Urmet

Le contrat de partenariat référence une liste de produits de fabrication française : les plaques de rue, claviers codés connectés, kits de gestion à distance (modem), boutons poussoirs, badges, télécommandes et moniteurs vidéo.Urmet recommande aussi les partenaires installateurs Urmet Premium partout en France pour mettre en œuvre les solutions sur les projets Icade.La Direction Technique et Achats d’Icade Promotion explique l’importance d’un tel contrat : « Nous tendons vers la simplification de la conception et l’anticipation des usages de demain. L’harmonisation des choix de matériaux et d’équipements des halls et des parties communes des programmes de logement s’inscrivent dans cette démarche. La proposition d’Urmet France répond au triptyque du concept « hall by Icade » : être fonctionnel, sensoriel et connecté avec un niveau de prestation évolutif selon la gamme choisie pour chaque programme. Ce que nous avons retenu dans l’offre d’Urmet c’est l’ouverture et l’évolutivité de la solution Tel2Voice afin de pouvoir répondre à des usages d’aujourd’hui, mais aussi à ceux de demain avec un système pouvant s’interfacer avec nos smartphones si besoin ».Cyril Roumier, responsable prescription nationale pour Urmet France ajoute : « nous avons pu nouer une relation privilégiée avec lcade qui perçoit tout l’intérêt de notre interphone hybride. Dans le logement, les résidents peuvent, suivant leur mode de vie, répondre avec un poste audio ou vidéo ou avec un smartphone. Notre offre Tel2Voice préserve le choix de chacun, sans contraindre au seul smartphone qui n’est parfois pas adapté, faute de réseau suffisant par exemple, ou pour les jeunes enfants, les amis, les locataires fréquents. Grâce à la plateforme en ligne Visiosoftweb, le gestionnaire peut entre autres administrer en temps réel et à distance, ses contrôles d’accès, changer des codes claviers ou communiquer une information sur l’écran de la platine. Ce gain de temps génère moins de charges pour la copropriété. Urmet rejoint la vision d’Icade d’un logement durable et connecté qui est à l’écoute des besoins des résidents. »Icade est un opérateur immobilier intégré, qui conçoit des produits et des services immobiliers. Société cotée (SIIC) sur Euronext Paris. Ses actionnaires de référence sont le Groupe Caisse des Dépôts et Crédit Agricole Assurances. C’est à la fois une foncière, un développeur et un promoteur, 6è acteur en France pour plus de 6.000 logements par an et 1er acteur sur le tertiaire, avec 100.000 m² de surface de bureau par an. Plaçant la RSE et l’innovation au cœur de sa stratégie, Icade est au plus près des acteurs qui font la ville et allie l’investissement en immobilier tertiaire et de santé à la promotion pour contribuer à l’émergence des villes de demain, vertes, intelligentes et responsables.
Il y a 4 ans et 113 jours

Fin de grève à la raffinerie Total de Grandpuits

Le mouvement de grève, entamé le 4 janvier dernier, "sur la plate-forme de Grandpuits a pris fin aujourd'hui à 14h00", a indiqué une porte-parole de Total à l'AFP.Selon la direction, les derniers jours ont été marqués par l'aboutissement du processus social prévu dans le cadre du projet de reconversion du site et la signature des mesures sociales d'accompagnement (MSA) pour les employés du site, "votées par la majorité des organisations syndicales"."Après l'AG d'hier, la CFDT s'est prononcée pour la signature d'un accord. FO et la CFE-CGC ont indiqué qu'ils seront signataires aussi donc l'accord sera applicable. La suspension de la grève a été votée", a confirmé Geoffrey Caillon, de la CFDT (1er syndicat chez Total) pour le raffinage-pétrochimie.Total avait annoncé en septembre que le raffinage à Grandpuits cesserait "fin 2023". Il doit laisser place à un projet de reconversion centré sur la production de biocarburants et de bioplastiques, et à l'exploitation de deux centrales solaires photovoltaïques, selon le géant pétrolier et gazier.D'un budget de 500 millions d'euros, ce redéploiement n'entraînera aucun licenciement mais des départs à la retraite anticipée et des mobilités internes, avait-il affirmé.Le groupe avait assuré que 250 postes sur les 400 que compte aujourd'hui la plate-forme de Grandpuits et le dépôt associé de Gargenville seraient maintenus."Les entretiens individuels vont pouvoir commencer afin que chaque collaborateur puisse exprimer ses souhaits d'évolution professionnelle et bénéficier d'une solution adaptée à sa situation", a indiqué la direction vendredi.De son côté, la CGT, qui fustige la destruction programmée de "700 emplois" directs et indirects, a estimé que "signer les MSA dans ce contexte revient à valider l'ensemble du plan de sauvegarde de l'emploi".La "majorité" des grévistes reste "opposée à la future organisation", selon ce syndicat, qui a indiqué qu'une nouvelle AG se tiendrait lundi pour "décider des suites du mouvement".
Il y a 4 ans et 113 jours

Malgré la crise, 2020 confirme l'attractivité de la Cité de l'architecture & du patrimoine

Avec 182 jours d'ouverture au public en 2020, la Cité a accueilli en moyenne près de 1 100 visites par jour, soit un repli journalier de seulement 37%.Des expositions qui rencontrent leurs publicsBien que soumises à des jauges sévères, les expositions temporaires de la Cité ont démontré une très bonne dynamique. Tout d'abord, la Saison Viennoise, qui s'est déroulée de novembre 2019 à mars 2020, dans un contexte de mouvements sociaux, a totalisé près de 70 000 visites autour des expositions Otto Wagner, maitre de l'art nouveau viennois et Trésors de l'Albertina. Dessins d'architecture.Les expositions inaugurées à l'automne 2020, Paris 1910-1937. Promenades dans les collections Albert-Kahn et Kinshasa Chroniques ont connu, dès leur ouverture, une excellente dynamique de fréquentation, malgré le contexte sanitaire.Paris 1910-1937 a accueilli près de 20 000 visites en 40 jours et Kinshasa Chroniques, près de 9 000 visites en deux semaines. Ces deux expositions seront prolongées jusqu'au 5 juillet 2021, pour permettre à tous de venir les découvrir.Une présentation exceptionnelle des sculptures de la flèche de Notre-DameLa Cité est fière d'accueillir les sculptures originales de la flèche de Notre-Dame de Paris. En sus du Coq qui surplombait la flèche, les 12 apôtres et les symboles des quatre évangélistes, au fur et à mesure de leur restauration, viennent progressivement enrichir le parcours permanent du musée et renouveler le regard du public sur nos collections. Les visiteurs individuels ou en groupe viennent nombreux découvrir cette présentation exceptionnelle qui durera toute l'année 2021.Une offre numérique renouvelée et densifiéeL'accroissement de la notoriété de la Cité est aussi visible à travers son offre numérique. Afin d'entretenir le lien avec les publics, durant la fermeture physique du Palais de Chaillot, les équipes de la Cité ont créé une offre numérique inédite en puisant dans les contenus riches et divers de sa programmation culturelle et de ses collections. Sa mission fondamentale - donner à voir et comprendre l'histoire de l'architecture et de la ville - s'est ainsi développée avec des vidéos en ligne, - conférences, cours public, capsules – dont les vues ont augmenté de 43%, des expositions virtuelles dont la visibilité a progressé de 325%, et des documents numérisés de la Bibliothèque d'architecture contemporaine mis à disposition à la demande.Les périodes de fermeture ont aussi permis à l'établissement d'expérimenter de nouvelles formes de médiation plébiscitées par le public (familles, jeunes, enseignants...), à travers des visites-conférences en ligne et la mise à disposition de contenus pédagogiques gratuits.L'adaptabilité de nos missions de formationL'École de Chaillot a préservé l'excellence de ses cursus en adaptant sans délai l'ensemble de ses formations à l'enseignement à distance.Le bilan 2020 présente donc des éléments positifs prouvant que la Cité a renforcé sa notoriété et ses liens avec ses différents publics. Elle offrira dès sa réouverture une programmation attractive tout au long de l'année.
Il y a 4 ans et 113 jours

Paris La Défense lance la métamorphose en profondeur de la Place de La Défense

Véritable centre névralgique du premier quartier d'affaires européen, la Place de La Défense fait le lien entre le Parvis, au pied de la Grande Arche, et l'Esplanade du Général de Gaulle qui mène vers Paris (cf. plans de situation ci-après). Conçue au début des années 70 et dans sa configuration actuelle depuis 1981, la Place se devait de retrouver un nouveau souffle. Au-delà de la résolution de points techniques (étanchéité et revêtements de sol notamment), Paris La Défense souhaite réaffirmer l'identité de la Place en la dotant d'une dimension plus végétale, plus arborée et plus fluide, tout en maintenant son aspect convivial et attractif, et en s'appuyant notamment sur deux œuvres d'art, pièces maîtresses du décor de la Place : l'Araignée rouge de Calder et les Personnages fantastiques de Miró.« 2021 sera riche en changements pour trois lieux emblématiques du territoire : le Parc, les espaces sous-dalle et, plus particulièrement, la Place de La Défense. Point central du grand paysage urbain de La Défense, c'est aussi notre « place du village », lieu de vie et de rencontres, théâtre de nombreux rendez-vous festifs comme le festival Jazz à La Défense. Il était urgent de lui redonner un nouvel éclat, tout en misant sur son adaptabilité, à l'image d'un quartier qui se renouvelle en permanence. »Pierre-Yves Guice, Directeur Général de Paris La DéfenseEn tant que maître d'ouvrage, Paris La Défense a confié au paysagiste Base la reconfiguration de la Place de La Défense. Rappelons que cette place n'est pas un espace public traditionnel. Sa transformation a impliqué l'intégration de contraintes nombreuses et complexes, l'ensemble étant édifié au-dessus d'infrastructures situées sous la dalle (parking, voies souterraines, réseaux de transports...).« Nous reconfigurons l'espace dans sa totalité en menant un travail d'ensemblier visant à intégrer les éléments sculpturaux existants, tout en conservant ses fondamentaux en matière de circulations et d'usages. Nous souhaitons offrir à la Place de La Défense une dimension sensuelle et organique. » ajoute Adrien Fourès, paysagiste de l'agence BASE, en charge de la recomposition de la Place.Une Place événement et quatre espaces à vivreLa Place offre un espace carré de 20 000 m² bordé par le centre commercial Westfield Les 4 Temps d'un côté, et la Maison de La Défense de l'autre (cf. plans de situation ci-après).Voici les 5 espaces de la future Place : La Place centrale de 4 000 m² offrira un sol nivelé au revêtement plus adapté et unifié, rythmé de lignes, en écho à celles du Parvis. Le béton coulé en place, puis poncé, révélera des détails colorés et des étoiles incrustées en laiton. Les accès au parking seront, quant à eux, améliorés avec la rehausse des ascenseurs. Des failles de brumisation rafraîchiront les passants l'été. Régulièrement théâtre de nombreux événements et festivités, hors contexte sanitaire actuel, la Place disposera de tous les atouts pour renforcer sa vocation première : être le cœur battant du territoire.Recadrée et entièrement refaite, la grande pelouse de près 2 000 m² plongera les visiteurs dans une ambiance plus végétale.L'espace à vivre autour de l'Araignée rouge de Calder : l'œuvre d'art va s'élever au milieu d'un espace vert, caractérisé par une végétation de grande hauteur dont la plantation est possible à cet endroit. L'espace sera ainsi planté d'essences colorées aux teintes chaudes (Érables de Montpellier, Charmes et Sorbiers), en écho à la sculpture et de nouvelles assises, plus nombreuses, seront installées.L'espace à vivre autour de l'œuvre de Miró : les Personnages fantastiques vont se retrouver au cœur d'un jardin tout en courbes, à leur image. Conservé, l'emmarchement sera intégré à l'ensemble, en partie planté et agrémenté d'essences fleuries et colorées (Amélanchiers, Sorbiers, Cerisiers d'ornement).L'espace à vivre du côté de la verrière (verrière située au-dessus de la gare Cœur Transport) sera agrémenté de nouveaux arbustes (Arbres de Judée, Érables champêtres, Cerisiers d'ornement), créant un encadrement végétalisé. Un système de brumisation complétera les nouveaux aménagements.Entièrement reconfiguré, l'éclairage de la Place va simplifier et fluidifier les circulations piétonnes ainsi que celles des personnes à mobilité réduite, en particulier à la sortie des transports en commun. Les 18 mâts seront remplacés par 8 projecteurs de 14 et 18 mètres de haut, ils permettront ainsi d'éclairer jusqu'au centre de la Place.Les premiers travaux vont s'effectuer par phases et par secteurs en commençant par les zones périphériques de la Place pour s'achever par la partie centrale. Les circulations seront donc maintenues tout au long du chantier. La première étape, de mars à septembre 2021, concerne la recomposition de l'espace nord, du côté de la Maison de La Défense et de l'Araignée rouge de Calder, ainsi qu'une zone autour de la verrière RATP, avec des travaux de nuit pour ne pas interrompre l'accès à Cœur Transport la journée. Les phases se succéderont ensuite pour une livraison au printemps 2023.Les travaux sont réalisés en trois étapes :La démolition des revêtements existants et des sous-couches (remblai et étanchéité)La mise en place d'un nouveau complexe d'étanchéitéLa réalisation sur place des dalles en béton coulé (ce ne seront pas des éléments préfabriqués)
Il y a 4 ans et 113 jours

Santé au travail : l'Assemblée nationale se penche sur la prévention

C'est la première fois qu'un texte d'initiative parlementaire s'attaque à la traduction d'un accord national interprofessionnel (ANI) sur le sujet, le premier du genre lui aussi, validé le 10 décembre par les partenaires sociaux en vue d'une réforme reportée depuis des années.Adoptée cette semaine en commission des Affaires sociales, la proposition de loi vise à "décloisonner la santé publique et la santé au travail" pour "répondre aux enjeux contemporains et futurs" en la matière, selon la députée LREM Charlotte Parmentier-Lecocq, auteure et rapporteure de la PPL avec Carole Grandjean (LREM).La France, qui ne consacre que "3% des cotisations AT/MP (accidents du travail/maladies professionnelles) à l'évaluation des risques professionnels, contre 10% pour l'Allemagne", doit "rattraper son retard", selon Mme Grandjean.A cette fin, la proposition de loi comme l'ANI prévoient une "offre socle" supposée plus accessible aux services de santé au travail (SST), qui deviennent des services de prévention et de santé au travail (SPST). Ils sont axés sur trois missions: "La prévention, le suivi médical et la prévention de la désinsertion professionnelle", c'est-à-dire le maintien en emploi des salariés ayant été touchés par des problèmes de santé."Suite au confinement de mars et la fermeture de certains services de santé au travail, il y a une réelle inquiétude sur leur activité en période de Covid, et cela montre combien le sujet est extrêmement important", a souligné Mme Grandjean auprès de l'AFP.Dépistage, vaccinationAlors que le gouvernement entend accélérer la campagne de vaccination contre le Covid-19, le texte réaffirme la possibilité de campagnes vaccinales et de dépistage par les services de santé au travail, notamment "contre le Sars-Cov-2", ce qui existait déjà pour la grippe, avec le consentement obligatoire du salarié.Il entérine, par ailleurs, sur la base du volontariat, le recours aux médecins généralistes appelés "médecins praticiens correspondants" pour pallier la pénurie de médecins du travail. Ils sont environ 5.000 pour 18 millions de salariés, selon les données officielles.Députés de l'opposition et syndicats restent "dubitatifs" sur cette mesure, au vu de la "désertification médicale". Ils craignent en outre une "dévalorisation" de la profession de médecin du travail alors que les représentants des généralistes eux-mêmes ont "peu ou pas" été consultés.La proposition de loi prévoit également le recours à des "infirmièr(e)s en pratique avancée" dont le "statut sera revalorisé" et qui travailleront "sous la responsabilité du médecin du travail", salarié protégé par le Code du travail. L'intégration de kinésithérapeutes dans les équipes pluridisciplinaires des SPST est également actée.Données médicales partagéesAutre mesure phare: le médecin du travail pourra consulter le dossier médical partagé (DMP) avec l'accord du salarié. Le "médecin praticien correspondant", dont le texte prévoit une formation spécifique en santé au travail, pourra de son côté consulter le dossier médical en santé au travail (DMST) du salarié, inclus dans le DMP.Un "rendez-vous de liaison" entre l'employeur et le salarié en arrêt de travail à la suite d'un accident ou une maladie, est aussi prévu avant la "visite de pré-reprise". Il doit permettre d'"informer" sur les conditions d'un retour au travail mais fait craindre à certains députés d'opposition des "pressions" que pourrait exercer l'employeur à cette occasion sur le salarié.Lors des débats en commission, les députés d'opposition ont regretté une proposition de loi "peu audacieuse" faisant "référence à la gouvernance des services de santé sans aborder la question des moyens" (PS) ni "le financement" des cellules professionnelles envisagées pour lutter contre la désinsertion professionnelle (LR).Ils ont dit leur "amertume" face à un texte qui "jamais ne s'en prend aux causes" (LFI) et rappelé que "le quinquennat a(vait) démarré sur une attaque frontale avec la suppression des CHSCT (comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail)" dans les entreprises, regrettant une proposition de loi "coincée dans un petit périmètre" (PCF).Pour Libertés et Territoires, qui insiste sur "le respect du consentement" de tous les salariés, "la crise sanitaire a mis en lumière les dysfonctionnements" de la santé au travail avec des médecins et services "pas à la hauteur" de la situation.
Il y a 4 ans et 113 jours

Le trafic dans les aéroports d'Europe a régressé de 25 ans

Les aéroports du Vieux Continent ont vu passer 728 millions de voyageurs l'année dernière, contre 2,4 milliards en 2019, a précisé le Conseil international des aéroports (ACI Europe) qui les fédère."Les aéroports européens sont revenus à leurs niveaux de trafic de 1995. Aucun secteur ne peut supporter seul un tel choc", a estimé le directeur général de l'organisation Olivier Jankovec, en renouvelant son appel à davantage d'aides d'État, étant donné "les baisses de trafic supplémentaires ces dernières semaines et l'absence de perspectives de reprise".Ce sont les aéroports situés dans l'Union européenne qui ont le plus souffert, avec un trafic en chute de 73% sur un an, tandis que les pays hors UE mais situés dans le périmètre d'ACI Europe ont légèrement mieux résisté avec un recul de 61,9%, une tendance tirée par la Russie et la Turquie, moins touchées par des restrictions de déplacement.Côté aéroports, le classement des principales plates-formes de correspondances du continent par nombre de passagers a été bouleversé: Londres-Heathrow, Paris-Charles-de-Gaulle, Amsterdam-Schiphol et Francfort, les quatre premiers "hubs" en 2019, ont disparu du "Top 5", au profit d'Istanbul, passé de la cinquième à la première place.Un autre aéroport turc, Istanbul-Sabiha Gocken, pointait à la deuxième place, suivi des trois principaux aéroports moscovites (Cheremetievo, Domodedovo et Vnoukovo).
Il y a 4 ans et 113 jours

D.Kube - La peinture facile à vivre

Il y a 4 ans et 113 jours

Adeo finalise la cession de DomPro au Groupe Mirwault

Fondé il y a près de 25 ans et basé à Roissy-en-France, DomPro est un groupement de distributeurs indépendants multi-spécialistes en quincaillerie, outillage et fournitures industrielles (QOFI) à destination des professionnels. Les activités de DomPro couvrent l'identification, la négociation et le référencement de produits QOFI ainsi qu'un ensemble de services de marketing et d'animation commerciale à ses adhérents et fournisseurs.DomPro propose plus de 35.000 références dans ses catalogues et dispose d'un réseau de plus de 110 adhérents regroupant environ 150 points de vente répartis sur toute la France et réalisant un chiffre d'affaires cumulé QOFI de 200M€, pour un périmètre total-chiffre d'affaires de ses adhérents de 450 M€.DomPro rejoint le Groupe Mirwault, groupe familial de négoce s'articulant autour de 2 pôles d'expertise distincts (i) un pôle cheval / nature spécialisé dans la distribution d'articles pour l'équipement du monde professionnel du cheval et (ii) un pôle Formusson Distribution, spécialisé en quincaillerie d'agencement, d'ameublement et de bâtiment, au travers de ses Réseaux nationaux Experts (Qama, Faille industrie, Arena, Hubert quincaillerie..) représentant un chiffre d'affaires de plus de 50 M€ pour environ 200 collaborateurs.Cette opération répond à la stratégie de Groupe Mirwault de poursuivre le développement de son pôle quincaillerie et de compléter son maillage territorial en "proximité", en lien avec le Réseau d'adhérents indépendants DomPro présent sur toute la France et en outre-mer. C'est également l'opportunité de mettre en place de nombreuses synergies logistiques, digitales et commerciales."Une nouvelle page du développement de DomPro va s'écrire avec le Groupe Mirwault. Nous sommes confiants dans l'expérience et le projet proposés par le groupe Mirwault qui, associés à des assets de tout premier ordre, une riche vision stratégique et des valeurs entrepreneuriales, devraient permettre à DomPro et l'ensemble des Adhérents du réseau de se projeter avec ambition dans le futur. Nous remercions et saluons l'engagement de tous et souhaitons à chacune et chacun plaisir et réussite sur ce nouveau chemin." Pierre-Louis Gras et Alain Giraud - Adeo"En lien avec les 110 adhérents du réseau, nous nous sommes préparés ces derniers mois à la reprise de la centrale DomPro afin de consolider ses actifs et ses savoir-faire déjà en place, d'amplifier ses partenariats avec plus de 300 fournisseurs-partenaires, de renfocer notre palette d'outils marketing et de lancer, courant 2021, un projet digital innovant adapté à nos adhérents. Nous améliorons également, dans les mois à venir, l'offre de notre plateforme logistique centrale afin de mieux répondre aux besoins des adhérents et de leurs clients dans la relation de proximité et d'expertise." Vincent Vuillaumié - Groupe Mirwault, nouveau Directeur Général DomPro
Il y a 4 ans et 113 jours

Nouvelle tuile design Karat XXL-D en gris graphite teintée dans la masse

Depuis cinquante ans, la tuile Karat© crée de magnifiques toitures intemporelles et s’accorde parfaitement avec l’architecture contemporaine. Elle s’est distinguée par sa technique unique et son design raffiné, salué par de nombreux prix.Une variante teintée dans la masseSa grande sœur, la tuile Karat© XXL, se décline désormais en une variante teintée dans la masse. Ses lignes droites et ses bords nets sont soulignés par le grès bigarré de Thuringe (Allemagne). Grâce à sa version gris graphite, il n’est même plus nécessaire de retravailler les bords de coupes ou les épaufrures, inévitables sur le chantier. Cet élément confère sa rentabilité à la tuile Karat© XXL-D.Une tuile de grande taille avec du caractèreLa tuile Karat© XXL-D possède de nombreux avantages qui facilitent sa mise en œuvre. Son poids unique de 5,3 kg simplifie grandement sa manutention sur le toit. Son pureau variable de 20 mm en fait aussi une star chez les couvreurs. Cette tuile se démarque aussi par sa pente de toit nominale de 22° et sa pente minimale de 10°.Sa pose ne nécessite que dix tuiles par mètre carré. La tuile Karat© XXL-D se montre donc particulièrement rentable pour les grandes surfaces et les structures porteuses. Grâce à son double emboîtement latéral et au niveau de la tête, elle garantit une grande résistance aux infiltrations d’eau. Enfin, la tuile Karat© XXL-D achève de convaincre avec sa grande résistance à la grêle (classe 4).Une garantie de disponibilité longue duréeLa garantie de disponibilité s’applique également à la tuile Karat© XXLD. ERLUS s´engage à livrer un modèle de tuile identique et garantit une disponibilité du modèle pendant une durée de 20 ans, à partir de la date de livraison. Les tuiles ERLUS sont disponibles auprès des négoces de matériaux.Fiche technique Karat © XXL-DPureau moyen : 38,5 – 40,5 cmDimensions : environ 32,5 x 48,0 cmTuiles par m2: environ 9,0 piècesPente nominale du toit : 22°Pente de toit minimale : 10°Résistance à la grêle (HW) : 4
Il y a 4 ans et 113 jours

Vestas accélère dans l'éolien en mer après un bond de ses ventes en 2020

L'an passé, Vestas a dégagé un bénéfice net en hausse de 10% à 771 millions d'euros, malgré des effets de la crise sanitaire sur sa chaîne d'approvisionnement, tandis que le chiffre d'affaires a atteint un nouveau sommet à 14,82 milliards d'euros, soit un bond de 22%.Dans un secteur toujours tiré par les investissements mondiaux importants dans les énergies renouvelables, les commandes ont en revanche légèrement ralenti (-8%), à 12,7 milliards, indique le groupe danois dans son rapport financier annuel.Leader historique de l'éolien terrestre et numéro un mondial du secteur en général, Vestas cherche actuellement à rattraper son retard dans l'éolien en mer, où il fait notamment face à la concurrence du germano-espagnol Siemens Gamesa ou encore de l'américain GE.En octobre, le fleuron danois avait annoncé prendre le contrôle à 100% de sa coentreprise d'éolien en mer lancée en 2014 avec le japonais Mitsubishi Heavy Indutries, contre près de 700 millions d'euros.En 2021, la priorité du groupe sera "d'intégrer complètement l'offshore et de répondre à des défis d'exécution" de ses plans, commente le PDG Henrik Andersen dans le rapport.Le groupe a dévoilé mercredi une nouvelle éolienne en mer géante de 15 mégawatts, avec laquelle il compte participer aux appels d'offres dès 2021 pour de premières installations en 2024.Selon Vestas, son modèle de turbine offshore pourrait produire 80 gigawattheures par an, soit la consommation de 20.000 foyers européens."Vestas est le leader mondial dans l'éolien terrestre, néanmoins pour continuer à mener la croissance de l'énergie éolienne (...) il est crucial pour Vestas de devenir un leader dans l'éolien en mer", indique le groupe dans un communiqué.Pour 2021, le groupe vise un chiffre d'affaires compris entre 16 et 17 milliards d'euros, soit une hausse de 8 à 15%. Vestas prévoit aussi une marge opérationnelle avant éléments spéciaux comprise entre 6 et 8%, contre 5,1% en 2020.Peu après l'ouverture à la Bourse de Copenhague, l'action abandonnait environ 2% à 1.252 couronnes.Fin 2020, Vestas employait quelque 29.000 personnes dans le monde, dont 6.000 au Danemark.
Il y a 4 ans et 113 jours

Contournement de Rouen : région et département proposent de payer à la place de la métropole

Le président du conseil régional Hervé Morin (les Centristes) a annoncé lors d'une conférence de presse aux côté de Bertrand Bellanger, président LREM du département, qu'ils allaient proposer "à l'État de prendre en charge la partie qui devait être financée par la métropole pour que cet équipement puisse voir le jour".Le conseil régional votera sur le sujet lundi et le conseil départemental le 8 avril, ont-ils précisé. Lundi dernier, le conseil métropolitain, présidé par le socialiste Nicolas Mayer-Rossignol, allié à EELV, a voté le retrait de la contribution de 66 millions au financement de ce projet de 41,5 km d'autoroute payante votée en 2017. La métropole était alors présidée par un autre PS."En dépit de l'effort que cela peut représenter sur le budget régional, la majorité régionale a décidé d'augmenter sa contribution de 48 millions d'euros" pour la porter à "205 millions", a précisé M. Morin.De son côté le président du conseil départemental va "proposer que le département augmente sa contribution pour la porter de 22 millions à 40 millions".Selon M. Morin les deux collectivités vont adresser vendredi un courrier à l'État.Interrogé jeudi, le ministère des Transports n'a pas donné suite dans l'immédiat. Questionné lundi sur le retrait de la métropole, un porte-parole du ministère avait indiqué qu'il attendait "les retours officiels de chacun". L'État "n'imposera pas un projet qui ne fait pas consensus parmi les acteurs locaux", avait-il ajouté.Evalué à 886 millions HT en 2015, le projet devait être financé à hauteur de 245 millions d'euros par l'État, son maître d'oeuvre. L'apport du futur concessionnaire devait être de 396 millions."Nous considérons que la décision de la métropole est trop grave car elle engage définitivement vers la non réalisation de cet équipement pour que nous ne prenions pas nos responsabilités", a aussi déclaré M. Morin.Sollicité par l'AFP, le président de la métropole Nicolas Mayer-Rossignol s'est interrogé sur la façon dont la région et le département "financeraient ces dizaines et dizaines de millions supplémentaires qu'elles annoncent à quelques mois des élections locales". "La région réduirait ses financements sur le train ? Le département ses financements en matière sociale?"."C'est une gifle adressée à tous les habitants de la Normandie qui ne sont pas dans la métropole de Rouen", a renchéri le député européen EELV David Cormand. "Ca veut dire concentrer la quasi totalité de la capacité d'investissement de la région dans les années qui viennent uniquement sur un projet inutile et pour la métropole de Rouen".Les partisans de ce projet estiment qu'il est indispensable pour désengorger le centre de Rouen et pour son développement économique, ce que contestent ses opposants pour lesquels il est contraire à l'urgence climatique.Le 7 janvier 2020, l'État s'était engagé devant l'Assemblée nationale à lancer la procédure compétitive visant à désigner un concessionnaire d'ici la fin d'année 2022.
Il y a 4 ans et 116 jours

La métropole de Nice Côte d'Azur installe son Conseil du climat

"Naturellement, nous serons jugés", a souligné M. Estrosi, en promettant la publication d'"un observatoire avec les plus et les moins" et en annonçant une panoplie de mesures, qualifiées après la réunion de "positives mais tardives et pas assez ambitieuses" par le Collectif Citoyen 06."J'entends ceux qui parlent de la mobilité douce, non, il faut agir sur tout", a ajouté M. Estrosi. La loi impose aux collectivités de se doter d'un comité de suivi pour mettre en oeuvre leur plan climat respectif.Le Conseil niçois rassemble 80 membres, dont 30 représentants associatifs et citoyens qui siègent avec des acteurs économiques et administratifs.Parmi les mesures annoncées, M. Estrosi a indiqué qu'à compter du 1er juin, la circulation des poids lourds de plus de 3,5 tonnes sur la Promenade des Anglais serait "complètement interdite". Environ 1.800 camions circulent chaque jour sur ce boulevard longeant le littoral niçois.Une "mesure vitrine", a estimé auprès de l'AFP Airy Chrétien, siégeant pour le Collectif Citoyen 06 et qui milite pour un abandon de l'extension de l'aéroport.La métropole entend aussi puiser dans l'enveloppe du plan de relance gouvernementale pour la rénovation énergétique des bâtiments, à commencer par les vieux campus universitaire ou les HLM mal isolés de Côte d'Azur Habitat.Pour les particuliers, le nombre de rénovations doit passer de 200 à 1.500 par an, notamment grâce à ces fonds. "92% des logements en copropriété à Nice et 80% sur la métropole, contre 76% en France, doivent faire l'objet de rénovation", a pointé M. Estrosi.L'élu prévoit aussi de développer de nouveaux réseaux de chaleur par géothermie ou par récupération sur le circuit des eaux usées, d'aider les copropriétés à abandonner le fioul et de livrer un cadastre solaire d'ici fin 2021, de développer les pistes cyclables, etc."Cela fait deux ans qu'on réclame ce conseil et on sort de dix ans de léthargie avec un retard colossal dans tous les domaines", a commenté M. Chrétien en espérant que le comité ne reste pas une coquille vide.Selon la présentation du géographe Nicolas Martin, le climat sur la Côte d'Azur s'annonce "plus chaud" et avec "moins d'eau", et avec des températures maximales moyennes autour de 30°C d'ici 2100, soit un réchauffement de 6,5°à 7°C en juillet comparé à la fin du XXe siècle.
Il y a 4 ans et 116 jours

Polémique sur un permis de construire accordé au roi des Belges sur l'île d'Yeu

Déposée en mars 2020, sous un nom d'emprunt (M. et Mme Legrand) pour des raisons de discrétion, la demande de permis de construire porte sur la construction d'une "annexe permettant d'accueillir exclusivement les services de sécurité nécessaire à la protection d'un chef d'État", selon le maire Bruno Noury (divers droite).Il a été accordé en août 2020, après cinq mois d'instruction. "Vous imaginez bien que je n'ai pas fait ça tout seul", explique M. Noury qui dit avoir "consulté les services de l'État" sur la possibilité d'une dérogation afin de construire sur cet espace boisé remarquable.Le Plan local d'urbanisme (PLU) "prévoit des exceptions par rapport aux équipements collectifs d'intérêt général notamment en matière de sécurité et là c'est le cas", a confirmé à l'AFP la préfecture de la Vendée.L'opposition municipale M'Yeu Ensemble dénonce elle un "privilège scandaleux". "Suffit-il d'être une "Majesté" pour transgresser la Loi et bétonner librement notre patrimoine naturel avec la complicité des autorités?", demandent les élus sur leur page Facebook.Le chef de file de l'opposition Patrice Bernard (divers droite) a assuré, lors du conseil municipal du 26 janvier, que le projet aurait dû "faire l'objet d'une délibération ou passer en commission des sites". "En zone naturelle, en site inscrit, en espace proche du rivage, c'est la procédure", a-t-il ajouté."Ça s'est imposé à nous", lui avait alors rétorqué le maire. Auprès de l'AFP, M. Noury a assuré être "dans la légalité puisque le PLU le permettait même si c'est une situation très particulière".Un porte-parole du Palais royal belge a confirmé qu'un permis de construire avait été obtenu "en bonne et due forme, dans le respect de la règlementation".Le roi et la reine, qui se rendent sur l'île chaque été depuis une vingtaine d'année, ont acquis ce terrain de 7.000 m² environ en 2019, afin de rénover la maison de 200m² qui s'y trouve."Il ne s'agit pas du palace de Poutine", a pointé le maire. "Le roi vient ici en toute discrétion. Il peut aller acheter son pain sans que personne ne l'alpague", a-t-il décrit en disant regretter une "jalousie malsaine qui ne grandit pas l'île d'Yeu".
Il y a 4 ans et 116 jours

La réhabilitation des HLM, grande absente de l'accord entre Action Logement et le gouvernement

La Fédération et les Offices Publics de l'Habitat saluent ces avancées qui permettront effectivement d'amplifier la rénovation urbaine et d'accompagner une partie des publics mis en difficulté par la crise. En revanche, la Fédération doute que le nombre d'agréments puisse atteindre les 125.000 en 2021 et autant en 2022 alors qu'il a à peine tangenté les 88.000 en 2020 (contre plus de 120.000 en 2016). La réhabilitation, notamment thermique, grande absente des annoncesLa grande absente de ces annonces, c'est la réhabilitation, notamment thermique, des logements HLM, alors que va être bientôt débattu au Parlement le projet de loi « climat et résilience ». La Fédération nationale des Offices Publics de l'Habitat le déplore d'autant plus que la réhabilitation est un levier majeur d'une relance économique rapide dans tous les territoires, en bénéficiant aux entreprises locales. La crise sanitaire actuelle souligne l'importance pour les habitants de pouvoir vivre dans des logements confortables, adaptés à la taille des familles tout en étant moins énergivores. La FOPH regrette ainsi qu'il n'y ait pas eu d'accord entre le gouvernement et Action Logement pour mobiliser des fonds dédiés aux réhabilitations, notamment thermiques.Des besoins en subventions pour accélérer la réhabilitationEn juin 2020, une enquête fédérale, partagée avec les partenaires de la FOPH, a chiffré les besoins complémentaires des OPH en subventions pour accélérer la réhabilitation et la restructuration de leur patrimoine. Une subvention de 6.000 € par logement permettrait sur la période 2021-2025, d'accroître le nombre de logements réhabilités d'environ 120.000.Selon Marcel Rogemont, Président de la Fédération nationale des Offices Publics de l'Habitat :« Pour parvenir, par étape, à la neutralité carbone pour les logements HLM, il faut être plus ambitieux. Si France Relance va contribuer à financer 40.000 réhabilitations d'envergure, nous proposons d'aller plus vite, en mobilisant pendant 5 ans, 140 millions par an de subventions pour un montant total de travaux estimé à près de 3 milliards.»
Il y a 4 ans et 116 jours

Le gouvernement prolonge le dispositif d'étalement des dépenses Covid-19 pour les collectivités locales

Un texte actualisant ce dispositif décrit par la circulaire du 24 août 2020 sera très prochainement adressé aux élus locaux pour mise en application par leurs services.Le mécanisme dérogatoire proposé aux collectivités locales en 2020 leur permettait d'étaler la charge budgétaire liée aux dépenses exceptionnelles COVID-19 sur une durée pouvant aller jusqu'à cinq ans, au lieu de la faire peser entièrement sur un seul exercice budgétaire.Cette mesure est ouverte aux communes, EPCI, métropoles, départements et régions, aussi bien pour leur budget principal que pour leurs budgets annexes.Ce dispositif dérogatoire est prolongé jusqu’au 30 juin 2021.Toutes les dépenses directement liées à la gestion de la crise sanitaire, hors frais de personnel, sont éligibles à ce dispositif. Citons, notamment, les dépenses sociales exceptionnelles au titre du RSA, les frais de nettoyage des bâtiments et des transports en commun, ceux liés au matériel de protection des personnels et aux aménagements pour l’accueil du public, le soutien au tissu économique et aux associations et les surcoûts induits sur les contrats de la commande publique.« Les dépenses liées à l’aménagement et au fonctionnement des centres de vaccination1 sont évidemment concernées », précise Olivier DUSSOPT.« Cette dérogation aux règles budgétaires habituelles offre de la souplesse aux collectivités confrontées à des charges très importantes, en complément des aides sur le volet recettes », indique Jacqueline GOURAULT.
Il y a 4 ans et 116 jours

Leica Geosystems simplifie la capture de la réalité pour accompagner le secteur du bâtiment dans sa transition numérique

L’essor du BIM, qui permet aux professionnels de gagner en temps, en qualité, en sécurité et en rentabilité, nécessite en amont de disposer de données de mesure complètes et fiables.C’est l’objectif de la capture de la réalité, un secteur d’excellence pour Leica Geosystems qui multiplie les innovations alliant simplicité et précision afin de rendre accessibles à tous les métiers de la filière ces technologies de numérisation 3D.En parallèle, de nombreux acteurs ont fait leur apparition sur le marché pour accélérer cette mutation, à l’instar de Capture Solutions, distributeur agréé Leica Geosystems, qui accompagne les professionnels dans leurs projets de capture de la réalité et de traitement des données.La capture de la réalité dans la constructionÀ l’heure de la transition énergétique, de la neutralité carbone et des territoires intelligents, le secteur du BTP a pris le virage du digital et la maquette numérique collaborative s’impose progressivement dans les opérations de construction.Le déploiement du BIM (Building Information Modeling) et des outils digitaux, encouragé par les pouvoirs publics à travers le plan BIM 2022, a ouvert la voie à de nouvelles méthodes de travail permettant de fluidifier la collaboration des intervenants, d’améliorer la qualité des ouvrages et surtout, de gagner un temps précieux, gage de performance et de rentabilité pour les entreprises.Dans ce contexte, les données sont devenues essentielles pour améliorer l’acte de construire. Les solutions de capture de la réalité permettent de collecter des millions de points de données, de les transformer en nuages de points et de les intégrer à différents outils logiciels.Ce process de numérisation du réel permet d’obtenir des modèles 3D et jumeaux numériques qui seront utilisés à toutes les étapes des projets, de la conception à la construction et à l’exploitation des ouvrages.Les applications sont très nombreuses : lors de la conception, il est possible de capturer un ensemble de données complet et exact concernant la situation ou le paysage, pour produire un plan numérique détaillé du projet, lors de la construction, les maîtres d’œuvre peuvent comparer un nuage de points relevé sur site à une certaine étape du projet avec la maquette numérique de conception, et ainsi identifier les problèmes, éviter les retards...Toutes les parties peuvent collaborer tout au long des projets au moyen de modèles 3D à jour de l’existant et des plans de conception. En intégrant des données exactes et fiables qui font fusionner le monde réel et le monde numérique, les projets de construction bénéficient ainsi d’une meilleure planification, d’une meilleure conception et d’une meilleure exécution.Les solutions Leica Geosystems au service de la constructionToujours à l’écoute des attentes des professionnels, Leica Geosystems contribue par ses innovations à simplifier la capture de la réalité pour la rendre accessible à l’ensemble des métiers de la filière.Son offre, la plus étendue du marché, couvre en effet tous les besoins avec une large palette de solutions d’acquisition 3D statiques et dynamiques, à la fois agiles, précises et rapides.En quelques années, la technologie Leica Geosystems s’est développée pour offrir une vitesse d’acquisition et une précision accrues, des appareils toujours plus petits, plus légers, plus nomades mais également des fonctionnalités et des logiciels très aboutis, permettant aux professionnels de disposer de solutions performantes et simples d’utilisation, et de gagner un temps précieux.Les scanners laser Leica Geosystems permettent ainsi de collecter simplement et rapidement des millions de points de données de haute précision sous forme de nuages de points afin de créer des représentations exactes de la réalité à quelques millimètres près, aisément intégrables à différents outils logiciels.Systèmes complets, les solutions Leica Geosystems incluent également les outils logiciels, terrain et bureau, intégrant ainsi l’ensemble du flux de travail, de l’acquisition, au traitement des données et à la production de livrables.Parmi les innovations Leica GeosystemsLe scanner laser le plus rapide du marché (vitesse d’acquisition jusqu’à 2 millions de points par seconde), le Leica RTC360, combiné au logiciel terrain Cyclone FIELD 360 ainsi qu’au logiciel de bureau Cyclone Register 360, permet d’automatiser la collecte et l’assemblage des données.La solution la plus légère (1kg) et la plus simple d’utilisation avec un seul bouton, le Leica BLK360 est un scanner laser avec imagerie compact qui utilise un télémètre laser à 360° et des images panoramiques haute définition pour créer des nuages de points 3D.Compatible avec les logiciels Leica Geosystems et Autodesk, il simplifie le transfert des données et la production de livrables.Le Leica BLK2GO, scanner laser d’imagerie ultra mobile, permet d’effectuer un relevé 3D précis pendant que l’utilisateur est en mouvement. Il offre une mobilité accrue et simplifie ainsi la numérisation de lieux et d’objets jusqu’alors peu ou pas accessibles avec précision, rapidité et une exceptionnelle fluidité grâce aux technologies LiDAR (télédétection laser sur deux axes), SLAM (localisation et cartographie simultanées) et edge computing (traitement des données à la périphérie).Le point de vue d’un expert de la 3DDistributeur exclusif agréé Leica Geosystems, Capture Solutions accompagne depuis janvier 2020 les professionnels du secteur – bureaux d’étude, architectes, et plus largement tous les corps de métiers touchant à la construction et au patrimoine - dans leurs projets de capture de la réalité en région Île-de-France, Centre et Normandie. Créée par Romain Sommero et Jonathan Choinard, deux anciens collaborateurs Leica Geosystems experts des technologies 3D, Capture Solutions propose du matériel à la location et à la vente et intervient en conseil et formation.« L’arrivée de nouveaux capteurs a permis la démocratisation des solutions de numérisation 3D et notre rôle est de développer ce marché, de déceler les nouveaux besoins pour accompagner et accélérer la transition numérique du secteur de la construction » explique Romain SOMMERO, « Aujourd’hui, nous observons une évolution du besoin de nos clients. Nous souhaitons leur faciliter l’accès et la prise en main à ces technologies avec un service adapté. L’accompagnement que nous proposons permet de valoriser leurs chantiers et démocratise l’usage de la 3D. »
Il y a 4 ans et 116 jours

L'EPR, fleuron du nucléaire français aux multiples déboires

Lancée en 1992, cette technologie présentée comme le fleuron de la filière nucléaire française a été co-développée par le français Areva et l'allemand Siemens au sein de leur filiale commune, dont Siemens s'est depuis retiré.EDF a finalement pris le contrôle de cette activité lors de la réorganisation de la filière nucléaire française orchestrée par l'État.Conçu pour fonctionner pendant 60 ans, l'"European Pressurized Water Reactor" se fonde sur la technologie des réacteurs à eau sous pression, la plus utilisée dans le monde.Il offre une puissance très élevée (1.650 mégawatts) et bénéficie d'une multiplication des systèmes de sauvegarde pour refroidir le cœur du réacteur en cas de défaillance, d'une coque de protection en béton et acier et d'un récupérateur de corium censé réduire les conséquences en cas d'accident grave.Retards en France et FinlandeLe premier chantier a été lancé à Olkiluoto (Finlande) en 2005, pour le compte de l'électricien TVO, avec Areva et Siemens comme maîtres d'œuvre. Mais les contretemps et dérapages budgétaires se sont accumulés.Le chargement du combustible n'est prévu désormais que l'an prochain, avec plus de dix ans de retard, pour une production d'électricité en février 2022.Le deuxième EPR, en chantier depuis 2007 à Flamanville (Manche) en France, a également accumulé les déboires, à cause notamment d'anomalies découvertes sur la composition de l'acier du couvercle et du fond de la cuve.L'Autorité de sûreté nucléaire française (ASN) a exigé que le couvercle de la cuve soit remplacé avant la fin 2024.EDF s'est aussi heurté à des problèmes de soudures et le groupe vise maintenant un chargement du combustible à fin 2022. Un planning que le président de l'ASN vient de qualifier de "très serré" mais "possible".En service en Chine, surcoûts en AngleterreDeux autres EPR ont été commandés par la Chine. Taishan 1 a été le premier au monde à fonctionner, bien que le chantier ait commencé en 2009, après celui de Flamanville. Le deuxième réacteur de Taishan est aussi entré en service commercial.L'EPR a aussi été retenu pour un projet de deux réacteurs à Hinkley Point en Angleterre, qui a dernièrement été affecté par la pandémie de Covid-19.Le début de production d'électricité par le premier réacteur est à présent prévu en juin 2026 au lieu de fin 2025 comme annoncé initialement, a annoncé mercredi EDF.Les coûts du projet ont aussi été rehaussés: entre 22 et 23 milliards de livres désormais, contre 21,5-22,5 milliards auparavant.Il reste par ailleurs toujours un "risque" de retard de respectivement 15 et 9 mois sur les deux réacteurs, qui se traduirait par un nouveau surcoût.Le gouvernement britannique a aussi engagé des discussions pour la construction d'une nouvelle centrale nucléaire, Sizewell C, dans le Suffolk sur la côté Est de l'Angleterre. Elle doit être une quasi réplique de Hinkley Point C.Malgré tous ces déboires, EDF a bon espoir de vendre de nouveau l'EPR à l'étranger, tablant sur la volonté de certains pays d'améliorer leur bilan climatique et notamment de moins dépendre du charbon.En Inde, EDF et son homologue indien ont signé un accord portant sur le schéma industriel d'un projet de centrale à Jaitapur, un projet géant de six réacteurs EPR qui n'est pas finalisé."Les discussions techniques continuent", a précisé mercredi une source gouvernementale française avant un déplacement de la ministre de la Transition écologique Barbara Pompili en Inde. EDF discute aussi avec des pays européens comme la Pologne ou la République Tchèque.Le groupe travaille aussi sur une nouvelle version de l'EPR, pour réduire ses coûts et ses délais de construction. En France, le gouvernement veut avoir tous les éléments en main à la mi-2021 mais la décision sur d'éventuels nouveaux chantiers a été renvoyée au prochain quinquennat.
Il y a 4 ans et 116 jours

Pour la 1ère fois, Eclisse France s'adresse plus spécifiquement aux architectes et décorateurs d'intérieur

Les produits Eclisse sont bien connus des architectes et décorateurs d'intérieur…« Ouvrir sur l'avenir », Eclisse France en a fait son crédo depuis 25 ans, que ce soit en terme d'innovation technique, d'optimisation des performances, de durabilité, d'esthétique et de design ou encore de confort d'utilisation.Unique 95, Collection Syntesis®, ECLISSE 40… sont autant de produits phares largement inspirés de l'écoute des besoins des architectes et des décorateurs d'intérieur, pour conserver un temps d'avance.Maryline Guillou, Responsable marketing d'Eclisse France, explique la relation de la marque avec les prescripteurs « Nous accompagnons les professionnels de l'aménagement intérieur depuis 25 ans. Ils connaissent Eclisse à travers les produits. Régulièrement nous mettons à leur disposition de nouveaux outils pour les aider dans leurs projets et réalisations ».Sur son site Internet ou sa chaîne Youtube, Eclisse propose :Les produits au format BIM / DWG ;Les fiches techniques ;Ainsi que des vidéos explicatives.La marque a également en place :Un suivi personnalisé de la commande au SAV ;Une présence aux salons Architect@Work, depuis deux ans déjà, en France et au Luxembourg.Aujourd'hui, Eclisse France va plus loin dans l'aventure de la création avec les architectes et décorateurs d'intérieur et renforce la relation.…c'est pourquoi en 2021, la marque Eclisse met en place de nouvelles actions vers ces prescripteurs« Pour les 25 ans d'Eclisse France, nous souhaitons développer notre relation avec les architectes et décorateurs d'intérieur et nous affirmer en tant que marque. C'est pourquoi nous avons décidé de développer des outils de communication qui leur sont spécifiquement dédiés, tout en maintenant nos liens avec les artisans-poseurs, négoces... ; et ce tout au long de l'année, que ce soit auprès des étudiants en architecture que des professionnels installés » poursuit Maryline Guillou.Une présence dans les écoles d'architectureDepuis le 1er janvier, Eclisse est présent dans 30 écoles d'architecture. Environ 25.000 étudiants peuvent s'exercer dans leurs projets avec les portes intérieures de la marque grâce à une matériauthèque digitale.Un catalogue exclusif "prescripteurs" : VisionsLe catalogue Visions met en avant le savoir-faire et les créations des architectes et décorateurs d'intérieur. Réalisé au départ par l'Italie, Eclisse France l'adapte pour l'hexagone.Dès mars 2021, les réalisations des professionnels intégrant les produits Eclisse, adaptés au marché français, seront mises en avant. Une façon pour la marque de les remercier avec ce catalogue d'inspirations de décorations intérieures et de designs.Visions sera à disposition des professionnels sur le site Internet et en version papier sur demande.Sans oublier...Eclisse France développera d'autres outils en 2021 :Une action de marketing direct à Paris, Nantes, Lyon & Nice (en mars)La création d'une médiathèque en ligne (au cours du 1er semestre)
Il y a 4 ans et 116 jours

Le Groupe Apave présente son nouveau plan stratégique 2025 et accélère sa transformation

Dans un marché des TIC (test, inspection, certification) favorable et porteur, bousculé par des transitions numérique, industrielle et énergétique, Apave dévoile son ambition d'entrer dans le Top 5 mondial des leaders sectoriels d'ici 2025 dans les Biens Industriels /Manufacturing, les Énergies, les Transports et les Infrastructures & Construction.Ce nouveau plan stratégique confirme l'accélération du développement et de la transformation d'Apave en France et à l'International, et repose sur quatre piliers :Accélérer la croissance en France et à l'international, notamment par croissance externeUn développement ciblé sur les 4 secteurs d'activités dans lesquels le Groupe souhaite devenir leader, des métiers (Inspection non réglementaire, Certification & Labellisation, Formation) et des géographies prioritaires (Europe, Asie du Sud-Est, Afrique & ProcheOrient), dans lesquels le Groupe concentrera ses efforts et ses investissements futurs.Un développement qui s'appuiera sur une stratégie de croissance externe ambitieuse, notamment à l'international, et sur une stratégie de croissance organique portée par le développement d'offres innovantes et différenciantes dans lesquelles les nouvelles technologies (drones, réalité virtuelle, réalité augmentée, QR code…) seront intégrées.Améliorer de façon durable la performance commerciale, opérationnelle et financière du GroupeAméliorer la performance commerciale en harmonisant et en optimisant les processus de politique de prix et d'efficacité commerciale, tout en maintenant un haut niveau d'expertise et de compétences pour permettre à nos clients de vivre une expérience différenciante.Améliorer la performance opérationnelle en accélérant la modernisation de nos outils informatiques, en développant des services en ligne pour nos clients, et en avançant vers des processus plus digitalisés pour offrir un service réactif et personnalisé.Améliorer la performance financière par une meilleure maîtrise de nos dépenses dans une approche Groupe, et par une amélioration de notre trésorerie pour conserver une bonne santé financière.Poursuivre la transformation culturelle vers un Groupe plus intégré et plus orienté clientSatisfaire les clients qui nous font confiance et avec qui nous travaillons comme objectif premier du Groupe et de ses 12400 collaborateurs en développant une expérience client plus digitale et simplifiée, et en mesurant la progression de leur satisfaction client à travers le NPS (Net Promoteur Score).Améliorer la gestion des carrières de nos collaborateurs dans une approche de symétrie des attentions, par un pilotage fin des compétences et des talents.Associer les salariés plus fortement aux résultats et à la performance du Groupe par la création d'un dispositif d'actionnariat salarié, en France dans un premier temps.Incarner la Raison d'Être du Groupe et valoriser la contribution du groupe aux enjeux externes de la Société et de ses clients à travers une feuille de route RSE actualisée et portée collectivement.Accélérer la dynamique d'innovation et de digitalisation du Groupe pour anticiper l'évolution des métiers d'Apave et se positionner comme un véritable acteur de la confiance digitale (réalité augmentée, cybersécurité, surveillance de structures, industrie 4.0 et jumeaux numériques,inspection à distance etc.) tout en poursuivant la modernisation des systèmes d'information du Groupe.« Apave est positionné sur un marché en croissance et en pleine transformation, notamment lié aux évolutions technologiques et aux enjeux de transition écologique. Conscient de ces mutations, notre plan stratégique marque une nouvelle étape dans notre transformation, engagée il y a quelques années. Pour entrer dans le Top 5 mondial sur nos quatre secteurs prioritaires d'ici 2025, nous avons construit un plan ambitieux et réaliste qui allie performance, croissance et innovation. Nous sommes déterminés à le mener à bien avec l'aide de nos collaborateurs qui ont participé activement à son élaboration. »Philippe Maillard, Directeur Général du groupe ApaveSur la base de ce nouveau plan stratégique, Apave a établi les objectifs 2025 suivants :Une croissance du chiffre d'affaire de 10% / an en moyenneUn ratio EBITDA / CA > 10%, en croissance de plus de 50%40% du chiffre d'affaires réalisé à l'internationalUn doublement de la part d'activités réalisée dans le « non-réglementaire »Net Promoteur Score (clients) supérieur à 40 et un taux d'engagement collaborateurs supérieur à la moyenne des entreprises similaires.Ce plan stratégique est le fruit d'une co-construction avec les clients et les collaborateurs et s'est appuyé sur une analyse externe et interne fine, ainsi que des démarches d'écoutes en termes de perceptions et d'attentes.Dans ce cadre, Apave a également travaillé pendant plusieurs mois avec ses clients et ses collaborateurs dans la définition de sa Raison d'Être dévoilée le 11 janvier 2021 : « Agir en acteur de confiance pour un monde plus sûr, durable et porteur de progrès partagé ». Cette Raison d'Être s'inscrit dans l'histoire du Groupe et traduit la contribution active que Apave et ses 12400 collaborateurs souhaitent apporter au monde d'aujourd'hui et de demain.Pour accompagner ce développement et soutenir financièrement les ambitions portées par le nouveau plan stratégique 2021-2025, le Groupe a engagé en parallèle une démarche de recherche d'un partenaire de croissance.« Le Conseil d'Administration d'Apave, par le moyen de ce Plan stratégique, vise à construire un Groupe plus intégré, plus innovant et digital, orienté client, plus attractif et riche de collaborateurs engagés et fiers de leur métier. L'adossement à un partenaire de croissance nous permettra d'accompagner le financement et la réussite de ce plan, et permettra au Groupe Apave de devenir un leader mondial reconnu pour ses expertises en maitrise des risques et sa capacité à accompagner ses clients dans leurs démarches de progrès. »Rémi Sohier, Président du groupe Apave
Il y a 4 ans et 116 jours

Désormais jugée "obsolète", l'extension de l'aéroport de Roissy abandonnée

La validité de ce projet était déjà mise en doute à l'heure de la lutte contre le réchauffement climatique et au moment où les perspectives de croissance sans relâche du trafic de passagers ont volé en éclats sous l'effet de la pandémie. La ministre de la Transition écologique, Barbara Pompili, a officialisé sa fin dans un entretien au journal Le Monde.Le gouvernement a demandé au gestionnaire des aéroports de Paris, Groupe ADP, dont l'Etat est l'actionnaire majoritaire, "d'abandonner son projet et de lui en présenter un nouveau, plus cohérent avec ses objectifs de lutte contre le changement climatique et de protection de l'environnement", a déclaré Mme Pompili au quotidien."Le Groupe ADP prend acte de cette demande qui est l'une des conséquences de la crise du Covid-19", a indiqué le gestionnaire. L'entreprise "engage un temps de réflexion sur les enjeux d'avenir de l'aéroport", selon son PDG Augustin de Romanet.Ce projet de 7 à 9 milliards d'euros passait par la construction à l'horizon 2037 d'un quatrième terminal à l'aéroport Charles de Gaulle afin d'augmenter la capacité d'accueil de 40 millions de passagers par an."C'est un projet obsolète, qui ne correspondait plus à la politique environnementale du gouvernement et aux exigences d'un secteur en pleine mutation, tourné vers l'avion vert de demain", a estimé Mme Pompili.Selon Le Monde, "le gouvernement demande désormais à Groupe ADP de proposer un tout autre projet, qui ne sera pas centré sur l'accroissement des capacités de Roissy", deuxième aéroport d'Europe derrière Londres-Heathrow avant la crise."Nous aurons toujours besoin des avions, mais il s'agit d'être dans une utilisation plus raisonnée de l'aérien, et d'atteindre une baisse des émissions de gaz à effet de serre du secteur", selon Mme Pompili.Cette annonce intervient au lendemain de la présentation par le gouvernement de son projet de loi issu des propositions de la Convention citoyenne pour le climat, un texte vivement critiqué pour son "manque de muscle" par une partie de la gauche et des ONG."Victoire écologiste"Ce texte "encadre le développement des capacités aéroportuaires pour les rendre compatibles avec nos objectifs de lutte contre le changement climatique" mais souligne que "les adaptations et aménagements nécessaires aux aéroports à l'intérieur de leurs emprises restent possibles".L'association de défense de l'environnement Greenpeace a jugé ambiguë l'annonce de jeudi et souligné sur Twitter que "quel que soit le projet, il n'est pas acceptable d'augmenter encore le trafic aérien".Les élus du Groupe alternative écologiste et sociale de la Région, tout en disant rester "vigilant(s)", ont estimé que l'abandon du projet actuel constituait "une victoire écologiste pour l'Ile-de-France. Il aura fallu une pandémie pour faire tomber un projet qui n'a pourtant jamais été soutenable, ni compatible avec les engagements de la France sur le climat".Le patron du Medef Geoffroy Roux de Bézieux a estimé "un peu prématuré" d'avoir décidé de tirer un trait sur un terminal supplémentaire. "J'aurais compris la suspension. Parce que objectivement, le trafic aérien, on le voit tous (...) ce n'est plus les croissances qu'on imaginait il y a encore deux ans ou quelques années", a-t-il déclaré sur France Inter.La crise sanitaire mondiale, qui a réduit le trafic aérien à la portion congrue, en particulier les déplacements en long-courrier, a en effet jeté le doute sur un l'accroissement continu des flux de voyageurs et donc la nécessité d'adapter les infrastructures.Le projet du nouveau terminal "T4" avait déjà subi un revers en juillet 2020 lorsque l'Autorité environnementale avait constaté que "l'équation à résoudre" entre l'augmentation des vols, de la circulation routière et le respect des objectifs internationaux de la France en matière de réduction des émissions de gaz à effet de serre n'était "pas décrite ni posée de manière complète".En janvier 2020, 62 maires d'Ile-de-France avaient pris position contre l'extension de Roissy.Les ONG dubitativesUn collectif d'ONG opposées à la construction d'un quatrième terminal à l'aéroport de Roissy a réclamé jeudi des "garanties" au gouvernement après l'annonce de l'abandon du projet, s'inquiétant d'une augmentation possible malgré tout des capacités de l'aéroport.Dans un entretien au journal Le Monde jeudi, la ministre de la Transition écologique Barbara Pompili a annoncé que le gouvernement a demandé au gestionnaire des aéroports de Paris, ADP Groupe, dont l'Etat est actionnaire majoritaire, "d'abandonner son projet et de lui en présenter un nouveau, plus cohérent avec ses objectifs de lutte contre le changement climatique et de protection de l'environnement"."Les associations prennent acte de cette déclaration, mais s'inquiètent de l'effet d'annonce et s'interrogent sur la teneur du +nouveau projet+, ainsi que sur les garanties juridiques apportées pour qu'il n'y ait pas d'augmentation des capacités d'accueil de Roissy, alors que le gouvernement se déclare ouvert à cette possibilité", ont réagi dans un communiqué le collectif Non au Terminal 4, Greenpeace France, Notre affaire à tous, Alternatiba Paris ou encore le Réseau Action Climat."La question de l'extension des capacités de l'aéroport de Roissy reste posée", poursuivent les organisations, qui estiment que le nouveau projet de loi Climat jugé pas assez ambitieux par les ONG n'apporte pas de garanties suffisantes pour empêcher les extensions d'aéroports de manière générale.Dans une réaction séparée sur Twitter, Greenpeace va plus loin. "Cette fausse annonce sur Roissy orchestrée par le gouvernement, au moment où le texte au rabais de la Loi Climat est présenté, est scandaleuse !", a estimé l'ONG, dénonçant un ""chiffon vert" agité par Barbara Pompili "pour nous forcer à regarder ailleurs et tenter de muscler un texte ras les pâquerettes".ANV-COP 21 s'est de son côté félicité d'une "victoire". Mais "la bataille contre les grands projets aéroportuaires, y compris à Roissy, n'est pas terminée", a ajouté l'ONG sur Twitter.
Il y a 4 ans et 117 jours

Colère à Chypre après la destruction par l'Église de bâtiments classés

Le ministère de l'Intérieur a indiqué mardi être "profondément troublé et préoccupé par la destruction arbitraire et illégale des bâtiments protégés" survenue la veille dans la capitale chypriote.Ces constructions --des maisons datant de 1927, d'après les archives-- se trouvaient sur un terrain appartenant à l'Église, à proximité du palais de l'archevêché, dans la Vieille ville de Nicosie ceinturée par des remparts vénitiens et recelant de trésors architecturaux remontant parfois à plusieurs siècles.Mais l'Église, selon la Chambre technique de Chypre --organisme de surveillance dans la construction--, avait l'obligation contractuelle de préserver et de rénover les bâtiments autour de la nouvelle cathédrale. En les détruisant, elle est en infraction avec les conditions de son permis de construire.Cette destruction a été réalisée sans autorisation de la municipalité, a renchéri Constantinos Yiorkadjis, maire de Nicosie, précisant que la mairie allait exiger leur restauration.L'Église orthodoxe de Chypre dispose d'un poids politique important sur l'île mais sa décision de démolir ces maisons a déclenché les critiques de plusieurs partis politiques et l'ire parmi la population contre l'archevêque Chrysostomos II.Le bureau de l'archevêque, sollicité par l'AFP, n'a pas réagi dans l'immédiat.Le conseiller municipal Chrysanthos Fakas a fait savoir sur les réseaux sociaux que l'archevêque avait, lors d'une rencontre mardi, "assuré que la restauration des bâtiments commencerait bientôt".Selon le ministère de l'Intérieur, quelque 7.000 bâtiments sont classés sur l'île pour tenter de préserver son héritage culturel "pour les futures générations".
Il y a 4 ans et 117 jours

Élection du Bureau de l'OPPBTP

L'Organisme Professionnel de Prévention du Bâtiment et des Travaux Publics est le conseil de la branche du BTP pour la sécurité et l'amélioration des conditions de travail. Sa structure paritaire est composée de 20 membres représentant les organisations professionnelles et syndicales de la branche, assistée d'un représentant de l'État, d'un représentant de la CNAM et de Paul DUPHIL, actuel secrétaire général. Élu pour un mandat d'un an renouvelable une fois, le Bureau veille à l'exécution des décisions du Conseil du comité national et au fonctionnement régulier des services de l'organisme. Giovanni VERRECCHIAGiovanni VERRECCHIA est préventeur dans l'entreprise Jean Lefebvre IDF, filiale d'Eurovia, depuis 1998. Il est Président représentant le collège salarié du CNT-B de la CNAM. De plus, il est référent santé au travail IDF pour la FNCB CFDT et secrétaire général du syndicat CFDT construction et bois interdépartemental IDF. Il est membre du Conseil du comité régional Ile-de-France de l'OPPBTP depuis 1999 et du Conseil du comité national depuis 2017.Jean-Marie KERHERNOJean-Marie KERHERNO est chargé de mission Mutualisation à la Fédération des SCOP du BTP. Il a exercé sa carrière à la STPEE, scop d'électricité de 200 collaborateurs, de 1979 à 2015 dont 18 ans en tant que PDG. Il est membre du Conseil du comité régional Ile-de-France de l'OPPBTP de 1987 à 1999 (Président en 1995 et 1996) et du Conseil du comité national depuis 1999 (Président en 2006 et 2007).
Il y a 4 ans et 117 jours

Le Parlement européen exige une économie neutre en carbone, durable et non toxique d'ici 2050

Les membres de la Délégation de la gauche sociale et écologique se félicitent de l'adoption de ce deuxième plan d'action qui appelle à des objectifs contraignants pour 2030 concernant l'utilisation des matières premières et l'empreinte de la consommation, couvrant l'ensemble du cycle de vie de chaque catégorie de produit mise sur le marché européen.Pour Éric Andrieu, membre de la Commission en charge de l'environnement et de la santé : « l'essor de l'économie circulaire est une priorité stratégique pour l'Union, car elle permet à la fois préservation des ressources naturelles, consommation durable, amélioration de la qualité de vie, développement des territoires, création de valeur et d'emplois et réinsertion de personnes vulnérables ». Mais il faut être prudent sur un point, ajoute l'eurodéputé : « Le recyclage ne doit pas être un prétexte pour réintroduire des substances dangereuses que la législation entend éliminer. Les substances interdites ne doivent pas revenir sur le marché de l'Union dans des produits de consommation par l'intermédiaire d'activités de recyclage ! ».« Écoconception, consommation collaborative, lutte contre l'obsolescence programmée doivent devenir notre mantra législatif et réglementaire » insistent les membres de la délégation. Avec un axe central : « l'économie circulaire doit aussi être solidaire. Les acteurs de l'économie sociale et solidaire, comme les associations ou les entreprises sociales, dans le secteur du réemploi et de la préparation en vue du réemploi, doivent être soutenus financièrement et d'un point de vue réglementaire, notamment dans l'accès aux marchés publics » concluent les membres de la délégation.
Il y a 4 ans et 117 jours

Projet de loi climat et résilience : les mesures qui concernent le BTP

Cette loi ancre l’écologie dans notre société : dans nos services publics, dans l’éducation de nos enfants, dans notre urbanisme, dans nos déplacements, dans nos modes de consommation, dans notre justice. Elle modifie en profondeur nos modes de vie. Un exercice démocratique inéditC’est la première fois qu’un panel de citoyens est directement impliqué dans la préparation d’une loi. Composée de 150 citoyens tirés au sort, la Convention citoyenne pour le climat s’est installée en octobre 2019, sur décision du président de la République. Son mandat : définir une série de mesures permettant d’atteindre une baisse d’au moins 40% de nos émissions de gaz à effet de serre d’ici 2030 (par rapport à 1990) dans un esprit de justice sociale. Le projet de loi est directement issu de leurs 146 propositions retenues par le président de la République.Les mesures clés concernant le BTPInterdiction de location des passoires thermiquesLa France compte environ 4,8 millions de passoires thermiques, dont le coût de chauffage peut s’élever à plusieurs milliers d’euros par an. Le secteur du bâtiment est en outre le deuxième secteur le plus émetteur de gaz à effet de serre de notre pays, avec 20% des émissions nationales.Mesure : le projet de loi interdit la location des passoires thermiques à partir de 2028, pour protéger les locataires contre des factures d’énergie trop élevées et laisser le temps nécessaire aux propriétaires pour rénover les logements qu’ils louent. Les locataires des passoires thermiques pourront exiger de leur bailleur des travaux de rénovation. D’ici 2028, il sera interdit d’augmenter le loyer des logements F et G (passoires thermiques) lors du renouvellement du bail ou de la remise en location.Article 41 | Interdiction de l’augmentation des loyers au changement de locataire, au renouvellement du bail ou pendant le bailArticle 42 | Interdiction de location des passoires énergétiquesDivision par deux du rythme d’artificialisation des solsL’étalement urbain et l’artificialisation des sols détruisent et en morcellent les espaces naturels, agricoles et forestiers. Ils contribuent ainsi à la dégradation des écosystèmes et à l’érosion de la biodiversité (disparition d’espèces d’insectes, d'oiseaux, de mammifères), mais aussi au réchauffement climatique (réduction de la capacité d’absorption du CO2 des sols). Ils représentent également des défis économiques et sociaux pour les habitants et les territoires (perte d’attractivité des centre-villes, vacance des logements, fermeture des commerces, éloignement de l’emploi et des services). Enfin, l’artificialisation accentue la vulnérabilité de certains territoires aux risques naturels, notamment en rendant les sols imperméables à la pluie (inondations, feux de forêts).Mesure : le projet de loi définit la notion d’artificialisation des sols et inscrit dans le droit un objectif de réduction par deux du rythme d’artificialisation sur les dix prochaines années par rapport à la décennie précédente. Il organise la déclinaison de cet objectif par les collectivités territoriales, en lien avec l’État, par les documents de planification régionaux jusqu’aux documents communaux et intercommunaux. Cela permet de s’assurer du respect de l’objectif tout en l’adaptant aux besoins de chaque territoire notamment pour garantir leur développement.Article 47 | Objectif national pour la lutte contre l'artificialisation des sols, intégration de la lutte contre l’artificialisation des sols dans les principes généraux du code de l’urbanisme et définition de l’artificialisation des solsArticle 48 | Définition d'une trajectoire de réduction de l’artificialisation des sols et interdire l'artificialisation tant qu'il existe des zones urbanisées disponiblesDes zones à faibles émissions dans les grandes villes de France La pollution de l’air provoque chaque année près de 48 000 décès prématurés dans notre pays. Les zones urbaines sont souvent les plus touchées. Il est essentiel d’organiser dans ces territoires une mobilité plus durable et moins polluante, y compris en soutenant le développement du vélo, du covoiturage ou des transports en commun.Mesure : le projet de loi rend obligatoire la mise en place de zones à faibles émissions-mobilités (ZFE-m) pour les agglomérations de plus de 150.000 habitants d’ici le 31 décembre 2024. Dans ces zones, la circulation des véhicules les plus polluants est limitée et la prime à la conversion peut bénéficier d'un supplément. Des restrictions sont prévues pour les véhicules Crit’Air 3 en 2025 pour les zones encore en dépassement. Pour faciliter leur mise en place, le pouvoir de police liée à la ZFE-m est transféré au président de l’établissement public de coopération intercommunale.Article 27 | Zones à faibles émissionsCréation d’un « CO2 score » pour afficher l’impact sur le climat des biens et services consommés par les Français Informer les consommateurs pour qu’ils puissent choisir les produits ayant le moins d’impact sur l’environnement est essentiel tant les modes de production et de consommation sont déterminants dans la bataille du climat et de la préservation de la biodiversité et des ressources.Mesure : une "étiquette climat", intégrée à l’affichage environnemental créé par la loi anti-gaspillage, informant sur l’impact climatique des produits et services consommés pas les Français, appelée CO2 score, est mise en place. Il prévoit par ailleurs la possibilité de rendre cet affichage obligatoire progressivement sur les différentes gammes de produits et services au fur et à mesure des retours des expérimentations. Un décret définira aussi les critères permettant d’évaluer sur cette base les biens et services présentant l’impact le plus important de leur catégorie sur les émissions de gaz à effet de serre.Article 1er | Affichage environnementalCréation d’un délit d’écocideLa France punit davantage le banditisme environnemental.Mesure : un délit général de pollution est mis en place qui punira les personnes morales et physiques qui causeraient des dégâts graves et durables à l’environnement, en violation manifestement délibérée d’une règle de prudence ou de sécurité. Lorsque les contrevenants ne pouvaient ignorer la gravité des conséquences de leurs actes, ces personnes encourront alors des peines allant jusqu’à 10 ans d’emprisonnement et 4,5 millions d’euros d’amende, voire une amende allant jusqu’à dix fois le bénéfice obtenu par le contrevenant en attentant à l’environnement. Ce délit d’écocide est ainsi la version la plus grave du délit général de pollution.Article 68 | Délit général de pollution des eaux et de l’air complété par des peines renforcées sur les sols, délit d’écocide dans sa forme aggravée.
Il y a 4 ans et 117 jours

Après l'incendie de Grenfell, des fonds massifs débloqués contre les revêtements dangereux

Cette enveloppe de 3,5 milliards de livres (environ 4 milliards d'euros) porte l'aide totale du gouvernement à plus de cinq milliards de livres."Cette intervention exceptionnelle constitue le plus important investissement jamais réalisé par le gouvernement dans la sécurité des bâtiments", a souligné le ministre du Logement, Robert Jenrick, devant les députés.Le revêtement posé sur la tour Grenfell, au cœur de Londres, composé de plaques de composite d'aluminium et polyéthylène (plastique), avait été mis en cause dans la virulence de l'incendie qui avait ravagé l'immeuble dans la nuit du 13 au 14 juin 2017, faisant 71 morts ainsi qu'un bébé mort-né.Pour répondre au scandale qui a suivi, le ministre a promis mercredi que les détenteurs d'un bail à très long terme dans les immeubles résidentiels d'au moins 18 mètres de haut ou six étages en Angleterre ne subiront "aucun coût pour les travaux de réhabilitation des revêtements" dangereux.Pour les immeubles plus petits, entre quatre et six étages, ils ne paieront jamais plus de 50 livres par mois, "nombre d'entre eux beaucoup moins", via un système de prêts à faible taux d'intérêt, a-t-il assuré."Il est clair que sans intervention supplémentaire du gouvernement, beaucoup de propriétaires d'immeubles passeraient simplement ces coûts potentiellement très élevés sur les détenteurs de baux à très long terme", a souligné Robert Jenrick. "Cela risquerait de punir ceux qui ont travaillé dur (...) (et) qui se retrouvent dans une situation totalement injuste sans qu'ils en soient responsables", a-t-il ajouté.Les professionnels de l'immobilier seront mis à contribution également, avec une nouvelle taxe que le gouvernement compte introduire dès 2022 sur les programmes de développement résidentiel, qui permettra de lever au moins deux milliards de livres en dix ans "pour participer aux coûts de réhabilitation des revêtements".
Il y a 4 ans et 117 jours

Loi climat : Les transporteurs routiers dénoncent "un non-sens"

Le texte fait courir le risque de "rater le tournant de la transition énergétique tout en fragilisant les entreprises françaises et en remettant en cause, à terme, notre souveraineté en matière de transport et logistique", selon un communiqué commun.FNTR, TLF, OTRE, Unostra et Chambre syndicale du déménagement dénoncent "des mesures fiscales inefficaces d'un point de vue environnemental", à savoir la suppression progressive d'ici 2030 du mécanisme fiscal sur la taxation du gazole pour les professionnels et la possibilité pour les régions de créer une écotaxe routière."Il n'existe (...) pas de corrélation entre la hausse de la fiscalité du secteur et un éventuel report modal vers des modes de fret alternatifs" et, même si le transport ferroviaire et fluvial de marchandises voit sa part doubler, la route "restera à plus de 75% le mode très largement majoritaire", pointent-elles."C'est la raison pour laquelle il faut accompagner et soutenir le transport routier dans sa transition énergétique et non pas le combattre", expliquent les organisations patronales.L'augmentation de la fiscalité va en outre favoriser les camions étrangers, selon elles."Il est inconcevable et contre-productif qu'au moment où la profession va avoir besoin de plusieurs milliards d'investissement par an pour accélérer la transition énergétique, l'Etat décide de lui retirer près de 1,5 milliard (d'euros) et d'anéantir ses marges et toute capacité d'investissement", accusent-elles."Le transport routier de marchandises et de la logistique est un secteur stratégique, vital à la souveraineté du pays", soulignent les organisations, rappelant son rôle crucial dans la crise sanitaire.
Il y a 4 ans et 117 jours

Bluetek lance les premiers lanterneaux du marché certifiés FDES

Imminence de la RE2020A l'échelle nationale, le bâtiment représente plus de 20 % des émissions de gaz à effet de serre (GES). Afin de les diminuer, fin 2016 l'état lançait le label E+C- préfigurant la Réglementation Environnementale 2020 (RE2020).Ce label fixe pour objectif de promouvoir la réalisation de bâtiments performants sur le plan énergétique (bâtiments à énergie positive) et environnemental (faible production de gaz à effets de serre, tout au long du cycle de vie du bâtiment).L'obtention du label E+C- est, dans les faits, associé à la déclaration environnementale des produits entrant dans la conception de la construction. L'été 2021 sera assurément le point d'orgue de la mise en place de la RE2020, tout comme un bilan carbone deviendra obligatoire. Ce dernier devra être réalisé impérativement via des FDES certifiées.Une certification reconnueLes FDES (Fiche de Déclaration Environnementale et Sanitaire) doivent être certifiées par un organisme indépendant reconnu par l'état.En France, INIES s'avère être la base nationale de référence. S'agissant de sa gamme de lanterneaux fixes et ouvrants Bluesteel RPT, BLUETEK vient d'obtenir la certification, pour 5 ans, des Fiches de Données Environnementales et Sanitaires de ses produits classés DENFC (Dispositif d'Évacuation Naturelle de Fumées et de Chaleur).Cette certification de FDES est une première sur le territoire dans le domaine de la fabrication de lanterneaux.Les FDES certifiées des lanterneaux fixes et ouvrants Bluesteel RPT de BLUETEK sont consutables le site d'INIES.FDES : des documents primordiauxSensible à la RE2020, BLUETEK a poursuivi sa démarche environnementale dans le but de proposer des FDES en adéquation avec les recommandations gouvernementales. Ces dernières visent à poursuivre l'amélioration des performances des bâtiments en diminuant l'impact carbone dans la construction tout en garantissant la fraîcheur à l'intérieur des bâtis en cas de forte chaleur.Ces objectifs de la RE2020 sont d'ores et déjà applicables aux constructions neuves depuis le 1er janvier dernier et les FDES sont, à présent, des documents primordiaux pour une transition écologique en passe de devenir une obligation de résultats.Bluetek anticipe la démarche énergie et carboneSi concevoir ou rénover des bâtiments avec des produits bénéficiant de FDES est un gage indéniable de qualité, par la certification de ses FDES, BLUETEK anticipe, sur le plan international, les labels existants ou émergents en rapport avec la démarche relative au bilan énergie et au bilan carbone des bâtiments.Le parcours d'une FDES certifiéeUne FDES s'établit au format de normes précises. Il s'agit de la norme européenne NF EN ISO 14025, NF EN 15804+A1 et de son complément national NF EN 15804/CN.Afin de répondre à ces normes, BLUETEK s'est rapproché d'Evea Conseil, bureau d'études spécialisé dans le cycle de vie des produits. Cette étude des lanterneaux de BLUETEK a permis à Evea Conseil de réaliser les FDES qui ont été consécutivement certifiées par le CSTB puis validées/certifiées par INIES.INIES : une base participativeLa base INIES est gérée de façon participative par les acteurs de la construction dont les Pouvoirs Publics. Il s'agit de la référence en matière de déclarations environnementales et sanitaires des produits, équipements et services pour l'évaluation de la performance des ouvrages. La gouvernance de la base INIES est régie par un conseil de surveillance, présidé par l'Alliance HQE-GBC (alliance des professionnels pour un cadre de vie durable) et un comité technique, présidé par l'AIMCC (Association française des industries des produits de construction).
Il y a 4 ans et 117 jours

Inauguration digitale du Wilopark, le nouveau siège social du Groupe Wilo

Le Groupe Wilo a invité ses hôtes à l'inauguration du nouveau siège social à Dortmund, le Wilopark. Plus de 1.500 invités internationaux de haut rang issus du monde des affaires et de la politique ainsi que des employés Wilo ont participé à cet événement digital - en raison de la pandémie de coronavirus. Parmi les invités de marque, qui ont envoyé un message vidéo pour l'occasion, figuraient la chancelière allemande Dr. Angela Merkel, le ministre-président de Rhénanie du Nord-Westphalie (RNW), Armin Laschet, les ministres de Rhénanie du Nord-Westphalie Prof. Andreas Pinkwart et Karl-Josef Laumann, ainsi que le vice-premier ministre du Kazakhstan, Roman Sklyar.Après un bref discours de bienvenue, Oliver Hermes, Président et Directeur Général du Groupe Wilo, a expliqué pourquoi l'ouverture du Wilopark à Dortmund représente une étape importante dans l'histoire de l'entreprise : "Avec un investissement d'environ 300 millions d'euros, le réaménagement du siège social de Wilo représente non seulement le plus grand projet de l'histoire de notre entreprise, mais aussi l'un des plus grands projets de construction industrielle jamais entrepris en Rhénanie-du-Nord-Westphalie, voire même en Allemagne".Wilopark – un projet phare exemplaireL’usine de production ultramoderne et hautement technologique, les bureaux de l’administration "PioneerCube", un centre de service clientèle et des installations de développement produits s'étendent sur une surface de près de 200 000 m².La chancelière Angela Merkel a félicité Wilo pour l’ouverture du Wilopark. Elle a profité de l'occasion pour souligner l'impressionnant bilan du Groupe Wilo en termes économiques et environnementaux avec ses pompes et systèmes de pompage innovants, pour lesquels le Groupe a été récompensé par le prix national allemand du développement durable 2021.Le ministre-président de NRW, Armin Laschet, a également adressé ses félicitations et complimenté tous les collaborateurs Wilo : "Ils montrent avec beaucoup de succès comment utiliser des idées intelligentes, de la créativité et des innovations pour rendre la production locale adaptée à l'avenir et en même temps garantir des emplois. Nous avons besoin de tout cela pour assurer notre prospérité, surtout dans la région. Le Wilopark est un engagement clair en faveur de Dortmund et de la Rhénanie-du-Nord-Westphalie."Andreas Pinkwart, ministre d'État de Rhénanie-du-Nord-Westphalie pour l'économie et l'énergie, et Karl-Josef Laumann, ministre d'État de Rhénanie-du-Nord-Westphalie pour le travail, la santé et les affaires sociales, ont également transmis leurs félicitations personnelles au Groupe Wilo, également par message vidéo, à l'occasion de l'inauguration officielle du nouveau siège à Dortmund.Industrie 4.0 – une production déjà neutre sur le plan climatiqueLe Groupe Wilo a mis en œuvre un concept de gestion tourné vers l’avenir et une technologie de construction en réseau numérique, pour son nouveau siège social. Cela permet de réduire la consommation d'énergie de près de 40 %. En parallèle, les émissions de CO2 sont réduites de 3 500 tonnes par an, ce qui correspond à la quantité maximale de CO2 absorbée par 280 000 arbres."Pour nous, en tant qu'entreprise engagée dans la protection du climat, la mise en œuvre d'un concept global de durabilité a été très importante dès le début. Nous sommes fiers de produire déjà des produits neutres sur le plan climatique au cœur du Wilopark. Nous voulons que cela devienne une pratique courante sur tous les principaux sites de production de Wilo d'ici 2025", a souligné Georg Weber, Membre du Executive Board et directeur technique du Groupe Wilo.Wilo a développé une stratégie de durabilité explicite sur la base de sa stratégie d'entreprise "Ambition 2025". L'objectif du groupe est de fournir de l'eau propre à un plus grand nombre de personnes tout en réduisant son empreinte carbone. " Le Wilopark est l'une de nos nombreuses contributions pour aider la région de la Ruhr, qui a fait ses preuves en matière de transformation, et donc la Rhénanie-du-Nord-Westphalie et l'Allemagne, sur la voie d'un avenir à la fois durable et numérique", a réitéré Oliver Hermes.Enthousiasme des principaux clients et partenaires dans le monde entierDes clients et partenaires, de premier plan du Groupe Wilo, ont également participé à la retransmission en direct depuis le monde entier. Par exemple, des félicitations ont été adressés à la direction générale de Wilo depuis le Kazakhstan par le vice-premier ministre Roman Sklyar, et depuis la Chine par l'ancien ambassadeur de la République populaire de Chine en Allemagne, Shi Mingde.Une visite guidée de l’usine en guise de conclusionAvant la fin de l'événement, les invités ont eu un aperçu de la pièce maîtresse du nouveau Wilopark : le site de production numérique. Malgré la distanciation sociale, les invités ont pu découvrir virtuellement le site et constater de près que toutes les étapes du processus sont mises en réseau. Ces dernières sont communiquées de manière transparente au public dans cette installation ultramoderne, et les différents composants du processus et les machines sont équipés pour traiter l'industrie 4.0.
Il y a 4 ans et 117 jours

Valérie Pécresse réclame l'évacuation de la ZAD du Triangle de Gonesse

"Le sujet est simple: c'est une occupation illégale du domaine public qui bloque la réalisation d'un métro qui est attendu par 1,5 million d'habitants dans le Val-d'Oise", a-t-elle fait valoir sur Cnews.Elle a réclamé "qu'on fasse respecter la loi, qu'on évacue cette ZAD et surtout qu'on fasse cette ligne 17, la seule ligne du Grand Paris Express du Val-d'Oise".L'occupation par, "à ce stade, une centaine" de militants, "bloque l'intégralité de la construction" de cette ligne car elle empêche un tunnelier de descendre dans un puits pour creuser, a-t-elle expliqué. Elle a souligné que les habitants de ce territoire pauvre "attendent ces transports en commun pour aller travailler".Ce chiffre est très éloigné du comptage effectué par le Collectif pour le Triangle de Gonesse (CPTG), qui a indiqué à l'AFP ne pas être à l'origine de l'occupation mais "soutenir" cette action.Une "dizaine" de militants se relaient sur le site, a indiqué le CPTG à l'AFP mardi soir. "Nous, on demande l'abandon de la gare : si la gare est abandonnée, tout le monde partira", a affirmé Bernard Loup, le président du collectif.Cette zone de 280 hectares de terres agricoles, voisines de l'aéroport de Roissy-CDG, avait échappé à l'artificialisation par une décision Emmanuel Macron. Le président avait en effet abandonné le projet de méga-complexe commercial et de loisirs Europacity, en novembre 2019.Les militants, installés depuis le 7 février sur une partie d'un terrain, propriété de l'établissement public foncier d'Île-de-France (EPFIF), défendent un projet agricole alternatif, au lieu de la future gare."Ces militants extrémistes ont une conception très limitée du débat démocratique et du respect de l'autorité dans notre pays", a dénoncé Marie-Christine Cavecchi, la présidente (LR) du département du Val-d'Oise. Elle aussi demande "à l'État de faire évacuer immédiatement ces terrains".La Fnaut (usagers) ne veut pas de la ligne 17La Fédération nationale des usagers de transports (Fnaut) a demandé le gel des travaux de la ligne 17 du futur métro du Grand Paris, qu'elle juge prématurés tant que l'État n'aura pas décidé ce qu'il veut construire sur le Triangle de Gonesse.Notant que "les perspectives d'urbanisation du triangle de Gonesse restent totalement incertaines" après l'abandon du projet de complexe immobilier Europacity, "rien ne permettant à l'heure actuelle d'affirmer que des constructions justifiant une gare seront réalisées dans ce secteur", a écrit la Fnaut au Premier ministre.Une gare qui resterait isolée "au milieu des champs", "constituerait un gâchis d'agent public sans précédent", ajoute-t-elle dans sa lettre à Jean Castex."Nous demandons donc le gel de tous les travaux de la ligne 17 au nord de l'aéroport du Bourget et notamment ceux de la gare du Triangle de Gonesse, tant que l'avenir de cette zone n'a pas été totalement défini, d'autant que cette urbanisation est de plus en plus contestée", ajoute la Fnaut.Plus généralement, la Fnaut demande un débat public sur les besoins d'aménagement et de transports dans ce secteur.Plus de 40% de la fréquentation de la ligne 17, qui doit relier en 2030 Saint-Denis à l'aéroport de Roissy via le parc des expositions de Villepinte, devaient en effet venir d'Europacity, relève-t-elle."Cumulée avec l'incertitude sur le terminal 4 de Roissy, la rentabilité socio-économique de la ligne 17 n'est plus du tout établie", d'autant que la zone n'est pas très peuplée, assure-t-elle.Les 3 milliards d'euros que doit coûter la ligne devraient être réaffectés à d'autres projets de transports publics de la banlieue nord de Paris en manque de financement, plaide la Fnaut."Qu'on fasse ou qu'on ne fasse pas Europacity, la ligne 17 garde son utilité" car elle est "un vrai itinéraire des transports du quotidien", a récemment affirmé Thierry Dallard, le président de la Société du Grand Paris (SGP) chargée de construire le supermétro autour de la capitale.Il attend néanmoins de savoir ce que l'État compte construire, ou non, sur le site pour reconfigurer la gare prévue au Triangle de Gonesse, désormais annoncée pour 2028.