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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Batinfo

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Il y a 4 ans et 123 jours

Casse-tête immobilier autour du Village olympique à Tokyo

Les installations, conçues pour accueillir plus de 10.000 sportifs et officiels au Village olympique, doivent être converties après les Jeux en milliers d'appartements avec vue imprenable sur la capitale japonaise, dont certains étaient évalués à 170 millions de yens (1,34 million d'euros).Environ 900 d'entre eux avaient déjà été vendus avant le report des Jeux de juillet 2020 à juillet 2021 en raison de la pandémie de Covid-19, obligeant les nouveaux propriétaires à retarder leur emménagement d'au moins un an.Au total, 24 acheteurs ont sollicité l'arbitrage du Tribunal de première instance de Tokyo en demandant une indemnisation à 10 promoteurs immobiliers, parmi lesquels Mitsui Fudosan, sans fixer de montant."Nous avons demandé à engager des discussions, mais ils ont répondu que ce n'était pas nécessaire", a déclaré leur avocat Hironobu Todoroki à l'AFP."En raison du report, les enfants de certains acheteurs seront obligés de changer d'école lorsqu'ils pourront enfin emménager dans leur nouvel appartement", a ajouté M. Todoroki."Beaucoup ont également vendu leur ancien appartement pour contracter un prêt afin de financer le nouveau", a dit l'avocat, précisant que les acheteurs pourraient engager des poursuites judiciaires formelles si les entreprises refusent de discuter.Aucun promoteur n'a fait de commentaires dans l'immédiat.Le projet compte plus de 20 tours le long de la baie de Tokyo. Le terrain de 18 hectares doit également inclure des écoles, un terrain de jeux, une piscine et un gymnase.Le gouvernement japonais, les organisateurs de Tokyo-2020 et le Comité international olympique assurent que les Jeux pourront se dérouler en toute sécurité cet été, malgré des doutes sur le sort de l'événement alors que la pandémie continue de faire des ravages à travers le monde.
Il y a 4 ans et 123 jours

Près de 250 restaurants en France ont reçu l'autorisation d'ouvrir pour accueillir les artisans du bâtiment

Alors que de nombreux départements sont en vigilance orange pour cause d'intempéries, il est plus que jamais nécessaire que les artisans et leurs équipes (compagnons, salariés et apprentis) puissent profiter d'une pause déjeuner au chaud et au sec.250 restaurateurs dans toute la France ont ainsi obtenu l'autorisation d'accueillir les actifs du Bâtiment. La CAPEB salue cette mesure exceptionnelle qui permet de plus aux restaurateurs de maintenir une certaine activité et qui concerne, dans le secteur de l'artisanat du bâtiment, plus d'un million d'actifs répartis sur l'ensemble du territoire.Jean-Christophe Repon, Président de la CAPEB, déclare : « Avec les conditions hivernales, il devenait urgent de proposer une solution aux artisans du BTP pour leur permettre de se restaurer au chaud et au sec, tout en respectant évidemment les gestes barrières. Leur santé est en jeu ! Cette ouverture exceptionnelle et limitée aux professionnels du bâtiment est une excellente nouvelle pour nos adhérents mais aussi pour les restaurateurs. Je ne peux que me féliciter de l'action de l'U2P et de la CAPEB dans son ensemble qui a permis d'aboutir à ces ouvertures. Et notamment la forte mobilisation de nos CAPEB départementales, comme par exemple hier dans le Bas-Rhin. J'invite évidemment les restaurateurs à ouvrir de plus en plus leurs portes à nos entreprises artisanales ! »
Il y a 4 ans et 124 jours

L'OPPBTP met à jour son Guide de préconisations de sécurité sanitaire pour tenir compte des variants de la Covid-19

Par conséquent, le protocole sanitaire en entreprise, publié par le ministère du Travail, de l'Emploi et de l'Insertion a été révisé le 29 janvier dernier. L'OPPBTP met donc à jour le « Guide de préconisations de sécurité sanitaire pour la continuité des activités de la construction en période d'épidémie de coronavirus SARS-CoV-2 ».L'OPPBTP rappelle que dans le contexte de circulation de différents variants du virus particulièrement contagieux, les professionnels du BTP doivent rester très vigilants et continuer à respecter l'ensemble des gestes barrières, en particulier dans les espaces de restauration. Dans ces espaces, il est possible de déroger à la distanciation physique de 2 mètres en cas d'installation d'écrans de séparation entre les personnes. Dans sa boîte à outils Covid-19, l'OPPBTP propose un choix d'affiches pour faciliter le respect des bons gestes sanitaires, notamment lors des périodes de repas ou de pause.La nouvelle version du guide est disponible sur le site internet de préventionbtp.fr.Par ailleurs, les conseillers en prévention et les formateurs de l'OPPBTP sont toujours disponibles sur le terrain ainsi qu'à distance grâce au service PréventionBTP En Direct. Une base de Questions/Réponses spécifiques sur la Covid-19 y est disponible.Pour télécharger la nouvelle version du guide, cliquez ici
Il y a 4 ans et 124 jours

Le Gouvernement prépare la 5ème période du dispositif des Certificats d'économies d’énergie (CEE)

Les certificats d'économies d'énergie (CEE) constituent un des principaux instruments de la politique de maîtrise de la demande énergétique mise en œuvre par le Gouvernement.La mise en consultation des textes encadrant leur évolution à venir près d'un an avant l'entrée en vigueur de la prochaine période vise à donner de la visibilité à l'ensemble des acteurs concernés sur les principaux paramètres des futures obligations. Il s'agit notamment pour les fournisseurs d'énergie (qui sont les « obligés » du dispositif), de pouvoir préparer l'atteinte des objectifs de baisse de la consommation d'énergie fixés pour cette prochaine période, qui durera 4 ans, jusqu'à la fin de l'année 2025.Le mécanisme des certificats d'économie d'énergie sera conforté en 5ème période tout en veillant à limiter l'impact sur la facture d'énergie des consommateurs : le volume total de l'obligation sera en hausse de 12,5% et s'établira ainsi à 2400 TWhc sur 4 ans (contre 2133 TWhc sur 4 ans pour la période en cours). Sur ces 4 années, les CEE permettront de financer des actions d'économie contribuant pour environ 45 % aux objectifs d'économies d'énergie fixés par la stratégie nationale bas-carbone (SNBC) et la programmation pluriannuelle de l'énergie (PPE).Par ailleurs, le mode de calcul de l'obligation fixée à chaque fournisseur d'énergie évolue, afin d'être plus directement représentatif du volume d'énergie mis sur le marché.La part des bonifications et « coups de pouce », qui augmentent les certificats accordés pour certaines opérations afin d'en encourager le développement, sera limitée à 25% du volume total de l'obligation, afin de renforcer l'efficience générale du dispositif des CEE. Les bonifications seront ainsi recentrées sur les actions qui poursuivent un objectif de décarbonation renforcée, un objectif social ou qui s'accompagnent de garanties de performance.Pour soutenir les ménages les plus précaires, la part de l'obligation dédiée à la lutte contre la précarité énergétique sera portée à 600 TWhc et sera centrée sur les ménages les plus précaires.Les bonifications pour le remplacement d'un chauffage aux énergies fossiles (fioul et gaz) par des énergies renouvelables et les bonifications pour la rénovation performante des logements sont prolongées jusqu'en 2025.« Avec un niveau d'obligation en hausse et des règles de fonctionnement améliorées, nous confortons un levier efficace pour atteindre nos objectifs de baisse de la consommation d'énergie et accompagner nos concitoyens, nos entreprises et nos collectivités territoriales dans la transition énergétique et la lutte contre le changement climatique » a déclaré Barbara Pompili.Retrouvez en ligne le décret et son rapport de présentation, et l’arrêté et son rapport de présentationLes certificats d'économies d'énergies, qu'est-ce-que c'est ?Il s'agit d'un dispositif qui impose aux fournisseurs d'énergie (gaz, électricité, carburants, fioul domestique, chaleur et froid) de soutenir des actions d'économies d'énergie, en proportion des volumes d'énergie qu'ils fournissent.Le dispositif permettra de mobiliser de l'ordre de 20 milliards d'euros sur la période 2022-2025 en faveur d'actions d'économie d'énergie.Pour la seule année 2019, les CEE ont permis l'engagement de plus de 1,4 million d'opérations, dont plus de 700.000 isolations de combles ou planchers et plus de 250.000 installations de système de chauffage performants. Dans l'industrie, l'agriculture ou les transports, ce sont plus de 100.000 opérations qui ont été engagées, pour optimiser par exemple la récupération de chaleur ou le suivi et la régulation des systèmes énergétiques.En 2019 et 2020, le seul « coup de pouce chauffage » a soutenu le remplacement de plus 200.000 chaudières au fioul, très majoritairement remplacées par des systèmes renouvelables (pompe à chaleur, biomasse, géothermie, solaire thermique) et le remplacement de 56.000 chaudières au gaz par des systèmes renouvelables (pompe à chaleur, biomasse, géothermie, solaire thermique).Depuis l'été 2020, le coup de pouce chauffage tertiaire a permis de rénover le chauffage de 600.000 m² de bâtiments tertiaires.En 2020, deux nouveaux coups de pouce pour la rénovation globale performante des logements collectifs et des maisons individuelles ont été créés. Ils permettent aux ménages de financer des travaux de rénovation ambitieux et performants et peuvent être cumulés avec l'aide MaPrimeRénov'.Plusieurs programmes d'accompagnement sont également mis en place dans le cadre des CEE : service public de la rénovation énergétique (à travers le programme SARE qui co-finance avec les collectivités les espaces FAIRE) ; aides au vélo (dont le « coup de pouce vélo », qui a déjà permis la réparation de près de 1,4 million de vélos) ; aides aux bornes de recharge de véhicules électriques (dont 23.000 points de charge installés sur des parkings d'entreprises et de copropriétés ou sur la voirie) ; accompagnement des transporteurs routiers ; formation de référents énergie dans l'industrie ; amélioration de la formation initiale des artisans du bâtiment ; bonification et garantie de prêts éco-énergie pour les TPE-PME des secteurs industriels et tertiaire ; ou encore service d'accompagnement des collectivités locales pour la rénovation de leurs propres bâtiments (programme ACTEE, porté par la FNCCR - fédération nationale des collectivités concédantes et régies).
Il y a 4 ans et 124 jours

Le gouvernement appelle à resserrer les boulons sur le télétravail

Il y a une forme d'"érosion du télétravail" contre laquelle "il faut absolument se remobiliser", a déclaré mardi la ministre du Travail Élisabeth Borne, en marge d'un déplacement à Béthune (Pas-de-Calais). Les services du ministère vont se mobiliser pour "conseiller les entreprises" et "le cas échéant sanctionner", a-t-elle précisé.La ministre a également appelé au "dialogue social" dans les entreprises, ce qui permettra de tenir "compte des difficultés que certains salariés peuvent rencontrer."Élisabeth Borne avait déjà lancé cet appel à la mobilisation lundi soir, au cours d'une visioconférence hebdomadaire avec les partenaires sociaux.Une étude réalisée par Harris Interactive pour le ministère montre une érosion du télétravail à 100%, souligne le ministère.Selon cette enquête, parmi les actifs pouvant télétravailler facilement, 36% n'ont pas télétravaillé la semaine du 18 au 24 janvier, contre 30% la semaine du 2 au 8 novembre. Et la part de ceux télétravaillant à 100% est passé de 45% en novembre à 30% en janvier.Le Premier ministre Jean Castex avait affirmé vendredi que "dans toutes les entreprises où c'est possible, le recours au télétravail sera(it) renforcé". Mais le ministère du Travail avait d'emblée précisé que la règle sur le télétravail restait inchangée dans le protocole sanitaire régissant la vie dans les entreprises mis à jour vendredi.Celui-ci prévoit que le télétravail soit "la règle pour l'ensemble des activités qui le permettent" avec, pour les "salariés en télétravail à 100%, un retour en présentiel (...) possible un jour par semaine au maximum lorsqu'ils en expriment le besoin".La ministre, qui a échangé lundi en visioconférence avec les Direccte (directions régionales des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l'emploi), les a appelées à la vigilance, invitant les inspecteurs du travail à sanctionner les entreprises "si on se rend compte qu'il y a des dérives".Au cours de la réunion de lundi, les syndicats ont appelé à l'ouverture rapide dans les entreprises de négociations sur le sujet. "La meilleure façon d'y arriver c'est le dialogue social. Il faut une convocation rapide des CSE" (comités sociaux et économiques), a déclaré à l'AFP Cyril Chabanier, président de la CFTC.
Il y a 4 ans et 124 jours

Hager Group investit plus de 70 millions d’euros en Alsace

Les travaux de construction du nouveau centre logistique de 27.500m² à Reichstett sont achevés, le bâtiment est prêt à être équipé. En parallèle, la construction d'une nouvelle ligne de fabrication de relais sur le site d'Obernai avance à grands pas.Livraison du nouveau centre logistique internationalPour soutenir ses ambitions de croissance en Europe et acquérir de nouveaux clients, Hager Group adapte son offre logistique. La nouvelle plateforme logistique dans la zone d’activité « Ecoparc Rhénan » à Reichstett sera gérée par le groupe et assurera la livraison des commandes vers l’export (hors France) et le réapprovisionnement des autres entrepôts européens.Démarrée en été 2019, la construction du bâtiment de 27.500 m² est désormais terminée. La livraison est prévue pour le 18 décembre 2020. L'installation de 10 systèmes d'automatisation est déjà en cours et la nouvelle plateforme est sur le point d'être entièrement équipée, pour un démarrage prévu en deux phases l'année prochaine. En mai 2021 seront lancés le stockage et l'expédition des produits surdimensionnés. Fin septembre 2021, débuteront les activités logistiques pour les produits de protection modulaire, comme les disjoncteurs.À l'occasion de la finalisation des travaux du nouvel entrepôt, Daniel Hager, président du directoire de Hager Group, explique : « Le développement de notre réseau logistique est une étape importante pour poursuivre notre croissance. L'ambition est de répondre aux nouvelles attentes du marché et des clients ainsi que d'adapter notre organisation logistique aux évolutions futures ».Cette nouvelle installation représente le plus grand centre logistique de Hager Group et un investissement de de plusieurs dizaines de millions d'euros Une centaine d'employés du groupe y travailleront. L'ensemble de la plateforme permettra de stocker 30.000 références. Jusqu'à 40 camions entreront et sortiront chaque jour, afin de livrer les clients à travers le monde. Cet investissement sur la zone de Reichstett sera suivi par d’autres, toujours dans la logistique, en France et en Allemagne, dans les trois prochaines années. Hager Groupa ainsi signé en septembre 2020 un contrat de location pour une installation logistique à Hammersbach, dans le land de Hesse, près de Hanau, en Allemagne.Nouvelle ligne de fabrication de relais à ObernaiDans le cadre de l’augmentation de ses capacités de production, Hager Group poursuit également ses investissements sur le site industriel d’Obernai, dédié à la production d’appareillage modulaire pour la protection des lignes électriques et des personnes. Les travaux de construction d’une nouvelle ligne de montage de relais de 1 400m² ont débuté durant l’été 2019. Aujourd’hui, le rez-de-chaussée est terminé et l’installation des premiers équipements est en cours. La mise en service est prévue pour l’automne 2021. Cet investissement porte sur la construction du futur bâtiment, mais aussi et surtout sur l’acquisition de nouvelles machines-outils et de nouveaux équipements. Le nouveau bâtiment abritera à la fois la nouvelle ligne de fabrication et des bureaux.« En ces temps d'innovation technologique rapide et d'intensification de la concurrence, ces investissements constituent une étape importante dans la croissance du groupe ; pour devenir une entreprise familiale indépendante qui façonne le monde électrique de demain pour rendre la vie des habitants de notre planète plus sûre, plus agréable et plus respectueuse de l’environnement », ajoute Daniel Hager.
Il y a 4 ans et 124 jours

Nacarat réalise les Villas Saint Jean, un programme de 10 logements haut de gamme

10 logements d'une surface comprise entre 80 et 150 m² verront le jour au 1er trimestre 2023 au sein d'un ensemble de 3 villas, avenue Saint-Jean. Nacarat affirme ainsi sa présence sur la Côte d'Opale et témoigne de son savoir-faire dans la conduite de projet de standing à l'architecture audacieuse.Développées par Nacarat et conçues avec l'atelier Gasnier Gossart Architecture, les Villas Saint-Jean s'inscrivent dans le prolongement de la rue Saint-Jean et viennent combler une « dent creuse » au sein de ce paysage urbain. Elles se composent ainsi de 3 villas réparties sur un socle commun, abritant un total de 10 logements, de 3 à 4 pièces, ainsi qu'une surface commerciale en rez-de-chaussée, de 300 m² environ. Cette dernière permet de créer une jonction commerciale avec la rue Saint-Jean et d'en terminer la promenade. Côté logement, l'accès se fait par l'allée du Verger. Une localisation idéale, au cœur du Triangle d'Or du Touquet–Paris-Plage, qui permettra aux futurs habitants de profiter d'une vie de quartier dynamique et d'une grande proximité avec le front de mer.Sur le plan architectural, les Villas Saint-Jean se démarquent de l'architecture classique des maisons touquettoises, en proposant une architecture contemporaine mettant en exergue des matériaux nobles et naturels tels que la brique, le grès cérame, le zinc ou encore la pierre. La singularité du programme réside dans le jeu de façades qui confère à chaque villa une identité propre. Un aspect premium que l'on retrouve à l'intérieur des logements. Nacarat a, en effet, fait appel au cabinet Mayelle pour l'accompagner sur l'aménagement intérieur et ainsi proposer une qualité de vie et d'usage avec des lieux de vie conviviaux, alliant modernité et confort. Chaque logement est également doté d'un espace extérieur (jardin, balcon, terrasse ou solarium).« Nous sommes ravis de développer ce nouveau programme sur le Touquet–Paris-Plage. C'est une réalisation de standing avec un projet architectural ambitieux, qui marque notre savoir-faire et notre volonté de développer des projets uniques et esthétiques. Cette réalisation nous permettra par ailleurs d'accroître notre visibilité sur la Côte d'Opale, un territoire propice au développement de projets d'exception. »Sébastien Beurel, Directeur de l'Agence Nacarat Hauts-de-FranceFiche techniquePromoteur : NacaratArchitecte : Atelier Gasnier GossartArchitecte d'intérieur : Agence MayelleComposition : 1 bâtiment composé de 3 villas en R+3 de 10 logements entre 80m² et 150m² + 1 surface commerciale en rez-de-chaussée d'environ 300m², divisible en 4.Typologie : du 3 au 4 piècesPerformances environnementales : RT 2012Parking : parking en sous-solLivraison : 1er trimestre 2023
Il y a 4 ans et 124 jours

David Valence président du Conseil d'orientation des infrastructures

L'institution, alors présidée par l'ancien député-maire (PS) de Caen Philippe Duron, avait été créée en 2017 pour faire le tri dans les différents projets d'infrastructures de transports. Son rapport rendu en 2018 sert de référence à la politique d'infrastructures du gouvernement.Elle est restée en sommeil depuis, mais a été maintenue par la loi d'orientation des mobilités de 2019. Un décret publié le 30 décembre lui donne désormais pour mission "d'éclairer le gouvernement sur les politiques d'investissement dans la mobilité et les transports".Le COI "établit plus particulièrement des propositions sur les orientations et priorités des investissements publics (...), et leur financement, en veillant à la cohérence des politiques de l'ensemble des autorités organisatrices concernées et en tenant compte des conditions de maintenance et d'exploitation future de ces investissements", selon ce décret.Le gouvernement a parallèlement nommé six personnalités qualifiées, dont le président de la Fédération nationale des travaux publics Bruno Cavagné qui sera vice-président.Sont également membres du COI le président de l'Agence de financement des infrastructures de transport de France (AFITF), le maire (ex-LR) d'Angers Christophe Béchu, et trois élus locaux représentant les régions, les départements et les métropoles.Les eurodéputées Karima Delli (EELV) et Fabienne Keller (Agir) sont en outre "invitées permanentes à participer aux travaux du conseil d'orientation des infrastructures en raison de leurs compétences en matière de politiques européennes", selon le décret.
Il y a 4 ans et 124 jours

Nouveaux dispositifs d'ouverture sans contact Stylos Smart & Smart Relay Iseo

ISEO, spécialiste des systèmes de sécurité, a développé, des solutions de déverrouillage sans contact, dotées des technologies RFID et Bluetooth. On y trouve le lecteur STYLOS SMART qui peut être activé aussi bien avec un badge qu'avec un Smartphone (jusqu'à 10 mètres de distance) grâce à l'application ARGO et à la technologie Bluetooth. Combiné aux serrures électriques et électronique, aux opérateurs d'ouverture de portes automatiques, aux portes et portails automatiques ou aux ascenseurs, STYLOS SMART représente une solution complète d'ouverture sans contact. Ce dispositif permet en effet de ne plus entrer en contact avec la surface d'un boitier pour composer un code, pousser une porte ou actionner une poignée. Conçu pour être positionné sur des points d'accès, STYLOS SMART trouve des applications dans de multiples lieux et établissements : commerces (points de vente, restaurants, centres de données, …), bureaux, usines, collectivités, habitations, copropriétés, …SMART RELAY est un autre dispositif de la gamme ISEO géré également avec l'application ARGO.Ce système qui se présente sous la forme d'un boîtier permet de piloter une serrure électrique, une porte motorisée ou tout autre actionneur électrique. Il est utilisé pour commander des équipements de contrôle d'accès en intérieur comme en extérieur : porte électrique, porte de garage, portail métallique, portillon, tourniquet d'entrée, …Généralement situé dans une partie cachée du matériel à piloter (faux plafond, coffret du matériel à piloter), il existe en deux versions pour répondre à toutes les configurations d'accès : avec une antenne BLE intégrée à son boitier ou avec une antenne déportée, positionnée à une distance de 3 mètres du boîtier. L'application ARGO permet au gestionnaire de programmer STYLO SMART et SMART RELAY sur site avec un Smartphone : les droits d'accès peuvent être ajoutés, supprimés ou modifiés. Surtout, elle permet d'envoyer à distance des droits d'accès à toute personne équipée d'un Smartphone lui fournissant ainsi une clé virtuelle.ARGO garantit une communication entièrement sécurisée. L'application se connecte directement au dispositif d'ouverture via Bluetooth, sans passer par une connexion Internet, assurant ainsi le plus haut niveau de sécurité grâce à une communication cryptée. ARGO garantit la confidentialité des données et l'authentification grâce à des techniques de cryptographie éprouvées basées sur la norme de chiffrement avancé AES128.
Il y a 4 ans et 124 jours

La trêve hivernale des expulsions prolongée jusqu'au 1er juin

"Cette décision de prolonger entraîne aussi une trêve sur les coupures d'énergie suite à des factures de chauffage impayées", a précisé la ministre dans une interview au Parisien, évoquant la nécessité de donner "une nouvelle chance aux foyers en difficulté".En 2020 déjà, à cause de la pandémie, la trêve avait été repoussée de plus de trois mois.Cette annonce intervient au moment où la fondation Abbé Pierre publie un rapport alarmant: la pandémie de coronavirus a non seulement créé de nouvelles situations de précarité mais aussi aggravé la situation des millions de personnes déjà pauvres et mal-logées en France."D'une crise sanitaire devenue économique, on risque de basculer vers une crise sociale. Nous sommes aujourd'hui face à un risque réel de décrochage de ménages en difficulté", a ajouté la ministre."Il me paraît indispensable de prioriser et d'échelonner les expulsions tout en veillant à ne pas expulser sans solution de relogement ou au moins d'hébergement".Cette dernière a également reconnu qu'il fallait "mieux indemniser les bailleurs dont on n'expulse pas le locataire parce qu'on veut lui donner une seconde chance" précisant qu'elle était pour une automatisation de cette indemnisation.En 2020, 3.500 personnes ont été expulsées de leur logement, selon un rapport parlementaire publié dimanche, une baisse de 79% par rapport à 2019 due à l'extension de la trêve hivernale jusqu'au 10 juillet pour cause de crise sanitaire.
Il y a 4 ans et 124 jours

La ministre du Logement veut la construction de 250.000 logements sociaux en deux ans

"Avec les organismes HLM, les partenaires sociaux, je propose qu'on construise 250.000 logements sociaux en deux ans", a-t-elle déclaré sur BFMTV/RMC précisant que 90.000 logements sociaux avaient été construits cette année, "moins que nos objectifs"."Je lance un défi à tous sur la construction du logement social", a-t-elle poursuivi souhaitant "que le plan de relance 2021-2022 soit l'occasion de rattraper notre retard".Ce "défi" sera financé "avec de l'argent de l'Etat. Et avec l'accord des partenaires sociaux nous allons mettre ensemble 1,5 milliard d'euros avec Action logement qui est l'organisme des partenaires sociaux sur le logement avec la Caisse de dépôt", a-t-elle précisé.Elle a également lancé un appel "aux organismes HLM pour qu'ils se remettent à construire" et aux élus locaux pour qu'ils délivrent des permis de construire.Pour faciliter l'accès au logement, la ministre a indiqué par ailleurs que le dispositif de la garantie Visale qui permet de bénéficier d'une caution garantie par l'Etat, serait étendu aux "salariés qui gagnent moins de 1.500 euros net"."Si les partenaires sociaux le confirment jeudi" cette garantie sera étendue "à tous les salariés qui gagnent moins de 1.500 euros net par mois et ça c'est 6 millions de salariés", a-t-elle ajouté.
Il y a 4 ans et 125 jours

La pression toujours forte sur les prix du logement neuf malgré la crise sanitaire

La plupart des villes concernées par l'augmentation des prix du neufDepuis un an, les prix de l'immobilier neuf, sur le prix d'un appartement de trois-pièces, surface de référence dans la promotion immobilière, ont augmenté quasiment partout dans l'hexagone. Parmi les quelque 150 villes ayant au moins 5 programmes neufs en commercialisation, 6 villes sur 7 enregistrent des prix en hausse sur un an. Du jamais vu ! Seules 21 localités voient leur prix du neuf diminuer en un an.Hausse bien au-delà de l'inflationLe prix moyen d'un trois-pièces a ainsi augmenté de 5,4% en un an, soit bien au-delà de l'inflation, que l'Insee annonce à 0,5% pour 2020. En ce début 2021, il faut donc compter en moyenne 295 887 € pour acheter un trois-pièces dans le neuf en France.« La pénurie de logements neufs disponibles et la forte baisse des permis de construire délivrés avant même l'épidémie de coronavirus et que l'épidémie a accentué, sans oublier le statuquo imposé par le report du second tour des élections municipales expliquent cette pression sur les prix du neuf en 2020 », indique Céline Coletto, porte-parole de Trouver-un-logement-neuf.com. A ces différentes raisons, s'ajoute aussi l'attrait nouveau pour certaines villes moyennes.Pression sur les prix des villes moyennesUne année après le début de la crise du Covid, après avoir testé le télétravail à très grande échelle, après plusieurs périodes de confinement, les envies de vie au vert sont fortes et cela semble se confirmer par l'évolution des prix de l'immobilier neuf dans les villes moyennes, observée par Trouver-un-logement-neuf.com.Parmi les 10 localités enregistrant la plus forte augmentation des prix de l'immobilier neuf depuis un an, on voit des villes moyennes recherchées comme Reims : +19% à une heure de Paris en TGV ; mais aussi de nombreuses villes du grand ouest : Dinard, Vannes, Arras, Brest… « Une hausse qui peut aussi s'expliquer par la fin du Pinel dans ces villes de zone B2 où l'on a en quelque sorte créé la pénurie en freinant le lancement de nouveaux programmes immobiliers, faute de dispositif de défiscalisation », analyse Céline Coletto.A l'inverse, trois grandes métropoles enregistrent une baisse des prix sur le trois-pièces et cela parmi les 10 plus fortes baisses sur un an : Nice : -4,25%, Lille : -3,32% et même Paris : -3,19%. Reste que la capitale est toujours la ville la plus chère de France. Dans l'un de ses arrondissements, le 15e, il faut même débourser en moyenne 1 116 800 € pour acquérir un 3 pièces.Les tops 5 des prix du neufParmi les villes les plus chères de France, on trouve aussi, sans surprise, Issy-les-Moulineaux. En revanche, trois nouvelles localités font leur entrée dans le Top 5 des villes avec les prix du neuf les plus chers : Le Vésinet à 514 200 € après une hausse annuelle de +12% ou encore Clichy à 496 800 €, +14%. Divonne-les-Bains, dans le Genevois français, fait aussi partie de ce Top 5 avec un prix moyen de 451 000 € pour un trois-pièces neuf.A l'inverse, parmi les villes les plus abordables, malgré des prix tous en hausse sur un an, devenir propriétaire d'un trois-pièces à Liffré dans la seconde couronne rennaise est possible à partir de 172 500 €, comme à Saran au nord d'Orléans à 175 400 €. D'autres localités comme Perpignan, Tourcoing, Thionville, présents dans ce Top 5 des prix les plus accessibles ou même Mulhouse, malgré la plus forte hausse annuelle des prix : +33%, pourraient aussi tirer leur épingle du jeu dans cette recherche de villes moyennes à prix abordable.ConclusionEn dépit de la crise sanitaire et économique suite à la pandémie de coronavirus, malgré un recul des ventes aux particuliers de 30% selon les promoteurs de la FPI, les prix de l'immobilier neuf ont continué de grimper en France en 2020, comme le montre les données recueillies et analysées par le site dédié à l'habitat neuf : Trouver-un-logement-neuf.com. L'arrivée de nouvelles équipes municipales ou métropolitaines dans de nombreuses grandes villes a aussi freiné certains projets immobiliers. A voir maintenant si 2021 permettra de relancer la délivrance des permis de construire et surtout, à quel prix ?Les plus fortes évolutions de prix du neuf en France sur un anConsulter ici le prix de l'immobilier neuf ville par villeMéthodologie : une méthode de calcul en temps réelLe prix moyen actuel de l'immobilier neuf en France a été calculé le lundi 25 janvier 2021 pour un appartement neuf de trois-pièces, selon les prix indiqués chaque jour par les annonceurs du site Trouver-un-logement-neuf.com : sur une base minimale de 5 programmes immobiliers neufs différents pour chaque localité, soit plusieurs dizaines de prix de logements neufs comparés.
Il y a 4 ans et 125 jours

Les taux des prêts immobiliers sont restés stables en janvier

Le taux moyen des nouveaux crédits s'était établi au même niveau en décembre après avoir augmenté "de 16 points de base entre mars et juin" avant de perdre 10 points au cours du second semestre, indique dans un communiqué l'observatoire Crédit Logement/CSA, qui associe les principales banques françaises à un institut d'études de marché.Ce taux n'est pour autant pas revenu à son niveau d'avant confinement, ajoute l'Observatoire.En janvier, ce sont les plus hauts salaires qui ont bénéficié des taux les plus intéressants.Ainsi, pour les emprunteurs dont les revenus sont au moins égaux à 3 SMIC le taux moyen a reculé de 3 points de base entre décembre et janvier soit "1,13% pour les 3 à 5 SMIC et 1% pour les 5 SMIC et plus", mais "il s'est accru de 3 points pour les moins de 3 SMIC pour un taux de 1,25%", a indiqué l'Observatoire.La durée moyenne des prêts s'est établie en janvier à 227 mois, son niveau de l'automne 2019, après avoir atteint un niveau jamais observé de 235 mois en octobre.Cette durée moyenne s'était accrue dès le début de l'été "afin d'absorber les conséquences de la hausse des prix des logements" mais elle avait commencé à reculer à partir de décembre, une baisse qui s'est poursuivie en janvier, selon l'organisme.Le nombre de prêts immobiliers a chuté en France en 2020 malgré des taux d'intérêt toujours très bas, l'activité étant plombée par les conséquences de la crise sanitaire au détriment notamment des plus pauvres.Le nombre total de nouveaux prêts a reculé de 18,1% l'an dernier.Fin 2020, "la mise en œuvre du deuxième confinement a affecté les conditions de réalisation des projets immobiliers des ménages et provoqué l'abandon d'opérations envisagées", avait expliqué l'observatoire en décembre.
Il y a 4 ans et 125 jours

La filière bois présente son « Plan Ambition Bois-Construction 2030 »

Cette règlementation doit permettre au secteur du bâtiment, qui compte parmi les plus émissifs du pays, de prendre sa part à la décarbonation de l'économie. Dans ce cadre, les professionnels alertent sur le fait qu'un arbitrage qui consisterait à renoncer ou affaiblir l'ACV dynamique serait catastrophique. En effet, si l'ACV dynamique, pilier incontournable de la RE2020, devenait facultative (renvoyée à un label) et non réglementaire en 2021, pour n'être ensuite qu'hypothétiquement reconsidérée en 2024, alors la France ne tiendrait pas ses engagements pris lors des Accords de Paris pour le secteur du bâtiment.Consciente de l'enjeu historique auquel doit impérativement répondre la RE2020, la Filière Bois Construction se mobilise pour apporter sa contribution à l'effort collectif nécessaire à la décarbonation de la construction française. C'est pourquoi les acteurs de la forêt et du bois-construction s'engagent aujourd'hui solennellement auprès des élus, du Gouvernement et de leurs partenaires en lançant le « Plan Ambition Bois-Construction 2030 ».Ils prennent 10 engagements concrets pour faciliter la transition du secteur du bâtiment vers la neutralité carbone, du renouvellement des arbres à la fin du cycle de vie du bois de construction. Ces engagements stratégiques portent sur la formation, l'emploi, l'investissement, la recherche et le développement, le développement de l'offre en bois français, l'implantation dans les territoires, la mixité des matériaux, la gestion durable de la forêt, la réduction des coûts et enfin le recyclage du bois en fin de vie.La filière bois construction, convaincue que l'enjeu de la décarbonation réunira l'ensemble des métiers de la construction autour d'une vision durable et circulaire de la vie du bâtiment, démontre ainsi qu'elle sera au rendez-vous de la RE2020 et apportera tout son concours à l'avènement d'un secteur de la construction exemplaire. La mixité assumée des solutions constructives et des matériaux ainsi qu'une accélération des mises en chantier dès que l'incertitude sur les arbitrages de la RE2020 sera levée, profiteront économiquement à l'ensemble de la construction. Pour la seule filière bois, ce marché de la construction mixte représente déjà plus de 10 milliards d'euros de valeur ajoutée créée annuellement et 205 000 emplois directs sur les marchés finaux de la construction durable et bas carbone.Le « Plan Ambition Bois-Construction 2030 » : une réponse à la RE 2020La RE2020 doit permettre au secteur du bâtiment d'accélérer sa transition vers la neutralité carbone et de participer à l'effort collectif de décarbonation complète de l'économie. Cette transition et cet objectif ambitieux constituent un remarquable accélérateur d'innovation et de mixité des matériaux, synonyme de valeur ajoutée supplémentaire pour les métiers et l'économie de la construction.L'enjeu est de taille pour le secteur du bâtiment, toujours régi par une norme antérieure aux Accords de Paris sur le Climat – la RT2012 - et frappé par la crise sanitaire et économique. La réussite de cette transition passe donc à travers la RE2020 par l'innovation et une mixité accrue des matériaux. Dans ce contexte la part du bois et des matériaux bio-sourcés est inévitablement appelée à rapidement s'accroitre.10 engagements pour accélérer la transition écologiqueAucun matériau n'est aussi vertueux que le bois et les matériaux biosourcés pour réduire rapidement et durablement l'empreinte carbone du bâtiment. Le « Plan Ambition Bois-Construction 2030 » témoigne de la capacité de la filière bois-construction à répondre à la hausse de l'utilisation des matériaux bois et biosourcés. Il rassemble ses 10 engagements pour accompagner l'ensemble des professionnels de la construction dans la transition qui s'annonce :Former : « Nous nous engageons à accompagner, dans l'acte de construire, les opérateurs de la famille des bâtisseurs en lien avec les organismes de formation. Nous nous engageons également dans un effort de formation continue de nos professionnels, de l'amont à l'aval. »Développer l'emploi : « Nous nous engageons, en augmentant nos capacités de production, à développer l'emploi et à produire de la valeur ajoutée. »Mobiliser les volumes : « Nous nous engageons à favoriser les investissements liés au développement des usines de première et de deuxième transformation vers des produits mixtes, combinant le bois à d'autres matériaux, afin de répondre aux exigences du marché en termes de volume. »Investir en recherche et développement : « Nous nous engageons vers un effort constant en matière de recherche et développement, allant de l'ingénierie à la conception de produits et systèmes constructifs novateurs, afin de favoriser l'essor des marchés de la construction bois et biosourcée. »Développer l'offre en bois français : « Nous nous engageons à favoriser la construction de logements bas-carbone avec une priorité donnée au bois français. »Soutenir l'économie des territoires : « Nous nous engageons à développer des acteurs industriels de référence et des capacités de transformation au cœur des territoires français. »Favoriser la mixité des matériaux : « Nous nous engageons à relever le défi de l'accroissement de la mixité des matériaux auprès des entreprises de la construction, forts de tous les acquis des programmes démonstrateurs menés depuis plusieurs années. »Planter et replanter : « Nous nous engageons à maintenir un effort constant afin de garantir le renouvellement de la forêt française. »Réduire les coûts : « Nous nous engageons à maintenir un effort constant afin de massifier l'utilisation du bois et investir dans des outils de production pour diminuer les coûts. »Recycler le bois en fin de vie : « Nous nous engageons à investir dans les usines biomasse et à optimiser l'utilisation des produits bois en fin de vie. »
Il y a 4 ans et 125 jours

Weber incubateur, un nouveau service dédié aux artisans

Loin d’un simple effet d’annonce, cette volonté s’affirme par des mesures très concrètes, dont le lancement aujourd’hui d’un nouveau service : weber incubateur. Il s’agit d’accompagner les artisans créatifs qui innovent pour réinventer leur métier.« Vous avez l’ébauche d’un nouveau produit, service ou accessoire pour améliorer votre quotidien et révolutionner votre métier, weber incubateur vous apporte toute l’aide nécessaire pour passer de l’idée à la réalité » interpelle Laetitia Lemoigne, Responsable de l’Expérience Client, en s’adressant aux artisans.Le principe est simple : un artisan imagine une solution, notamment pour gagner en confort de travail (la réduction de la pénibilité constituant un thème cher à Weber) mais n’a ni le temps ni les moyens de la concrétiser. Il contacte alors Weber, via la plateforme collaborative incubateur, qui va réaliser une étude de faisabilité approfondie et l’accompagner jusqu’au dépôt de brevet, voire même jusqu’au contrat de commercialisation.Premier bénéficiaire de ce nouveau service, Jean-Jacques Carbon, gérant de l’entreprise F2J CARRELAGE à Rennes (35). Fort du constat que manipuler tous les jours jusqu’à 15 seaux de colle à carrelage de 32 kg en étant en position à genoux s’avérait éreintant (avec notamment des douleurs à l’épaule du fait de le tirer à soi à chaque avancement du sol carrelé), ce carreleur a pensé un dispositif astucieux afin de le déplacer sans efforts et pallier tout risque de TMS¹.« Un chariot qui permet de transporter les seaux de colles en ras de sol avec un centre de gravité relativement bas. C’est un système qui est extrêmement léger, évolutif et qui facilite beaucoup la vie ! » confie l’entrepreneur. Weber incubateur lui a ainsi permis de protéger son invention qui sera distribuée prochainement en France sous la marque Weber (Monsieur Carbon étant bien entendu intéressé financièrement aux ventes de son outil).Pour solliciter incubateur, rien de plus simple : sur www.fr.weber, en accès libre, le candidat remplit un formulaire et poste un pitch décrivant l’unicité de son idée. Il reçoit une confirmation de bonne réception du dossier puis sera recontacté par Weber, sous quelques semaines, pour l’informer des suites données à son projet.1 . (TMS) Troubles musculosquelettiques
Il y a 4 ans et 125 jours

D.Kube, le nouveau conditionnement recyclable et Eco Label qui remplace le pot de peinture

Pourquoi une brique ?Dans sa démarche citoyenne et en parallèle du strict respect de la règlementation Durieu réfléchit constamment aux moyens de rendre ses produits toujours plus en adéquation avec le respect de l'environnement, plus pratiques, plus simples à utiliser… Cela passe aussi bien par l'amélioration ou l'aménagement des formulations que par la recherche packaging.Dans cette optique les équipes de Durieu ont lancé une étude pour un nouveau type d'emballage à la fois pratique à utiliser et à stocker et plus eco-friendly.Les désagréments d'un pot de peinture classiqueDifficile à ouvrir, à refermer,Perte de produit lorsque l'on verse le pot dans un contenant,Coulures de peinture sur le pot…L'idée est donc née de changer complètement de concept pour offrir un nouvel emballage en forme de brique.Les avantages immédiats du D.KUBEÉquipé d'un bec verseur avec bouchon, le versement, l'ouverture, et la fermeture sont facilités.Le stockage est plus simple en magasin et chez le particulier : la forme en brique du nouveau D.KUBE permet de le ranger facilement, sans perdre de place.Recyclage simplifié de la brique une fois son utilisation terminée.Nouvel emballage pour un contenu 100% efficaceL'innovation packaging du D.KUBE n'éclipse en rien une formulation pointue : dans le D.KUBE, on retrouve toute la qualité De Keyn d'une peinture acrylique haut de gamme :Application simple avec un très bon pouvoir couvrant résultant d'une très bonne opacité.Grâce à la qualité de ses résines, la peinture est lavable et offre une résistance renforcée à l'usure du temps.Très beau rendu mat bien garnissant qui permet de masquer les aspérités et les défauts du mur.Le plus - Atout stockage : D.KUBE est parfaitement adapté à son nouveau contenant avec une très bonne stabilité des pigments et l'absence de sédimentation, ce qui permet de garder la peinture longtemps ouverte ou non.Explications : une fois ouverte D.KUBE se conserve très bien (plusieurs années) dans des conditions normales de stockage. En effet au fur et à mesure de l'utilisation, la poche à l'intérieur de la brique se dégonfle et évite l'entrée de l'oxygène qui pourrait oxyder la peinture restante. Le produit se trouve alors naturellement à l'abri de l'oxygène et des bactéries et se conserve ainsi encore plus longtemps.Déco infinie : 45 teintes hyper tendance, blanc inclus.
Il y a 4 ans et 125 jours

Un nouveau Cerema pour un monde en grande mutation

Le Cerema opère sa mue en capitalisant sur ses forces qu'il met au service des territoires engagés dans une démarche résiliente.Mieux adapté aux problématiques de terrain des collectivités et des aménageurs qui y œuvrent au quotidien, il se positionne résolument comme un tiers de confiance engagé durablement pour plus d'efficacité pour affronter les défis actuels et futurs. Une vision moderne portée par une direction en phase avec les enjeux environnementaux à l'échelle globale comme aux échelles locales les plus fines.Cette mue se traduit aussi par une nouvelle identité visuelle et coïncide avec l'arrivée d'une nouvelle présidente, Marie-Claude Jarrot, élue de terrain pour qui la résilience des territoires est un enjeu concret et essentiel.Afin de clarifier son action, le Cerema se positionne sur six grands domaines d'expertise tous liés à l'adaptation au changement climatique :Expertise et ingénierie territorialeBâtimentsMobilitésInfrastructures de transportEnvironnement et risquesMer et littoralIl propose des solutions, sur-mesure aux collectivités, maîtres d'ouvrage, entreprises ou porteurs des politiques publiques.Partenaire des territoires, le Cerema veille plus que jamais à s'adapter à leurs besoins afin de les accompagner dans leur transition pour les aider à gérer l'inévitable et à éviter l'ingérable.
Il y a 4 ans et 125 jours

Bouygues retenu pour le chantier de rénovation de la gare du Nord

"Au terme d'un appel d'offres, nous avons retenu Bouygues Bâtiment Ile-de-France comme attributaire pressenti des travaux de rénovation qui représentent 600 millions sur les 900 millions du projet au total pour StatioNord, en y incluant l'aménagement des abords de la gare, les frais financiers, les taxes etc..", déclare Aude Landy-Berkowtiz, présidente du directoire de StatioNord.En ajoutant une passerelle piétonne et cyclable devant surplomber les voies qui ne relève pas du même budget, un parking souterrain et un nouveau bâtiment SNCF, le projet total dépassera la barre du milliard d'euros.Les travaux qui devraient être lancés d'ici juin, "sans attendre la délivrance du permis modificatif et la purge des recours, comme le droit de l'urbanisme nous le permet", dureront quatre ans, puis StatioNord exploitera les espaces commerciaux jusqu'en 2065, indique la dirigeante.Selon Mme Landy-Berkowitz, les travaux vont générer 450 emplois, puis 1.800 emplois directs permanents pour les diverses activités de la gare, hors SNCF.Un accord avait été conclu fin 2020 avec la mairie de Paris sur la forme finale de la gare qui devrait avoir un peu moins de surfaces commerciales et un peu plus de parkings à vélos qu'initialement prévu.Le Terminal TransManche, d'où part l'Eurostar, devrait être livré "à temps pour la Coupe du monde de rugby de 2023" et "tous les ouvrages ferroviaires seront opérationnels pour les Jeux Olympiques de 2024" prévus à Paris, ajoute-t-elle.Le projet comporte peu de démolitions, et le principe d'une construction en métal et verre, qui ne nécessite qu'un assemblage d'éléments, a été retenu pour accélérer le chantier et minimiser les nuances.Plus de 700.000 personnes transitent chaque jour dans cette gare aujourd'hui "et 900.000 sont prévus en 2030", selon Mme Landy-Berkowitz.
Il y a 4 ans et 125 jours

Un chef d'œuvre de l'Art nouveau ouvre ses portes au public à Bruxelles

"C'est peut-être plus important encore en temps de Covid de pouvoir passer un moment relax au milieu de cette beauté totale", sourit (derrière son masque) Pascal Smet, secrétaire d'Etat au Patrimoine dans l'exécutif de la région bruxelloise.Cet élu de la capitale fait office de guide ce jour-là pour une poignée de journalistes dans l'Hôtel Solvay. Et il emploie l'adjectif "total" à dessein pour décrire cet hôtel particulier de trois étages, à la cage d'escalier majestueuse où la lumière naturelle entre par un vitrail multicolore.Construit par Horta entre 1895 et 1903 pour un fils de l'industriel belge Ernest Solvay, le lieu a conservé, dans leur version originale, la gamme complète des réalisations du maître de l'Art nouveau. Qui concevait la structure (apparente) du bâtiment mais dessinait aussi le mobilier des pièces à vivre, radiateurs et poignées de porte compris."Cela donne le sentiment du bâtiment parfait, tout a été pensé dans le moindre détail", poursuit Pascal Smet dans ce décor jaune-orange-beige où la couleur chaude des fauteuils est assortie à celle des boiseries.L'Unesco a inscrit l'Hôtel Solvay sur la liste de son patrimoine mondial au début des années 2000.Selon l'organisme des Nations unies, c'est "l'œuvre la plus ambitieuse et la plus spectaculaire de Horta qui nous soit parvenue de la période Art nouveau", un style qui à la fin du XIXe siècle révolutionna l'architecture avec son esthétique des courbes, appliquée à des matériaux nouveaux à l'époque (verre et acier)."Sauvé de la démolition"L'hôtel particulier a connu une histoire mouvementée après la mort de son premier propriétaire en 1930.Endommagé par une bombe allemande pendant la Deuxième guerre (il a fallu reconstruire le vitrail principal), il a été "sauvé de la démolition" à la fin des années 50, quand un couple dirigeant une maison de haute couture a décidé de le racheter pour en faire son atelier.A l'époque, l'Avenue Louise, le large boulevard où l'édifice est situé, voyait se multiplier les grands immeubles de bureaux, et les constructions Art nouveau étaient même menacées par les promoteurs, assure l'actuel propriétaire, Alexandre Wittamer, petit-fils du couple."Cela paraît difficile à imaginer mais dans les années 50-60 à Bruxelles tout était autorisé, et c'est arrivé qu'on démolisse des bâtiments Art nouveau, qu'ils soient d'Horta ou d'autres architectes", raconte ce quadragénaire, cadre dans la finance, qui organise désormais les visites.Pour l'instant, ce joyau architectural ne sera accessible que les jeudis et samedis, à condition d'avoir réservé préalablement un créneau horaire sur internet (le site hotelsolvay.be). C'est le principe appliqué par tous les musées belges, restés ouverts malgré la pandémie.Faute de touristes étrangers (pas les bienvenus en ce moment), la région de Bruxelles, partenaire financier, joue la carte de la clientèle nationale et du "beau bâtiment méconnu des Bruxellois", selon M. Smet.Depuis les années 80, après la fin de l'activité de couture, l'Hôtel Solvay servait à des événements privés et ne se visitait qu'à de rares occasions comme les Journées du patrimoine.L'ancienne maison personnelle de Victor Horta (1861-1947) où il avait aussi son atelier, tout près de là, est devenue un musée en 1969.
Il y a 4 ans et 126 jours

La FFB dénonce la signature de deux conventions collectives du bâtiment inadaptées

Cette signature inopportune intervient dans une période de grandes difficultés pour les artisans et entrepreneurs du bâtiment qui doivent faire face à des enjeux actuels sans précédents : maintien de l’activité économique, sauvegarde de l’emploi et soutien à l’apprentissage, protection des salariés pendant la crise sanitaire, ouverture des restaurants pour les compagnons, etc.« Cette initiative déstabilise les artisans et entrepreneurs en cette période critique. Dans ce contexte déjà très difficile dû à la crise sanitaire Covid, la FFB, majoritaire chez les artisans et les entreprises, dénonce ces accords qui déséquilibrent et sèment le trouble dans le bâtiment. Il est primordial, au contraire, d’enclencher une démarche innovante pour renforcer le dialogue social et mutualiser nos forces, au bénéfice de toutes les entreprises, et non pas de casser le secteur en deux. Nous prendrons nos responsabilités quant à la suite à donner. Pour le moment, toute notre énergie est concentrée sur la sauvegarde de l’activité et sur le soutien de nos adhérents. C’est bien là l’essentiel ! »Olivier Salleron, président de la FFB
Il y a 4 ans et 126 jours

Pour 2022, les salons Batimat, Idéobain et Interclima se réinventent

En proposant un format AUGMENTÉ grâce au digital, Reed Expositions France, l'Afisb[1] et Uniclima[2] entendent également accompagner les professionnels toute l'année pour les aider à saisir l'ensemble des opportunités du secteur et découvrir les innovations.Plus de convivialité : le Mondial du Bâtiment revient à ParisDepuis 2013, toutes les demandes allaient dans ce sens : faire revenir le Mondial du Bâtiment au cœur de Paris. C'est chose faite pour l'édition 2022 qui réintègre donc le parc d'exposition rénové de la Porte de Versailles. Ce retour est largement plébiscité puisque 93,6% des exposants et 97,9% des visiteurs ont exprimé leur intention de venir à la prochaine édition des salons[3].Programmés du 3 au 6 octobre 2022, les salons Batimat, Idéobain et Interclima occuperont 6 pavillons, soit plus de 140 000 m² d'exposition.En un seul et même lieu, tous les professionnels auront accès aux innovations, conseils et démonstrations pour expérimenter et appréhender toutes les évolutions de leur secteur. Mais audelà de ces 4 jours, le Mondial du Bâtiment souhaite également animer la communauté des professionnels et créer du lien tout au long de l'année grâce à une stratégie qui mise sur la complémentarité du digital et de la présence physique.Plus économiques : les salons apportent un meilleur retour sur investissement pour les exposants Sur les six pavillons qu'occuperont les salons Batimat, Idéobain et Interclima, le nouveau format d'exposition limite la taille des stands à 99 m² par société, avec la possibilité d'inclure un étage. Il simplifie également l'implantation des pavillons avec des modules de stand multiples de 9. Les surfaces prévues pour chaque stand s'échelonnent ainsi de 9 à 99 m² soit 9 m², 18 m², 36 m², 54 m² et 99 m².Cette refonte de l'implantation apporte de multiples avantages aux exposants : choix de l'emplacement dès l'inscription, augmentation significative du retour sur investissement (ROI) par une réduction des coûts d'exposition et du passage à 4 jours pour tous les salons.Par ailleurs, les stands de 9, 18 et 36 m² seront proposés avec une gamme d'aménagement clés en main à personnaliser. Cette nouveauté répond à une demande des exposants de simplifier la préparation des salons, et permettra d'améliorer les flux logistiques autour de la porte de Versailles.Plus hybrides : les salons se digitalisent pour devenir des salons augmentésDepuis plusieurs années, le Mondial du Bâtiment et les salons Batimat, Idéobain et Interclima sont engagés dans une démarche qui vise à animer la communauté des professionnels entre deux éditions et pas uniquement sur 4 jours de présence physique. Cette anticipation a notamment permis d'acquérir une forte expertise en matière de référencement sur les moteurs de recherche comme Google que les professionnels du secteur utilisent de plus en plus.Fort de cet acquis, Reed Expositions France, l'Afisb et Uniclima proposeront à partir de mai 2021, des salons « AUGMENTÉS » grâce à un blog unique. Celui-ci complètera l'usage des sites internet dédiés aux salons physiques en regroupant les univers métiers des 3 salons du Mondial du Bâtiment. Les professionnels pourront y entrer en contact avec les marques, donner leur avis ou leurs appréciations et ils disposeront d'outils adaptés à leurs besoins :Des fiches produits conçues avec les codes du e-commerce ;Un annuaire de fournisseurs, avec les produits/services proposés ;Des show-rooms virtuels ;Des vidéos démos ;Des contenus sur les métiers qu'ils retrouveront sur les salons physiques.Toujours en amont des salons physiques, Batimat, Idéobain et Interclima initient une matinale, « Les rendez-vous du Mondial du Bâtiment ». Diffusée sur Batiradio en podcasts et en format vidéo, elle décryptera les grandes tendances de la construction pour animer les communautés et favoriser les échanges entre professionnels face aux enjeux du secteur.Enfin, durant les 4 jours de l'édition 2022, les salons Batimat, Idéobain et Interclima proposeront une expérience digitale permettant d'assister à distance à une grande partie des contenus des salons physiques.Les rendez-vous du Mondial du BâtimentÀ retrouver une fois par mois, chaque premier vendredi à partir du 2 avril de 9h00 à 12h30. Cette matinée, destinée à toute la communauté des professionnels du bâtiment, décrypte les sujets phares du secteur en présence des plus grands experts. Ces rendez-vous fédérateurs, préparés en partenariat avec l'Afisb, l'ACIM, CCCA-BTP, Construction 21, Hors-Site, Plan Bâtiment Durable, Uniclima.Chaque mois des thématiques récurrentes : Le rendez-vous France Relance ; Le Grand Dossier du Mondial du Bâtiment ; La rénovation énergétique dans les territoires ; Le décryptage RE2020 ; Les métiers ; La Construction 4.0 ; Les Tendances et le Design. Ce programme LIVE s'accompagne de vidéos de pitchs Innovation et d'un programme de replays.Les thématiques 2021 :2 avril : En quoi la RE2020 va-t-elle permettre de construire durable ?7 mai : REP : quels enjeux pour le secteur du bâtiment ?4 juin : Accessibilité : pourquoi le zéro ressaut en salle de bains impacte-t-il tout le bâtiment ?2 juillet : Quelles solutions pour réduire l'empreinte carbone des chantiers ?3 septembre : Énergies renouvelables1er octobre : Rénovation5 novembre : Industrialisation du bâtiment3 décembre : Qualité de l'air.Ce programme est conçu pour répondre aux souhaits des professionnels de disposer d'un rendez-vous périodique et synthétique pour suivre de manière régulière les toutes thématiques fortes de transformation du secteur.Plus engagés : les salons deviennent plus sobresL'arrivée à Porte de Versailles et les nouvelles attentes des visiteurs et des exposants sont aussi l'occasion pour le Mondial du Bâtiment de lancer une démarche d'amélioration sur des sujets RSE fondamentaux. Batimat, Idéobain et Interclima prennent leurs responsabilités et s'engagent sur 4 ambitions prioritaires pour faire de l'édition 2022 une édition exemplaire :Réduire l'empreinte carbone : dès 2022, les organisateurs du Mondial du Bâtiment mesureront l'empreinte carbone des salons et mettront en œuvre une série d'actions concrètes dont l'optimisation des process logistiques et de transport, l'accès au site privilégiant les mobilités écologiques, et l'écoconception des aménagements, des zones communes et des stands packagés.Améliorer la gestion des déchets : avec pour ambition d'atteindre à terme le zéro déchet, les organisateurs du Mondial du Bâtiment ont pour objectif de réduire les déchets des salons d'au moins 10% en 2022, d'accroître la circularité des matériaux utilisés, d'améliorer le dispositif de tri et de mieux gérer les déchets grâce à des systèmes d'analyse, de traçabilité et de pilotage.Mettre en place une offre de restauration responsable en luttant contre le gaspillage et en gérant les surplus, en valorisant les bio déchets et en adoptant des conditionnements et une alimentation responsables.Privilégier les achats responsables en favorisant les achats auprès du secteur du travail protégé et adapté (STPA), en intégrant des critères RSE aux politiques d'achats et notamment dans le choix des fournisseurs et en privilégiant des produits et des services écoconçus et respectueux de l'environnement.« Nous sommes convaincus que le bâtiment, la ville et les territoires seront au centre des transformations sociétales des dix prochaines années. Et nous sommes intimement persuadés que notre rôle est d'une part d'anticiper ces changements et d'autre part d'accompagner les professionnels chaque jour pour les aider à saisir toutes les opportunités qui peuvent s'offrir à eux. C'est avec cette ambition que nous avons repensé le Mondial du Bâtiment et ses 3 salons. »Guillaume Loizeaud, Directeur du Mondial du BâtimentAvec cette stratégie innovante combinant physique et digital, les salons Batimat, Idéobain et Interclima souhaitent fédérer l'ensemble des professionnels du secteur du bâtiment et accroître le nombre d'exposants de 15% pour l'édition 2022.[1] Afisb, Association Française des Industries de la Salle de Bains, propriétaire du salon IDÉOBAIN.[2] Uniclima, Syndicat des industries Thermiques, Aérauliques et Frigorifiques, propriétaire du salon INTERCLIMA.[3] Sondage réalisé entre le 19 et le 26 janvier 2021. Bases contacts 2017 et 2019. Répondants : 141 exposants et 3507.
Il y a 4 ans et 126 jours

Le nombre d'auto-entrepreneurs en forte progression à fin juin 2020

Bien qu'encore soutenue, cette progression ralentit nettement aux deux premiers trimestres 2020, en lien avec la forte décélération des immatriculations enregistrée dans le contexte de la crise sanitaire du Covid-19 et de la crise économique afférente. Celles-ci augmentent de 6,4% sur un an au deuxième trimestre 2020, contre 22,1% un an auparavant.846 000 auto-entrepreneurs déclarent un chiffre d'affaires positif au deuxième trimestre 2020, soit 8,0% de moins que l'année précédente. Ces auto-entrepreneurs représentent 44,5% des inscrits (46,6% si l'on exclut les comptes qui auraient dû être radiés), en baisse de 14,4 points par rapport à l'an passé (-12,3 points avec simulation des radiations).Le chiffre d'affaires trimestriel global diminue de 18,9% sur un an. Cette baisse épargne de très rares activités, notamment celles de poste et de courrier, qui sont toutefois en ralentissement. Le chiffre d'affaires trimestriel moyen diminue de 11,9% sur un an, passant sous la barre des 4 000 euros (3 792 euros contre 4 303 euros un an auparavant).L'hébergement, les taxis et VTC, les arts, spectacles et autres activités récréatives, la restauration et débits de boissons, et le commerce de détail sur marchés sont les secteurs les plus impactés par la crise.Le nombre d'auto-entrepreneurs économiquement actifs diminue sensiblement dans toutes les régions métropolitaines, et plus particulièrement en Île-de-France.
Il y a 4 ans et 126 jours

Combien coûterait un reconfinement à l'économie et aux finances publiques

Impact sur l'activitéSelon plusieurs économistes interrogés par l'AFP, un confinement d'un mois, avec un niveau de restrictions globalement similaire à celui observé en novembre, amputerait le produit intérieur brut (PIB) d'environ un point, soit un peu plus de 20 milliards d'euros, sur l'année.Sachant que le couvre-feu pénalise déjà l'activité, "le premier trimestre sera certainement un trimestre de récession", avance Ludovic Subran, chef économiste de l'assureur Allianz.Selon le ministère de l'Économie, le confinement pourrait entraîner une perte mensuelle d'activité allant de 10 à 18% par rapport au niveau d'avant la crise. En novembre, l'activité avait baissé de 12% par rapport à son niveau de fin 2019 et en avril, de plus de 30%.Le ministre de l'Économie Bruno Le Maire a aussi reconnu mercredi qu'en cas de nouvelles mesures de restrictions, "bien entendu, nous aurons une croissance qui ne pourrait pas atteindre les 6% en 2021", comme le prévoit pour l'instant le gouvernement.Nouvelles dépenses et pertes de recettesActuellement, avec le couvre-feu à 18H00, "les aides coûtent environ 6 à 7 milliards d'euros par mois à l'État", montant auquel il faut ajouter les pertes de recettes fiscales, ce qui conduit à plus de 10 milliards d'euros, selon le député LREM et rapporteur général du budget à l'Assemblée Laurent Saint-Martin."En confinement, si on est sur le format du mois de novembre dernier, cela va probablement coûter encore plus cher (...) ça peut approcher les 15 milliards d'euros toutes dépenses et non-ressources confondues", a-t-il affirmé sur Radio J dimanche dernier.Les trois principales mesures de soutien mises en place par le gouvernement sont le fonds de solidarité pour les entreprises, la prise en charge du chômage partiel et les exonérations de charges.Pour le mois de novembre par exemple, le gouvernement a dépensé plus de 4 milliards d'euros au titre du fonds de solidarité, et l'addition pourrait encore monter car les entreprises ont jusqu'au 31 janvier pour en faire la demande.Le chômage partiel a concerné 3,1 millions de salariés en novembre pour un montant de 2,3 milliards d'euros, selon les chiffres de la Dares.A cela s'ajoutent de possibles aides supplémentaires pour soutenir les secteurs qui restent très touchés par la crise. Bruno Le Maire a ainsi évoqué mercredi au Sénat la possibilité de convertir certains prêts garantis par l'État en subvention, si Bruxelles donne son feu vert.Comment l'État va financer ces aidesLe gouvernement a été "prévoyant" en 2020, a affirmé à plusieurs reprises Bruno Le Maire. De fait, sur le budget prévu pour financer les aides, 28,8 milliards d'euros n'ont pas été dépensés l'an dernier. Cette enveloppe est donc disponible pour cette année, même si environ 9 milliards sont déjà préemptés pour financer les aides attribuées au titre de 2020, mais qui n'ont pas encore été payées.La semaine dernière, le ministre avait indiqué qu'à situation sanitaire constante, le gouvernement pouvait "tenir 3 mois et demi" sans avoir besoin de réabonder le budget 2021.Mais en cas de reconfinement, il faudra en passer par un projet de loi de finances rectificative.Il pourrait survenir "probablement à la fin du premier trimestre (...) fin mars-début avril, mais cela peut-être accéléré en fonction des besoins", selon Laurent Saint-Martin.
Il y a 4 ans et 126 jours

3 acteurs majeurs s'associent pour faciliter le renouvellement du parc de chaudières à gaz et réduire la consommation énergétique des ménages

L'opération Coup de Pouce Chauffage du ministère de la Transition écologique et solidaire encore active en 2021 permet d'offrir un financement extrêmement attractif, pouvant aller jusqu'à la totalité du montant des remplacements, pour des travaux engagés jusqu'à la fin de l'année. 2021 devrait être la dernière année pour bénéficier du Coup de Pouce Chauffage du ministère de la Transition écologique et solidaire pour ce type d'opération.L'objectif du partenariat entre Chaffoteaux, Cheminées Poujoulat et Sonergia est de faire bénéficier de cette offre à de nombreux bailleurs et gestionnaires de parcs de logements, grâce à la mobilisation d'un large éventail de services et d'équipements : conduits d'évacuation, chaudières, financement et suivi administratif. Déjà plus de mille foyers ont bénéficié du partenariat.« Remplacer des chaudières à condensation implique le surcoût, souvent oublié, du remplacement des systèmes d'évacuation de fumées. Ce partenariat permet à la fois d'aider les maîtres d'ouvrage à passer outre cet obstacle et d'œuvrer à la réduction de l'impact environnemental de leurs logements. »Jean Louis Prost, Directeur des ventes et du développement Chauffage de Poujoulat« Ce partenariat est une très belle opportunité pour les bailleurs de valoriser leur parc de logements et d'améliorer le confort quotidien de leurs locataires grâce au système de régulation très performant de nos chaudières »Félix Cazères, Responsable prescription secteur résidentiel de Chaffoteaux« Nous sommes très heureux de cette association avec deux fleurons historiques de l'industrie du chauffage. Ce partenariat va permettre le déploiement d'équipements performants auprès de ménages logés par des bailleurs ou des résidents de copropriétés qui pourront réduire leur consommation de gaz avec un gain direct sur leur facture.»Franck Annamayer, président de Sonergia et cofondateur du GPCEE
Il y a 4 ans et 126 jours

Engie et Neoen dévoilent un gros projet solaire en Gironde

Le projet, baptisé Horizeo, doit s'implanter sur la commune de Saucats. Il prévoit "un parc photovoltaïque d'une puissance d'un gigawatt, pour une production d'électricité équivalente à la consommation annuelle de plus de 600.000 personnes", détaillent les deux entreprises du secteur énergétique dans un communiqué commun.Autour du parc sont aussi prévus des batteries de stockage d'électricité, une unité de production d'hydrogène vert, un centre de données et une surface associant agriculture et production d'électricité solaire.Le projet s'étend sur une surface boisée d'environ 1.000 hectares et supposera par conséquent une "autorisation de défrichement". Les entreprises s'engagent toutefois à "des boisements compensateurs supérieurs à la surface concernée".La Commission nationale du débat public (CNDP) a décidé d'organiser un débat public sur Horizeo.Outre sa taille, le projet se distingue également par son modèle économique. L'électricité d'origine solaire serait en effet revendue dans le cadre de contrats de gré à gré et non via les appels d'offres publiques, avec les subventions attachées."Horizeo est un projet d'envergure qui entend démontrer qu'il est possible d'accélérer la transition énergétique en France en proposant directement à des entreprises une énergie renouvelable compétitive", a souligné Paul-François Croisille, directeur général adjoint de Neoen, cité dans le communiqué.
Il y a 4 ans et 126 jours

La CAPEB, la FFB et l'OPPBTP lancent le site internet des Règles de l'art pour réduire l'exposition au risque amiante lors de travaux en sous-section 4

Pour cette raison, la CAPEB, la FFB et l'OPPBTP, avec le soutien du PACTE et de l'Etat, ont uni leurs efforts afin d'élaborer les « Règles de l'art des travaux courants d'entretien et de maintenance sur matériaux amiantés dans les bâtiments » (sous-section 4).Le projet « Règles de l'art Amiante » s'appuie sur le geste métier et les retours d'expérience pour proposer des modalités d'intervention sur matériaux et produits contenant de l'amiante dans le cadre de travaux en sous-section 4. Afin de promouvoir ces solutions opérationnelles auprès du plus grand nombre de professionnels, les partenaires ont développé des outils simples, accessibles et pédagogiques, désormais mis à disposition sur un site internet dédié : www.reglesdelartamiante.fr.Accompagner l'ensemble des professionnels sur les travaux en sous-section 4 (SS4)En matière d'intervention sur des matériaux ou produits contenant de l'amiante (MPCA), chaque entreprise est tenue de former ses équipes et d'établir des modes opératoires pour la réalisation des travaux conformément à la réglementation du travail. Si les entreprises certifiées pour le retrait de matériaux et produits amiantés sont aguerries, cette tâche s'avère particulièrement complexe pour la majorité des entreprises du bâtiment, dont le cœur de métier n'est pas les interventions sur matériaux amiantés. Les Règles de l'art Amiante visent ainsi à accompagner ces entreprises formées en sous-section 4 (intervention d'entretien et de maintenance des matériaux et produits contenant de l'amiante) afin qu'elles s'approprient les gestes de prévention amiante, en complément de leur gestes « métier ».Né de discussions au sein du Plan Recherche et Développement Amiante (PRDA), le projet est piloté par l'OPPBTP, en partenariat avec la CAPEB et la FFB. Il est par ailleurs soutenu par les pouvoirs publics (DGT, DHUP) et par le Programme d'Action pour la qualité de la Construction et la Transition Energétique (PACTE).Définir des modalités d'intervention en se basant sur les gestes métiers et le retour d'expérienceLes Règles de l'art Amiante s'inscrivent aussi dans la continuité de la campagne « Pas formé, pas toucher » et du projet CARTO Amiante initié en 2014 par la profession, piloté par l'OPPBTP en partenariat avec la Direction Générale du Travail et l'INRS, qui a permis d'établir une cartographie représentative de l'empoussièrement amiante des processus de travail les plus courants du BTP en sous-section 4 (SS4). Les Règles de l'art Amiante ont pour vocation de rendre plus concrètes les préconisations issues de ces mesures en les mettant en œuvre de manière opérationnelle sur les chantiers. Elles décrivent ainsi des modalités d'intervention reconnues et validées que les entreprises pourront s'approprier.Afin de faire de ces modalités d'intervention de véritables pratiques de référence, la CAPEB, la FFB et l'OPPBTP ont travaillé sur une vingtaine de situations courantes lors d'interventions d'entretien et de maintenance en SS4. Celles-ci concernent des métiers représentatifs du secteur : couvreurs, peintres / soliers, façadiers, plâtriers, maçons, plombiers, électriciens et carreleurs.Des groupes de travail composés d'experts de l'OPPBTP et de représentants de quatre entreprises volontaires de même métier, recrutées par la CAPEB et la FFB, ont établi les premières versions de ces Règles de l'art, basées sur les retours d'expérience et la réflexion de ces groupes d'entreprises réunis dans huit régions distinctes.Ces travaux ont ensuite reçu l'approbation d'un Comité réunissant des représentants de la filière construction (CAPEB, FFB, AQC, USH et UNSFA), des préventeurs (OPPBTP), des assureurs (FFA), et des pouvoirs publics (DGT et DHUP).Un site internet complet pour diffuser les solutions opérationnelles au plus grand nombreAfin de rendre les Règles de l'art accessibles au plus grand nombre d'intervenants formés en SS4, la CAPEB, la FFB et l'OPPBTP lancent le site internet dédié www.reglesdelartamiante.fr. Intuitif et offrant un accès facile aux solutions opérationnelles, le site répertorie en libre accès, sur PC et mobile, l'ensemble des modalités d'intervention établies sous forme de fiches pratiques « Règles de l'art Amiante ». Celles-ci sont accessibles grâce à une recherche par métier, par technique ou à l'aide d'un moteur de recherche intelligent.Aujourd'hui, une dizaine de fiches correspondant à différentes interventions sont déjà disponibles. Simples et pédagogiques, elles détaillent chaque modalité d'intervention sur MPCA par des illustrations particulièrement axées sur le geste métier, afin d'en favoriser une appropriation optimale. Ainsi, les professionnels retrouvent sur chaque fiche un listing du matériel, des consommables et des EPI nécessaires à chaque situation, suivi des grandes étapes d'une intervention : la préparation, l'intervention en elle-même, le repli et la décontamination.Afin de favoriser le partage des bonnes pratiques, chaque fiche peut être téléchargée en format PDF, imprimée ou envoyée directement par mail à un collaborateur.Destiné à évoluer, le site internet sera progressivement enrichi de nouvelles fiches. Il sera également complété de deux modules de mise en situation en « serious game », permettant aux intervenants de visualiser et de s'approprier les Règles de l'art Amiante SS4 avant une intervention ou lors d'une formation.Faire évoluer les modalités d'intervention sur matériaux et produits amiantésLes fiches Règles de l'art Amiante s'appuient sur les résultats et les innovations techniques issus notamment des travaux du PRDA et de la CEVALIA.Ces nouvelles solutions opérationnelles permettent d'adapter les moyens de protection collective et les équipements de protection individuelle nécessaires à chaque type d'intervention. C'est le cas en particulier des « fiches d'intervention ponctuelle », dédiées à des interventions de courte durée, non répétitives et de faible empoussièrement, pour lesquelles, en raison des très faibles empoussièrements constatés, un seul opérateur est requis, avec des moyens d'intervention, de repli et de décontamination plus simples à mettre en oeuvre. Ces fiches permettent de poursuivre l'ambition pédagogique de sensibiliser les professionnels quant à la nécessité absolue de mettre en place des mesures de protection dès lors qu'ils interviennent en présence d'amiante.« Près des 2/3 de notre chiffre d'affaires sont réalisés en entretien et amélioration de bâtiment. Dans des proportions quasiment identiques, ces travaux sont réalisés par les entreprises artisanales. On peut en déduire que toutes nos entreprises peuvent être un jour ou l'autre confrontées au problème de l'amiante. Notre devoir était de les accompagner dans une démarche vertueuse et réglementaire et, dans un premier temps sur le chantier même, de préserver la santé des chefs d'entreprises et de leurs compagnons. Ce que le PACTE nous a permis de faire est vraiment accessible à tous, dans la clarté et la simplicité. C'est un bel exemple d'actions conduites dans la filière, et nous allons faire une large promotion dans notre réseau de ce site internet. »Cécile Beaudonnat, cheffe de file de la CAPEB pour les questions de Santé-Sécurité au travail« Dans le cadre réglementaire existant, notre souhait est que les règles de l'art amiante en sous-section 4 permettent une meilleure approche de ce sujet très complexe pour nos métiers. Les éléments mis à disposition ne pourront que faciliter cette prise en compte. Tous ces travaux ne seront bien évidemment utiles que si les entreprises sont sensibilisées et formées.»Frédéric Reynier, Président de la Commission prévention de la FFB« Notre ambition est d'assurer un haut niveau de protection des professionnels tout en leur faisant gagner un temps précieux et en réduisant les aléas de chantiers, les délais et les coûts d'intervention. Les Règles de l'Art Amiante associent conseils professionnels et pédagogie et conjuguent ainsi prévention et performance des entreprises. »Paul Duphil, Secrétaire général de l'OPPBTP
Il y a 4 ans et 126 jours

Sika lance le SikaFlex Pro-11 FC® et réinvente le polyuréthane avec la technologie Purform®

La technologie Purform® permet ainsi de répondre aux nouvelles réglementations comme la restriction sur le taux de diisocyanate présent dans les produits en polyuréthane, adoptées en août 2020, dans le cadre de la réglementation REACH et applicable dès 2023.Précurseur, Sika est allé plus loin dans le développement de cette technologie avec une formulation qui ajoute également des performances uniques au polyuréthane en matière de rapidité de remise en service, de durabilité et d'impact environnemental.Mise au point fin 2020, la technologie Purform® est d'ores et déjà appliquée au best-seller de la gamme de mastic-colle Sika : Sikaflex® Pro-11 FC.En parallèle, Sika lance sa nouvelle gamme de mastics-colles composée de 6 solutions répondant à toutes les spécialités de collage et de jointoiement pour les professionnels.La Technologie Purform® pour une nouvelle génération de mastics-colles haute performanceLa réglementation européenne REACH entrée en vigueur en 2007 a pour objectif d'améliorer la protection de la santé humaine et de l'environnement contre les risques liés aux produits chimiques. Dans le cadre de cette réglementation, une nouvelle restriction a été adoptée sur les diisocyanates, le 4 août 2020, et publiée dans le Journal Officiel de l'Union Européenne.Cette restriction exige que les produits concernés, dont les produits en polyuréthane, présentent une teneur en diisocyanate inférieure à 0,1 % à partir de 2023. Dans le cas contraire, les professionnels utilisant ces substances devront recevoir une formation et obtenir une certification avant de pouvoir les utiliser.Pour anticiper les besoins de demain et cette nouvelle restriction de la réglementation REACH, le département R&D de Sika a mis au point la technologie Purform®.Cette innovation réduit considérablement la teneur en diisocyanate dans ses produits et ajoute de la performance au polyuréthane. Il en résulte ainsi :Une remise en service plus rapide avec un temps de séchage amélioré ;Une meilleure durabilité avec un vieillissement amélioré en condition humide ou chaude ;Moins d'impact environnemental avec un taux de diisocyanate inférieur à 0,1%.Cette technologie conserve également les performances du polyuréthane, à savoir :une facilité d'application avec une extrusion facile, sans coulage et sans odeur ;une bonne adhérence sur la plupart des matériaux de construction ;une excellente résistance à la déchirure, à l'abrasion et aux intempéries ;une grande flexibilité et récupération élastique.Sikaflex® Pro-11 FC : le mastic-colle tout-en-un dernière générationPremier choix des professionnels pour les applications exigeantes de collage et d'étanchéité, le polyuréthane offre la résistance, la flexibilité et la durabilité nécessaires. Référence des professionnels pour l'étanchéité et le collage dans la construction, le mastic-colle Sikaflex® Pro-11 FC est le premier produit à intégrer la technologie Purform®.Mastic-colle multi-usage, Sikaflex® Pro-11 FC est la solution idéale pour tous les collages souples, en intérieur comme en extérieur : étanchéité des éléments de maçonnerie, façade, toiture, terrasse, collage d'éléments rapportés (carrelage, crédence, plinthe, détecteur de fumée…), rebouchage de fissures, calfeutrement des fenêtres…Il bénéficie des performances de la technologie Purform® et garantit :un collage puissant et pérenne;un joint élastique qui s'adapte aux variations de température pour une meilleure durabilité;une très bonne adhérence sur la plupart des matériaux (bois, béton, brique, céramique, pvc, aluminium…);une très bonne résistance en intérieur comme en extérieur;une remise en service rapide;une teneur en monomère très faible, sans solvant, incolore et niveau A+ "très faible émission”;une certification SNJF, label « façade ».Sikaflex : une nouvelle gamme professionnelle encore plus performanteSika dévoile sa nouvelle gamme de colles et mastics proposant une solution pour chaque application et répondant à toutes les spécialités de collage et de jointoiement recherchées par les professionnels. Elle se compose de solutions multi-usages, d'agencements et de spécialités approuvées, certifiées et reconnues par les professionnels.Les colles multi-usages :Sikaflex® High Tack, colle offrant un maintien puissant sans bande de maintien, ni clous, ni vis, sur de nombreux supports. Elle se caractérise également par une forte capacité de charge.Sikaflex®- 112 Crystal Clear, colle totalement transparente garantissant un maintien immédiat et une excellente adhérence sur de nombreux supports. Souple, elle absorbe les vibrations. Très résistante aux UV, elle supprime les changements de couleur.SikaBond®- 114 Contact, colle bâtiment multi-usages à prise rapide pour des applications en intérieur. Facile à utiliser sur support vertical ou horizontal, elle assure un maintien immédiat et puissant (500 kg/10 cm2). Elle permet de fixer sur de nombreux supports sans maintien complémentaire.La colle d'agencement :Sikabond®- 115 Déco Fix, colle destinée à la pose d'éléments décoratifs en intérieur ou en extérieur abrité. Elle garantit un collage durable et solide sur de nombreux supports et offre un maintien immédiat, sans clous, ni vis.Les colles de spécialité :Sikaflex®- 113 Turbo, colle d'assemblage à prise rapide offrant un maintien immédiat et une excellente adhérence sur le verre et le métal. Les éléments collés peuvent être sollicités après 20 minutes.Sikaflex®- 117 Métal Force, colle pour éléments métalliques. Elle assure un collage puissant et rapide avec une élasticité permanente pour suivre la dilatation des matériaux. Non corrosif pour les métaux, elle offre une bonne résistance au vieillissement naturel, à l'eau et à l'eau de mer, aux enduits de ciment et détergents en dispersion aqueuse.Le nouveau Sikaflex® Pro-11 FC et la nouvelle gamme collage seront disponibles dans les négoces dès mi-janvier 2021. Pour accompagner le lancement et offrir une belle visibilité, des outils de merchandising spécifiques sont créés. Ils habilleront les différents linéaires et permettront de théâtraliser les produits.De nombreuses documentations techniques sur les produits et sur la réglementation seront mis à disposition des négoces et des professionnels.
Il y a 4 ans et 128 jours

Les Rencontres d'Averroès sur la Méditerranée résistent au Covid grâce aux podcasts

"Les Rencontres d'Averroès, c'est un an de préparation avec des thèmes, des invités, des tables rondes avec la participation du public. Je ne voulais pas mettre cela au panier parce que le théâtre de la Criée (à Marseille) était fermé", a expliqué à l'AFP Thierry Fabre, concepteur de cette manifestation autour de la Méditerranée créée en 1994.En raison de la pandémie de Covid-19, théâtres et lieux culturels sont fermés en France depuis le 30 octobre."C'est très bien de réunir 5.000 personnes en trois jours mais peut-être que l'on aura encore plus d'auditeurs pour ces podcasts", espère-t-il."Nous proposons à notre public une longue traversée sonore avec tous les invités initialement prévus, chercheurs, architectes, artistes, écrivains" venus de pays du pourtour méditerranéen, détaille M. Fabre. Au programme, entretiens, lectures et captations sonores à Alger, Istanbul, Beyrouth, Alexandrie (Egypte), et dans les villes italiennes de Venise ou Palerme entre autres."Le fil conducteur du programme 2020, "cités à la dérive", reste le même, mais ce ne sont pas des tables rondes enregistrées, c'est une vraie création sonore réalisée par un grand metteur en ondes, Clément Lemariey et le directeur artistique Ariel Kenig", insiste M. Fabre."C'est une balade poétique et sensible à travers des cités de la Méditerranée où l'on pose un certain nombre de questions", dit-il."Qui doit construire la ville entre architectes et politiques? Quelle forme pour la Méditerranée entre cité-Etat et ville pieuvre? Quel imaginaire pour des sites marqués par l'Histoire comme Jérusalem ou Rome? Quel avenir politique après la destruction d'Alep (Syrie), le soulèvement du Caire ou l'explosion au port de Beyrouth?", interrogent les cinq épisodes."On a mis deux mois pour réaliser ces programmes. Ça a été un travail de couture avec au départ plus de 11 heures de rushs pour aboutir à cinq épisodes de vingt à trente minutes chacun", explique M. Fabre.Ces podcasts, sont en ligne sur le site "rencontresaverroes.com" ainsi que sur les principales plateformes d'écoute en accès libre.
Il y a 4 ans et 128 jours

Congrès annuel de l'ordre des géomètres-experts

Si à l'origine l'organisation de cette rencontre s'apparentait à un défi, la profession a décidé d'en faire une opportunité unique à la fois pour illustrer son accélération vers la digitalisation mais également pour convier un cercle plus large de participants. « En effet, puisque l'espace public appartient à tous, nous faisons cette année le choix de rassembler tous les acteurs de la propriété de la personne publique et tous les intervenants du cadre de vie autour des travaux qui rythmeront ces deux journées d'échanges », résume Xavier Prigent, Président du Comité Congrès de l'OGE.« Les géomètres-experts ont assisté aux profondes mutations sociétales provoquées cette année par la crise sanitaire et ont, par leurs missions, pleinement contribué aux réflexions portant sur les nouvelles stratégies d'aménagement du territoire et sur l'émergence d'un cadre de vie nécessairement plus durable et inclusif », explique Vincent Saint-Aubin, Président du Conseil supérieur de l'OGE, « c'est pourquoi nous avons à cœur de partager notre vision de l'espace public avec tous les acteurs publics et privés concernés ».
Il y a 4 ans et 129 jours

Récession massive pour l'économie française en 2020, mais moins forte que prévu

Le produit intérieur brut (PIB) a plongé de 8,3% en 2020, après une croissance de 1,5% en 2019, selon une première estimation publiée vendredi par l'Insee.C'est un peu mieux que les -9% qu'anticipaient jusqu'ici l'institut et la Banque de France. Et bien moins mauvais que les -11% prévus par le gouvernement, qui jugeait toutefois cette prévision prudente."La France a connu un choc économique sans précédent mais elle a montré aussi une vraie capacité de rebond en fin d'année", a réagi le ministre de l'Économie Bruno Le Maire.L'économie a en effet mieux résisté au deuxième confinement de novembre, avec un PIB en recul de 1,3% au quatrième trimestre, quand le consensus des économistes se situait plutôt autour de -4%."C'est une surprise, alors qu'on a eu au dernier trimestre six semaines de confinement et trois semaines de couvre-feu", réagit Selin Ozyurt, économiste chez Euler Hermes, dans un entretien avec l'AFP.Et cela tient, selon elle, "d'une part à la résilience de l'investissement privé mais surtout public qui a notamment soutenu la construction, et d'autre part au fait que les écoles sont restées ouvertes".Le ministre des Comptes publics Olivier Dussopt a aussi salué sur Twitter l'"efficacité des aides mises en place" par le gouvernement.Malgré tout, la France a subi une récession jamais vue depuis la Seconde Guerre mondiale, même si le pays ne fait pas exception, l'épidémie ayant fait dérailler l'ensemble des économies développées."mise sous cloche""L'économie française a connu un choc tout a fait inédit, avec une mise en hibernation d'un certain nombre de secteurs d'activité et la mise sous cloche de la production et de la consommation", résume à l'AFP Emmanuel Jessua, économiste à l'institut Rexecode.Sur l'ensemble de l'année, la consommation des ménages a ainsi reculé de 7,1%, et la production de 8,6%. L'investissement a lui chuté de 9,8%, mais a progressé au dernier trimestre, quand les exportations ont plongé de 16,7% et les importations de 11,6%, la crise qui ayant fortement perturbé les échanges commerciaux.Ces chiffres masquent toutefois une année "en accordéon", selon Emmanuel Jessua, avec une économie rythmée par les restrictions sanitaires imposées par le gouvernement.Le premier confinement a ainsi fait chuter le PIB de 5,9% au premier trimestre, et encore de 13,7% au deuxième. Puis il a rebondi de 18,5% au troisième trimestre (un chiffre légèrement révisé à la baisse par l'Insee) à la faveur du déconfinement, avant la rechute du dernier trimestre.Ces chiffres globaux cachent aussi le fait que la crise a été très diversement ressentie selon les secteurs d'activité. Certaines branches de l'industrie, ou encore la construction se sont plutôt bien reprises après le premier confinement.En revanche, l'industrie aéronautique, et les activités reposant sur les interactions sociales, comme l'hébergement-restauration, les loisirs, ou encore les services de transports, ont beaucoup souffert, et souffrent encore de la persistance de l'épidémie."Le choc devient de plus en plus concentré", note Mathieu Plane, économiste à l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE), qui souligne qu'"au dernier trimestre, la moitié de la perte d'activité se concentre dans des secteurs qui représentent 11% du PIB".Inquiétudes pour début 2021Pour tenter de contenir les effets de la crise sur les faillites et l'emploi, le gouvernement a déployé un arsenal d'aides de plus de 300 milliards d'euros en 2020.Cette mobilisation va se poursuivre cette année, a assuré le gouvernement, car malgré l'arrivée des vaccins, l'aggravation de l'épidémie avec des variants menaçants devrait contraindre l'exécutif à durcir les restrictions.Pour l'économie, "l'enjeu sera l'ouverture ou non des écoles", juge Selin Ozyurt."Le premier semestre 2021 sera encore un peu plombé par le durcissement probable des mesures sanitaires", prévoit Emmanuel Jessua, qui estime peu probable que la France atteigne les 6% de croissance prévus par le gouvernement."Il y a des motifs d'espoir", nuance toutefois Mathieu Plane, pour qui la fin d'année 2020 montre qu'"il y a un apprentissage très fort de la gestion de la crise sanitaire d'un point de vue économique".
Il y a 4 ans et 129 jours

Service, travail hors site et technologie : les grands changements de paradigme pour le secteur de la construction en 2021

La pandémie ayant entrainé une baisse du nombre de projets de construction, l’heure est à la réinvention des business models, étape cruciale pour l’avenir des entreprises.Il est prouvé que de nombreuses entreprises profitent de cette période d'accalmie pour s'armer d'outils qui leur permettront de revenir en force une fois la crise terminée. Une étude récente menée par IFS démontre en effet que 70% des entreprises ont augmenté ou maintenu leurs dépenses liées à la transformation numérique, malgré le contexte sanitaire. Dans les secteurs de l'ingénierie, de la construction et de l'infrastructure, ce chiffre s'élève à plus de 75%.L'année qui s'annonce sera tout aussi imprévisible que 2020 au regard des défis et opportunités qui se présenteront. Voici cependant les tendances qui se dessinent sur le secteur, pour 2021 et au-delà.Constructeurs et services : quand le cycle de vie des ressources devient une prioritéEn 2020, le secteur de la construction a redoublé d'efforts pour assurer des flux de revenus stables et faire face aux difficultés. Plusieurs entreprises de construction traditionnelles se sont ainsi transformées en de véritables fournisseurs de services pour leurs clients, capables de s'adapter à chaque étape du cycle de vie des ressources, mais aussi de gérer les infrastructures et la maintenance.Les coûts sont désormais définis pour le cycle de vie dans son ensemble, et non pour chaque étape séparément. Les entreprises en charge de la construction de ces ressources matérielles font donc face à un réel changement de paradigme car pour assurer un service de bout en bout, il convient de se concentrer davantage sur la qualité, la longévité et la facilité de maintenance.La plupart des acteurs de la construction et de l'ingénierie fonctionnent toujours sur la base de deux contrats distincts : l'un pour la construction, l'autre pour le service. En 2021 cependant, la tendance sera à la fusion de ceux-ci en un seul contrat, reprenant le cycle de vie de la ressource dans son ensemble.Les matériaux et processus opérationnels devront être standardisés pour favoriser la construction hors siteLa construction hors site suscite un intérêt croissant et a acquis de plus en plus d'importance. Traditionnellement, dans le cas de la construction d'une maison, l'ensemble des matériaux étaient disponibles sur le chantier. De plus en plus d'entreprises délocalisent désormais les projets vers des espaces couverts, où différents modules sont fabriqués séparément, puis expédiés et assemblés sur le chantier.Les entreprises de construction étant par conséquent amenées à manier des procédés logistiques de plus en plus complexes pour chaque projet, de bonnes pratiques de gestion de la supply chain verront le jour. La plupart des entreprises traditionnelles admettent en effet avoir très peu d'expérience en matière de références ou d'inventaires, et l'exemple d'entreprises comme Amazon, dont la supply chain est au cœur de la stratégie, ne reflète pas vraiment leur réalité. Elles devront donc s'approprier assez vite certains concepts afin de pouvoir jongler avec les multiples modules préfabriqués à expédier, au bon moment et dans le bon ordre, sur les chantiers.Il y a de fortes chances que nous constations une accélération des investissements réalisés par les entreprises de construction dans des logiciels capables de les accompagner sur le contrôle de la supply chain. Celles-ci vont peu à peu changer d'état d'esprit et adopter cette approche de fabrication standardisée, impliquant le recours à des numéros de série pouvant être réutilisés sur plusieurs projets.En d'autres termes, 2021 sera l'année où la construction hors site entrainera les entreprises traditionnelles dans sa course effrénée, s'appuyant sur un besoin urgent de standardisation des matériaux et processus.Le BIM en 5D ayant atteint son stade de maturité, place à la 6DLa plupart des connaisseurs du secteur savent ce qu'est le BIM et en connaissent les avantages. Cette technologie autonome de conception en 3D facilite considérablement le développement et la construction de ressources complexes. De nombreux acteurs du secteur parlent à présent du BIM en 4D, capable d'assimiler la planification d'un projet, et de fournir une vidéo de simulation détaillant les étapes et la manière par lesquelles une ressource devrait être idéalement construite.Le BIM et l'ERP (Enterprise Ressource Planning), ne forment cependant pas encore un duo gagnant, alors que cette combinaison est pleine de potentiel, la plupart des données importantes pouvant y être stockées. Celle-ci est connue sous le nom de BIM en 5D. Cette cinquième dimension symbolise les revenus, c'est la raison pour laquelle les défis rencontrés en 2020 vont probablement pousser les entreprises à combler le fossé entre BIM et ERP.Sachant que le BIM en 5D est en train de gagner du terrain et dans le but de simplifier les processus, il est fort probable que 2021 soit l'année où les entreprises de construction transféreront, de manière automatisée, leurs modèles BIM vers leur ERP. Cela permettra une circulation libre de la donnée entre les différents systèmes. L'équipe chargée de répondre aux appels d'offre devra cependant être en mesure de trier et structurer la donnée afin d'automatiser le pricing.Les entreprises avant-gardistes, qui en sont déjà au stade d'implémentation de solutions BIM et ERP en 5D, seront assez vite à même d'explorer le BIM sous sa sixième dimension, dédiée à la maintenance des projets.Continuer à aller de l'avantMême dans des conditions optimales, la construction est un secteur exigeant, qui requiert l'exécution et la maîtrise de projets complexes. Investir à long terme dans des technologies adaptées reste le meilleur moyen de s'assurer de la valeur commerciale et de la résilience d'une entreprise.Malgré le lot de surprises qu'elle réserve, 2021 sera une année d'opportunités pour les secteurs de la construction, de l'ingénierie et de l'infrastructure. Cependant, une bonne dose de stratégie et de ténacité, ainsi qu'une vision claire de ce que servicisation et technologie peuvent apporter seront de mise pour pouvoir les saisir.
Il y a 4 ans et 129 jours

Le gouvernement annonce 2 milliards d'euros pour la rénovation urbaine des quartiers prioritaires

Cette nouvelle enveloppe, qui porte à 12 milliards d'euros la dotation de l'Agence nationale pour la rénovation urbaine (ANRU), sera officiellement dévoilée vendredi à l'occasion d'un déplacement du Premier ministre Jean Castex à Grigny (Essonne), où se tiendra un Comité interministériel de la ville. Elle doit notamment servir à "débloquer des projets en attente de financements, notamment des gros quartiers à Marseille ou en Ile-de-France", a précisé Matignon.Elle correspond exactement à la revendication formulée cette semaine par l'Union sociale pour l'habitat (USH), qui fédère tout le monde HLM, "pour améliorer à court et moyen terme les conditions de vie des habitants".Ces deux milliards d'euros ne seront toutefois pas entièrement déboursés par l'Etat, puisqu'une grande partie des fonds de l'ANRU proviennent d'Action Logement, l'ancien 1% logement géré par le patronat et les syndicats.Mais, alors que le budget de l'ANRU était déjà passé de 5 à 10 milliards d'euros durant le quinquennat, cette accélération entend marquer la considération portée aux quartiers prioritaires de la ville (QPV), durement éprouvés par les conséquences de la crise du coronavirus.Le ministère de la Ville rappelle ainsi que le taux de pauvreté s'y établit à 40%, soit trois fois la moyenne nationale, et le taux de chômage à plus de 22%. Et les remontées de terrain de ces derniers mois sont préoccupantes, avec "un recours accru aux aides sociales".L'exécutif veut aussi répondre à "l'appel au secours" d'une centaine d'élus de tous bords lancé en fin d'année dernière, inquiets de la "détresse sociale et économique" des quartiers.Dans ce cadre, M. Castex avait déjà promis qu'au moins 1% du plan de relance - soit 1 milliard d'euros - serait bien destiné aux quartiers défavorisés, ce qu'il réaffirmera vendredi. En épluchant "ligne par ligne" le plan de relance, le gouvernement a établi que 810 millions d'euros de mesures d'insertion professionnelle bénéficieront aux QPV, ou encore 300 millions pour la rénovation énergétique des bâtiments...En tout, M. Castex dévoilera vendredi 15 mesures, touchant à la sécurité, au logement, à l'éducation ou l'emploi."Promesse d'émancipation"Il s'agira par exemple d'indiquer les noms des communes retenues pour les sept "quartiers de reconquête républicaine" encore en suspens, où 180 policiers et gendarmes arriveront en renfort. Quelque 300 médiateurs et autant d'éducateurs spécialisés seront également envoyés dans les QPV.Sur le volet éducation, le Premier ministre annoncera la reconduction des dispositifs de "vacances apprenantes" et de "quartiers d'été", dont un million de jeunes ont profité en 2020. Et il détaillera la liste de 46 nouvelles "cités éducatives", en plus des 80 existantes, qui visent à améliorer la réussite scolaire dans les quartiers.Par ailleurs, 30 millions d'euros seront consacrés au recrutement de 500 conseillers Pôle emploi dans 66 agences.De même, quelque 100 millions d'euros serviront à améliorer les équipements sportifs de ces communes.Enfin, en matière de logement, le gouvernement souhaite "pousser à la diversification de l'habitat" et "éviter de continuer à concentrer des populations pauvres dans des quartiers pauvres". En ce sens, les préfets seront invités "au cas par cas" à ne pas délivrer d'agréments pour la construction de nouveaux logements parmi les plus sociaux dans les communes en comptant déjà au moins 40%.Ces dispositions ne devraient cependant être que le coup d'envoi du plan plus large pour l'égalité des chances qu'entend égréner l'exécutif dans les prochaines semaines, alors que plusieurs ministères doivent remettre leurs propositions à M. Castex.Ce plan doit permettre de former la "jambe gauche", dixit un conseiller ministériel, du très régalien projet de loi de lutte contre le "séparatisme" actuellement à l'examen au Parlement.En ce sens, sont par exemple attendues des mesures contre les discriminations, sur l'accès aux responsablités dans la fonction publique ou encore la possible généralisation de la "garantie jeunes", à savoir une allocation mensuelle d'un montant maximal de 497 euros, couplée à un parcours d'insertion dans l'emploi.
Il y a 4 ans et 129 jours

La crise du coronavirus tuera-t-elle les grandes villes ?

"L'urbanisation généralisée du globe et sa métropolisation planétaire sont le creuset de la crise sanitaire", affirmait en avril l'urbaniste Guillaume Faburel dans une tribune au journal Marianne.C'étaient les premiers mois de la crise du coronavirus. Un strict confinement - le premier - venait d'être décrété en France et de nombreux citadins avaient fui à la campagne pour passer plus à l'aise cet enfermement à domicile.C'était aussi l'époque des premières analyses sur la crise et M. Faburel, porteur d'une vision radicale en faveur du retour à la campagne contre des métropoles jugées "barbares", regrettait que le rôle des villes ne soit pas assez dénoncé.Depuis, il l'a été. Les grandes villes ont d'abord été présentées comme un terreau idéal à l'essor du coronavirus, à commencer par la métropole chinoise de Wuhan où il est apparu."Par leur densité, (les) nouvelles configurations urbaines portent en germe des déflagrations écologiques à haut potentiel de vitalité", assuraient dans Le Monde l'épidémiologiste Didier Sicart et le maire de Neuilly Jean-Christophe Fromantin, peu avant l'été 2020.Mais les mois suivants ont nuancé ce type d'analyse. M. Fromantin, qui envisage un "monde débarrassé des métropoles", et M. Sicart, évoquaient ainsi la supposée transmission du virus du pangolin à l'homme, une hypothèse depuis largement écartée.Surtout, l'épidémie a fini par se développer à grande vitesse hors des métropoles, comme aux Etats-Unis où, après une première vague violente pour les grandes villes comme New York, des Etats très peu habités comme le Dakota du Nord ont connu un automne difficile.Contacts spontanésCette phobie des villes n'a en fait pas attendu la crise actuelle. Elle est aussi vieille que les villes elles-mêmes, comme le souligne l'historien britannique Ben Wilson qui, à rebours de cette tendance, vient de publier un livre vantant les cités comme la "plus belle invention" de l'humanité."A travers l'Histoire, les gens ont toujours prédit la destruction des villes, comme si elles étaient sur le point de s'effondrer parce qu'elles sont trop compliquées, pas assez hygiéniques, gangrenées par le crime...", souligne-t-il auprès de l'AFP, faisant remonter ces craintes jusqu'à la Bible."La Bible a largement été écrite par des prisonniers hébreux que l'on avait emmenés à Babylone, cette ville tentaculaire, et qui la voyaient comme une punition divine et vouée à la destruction", note-t-il.Bien plus récemment, au XIXe siècle, l'essor du Londres pauvre et pollué de la Révolution industrielle, immortalisé par les romans de Charles Dickens, a poussé nombre d'intellectuels de l'époque à imaginer de recouvrir l'Angleterre de "cités-jardins" verdoyantes et au nombre limité d'habitants.La crise actuelle n'est cependant pas sans une nouveauté de taille: l'essor des nouvelles technologies a permis de largement généraliser le travail à domicile pendant les époques de confinement.Faut-il pour autant imaginer, comme M. Fromantin, qu'en donnant à chacun la possibilité de (télé)travailler où il le souhaite, on fera perdre le lustre des immenses cités au profit des villes moyennes?Dans une telle vision, les villes n'ont de l'intérêt que parce qu'elles concentrent beaucoup de gens dans les mêmes bureaux.Mais pour l'urbaniste Alain Bertaud, c'est mal comprendre le véritable attrait des métropoles: elles multiplient par essence les rencontres spontanées."C'est très important dans le marché de l'emploi, cette éducation permanente qui vient de contacts imprévus", note-t-il auprès de l'AFP. "Et la ville y est plus propice.""Cette stimulation peut arriver sans qu'il y ait une très haute densité", nuance M. Bertaud. "Silicon Valley, c'est une banlieue pas très dense, comme la petite couronne parisienne. Mais il faut quand même que les gens se rencontrent face à face."L'urbaniste ne s'inquiète pas pour autant de l'essor des discours anti-villes, même aussi tranchés que chez M. Faburel, car il n'en attend guère d'influence majeure."En Asie, personne ne dit que les villes sont inutiles. Ils se rendent compte que l'urbanisation a créé des richesses extraordinaires", tranche M. Bertaud. "Ils se souviennent de ce qu'étaient l'Inde ou la Chine il y a cinquante ans."
Il y a 4 ans et 129 jours

Un ancien tribunal d’instance doté de deux systèmes de plafond Hunter Douglas Architectural

Ce sont les lames HeartFelt® et les panneaux de grille en chêne massif qui ont été choisis pour composer le plafond de ce bâtiment, lui conférant ainsi une allure nouvelle, en accord avec sa nouvelle fonction. Désormais, la « Old Court House » accueille en effet les bureaux de la distillerie familiale de scotch whisky William Grant & Sons.Une transformation spectaculaire, pour une nouvelle vieCe n’est que depuis 2019 que l’ancien tribunal de première instance de Richmond, un bâtiment contruit dans les années 1970, accueille les bureaux de l’entreprise William Grant & Sons. Connu sous le nom d'Old Court House, l’édifice avait en effet été acquis par le promoteur immobilier Exton Estates et le fond de pension British Airways pour son potentiel, avant d’être sujet à une rénovation et un réaménagement spectaculaires, puis d’être vendu en mai 2018 au distillateur familial de whisky écossais.D’une grande valeur architecturale, le tribunal d’instance avait été construit dans un style contemporain et moderniste. En charge du projet de rénovation, les architectes de l’agence ESA architecture ont permis à l’édifice de conserver une grande partie de son individualité et de son caractère. Et ce malgré les importants travaux de rénovation, qui ont depuis permis à la Old Court House de faire partie des bâtiments de la catégorie de A selon la classification britannique (les bâtiments neufs ou ayant subi une rénovation de qualité, présentant des finitions de haute qualité, des systèmes de pointe, une accessibilité exceptionnelle et une présence certaine sur le marché) et de bénéficier de la mention « excellent » de la certification BREEAM (Building Research Establishment Environmental Assessment Method - méthode d’évaluation environnementale des bâtiments).Ainsi l’intérieur du bâtiment, de près de 3 350m2 de surface, est transformé : les architectes lui ont permis d’acquérir un design spectaculaire, plein d'élégance et de sophistication. Et pour trouver les plafonds architecturaux adéquats, le bureau d’architecture s’est tourné vers le fabricant Hunter Douglas Architectural.Deux systèmes Hunter Douglas Architectural, pour des plafonds performants et designCe sont donc deux des nombreux systèmes du fabricant qui ont été installés. Au total, Hunter Douglas Architectural a fourni 150 m2 de panneaux de grille en bois massif de chêne européen de 20 mm x 68 mm, ainsi que 250m2 de panneaux HeartFelt® dans différents tons de gris.Pour Justyna Rzeszotarska, Cheffe de projet chez ESA architecture, ce sont les attraits esthétique et la bonne acoustique de ces systèmes qui ont motivé ce choix. Au sujet du système multi-primé HeartFelt®, elle explique : « Les plafonds HeartFelt® ont ajouté de la chaleur à l'intérieur du bâtiment, tout en améliorant l'acoustique. Nous avons choisi quelques tons de gris, car ils s'harmonisent avec le reste de la palette de matériaux et créent ainsi une toile de fond pour les activités de bureau. » Les panneaux de feutre ont également été utilisés de manière inhabituelle dans certains lieux ouverts informels, dans lesquels les employés peuvent se réunir pour travailler en groupe ou se rendre s'ils ont besoin d'un espace privé. En effet, dans ces pièces, ils ont été installés de manière à créer un design circulaire spécifique. Justyna Rzeszotarska précise : « Ces formes circulaires ajoutentun élément original et permettent de réduire encore plus la réverbération.Panneaux HeartFelt® : différents types de pose, pour différentes ambiancesLes panneaux de grilles en bois massif, quant à eux, ont été installés dans les zones d’échange et le bar pour créer un espace élégant, en complétant le parquet en chêne massif. La Cheffe de projet ajoute : « Nous voulions des plafonds attrayants en bois massif dans les espaces dans lesquels les membres du personnel et leurs invités peuvent se retrouver, se détendre et assister à une présentation. » Les panneaux ont été installés avec un espace de 120 mm, un support acoustique noir et des spots incorporés, pour assurer un environnement confortable aux usagers. Un luminaire sur mesure suspendu en dessous du plafond accroche le regard, sa forme dynamique contrastant avec le rythme calme de la grille.Les panneaux de grille en chêne massif Hunter Douglas Architectural, dans l’espace bar de William Grant & sonsPour Juliette Halliday, Directrice des ventes Royaume-Uni chez Hunter Douglas Architectural, le choix des plafonds complète l'esthétique grandiose du bâtiment : « Il y a des caractéristiques de conception frappantes dans l'ensemble de l'ancien palais de justice ; HeartFelt® et les panneaux de grille en bois massif participent à cet aspect unique et complètent l’esthétique globale du bâtiment. Nous sommes heureux d'avoir joué notre rôle dans cette rénovation spectaculaire ».HeartFelt® et panneaux de grille en bois massif : exigence de durabilité et liberté de conceptionAvec la durabilité comme fil rouge, l’entreprise de produits architecturaux propose des solutions dont la fabrication est basée sur le principe Cradle to Cradle. Ainsi, les panneaux HeartFelt® sont fabriqués à partir de fibres de polyester thermoformées 100% recyclables, ce qui leur vaut le certificat C2C Bronze du Cradle to Cradle Products Innovation Institute. Quant aux panneaux de grille en bois massif, ils sont certifiés C2C Silver et le bois est issu de forêts gérées durablement (certifications FSC et PEFC). Des caractéristiques en accord avec la mention « excellent » de la certification BREEAM dont jouissent les nouveaux locaux de William Grant & sons, à Richmond.Côté design, la gamme de plafonds à grilles en bois massif de Hunter Douglas Architectural permet de concevoir des plafonds uniques. Elle est composée de plus de vingt essences différentes ; côté finitions, outre la laque transparente standard, il existe de nombreux teintures et coloris disponibles. De plus, architectes et concepteurs peuvent choisir leurs propres dimensions de grilles, et ajouter des luminaires, des aérations ou des haut-parleurs dans le plafond. Tous les panneaux sont ainsi fabriqués sur mesure hors site. Ainsi, la quantité de coupe nécessaire au stade de l'installation est minimisée et les coûts d'installation sont réduits. Les panneaux du système de plafond linéaire HeartFelt® permettent également de jouir d’une grande liberté de conception. Ils existent dans des longueurs allant jusqu'à 6 mètres et sont fixés par un système de support spécial qui permet également une utilisation en tant que revêtement mural. Ils sont disponibles dans une large gamme de tailles de panneaux, de largeurs de joints et de hauteurs de montage et dans dix teintes.Ces systèmes disposent également de divers avantages en matière de sécurité. Ainsi le bois massif, imprégné, permet d'atteindre une tenue au feu de classe B-s2, d0 conformément à la norme EN13501-1 ; dans certains cas, des classes plus élevées sont également disponibles sur demande. Le système de plafond linéaire modulaire en feutre, lui, est conforme aux réglementations relatives à l'utilisation dans des bâtiments non polluants et il répond à la norme européenne EN 15251 pour les intérieurs et à la certification incendie EN 13501 Classe B, S1, d0.
Il y a 4 ans et 129 jours

Bertrand Bedel, nouveau président du Cerib

Deux vice-présidents ont été également nommés le 26 janvier au conseil d'administration du Cerib : Philippe Gruat, président de la Filière Béton et président de l'École Supérieure des Ingénieurs des Travaux de la Construction (ESITC) de Caen,Laure Hélard, déléguée générale du Syndicat Français de l'Industrie Cimentière (SFIC) et de l'Association Technique de l'Industrie des Liants Hydrauliques (ATILH.) Après une formation bâtiment et génie civil, Bertrand Bedel a commencé sa carrière en qualité de conducteur de travaux chez Cipec puis a créé sa propre entreprise générale de bâtiment. Après deux années au sein du groupe Point P, c'est en 1983 qu'il débute sa carrière dans l'industrie des produits en béton en rejoignant Premat Yonne, qui intégrera en 1989 le groupe Alkern. Pendant 36 ans, il a occupé plusieurs postes au sein du groupe Alkern, puis sa présidence jusqu'en avril 2019, date à laquelle il a rejoint son conseil de surveillance. Le mot de Bertrand Bedel « Ma très longue expérience industrielle dans le secteur des produits en béton, ma présidence de la FIB depuis un an et demi et ma présence depuis neuf ans au conseil d'administration du Cerib sont autant d'atouts pour aborder la présidence d'un Centre, dont je partage de longue date l'engagement au service de l'industrie du béton. Le Cerib est un formidable outil de progrès technique, de performance et d'innovation environnementale, technologique et numérique pour le secteur de la construction, le matériau béton et les produits préfabriqués en béton. Ses 15.000 m2 de laboratoires, ses équipements de pointe, l'expertise de ses 170 collaborateurs lui permettent d'accompagner l'ensemble des parties prenantes de la construction, d'informer et d'apporter un appui technique aux industriels et prescripteurs du marché. Ma feuille de route pour les trois ans à venir s'inscrit en particulier dans la continuité du Contrat d'objectifs et de performance (COP) 2020-2023 signé en février 2020 entre l'État, la FIB et le Cerib pour accompagner l'industrie du béton vers le futur et accélérer les grandes transitions du secteur de la construction. Ce Contrat repose sur des enjeux stratégiques forts, notamment pour :Accompagner les PME/TPE vers l'industrie du futur par le déploiement de la construction numérique et du BIM, et des outils innovants de maîtrise de la production ;Répondre à l'intérêt général des parties prenantes pour la transition écologique et énergétique ;Accélérer la transition vers une économie circulaire dans la construction.Ce Contrat réaffirme l'engagement du Cerib de rendre les services d'intérêt général, de proximité, les plus efficients et appropriés à l'industrie du béton et d'assurer un développement technologique, économique et harmonieux du Centre. C'est en investissant de nouveaux domaines d'avenir que nous pourrons, collectivement, mieux appréhender les défis de la construction de demain, répondre aux intérêts de l'industrie du béton et plus largement aux enjeux des politiques publiques pour la reconquête industrielle en France. C'est là tout le sens de mon engagement aux côtés des équipes compétentes du Cerib et des membres de sa gouvernance, qui, par leur diversité, permettent de croiser des champs d'expertise industrielle, technique, normative, environnementale ou encore universitaire ».Bertrand Bedel, Président du Cerib
Il y a 4 ans et 129 jours

La RATP déploie une solution digitale avec Suez pour améliorer la performance environnementale de son réseau et de son patrimoine

Engagé dans sa transition environnementale, le Groupe RATP s’est fixé d’ambitieux objectifs, en diminuant par 2 ses émissions de gaz à effet de serre, avec l’optimisation de sa consommation d’eau et la réduction de 20% de sa consommation d’énergie d’ici 2025. Dans le cadre de cet engagement, le Groupe RATP déploie le projet OPEN (Outil de Pilotage Eau et Energie), qui comprend la centralisation les données issues de plus de 1.000 compteurs communicants installés sur 115 sites et 369 gares et stations. Ce projet s’appuie sur la solution « ON’connect fluids™ » de SUEZ, une plateforme digitale permettant de collecter de manière automatique, continue et fiable les données relatives aux consommations multi-fluides d’eau et d’énergie. Cette vision centralisée et continue permet une meilleure réactivité dans la détection des anomalies notamment des fuites d’eau, facilite la mise en œuvre d’actions correctives et l’évaluation de leur impact sur la performance énergétique des bâtiments.Une solution digitale innovante pour répondre aux nouvelles exigences réglementaires en matière de performance énergétique des bâtimentsLa solution « ON’connect™ fluids » s’appuie sur deux expertises clés du Groupe SUEZ, l’IoT à travers les compteurs et objets connectés, et le traitement avancé des données. Elle permet aux acteurs publics et privés de répondre aux nouvelles exigences règlementaires en matière de performance énergétique des bâtiments, (notamment le Décret Tertiaire qui impose d’ici 2050 une diminution de 60% des consommations énergétiques des sites tertiaires dont la superficie est supérieure à 1.000 m², tels que les écoles, bureaux, commerces, complexes sportifs ou hôpitaux).ON’connect™ fluids centralise dans un tableau de bord personnalisable à la fois les données collectées par les compteurs communicants des différents fluides (eau, gaz et électricité), et celles issues de divers capteurs environnementaux (température, CO₂,…). Déployée pour la première fois à grande échelle, cette solution permet aux entreprises de mutualiser leurs besoins autour d’une seule plateforme, favorisant ainsi l’efficacité opérationnelle et la définition de plans d’actions pour réduire l’impact environnemental de leur patrimoine.« Grâce à ce nouvel outil, nous allons pouvoir optimiser la performance environnementale de nos infrastructures. Cette démarche s’inscrit dans notre stratégie plus globale pour bâtir une ville plus connectée et plus durable. Pour concrétiser ses engagements, le Groupe RATP s’est donné des objectifs ambitieux en matière environnementale :réduire de 20% ses consommations d'énergie d'ici 2025 par voyageur-kilomètre par rapport à l’année de référence 2015 et réduire de 50% les émissions de gaz à effet de serre d’ici 2025. » Marie-Claude Dupuis, Directrice Stratégie, Innovation et Développement du Groupe RATP« Pionnier en matière de déploiement de compteurs connectés, avec plus de 5 millions de compteurs dans le monde, notre Groupe développe un savoir-faire unique dans la conception et l’intégration d’infrastructures communicantes, et le traitement des données environnementales. Nous sommes fiers de mettre cette expertise au service de la RATP pour l’accompagner dans l’atteinte de ses objectifs environnementaux. Cette collaboration s’inscrit pleinement dans notre plan stratégique Shaping SUEZ 2030, et illustre notre ambition de faire éviter 20 millions de tonnes de CO₂ par an à nos clients en 2030. » Diane Galbe, DGA Groupe - BU Smart & Environmental Solutions et Stratégie de SUEZ
Il y a 4 ans et 129 jours

Wavin enrichit son offre avec le nouveau module de gestion des eaux pluviales AquaCell

La gestion des eaux pluviales constitue l’un des enjeux d’une transition écologique réussie. WAVIN est historiquement connu et reconnu comme précurseur en matière de solutions plastiques en assainissement et de solutions alvéolaires ultra-légères en eaux pluviales (SAUL). En témoignent par exemple des innovations telles que la création de la première SAUL inspectable et hydrocurable sous avis technique en 2006 en France (Q-Bic), ou encore la nouvelle génération de modules d’infiltration haute performance en 2015 (Q-Bic Plus). Il est historiquement engagé dans l’ITSEP, syndicat œuvrant dans une démarche de qualité pour garantir la fiabilité et la pertinence des ouvrages réalisés en SAUL.L’expert franchit un nouveau cap et enrichit son offre Eaux Pluviales avec le module nouvelle génération AquaCell qui vient compléter le Q-Bic Plus. Plus qu’un lancement produit, ce développement confirme la volonté de WAVIN d’apporter une solution personnalisée à chaque projet et son engagement à répondre aux enjeux climatiques auxquels doivent faire face les collectivités locales, architectes, urbanistes, paysagistes, lotisseurs et promoteurs, étancheurs, terrassiers...Faciles à manipuler, installer et entretenir, AquaCell et Q-Bic Plus sont des dispositifs de bassins enterrés qui ont l’avantage de permettre l’utilisation de l’espace foncier pour toutes les applications : parkings, espaces verts, terrains de jeux, etc. Ils se distinguent par leur polyvalence et leur modularité, et s’adaptent quels que soient :les besoins (stocker, infiltrer et réutiliser)la nature du soll’espace foncier disponiblela charge du traficles exigences d’entretien et de maintenanceles règlementations localesLa promesse d'un ouvrage pérenne« Associées à l'imperméabilisation croissante des sols due à l’urbanisation, les fortes précipitations augmentent le risque d’inondations en ville. Les espaces sont de plus en plus limités pour le drainage, les nappes phréatiques s’appauvrissent, les eaux de ruissellement sont de plus en plus polluées. Les villes ont besoin d’eau pour devenir plus vertes et rafraîchir les quartiers. Souvent, l’eau de pluie passe par une solution de stockage temporaire, comme les bassins. En milieu urbain où la pression foncière est forte, la possibilité de pouvoir utiliser le sous-sol mais surtout sa surface (parkings, espaces verts...), avec une solution de bassin enterré, est intéressante. Par la suite, soit on restitue l’eau au milieu naturel par infiltration dans les sols (au plus près de son lieu de collecte) soit au réseau avec un débit régulé. La gestion des eaux pluviales constitue donc un enjeu essentiel. C’est pour cela que WAVIN propose des solutions performantes et durables en matière de collecte, d’infiltration et de rétention des eaux pluviales. ». Coralie Dagieu, Chef produits eaux pluviales WAVIN.AquaCell : Des modules emboîtables pour une solution optimisée écoresponsable WAVIN enrichit son offre avec AquaCell et propose ainsi une solution SAUL démocratisée, permettant de répondre à un plus large panel de projets. Cette solution est inspectable et hydrocurable principalement au niveau de la couche de sédimentation, afin d’assurer une performance durable de l’ouvrage.AquaCell se compose de polypropylène (PP) 100 % recyclé et entièrement recyclable. Sa conception de modules emboîtables (L. 1.200 mm x l. 600 mm x H. 400 mm - volume net 276 litres) constitue un atout gain de place fort : elle permet de transporter dans un camion jusqu’à quatre fois plus de produit qu’une structure de type classique, soit plus de 320 m³, favorisant la réduction des émissions CO2. Un avantage également pour économiser l’espace de stockage sur le chantier.AquaCell s’adapte aux contraintes techniques d’un projet : un seul module qui répond aux différents domaines d’emploi (sous espaces verts, sous voirie légère et sous voirie lourde). Son utilisation sous forme de bassin enterré permet d’utiliser l’espace foncier pour d’autres usages (parc, terrain, parking...). Sa hauteur type demi-module et sa conception modulable constituent d’autres atouts.Synonyme de gain de temps, chaque détail est pensé pour optimiser, sécuriser et faciliter l’installation :rapide grâce aux connecteurs intégrés à emboîtement de type « push fit » et aux accessoires qui se fixent par simple clic. Fini les clips de connexion, les tubulures et les nombreux outils à manipuler ! Les références sont limitées et donc la gamme simplifiéeintuitive grâce à la légèreté des modules (11kg), manuportables par une seule personne et sans engin. Les poignées intégrées et bords arrondis favorisent la prise en main en toute sécurité. Les clips intégrés simplifient la fixation du géotextilesécurisée et durable : les systèmes verrouillés d’emboîtement « push fit » des modules sont plus stables et sécurisés pour la mise en œuvre et la durée de vie. Les modules pleins permettent de marcher dessusQ-Bic Plus : un accès total pour l'entretienCette solution optimale permet de créer des ouvrages pérennes, 100% inspectable, nettoyables et visitables. Q-Bic Plus se distingue par son installation deux fois plus rapide et sécurisée qu’une structure classique. Modularité optimisée, et accessibilité optimum, sa conception polyvalente et inédite sur le marché est adaptée à tous les projets. Les grands volumes de stockage, pouvant atteindre des milliers de m³, sont accessibles pour inspection et hydrocurage sur toutes les hauteurs et dans toutes les directions.Q-Bic Plus garantit un volume net d’eaux pluviales sur le long terme :77 % de surface ouverte avec un accès latéral et vertical pour déployer facilement les équipements d’inspection et de nettoyagela largeur de l’accès, jusqu’à 370 mm, autorise une inspection bidirectionnelle par caméra et un nettoyage par hydrocureusel’inspection et le nettoyage sont effectués sans obstacle, grâce au fond lisse avec cunette intégréeLes conditions de mise en œuvre sont optimisées. Pesant 14 kg pour 416 litres de stockage net, Q-Bic Plus se dote de connecteurs et poignées intégrés. Aucun outil complémentaire n’est requis ! Pratique, l’ensemble des accessoires - plaques latérales, de connexion, connecteurs de tube... - s’emboîtent par simple clic.Sa flexibilité favorise la réalisation de bassins sur-mesure. Le système se décline en cinq dimensions de raccordements, jusqu’au diamètre 500 mm. Les puits d’inspection intégrés et les raccordements directs sur tous les côtés grâce aux accessoires de connexion, offrent une adaptation totale aux contraintes de l’environnement, tels que les réseaux avoisinants existants en ville, les connexions possibles limitées...Le [+] : Une galerie technique pour une solution visitableWAVIN propose en option une galerie 100 % compatible avec Q-Bic Plus, constituée d'éléments modulaires et accessible physiquement grâce à des puits d'accès avec échelle. Conçu sur-mesure, ce dispositif est économique : sa mise en œuvre est rapide et nécessite moins de tampons de voirie, et l'exploitation du bassin de rétention facilitée.L'accompagnement personnalisé à chaque étape : La force WAVINAu-delà de l’offre produits, WAVIN propose un dispositif complet d’accompagnement à chaque étape du projet de gestion des eaux pluviales. Son Technopôle, implanté à Varennes-sur-Allier (03) et certifié organisme de formation, bénéficie de plus de 50 ans de savoir-faire et d’expérience. Son équipe est constituée d’ingénieurs et d’experts issus du terrain qui accompagnent le client à chaque étape clé de son projet :la conception : entretien, pré-études et validation de la faisabilité, optimisation, notes de calcul et aide à la rédaction des documents d’appels d’offres..., WAVIN guide pas à pas l’entreprise. Il propose un espace de 600 m2 pour dispenser des formations théoriques et pratiques. Elles peuvent également s’effectuer sur un autre lieu sollicité par le clientl’exécution : édition de la nomenclature complète, suivi des commandes et coordination des livraisons, suivi de l’exécution, vérification, établissement du dossier technique... Au démarrage et tout au long du chantier, des experts sont présents pour s’assurer du bon fonctionnement des produits mis en œuvrel’exploitation : De l’assistance à la réception de l’ouvrage à la délivrance du carnet d’entretien, en passant par la garantie, le service clients s’engage pour répondre à toute question ou difficulté technique
Il y a 4 ans et 129 jours

La Filière Béton salue le vote du CSCEE sur la RE2020

Un avis unanime pour un retour à l’ACV norméeParmi la quinzaine d’amendements listés dans l’avis qui était proposé aux membres du CSCEE, celui qui consiste à revenir à l’ACV normée a fait l’objet, lors des discussions, d’un consensus de toutes les parties. Une unanimité logique, car l’ACV dynamique simplifiée telle qu’elle est proposée, exposerait à un risque environnemental inconsidéré, tout en rendant inutile toute réflexion sur la manière de construire « intelligemment » les bâtiments de demain.La Filière Béton rappelle aussi son attachement à un texte qui ne favoriserait pas une filière ou une solution technologique plus qu’une autre, avec une logique d’obligations de performances et non de moyens, tout en privilégiant l’innovation et la mixité dans le choix des solutions constructives. Des trajectoires bas carbone ambitieuses en accord avec les objectifs de la RE2020Par ailleurs, la Filière Béton soutient les objectifs ambitieux de décarbonation du projet de règlementation et s’inscrira totalement dans les trajectoires proposées, avec des réductions de l’empreinte carbone des bâtiments pour 2030 fixées entre -35 % et -40 %.La Filière réclame également une véritable cohérence, aussi bien avec la Stratégie Nationale Bas-Carbone (SNBC) qu’avec le plan de relance et les actions de décarbonation des filières industrielles. Alors que la nouvelle version du texte issue des arbitrages ministériels est attendue pour février, la Filière Béton, espère qu’un avis unanime pourra marquer le départ de cette ambition partagée par tous les professionnels.Fruit d’un consensus, l'AIMCC émet un vote positif pour le texte de l’avis tel que proposé en séanceL’AIMCC rappelle que de nombreux échanges ont eu lieu entre les acteurs, et même si toutes les réserves formulées ne donnent pas satisfaction, l’Association considère l’avis comme globalement équilibré.L'association signale, également, qu’il ne s’agit pas d’un vote positif au texte actuel de la RE2020 et qu’elle sera particulièrement vigilante sur la demande partagée par tous, d’un retour à l’ACV normalisée telle que pratiquée dans l’expérimentation E+C-. L’AIMCC restera aussi attentive à ce que le texte ne favorise pas une filière ou une technologie face à une autre et au maintien de l’ambition sur le Bbio, sachant que les industriels de la construction sont toujours dans une démarche de progrès et d’ambition pour le secteur.