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Il y a 4 ans et 132 jours

Argan optimiste pour 2021 après avoir échappé à la crise

"Globalement, Argan dépasse ses objectifs et sort grandi de cette année 2020", a résumé lors d'une présentation en ligne Jean-Claude Le Lan, président et fondateur.L'an dernier, le bénéfice net d'Argan, l'un des seuls groupes immobiliers français spécialisé dans la logistique, a progressé de 30% à 279 millions d'euros. Plus représentatif des performances d'une foncière, le bénéfice récurrent a même bondi de 45% à 103 millions.Le groupe, qui avait déjà annoncé début janvier une forte hausse de ses revenus l'an dernier, a certes gonflé son chiffre d'affaires avec une très grosse acquisition, celle d'un portefeuille d'entrepôts auprès de Carrefour.Mais Argan, qui compte parmi ses clients des groupes comme L'Oréal, Auchan ou Amazon, a aussi poursuivi une activité soutenue en matière de création de nouveaux sites dans un contexte favorable à ce marché."La classe d'actifs immobiliers logistiques attire une part croissante des investissements", a souligné Ronan Le Lan, directeur général du groupe.Par contraste avec des secteurs immobiliers qui ont beaucoup souffert de la crise, comme les bureaux, le marché des entrepôts profite de l'essor du commerce en ligne.Argan compte poursuivre sur sa lancée et faire progresser de 10% cette année ses revenus comme son bénéfice récurrent, ce qui les placerait respectivement à 154 et 114 millions d'euros.
Il y a 4 ans et 132 jours

Le chantier du RER E en Ile-de-France victime d'importants surcoûts

"C'est un protocole-relais pour maintenir la pression opérationnelle d'un projet. (...) L'utilité c'est de ne pas stopper le chantier et de ne pas le ralentir", a relevé le vice-président chargé des transports, Stéphane Baudet, cité par une porte-parole.Selon le rapport présenté par la présidente du conseil régional Valérie Pécresse, "SNCF Réseau a fait le constat d'un dépassement important du coût du projet, de l'ordre de 640 millions d'euros (aux conditions économiques de 2012), hors actualisation et hors surcoûts liés à la crise sanitaire survenue depuis, qui devrait donc encore aggraver la situation".La facture était jusqu'à présent estimée à 3,8 milliards d'euros (aux conditions économiques de 2012), apportés notamment par la Société du Grand Paris (1,5 milliard) et la région (1,1 milliard).Dans l'attente d'un audit par Ile-de-France Mobilités, "SNCF Réseau demande qu'une solution temporaire soit mise en place et menace à défaut de ne pas engager les marchés nécessaires à la poursuite du chantier, début 2021", lit-on dans le rapport.D'où ce "relais", une avance de crédit de 182 millions d'euros (toujours aux conditions de 2012) à SNCF Réseau "pour couvrir ses engagements devant être pris en 2021".La région a approuvé jeudi sa participation de 66 millions d'euros, tandis que l'État va apporter 82 millions selon un porte-parole du ministère des Transports. Le solde doit être apporté par les départements des Hauts-de-Seine et des Yvelines, ainsi que par la Ville de Paris.SNCF Réseau reconnaît qu'"il y a des coûts supplémentaires liés à des projets annexes", mais ceux-ci sont encore "en cours d'évaluation", selon une porte-parole.Souvent appelé Eole, le RER E relie actuellement Chelles et Tournan (Seine-et-Marne), dans la banlieue est, à la gare Saint-Lazare à Paris.Les travaux en cours -retardés par la crise sanitaire- ont pour but de le prolonger à l'ouest jusqu'à Nanterre via La Défense à la mi-2013, puis jusqu'à Mantes-la-Jolie (Yvelines) à une date qui doit encore être réévaluée. Ils comprennent le percement d'un tunnel de 8 km et le réaménagement de 47 km de voies existantes.
Il y a 4 ans et 134 jours

A Chypre, en zone sismique, les vieilles bâtisses font trembler des habitants

Les rues chypriotes sont une alternance de maisons traditionnelles en pierre, aux murs fissurés et aux volets de bois défraîchis, et de tours résidentielles bétonnées notamment érigées dans les villes touristiques.Après le séisme en mer Egée le 30 octobre (une centaine de morts en Grèce et en Turquie), des Chypriotes ont sonné l'alarme."Les maisons gravement endommagées sont un danger pour la sécurité publique", dit à l'AFP Andreas Theodotou, président de l'association des ingénieurs civils. "Notre principale préoccupation concerne les bâtiments construits avant le Code sismique de 1994", soit "une grande majorité".Selon le dernier rapport de la Défense civile sur l'évaluation des risques à Chypre datant de 2018, plus de 70% des constructions étaient antérieures aux standards sismiques. Et plus de 50% des bâtiments en pierre pourraient être perdus en cas de séisme majeur.Chypre est divisée depuis l'invasion en 1974 de son tiers nord par l'armée turque en réponse à un coup d'Etat visant à rattacher l'île méditerranéenne à la Grèce. Une zone tampon sépare la République de Chypre (sud) de l'autoproclamée République turque de Chypre-Nord (RTCN).Beaucoup d'habitants ont dû abandonner leur maison pour se réfugier au nord ou au sud de l'île selon leur appartenance communautaire. A cela s'ajoutent crises économiques, problèmes de succession ou simple préférence pour la modernité. Résultat: de nombreuses habitations ne sont plus entretenues.A Nicosie, dernière capitale divisée au monde, se dégage une atmosphère architecturale unique liée à la succession de dominations étrangères.Mais Savvas Louka, un boucher de la vieille ville, s'inquiète.En février 2019, un immeuble inhabité face à son commerce s'est effondré à cause des pluies. "Mon immeuble non plus n'est pas en bon état", dit-il.Plaques tectoniquesChypre, à la jonction des plaques tectoniques africaine et eurasienne, "repose dans la zone sismique alpino-himalayenne où ont lieu 15% des tremblements de terre dans le monde", souligne le Dr Sylvana Pilidou, du Département d'études géologiques."Des découvertes archéologiques ont révélé que de puissants séismes avaient frappé Chypre (...) et détruit ses villes."Comme un rappel, l'île a enregistré en décembre un tremblement de terre de magnitude 5,4, dont l'épicentre se situait à 130 km au large mais qui a été ressenti à Nicosie.En 1953, un double séisme a fait 40 morts. Quelque 1.600 maisons ont été détruites et 10.000 bâtiments sérieusement endommagés."Les villes côtières (...) sont dans une région sismique plus importante. Mais tous les bâtiments mal entretenus, vieux ou abandonnés à travers l'île ont un grand risque d'être endommagés ou même de s'effondrer", prévient Platonas Stylianou, secrétaire général de la Chambre technique et scientifique. In extremisQue faire pour protéger le petit million d'habitants de Chypre?Si les nouvelles constructions intègrent les normes parasismiques européens, il existe un "manque de culture" en matière d'entretien de l'habitat et "des mesures ne semblent être prises qu'au stade d'effondrement imminent", déplore M. Stylianou.Les murs de la maison mitoyenne de celle de Savvas Christophidis, architecte à Nicosie, ont été sauvés in extremis. Ses propriétaires Chypriotes-Turcs sont installés dans la partie Nord.La municipalité et le service de gestion dédié au ministère de l'Intérieur ont fini par intervenir cette année, raconte-t-il.Mais poussez la double porte de cette demeure et vous tomberez sur un jardin avec pour seul décor un palmier. "Le toit et tout l'intérieur s'étaient déjà effondrés", explique M. Christophidis.L'entretien est "avant tout la responsabilité des propriétaires", rappelle Kyriacos Kouros, responsable des services techniques au ministère de l'Intérieur. "Il faut développer une culture" en ce sens, plaide-t-il.Des mesures préventives, dont des listes de bâtiments à risques, sont en cours d'élaboration selon les autorités.En 2018, plus de 6.350 demeures étaient classées au patrimoine culturel et protégées.Mais pour Stavroula Thravalou, spécialisée en architecture civile et conservation du patrimoine à l'université de Chypre, "nous devons aller plus loin, avec une stratégie (...) de revitalisation des bâtiments abandonnés et des quartiers".Un moyen, également, de "restaurer les liens avec les habitants", juge-t-elle.
Il y a 4 ans et 135 jours

Le trafic de l'aéroport de Nantes chute de 67% en 2020 à 2,3 millions de passager

L'année 2019 avait été une année de fréquentation record avec 7 millions de passagers.Le trafic national a représenté 54% des vols en 2020, contre 39% en 2019 où les trajets européens et internationaux étaient majoritaires. Le fret a par ailleurs augmenté de 11% en 2020 par rapport à 2019 avec près de 10.000 tonnes de marchandises transportées.Durant la période des fêtes de fin d'année, 106.000 passagers ont été enregistrés, soit 40% du trafic de la même période en 2019.L'aéroport précise avoir "activement contribué à la gestion de la crise sanitaire" tout au long de l'année 2020 avec 44 transferts de malades, soignants ou matériels médicaux, et la livraison de plusieurs centaines de millions de masques.Il y a trois ans, le 17 janvier 2018, le gouvernement avait annoncé l'abandon définitif du transfert de l'aéroport de Nantes-Atlantique à Notre-Dame-des-Landes, mettant fin à de longes années de conflit entre partisans et opposants au projet.La concession de l'aéroport, géré par Vinci, doit être renouvelée en 2021. En 2019, la direction générale de l'aviation civile (DGAC) prévoyait que l'aéroport accueillerait entre 9 et 14 millions de passagers à l'horizon 2040, en fonction des hypothèses de trafic retenues.
Il y a 4 ans et 135 jours

Scepticisme après la proposition d'Elon Musk de construire un tunnel sous Miami en zone inondable

L'une des sociétés du fantasque patron, la Boring Company, travaille sur des tunnels censés révolutionner les transports urbains.Un tel projet est en cours de développement à Las Vegas, dont Elon Musk avait assuré qu'il serait opérationnel en 2020."Les voitures et camions coincés dans les embouteillages génèrent des tonnes de gaz toxiques et de particules, mais les tunnels de la Boring Company sous Miami pourraient régler les problèmes de circulation et être un exemple pour le monde", a-t-il tweeté lundi, ajoutant en avoir discuté avec le gouverneur de Floride, Ron DeSantis, la semaine précédente.Il répondait à un tweet du maire de Miami, Francis Suarez, qui l'invitait, d'un tweet également, à discuter de "solutions potentielles pour l'avenir"."Si le gouverneur et le maire veulent que ce soit fait, nous le ferons", a ajouté dans son message M. Musk, qui est également le patron de Tesla et SpaceX."Parlons-en", est intervenue la maire du comté de Miami-Dade, Daniella Levine-Cava, tandis que le maire de la ville voisine de Fort Lauderdale a affirmé qu'il "aimerait beaucoup" faire partie de la discussion.Mais beaucoup ont fait entendre leur scepticisme face à l'idée de creuser dans un sol facilement inondable en raison de la montée des eaux, dans cette ville située au bord de l'Atlantique."Cela ne semble pas très malin et ce sera très certainement cher", a commenté, auprès de la chaîne locale de CBS, Kurtis Gurley, professeur de génie civil à l'université de Floride."Aquaman devrait se charger du projet", a plaisanté sur Twitter un journaliste de la radio NPR, en référence au blockbuster américain mettant en scène le roi de la cité sous-marine d'Atlantis.
Il y a 4 ans et 135 jours

Le gouvernement appelle les préfets à faciliter les "évacuations forcées" de logements squattés

Coproduite par trois ministères (Logement, Intérieur, Justice), l'instruction envoyée aux préfets fait suite à l'adoption en décembre de la loi dite "Asap", qui a renforcé le dispositif anti-squat après plusieurs affaires fortement médiatisées (Théoule-sur-Mer, Petit-Cambodge à Paris...).Selon le communiqué résumant ce texte, "l'occupation effective du logement au moment où les squatteurs s'y introduisent n'est pas un critère nécessaire pour engager la procédure d'évacuation forcée", qui s'applique à toutes les types de résidence (principale, secondaire, occasionnelles).Ces évacuations par la force publique ne sont pas "concernées par la suspension" des expulsions locatives décrétée chaque année au titre de la trêve hivernale pour protéger les foyers les plus fragiles, ajoute-t-il.Dans ce cas de figure, le préfet devra toutefois "s'attacher à rechercher des solutions de relogement pour les personnes évacuées", indique le communiqué des trois ministères.Cette procédure d'évacuation n'est par ailleurs pas réservée au propriétaire du logement mais pourra être enclenchée par "toute personne agissant dans l'intérêt et pour le compte" de ce dernier. L'usufruitier d'un logement ou les enfants d'un propriétaire âgé pourront ainsi y avoir recours.Enfin, le gouvernement somme les préfets d'agir rapidement: les demandes d'évacuation devront être examinées dans les 48 heures suivant leur réception."Une fois notifiée, la décision d'évacuation forcée peut intervenir, au plus tôt, 24 heures après mise en demeure de quitter le logement", ajoute le communiqué."Le gouvernement est déterminé à mettre fin aux occupations illicites", résume le communiqué qui assure par ailleurs que les personnes précaires qui ne sont pas "en situation de squat" ont pu bénéficier de dispositifs d'aide pendant la crise sanitaire, notamment la prolongation de la trêve hivernale en 2020.Cette instruction est envoyée trois jours après le vote au Sénat d'une proposition de loi LR renforçant la lutte anti-squats qui a provoqué la colère de la gauche qui a mis en avant "la réalité du mal-logement" en France.
Il y a 4 ans et 135 jours

Le gouverment appelle les préfets à faciliter les "évacuations forcées" de logements squattés

Coproduite par trois ministères (Logement, Intérieur, Justice), l'instruction envoyée aux préfets fait suite à l'adoption en décembre de la loi dite "Asap", qui a renforcé le dispositif anti-squat après plusieurs affaires fortement médiatisées (Théoule-sur-Mer, Petit-Cambodge à Paris...).Selon le communiqué résumant ce texte, "l'occupation effective du logement au moment où les squatteurs s'y introduisent n'est pas un critère nécessaire pour engager la procédure d'évacuation forcée", qui s'applique à toutes les types de résidence (principale, secondaire, occasionnelles).Ces évacuations par la force publique ne sont pas "concernées par la suspension" des expulsions locatives décrétée chaque année au titre de la trêve hivernale pour protéger les foyers les plus fragiles, ajoute-t-il.Dans ce cas de figure, le préfet devra toutefois "s'attacher à rechercher des solutions de relogement pour les personnes évacuées", indique le communiqué des trois ministères.Cette procédure d'évacuation n'est par ailleurs pas réservée au propriétaire du logement mais pourra être enclenchée par "toute personne agissant dans l'intérêt et pour le compte" de ce dernier. L'usufruitier d'un logement ou les enfants d'un propriétaire âgé pourront ainsi y avoir recours.Enfin, le gouvernement somme les préfets d'agir rapidement: les demandes d'évacuation devront être examinées dans les 48 heures suivant leur réception."Une fois notifiée, la décision d'évacuation forcée peut intervenir, au plus tôt, 24 heures après mise en demeure de quitter le logement", ajoute le communiqué."Le gouvernement est déterminé à mettre fin aux occupations illicites", résume le communiqué qui assure par ailleurs que les personnes précaires qui ne sont pas "en situation de squat" ont pu bénéficier de dispositifs d'aide pendant la crise sanitaire, notamment la prolongation de la trêve hivernale en 2020.Cette instruction est envoyée trois jours après le vote au Sénat d'une proposition de loi LR renforçant la lutte anti-squats qui a provoqué la colère de la gauche qui a mis en avant "la réalité du mal-logement" en France.
Il y a 4 ans et 135 jours

L'immobilier de luxe résiste à la crise sanitaire

"Je continue encore à être étonné chaque jour, je me dis que c'est trop beau pour être vrai", reconnaît auprès de l'AFP Alexander Kraft, responsable de la filiale immobilière de la maison de luxe Sotheby's.Son chiffre d'affaires français a progressé de plus de 5% l'an dernier, malgré la crise de la Covid-19 et plusieurs épisodes de confinement qui ont bloqué pendant des semaines l'activité économique.Le paysage est aussi satisfaisant pour d'autres réseaux d'immobilier de luxe, un marché de niche sans définition précise, mais qui s'intéresse généralement aux logements de plus d'un million d'euros.Les deux grands acteurs français du secteur, Barnes et Daniel Féau, ont tous deux fait état d'un recul de leurs ventes à Paris ainsi qu'une stabilisation des prix après des années de hausse, mais ont estimé ce recul modéré au regard de la crise.Plusieurs réseaux soulignent aussi un bond des ventes en province. Chez Barnes, elles se sont envolées dans des destinations prisées des plus fortunées, telles Biarritz et Deauville, même si le réseau ne dit pas à quel point ces succès ont compensé le déclin parisien.Selon les différents acteurs, deux grandes raisons expliquent cet essor du marché en temps de crise. D'abord, les multiples confinements, en particulier celui très strict du printemps 2020, ont créé de nouvelles envies."Jamais les gens n'ont été enfermés comme ça et ça s'applique à tout le monde, même les gens les plus aisés qui ont des biens plus vastes: ils sont habitués à voyager et ont été forcés de rester sur place", explique M. Kraft."C'est vraiment un phénomène psychologique, les gens sont frustrés et veulent un foyer plus confortable", insiste-t-il.Valeur refugeCes observations font écho à celles faites par les réseaux grands publics sur le marché immobilier dans son ensemble. Mais, dans ce dernier cas, elles n'ont pas forcément donné lieu à des mouvements massifs d'achat.Par contraste, chez les plus riches, ces envies sont parfois si pressantes que quelques achats, pourtant de plusieurs millions d'euros, ont été bouclés à distance sans que l'acquéreur ou ses représentants mettent les pieds dans le logement."Normalement, ces gens-là envoient au moins un assistant, mais là on a vraiment fait des ventes 100% virtuelles", s'étonne M. Kraft.L'autre moteur, plus classique en temps de crise, c'est que l'immobilier reste un investissement jugé sûr, quand bien même les marchés boursiers n'ont finalement pas connu une mauvaise année 2020."L'immobilier haut de gamme a vraiment été perçu comme une valeur refuge et une [option] alternative à des placements en or ou autres", a rapporté jeudi Thibault Saint-Vincent, président de Barnes, lors d'une conférence de presse.La crise sanitaire a toutefois créé de multiples blocages, en particulier les restrictions de voyage qui ont changé le visage d'une clientèle habituellement cosmopolite."Les acquéreurs européens et surtout français - notamment en provenance du Royaume-Uni, en prévision du Brexit - se sont en grande part substitués à notre clientèle internationale habituelle incapable de se déplacer", a remarqué dans un communiqué Charles-Marie Jottras, président de Daniel Féau.Il est difficile de prévoir combien de temps les étrangers vont rester à l'écart du marché français, alors que l'évolution de la crise sanitaire reste incertaine et laisse craindre des restrictions durables.Mais, espère M. Kraft, au vu des marques d'intérêt actuelles, "une fois qu'on pourra vraiment voyager (...) il y a des fortes chances qu'il y ait une véritable vague quand les étrangers reviendront".
Il y a 4 ans et 135 jours

L'assurance-vie s'engage en faveur du recyclage de bureaux vides en logements

Véritable marronnier, ce "recyclage" était une des mesures phares de la loi Elan de 2018 afin de répondre à la pénurie de logements, criante notamment en Ile-de-France où le foncier est rare et cher.Cette question est revenue sur le devant de la scène ces derniers mois avec la généralisation du télétravail qui a poussé de nombreuses entreprises à réfléchir à l'après-épidémie et repenser la taille de leurs bureaux.En région parisienne, la quantité de bureaux loués a ainsi reculé de près de moitié (-45%) par rapport à un an plus tôt."Il y a un alignement des planètes" favorable à une accélération du recyclage de bureaux vides en logement, a estimé Joachim Azan, le président fondateur de Novaxia, lors d'une conférence de presse à Paris.Cette accélération se concrétisera par le lancement au printemps d'un fonds spécifique "Novaxia R", soutenu par Suravenir, Spirica, AG2R la Mondiale et Generali, a-t-il ajouté."On ambitionne de déployer un milliard d'euros d'investissements, l'équivalent de 250.000 m² de surface de plancher ou l'équivalent de 4.000 logements" pour "les trois prochaines années", a précisé Joachim Azan.L'objectif de ce fonds, qui proposera aux épargnants de diversifier leur épargne dans le logement, est "d'acheter des immeubles de bureaux avec une décote de l'ordre de 20 à 30%" et de "fabriquer du logement à l'issue de cette transformation". Ses promoteurs espèrent un rendement de 5% par an.L'Ile-de-France - qui compte, selon Novaxia, trois millions de m² de bureaux vides auxquels se rajoutent entre "3 à 6 millions de m² du fait du télétravail" accru depuis la crise sanitaire - sera majoritairement concernée.Une première charte avait été signée en mars 2018 par dix opérateurs qui s'étaient engagés à transformer 500.000 m² de bureaux en logements en Ile-de-France d'ici 2022.Mais près de trois ans plus tard, aucun bilan n'a été communiqué.Il n'y a pour l'heure pas encore de "chiffre consolidé", a confirmé mardi la ministre du Logement Emmanuelle Wargon, mais "ça a marché, il y a plein de projets en cours".La ministre, qui visitait des bureaux transformés par Novaxia en logements dans le 20e arrondissement de Paris, a précisé qu'elle réunirait d'ici "une quinzaine de jours" les acteurs de 2018 pour faire le point.
Il y a 4 ans et 135 jours

Signature du Pacte d'engagement des acteurs des infrastructures de mobilité

Jean-Baptiste DJEBBARI, Ministre des Transports, et Yves KRATTINGER, Président de l’IDRRIM, ont réuni les principaux signataires du pacte d’engagement des acteurs des infrastructures de mobilité, dont le Cerema, pour lancer officiellement la démarche qui a vocation à être déclinée à l’échelle territoriale. L’objectif est d’apporter des réponses opérationnelles concrètes et soutenables aux gestionnaires d’infrastructures en mobilisant les acteurs nationaux et locaux.Ce pacte d’engagement à horizon 2030 engage les signataires à porter une vision commune de l’avenir des infrastructures de mobilité, mais aussi à apporter des réponses concrètes et soutenables aux gestionnaires d’infrastructures qui sont confrontés à l’évolution des enjeux et attentes de notre société : celles inscrites dans les transitions climatiques et écologiques, dans la transition numérique, et enfin celles conçues et gérées à l’écoute des citoyens. La mise en œuvre de ce pacte repose sur quatre engagements préalables : Adapter la formation aux besoins de compétences actuelles et futures ;Mettre en place une stratégie de gestion patrimoniale des infrastructures au regard de leur vieillissement et des nouvelles attentes sociétales ;Favoriser l’innovation ;Consolider un mode de travail partenarial et collaboratif entre tous les acteurs.« Les orientations inscrites dans ce pacte d'engagement montrent le chemin parcouru ensemble ces dernières années » et que « le Cerema dispose d’une ingénierie territorialisée mobilisée pour accompagner la mise en œuvre de ces engagements ».Pascal Berteaud, Directeur Général du CeremaLes signataires s’engagent sur le plan national mais aussi territorial avec une déclinaison fine au niveau régional, départemental, métropolitain, intercommunal. Un cadre-type est proposé pour accompagner les acteurs locaux et faire ainsi évoluer les pratiques.
Il y a 4 ans et 135 jours

Comment les BET et ingénieurs conseils s'adaptent au contexte de la crise sanitaire et économique ?

Les conséquences des 10 mois de crise impactent encore durement les adhérents de CINOV et près de la moitié d'entre eux déclarent un chiffre d'affaires en baisse. Mais face aux difficultés, les TPE PME de la branche BETIC font preuve d'une grande capacité d'adaptation pour limiter l'impact sur l'emploi et le recours au chômage partiel.Une crise qui continue d'impacter les entreprises de la branche BETIC…Depuis bientôt un an, la crise du COVID-19 frappe de plein fouet les entreprises et plus particulièrement les TPE PME et les indépendants. L'impact persistant de la crise, renforcé par la seconde vague automnale, continue à influer sur la santé des entreprises de la branche dont près de la moitié déclarent encore une baisse de chiffre d'affaires pour ce mois de décembre par rapport à l'année précédente. Si ce chiffre est en légère amélioration au regard des statistiques du mois de novembre (-9 points) ; pour un quart d'entre elles, cette diminution s'élève à plus de 50% de leur chiffre d'affaires.En cette fin d'année, ce sont les secteurs de l'architecture et de l'urbanisme (27%), du numérique (23%) et du conseil en management (17%) qui sont les plus touchés. Sans surprise, les entreprises ayant pour secteur client principal l'aéronautique, l'automobile, le commerce distribution ou encore l'hôtellerie sont les plus impactées.… dont le futur reste incertainLa persistance du contexte de crise, à la fois sanitaire et économique, freine la reprise de l'activité des entreprises et impacte leurs prévisions sur les mois à venir. Ainsi, la moitié des répondants prévoient une nouvelle baisse de chiffre d'affaires pour les trois prochains mois et pour 8% d'entre eux, cette prédiction s'élève à plus de 50% du chiffre d'affaires (chiffre stable depuis octobre). Figurent parmi les secteurs de la branche les plus pessimistes concernant l'avenir : l'architecture et l'urbanisme (63%), le conseil en management (65%), l'Industries et Technologies (66%) et la Restauconception (100%). Si la gestion de la trésorerie, la baisse ou la renégociation des horaires sont également citées par les adhérents, pour 61% des entreprises interrogées, l'imprévisibilité de l'activité demeure la difficulté la plus importante dans leur activité à l'heure actuelle.Des capacités d'adaptation qui contribuent à préserver l'emploi dans la brancheMalgré ces chiffres alarmants, le mois de décembre laisse apparaître les signes d'une lente reprise puisque le nombre d'entreprises enregistrant un chiffre d'affaires en baisse a reculé de 9 points par rapport à novembre. De même pour l'incidence sur l'emploi, le recours à une baisse des effectifs n'est plus envisagé que par 9% des sondés contre 13% le mois dernier. Cette reprise s'explique notamment par la grande capacité d'adaptation des entreprises de la branche qui – parmi celles ayant eu au recours au télétravail – sont 90% à avoir mis à disposition de leurs salariés le matériel dédié (informatique, logiciels, accès à distance…) et 50% à avoir pris en charge les frais de télétravail de leurs salariés. On note également que les accords d'entreprises sur la mise en place du télétravail se développent (+6 points par rapport au mois de novembre).« La santé économique de nos TPE PME n'a pas été épargnée par cette crise sanitaire et économique qui s'inscrit dans la durée. Chute de l'activité, nouvelles méthodes de travail : nos adhérents ont dû et ont su composer avec les défis que la situation leur a imposés. CINOV continuera en 2021 à les soutenir dans toutes leurs démarches visant à faciliter la reprise pérenne de leur activité, afin de faire de cette année celle de la résilience et des transformations numériques et environnementales. »Frédéric Lafage, Président de la Fédération CINOVLes chiffres clés du baromètre CINOV pour décembre 202049% des entreprises de la branche déclarent un chiffre d'affaires en baisse25% d'entre elles enregistrent une baisse de CA de plus de 50% par rapport à décembre 201937% des dirigeants se déclarent inquiets pour la pérennité de leur entreprise18% des entreprises avec des salariés ont recours au dispositif d'activité partielle en décembre50% des entreprises ayant recours au télétravail prennent en charge les frais de travail à la maison
Il y a 4 ans et 135 jours

Fusion KE France & Gennius

La décision initiée par le groupe Italien BAT, acteur incontournable de la protection solaire, a pour but de proposer au marché français sous la marque unique « KE » une offre produit globale parmi les plus exhaustives.Les deux sociétés forment à présent une seule et même équipe, organisée et renforcée pour simplifier les échanges et satisfaire les demandes de leurs clients communs.Une marque forte, une lisibilité accrueAfin d’accroître la visibilité de la marque sur le marché français, KE France intègre cinq produits Gennius emblématiques du design italien, destinés à venir élargir la gamme existante. Ces solutions seront très prochainement fabriquées en France dans l’atelier de Tremblay les Villages. Tous les produits seront commercialisés sous la marque KE, à travers un catalogue rassemblant l’ensemble de l’offre. Une offre pergolas renforcéeDès janvier 2021, ces cinq « nouveaux » produits sont ainsi disponibles sous la marque KE :KEDRY PLUS : la pergola bioclimatique ultra design, résistante à toute épreuve ISOLA 2 : la pergola à toile rétractable par empaquètement au design singulier et à la modularité exemplaire XTESA PLAIN : la pergola adossée à toile enroulable alliant robustesse et encombrement minimal A100 Lux : la pergola adossée simple et fonctionnelle au toit rétractable par empaquètement SKIN : le voile d’ombrage au mécanisme et à l’esthétique inspirés du monde nautique Ces produits ont déjà trouvé leur place sur les terrasses des particuliers, des restaurants, des hôtels et des palaces dans le monde entier. Leur qualité et leur performance ne sont plus à prouver. Source de confort et de bien-être, ils permettent la création de nouveaux espaces de vie et d’accueil et s’adaptent idéalement à tous les environnements, quelles que soient les contraintes techniques.Le jeu des 6 familles ! La gamme la plus large du marchéCes solutions complémentaires permettent à la marque de déployer une largeur de gamme unique, désormais segmentée en 6 familles de produits bien distinctes :Stores bannes coffre et monobloc Stores verticaux et projectionStores pergola et véranda Pergolas toile (KE est l’un des seuls acteurs du marché à investir sur ce segment à l’heure actuelle)Pergolas bioclimatiquesVoile d’ombrage (KE est le seul acteur du marché à avoir transformer le voile d’ombrage en un produit technique et hautement design)Cette offre experte s’est forgée au fil des années. Elle répond parfaitement à tous les besoins du quotidien pour tout projet naissant : jardin d’hiver, terrasse confortable, piscine couverte, nouvelle pièce de vie en plein air etc.Un accompagnement dynamiqueDes outils d’aide à la vente seront mis à disposition sur l’espace client du site internet : ils proposent une présentation détaillée des principales fonctionnalités et des larges possibilités qu’offrent ces différentes familles de produits. Pour les demandes plus complexes ou singulières, une équipe technique dédiée prend le relai pour accompagner l’installateur ou l’architecte dans la réalisation de son projet.
Il y a 4 ans et 135 jours

Ubbink, partenaire de BL Energies pour des projets de rénovation EDF Réno'Basse Consommation (RBC)

BL Energies, installateur partenaire d’EDF dans les opérations de rénovation énergétique de l’habitat, a choisi les produits Ubbink pour équiper les VMC Simple-Flux hygroréglables. Ainsi, 6 installations ont été effectuées depuis avril 2020 dans des maisons individuelles et 14 supplémentaires sont prévues dans le cadre de ce partenariat.Ubbink, un partenaire de choix dans la rénovation énergétiqueDans le cadre de projets de rénovations EDF RBC, la ventilation constitue un axe central. L’installation d’une VMC Simple-Flux entre donc dans le cadre des travaux effectués par l’entreprise BL ENERGIES, partenaire d’EDF dans la Meuse et la Haute-Marne et installateur de produits Ubbink pour ce type de travaux.Ainsi, pour le réseau de distribution d’air, c’est le réseau AIR EXCELLENT qui a été sélectionné. Celui-ci permet une ventilation performante tout en améliorant la qualité de l’air.Pour Pascal Burtaux, directeur de l’entreprise BL ENERGIES et installateur de ces solutions : « les conduits flexibles semi-rigides offrent des installations plus durables que les gaines souples. C’est ce qui a orienté notre choix vers Ubbink. De plus, nous avons bénéficié d’un très bon accompagnement commercial avec une équipe particulièrement à l’écoute de nos besoins ».Silencieux et conçus de manière à optimiser la maintenance et le nettoyage du réseau, les conduits-semi rigides permettent de contourner le risque d’écrasement, limitent les pertes thermiques et les pertes de charge. Faciles à installer, grâce à des éléments se clipsant les uns aux autres avec joints, la pose des produits de la gamme AIR EXCELLENT est intuitive et sans outil.Qu’est-ce qu’une rénovation EDF RBC ?Une rénovation RBC (Réno’Basse-Consommation) est une offre d’accompagnement mise en place par EDF à destination des habitants de la Meuse et de la Haute-Marne. « Il s’agit notamment d’améliorer la qualité des chantiers de rénovation énergétique de l’habitat en formant, tout au long de l’année, des artisans partenaires aux meilleures pratiques » indique Laurent Guay, responsable du programme pour EDF. Départements particulièrement touchés par la précarité énergétique, ces formations permettent aux entreprises locales d’être plus efficaces pour répondre à la demande accrue de rénovation qui peuvent représenter jusqu’à 80 % d’économie d’énergie dans le cadre d’une rénovation globale.De la préconisation des travaux à effectuer à la livraison, en passant par le choix de l’artisan, le lancement et le suivi des travaux, c’est un accompagnement complet qui est proposé aux meusiens et aux haut-marnais.Les réalisations peuvent également servir de références aux certifications Qualit’ENR et RGE.
Il y a 4 ans et 135 jours

L'activité de Pierre et Vacances divisée par deux au 1er trimestre avec la crise du Covid-19

Sur la période octobre-décembre 2020 le chiffre d'affaires s'est établi à 141,7 millions d'euros, contre 334,5 millions d'euros pour les mêmes trois mois un an plus tôt, selon un communiqué publié mercredi.En excluant l'incidence des nouvelles normes comptables IFRS 11 et 16, entrées en vigueur depuis l'an dernier, Pierre et Vacances fait état d'un chiffre d'affaires --selon lui "plus représentatif de son activité"-- de 167,2 millions d'euros, en recul de 55,4%."Les mesures de restriction prises par les différents gouvernements européens pour faire face à la deuxième vague de la pandémie ont lourdement affecté l'activité du groupe au premier trimestre de l'exercice", commente le groupe.Au cours du premier trimestre, Pierre et Vacances-Center Parcs a vu son chiffre d'affaires "touristique" chuter de 63,6% à 102,7 millions d'euros tandis que le chiffre d'affaires "hébergement" reculait de 30,8% à 64,4 millions d'euros."En octobre, après une dynamique positive dans la lignée du quatrième trimestre de l'exercice précédent, la mise en place des couvre-feu, les restrictions de rassemblement et la perspective d'un reconfinement ont considérablement ralenti les réservations, notamment pour les vacances de la Toussaint".Puis du 2 novembre à la mi-décembre, le groupe qui compte 26 sites Center Parcs en Europe, a dû fermer "la quasi-totalité de ses sites". "Seuls les Domaines Center Parcs néerlandais sont restés ouverts, mais avec une offre réduite", précise-t-il.Enfin sur la deuxième quinzaine de décembre, malgré de bonnes performances des sites situés au bord de la mer, "principalement aux Antilles, l''activité est en retrait de près de 80%, pénalisée par le maintien de la fermeture des Domaines Center Parcs en Allemagne et en Belgique", et "une offre dégradée" sur les sites exploités.En outre, seules 9 résidences montagne, soit 15% de l'offre du groupe sur cette destination, ont fonctionné, en raison de la fermeture des remontées mécaniques, tandis que la moitié des aparthotels Adagio restaient fermés. "Compte tenu de cette absence d'activité et de visibilité liée à l'aggravation de la situation sanitaire avec l'apparition de nouveaux variants du Covid-19 et de l'inconnue de date de réouverture des sites", le groupe "intensifie ses mesures de préservation de la trésorerie" et son recours à l'activité partielle, dit-il.Fin décembre le groupe avait averti qu'un retour à la rentabilité n'était pas en vue pour l'exercice 2020-21.
Il y a 4 ans et 135 jours

Accademia Full Body, la collection qui fait revivre la tradition des sols vénitiens antiques

Les six différentes variantes chromatiques, dont les noms rendent hommage aux grands peintres vénitiens du passé, se modulent sur des couleurs dans des gradations combinables entre elles, qui explorent les nuances du beige dans Canaletto et Tintoretto, les tonalités du gris dans Bellini et Tiepolo et les intensités des noirs dans Veronese et Tiziano. Disponible dans les formats traditionnels – 120x60, 60x60 cm et, à partir du printemps 2021, dans les dimensions 150x75, 75x75, 100x100 cm aussi –, la trame granulaire caractéristique d'Accademia Full Body camoufle le joint en permettant ainsi la création de surfaces à l'aspect continu et de grand impact. La collection est présentée dans deux finitions différentes: Levigato Lucidato, réfléchissante, qui s'apparente au terrazzo à la vénitienne d'origine pour un style plus classique et Soft, opaque, pour un look plus moderne. La texture d'Accademia Full Body est rendue unique et originale par le nouveau service exclusif sur demande qu'Ariostea met à la disposition des architectes et des concepteurs, qui peuvent recréer l'effet du terrazzo à la vénitienne en grès cérame en mélangeant des couleurs et des granulométries complètement personnalisées.Sur demande, Accademia Full Body peut être réalisée sur ACTIVE SURFACES, les plaques photocatalytiques avec un effet antibactérien et antiviral, antipollution, anti-odeur et autonettoyant.
Il y a 4 ans et 136 jours

Le CCCA-BTP lance l'Apprentissage Club BTP

Depuis la réforme de septembre 2018, l’environnement de l’apprentissage connaît une mutation sans précédent. Le champ de la formation professionnelle s’est profondément transformé et les organismes de formation qui propose des formations en alternance doivent adapter leur mode de fonctionnement et leur organisation, pour pérenniser leur activité et poursuivre leur développement. C’est pour les accompagner au plus près de leurs besoins, sur leur territoire, que le CCCA-BTP créé L’Apprentissage Club BTP, pour faire de l’intelligence collective un accélérateur de performance et de développement de l’activité des organismes de formation du BTP, en facilitant la déclinaison opérationnelle de leurs choix stratégiques. Faire de l’intelligence collective un accélérateur de développement et d’attractivité C’est dans le cadre de sa nouvelle offre de services que le CCCA-BTP créé l’Apprentissage Club BTP, accessible à titre gratuit à tous les organismes proposant majoritairement des formations aux métiers du BTP. En y adhérant, les organismes de formation aux métiers du BTP rejoignent un collectif d’acteurs réunis par une communauté d’intérêt, une communauté de métiers et d’expertises. Ils s’engagent ainsi dans une démarche commune de réflexion stratégique et prospective, de production de contenus, d’expérimentation de projets et d’innovations entre pairs.L’Apprentissage Club BTP a pour objectif de permettre à ses membres de travailler collectivement, en bénéficiant de l’expertise du CCCA-BTP, pour réfléchir et préciser les choix stratégiques, au regard de leur marché et de leur territoire, d’investir de nouveaux champs de développement en termes d’offres et d’actions de formation, de gagner en agilité dans leur organisation et la conduite de leur activité, mais aussi de pouvoir expérimenter grandeur nature de nouveaux projets et services, aux profit des entreprises du BTP et des jeunes en formation. Mutualiser et expérimenter des bonnes pratiques stratégiques, pédagogiques et novatricesL’Apprentissage Club BTP, en réunissant les décideurs et les manageurs des organismes de formation du BTP, leur offre, quels que soient leurs besoins ou leurs ambitions, l’opportunité inédite de réfléchir, concevoir, mutualiser et expérimenter de nouveaux projets et services sur des thématiques communes et choisies en termes de…Stratégie, développement et croissance, pour…Définir une vision stratégique partagée et faciliter la déclinaison opérationnelle de ses choix tactiques sur son territoire et au regard de son marché.Investir de nouveaux champs de développement, optimiser sa performance, développer et pérenniser la croissance de ses activités.Gagner en agilité dans l’organisation et la conduite de ses activités.Pédagogie, innovation et expérimentation, pour…Échanger, partager et créer ensemble des contenus. Expérimenter des projets, notamment pédagogiques, ou des services en grandeur nature.Diversifier l’offre et les actions de formation et renforcer ses modalités pédagogiques.Faciliter et encourager le « faire ensemble », à travers trois espaces de coopération renforcée L’Apprentissage Club BTP propose trois espaces de coopération renforcée, auxquels les organismes de formation du BTP peuvent participer, en fonction de leurs besoins et de leurs projets.Espace « Pilotage stratégique et performance opérationnelle », pour partager sa vision, ses orientation ou son positionnement stratégique, adapter à ses pratiques et aux nouveaux enjeux de son environnement, conduire les changements nécessaires, définir des indicateurs de réussite ou encore faciliter la dynamique créative de ses équipes.Espace « Qualité pédagogique », pour travailler sur la mise en place et l’évolution d’une nouvelle offre de formation (diplômes, titres professionnels, etc.), le développement de l’ingénierie pédagogique (numérique éducatif, techniques de face à face pédagogique, construction de parcours de formation, ingénierie de certification), mais aussi l’identification d’actions de montée en compétences des formateurs.Espace « Attractivité et innovation », pour anticiper les tendances et évolutions de son marché, capter les signaux faibles, agir sur son territoire, engager une démarche d’innovation ouverte et collaborative et expérimenter des projets.Faciliter et favoriser les coopérations : valeurs de partage et de performanceLes organismes de formation du BTP membres s’engagent à échanger mutuellement informations et expériences, en toute transparence, à participer activement à la collégialité des travaux menés lors des rencontres organisées, à élaborer conjointement des contenus sur les thématiques retenues et à partager les résultats obtenus avec les autres membres de l’Apprentissage Club BTP.Le CCCA-BTP, animateur et source d’expertise Afin de mener leurs travaux, les organismes de formation membres de l’Apprentissage Club BTP pourront s’appuyer sur le CCCA-BTP, qui apportera son expertise sur chaque thématique proposée et choisie par les membres. Il assurera également un appui technique pour l’animation des trois espaces de coopération renforcée, notamment en mettant à disposition une information dédiée et en proposant une veille spécifique aux thématiques de coopération. Le CCCA-BTP proposera aussi un accès privilégié à des événements dédiés (ateliers, rencontres thématiques, universités, etc.), en présentiel ou à distance, pour promouvoir les travaux menés et leurs résultats. Infos et inscriptions à cette adresse
Il y a 4 ans et 136 jours

L'Urssaf lance un mini-site sur les cotisations sociales

Ce site, à visée pédagogique, présente de manière simple et ludique le fonctionnement de la protection sociale française : le site emmènera le visiteur à chaque étape du parcours de la cotisation, de sa collecte, avec l’analyse d’une fiche de paie, à son versement sous forme de prestation. Employeurs, salariés ou entrepreneurs, chacun pourra choisir son niveau d’information parmi les nombreux éléments disponibles, en piochant dans les différentes rubriques.Pour y accéder, rendez-vous sur : http://www.aquoiserventlescotisations.urssaf.fr/ La mise en ligne de ce site s’inscrit dans la mission d’information et de prévention de l’Urssaf, qui vise à sensibiliser les usagers sur son rôle mais aussi sur la responsabilité de chacun dans ce système afin d’en assurer le financement solidaire et durable.
Il y a 4 ans et 136 jours

Le gouvernement renforce le contrôle du travail détaché pour lutter contre la concurrence déloyale

La lutte contre la fraude au détachement international de salariés constitue une priorité du ministère. La fraude prive en effet souvent les salariés concernés de leurs droits, installe une concurrence déloyale entre entreprises et une perte de cotisations sociales pour la collectivité. Les agents de l'inspection du travail ont ainsi effectué 36 660 interventions en 2019 et 2020 malgré le contexte de crise sanitaire pour vérifier la bonne application de la règlementation : près de 1200 sanctions administratives ont été notifiées sur cette même période.Afin de faciliter les contrôles de l'inspection du travail, de mieux expliciter les règles applicables et leur articulation et de rappeler leurs obligations et responsabilités aux sociétés détachant des salariés et à leurs donneurs d'ordre, la Direction générale du travail a publié une nouvelle circulaire qui fait le point sur le droit applicable sur le sujet compte tenu des nombreuses évolutions législatives et réglementaires de ces dernières années.Règlementation renforcéeDepuis cette date, la réglementation du travail détaché a en effet été renforcée pour mieux encadrer le développement de cette pratique, garantir les droits des salariés, éviter les abus à l'origine de concurrence déloyale entre entreprises et combattre la fraude :lois de transposition des directives européennes de 2014 sur le contrôle de la régularité du détachement et la vigilance des donneurs d'ordre, et de 2018 sur l'égalité de rémunération entre travailleurs détachés et nationaux et la prise en charge des frais de transport et d'hébergement ;loi du 10 juillet 2014 sur la responsabilité des maîtres d'ouvrage et des donneurs d'ordres et le renforcement des sanctions en cas de fraude ;lois des 6 août 2015, 8 août 2016 et 5 septembre 2018 sur l'exercice effectif d'une activité dans le pays d'origine, la régularité du détachement, le montant et le paiement des amendes…Information exhaustive et actualiséeLa circulaire élaborée par la direction générale du travail s'articule en 5 grands points :le cadre juridique (européen et national) du détachement avec un rappel des différents cas de détachement (PSI, intragroupe, intérim et compte propre) ;les dispositions applicables aux salariés détachés notamment en matière de relations de travail, de temps de travail et de congés, de santé/sécurité, de rémunération, de frais professionnels ;les obligations des employeurs en matière de déclaration, de contrôle et de garantie financière ;les obligations de vigilance et de diligence du maitre d'ouvrage et du donneur d'ordre quant au respect de la licéité du détachement ou lors d'accidents du travail ;les sanctions administratives et pénales applicables à l'employeur et au donneur d'ordre en cas de manquement et les voies de recours pour les contester. En savoir plus sur le détachement des travailleursConsultez la rubrique « Détachement des travailleurs » du site internet du ministère du Travail, de l'Emploi et de l'Insertion qui a fait l'objet d'une profonde mise à jour pour expliquer de manière pédagogique et exhaustive les dispositions applicables en matière de détachement. Ces informations sont traduites en 8 langues : l'anglais, l'allemand, le portugais, l'espagnol, l'italien, le roumain, le polonais et le bulgare.
Il y a 4 ans et 136 jours

L'État propose d'aider les élus locaux à lutter contre les logements vides

Le ministère a fait part, dans un communiqué, du "lancement d'un appel à candidatures pour accompagner des collectivités dans leurs démarches de lutte contre la vacance des logements".Selon l'Insee, la part des logements vacants a augmenté depuis trente ans à travers le pays. Ils sont surtout présents dans les campagnes et les petites villes, mais leur proportion augmente aussi dans les zones "tendues", principalement les grandes agglomérations, où la demande est la plus forte pour se loger.La majeure partie des logements vacants ne le sont pas longtemps dans ces grandes villes, par exemple parce qu'ils sont loués à des étudiants avec un fort roulement, mais d'autres le restent dans la durée. Ce sont ces derniers qui font l'objet des attentions du gouvernement.Celui-ci avait annoncé début 2020 un plan anti-logements vacants, plutôt axé sur les incitations et l'information des propriétaires que sur des mesures contraignantes, comme des réquisitions.Il passait notamment par la mise en place d'une carte des logements vacants pour mieux en saisir les raisons.Cette cartographie fait partie des mesures proposées dans le cadre de l'accompagnement annoncé mercredi pour les élus locaux. Si leur candidature, à déposer avant le 12 février, est retenue, ils auront accès à ces données.En outre, ils bénéficieront d'outils numériques pour "repérer, contacter et convaincre les propriétaires de logements vacants et suivre la remise sur le marché des logements vacants".
Il y a 4 ans et 136 jours

Le Sénat muscle les dispositifs antisquat

Ce texte, qui fait suite à plusieurs affaires fortement médiatisées dont celle de Théoule-sur-Mer cet été ou plus récemment celle du Petit-Cambodge, n'a cependant guère de chances de prospérer, ayant reçu un avis "défavorable" du gouvernement.La ministre chargée du Logement Emmanuelle Wargon a jugé "pas opportun de modifier l'équilibre" trouvé dans la loi Asap (accélération et simplification de l'action publique), alors même qu'elle "vient d'entrer en vigueur".Elle a indiqué qu'une circulaire précisant les conditions de mise en oeuvre des procédures antisquat, "à l'attention des acteurs de terrain", sortirait "dans les tout prochains jours".La proposition de loi portée par la sénatrice des Alpes-Maritimes Dominique Estrosi Sassone alourdit les sanctions encourues en cas de violation de domicile, les portant à trois ans d'emprisonnement et à 45.000 euros d'amende.Cette disposition, votée dans la loi Asap, a été censurée par le Conseil constitutionnel comme "cavalier" législatif. C'est le seul article du texte qui ait reçu l'approbation du gouvernement."Il faut que les choses changent car le squat de domicile et le déni de justice qui l'accompagne sont d'une violence extrême pour les victimes", a plaidé Mme Estrosi Sassone.La proposition de loi crée en outre "un délit d'occupation frauduleuse d'immeuble", au-delà du seul domicile, sanctionné d'un an d'emprisonnement et 15.000 euros d'amende.Point particulièrement contesté à gauche, elle prévoit une peine complémentaire permettant de priver le squatteur du bénéfice du droit au logement opposable.Pour Mme Estrosi Sassone, il s'agit "d'éviter que le squat devienne une sorte de coupe-file" pour bénéficier d'un relogement.Mais pour Mme Wargon, c'est "une ligne rouge". A gauche, Hussein Bourgi (PS) a dénoncé "une peine qui ressemble à de l'acharnement" et "une fabrique à récidivistes".Le texte ouvre la procédure rapide d'évacuation forcée à tous les locaux à usage d'habitation et crée une contravention sanctionnant la diffusion de "modes d'emploi" du squat.Sur ce dernier point, la commission des Lois a veillé à "préserver la liberté d'expression des associations luttant contre le mal logement", a souligné le rapporteur Henri Leroy (LR)."L'écrasante majorité des squatteurs sont des personnes pauvres et miséreuses", a affirmé M. Bourgi, pointant un "mal logement croissant", tandis que Marie-Claude Varaillas (CRCE à majorité communiste) dénonçait un texte "démagogique et populiste".En retour Mme Estrosi Sassone a regretté une position "idéologique, très politique" de la gauche. "Vous avez volontairement (...) opposé le droit de propriété au droit au logement. Or le droit au logement, ce n'est pas le droit au squat", a-t-elle lancé.
Il y a 4 ans et 136 jours

Sunscape iNova PV : BMI Siplast s'associe à EPC Solaire pour offrir le meilleur du photovoltaïque sur toitures plates

Grâce aux nombreuses innovations développées par le groupe BMI, la cinquième façade devient ainsi le nouvel espace à conquérir : régulateur d'eaux pluviales, terrain de sport, parking ou encore centrale électrique, les possibilités sont multiples.Aujourd'hui BMI Siplast s'associe à EPC Solaire pour transformer les toits plats industriels en source d'énergie esthétique, propre et économiqueRéponse adaptée à la loi de reconquête de la biodiversité ainsi qu'à la loi énergie-climat, la solution Sunscape iNova PV aide à repenser les toitures plates des bâtiments industriels, commerciaux ou de bureaux.Sunscape iNova PV permet d'assurer une excellente étanchéité de la toiture plate tout en la transformant en source d'énergie. L'énergie produite peut être utilisée en auto-consommation (totale ou partielle) ou être revendue.Parfaitement intégrée à l'architecture du bâtiment, la solution Sunscape iNova PV ne génère aucune nuisance visuelle et ne nécessite aucune emprise au sol. Les mètres carrés utilisés sont ceux qui sont déjà disponibles !Le plan France Relance, présenté début septembre 2020, met au cœur de son projet la transition énergétique en priorisant la rénovation des bâtiments. De son côté, la loi de reconquête de la biodiversité de 2016 prévoit d'intégrer aux documents d'urbanisme des espaces de continuité écologique. Enfin, la loi énergie-climat de 2019 - qui a pour objectif de réduire de 40% la consommation d'énergies fossiles d'ici 2030 - est venue modifier le code de l'urbanisme. Il sera désormais obligatoire de végétaliser ou d'installer des « dispositifs de production d'énergie renouvelable sur les nouvelles constructions de plus de 1000 m² d'emprise au sol dédiées à une exploitation commerciale, à un usage industriel ou artisanal ou au stationnement public couvert, et ceci sur 30% de la surface de leur toiture ou des ombrières de parking créées. » (article L111-18-1).Deux expertises se rencontrent pour offrir une solution photovoltaïque d'excellenceAlliance de deux savoir-faire éprouvés, Sunscape iNova PV est un choix responsable pour la prescription :une étanchéité par membrane bitumineuse reconnue pour sa qualité : 2 complexes haute qualité Silver disponibles2 complexes d'étanchéité bicouche disponiblesune solution d'installation des panneaux solaires sur rails, thermo-soudés sur la membrane, sans percement de l'étanchéité : structure aluminium équipée de bandes bitumineuses Inova PV Literehausses Tilt pour permettre le réglage de l'inclinaison des panneaux solairesune solution légère sans lestage, facile à manipuler et qui ne crée pas de surcharge en toituredes membranes d'étanchéité et des systèmes d'installation made in FranceActeurs de référence dans leur domaine respectif, BMI Siplast et EPC Solaire offrent un accompagnement sur-mesure, de la conception à la maintenance, en passant par l'installation, pour contribuer à améliorer la performance énergétique d'un bâtiment tout au long de sa durée de vie.Chaque projet peut notamment faire l'objet d'une étude préalable sur la future rentabilité de sa centrale photovoltaïque, en fonction de la superficie et de la localisation géographique.BMI Siplast et EPC Solaire accompagnent également leurs clients dans la rédaction de leur cahier des charges (CCPT) afin de sécuriser l'accès au PV ready (selon le complexe d'étanchéité choisi, la toiture peut être préparée à recevoir une centrale photovoltaïque l'année suivante et phaser ainsi les travaux et l'investissement).Économie d'énergie, RSE et dépollutionLa solution Sunscape iNova PV s'inscrit parfaitement dans la démarche RSE des entreprises. Elle participe à la transition énergétique et fait baisser le bilan carbone du bâtiment.Une feuille d'étanchéité dépolluante NOx-Activ peut-être installée pour participer à la dépollution par la destruction des oxydes d'azote contenus dans l'air.
Il y a 4 ans et 136 jours

Stéphane Lambert est reconduit à la Présidence du SNBVI

Ingénieur mécanique et Responsable du Bureau d’Etudes et de la Normalisation chez Faynot, spécialisé dans les fixations, systèmes et accessoires pour l’isolation par l’extérieur, Stéphane Lambert, 38 ans, occupe la fonction de Président du SNBVI depuis 2018.« Mes principaux objectifs pour cette année visent à poursuivre les développements techniques en cours, notamment autour du traitement du feu dans les façades ventilées », souligne Stéphane Lambert. « Nous allons continuer à apporter le support technique en vulgarisant la mise en œuvre des bardages et vêtures. Ma mission sera de conforter sa présence dans le secteur de la construction. Nous souhaitons poursuivre également le développement du SNBVI en travaillant avec les autres industriels du bardage pour rejoindre le Syndicat afin de peser encore davantage dans les décisions techniques, économiques et politiques du secteur de la construction. »
Il y a 4 ans et 136 jours

Colas remporte un contrat à 1 milliard d'euros pour une ligne de métro au Canada

"Colas (mandataire) et Parsons Inc., associés au sein du groupement Marigold Infrastructure Partners, ont été choisis par la ville d'Edmonton, en Alberta (Canada), pour la conception, la construction et le financement de l'extension Ouest de la ligne de métro léger (LRT) Valley Line", ont écrit les deux entreprises dans un communiqué commun.Le montant du contrat, est "réparti à 50/50 entre les deux partenaires", précisent-ils, et s'élève à 1,7 milliard de dollars canadiens, soit environ 1 milliard d'euros."Le projet porte sur la conception et la construction d'une extension de ligne de métro léger (LRT), sur une longueur de 14 km, qui reliera le centre d'Edmonton au quartier de Lewis Farms, dans l'ouest de la ville", détaille le communiqué. Au total, 14 nouvelles stations et deux stations aériennes verront le jour.Les travaux devraient commencer à l'été 2021 pour s'achever fin 2026.
Il y a 4 ans et 136 jours

Manehome : un site unique de 22.400 m² pour regrouper 180 agents Enedis à Blois

Le lieu, à la Chaussée Saint-Victor près de Cap Ciné, a été choisi pour son potentiel en termes d’espace (22 400 m²) et de proximité avec l’autoroute A10. C’est clairement le choix de l’efficacité et de l’optimisation qui a été fait, choix qui se décline sur l’ensemble des points clés de ce projet.Réunir activités industrielles et tertiairesLe site a été conçu en arc de cercle, pour masquer l’intérieur, la cour et les équipements.La mixité des activités se traduit dans le concept même du bâtiment : une structure béton pour les bureaux et l’accueil du public, associée à une ossature métallique pour les locaux techniques. Un concept créé par Apside Architecture, qui allie les dimensions esthétiques et fonctionnelles, et qui a mis le cabinet de maîtrise d’œuvre du chantier, Manehome, face à des défis techniques de taille.3 défis techniques majeurs à releverSi le maître d’œuvre a un important rôle de coordination des équipes et d’organisation du chantier, il a en amont une mission délicate : apporter des solutions techniques qui vont permettre de concrétiser le concept architectural.La “signature” de ce bâtiment : une façade de 13 m de haut en béton apparentL’entrée principale donne sur un immense mur en béton gris, brut et épuré. Ce type de finition impose une solution technique innovante, le bétomur pour un rendu parfait. Ce sontdes murs béton préfabriqués avec isolation intégrée ce qui les rends ultra-performantsrépondant aux exigences de la RT 2012 et anticipant les futures réglementations de laRT 2020. Anticorrosion et étanche à l’air, le mur est également adapté à toute zone de sismicité 1 à 5. Les différents éléments, fabriqués hors site, sont assemblés sur place. Le coulage du béton vient consolider l’ensemble. Un assemblage qui demande une manipulation pointilleuse des différents modules, mais permet un important gain de temps sur le chantier et d’être moinstributaire des intempéries. Ces éléments, préfabriqués en région parisienne par SORIBA,sont en effet produits en intérieur, dans des conditions de travail optimales. Chaque élément est composé de deux parois béton préfabriquées servant de coffrage, d’une paroi isolante assurant l’isolation thermique par l’extérieur et d’un vide central permettant le coulage d’un noyau béton tout en limitant fortement les pertes thermiques.Faire cohabiter la structure béton et la structure à ossature métalliqueDifférentes solutions de jonction des structures en béton et en métal ont été étudiées enamont pour permettre d’assurer la jonction entre ses deux matériaux. C’est un véritabledilemme : l’évolution dans le temps des deux types de matériaux est très différente, ce qui ne permet pas de les lier. Pour autant, l’étanchéité doit être parfaite. Assurer la jonction entre l’ossature métallique bardée et les bétomurs doit donc être réalisé avec la plus grande rigueur afin d’assurer le calfeutrement entre les diverses zones. Pour optimiser cette jonction, bureaux d’études et entreprises intervenantes ont travaillé ensemble et choisi de mettre en attente les deux structures pour se coordonner et les achever simultanément, et non l’une avant l’autre. Finir l’une avant l’autre aurait pu créer des ponts thermiques et des défauts d’étanchéité.Pour prendre ce type de décision et coordonner les parties prenantes, il faut un véritable esprit collectif sur le chantier, une exigence qualité commune et un bon chef d’orchestre. C’est la mission du maître d’œuvre, Manehome, cabinet créé par Anthony Conte en 2014 qui relève quotidiennement ce type de défis : optimiser les solutions techniques, coordonner les intervenants sur les chantiers et assurer un véritable suivi sur le terrain.Aménagement modulaire des cloisons avec un haut niveau de traitement acoustiqueLe bâtiment est réalisé avec un niveau d’isolation acoustique élevé, rarement misen œuvre dans des locaux tertiaires. Ce qui a nécessité une étude préalable complexe.Le défi est cette fois de combiner un haut niveau d’isolation acoustique, avec des cloisons mobiles en verre qui permettent de redistribuer totalement les espaces de bureau et de réunion en cas de besoin et les réseaux électriques et informatiques qui passent en faux-plafond et faux-plancher.Il n’y a pas de cas préexistant auquel se référer. La solution a donc été tout d’abord calculée de manière théorique, puis mise en œuvre et testée dans une salle témoin. Les tests acoustiques ont validé la solution technique qui a alors été déployée sur les 3 450 m² de la partie tertiaire.Favoriser l'emploi local, les matériaux et les équipements françaisEnedis n’a pas vocation à être propriétaire de ses locaux. C’est donc un investisseur privé qui en est propriétaire et a délégué la construction au promoteur Essor. Essor a confié une partie de la maîtrise d’œuvre à Manehome, qui a piloté le chantier et coordonné les intervenants. Une vigilance toute particulière a été apportée au choix des prestataires, aussi bien pour les travaux que les équipements et matériaux. Sur le rapport qualité / prix de leur prestation, mais également sur leur proximité. Dans une logique responsable, les intervenants étaient des entreprises locales, de Blois ou des alentours, sauf pour deux prestations très spécifiques (faux-plancher et charpente couverture). Les matériaux et équipements made in France ont été privilégiés. Plus d’une centaine de personnes ont travaillé sur ce chantier pendant un an et demi, apportant une belle dynamique à l’emploi local et aux emplois induits.La maîtrise d'œuvre en univers incertainLe contraste est toujours saisissant entre la rigueur dont doit faire preuve une équipede maîtrise d’œuvre sur un projet de cette dimension et la diversité des aléas qui vontvenir perturber le chantier. Malgré une organisation méthodique et précise, le maître d’œuvre est amené à s’adapter sans cesse à des circonstances extérieuresinattendues. Un métier qui nécessite des nerfs en acier, surtout en 2020. Ainsi ce chantier a, tour à tour été : interrompu par un obus découvert sur site et qu’il a fallu désamorcer ; bouleversé par un accident quia fait quatre blessés avec arrêt immédiat des travaux par sécurité puis réorganisation ;ralentit par des intempéries ; et finalement bloqué par le confinement de mars-avril 2020.La crise sanitaire a nécessité une réinvention totale de l’organisation du travail sur siteManehome a pu reprendre les travaux dès la fin avril, en réorganisant totalement lesinterventions et le planning. Le respect des gestes barrière a limité le nombre d’intervenants en simultané sur le site. Pour optimiser une nouvelle organisation dans un contexte totalement inédit, il fallait : - bien connaître les spécificités des métiers de chacun pour proposer une organisation agileet efficace,- savoir conjuguer les impératifs du maître d’ouvrage et les contraintes multiples de laconstruction,- savoir parler le langage du client et celui du bâtiment, être la passerelle entre ces deuxunivers et maintenir le chantier dans un délai raisonnable sans compromis sur la qualité deréalisation.“Face à la crise Covid, il a été salvateur d’avoir des intervenants de proximité. Le planning est au cœur de leur métier et tout était à repenser. Cela les a amenés à prendre plus de responsabilités et d’initiatives, en relais avec nous qui avions une mobilité limitée en raison des restrictions de déplacement. La confiance a été primordiale.” Benoit Leroux, Directeur Travaux de la Maîtrise d’Ouvrage, groupe Essor
Il y a 4 ans et 137 jours

La Banque Postale "victime" de la destruction de 30.000 dossiers d'emprunteurs pour des crédits immobiliers

"Cette défaillance d'un expert reconnu en matière d'archivage sur le secteur de la banque et de l'assurance n'aura aucun impact sur la protection des droits des clients de La Banque Postale", a assuré l'entreprise à l'AFP.Selon l'hebdomadaire, la société d'archivage a confondu les numéros de dossiers périmés de crédits immobiliers, qui étaient "à sortir", et les numéros des caisses où ils étaient rangés.Au lieu d'emporter 2.052 dossiers, ce sont 2.052 cartons contenant 30.527 dossiers que la société d'archivage a détruit à la suite d'une "inversion de fichiers".La Banque Postale, qui s'expose à d'éventuelles défaillances de clients mauvais payeurs - les dossiers détruits concernant des cautions -, n'a pas indiqué le montant de son préjudice potentiel.
Il y a 4 ans et 137 jours

Décret tertiaire : plus de 2 bâtiments de bureaux sur 3 sont encore trop énergivores selon une étude

Avec deux tiers des sites actuellement trop énergivores, les gestionnaires d’actifs, les bailleurs se préparent à une véritable révolution pour lutter contre l’obsolescence de leur parc.Les modalités du décret tertiaire sont désormais complètes. Avec ce cadre règlementaire, le plus ambitieux en Europe, une trajectoire est à présent établie pour emmener le secteur vers un immobilier à faible consommation en énergie. La projection que nous avons réalisée démontre que les deux tiers des bâtiments sont trop gourmands en énergie. Si tous les acteurs sont sur un pied d’égalité pour se structurer, l’enjeu est crucial car les actifs qui ne rejoindraient pas la trajectoire perdront rapidement en valeur et en liquidité. Pour toutes les parties prenantes de l’immobilier tertiaire, c’est une révolution qui s’amorce. »Vincent Bryant, Président et co-fondateur de Deepki2 bâtiments de bureaux sur 3 sont aujourd’hui trop énergivoresDeepki vient de dévoiler une simulation menée auprès de 3.000 bâtiments de bureaux (France, toutes régions confondues, public & privé) pour analyser l’impact du décret tertiaire, dont les modalités d’application sont désormais établies. Pour se conformer au décret, les acteurs peuvent choisir entre deux objectifs : une baisse en pourcentage de leur consommation (-40% en 2030, -50% en 2040, etc.) ou l’atteinte de seuils de consommation en valeurs absolues (seuils dévoilés aujourd’hui). L’analyse d’impact révèle que deux tiers des actifs nécessiteront d’engager des efforts pour se conformer à la règlementation. Face à ce défi, Deepki observe une répartition équilibrée entre :Les sites déjà conformes aux seuils en valeurs absolues (30%) ;Les sites qui demanderont des efforts marginaux pour atteindre ces seuils (30%) ;Les sites les plus gourmands en énergie, qui nécessiteront des investissements plus massifs (40%). L’ensemble des efforts fournis par les professionnels permettrait de générer une baisse globale de 30% des consommations énergétiques, à l’échelle du secteur, d’ici 2030.Face au décret, pas de « mauvais élève » : toutes les typologies de bureaux font jeu égalAutre enseignement de cette analyse d’impact, toutes les typologies de bâtiments de bureaux – qu’il s’agisse d’immeubles haussmanniens, d’Immeuble Grande Hauteur (IGH), de bureaux publics etc. – devront fournir le même niveau d’efforts en matière d’économies d’énergies. En d’autres termes, aucune typologie d’actifs de bureaux, quelles que soient son année de construction, sa localisation, ou encore sa surface, ne serait privilégiée ou au contraire avantagée pour se conformer au décret. « Pour les propriétaires se posent désormais de nombreuses questions. Quelle part de mon patrimoine est conforme ? Quels bâtiments nécessiteront le plus d’efforts ? Que dois-je vérifier au moment d’acquérir un nouvel actif ? Si mon actif à vendre suit la trajectoire, comment le valoriser auprès des acquéreurs potentiels ? Pour les occupants et locataires, les défis sont tout aussi complexes. On comprend donc que le décret tertiaire va profondément bouleverser les stratégies immobilières et les acteurs doivent s’y préparer. La lutte contre l’obsolescence a démarré. »Emmanuel Blanchet, Directeur général et co-fondateur de Deepki
Il y a 4 ans et 137 jours

Borne reprendra la concertation sur l'assurance-chômage le 25 janvier

"La ministre veut écouter les partenaires sociaux un à un", a-t-on ajouté, avant d'organiser une réunion multilatérale sur les aménagements de cette réforme, décidée en 2019 mais dont l'application a été suspendue jusqu'en avril.Cette date d'entrée en vigueur, repoussée à plusieurs reprises, pourrait d'ailleurs être à nouveau en débat du fait de la prolongation de la crise, selon un syndicaliste.Mi-novembre, le ministère a proposé des amendements à sa réforme qui ont été jugés insuffisants par les syndicats.L'exécutif a notamment proposé de revenir sur le passage de 4 à 6 mois de travail pour ouvrir des droits, mais uniquement pour les jeunes de moins de 26 ans.Mais le point le plus contesté reste les modalités de calcul de l'allocation, le cœur de la réforme.Les syndicats ont pu se réjouir de la décision du Conseil d'État qui a annulé fin novembre le texte du gouvernement sur ce point car il "porte atteinte" au principe d'égalité entre allocataires.La réforme prévoyait que le salaire journalier de référence, base de l'allocation, soit calculé non plus sur le total des salaires divisé par les jours de travail des 24 derniers mois mais sur ce total divisé par l'ensemble des jours, y compris non travaillés, de la période.Pour le gouvernement, cette modification visait à corriger un système plus favorable, pour le même nombre d'heures de travail, à celui qui a des contrats fractionnés par rapport à celui qui a un temps partiel en continu.Mais cela pénalisait fortement les "permittents", ceux souvent précaires qui alternent chômage et contrats courts."Du fait des règles retenues, le montant du salaire journalier de référence peut désormais, pour un même nombre d'heures de travail, varier du simple au quadruple", critique le Conseil d'État, y voyant "une différence de traitement manifestement disproportionnée".S'il veut maintenir ce point, le gouvernement devra donc proposer une nouvelle version plus atténuée.Le patronat va lui surveiller les intentions du gouvernement sur l'instauration d'un bonus-malus sur la cotisation d'assurance-chômage dans sept secteurs grands consommateurs de CDD courts (hébergement-restauration, agroalimentaire, transports, plasturgie...).Le Conseil d'État a aussi annulé ce point mais pour une raison de pure forme déjà résolue. Mi-novembre, le gouvernement avait proposé de reporter d'un an son entrée en vigueur (à la cotisation 2023), ce qui avait été jugé inacceptable par les syndicats.
Il y a 4 ans et 137 jours

En 2020, le Livret A et le LDDS plébicités par des Français en quête de sécurité

Très répandu en France, le Livret A a attiré en 2020 deux fois plus d'épargne qu'en 2019, engrangeant un montant net de 26,4 milliards d'euros, a annoncé mercredi la Caisse des dépôts (CDC).En décembre seul, environ 840 millions d'euros nets ont été retirés du Livret A, mais ces sommes ont été compensées par de très forts niveaux de collecte lors des précédents mois, notamment en début d'année durant les semaines de confinement liées au déclenchement de la crise sanitaire."L'année 2020 s'est caractérisée par une crise importante, avec une baisse forcée de la consommation du fait des différentes phases de confinement et une peur sur l'avenir qui ont donné gagnants en premier lieu les comptes à vue (comptes courants, NDLR), puis en deuxième position le Livret A et le LDDS", analyse pour l'AFP Philippe Crevel, le directeur du Cercle de l'épargne, cabinet de réflexion sur l'épargne et sa réglementation.Le succès du Livret A, qui garantit pourtant un taux d'intérêt historiquement faible de 0,5% par an, a notamment contrasté avec les importants retraits constatés sur les contrats d'assurance vie.De son côté, le Livret de développement durable et solidaire (LDDS) a signé en décembre une collecte nette d'un peu plus d'un milliard d'euros, ce qui porte à 8,8 milliards le montant total moissonné sur l'année 2020 par ce placement, deux fois mieux là aussi qu'en 2019, quand 3,9 milliards d'euros avaient été récoltés.Décollecte en assurance vieGérés conjointement par la CDC et les réseaux bancaires, le Livret A sert essentiellement à financer le logement social, tandis que le LDDS est dédié à l'économie sociale et solidaire ainsi qu'aux économies d'énergie dans les logements.A eux deux, le Livret A et le LDDS ont engrangé 35,2 milliards d'euros nets en 2020, contre 16,6 milliards en 2019. Ils signent ainsi leur deuxième meilleure collecte annuelle après le record de 2012 à 49 milliards."Ça représente 50 euros par mois et par livret. C'est un record depuis 2012, c'est énorme", a commenté le directeur général de la CDC, Eric Lombard, mercredi à l'antenne de RTL."C'est lié au fait que les Français n'ont pas pu consommer, à cause des confinements, à cause des magasins fermés. Donc c'est une épargne qui est vraiment forcée, qui est contrainte", a-t-il ajouté.L'attractivité persistante du Livret A en particulier s'explique, selon lui, par le fait que "c'est un produit qui est très sûr, la rémunération est positive (...) et ça fonctionne comme un compte en banque", de façon "très souple".Au total, l'encours d'épargne stocké sur les deux livrets se montait à 448,3 milliards d'euros à la date de fin décembre 2020.Ces chiffres contrastent singulièrement avec ceux de l'assurance vie, de loin le premier placement en France avec près de 1.800 milliards d'euros d'encours mais qui aura été très fortement bousculée par la crise sanitaire et économique.En mars, avril et mai, deux milliards d'euros ont été retirés à chaque fois de l'assurance vie. Les mois suivants, les retraits se sont poursuivis, mais moins massivement.Sur les 11 premiers mois de l'année, les compagnies d'assurance vie ont ainsi vu le départ de 7,3 milliards d'euros, alors qu'elles avaient moissonné plus de 23 milliards d'euros sur la même période en 2019."La sécurité et la liquidité qu'offrent le Livret A et le LDDS ont été plébiscitées par les épargnants", résume M. Crevel.
Il y a 4 ans et 137 jours

L'artisanat du bâtiment accélère sa croissance au 4e trimestre 2020 malgré une année chaotique

Elle a connu une hausse de +0,5% au 3e trimestre, puis s'est accélérée au 4e trimestre avec une croissance de 1,5% portée notamment par la hausse de l'activité dans le neuf (+2,5% contre +1% au 3e trimestre) et un accroissement plus mesuré dans l'entretien amélioration (+1% contre 0% au 3e trimestre). Cette fin d'année a bénéficié d'un effet de rattrapage par rapport au 1er confinement. Selon l'enquête menée par la CAPEB auprès de ses adhérents, 99% des entreprises déclarent ainsi avoir pu poursuivre leur activité durant le deuxième confinement.Cette fin d'année a bénéficié d'un effet rattrapage suite au premier confinement : 74% des entreprises déclarent une capacité de production supérieur à 90%. Cette dynamique permet ainsi de limiter la forte baisse de la croissance attendue sur l'année 2020 avec un résultat négatif de -9%, un chiffre relativement moins important que ne laissait présager la situation au 1er semestre.Cependant, la CAPEB reste prudente et alerte sur la baisse des autorisations et des permis de construire à prévoir dans les prochains mois qui va fortement peser sur cette dynamique de croissance. En effet, de décembre 2019 à novembre 2020, 389.000 logements ont été autorisés à la construction, soit 51.500 de moins qu'au cours des 12 mois précédents.« L'année 2020 a été complexe pour nos entreprises, tout particulièrement au premier semestre. Nos entreprises ont su s'organiser. Après une année 2020 chaotique et une activité soutenue par les mesures gouvernementales, l'environnement économique en 2021 reste à ce stade encore incertain, notamment en ce qui concerne le pouvoir d'achat et la confiance des ménages. Toutefois, l'épargne accumulée des ménages ces derniers mois et la mise en place du Plan France Relance sont autant d'éléments qui pourraient soutenir l'économie du bâtiment dans les trimestres à venir. L'année 2021 pourrait alors enregistrer une croissance entre 5 et 6% dans l'artisanat du bâtiment qui s'apparenterait plus à un rebond technique qu'à une véritable reprise de l'économie d'avant la crise du Covid. Si l'activité s'est accélérée au 2ème semestre, en revanche les marges des entreprises restent contraintes. Ainsi la situation financière des entreprises reste fragile. Il est important dans ce contexte exceptionnel que les organismes de cotation et de crédit adaptent leurs critères d'appréciation. ».Jean-Christophe Repon, Président de la Confédération de l'Artisanat et des Petites Entreprises du Bâtiment (CAPEB)Conjoncture au 4e trimestre 2020 : un rebond de croissance portée par la poursuite de l'activité des entreprises artisanales du BTP lors du 2e confinementLe volume d'activité des entreprises artisanales du bâtiment progresse de 1,5% au 4e trimestre 2020 (par rapport au même trimestre de l'année précédente) et ce, quelle que soit leur taille. L'activité d'entretien-rénovation enregistre quant à elle une croissance mesurée de 1% au 4e trimestre 2020. Dans le même temps, les travaux d'Amélioration de Performance Énergétique du Logement enregistrent une légère hausse de 0,5% égale au trimestre de l'année précédente. Une hausse de la croissance ce trimestre qui ne doit pas occulter un recul marqué de -9,3% pour les entreprises de moins de 10 salariés et de -7,7% pour les entreprises de 10 à 20 salariés sur l'année 2020.Un rebond particulièrement observable dans le neuf et l'entretien-rénovationLe neuf – L'activité de la construction neuve s'accélère avec une croissance de 2,5% (contre 1% au trimestre précédent) notamment soutenue par les très bonnes conditions météorologiques et la possibilité pour la grande majorité des entreprises artisanales du bâtiment de poursuivre leur activité lors du 2e confinement. A noter cependant, une baisse des autorisations et des permis de construire : au 4e trimestre, 51.500 logements en moins ont été autorisés par rapport au même trimestre de l'année 2019. Dans le même temps, 381.900 logements ont été mis en chantier, soit 24.200 de moins (-6,0%) que durant les 12 mois précédents.L'ancien – l'activité en entretien rénovation est également plus dynamique avec une croissance de 1% ce trimestre (contre 0% au trimestre précédent). Les travaux d'Amélioration de Performance Énergétique du Logement progressent eux de 0,5%, comme au trimestre précédent. L'évolution des travaux d'amélioration de la performance énergétique des logements devrait être renforcée avec la montée en puissance de Ma Prim' Rénov : l'ANAH avait reçu 170.000 demandes à la mi-décembre.Évolution dans les métiersSur les 3 derniers mois de l'année 2020, le volume d'activité progresse pour l'ensemble des corps de métiers. La maçonnerie enregistre la croissance la plus dynamique avec 2,5%, tandis que la hausse atteint 1,5% pour la couverture-plomberie-chauffage et la menuiserie-serrurerie. Avec des croissances de 1% et de 0,5%, l'électricité et l'aménagement-décoration-plâtrerie enregistrent une croissance plus modérée.Une situation de trésorerie fragile26% des professionnels font état d'une détérioration de leur trésorerie au 4e trimestre (contre 18% au même trimestre de l'année précédente) et seulement 4% une amélioration. Dans le même temps, 43% d'entre-elles déclarent un besoin supérieur à 10.000 euros. En janvier 2021, le montant moyen des besoins de trésorerie de ces entreprises diminuent pour atteindre 16.000€ (contre 23.000 € un an auparavant). Au 4e trimestre 2020, 20% des entreprises déclarent une baisse des marges, contre 2% une hausse, soit un solde d'opinions de -18 points, en baisse par rapport au trimestre précédent (-13 points).Les montants de crédits accordésPour l'achat d'un logement neuf, ils reculent de 10,5% au 2ème trimestre 2020 (par rapport au même trimestre de l'année précédente). Il en est de même pour les crédits destinés à l'acquisition de logements anciens qui enregistrent une baisse de 4,5% et les crédits destinés aux travaux d'entretien-amélioration avec une baisse de 0,8% par rapport au même trimestre de l'année précédente. Globalement, les montants de crédits accordés ont baissé de 5,6% par rapport au 2ème trimestre 2019. Le taux d'épargne s'infléchit et s'établit à 16,5% après 26,5% au deuxième trimestre 2020 en raison du rebond de la consommation des ménages. Il demeure toutefois au-dessus du niveau moyen de 2019 (14,9%).Emploi et Intentions d'embaucheL'emploi salarié du BTP s'établit à 1.446.800 au 3T2020, soit +2,1% sur un an (contre -0,8% dans l'ensemble de secteurs). Cela représente 30.200 emplois supplémentaires dans le BTP. L'emploi salarié progresse de 1,3% au 3ème trimestre 2020 après 0,2% au trimestre précédent. Au 3ème trimestre 2020, le secteur de la construction totalise plus de 133.600 emplois intérimaires (emplois équivalents temps plein) contre 150.000 au même trimestre de l'année précédente. L'intérim est donc en baisse (-11%) par rapport au même trimestre de l'année précédente. Le taux de recours à l'intérim (poids de l'emploi intérimaire dans l'emploi salarié total) s'établit à 8,5%.Dynamique territoriale (activité en régions) Au 4e trimestre, les évolutions régionales s'avèrent plus différenciées qu'au trimestre précédent. Ainsi, la reprise s'accélère sur la façade Atlantique de même que dans le Centre-Val de Loire, le Grand Est et les Hauts-de-France. Les régions PACA et Occitanie finissent également l'année en forte hausse (+4% chacune). En revanche, l'activité reste en baisse en Île-de-France (-0,5%) tandis qu'elle se dégrade en Auvergne-Rhône-Alpes (-1%) et en Bourgogne-Franche-Comté (-1,5%).Conjoncture pour l'Artisanat du Bâtiment – en complément :Les carnets de commande : représentent 72 jours de travail soit 3 jours de moins qu'un an auparavant, mais au même niveau qu'au trimestre précédent.La baisse des marges : Au 4e trimestre 2020, 20% des entreprises déclarent une baisse des marges, contre 2% une hausse, soit un solde d'opinions de -18 points et en baisse par rapport au trimestre précédent (-13 points).Baisse des investissements : 15% des entreprises artisanales ont investi au cours des 6 derniers mois (contre 24% il y a un an) et 7% des entreprises artisanales envisagent d'investir au cours des 6 prochains mois (contre 18% il y a un an)Part de l'activité pour les collectivités territoriales : 15% des entreprises ont réalisé des travaux pour le compte des collectivités locales au 4e trimestre 2020. A noter cependant que 23% des entreprises enregistrent une baisse de leur chiffre d'affaires réalisé pour le compte des collectivités locales tandis que 4% constatent une hausse (soit un solde de –19 points contre –7,8 en moyenne sur longue période).
Il y a 4 ans et 137 jours

Les mesures écologiques du plan de relance doivent être prolongées pour atteindre les objectifs de réduction de CO² en 2030

Selon les prévisions de cet institut, les émissions de gaz à effet de serre pourraient être ramenées à 315 millions de tonnes (équivalent CO²) en 2030, contre 441 millions de tonnes en 2019.La France s'est fixée un objectif de 310 millions de tonnes en 2030 dans sa stratégie nationale bas carbone."C'est plutôt une bonne nouvelle. On est très près de l'objectif, il est à notre portée, mais il faut sanctuariser les mesures anti-émissions du plan de relance", explique à l'AFP Michel Didier, président de Rexecode.Dans sa prévision, Rexecode fait ainsi l'hypothèse que l'État mobilise 5 milliards d'euros par an d'ici à 2030 pour prolonger les mesures du plan de relance.Mais cette prévision repose aussi sur un rythme de croissance plus faible de l'économie française après la crise sanitaire.Mécaniquement, cette croissance plus basse implique de moindres émissions de CO². A elle seule, elle expliquerait les deux tiers de la réduction des émissions de gaz à effet de serre d'ici 2030.Le plan de relance - et les 12 milliards d'euros de dépenses qui auront un impact positif sur les émissions de CO², selon Rexecode - serait responsable du tiers restant, soit environ 12 millions de tonnes de moins en 2030.Les mesures les plus efficaces seraient les soutiens à la décarbonation de l'industrie, les aides à l'achat de véhicules plus propres, l'investissement en faveur de l'hydrogène vert et la rénovation énergétique des bâtiments privés.Le rapport de Rexecode, qui trace des prévisions pour l'Europe et le monde, constate aussi que quels que soient les efforts de la France, ils seront "négligeables" sur la trajectoire mondiale des émissions, qui devraient encore augmenter d'ici 2030.Rexecode plaide donc pour "une politique de l'offre" en faveur du climat, qui permettrait à la France de financer le développement de technologies industrielles innovantes, qui pourraient aussi être valorisées à l'étranger."C'est d'autant plus important qu'on est au début d'une vraie compétition mondiale" pour ces technologies, dans laquelle la Chine a pris de l'avance, par exemple dans le solaire ou les batteries, défend Michel Didier.
Il y a 4 ans et 137 jours

Confinement de StocaMine et 50 millions d'euros pour protéger les nappes d'Alsace de la pollution

De nombreuses expertises, échanges et débats publics se sont tenus à la suite de cet incendie pour décider du devenir du site. En particulier, en raison de la présence de la nappe phréatique d’Alsace située à 500 m au-dessus du stockage, ces expertises ont étudié l’impact des déchets actuellement stockés en cas d’une éventuelle remontée par « effet seringue » de saumure qui se serait polluée au contact de ceux-ci.A la suite de cette consultation du public, l’arrêté préfectoral du 23 mars 2017 a autorisé le confinement illimité des déchets et imposé des mesures permettant de garantir un niveau élevé de protection de la nappe phréatique d’Alsace :les déchets de mercure, qui sont les plus polluants pour les eaux souterraines, ont ainsi été déstockés à plus de 95% entre 2015 et 2017 ;l’arrêté impose un confinement des déchets restant au fond, selon les meilleures techniques internationales ;en plus du confinement, l’arrêté impose la mise en place de mesures supplémentaires (galerie de contournement des eaux d’infiltration, sondage de décompression…) pour éviter toute remontée de saumure polluée ;l’arrêté impose enfin une surveillance de la nappe et de la remontée des eaux.Une mission parlementaire sur StocaMine, réalisée en 2018, a néanmoins souligné l’intérêt potentiel de poursuivre le retrait des déchets sous réserve de deux conditions :évaluer, avec une étude complémentaire, le risque global d’un déstockage complémentaire de déchets (hors bloc incendié) à la lumière de l’expérience tirée du déstockage partiel réalisé entre 2015 et 2017 ;s’assurer de l’existence d’une solution de restockage des déchets offrant de meilleures garanties que le site StocaMine en matière de protection de l’environnement.Une expertise internationale et indépendante a été coordonnée par le BRGM à la demande de l'État. Elle a conclu que :le déstockage des déchets, hors bloc incendié, était encore techniquement possible, bien qu’avec des difficultés techniques croissantes à partir de 2025 compte tenu de la convergence des galeries souterraines ;ce déstockage complémentaire comporterait néanmoins des risques pour les opérateurs et l’environnement ;l’impact des déchets solubles, dans l’hypothèse d’une défaillance des mesures de protection détaillées ci-dessus, serait très limité compte tenu du volume de saumure contaminée susceptible de remonter (moins d’1m3 par an) comparé au volume total de la nappe (35 milliards de m3). En outre, une telle remontée de saumure, si elle devait avoir lieu, n'aurait pas d’impact sur la potabilité de la nappe.Afin que l’ensemble des scénarios soit expertisé, une étude de faisabilité technique et économique sur la poursuite d’un déstockage supplémentaire a été réalisée par le groupement de consultants privés Antéa Group - Tractebel, indépendant de l’Etat et de la société MDPA qui exploite le site. Cette étude conclut que :tous les scénarios de déstockage étudiés exposent les travailleurs à des risques professionnels élevés ;le bénéfice environnemental pour la nappe d’Alsace d’un déstockage complémentaire n’est pas démontré ;les déchets déstockés ne sont pas valorisable et devront ainsi être re-stockés dans d’autres installations souterraines ou installations de stockage de surface ;la réalisation, dans les meilleurs délais, du confinement et des travaux annexes prévus par l’arrêté préfectoral demeure incontournable pour protéger la nappe d’Alsace sur le long terme.Or, pour être effectuées dans des conditions optimales garantissant leur efficacité, ces opérations de confinement et ces travaux annexes doivent être entrepris au plus tôt compte tenu de la convergence des galeries souterraines qui les rend de plus en plus difficiles d'accès Soucieuse de prendre connaissance de la situation sur le terrain, Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique, est descendue dans la mine le 5 janvier 2021 et a pu échanger avec les élus, les associations et les citoyens lors d’une réunion publique pour débattre de la meilleure solution pour protéger la nappe d’Alsace et les opérateurs.La ministre a entendu et partagé les interrogations légitimes sur les engagements de réversibilité pris avant l’incendie et l’importance unanimement accordée à la protection de la nappe d’Alsace.La ministre est arrivée à la conclusion que les conditions au déstockage complémentaire, posées par la mission parlementaire de 2018, ne sont pas réunies. Les avantages potentiels d’un déstockage complémentaire des déchets ne sont pas démontrés et celui-ci présenterait des risques significatifs pour les travailleurs, tandis que la réalisation du confinement dans des conditions optimales est indispensable pour assurer la protection de la nappe d’Alsace.Dans ces conditions, la ministre de la Transition écologique décide de lancer la réalisation du confinement du site sans déstockage complémentaire. En parallèle de cette décision, elle décide de dédier une enveloppe financière de 50 millions d’euros sous pilotage de l’ADEME pour permettre un plan de protection de la nappe d’Alsace sur les 5 prochaines années. Plusieurs anciens sites industriels situés au-dessus de la nappe d’Alsace seront ainsi dépollués (notamment le site PCUK à Wintzenheim où sont enterrées 750 tonnes de lindane) afin d’éviter sa contamination par les infiltrations issues de la surface, qui constituent la principale source de pollution de la nappe.
Il y a 4 ans et 137 jours

Signature d'une charte avec EDF pour encadrer les installations de panneaux solaires sur les terres agricoles

"Développement, oui, mais cadré" pour concilier production d'énergie, préservation du foncier et de l'activité agricole, a résumé la présidente de la FNSEA Christiane Lambert, à l'occasion de la signature de cette charte de bonnes pratiques.Pour "tout projet de production d'électricité photovoltaïque envisagé sur des terres agricoles", le document préconise "en amont de toute étude préalable" la mise en place d'un comité de suivi à l'échelon local entre opérateur, chambre d'agriculture et syndicats agricoles.La commission départementale de préservation des espaces natu rels, agricoles et forestiers (CDPENAF), qui associe Etat, collectivités, professions agricoles et forestières, etc., devra émettre un avis.La charte prône "la réversibilité totale de l'installation, avec utilisation d'ancrages sans béton ou l'engagement de l'opérateur de les enlever en fin d'exploitation", ainsi que la remise en état des terrains."On a vu dans quelques endroits se développer de très gros projets, très consommateurs de terres agricoles", a déploré le président des Chambres d'agriculture Sébastien Windsor, qui insiste pour que les panneaux solaires soient prioritairement installés sur les toits des bâtiments agricoles.Mais préserver le foncier "ne veut pas dire bloquer tous les projets" ayant une emprise au sol, a-t-il poursuivi. Il cite en exemples les technologies permettant de concilier production d'énergie et alimentaire, à l'instar de l'"agrivoltaïsme", panneaux permettant de protéger les cultures du soleil, des excès d'eau, de servir de support à des filets anti-grêle ou de faire de l'ombre aux poules élevées en plein air.Dans sa Programmation pluriannuelle de l'énergie, la France prévoit 40% d'électricité d'origine renouvelable d'ici 2030. Pour cela, elle vise 35 à 44 gigawatts (GW) de capacités photovoltaïques installées en 2028, contre 10 GW aujourd'hui."Le solaire en France (...) doit être multiplié par quatre en une dizaine d'années", a souligné mardi le PDG d'EDF Renouvelables, Bruno Bensasson.Confronté à un enjeu foncier, le secteur "cherche 15, 20.000 hectares de terres agricoles" parmi les 30 millions d'hectares aujourd'hui dédiés à cette activité. "Cela paraît possible mais si on veut le faire en bonne intelligence, il faut se parler", a fait valoir M. Bensasson.Selon un rapport parlementaire, le secteur agricole représente à ce jour 13% de la production solaire photovoltaïque.
Il y a 4 ans et 137 jours

La collection bardage de BMI Monier source d’inspiration pour la prescription

La tuile en façade, une solution créativeProlongation esthétique de la toiture, la tuile réussit l’exploit d’être à la fois un matériau très familier, ancré dans notre patrimoine historique, et très créatif dès qu’il intervient en façade. Le rythme de petits éléments permet en effet des jeux graphiques et des calepinages originaux. Avec sa collection bardage de tuiles made in France, BMI Monier accompagne cette tendance architecturale. Par la diversité de leur forme et de leur teinte, les tuiles BMI Monier permettent de créer des effets design sur les façades des constructions neuves, en résidentiel ou tertiaire, comme d’offrir une seconde vie aux façades à rénover.Le bardage selon BMI MonierLes tuiles BMI Monier constituent un habillage de façade économique et de qualité qui bénéficie de la forte expertise de la marque dans le domaine de la Terre Cuite et du Béton. La collection bardage s’accompagne de services dédiés aux architectes, avec un suivi technique de chaque projet.Le bardage selon BMI Monier c’est aussi :Le choix de la tranquillitéRésistantes, les tuiles BMI Monier sont reconnues pour leur durabilité et leur revêtement inaltérable. Elles résistent aux chocs et aux conditions climatiques les plus extrêmes. Posées en bardage, leur résistance aux chocs sera particulièrement appréciée dans les établissements scolaires, par exemple.La place à la créativitéLa collection bardage BMI Monier se compose de 6 modèles de tuiles, déclinées en différents coloris modernes, tels que le noir, le moka, l’anthracite mat... ou plus traditionnels avec les déclinaisons de teintes naturelles telles que terracotta, rouge vieilli, rouge sienne...Une solution éco-responsableSoucieux de répondre aux enjeux environnementaux, BMI Monier possède pour ses tuiles Terre Cuite et Béton, la fiche de données environnementales et sanitaires (FDES).Le made in FranceToutes les tuiles BMI Monier sont fabriquées au cœur des régions françaises. BMI Monier compte 7 usines dans l’hexagone : Saint-Nabord, Verberie, Aiguillon, Limoux, Signy-l’Abbaye, Roumazières-Loubert et Marseille.L’esthétique qui rejoint l’économiqueComparée aux autres matériaux employés dans le domaine des bardages lourds, la tuile BMI Monier est une solution très économique. À résistance et longévité égales, la tuile est le meilleur compromis technico-économique. Les premiers objets BIM Monier sont disponibles en accès libre sur le site Monier et BMIObject. Créés en collaboration avec le Centre Technique, les objets BIM dédiés aux toits en pente (Tuiles Béton et Tuiles Terre Cuite) contiennent l’ensemble des informations, caractéristiques géométriques et techniques nécessaires tout au long du cycle de vie du bâtiment.Les objets BIM Monier peuvent dès à présent être intégrés dans les maquettes numériques où les données qu’ils contiennent serviront en phase de conception et de construction, mais également pour la maintenance, la rénovation ou lors de la déconstruction ou démolition. Les tuiles et les accessoires sont disponibles gratuitement au format IFC et sous plusieurs logiciels CAO et BIM : Revit, ArchiCAD, 3DS max, AutoCAD, Sketchup...La collection bardage tuiles Monier en détailCette collection bardage se compose d’une belle sélection de Tuiles Béton, de Tuiles Terre cuite, d’accessoires et de fixations :Innotech, une Tuile Béton grand moule aspect plat, au design contemporain affirmé : coloris Amboise, Graphite, Lauze, Sarment, Terracotta.Perspective, une Tuile Béton grand moule faible relief, dont la forme crée un rythme nouveau en façade : coloris Ardoise, Brun, Noir, Rouge Sienne.Vieille France, la Tuile Béton plate, une ode à la tradition, revisitée dans un matériau moderne : coloris Rouge vieilli et Vieux chêne.Signy, une Tuile Terre Cuite grand moule aspect plat, dont les lignes généreuses signeront les façades les plus contemporaines. Un grand format économique (taux de couverture très important). Coloris Anthracite Mat, Moka, Rouge naturel, Rouge vieilli (Classement Q3).Belmont, une Tuile Terre Cuite grand moule faible galbe à l’esthétique renouvelée :coloris Anthracite Mat, Moka, Rouge naturel, Rouge vieilli (Classement aux chocs Q3).Postel 20, une Tuile Terre Cuite petit moule faible relief au caractère nordique : coloris Anthracite, Gris ardoisé, Rouge naturel, Rouge vieilli.Paysage NormatifPour le lancement de cette offre bardage, BMI Monier a conçu une brochure dédiée à la prescription, dressant notamment le paysage réglementaire et normatif et donnant les recommandations de mise en œuvre selon la structure des bâtiments.
Il y a 4 ans et 137 jours

L'agence Dragon Rouge éclaire la « Lighthouse » de Nanterre

C'est un immeuble de bureaux classique que l'agence DRAGON ROUGE vient de totalement transformer. Le chantier initié pendant l'été 2019 vient de s'achever. Exit le Magellan, siège depuis 2001 de l'équipementier automobile FAURECIA. Place à la «LIGHTHOUSE » -littéralement le Phare- que l'on ne devrait pas rater en effet. Et pour cause, puisque l'un de ses signes distinctifs est une gigantesque lampe surmontée d'un abat-jour éclairée la nuit qui traverse l'immeuble de 23 mètres de bas en haut. Les propriétaires ont confié à l'agence DRAGON ROUGE la tâche de reconfigurer et de repositionner cet immeuble de bureaux de six étages et 10600 mètres carrés de surface. L'objectif était de revitaliser l'immeuble, en bordure de Paris et de La Défense, d'y créer des services, de l'intérêt et de susciter l'envie de venir travailler à Nanterre. Il s'agissait de donner à l'immeuble une nouvelle personnalité forte et différenciante. Aux côtés du studio K de Karl Petit qui a signé l'architecture et l'agencement des espaces bureaux proprement dits, l'agence de design DRAGON ROUGE signe une grande partie des espaces de la LIGHTHOUSE, soit 2600 mètres carrés au total, du rez-de-chaussée au 6e étage, en passant par le toit terrasse et les extérieurs. La traduction d'une nouvelle façon de travaillerPour susciter l'envie de venir travailler dans cet immeuble, DRAGON ROUGE a travaillé selon deux axes créatifs : d'abord, la création d'un nom et d'une identité forte, innovante et provoquant un effet « waouh ». D'où l'idée d'un objet symbolique et iconique. C'est cette lampe colossale, véritable colonne vertébrale de l'immeuble qui traverse la tour de bas en haut, du pied au rez-de-chaussée au gigantesque abat-jour sur le toit terrasse du 5e étage. Si l'immeuble est investi par une seule société, elle fédérera les équipes. Dans le cas contraire, elle créera en tout état de cause des liens entre les différents plateaux. Par ailleurs, l'agence s'est fondée sur les nouvelles attentes des salariés en matière d'espaces de travail : disposer de lieux confortables, hybrides, polyvalents qui peuvent s'adapter au gré des besoins dans la journée. Des lieux de travail chaleureux, conviviaux, un peu comme un intérieur de maison. Espaces polyvalents, lieux hybrides et matériaux modernesDu bas en haut de l'immeuble, les espaces dessinés par DRAGON ROUGE sont la traduction créative de l'équation nécessaire aux nouveaux immeubles de bureaux : des plateaux confortables, modulables avec cloisons ou en open space, polyvalents. Quant aux matériaux, ils sont modernes et pratiques à l'usage, adaptés aux lieux de fort passage que sont des bureaux. Les sols sont souples et silencieux, faciles d'entretien, de même que le néo skaï des fauteuils. Le rez-de-chaussée. Le hall d'entrée majestueux est occupé en grande partie par le pied de la lampe géante, transformé en assise circulaire pour les visiteurs. Le rez-de-chaussée accueille aussi une conciergerie et des vestiaires. C'est à ce niveau que se trouve aussi le business center : quatre salles de réunion modulables pour accueillir de 8 à 24 personnes, un « work café » et un espace lounge, sans oublier un espace de coworking dans la mezzanine du hall. Au rez-de-chaussée toujours, se trouve le restaurant inter-entreprise. Ici, DRAGON ROUGE soucieuse de proposer de la diversité aux salariés, a imaginé plusieurs ambiances de restauration : Des espaces déjeuner comme à la cuisine avec des vitrages façon atelier, des assises hautes ou normales, des lampes à ampoules filaments apparents.Des espaces déjeuner au salon avec de grandes cloisons arrondies, des banquettes circulaires, des paravents claustras, et des luminaires rappelant les moulures haussmanniennes.Une ambiance salle à manger avec de grandes tables en bois façon tables d'hôtes, des chaises dépareillées de couleurs différentes. Des petits boxes pour des déjeuners plus intimistes pour manger seul ou à deux. Des matériaux différents spécifient chacun des espaces, l'effet général évoquant les pièces à vivre d'une maison.Le forum. C'est l'autre pièce maîtresse du rez-de-chaussée. Cet espace modulable, doté d'estrades escamotables, de placards intégrés dans les cloisons, de projecteurs, avec au centre un grand tapis mosaïque de couleurs rouges orangées et des poufs assortis, est polyvalent et se module en fonction des activités : salle de repos, de ping-pong, salle de sports, show room d'exposition en lumière naturelle ou auditorium de 100 places opaque…. Le toit terrasse et les espaces extérieurs : DRAGON ROUGE a investi les espaces extérieurs en cherchant un équilibre entre les parkings et les espaces végétalisés. Au 5e étage, le toit-terrasse d'où émerge l'abat-jour de la lampe géante a demandé un soin particulier pour que cet abat-jour colossal et ajouré soit source de lumière.Dragon Rouge a assuré les missions de conception et de suivi d'exécution de l'ensemble du programme en tant que mandataire du groupement de maîtrise d'œuvre.Avec la LIGHTHOUSE, c'est un nouvel éclairage sur les façons de travailler et sur l'immobilier de bureaux de demain que traduit DRAGON ROUGE. Parmi ses activités, Dragon Rouge crée des espaces commerciaux et tertiaires, portant une attention particulière sur les bureaux.L'accélération du travail à distance et la digitalisation des outils de travail font évoluer ce modèle des bureaux. D'un lieu de production, les bureaux deviennent des lieux de statut, d'innovation, et de célébration de la culture de l'entreprise. Ils contribuent à valoriser l'actif immatériel qu'est la marque de l'entreprise, et sont plus que jamais l'expression de sa culture et de sa raison d'être.
Il y a 4 ans et 137 jours

Engie se dit en bonne voie pour atteindre ses objectifs en production d'énergies renouvelables

"Il s'agit d'une performance au regard du contexte difficile pour le secteur en 2020", a souligné la toute nouvelle directrice générale du groupe Catherine MacGregor, citée dans un communiqué."Elle nous place en bonne voie pour atteindre notre objectif de 9 GW de capacités additionnelles entre 2019 et 2021 et, au-delà, pour accélérer encore notre rythme de croissance dans les énergies vertes", a-t-elle ajouté.Sur les 3 GW mis en service en 2020, 70% sont de l'éolien terrestre, 21% du solaire photovoltaïque et, pour la première fois, environ 9% de l'éolien en mer, avec la mise en service de la première tranche du parc éolien en mer fixe en Belgique ("Seamade Mermaid", 235 MW).Géographiquement, c'est en grande majorité en Amérique du Nord que les nouvelles capacités ont été implantées.A la fin de l'an dernier, Engie exploitait au total 31 GW d'actifs renouvelables, soit 5 GW de plus sur un an. Outre les 3 GW mis en service, le groupe a en effet racheté 2 GW d'actifs en opération, notamment avec une grosse acquisition au Portugal.Les renouvelables sont l'une des priorités stratégiques de l'ancien GDF Suez, qui veut recentrer son activité en renforçant leur développement et en donnant également la priorité aux infrastructures.
Il y a 4 ans et 137 jours

Nouvelle stratégie et nouvelle direction commerciale France pour WND

En peu de temps, elle est devenue l'un des fabricants de menuiserie à la croissance la plus dynamique d'Europe, et ses produits se trouvent, entre autres, en Allemagne, en Italie, en Belgique et en France. Aujourd'hui, en tant qu'entreprise possédant un certain bagage d'expérience, elle présente une approche totalement nouvelle à ses clients pour garantir une coopération à long terme.Qu'est-ce qui a changé pour la marque WnD et pourquoi cela vaut-il la peine de travailler avec elle ?Au cours des dernières années, WnD a mûri et changé. La nouvelle stratégie de communication et la nouvelle image de marque ont mis davantage l'accent sur la qualité des produits et les relations avec les partenaires. WnD s’est ouverte à différents marchés, allemand, français, italien. Quant au nouveau modèle de vente de WnD, il met principalement l'accent sur les valeurs de l'entreprise : qualité, économie et commodité - tant pour les partenaires commerciaux qui coopèrent avec l'entreprise que pour les clients finaux qui achètent des fenêtres et des portes. L'entreprise a basé sa nouvelle stratégie de marketing sur ces valeurs. Tout cela pour construire un réseau de partenaires commerciaux solide et efficace. De cette manière, l'entreprise renforcera progressivement sa position sur le marché et fournira aux clients non seulement des produits de haute qualité, mais aussi le meilleur service.Qu'est-ce qui va changer dans cette nouvelle approche ?Tout d'abord, les représentants de la marque WnD se concentrent sur les relations de partenariat avec les partenaires commerciaux et la mise en avant des produits de haute qualité de la gamme. L'entreprise souhaite instaurer un dialogue commercial et une coopération durable. Les processus de production, de commerce et de réclamation ont changé. Pour cela, l'entreprise a pris un virage à 360° en mettent en place un tout nouveau processus digital au sein de l'organisation. Les contacts avec les partenaires commerciaux se retrouvent ainsi facilités grâce à une toute nouvelle interface CRM dédiée avec le portail partenaire myWnD. Grâce à cet outil, ils peuvent suivre leurs commandes, transmettre leurs réclamations, télécharger les outils marketing et accéder aux documents indispensables (notices, certificats, catalogues techniques...).Dans un souci permanent de qualité, les normes de contrôle de la qualité logistique ont été revues à la hausse afin de garantir une protection maximale de la marchandise lors du transport. Permettant ainsi au partenaire commercial d’avoir une totale satisfaction lors de ses livraisons.Pourquoi cela vaut-il la peine de devenir un partenaire commercial WnD ?La coopération avec WnD est avant tout une relation de partenariat entre le revendeur et le fabricant. L'entreprise aide ses partenaires commerciaux à gagner de l'argent en leur fournissant des produits de haute qualité et en bénéficiant de conditions commerciales intéressantes. Le processus logistiquerestructuré assure une livraison rapide et de qualité des commandes. L'entreprise investit actuellement dans de nouveaux supports marketing, la refonte de son site internet et de nombreux autres outils qui contribueront à augmenter la visibilité et les ventes de la marque. Le revendeur WnD peut également compter sur le soutien des équipes commerciales et techniques France.Une équipe solide et nouvelle direction commerciale pour WnD FranceL’équipe WnD France s’est fortement agrandie et consolidée au cours de l’année 2020. Elle comprend aujourd’hui 6 commerciaux sur le territoire national, avec deux nouveaux arrivants : Monsieur Stéphane VANHELDER en tant que responsable régional sur le Nord et Monsieur Bruno MIGINIAC en tant que responsable régional sur le secteur Rhône Alpes. L’équipe technique compte également deux techniciens deviseurs, avec la nouvelle arrivée de Monsieur Florent STAUDER. Enfin, Monsieur Jean Luc SCHLOSSER a été nommé Directeur Commercial WnD en cette rentrée de janvier 2021. En poste au sein du groupe Oknoplast depuis 2009 en tant que responsable régional sur la région Est, Jean-Luc SCHLOSSER a fortement contribué à l’implantation de la marque Oknoplast et WnD en France depuis plus de 10 ans. C’est donc tout naturellement qu’il a repris la direction commerciale de la marque WnD en ce début d’année.À qui s'adressent les nouvelles activités de WnD ?L'entreprise souhaite atteindre des représentants commerciaux potentiels - des personnes servant d'intermédiaires dans la vente de fenêtres, de menuiserie et de matériaux de construction.Pour ceux qui souhaitent devenir revendeur WnD, il est possible de transmettre une demande directement en ligne via le site WnD : https://wnd.fr/devenir-revendeur/
Il y a 4 ans et 138 jours

Bruxelles lance un site et un prix pour un "Nouveau Bauhaus européen"

Ce projet vise à "rapprocher le Pacte vert des esprits et des foyers des citoyens", a indiqué la présidente de la Commission européenne, l'Allemande Ursula von der Leyen, qui l'avait annoncé en septembre.L'exécutif européen a donné lundi le coup d'envoi d'une "phase de conception", avec un nouveau site web pour recueillir les contributions des artistes, architectes, ingénieurs, scientifiques, entrepreneurs, étudiants et toutes les personnes intéressées.Il s'agit de "donner corps au concept", a expliqué la commissaire européenne Mariya Gabriel, chargée de la Culture et de l'innovation, lors d'une conférence de presse, annonçant que le nouveau prix serait lancé "avant l'été".La première édition "va se concentrer sur des réalisations déjà existantes", "des bâtiments, espaces publics, pratiques, méthodes" qui sont des "illustrations concrètes des valeurs" du nouveau Bauhaus européen. Pour les suivantes, il s'agira de nouveaux projets.Une dizaine de catégories pour ce prix doivent être définies. Chaque lauréat recevra 30.000 euros et une aide pour réaliser un documentaire ou une exposition, a-t-elle précisé.Le nom de "nouveau Bauhaus européen" ne fait toutefois pas l'unanimité: une pétition lancée aux Pays-Bas et signée par des artistes, enseignants et chercheurs lui reproche de ne pas être "inclusif". Ils estiment que le terme fait référence à un mouvement "très occidental et eurocentrique"."L'important ce n'est pas le nom, c'est le concept", a rétorqué la commissaire Elisa Ferreira chargée de la cohésion et des réformes. Elle a souligné qu'il faisait référence à une approche interdisciplinaire, pour une "mise en œuvre au plus près de la population du Pacte vert", autour des notions clés "d'inclusion, de durabilité et d'esthétique".Cette phase de conception doit conduire à l'ouverture, à l'automne prochain, "d'appels à propositions visant à concrétiser les idées du nouveau Bauhaus européen en au moins cinq endroits des États membres de l'UE, grâce à l'utilisation de fonds de l'UE aux niveaux national et régional", selon la Commission.
Il y a 4 ans et 138 jours

Berger réclame "des solutions concrètes" pour les travailleurs de "deuxième ligne"

"Sans ces travailleurs de 'deuxième ligne', ce n'est pas la meilleure dénomination, notre société se serait effondrée" pendant cette crise sanitaire, a-t-il déclaré lors d'une conférence de presse, rappelant qu'il s'agissait souvent de femmes, travaillant en horaires décalés, en chômage partiel, subi.Début novembre, la ministre du Travail, Elisabeth Borne, a annoncé la mise en place d'une mission sur ces travailleurs, qui doit aboutir à une amélioration de leur rémunération ou de leur formation.Cette mission a identifié un mois plus tard les secteurs (travailleurs du bâtiments, aides à domicile, vendeurs, gardiens...), une liste qui doit encore être affinée avant que ne soient lancées d'éventuelles négociations dans les branches concernées "lors de l'année 2021", avait précisé le ministère fin décembre."Ça a trop duré, maintenant il faut accélérer. On veut des solutions concrètes", a insisté Laurent Berger."Que ce ne soit pas du vent, que ça aille plus vite! Les promesses, c'est bien gentil, mais on ne peut pas attendre indéfiniment", a-t-il ajouté, rappelant que les syndicats ont mis le sujet sur la table dès le premier confinement.Or les branches, qui touchent "5,6 millions de travailleurs", "ne sont pas proactives" sur ce sujet, a estimé le responsable syndical, invitant le gouvernement à les "contraindre" si le dossier n'avançait pas.Parmi les propositions de la CFDT: une augmentation des salaires de 15% dans les secteurs du social et du médico-social; la renégociation des grilles salariales; une obligation de la mise en place d'une complémentaire santé prise en charge par l'employeur; la suspension du jour de carence au-delà du 31 mars; un partage des valeurs rééquilibré entre donneurs d'ordre et prestataires.La CFDT réclame également la création d'une commission des bas salaires."Un salaire décent ne nous semble pas inaccessible", a de son côté dit Elisabeth Glandu, aide à domicile, venue témoigner pour la CFDT de "l'épuisement" de ces salariés pendant depuis le début de la crise.
Il y a 4 ans et 138 jours

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