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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Batinfo

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Il y a 4 ans et 141 jours

Le cabinet anglais Populous retenu pour la rénovation du stade de la Meinau à Strasbourg

"Populous est un cabinet anglais, c'est un acteur majeur connu dans le monde entier pour la réalisation de ses stades", a souligné l'ancien international français. "Nous sommes très fiers que la Meinau s'ajoute à ses réalisations. Elle va entrer dans une ère nouvelle mais elle restera la Meinau, un stade avec l'ambiance que vous connaissez. Le stade de demain avec l'ambiance d'aujourd'hui."Populous a notamment oeuvré sur les stades de Tottenham, d'Arsenal (Emirates Stadium), de Fulham, de Manchester City (Etihad Stadium) et a rénové Wembley. Il a également construit le Groupama Stadium de Lyon.Cette rénovation et extension de l'emblématique enceinte strasbourgeoise coûtera 100 millions d'euros, financés par l'Eurométropole (50 M EUR), la région (25 M EUR), la ville (12,5 M EUR) et le département (12,5 M EUR).Le club a pour sa part dépensé 10 M EUR pour d'importants travaux sur le centre d'entraînement de l'équipe professionnelle, et 15 M EUR pour son centre de formation.Fuselage d'Airbus A340Le Racing avait reçu 45 candidatures et cinq cabinets d'architectes avaient été retenus en début d'année passée comme finalistes. Populous a été choisi par un jury regroupant des membres du club et des collectivités.La maire de Strasbourg Jeanne Barseghian (EELV) a insisté sur la qualité du projet retenu, "sobre, exemplaire, dont nous pourrons collectivement être fiers".L'élue écologiste a souligné "l'exemplarité en matière environnementale" du projet, qui comprend "près de 1.000 m2 de panneaux solaires, le captage des eaux de pluie et la récupération des matériaux pour habiller la façade".L'un des architectes a ainsi précisé que parmi les matériaux de récupération, des morceaux de fuselage d'Airbus A340 seront utilisés en guise de "brise-soleil" sur la façade sud.François Clément, du cabinet Populous, a lui insisté sur la future proximité des spectateurs avec la pelouse, "à l'anglaise", et sur la fan zone, qui sera "une véritable place de village, avec des structures en bois et des espaces végétalisés".Pour le président de la région Grand Est, Jean Rottner (LR), cette annonce est "un signe économique fort". "On aurait pu se poser la question de savoir s'il fallait poursuivre ce projet, vu les circonstances, mais nous avons fait le choix de continuer, c'est important, cela montre qu'on a confiance"."Le Racing est l'ADN de l'Alsace", a-t-il poursuivi, notant qu'avec l'ambiance de la Meinau, la fan zone deviendra "la plus grande winstub (taverne alsacienne, ndlr) du monde: on y vient avant le match, on y reste après le match, c'est toute la convivialité de l'Alsace".La présidente de l'Eurométropole Pia Imbs (sans étiquette mais proche des écologistes) a quant à elle noté qu'elle veillerait "à ce qu'il n'y ait pas de dérapages budgétaires ou dans les délais de livraison".Les travaux doivent commencer mi-2022 pour une livraison de la nouvelle enceinte à l'été 2025.
Il y a 4 ans et 141 jours

Le réseau de diagnostic immobilier EX'IM sort son épingle du jeu malgré la crise sanitaire

Le groupe EX'IM s'est ainsi donné pour objectif d'atteindre un CA de 39 millions fin 2020, avec l'ouverture de 8 nouvelles agences sous la franchise EX'IM et 10 sous la marque DEFIM ; et 45 millions fin 2021 avec 143 agences.Le secteur de la franchise fortement impactéLe groupe EX'IM réalise une performance pour le secteur de la franchise qui est aujourd'hui fortement impacté par le report du plus grand salon de la franchise (Franchise Expo). Afin d'y faire face, EX'IM a misé sur l'organisation de ses journées de présentation dédiées aux porteurs de projet, avec une version 100% digitalisée sous la forme de webinaires.Le secteur du diagnostic immobilier est aussi un secteur porteur puisque basé sur des obligations règlementaires qui continueront à structurer le marché.Qui sont ces entrepreneurs post COVID-19 ?Les entreprises spécialisées dans le diagnostic immobilier reconnaissent que l'appui d'un réseau est aujourd'hui essentiel pour développer le CA de leur entreprise et faire face à la crise économique actuelle. L'objectif pour eux est de rejoindre un réseau innovant qui pourra les épauler dans l'évolution du marché année après année.« J'ai souhaité rejoindre une franchise car le secteur du diagnostic immobilier est à présent mature et dans les années à venir il sera très compliqué de survivre sans être rattaché à un réseau. Je rejoins la franchise EX'IM car je cherchais un accompagnement à 360° : technique, commercial, digital, communication, logiciel. Le Plus d'EX'IM c'est son rapprochement il y a quelques mois de la CDI FNAIM dont je suis membre depuis plus de 10 ans. »Gilles Bontemps, nouveau franchisé
Il y a 4 ans et 141 jours

Eternit France devient Etex France Exteriors

Etex ambitionne d'offrir au monde la possibilité de construire des espaces de vie sûrs, durables, intelligents et beaux. Pour ce faire, Etex apporte un large éventail de solutions légères et innovantes.Etex France Exteriors propose une gamme de matériaux de construction pour les façades, les toitures et les terrasses, reposant ses trois marques commerciales :Avec ses marques commerciales fortes et naturellement tournées vers les besoins de ses clients, Etex France Exteriors souhaite bâtir une collaboration de proximité favorisant une relation de confiance, pour gagner les défis environnementaux de la construction.
Il y a 4 ans et 142 jours

Travaux gratuits contre marchés publics : l'ex-sénateur Castelli jugé pour trafic d'influence passif

M. Castelli, 72 ans, qui nie les faits reprochés, sera jugé devant le tribunal correctionnel de Bastia pour trafic d'influence passif, recel de biens provenant d'un délit, blanchiment aggravé et faux en écriture pour des faits allant de 2009 à 2016.A ses côtés, trois chefs d'entreprise sont poursuivis pour corruption active et abus des biens ou du crédit d'une société par un gérant à des fins personnelles.En octobre 2018, M. Castelli avait déjà été condamné par le tribunal correctionnel de Bastia à deux mois de prison avec sursis et 30.000 euros d'amende pour avoir sous-estimé volontairement la valeur de sa résidence principale, au coeur de ce nouveau procès, en l'évaluant à 353.000 euros tandis que France Domaines l'estimait à plus d'un million d'euros.Les entrepreneurs sont soupçonnés d'avoir contribué au financement de cette villa et d'avoir, en échange, bénéficié de marchés de travaux publics d'un montant de 10 millions d'euros, avait indiqué au moment de leurs mises en examen en janvier 2016 le procureur de Bastia de l'époque, Nicolas Bessone.Ces marchés avaient été attribués jusqu'en 2010, selon M. Bessone, par la communauté de communes de Casinca, en Haute-Corse, et par la mairie de Penta-di-Casinca, collectivités alors dirigées par M. Castelli.Ces mises en examen résultaient d'une enquête qui portait sur les conditions d'acquisition et le financement des travaux dans la demeure de M. Castelli, alors qu'il présidait le Conseil général de Haute-Corse de 2010 à 2014.Le bureau du Sénat avait levé en octobre 2015 l'immunité parlementaire de M. Castelli, à la demande de celui-ci. Une telle mesure est très rare.Commerçant à la retraite, il avait été élu à la Haute Assemblée en 2014 et ne s'est pas représenté en septembre 2020. Né en 1948 dans le village de Penta-di-Casinca (Haute-Corse), M. Castelli a d'abord été premier adjoint de cette commune, en 1977.Il a ensuite été élu, en 1982, conseiller général du canton de Vescovato et maire de Penta-di-Casinca, mandat qu'il a rempli jusqu'en 2010.
Il y a 4 ans et 142 jours

Équipbaie-Métalexpo, une édition 2021 sous les meilleurs auspices

Ces entreprises, dont de nombreux leaders de la filière, expriment ainsi toute leur confiance et leur mobilisation pour faire de ce rendez-vous un moment unique et marquant.Des exposants qui répondent présentsLe salon ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO se tiendra du 21 au 24 septembre à Paris Porte de Versailles. Premier salon de la reprise pour le secteur, il est plus que jamais un rendez-vous incontournable pour les acteurs de la filière qui répondent d'ores et déjà présents. Cette mobilisation traduit à la fois leurs attentes de se retrouver pour un événement convivial et leur souhait de montrer leur dynamisme et leur optimisme après une année 2020 difficile. Cette édition, inscrite sous la thématique de « La révolution positive du digitale » s'annonce donc comme la traduction concrète de l'innovation portée par les exposants à tous les niveaux.Ils participent à l'édition 2021 d'ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPODe nombreux leaders sont inscrits et de nouveaux exposants font leur entrée pour cette édition 2021 :Menuiserie (48 exposants) : ATLANTEM, ATULAM, CAIB, CONCEPT ALU, DECEUNINCK, DRUTEX SA, ELCIA, FENETREA, France FERMETURE, GROUPE STELLA, K•LINE, LOREBAT, LOUINEAU, MEO, MILLET, OXXO, PASQUET MENUISERIES, PIERRET PORTES ET FENETRES, PROFILS SYSTEMES, QFORT, REHAU, ROMA, SFS, SOKO Vérandas & Pergolas, SWAO, TIR TECHNOLOGIES, VEKA, VERANDA …Nouveaux exposants : EXTOL, GROUPE OUVEO, LECHLER TECH.Fermetures (24 exposants) : ARMBLOCK, FAME, GROUPE MAINE, HORIZAL, ZILTEN …Nouveaux exposants : BEL'M, DOSTEBA GMBH, GENEFY ALUMINIUM CO LTD, WINLOCK.Smart Home, Smart Building et Digital (14 exposants) : DOOYA CO LTD, NICE, SOMFY…Nouveaux exposants : A-OK FRANCE, IDD-PARTSProtection solaire (14 exposants) : BRUSTOR, MARQUISES, SCREENLINE/DIVISION OF PELLINI SPA, VERANDA RIDEAU…Nouveaux exposants : BIOSSUN, LA VIUDA, WAREMA REINKHOFF SE.Services, équipements & organismes (5 exposants) : HERCULEPRO, OPTIMA SYSTEM…Nouveaux exposants : GROUPE POUEY INTERNATIONALMachines & outillage (12 exposants) : ELUMATEC, LOM, BEWAP, MECAL MACHINERY…Nouveaux exposants : MZR, ROTOX France.METALEXPO (4 exposants) : ETANCO, MEDIA SOFT-METALCAD, S.A.S BUGAL, WÜRTH FRANCE.En attendant le salon…Depuis le 17 novembre, ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO DIGITAL est en ligne. Cette plateforme d'information et d'échanges est destinée à tous les professionnels de la menuiserie-fermeture, des équipements de la baie et de la métallerie.Enrichie chaque mois grâce à la contribution des exposants, ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO DIGITAL a pour ambition de partager les savoir-faire et de contribuer à l'appropriation et à la diffusion des innovations.Depuis son lancement, ce sont déjà 15 industriels qui se sont investis : AOK France, ATULAM, BEL'M, BOSCH France, CAIB, ELCIA, FRANCE FERMETURES, HERCULEPRO, K•LINE, GROUPE LORILLARD, MEO France, MILLET PORTES ET FENÊTRES, NICE France,SOMFY, ZILTEN. Les tables rondes ont de leur côté mobilisé les 5 partenaires d'ÉQUIPBAIEMÉTALEXPO (Groupement ACTIBAIE, SNFA, UFME, UM, UMB et Union de la Métallerie) ainsi que Serrurerie PASME2, CADIOU, Menuiserie FRAME, Bâtiment CFA 35 et METAFER. Côté visiteurs, plus de 450 inscrits se sont connectés aux différents outils mis à leur disposition.ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO - 21 au 24 septembre 2021 à Paris Expo Porte de Versailles – Hall 1
Il y a 4 ans et 142 jours

Les énergies renouvelables en France : entre objectifs et réalité

"La crise sanitaire n'explique pas à elle seule ces ralentissements", souligne le baromètre 2020 produit par l'observatoire spécialisé indépendant Observ'ER avec la Fédération des collectivités concédantes et régies (FNCCR) et l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe).L'an passé (octobre 2019-septembre 2020), la production renouvelable a couvert plus de 27% de la consommation électrique, en phase avec les objectifs nationaux (grâce aussi à une moindre demande liée au ralentissement industriel et à des températures clémentes). Ce fut même plus de 35% en Auvergne Rhône-Alpes, Occitanie, Grand Est et Provence-Alpes-Côte d'Azur.A fin septembre, la puissance renouvelable raccordée était de 56,5 gigawatts (GW), dont une petite moitié issue de l'hydro-électricité (2,8 GW installés en un an, après 2,7 GW l'année précédente). Quelque 89% de cette puissance nouvellement installée vient de l'éolien terrestre et du photovoltaïque.Par rapport à la feuille de route énergétique de la France à horizon 2028, le baromètre relève toutefois "un risque de décrochage pour la filière éolienne" (avec une projection à 31 GW, au rythme actuel, au lieu de 33-34 prévus).Et c'est "un décrochage déjà réel pour la filière photovoltaïque" (18 GW anticipés au lieu d'une fourchette de 35-44 GW): il faudrait que le secteur multiplie par plus de trois sa dynamique et raccorde 3 GW par an, "une gageure au vu des performances passées"."Le rythme n'est pas suffisant pour atteindre les objectifs, et c'est un retard difficile à rattraper", souligne Frédéric Tuillé, responsable des études chez Observ'ER.Les projets portés par des acteurs locaux (professionnels, collectivités, syndicats d'énergie...) se développent, et les régions disposent pratiquement toutes d'orientations via leur schéma d'aménagement du territoire. "Mais se pose la question des moyens dont elles disposent pour l'atteindre", ajoute le rapport.Les auteurs soulignent l'enjeu de l'acceptation locale des projets. A cette fin, l'Ademe a annoncé le déploiement de conseillers territoriaux.Vincent Jacques Le Seigneur, président d'Observ'ER, a notamment déploré que "les pouvoirs publics soufflent en permanence le chaud et le froid, au niveau de l'Etat comme de collectivités", sur l'éolien, disant ses craintes de voir les contestations s'étendre au photovoltaïque "s'il n'y a pas plus de
Il y a 4 ans et 142 jours

Les aides à l'embauche d'apprentis seront payées d'ici au 5 février, déclare Borne

Au 2 janvier, l'Agence de services et de paiement (ASP) de l'Etat a reçu 350.000 demandes d'aide au recrutement - décidées cet été dans le plan +un jeune, une solution+ (5.000 euros pour un apprenti mineur, 8.000 pour un majeur) - dont "250.000 ont été validées et 105.000 payées", a précisé Mme Borne.Mais, "près de 57.000 dossiers validés sont aujourd'hui en attente d'un RIB et ne peuvent donc pas être payés", a-t-elle expliqué.Il y a donc un stock d'environ 90.000 dossiers validés et complets mais non payés (les 100.000 dossiers non validés étant encore en cours d'examen pour la plupart)."On a recruté 200 personnes de plus à l'ASP depuis la mi-novembre pour rattraper le retard d'ici à la fin de la première semaine de février", a-t-elle expliqué.Cela est notamment dû "au succès plus fort qu'envisagé de cette prime", a-t-elle ajouté, soulignant qu'en outre 250.000 des 350.000 demandes d'aides ont été déposées depuis la mi-novembre, donc sur "un rythme en accélération"."J'ai donné instruction à l'ASP de payer en priorité les TPE/PME, plus sensibles à la trésorerie", a-t-elle ajouté.Dans Le Parisien lundi, la CPME a jugé ce retard "fort dommageable" vu la situation financière des petites entreprises.Pour les entreprises de plus de 250 salariés, l'aide n'est réservée qu'aux entreprises ayant 5% de leurs effectifs en contrats d'apprentissage en 2021, ou en ayant au moins 3% avec une hausse de plus de 10% cette année.Alors que la crise faisait craindre une chute de l'apprentissage, la prime a soutenu les embauches: 440.000 contrats ont été signés mi-décembre, contre 353.000 en 2019 (368.000 en incluant le public).Par ailleurs, pour les aides à l'embauche d'un jeune de moins de 26 ans avec un contrat d'au moins trois mois, l'ASP a reçu 230.000 dossiers mais seulement 50.000 ont été validés et 6.000 payés."Beaucoup de dossiers n'étaient pas éligibles", a expliqué Mme Borne, que ce soit sur la date d'embauche (à partir du 1er août), la durée minimale du contrat, etc. En outre, le paiement (1.000 euros chaque trimestre du contrat pendant un an) n'intervient qu'à l'échéance du trimestre.L'aide à l'embauche de jeunes, qui devait s'arrêter fin janvier, a été prolongée jusque fin mars tout comme l'aide à l'apprentissage. Elle pourrait l'être plus longuement en fonction de l'évolution de la crise.Le ministère du Travail a également annoncé lundi le lancement d'une campagne de communication à destination des jeunes et des entreprises autour de sa plateforme "1jeune1solution.gouv.fr", qui recense les différents dispositifs d'emploi, de formation ou d'accompagnement.Selon le ministère, 60.000 offres d'emploi et d'alternance et 8.000 missions de service civique sont actuellement disponibles sur le site. Et 3.000 jeunes ont été rappelés par leur mission locale depuis le lancement de cette plateforme fin novembre.
Il y a 4 ans et 142 jours

L'Arabie saoudite, premier exportateur de pétrole, va construire une ville sans voiture

Région futuriste et touristique, NEOM figure sur la liste des nombreux méga-projets en cours destinés à diversifier l'économie de l'Arabie saoudite qui dépend très largement de l'exportation de l'or noir."En tant que président du conseil d'administration de NEOM, je vous présente "THE LINE", une ville pouvant accueillir un million d'habitants, de 170 km de long et qui préservera 95% des zones naturelles", a annoncé le prince héritier Mohammed ben Salmane dans une déclaration retransmise à la télévision."Il n'y aura ni voiture, ni route et zéro émission de carbone", a ajouté le dirigeant de facto de la première économie du monde arabe, régulièrement classée parmi les pays les plus pollueurs au monde."Nous devons transformer les villes en villes du futur", a-t-il déclaré, parlant d'une "révolution civilisationnelle".Les détails du projet seront communiqués ultérieurement, a assuré le prince Mohammed, avant de montrer des images de synthèses de la "ligne" ainsi que des paysages de déserts immaculés et de mers bleues.La ville piétonne disposera de services tels que écoles ou centres de santé, ainsi que d'espaces verts, mais aussi des transports en commun à grande vitesse, avec aucun trajet qui ne devrait durer plus de 20 minutes, selon un communiqué de NEOM.Elle reposera également sur les technologies de l'intelligence artificielle (IA) et des "équipements à faible impact carbone, alimentés par une énergie 100% renouvelable".La construction de "THE LINE" débutera au premier trimestre 2021 et sera financé par le Fonds d'Investissement Public (PIF) saoudien, principal instrument de la politique de diversification de l'économie du pays.Le projet permettra de créer 380.000 emplois et sa contribution au PIB est estimée à 180 milliards de riyals (plus de 39 milliards d'euros) d'ici 2030, selon le communiqué de NEOM.
Il y a 4 ans et 142 jours

Les baignoires Bette sont maintenant disponibles en noir mat

Dans les domaines de la mode, de la photographie et de l'architecture, le noir monochrome est souvent utilisé de manière ciblée comme une expression esthétique de style. Le noir accentue la structure et la silhouette, mais crée également une limpidité avec une touche dramatique. Ce même effet s'applique aussi à l'architecture de la salle de bains. Les tendances actuelles mettent en scène des éléments noir mat, comme des robinetteries, des vasques, des toilettes, ou encore des salles de bains entières. Bette propose désormais une variante de sa baignoire « Silhouette » avec ce coloris.La mention « Silhouette » regroupe différentes variantes de baignoires en îlot, encastrées ou en angle des gammes BetteLux et BetteStarlet. Avec leur corps sobre en acier titane vitrifié et les larges surfaces immaculées de leur tablier, ces baignoires renvoient un aspect graphique dans le concept global de la salle de bain. La surface noir mat, baptisée « Ebony », sublime davantage leur expressivité. Les baignoires revêtent ainsi un caractère monolithique, presque mystique.Mise en scène du noir mat dans la salle de bainsLe noir ne peut pas vraiment être qualifié de couleur. Le noir, c'est l'absence de lumière. L'œil perçoit seulement son reflet. En principe, il n'existe que deux possibilités pour mettre en scène une baignoire « Silhouette » en noir mat : soit au sein d'un ensemble ton sur ton, soit dans une ambiance scénographique noir et blanc. Dans une salle de bains aux tons noirs, les divers éléments s'effacent au profit de l'architecture intérieure et d'une structuration claire. La baignoire noir mat s'intègre alors dans le rendu général. En revanche, si elle est mise en scène dans une ambiance blanche, cette impression s'inverse : la salle de bains devient un théâtre, dont la baignoire en est l'acteur.Les multiples avantages de l'acier titane vitrifié s'expriment pleinement en noir mat. Ce matériau robuste pardonne les légères inattentions, comme une bougie qui coulerait accidentellement sur le rebord de la baignoire. Sa surface, dure comme du verre et exempte de porosité, ne laisse pas s'accrocher les bactéries et la saleté. Au quotidien, elle se révèle donc facile à nettoyer et à entretenir. Comme la vitrification résiste aux UV, Bette garantit l'élégance et la brillance de ce coloris noir mat au fil du temps.À propos de BetteBette est le spécialiste des éléments de salles de bains en acier titane vitrifié : baignoires, receveurs ultra-plats, receveurs de douche et vasques. L'entreprise familiale a été fondée en 1952 à Delbrück en Westphalie, et s'est spécialisée exclusivement dans les processus de transformation de l'acier et de l'émaillage. Le gérant est Thilo C. Pahl. Aujourd'hui, 385 collaborateurs sont employés au siège administratif et site de production à Delbrück. C'est exclusivement ici, et made in Germany, que plus de 600 modèles différents de baignoires, de receveurs et de vasques sont fabriqués, avec un choix de couleurs possibles pour les surfaces.La production Bette combine la haute technologie industrielle avec un travail artisanal sur mesure. Aujourd'hui, plus de la moitié des produits sont personnalisés selon les souhaits des clients. Les matières premières naturelles que sont le verre, l'eau et l'acier deviennent des produits haut de gamme que Bette propose dans une grande variété de formes, dimensions, sur mesure, avec des rebords relevés pour une pose sans silicone et dans des centaines de couleurs. La surface vitrifiée nommée BetteGlasur est synonyme d'une longue durée de vie et garantie 30 ans. L'ensemble de la gamme Bette est contrôlé conformément à la Déclaration Environnementale Produit (EPD) spécifique aux matériaux et à la gamme, selon la norme ISO14025. Les produits de salle de bains en acier titane vitrifié sont constitués des matières premières naturelles et intégralement recyclables.
Il y a 4 ans et 142 jours

Bilan du colloque Build and Connect 2020

Véritable lieu d'échanges sur les tendances les plus prometteuses et de rencontres autour des meilleures technologies et pratiques destinées à l'ensemble des acteurs de la construction durable, le colloque international Build & Connect est co-organisé par le pôle de compétitivité Fibre Energivie et l'Université de Strasbourg depuis plusieurs années pour que chacun s'enrichisse de l'expérience des pionniers d'une grande région au cœur de l'Europe entre France, Allemagne, Benelux et Suisse, les co-organisateurs étant basés à Strasbourg.Tables rondes et retours d'expériences ont permis de faire émerger des problématiques liées à la construction durable et de réfléchir ensemble à des solutions communes.Financer la ville demain« Le renouvellement urbain et le zéro artificialisation net des sols devient un sujet majeur du secteur immobilier. Build & Connect a permis cette année de rassembler des personnalités reconnues et des expertises uniques au niveau européen sur les sujets de l'investissement immobilier responsable et innovant. La table ronde réunissait Novaxia, la Socfim (Groupe BPCE), Bitbond, et Green Soluce. Chacun de ces acteurs ouvre la voie dans son domaine : investissement immobilier, bancaire, crowdfunding, et accompagnement ESG de fonds de dette. Leur point commun ? ». Vincent Aurez, animateur de la table-ronde « Financer la ville du futur, les nouveaux modèles économiques »Lors de la première table ronde « Financer la ville du futur, les nouveaux modèles économiques » l'objectif était de mettre autour de la table banquier, acteur du crowdfunding et de la blockchain, et acteur de la finance durable pour imaginer les modèles de financements au service d'une ville plus durable et d'un renouvellement urbain bénéfique au plus grand nombre. Un enjeu clé au vu des impacts du secteur immobilier, qui représente en France un quart des émissions de gaz à effet de serre. Un certain nombre de questions ont ainsi été soulevées et débattues par les différents interlocuteurs telles que :Comment drainer les investissements vers des fonds responsables pour faire évoluer la ville vers la transition écologique et accompagner les nouveaux usages ?Quels modèles économiques et de financement cela suppose-t-il ?Des acteurs du financement de l'immobilier et de la ville de demain, ont livré leurs convictions de marché à travers des messages clés.Pour Socfim, le secteur de la construction est victime d'injonctions contradictoires qui s'imposent aux opérateurs immobiliers et les poussent à innover :Le souhait sociétal de créer des smart city VS une grande réticence au changement.Le besoin d'étendre le parc immobilier sans artificialiser des sols VS une densification mal perçues et les risques sanitaires qu'elle comporte.L'aspiration des Français pour plus de durabilité, des normes pour limiter les émissions de gaz à effet de serre mais un pouvoir d'achat limité des ménages qui ne leur permettent pas d'accéder à des produits immobiliers vertueux sur le plan de l'environnement.À ces problématiques, la société propose le renouvellement urbain et le recyclage des actifs existants.Green Soluce, acteur du conseil et de l'accompagnement dédié à l'accélération vers un modèle plus durable, inclusif et résilient, s'appuie sur les critères ESG :Les fonds de dette immobilière commencent à changer les règles du jeu du financement immobilier en prenant en compte les critères ESG (Les critères ESG sont fondamentaux pour évaluer la stratégie durable des entreprises).Les évaluations ESG reposent sur deux composantes clés : l'évaluation de l'emprunteur (à travers des dispositif interne et des questionnaires, et des covenants « verts » pour allier la performance environnementale à la performance financière) et l'évaluation au niveau des actifs (avec l'arrivée de la taxonomie européenne et les label, certifications).Les principaux prêteurs appliquent des techniques de souscription ESG distinctes, adaptées aux emprunteurs et aux garanties immobilières. Le suivi des indicateurs clés de performance ESG offre la possibilité d'améliorer considérablement les techniques de gestion des risques.Construire les bâtiments de demain« Nous devons intensifier les usages de chaque bâtiment, rassurer la filière construction et valoriser le fait qu'un bâtiment soit une véritable banque de matériaux réversible.» Morgan COLOMBERT, animatrice de la table ronde « construire le bâtiment de demain »Les intervenants de cette table de ronde ont travaillé sur différents axes :Le bas carboneLa sobriétéL'efficacitéLe stockage carboneCar le bâtiment de demain devra indéniablement prendre en compte les nouvelles technologies et pratiques permettant de réduire son emprunte carbone. Les matériaux bois et biosourcés permette d'avoir des solutions pour faire mieux qu'hier, mais nous avons encore des freins à lever en termes organisationnels, culturels, juridiques et de formation. Le principal point de vigilance est effectivement la formation des acteurs de la construction à la gestion des matériaux renouvelables afin que les capacités techniques existantes et à venir soient opérationnelles.Un nouveau modèle économique est à développer afin qu'il soit entièrement adapté à la construction durable. Dans ce cadre, il est nécessaire de rappeler le rôle à jouer par les collectivités en tant que donneurs d'ordre sur la construction et les projets des territoires.Revoir les sessions du colloque Build and Connect 2020 : Heures Salles Liens 8h45 B&C - Salle 1 - Plénière matin 08h45https://vimeo.com/483104212/5b2ccfd059 8h45 B&C - Traduction - Plénière 08h45https://vimeo.com/483117500 10h30 B&C - salle 2https://vimeo.com/483219986/cc7da45a07 10h30 B&C - Salle 3 - Le smart building et le smart gridhttps://vimeo.com/483096207/db00d269eb 10h30 B&C - Salle 4 - Financer la ville de demainhttps://vimeo.com/483097290/2a1aaa793b 10h30 B&C - Traduction https://vimeo.com/483119018 12h10 B&C - Salle 1 - Plénière https://vimeo.com/483105732/64b3dfefa9 12h10 B&C Traduction https://vimeo.com/483120742 12h50 B&C - Salle 1 - Plénière https://vimeo.com/483113215/6a8ff9f22d 13h30 Salle 2 Réemploihttps://vimeo.com/485403317 13h30 Salle 3 - Le numérique transforme les chantiers https://vimeo.com/485401373 13h30 Construire les bâtiments de demain : des nouvelles technologies et des pratiques à accélérerhttps://vimeo.com/485456511 13h30 B&C Traduction https://vimeo.com/483122124/c821db0f08 15h30 Salle 2 Construire autrement https://vimeo.com/485404501 15h30 Salle 3 - 15h 30 - Gestion patrimoniale, exploitation et IAhttps://vimeo.com/485402378 15h30 B&C Traduction - Gestion Patrimonialehttps://vimeo.com/483125107/b0fd639b00 15h30 Resilience du bati : comment construire et reconstruire en tenant compte de l'augmentation des risques naturels ?https://vimeo.com/483561710/65c4da7523 15h30 B&C Traduction - Résilience du batihttps://vimeo.com/483127774/d5f975bb16 17h20 B&C - Salle 1 - Plénière https://vimeo.com/483114427/cc798fab96
Il y a 4 ans et 142 jours

Korian noue un partenariat de développement avec Aedifica aux Pays-Bas

Création de la première co-entreprise liant une foncière et un opérateur aux Pays-BasDétention des actifs à 50/50Premier portefeuille d’actifs à développer pour une valeur de 75m €Une structure permettant de soutenir l’accélération du développement de Korian aux Pays-BasCe partenariat prend la forme d’une co-entreprise (« maatschap »), détenue à parts égales par les deux partenaires, qui investira dans le développement de projets immobiliers neufs aux Pays-Bas.Ces établissements, qui seront opérés par Korian, sont destinés à l’accueil et aux soins de personnes fragiles et âgées. Korian exploite déjà à ce jour 36 villas, appartements thérapeutiques et cliniques aux Pays-Bas, et mettra en service 9 établissements supplémentaires d’ici 2021, soit une capacité totale de 1 300 lits.Parmi les nouveaux établissements en construction, 3 sont portées par la co-entreprise, la première de ce type créée avec Aedifica.Des projets supplémentaires seront annoncés dans les prochaines semaines.Une attention particulière sera portée à la qualité énergétique et aux normes environnementales des futurs bâtiments, en ligne avec la norme dite « GPR » aux Pays-Bas.A terme, ce partenariat vise à développer un portefeuille d’actifs d’environ 75 millions d’euros dont une partie significative devrait être sécurisée rapidement en 2021. L’association dans une structure juridique commune permet à Korian de bénéficier de la création de valeur associée au parc qu’il exploite aux Pays-Bas, tout en augmentant son taux de détention immobilière.Aedifica est un partenaire historique de Korian, en Belgique où il est propriétaire des murs de 28 des 120 établissements gérés par Korian, ainsi qu’aux Pays-Bas, où il détient 10 établissements opérés par Korian.Dominiek Beelen, directeur général de Korian Benelux a commenté : « Aedifica est un partenaire de longue date de Korian en Belgique, où il possède les bâtiments de 28 de nos 120 établissements, et récemment également aux Pays-Bas où elle possède dix villas de soins exploitées. Nous sommes heureux d'annoncer cette joint-venture qui nous permettra de poursuivre notre politique de croissance organique aux Pays-Bas en exploitant l'expérience des deux groupes. Ensemble, nous prévoyons de développer de nouvelles villas de soins innovantes et écologiquement responsables pour les personnes âgées, axées sur une approche de soins personnalisés à petite échelle dans un environnement familial. Il existe un besoin croissant d'établissements de soins résidentiels où nous pouvons mettre notre approche positive des soins au service de nos personnes âgées, not attendons d’ailleurs à avoir plus de 45 établissements au Pays Bas à fin 2021 ».De son côté, Stefaan Gielens, directeur général d’Aedifica a ajouté : « Aedifica et Korian s'associent dans une entreprise commune pour investir ensemble dans le développement de biens immobiliers à l'épreuve du temps dans le secteur des soins de santé aux Pays-Bas. En joignant nos forces à celles de Korian, nous créons une nouvelle opportunité de croissance continue sur le marché néerlandais. En outre, cette transaction renforcera notre collaboration de longue date avec l'un des principaux opérateurs européens de maisons de soins. Grâce à l'expérience combinée d'Aedifica et de Korian, encore plus de personnes âgées aux Pays-Bas pourront bénéficier de concepts de soins durables et innovants qui mettent les résidents au centre des préoccupations et leur donnent l'espace nécessaire pour recevoir des soins de la manière qu'ils préfèrent ».Cette collaboration s’inscrit dans la stratégie « Asset Smart » mise en place par Korian en 2016 qui intègre notamment des partenariats équilibrés avec des foncières de renom et qui permettra au Groupe de capter une partie de la valeur long-terme de l’immobilier qu’il opère.Korian a effectivement mis en place depuis trois ans, un certain nombre d’autres partenariats immobiliers en co-détention :Une co-entreprise en 2020 avec Konrad incluant sept maisons de retraite, une résidence service en Belgique, un projet d’extension sécurisé et un pipeline de deux projets futurs. Korian détient 52% de l’ensemble et Konrad, 48%. Les baux de Korian sur ces actifs ont une durée de 12 ans.En mai 2019, Korian s’est associé à la Banque des Territoires et Crédit Agricole Assurances, pour accompagner le déploiement sur le territoire français, des maisons Ages & Vie, solution alternative d’habitat partagé pour les personnes âgées. A fin 2020,la foncière ainsi créée détiendra 69 des 150 implantations nouvelles annoncées à horizon 2024, l’ensemble des bâtiments étant construits selon la norme NF Habitat HQE.Korian poursuit le développement de son parc immobilier afin de soutenir ses opérations, en ligne avec sa stratégie et dans le respect de ses engagements RSE auprès de ses parties prenantes.
Il y a 4 ans et 142 jours

Le Groupe LBA vise une commercialisation de plus de 25% de matériaux dépolluants en 2025

Porté par son ambition de diminuer l’impact sur l’environnement, le Groupe LBA, leader français dans la sécurisation périmétrique (fermeture des sites pas barrières, herses et bornes), renforce son positionnement écoresponsable en sensibilisant sur la réduction de l’empreinte carbone dans le monde de l’industrie et la dépollution de l’air. L’entreprise vise ainsi une commercialisation de plus de 25 % de matériaux dépolluants brevetés pour 2025.Le Groupe LBA, en tant qu’industriel éco-responsable, s’engage depuis plus de 30 ans auprès de son écosystème, par des actions fortes : économie circulaire, circuits courts, « Made in France »,industrialisation raisonnée, etc.Depuis 2018, l’entreprise va plus loin et propose des gammes de bornes anti-terroristes, dépolluantes et innovantes pour répondre aux problématiques environnementales et préoccupations des Français, qui souffrent de la pollution en milieu urbain mais également d’insécurité. Le premier fabricant concepteur français de produits de sécurisation périmétrique a ainsi développé des solutions et concepts de nouveaux mobiliers urbains qui protègent et créent du bien-être dans la pratique de l’espace public.Aujourd’hui, le Groupe LBA vise plus loin et souhaite renforcer son utilisation de matériaux dépolluants brevetés et développer de nouveaux produits pour répondre aux enjeux environnementaux. L’entreprise a pour objectif de commercialiser 25 % plus de bornes dépolluantes d’ici à 2025. Avec, comme double défi : l’adoption d’une approche plus écologique pour répondre à de nouveaux besoins tout en conservant son cœur de métier, afin de conquérir des marchés en Europe et à l’international.« Nous développons des concepts bienveillants qui protègent les usagers de la pollution, garantissent la sécurité, tout en restant invisibles. Nous souhaitons réconcilier tous les besoins des concitoyens et construire de nouvelles offres sur-mesure, conjointement avec nos clients, et provoquer un changement important dans le monde du mobilier urbain que l’on peut désormais s’approprier, sans polluer. »,explique Hélène-Lorenzi Hardouin, directrice générale adjointe du Groupe LBA.Le CUbe, une borne fixe anti-véhicules bélier, à l’habillage design dépolluantCUbe est un obstacle anti-véhicule-bélier composé d'un habillage fonctionnel dissimulant une borne fixe crash testée. Cet habillage intelligent et connecté intègre plusieurs fonctionnalités: esthétique, éclairage ou encore capteurs. Les différents modèles de la gamme sont modulables pour créer des bancs, des attaches-vélos ou encore des bornes d'information. Son matériau novateur unique antibactérien dépolluant, assainit et élimine les produits chimiques pour contribuer à la santé des usagers.Mister FLow, un tourniquet piéton antibactérien qui s’adapte à la ville de demainMister FLow permet la sécurisation des sites pour les accès piétons en préservant une esthétique soignée et favorisant un contexte sanitaire sain. Personnalisable, il s'adapte aux demandes de tous : grille ajourée, structure acier ; mais permet aussi le maintien de meilleures conditions sanitaires avec des barreaux antibactériens, l'intégration de barreaux antibactériens ou un distributeur de gel hydroalcoolique. Mister FLow est le 1er tourniquet design intégré à la marque Security by Design, qui encourage l'appropriation des produits et leur adaptation à la ville de demain, soit par l'esthétique et/ou les fonctionnalités.Miss HYde, une borne fixe anti-véhicules bélier avec son habillage multifonction designMiss HYde est un mobilier urbain unique et breveté, permettant de sécuriser l'espace public sans le défigurer ou le saturer d'objets. La borne sécuritaire urbaine est cachée à l'intérieur pour ne laisser voir que les autres fonctions de l'habillage. Cet habillage intelligent et connecté intègre plusieurs fonctionnalités : esthétique, éclairage ou encore capteurs. Son matériau novateur unique antibactérien dépolluant, assainit et élimine les produits chimiques pour contribuer à la santé des usagers. Smart city, elle s'intègre idéalement dans les villes ou sur les sites privés et publics. Miss HYde rencontre l'architecture et la sécurité urbaine, tout en proposant une borne de sécurité dépolluante.
Il y a 4 ans et 143 jours

Le Maire accuse Hidalgo de "mentir" sur les aides à la relance reçues par Paris

"Les ambitions présidentielles de madame Hidalgo ne l'autorisent pas à mentir, à mentir aux Français", a fustigé Bruno Le Maire sur France Inter."En ce qui concerne le plan de relance, nous n'en avons pas vu la couleur à Paris. Les entreprises en bénéficient sans doute à travers le chômage partiel ou les baisses d'impôt, mais les collectivités locales, qui portent 70% de l'investissement public en France, n'ont pas reçu un euro", avait affirmé la veille la maire de Paris dans un entretien au Journal du dimanche."Elle en a vu environ 1 milliard d'euros", a rétorqué le ministre de l'Économie. "Nous avons mis 670 millions d'euros pour les transports en commun franciliens, 238 millions d'euros pour la rénovation des bâtiments publics de Paris, 5 millions d'euros pour les pistes cyclables dont elle nous parle, 10 millions pour le logement social", a-t-il ensuite énuméré.Le plan de relance de 100 milliards d'euros sur deux ans prévoit notamment des baisses d'impôts pour les entreprises (20 milliards sur deux ans), ainsi que des investissements dans les transports propres (train, vélo, véhicules électriques, etc.) comme dans la rénovation énergétique des bâtiments.Un programme visant la rénovation de 4.000 bâtiments publics pour près de 3 milliards d'euros a par exemple été lancé fin 2020 et 60 projets ont été identifiés à Paris, selon le tableau de bord du ministère de l'Économie. Mais ces bâtiments n'appartiennent pas forcément à la ville de Paris.
Il y a 4 ans et 143 jours

Ouverture du procès de la "chaufferie de la Défense" pour corruption présumée

Jean Bonnefont, 98 ans (BIEN 98 ans) et ancien dirigeant des ex-Charbonnages de France, est poursuivi avec quatre autres chefs d'entreprise pour avoir faussé entre 1999 et 2003 l'attribution du juteux marché du chauffage et de la climatisation du premier quartier d'affaires européen, estimé à plusieurs centaines de millions d'euros.M. Bonnefont, l'un des plus vieux prévenus de France, "ne pourra absolument pas venir, même une demi-journée, afin d'être entendu comme c'était son souhait ?", s'est inquiété le président de la 15e chambre correctionnelle en début d'audience."Sauf à venir avec un véhicule médicalisé", lui a répondu son avocat, Me Olivier Baratelli, "malheureusement, le temps aura fait son oeuvre à son encontre".Outre Jean Bonnefont, l'ex-numéro 3 de la Compagnie générale des Eaux-Vivendi Bernard Forterre, 82 ans aujourd'hui, et l'homme d'affaires Antoine Benetti, 68 ans, sont également mis en cause.Bernard Forterre était présent lundi matin à l'audience, s'avançant à la barre aidé d'une canne. Son conseil Jean-Didier Belot a précisé qu'il pourrait assister à certaines séances seulement. Antoine Benetti, lui aussi présent, a indiqué vouloir assister à l'intégralité du procès.La défense a plaidé en préambule la nullité de la procédure pour "violation du droit à être jugé dans un délai raisonnable"."Il est 10h du matin, j'ai un masque, je ne vais pas crier, mais il aurait fallu commencer par un cri", a déclaré Me Belot. "Depuis quand un homme quasiment centenaire est renvoyé devant un tribunal correctionnel ?", s'est-il indigné.L'affaire a débuté en 1998, lorsque le Syndicat mixte de chauffage urbain de La Défense (Sicudef) a lancé le renouvellement du marché que détenait depuis trente ans la société Climadef, filiale de Charbonnages de France.Trois ans plus tard, il l'attribue à un groupement d'entreprises baptisé Enertherm. Mais les services de répression des fraudes repèrent des anomalies dans le processus, qui aboutissent en 2002 à l'ouverture d'enquêtes "corruption" et "trafic d'influence" puis "abus de biens sociaux".Le trio Bonnefont-Forterre-Benetti est accusé d'avoir faussé le marché pour assurer son attribution à Enertherm, dont les actionnaires étaient en réalité les mêmes que ceux de Climadef, l'ancien concessionnaire.Au centre de l'entente présumée figurait Charles Ceccaldi-Raynaud, le président "omnipotent" du Sicudef selon des témoignages de l'époque, mis en examen pour avoir perçu une commission de 5 millions de francs (770.000 euros).L'ex-sénateur-maire de Puteaux est décédé en juillet 2019 à 94 ans, avant que le parquet ne prenne ses réquisitions.
Il y a 4 ans et 143 jours

Création du Conseil national de l'hydrogène

Cette stratégie vise trois priorités qui conjuguent développement technologique et transition écologique :la décarbonation de l'industrie pour contribuer à l'atteinte de la neutralité carbone en 2050 en faisant émerger une filière française de l'hydrogène;le développement des mobilités lourdes à l'hydrogène ;le soutien à la recherche, l'innovation et le développement des compétences.L'objectif de cette stratégie est d'accélérer la maîtrise technologique des composants essentiels de la chaîne de valeur et un passage rapide à l'échelle industrielle pour permettre une baisse significative des coûts de production.Depuis l'annonce de la Stratégie nationale pour le développement de l'hydrogène décarboné, en septembre dernier, des actions ont déjà été engagées :le lancement, le 14 octobre 2020, des deux Appels à Projets « Briques technologiques et démonstrateurs » et « Ecosystèmes territoriaux », dotés respectivement de 350 et 275 millions d'euros mobilisant le Programme Investissements d'Avenir ;l'installation d'un Programme Prioritaire de Recherche (PPR) « applications de l'hydrogène » mobilisant également les moyens du Programme des Investissements d'Avenir pour soutenir la recherche en amont et préparer la future génération des technologies de l'hydrogène ; ce programme sera piloté scientifiquement par le CEA et le CNRS ;au niveau européen, la signature conjointe par 23 Etats-membres, le 17 décembre 2020, d'un manifeste pour le développement d'une chaîne de valeur de l'hydrogène. Il s'agit du point de départ d'un nouveau Projet important d'intérêt européen commun (PIIEC) qui sera mis en œuvre sur l'année 2021.Pour assurer une mise en œuvre efficace de la Stratégie nationale pour le développement de l'hydrogène décarboné, Barbara Pompili, Bruno Le Maire, Frédérique Vidal et Agnès Pannier-Runacher ont décidé la création du Conseil national de l'hydrogène.Cette instance, dont la composition a été proposée aux Ministres par Alexandre Saubot, vice-président du Conseil national de l'industrie, aura pour rôle de structurer les échanges entre l'Etat et les parties prenantes de la mise en œuvre de la stratégie, en particulier les filières industrielles, et de mesurer le bon déroulement des actions prévues pour identifier, le cas échéant, les éventuels freins. Elle contribuera ainsi au développement d'une filière française compétitive de l'hydrogène décarboné, favorisera l'émergence de projets collectifs visant à la structuration d'une chaîne de valeur complète sur notre territoire ou dans le cadre de coopérations européennes.La composition de ce conseil, qui se réunira dans le cadre du Conseil national de l'industrie et associera également Régions de France, est la suivante : Philippe Boucly, président de France Hydrogène ;Laurent Carme, directeur général de McPhy ;Frédéric Chalmin, directeur général de KemOne, représentant le Comité Stratégique de Filière Chimie & Matériaux ;Philippe Darmayan, président d'ArcelorMittal France, représentant le Comité Stratégique de Filière Mines et Métallurgie ;Jean-Brice Dumont, directeur exécutif de l'ingénierie et membre du comité exécutif d'Airbus, représentant le Comité Stratégique de Filière Aéronautique ;Gabrielle Gauthey, directrice générale du Carbon Neutrality Business de Total ;Hervé Guillou, président du Comité Stratégique de Filière Industriels de la Mer ;François Jacq, administrateur Général du CEA ;Patrick Koller, directeur Général de Faurecia, représentant le Comité Stratégique de Filière Automobile ;Jean-Bernard Lévy, président-directeur général d'EDF ;Catherine MacGregor, directrice générale d'Engie ;Benoît Potier, président-directeur général d'Air Liquide et co-président du Conseil mondial de l'hydrogène ;Henri Poupart-Lafarge, président-directeur général d'Alstom et représentant le Comité Stratégique de Filière Ferroviaire ;Alexandre Saubot, président de France Industrie ;Guy Sidos, président-directeur général de Vicat et représentant le Comité Stratégique de Filière Construction ;Pierre Verzat, président de Syntec ingénierie.La coordination des industriels membres du Conseil national de l'hydrogène sera assurée via une co-présidence entre Patrick Koller et Benoit Potier. Le secrétariat du conseil sera assuré par le coordinateur interministériel qui sera prochainement nommé, en lien avec les délégués permanents du comité stratégique de filière Nouveaux systèmes énergétiques et de France Hydrogène.La première réunion du Conseil national de l'hydrogène se tiendra dans le courant du mois de janvier. Elle permettra notamment de faire un premier bilan de la mise en œuvre de la Stratégie nationale pour le développement de l'hydrogène décarboné et de faire un point d'étape sur la construction et le calendrier du PIIEC.Réaction de Philippe Boucly, président de France Hydrogène« Une étape importante dans la mise en œuvre de la stratégie française »L'État a annoncé aujourd'hui la mise en place et la composition du Conseil National de l'Hydrogène. Une étape importante que je salue car elle installe l'hydrogène en tant qu'industrie stratégique en France. Elle illustre la volonté du gouvernement de maintenir un dialogue soutenu et de proximité avec les industriels afin de réussir la mise en œuvre d'une stratégie nationale ambitieuse. Le Conseil National de l'Hydrogène qui réunit de grands industriels représentant plusieurs filières industrielles, aura notamment pour mission d'évaluer le bon déroulement des actions prévues pour identifier, le cas échéant, les éventuels freins ou les nouvelles actions à mettre en place. L'objectif est clair et partagé entre l'État et les industriels : réussir à développer une filière française compétitive de l'hydrogène décarboné d'ici 10 ans. Au-delà de l'enjeu climatique, il nous faut également gagner la bataille de la réindustrialisation. Cela passe nécessairement aussi par la structuration d'une chaine de valeur complète sur notre territoire. Je suis sûr qu'au travers de coopérations, les locomotives que sont les grands groupes, alliées aux PME-PMI et start-up innovantes sauront trouver le chemin et les moyens pour développer des projets d'envergure et changer d'échelle. Nous sommes tous alignés sur l'objectif à atteindre. La tâche est grande et les objectifs ambitieux. Nous avons les moyens d'y parvenir et les forces réunies au sein du Conseil National de l'Hydrogène vont en permettre une utilisation des plus efficientes.Philippe Boucly, Président de France Hydrogène
Il y a 4 ans et 143 jours

MaPrimeRénov’ évolue et s'ouvre aux propriétaires occupants et syndics de copropriétés

Une aide accessible à tous, qui s'adapte à la situation de chacun et qui favorise les rénovations ambitieusesMaPrimeRénov' est destinée à encourager les ménages à réaliser des travaux de rénovation énergétique de leur logement. Le montant de l'aide est calculé en fonction des revenus des bénéficiaires, selon quatre catégories de revenus, et des gains énergétiques permis par les travaux.Grâce à France Relance, MaPrimeRénov' devient la principale aide de l'État à la rénovation énergétique. Elle est désormais ouverte à tous les propriétaires, quels que soient leurs revenus, qu'ils soient occupants ou bailleurs, ainsi qu'à tous les copropriétaires. Elle a pour objectif de financer la rénovation de 400 à 500.000 logements par an et bénéficie pour cela d'une enveloppe budgétaire supplémentaire de 2 milliards d'euros pour 2021 et 2022.Tous les propriétaires occupants et les copropriétaires peuvent désormais déposer leur demandeÀ compter du lundi 11 janvier, les propriétaires occupants nouvellement éligibles (ménages intermédiaires et supérieurs), ainsi que tous syndicats de copropriétaires, peuvent déposer leur dossier de demande d'aide sur maprimerenov.gouv.fr.Les propriétaires bailleurs pourront le faire à partir de juillet 2021.« MaPrimeRénov' a connu un grand succès en 2020 avec plus de 190.000 demandes d'aide déposées. Cette année, elle devient une aide encore plus simple et plus juste et donc plus efficace. A partir d'aujourd'hui, l'ensemble des propriétaires, bailleurs, occupants et copropriétaires peuvent bénéficier, quel que soit leur niveau de ressources, du soutien de l'Etat pour engager des travaux de rénovation écologique. C'est un grand pas en avant pour réduire les émissions de gaz à effet de serre, mais aussi améliorer le pouvoir d'achat et la qualité de vie au quotidien de millions de Françaises et de Français. Il s'agit là d'un engagement concret de l'État pour soutenir nos concitoyens dans cette indispensable transformation. »Barbara Pompili, Ministre de la Transition écologique« L'ouverture de MaPrimeRénov' à l'ensemble des Français est essentielle pour massifier la rénovation énergétique. Elle marque l'engagement sans précédent du gouvernement en faveur de la transition énergétique. Dans le cadre de France Relance, cette prime est essentielle pour aider les Français à améliorer le confort de leur logement, réduire leur facture énergétique ainsi que pour soutenir l'activité économique des artisans du bâtiment.»Emmanuelle Wargon, Ministre déléguée au logement« Il y a une forte attente de nos concitoyens pour réussir la massification de la rénovation des logements. L'éradication des passoires thermiques et la promotion des rénovations globales doit être une priorité : c'est le sens de l'engagement de l'Anah au quotidien. Cette nouvelle étape de MaPrimeRénov' est une excellente nouvelle pour encourager les Français à s'engager dans la rénovation énergétique de leur logement, en leur apportant une aide financière et un accompagnement simplifié. L'Anah sera au rendez-vous.»Thierry Repentin, Président de l'Anah
Il y a 4 ans et 143 jours

Scalian développe Simul'Aides pour l'Ademe, un simulateur d'aides pour les travaux de rénovation

Mandatée par l'ADEME, SCALIAN, entreprise française spécialiste de la transformation, dans les milieux de haute complexité, réalise l'application Simul'Aides. Déployée sur le site gouvernemental FAIRE, Simul'Aides permet à tous les particuliers de réaliser une estimation des aides financières dont ils peuvent bénéficier lors de travaux de rénovation. Le Ministère de la Transition Écologique contribue activement à la définition des évolutions de Simul'Aides en l'utilisant comme un des principaux outils en relais du dispositif d'accompagnement des ménages.Simul'Aides, l'outil d'estimation d'aides lors de travaux de rénovationEn 2015, l'ADEME (l'Agence de la transition écologique) lance un appel d'offres pour la création d'une application permettant d'estimer les aides auxquelles les particuliers peuvent prétendre lors de travaux de rénovation. L'ADEME souhaite pouvoir disposer d'un outil facilement paramétrable et évolutif qui permette de prendre en compte la législation actuelle et future, notamment les règles d'éligibilité et de cumul d'aides.« Simul'Aides est un projet complexe : l'application doit prendre en compte de nombreux paramètres, en assurant à la fois une maintenance et des mises à jour très régulières. En effet, les estimations d'aides pour les ayants droit évoluent très rapidement. Le moteur que nous avons conçu devait donc répondre à ce besoin d'évolutions permanentes mais aussi à la multiplicité des aides : catégories de travaux et origines des aides (nationales, régionales, départementales, …). », précise Gatien Mellion, chef de projet chez SCALIAN.Spécialisée dans les projets numériques d'envergure, SCALIAN remporte l'appel d'offres et commence alors à travailler sur le projet, baptisé Simul'Aides.Un projet régional déployé au niveau nationalInitialement créée pour la seule région Haute-Normandie, Simul'Aides a tant convaincu qu'elle a par la suite été déployée dans d'autres régions jusqu'à couvrir tout le territoire, y compris l'Outre-mer.C'est en 2020, sous l'impulsion d'Emmanuelle Wargon, Ministre déléguée auprès de la Ministre de la Transition écologique, chargée du Logement, qu'il a été décidé de déployer Simul'Aides sur le site gouvernemental Faire.fr afin de permettre à l'ensemble des citoyens de connaitre les aides auxquelles ils ont droit en cas de travaux de rénovation.« C'est tout un travail de refonte du site et d'ergonomie qui a été mené à l'automne par les équipes de SCALIAN. Créée en 2015 pour être utilisée à un niveau régional, l'application doit désormais supporter un afflux de connexions 20 fois plus important cette année et répondre à des attentes de design plus moderne. Ce projet nous donc a mis face à un véritable défi technique et ce, avec un calendrier très serré ! Un vrai challenge remporté grâce à l'organisation des équipes de SCALIAN en collaboration avec celles de l'ADEME et à leur fort investissement vis-à-vis de cette application dont la visibilité a été démultipliée. », complète Eric Foquet, Directeur de projet chez SCALIAN.Depuis le début de l'année 2020, 1 million de simulations ont été effectuées sur l'application. Plus de la moitié d'entre-elles a été effectuée à partir d'octobre 2020, avec la mise en place de la nouvelle aide MaPrimeRénov, ayant entrainé une très forte affluence sur le site.
Il y a 4 ans et 143 jours

SPIE France met l'innovation à l'honneur

Qu'il s'agisse de générer de nouvelles idées, d'améliorer les processus, d'enrichir les offres, de simplifier les modes opératoires ou de contribuer à une meilleure qualité de vie au travail, partout au sein de SPIE France, des idées se connectent et des talents se reconnaissent. L'innovation fait partie du quotidien des équipes. Cet état d'esprit fédère tous les collaborateurs, ceux des chantiers comme ceux des bureaux. Pour valoriser leurs initiatives et renforcer cette culture entrepreneuriale, SPIE France a lancé la première édition du concours Challenge Innovation & Bonnes pratiques en 2020. Sur les 60 expérimentations présentées par des collaborateurs, 28 ont été retenues pour concourir au Challenge SPIE France.9 ont été primées à l'issue d'un processus de sélection qui intégrait le vote des collaborateurs sur la plateforme d'innovation Sioux, ainsi que celui d'un jury multi-filiales composé des différentes directions et de la filière « Innovation » de SPIE France.Prix Bonne Pratique - Projet BAES (Blocs Autonomes d'Éclairage de Sécurité). Alain Herbin et Bruno Agostini de SPIE Nucléaire ont été récompensés pour une idée astucieuse et économique de maintenance des blocs autonomes d'éclairage de sécurité en environnement nucléaire amianté, procédé mis en œuvre auprès de l'un des clients de la filiale et déjà dupliqué sur d'autres applications.Prix « copier c'est gagner » - Projet RPA. Sébastien Bouillon et Julie Azzola, de la division Industrie de SPIE Industrie & Tertiaire, sont venus en aide aux opérationnels de la maintenance dont le quotidien est parfois miné par la paperasserie et les rapports, et ont permis de supprimer les multiples saisies manuelles entre les GMAO[1] des contrats et les systèmes d'information des clients.Prix de la transformation digitale - Projet Hub Digital. Daniel Beaubouchez, Jean Pierre Viandaz et Vincent Dubearnes se sont distingués pour le projet qui permet de digitaliser formulaires et process et de fluidifier les échanges. Cette innovation bénéficie à l'ensemble des collaborateurs de SPIE CityNetworks et permet de mieux exploiter les données, au service de la sécurité des collaborateurs, des clients et de l'organisation globale. Prix de l'innovation pour la sécurité des personnes - Projet Sock Ball. Jean-Yves Saint-Dizier, Géraldine Durieux, et Gilles Frémiot, de SPIE CityNetworks, ont développé un système inédit pour la sécurité des travaux en hauteur. Prix de la confiance numérique – Projet ValuOty. Carole Bonnafous, Karine Engrand, Pascal Castagné et Laurent Maille, de SPIE ICS ont été primés pour ValuOty, une offre de services autour du data management et de la data science qui permet d'exploiter et de sécuriser les données pour en partager la valeur avec les métiers. ValuOty apporte aux clients des services industrialisés qui répondent aux enjeux de qualité de vie au travail, d'efficacité énergétique et de réduction des coûts de maintenance dans la ville, l'industrie et le bâtiment intelligent.Prix du collaborateur augmenté - Projet BIM et réalité mixte. Anna Truong de la division Tertiaire de SPIE Industrie & Tertiaire, a remporté le prix pour le projet qui vise à exporter les maquettes BIM des bureaux d'études, afin qu'elles servent mieux les équipes de chantier grâce à la réalité mixte. La démarche a été testée en 2020 sur plusieurs réalisations dans l'industrie pharmaceutique. Prix de l'optimisation des procédés du terrain - Projet Aqua. Guillaume Femenia de la division Tertiaire de SPIE Industrie & Tertiaire, est le lauréat pour sa solution dans le traitement des réseaux hydrauliques. Intégralement conçue en interne, cette solution économique et sécurisée a été évaluée, testée et approuvée lors des travaux réalisés sur des plateaux de bureaux de grande envergure.Prix du service prédictif - Projet maintenance prédictive industrielle. Jérôme Morisson et Alain Lagreze se sont distingués pour leur plateforme dédiée à l'Industrie 4.0. Cette plateforme combine procédés industriels, expertises et data, et a déjà fait ses preuves dans la maintenance prédictive de compresseurs à gaz.Prix de l'expérience client réinventée - Projet Green@work. Imane Benchenaa, Eric Lefèvre et Daniel Berger ont été primés pour leur prototype qui crée une passerelle entre les émotions et les données techniques, afin de piloter la qualité de vie au travail. Une innovation doublement récompensée puisqu'elle a également été distinguée lors de l'Innovation Day 2019, et qui vient enrichir la solution digitale SMART FM360°[2].[1]Gestion de maintenance assistée par ordinateur[2]Voir le communiqué de presse
Il y a 4 ans et 143 jours

Best of 2020 de Bouygues Construction

Il y a 4 ans et 143 jours

BioZone, la solution la plus puissante pour purifier l'air du SARS-CoV-2

Ooria, distributeur exclusif pour la France des dispositifs BioZone de purification de l'air, se réjouit de la confirmation de l'efficacité de ces solutions contre le SARS-CoV-2. Ooria commercialise à titre exclusif depuis 15 ans, les dispositifs BioZone pour la France, ainsi que pour la Suisse, le Benelux et le Maghreb.Ces dispositifs permettent de purifier l'air sans utilisation de produits chimiques. Ils utilisent une technologie rassemblant 5 mécanismes différents et indépendants de purification réunis en une seule technologie développée par la NASA et brevetée. Contrairement à de nombreuses autres technologies présentes sur le marché, la technologie BioZone ne se résume pas à l'utilisation isolée des lampes UV, des ions ou de l'ozone. C'est la combinaison mesurée de cinq mécanismes qui en fait la meilleure technologie qui soit pour la décontamination de l'air et des surfaces en continu et en présence humaine (voir encadré).Les tests ont été réalisés par BCS Laboratories, un laboratoire de Floride (États-Unis) certifié ISO/IEC 17025, accrédité par l'US Centers for Disease Control, l'US Environmental Protection Agency, l'US Department of Agriculture et le Florida Department of Health. Les tests ont été conçus pour modéliser le temps d'exposition par rapport à l'inactivation du virus SRAS-CoV-2 dans le flux d'air en mouvement dans les systèmes de chauffage, ventilation, climatisation (CVC). Les résultats de ces tests publiés le 10 décembre 2020 montrent que les dispositifs BioZone permettent d'inactiver les virus, dont le SARS-CoV-2, en moins d'une seconde.« L'annonce de l'efficacité de la technologie BioZone contre le Sars-CoV-2 est une excellente nouvelle dans le contexte de la crise de la Covid-19. Ooria et ses équipes sont fiers d'apporter une solution majeure pour lutter contre l'épidémie en France, en Suisse, au Benelux et au Maghreb et distribuant de manière exclusive les dispositifs issus de la technologie BioZone. »Philippe Simon, Président d'OoriaZoom sur la technologie BioZoneÀ l'intérieur de l'appareil, l'oxydation photocatalytique décompose les Composés Organiques Volatils (COV) tels que le méthane ou le benzène et les lampes UV-C brevetées de BioZone exercent leur pouvoir germicide en éliminant les bactéries, moisissures, micro-organismes et virus.À l'extérieur de l'appareil, BioZone utilise un processus photochimique pour produire du PhotoPlasma (plasma froid d'oxygène) qui contient des molécules réactives, des ions, des électrons et des radicaux qui détruisent et décomposent activement les structures biologiques et chimiques des contaminants atmosphériques, y compris les virus.Ce PhotoPlasma contient :un oxygène très réactif et énergisé qui désinfecte l'air ;un taux maîtrisé d'ozone (conforme aux normes d'exposition européennes et mondiales) qui élimine les bactéries, moisissures, micro-organismes et les virus ;des ions négatifs qui augmentent l'efficacité du processus en supprimant les impuretés et les poussières en suspension dans l'air.Ce PhotoPlasma a été testé et vérifié pour être extrêmement puissant contre les virus aéroportés et déposés sur les surfaces.La gamme BioZone propose deux types de solutions. Elle s'adapte à des problématiques ciblées de purification d'air dans certains espaces comme des bureaux, des vestiaires, des sanitaires, au travers de la gamme EASY avec des appareils autonomes, prêts à l'emploi à fixer ou à poser. Elle se décline également pour des problématiques plus techniques aux applications industrielles et commerciales, grâce à la gamme TECHNIC implantée directement au cœur des systèmes CVC ou réseaux de centrales de traitement de l'air (CTA), permettant ainsi d'assurer une destruction des virus à 100% à l'intérieur des bâtiments.
Il y a 4 ans et 143 jours

Le groupe Oknoplast décroche le prix du plus grand exportateur Polonais vers la France

L'objectif du concours est de distinguer les leaders de l'exportation polonaise vers la France et ainsi d'attirer l'attention des secteurs économiques français sur la qualité et la compétitivité de l'offre polonaise. Les entreprises ont été récompensées dans trois catégories : investisseur polonais en France, investisseur français en Pologne et premier exportateur vers la France. Le prix du plus grand Exportateur vers la France a été décerné à la société OKNOPLAST, qui n’avait obtenu lors des éditions précédentes du concours que les félicitations du jury. OKNOPLAST est l’un des principaux constructeurs de fenêtres et de portes en PVC en Europe avec des points de vente dans 13 pays. L’offre du groupe comprend des fenêtres, des portes-fenêtres, des baies-coulissantes et des portes extérieures en PVC et en aluminium, des volets roulants et une large gamme d’accessoires. Elle est l’une des rares entreprises qui propose ses propres solutions innovantes. Le prix a été remis à Monsieur Romain Somet, Directeur commercial du groupe OKNOPLAST sur le marché français.« L’obtention de ce prix dans la catégorie du plus grand exportateur vers la France nous rend très fiers. Nous sommes reconnaissants de voir l’appréciation qui est faite de notre travail et de la confiance des clients français envers nos produits. Nous nous sommes fait une place sur le marché français au fil de longues années de travail et d’investissements en conservant la qualité au cœur de nos préoccupations. Nous avons également su construire un réseau de distribution et une identité de marque qui gagne chaque jour un peu plus en notoriété. Au vu de l'augmentation des ventes chaque année, cette stratégie est payante. » - déclare Mikołaj Placek, président du groupe OKNOPLAST.La France est l'un des principaux marchés où OKNOPLAST opère. Depuis 10 ans, l'entreprise investit constamment dans le développement de ce marché, tant en termes de produits et d'innovations technologiques que sur le volet du marketing. Au fil des années, OKNOPLAST a été, entre autres, le sponsor de l'Olympique Lyonnais et a réussi à se faire une place à la télévision avec des campagnes de publicité sur les principales chaînes de télévision françaises.
Il y a 4 ans et 143 jours

Les revenus du groupe Argan bondissent en 2020

L'an dernier, Argan a dégagé 142,4 millions d'euros de revenus, soit un bond de 42% par rapport à ceux de 2019, selon un communiqué.Ses revenus ont certes largement été gonflés par une très grosse acquisition, celle d'un portefeuille d'entrepôts auprès de Carrefour, mais le groupe a aussi poursuivi une activité soutenue en matière de construction d'entrepôts, ce qui lui permet de dépasser légèrement ses objectifs pour 2020. Il tablait sur 140 millions d'euros de revenus.Il présentera ses résultats financiers détaillés le 20 janvier.
Il y a 4 ans et 143 jours

Réhabilitation de logements sociaux : La résidence Bel Air s'anime d'enduits personnalisés

A Sannois (Val d'Oise), la résidence Bel Air a belle allure depuis la rénovation de ses façades. Propriété de CDC Habitat, filiale de la Caisse des Dépôts, elle abrite 143 logements répartis dans cinq immeubles construits en 1975. Le premier bailleur de France avait déjà modernisé les logements. « Il restait à améliorer les performances énergétiques des cinq bâtiments par l'isolation des façades », explique Thierry Brocheriou, responsable de groupe opérationnel à la Direction de la Maîtrise d'Ouvrage. L'objectif est d'atteindre un niveau de performance BBC Effinergie Rénovation, certification NF Habitat.Une consultation est lancée fin 2017 afin de conclure un marché de conception-réalisation pour ces travaux d'isolation thermique par l'extérieur.Respect de l'architecture d'origineParmi les trois groupements sélectionnés pour proposer une offre, c'est l'équipe constituée de l'Agence Olivier Cabanes Architecte (AOCA), de l'entreprise Demathieu Bard et du bureau d'études Sogeti qui est retenue. Un point fort de sa proposition est le respect de l'architecture d'origine. Les cinq bâtiments R+4, R+7 et R+9 sont animés par des arêtes en béton préfabriqué qui rythment les façades et affirment leur verticalité. Placés aux angles des bâtiments et entre les rangées de fenêtres, ces éléments verticaux présentent deux faces concaves qui les relient de part et d'autre au mur de façade.Comment apporter une isolation thermique par l'extérieur sur de tels reliefs sans dénaturer l'aspect des façades ? Olivier Cabanes trouve la solution avec la toute nouvelle offre proposée par Sto : des panneaux de polystyrène expansé cintrés à la demande. En fonction du rayon de courbure demandé, les plaques courbes sont produites à partir d'un bloc de polystyrène en enlevant la matière superflue. Ces surfaces courbes seront revêtues du même enduit que la façade tandis que la partie plate en saillie sera habillée d'aluminium. « Sa teinte changeante en fonction de l'ensoleillement, du blanc au doré, rappelle les jeux de lumière sur les émaux qui recouvraient à l'origine les allèges et les pignons aveugles des immeubles », souligne l'architecte.Effet déperlantRompu aux opérations de réhabilitation de logements sociaux, Olivier Cabanes se dit souvent insatisfait des enduits appliqués dans le cadre de l'isolation thermique par l'extérieur des bâtiments : « Ils s'encrassent en quelques années ». Il choisit donc pour cette opération un produit qui promet d'être plus durable : l'enduit StoLotusan K. Ce revêtement de façade à fonction autonettoyante reproduit la microstructure de la feuille de lotus qui présente une surface microstructurée, réduisant considérablement la surface de contact de l'eau. Les gouttes de pluie perlent sur la surface, entraînant les salissures avec elles.Sur le chantier de Sannois, l'enduit StoLotusan K est appliqué en finition sur un système d'isolation thermique par l'extérieur StoTherm Classic. Après quelques reprises de maçonnerie, les panneaux isolants de polystyrène expansé sont collés sur le support en béton puis fixés au moyen de chevilles. Un enduit de marouflage (StoArmat Classic plus) est appliqué sur l'isolant et un treillis d'armature en fibre de verre est noyé dans son épaisseur. Enfin, l'enduit de finition grésé StoLotusan K vient recouvrir le tout.Place à la créativitéUne autre proposition de l'équipe AOCA-Demathieu Bard-Sogeti a séduit le maître d'ouvrage : animer quatre murs aveugles grâce à des éléments d'enduit préfabriqués. Encore une innovation Sto ! Le concept Sto-Ecoshapes consiste à coller ces éléments en façade sur un système d'ITE Sto ou sur une maçonnerie verticale. L'architecte détermine le format, la couleur et la texture des éléments d'enduit. Il réalise ainsi son motif unique et crée son plan de calepinage en toute liberté. Il peut combiner les parements de façade avec de l'enduit traditionnel et jouer avec des joints plus ou moins contrastés. Bref, le concept se prête à des compositions de façades très originales, pour un coût maîtrisé.Olivier Cabanes propose de réaliser quatre motifs différents qui apportent une identité à chaque immeuble et associe le maître d'ouvrage ainsi que la Mairie de Sannois au choix des motifs et des teintes. Deux des motifs soulignent la verticalité des immeubles en assemblant de longues plaquettes rectangulaires de trois teintes différentes. Un calepinage plus cinétique reproduit des cubes en associant des losanges de trois teintes et trois textures différentes. Enfin, un quatrième mur est habillé de chevrons en trois teintes.Mise en œuvre soigneuse« Cette proposition nous a séduits, explose Thierry Brocheriou, car elle permet une création originale de l'architecte, tout en étant assez économique. Mais elle nécessite d'être mise en œuvre par une entreprise très soigneuse. »Consulté par l'entreprise Demathieu Bard qui recherchait un sous-traitant pour réaliser l'ensemble des travaux de façade, Sto a proposé l'entreprise PMR (Plaquette Maçonnerie Ravalement) qui a fait la preuve, depuis près d'une quinzaine d'années, de sa compétence dans la pose de plaquettes. Le fondateur et gérant de cette société de 38 personnes, Murat Delikaya, et le conducteur de travaux, Firat Doner, apprécient l'assistance d'un technicien d'application envoyé par Sto pour les premiers jours du chantier de pose du système Sto-Ecoshapes.« La pose des éléments a été réalisée par trois compagnons, décrit le conducteur de travaux. La colle et le mortier de jointoiement sont un seul et même produit teinté dans la masse. Celui-ci est étalé à la taloche crantée sur le support (le mortier de marouflage de l'armature de l'ITE) puis les éléments préfabriqués sont posés dans le mortier frais et pressés à l'aide d'un rouleau. Les joints sont ensuite lissés à l'aide d'un pinceau légèrement humide avant un deuxième passage au pinceau sec. »« Nous sommes fiers d'avoir réalisé la première application de produits Ecoshapes sur un chantier de taille importante en France, complète Murat Delikaya. Et nos compagnons ont trouvé cette technique agréable à travailler. »Fiche techniqueType de bâtiment : rénovation de logements sociauxLocalisation : rue des Maraîchers, 95118 SannoisSurface de façade traitée : 6.000 m²Maître d'ouvrage : CDC-HabitatGroupement conception-réalisation : Agence Olivier Cabanes Architecte AOCA, entreprise Demathieu Bard, BET SogetiEntreprise applicatrice : PMRDate du chantier : août 2019 – février 2020Solution utilisée : système d'isolation StoTherm Vario, enduit StoLotusan K, peinture StoColor Lotusan® et éléments d'enduit préfabriqués Sto-Ecoshapes l'échauffement. Ravalement de classe D2
Il y a 4 ans et 145 jours

Un bar mythique de la bossa nova à Rio victime du Covid

Mais cet établissement mythique fondé en 1953 a dû fermer ses portes en raison du Covid-19, les clients ayant délaissé ce quartier d'affaires où le télétravail a vidé la plupart des bureaux."Le centre de Rio ressemble à une ville fantôme. Normalement, on sert 80 à 100 couverts par jour. Le jour où on a fermé (le 16 novembre), il n'y a eu qu'un seul client", déplore la propriétaire, Rita Nava, veuve d'Antonio Vazquez, l'un des associés espagnols qui géraient ce bar depuis quasiment sa fondation.Très fréquenté par les intellectuels, les artistes et les hommes politiques dans les années 50 du siècle passé, il conserve le carrelage, les tables de marbre et les chaises rouges en cuir de l'époque, qui lui donnent un air de troquet parisien figé dans le temps.Le poète Vinicius de Moraes était un client assidu depuis la période où il était diplomate: à peine arrivé à l'aéroport Santos Dumont tout proche, il s'y rendait directement et s'installait à une table qui lui était réservée, dans un coin.C'est là qu'il a été présenté en 1956 à un jeune pianiste, "Tom" Jobim, pour mettre en musique son oeuvre "Orfeu da Conceiçao", raconte Mme Nava, qui a décoré les lieux avec de nombreuses photos de l'époque.Cette collaboration a donné lieu à des tubes mondiaux de la bossa nova, tels "la fille d'Ipanema".Urbanisme obsolèteCapitale du Brésil jusqu'en 1960, année de l'inauguration de Brasilia, Rio abrite dans son centre-ville quantité d'édifices d'une grande valeur historique et architecturale, pour la plupart délabrés aujourd'hui.Mais cela fait plusieurs décennies que le centre n'est fréquenté que pendant la journée, par les employés des bureaux, notamment des entreprises publiques comme Petrobras, avant de se vider presque totalement le soir ou le week-end. Alors il devient dangereux.Avec la pandémie de coronavirus, le centre est déserté et on a l'impression que tous les jours sont fériés.Les panneaux "à louer" fleurissent devant les commerces fermés dans toutes les rues, que seuls de nombreux sans-abris, des drogués et des vendeurs ambulants continuent de fréquenter."C'était déjà un problème avant, un problème que la pandémie n'a fait qu'aggraver", explique à l'AFP Claudio Hermolin, président de l'Association de dirigeants du Marché immobilier (Ademi).Un rapport de cette association montre que le centre de Rio comptait déjà 8.000 biens immobiliers vides, abandonnés ou très peu utilisés. Avec le coronavirus, ce chiffre a presque doublé (14.000).Pour M. Hermolin, le carcan administratif qui complique les démarches pour transformer des bureaux en logements est le principal obstacle à tout projet de repeuplement du centre."Les villes qui ont su se moderniser possèdent plusieurs centres, tous composés d'immeubles résidentiels, de bureaux, de commerces, de pôles de divertissement, de santé et d'éducation", estime ce spécialiste, qui juge le modèle d'urbanisme de Rio totalement obsolète.La mairie avait bien tenté de revitaliser le centre avec de grands travaux autour de la zone portuaire liés aux jeux Olympiques de Rio-2016, mais seules quelques grandes entreprises, comme l'Oreal, s'y étaient installées."L'économie s'est arrêtée"Le maire de l'époque, Eduardo Paes (2008-2016), élu pour un troisième mandat fin novembre, a promis d'attirer des investisseurs privés pour sauver "l'âme de la ville".Marchand de journaux sur l'emblématique place Cinelandia depuis 20 ans, Derisvaldo Pereira a dû fermer son kiosque pendant trois mois. Quand il a rouvert, son chiffre d'affaires a baissé de 60%."Ici, l'économie s'est arrêtée. On reçoit des aides du gouvernement, mais c'est trop peu", soupire-t-il.Selon l'Association brésilienne des Bars et Restaurants, 30% des établissements du pays ont fermé depuis l'arrivée du virus, qui y a fait près de 180.000 morts.Quand le bar Casa Villarino a annoncé qu'il baisserait le rideau "pour une durée indéterminée", des clients et sympathisants du monde entier ont envoyé des messages de soutien sur les réseaux sociaux.À bientôt 80 ans, Rita Nava espère pouvoir rouvrir un jour, et voir le centre de Rio "revenir à la normale" quand la population sera vaccinée en masse contre le Covid-19.
Il y a 4 ans et 146 jours

Enquête après l'octroi douteux de 30 millions d'euros de prêts immobiliers par une agence bancaire de Strasbourg

L'enquête préliminaire a été ouverte à la suite de "nombreux crédits (...) accordés par la Caisse locale du Crédit Mutuel Strasbourg-Gutenberg à plusieurs dizaines de sociétés civiles créées par des membres de (...) familles d'origine étrangère, en vue de l'acquisition de biens immobiliers", indique dans un communiqué la juridiction interrégionale spécialisée (Jirs) de Nancy, confirmant des informations du quotidien régional Les Dernières Nouvelles d'Alsace (DNA).L'enquête, confiée à la section de recherches de la gendarmerie de Strasbourg, devra notamment déterminer "si de faux documents ou des manoeuvres frauduleuses ont été utilisées pour permettre l'octroi de ces prêts par l'établissement bancaire", ajoute la Jirs.Le Crédit Mutuel "a déposé plainte contre X au mois de novembre", a indiqué à l'AFP un porte-parole de l'établissement mutualiste. Le groupe bancaire "ne fait pas d'autres commentaires en raison de l'enquête en cours".C'est lors d'une enquête interne à la banque que "des flux anormaux" ont été décelés, a indiqué à l'AFP une source proche du dossier.Selon cette même source, les prêts litigieux octroyés par l'agence s'élèvent à 30 millions d'euros.L'enquête interne a notamment permis de déterminer que plusieurs individus qui avaient obtenu des crédits étaient en réalité liés par "une communauté d'intérêts", évoquant un possible "réseau de blanchiment d'argent", selon cette même source.L'agence strasbourgeoise mise en cause aurait ainsi "accordé 80 crédits sur la base de documents frauduleux via un intermédiaire strasbourgeois", écrivent les DNA, journal par ailleurs détenu par le Crédit Mutuel.Tous les clients qui ont obtenu ces prêts venaient de ce "même porteur d'affaire", sorte de courtier qui apportait les dossiers de demandes de prêt "clé en main" et qui "avait contractualisé avec la caisse" mise en cause, a confirmé la source proche du dossier.L'enquête interne a ainsi mis en évidence que des ressortissants roumains d'une même famille "installés en France (...) auraient utilisé des faux documents pour monter" des dossiers de crédit portant "sur des projets immobiliers, notamment en région parisienne", écrivent encore les DNA, selon lesquelles des "poursuites disciplinaires" ont été diligentées "à l'encontre du directeur et des administrateurs de la caisse".La gouvernance de la caisse incriminée a depuis été entièrement "renouvelée", selon la source proche du dossier.
Il y a 4 ans et 146 jours

La consommation des ménages en France dégringole en novembre

Ces dépenses ont dégringolé de 18,9% en novembre sur un mois, après une progression de 3,9% (chiffre révisé) en octobre et elles sont restées inférieures de 17,1% à leur niveau de novembre 2019, a détaillé l'Institut national de la statistique.En avril, précédent mois complet de confinement, la consommation des ménages avait reculé de près de 33%.En novembre, la baisse des dépenses des ménages a principalement concerné les achats de biens fabriqués (-30,1%) et les dépenses d'énergie (-19,2%), du fait de la fermeture des commerces dits non essentiels et de la limitation des déplacements.Les dépenses en habillement-textile ont notamment chuté de plus de moitié (-53%).La consommation alimentaire a également reculé de 5,8%. Tout comme celle du tabac, son prix ayant augmenté au 1er novembre, souligne l'Insee.
Il y a 4 ans et 146 jours

Après un effondrement en 2020, le marché des bureaux s'attend à une année 2021 très difficile

"Pour 2021, on ne va pas s'attendre à un retour à la normale", a résumé à l'AFP Virginie Houzé, du cabinet immobilier JLL, qui participe au bilan de référence sur le secteur, publié vendredi.Pour l'heure, le marché des bureaux s'est effondré en 2020, selon ce bilan dit Immostat, qui se concentre sur la région parisienne, soit le très gros du secteur français.La quantité de bureaux loués y a chuté de près de moitié (-45%) à 1,32 million de mètres carrés. Résultat, le nombre de bureaux vacants a, lui, bondi de plus d'un tiers.Comme de nombreux secteurs économiques, l'immobilier a subi les effets de la crise, l'activité ayant notamment été bloquée au printemps par un strict confinement décrété contre la propagation du virus.Reste que la déprime des bureaux contraste avec la résistance du marché des logements, du moins anciens. Pour ces derniers, les visites avaient fortement rebondi à l'été, même s'il reste à évaluer pleinement les conséquences du reconfinement plus relâché de la fin 2020.Par rapport aux logements, les bureaux font généralement l'objet d'opérations plus lourdes et leur attrait reflète plus directement la situation économique."C'est un contexte qui est incertain et pousse les entreprises à attendre de voir ce qui se passer", admet Mme Houzé, soulignant que la crise sanitaire est partie pour durer encore.Le Premier ministre, Jean Castex, évoque une sortie de crise d'ici à l'été, sur fond de critiques sur la lenteur de la vaccination en France et de la diffusion d'un variant beaucoup plus contagieux du virus, venu du Royaume-Uni.Pour les bureaux, "on peut espérer que l'activité se libère un peu en deuxième moitié d'année si les nouvelles sont positives", avance Mme Houzé.Seulement, le virus risque d'avoir des conséquences bien au-delà de cette prudence, finalement classique en période de crise économique avant que l'activité reprenne.Les confinements et, plus généralement, la situation sanitaire ont forcé les entreprises à faire travailler les employés à distance.Moins d'investissement"En France, on est un pays où, traditionnellement, on n'est pas grands supporters du télétravail, et le confinement du printemps a libéré les choses", observe Mme Houzé. "Ca aura probablement un impact à long terme."Une opération emblématique symbolise cette tendance. Pour son futur siège, commandé au promoteur Nexity, le géant de l'énergie Engie prévoyait un gigantesque ensemble de six bâtiments.Mais il a changé d'avis au dernier moment et les bâtiments ne seront que quatre. C'est, selon le groupe, la conséquence directe de la montée du télétravail: "ce redimensionnement est lié aux évolutions des modes de travail", a expliqué Engie en décembre à l'AFP.Il n'y a, certes, guère d'observateurs pour prédire une généralisation massive du travail à distance, qui se traduirait par un effondrement du marché des bureaux.Mais nombre d'entreprises pourraient généraliser un ou deux jours de télétravail par semaine et, donc, avoir besoin d'un peu moins d'espace.Face à ces incertitudes, le marché des bureaux n'a pas seulement subi une chute des locations l'an dernier. Il a aussi attiré beaucoup moins les investisseurs qui achètent ces espaces pour les louer ensuite."L'incertitude liée aux nouveaux modes de travail, ainsi que le manque de perspectives économiques ont conduit à un certain attentisme des investisseurs", remarque dans un communiqué Nicolas Verdillon, expert chez CBRE, autre contributeur au bilan.L'an dernier, 26,3 milliards d'euros ont été investis en immobilier d'entreprise - sur toute la France et non seulement la région parisienne -, soit un déclin de 36%."A noter (...) cette année, le recul des investisseurs étrangers et particulièrement les investisseurs asiatiques", souligne dans un communiqué la filiale immobilière de BNP Paribas, membre d'Immostat.
Il y a 4 ans et 146 jours

Baromètre du Crédit immobilier : « Quoiqu'il arrive, l'année 2021 sera portée par les projets de vie des Français ! »

Le deuxième semestre 2020, bien que marqué par la crise sanitaire, a quant à lui permis de finaliser les ventes (mises en suspens au mois de mars) et d'accélérer les process de digitalisation des flux. Malgré le maintien d'un certain dynamisme du marché du crédit immobilier sur l'ensemble de l'année, La Centrale de Financement constate une diminution de 20% du stock d'affaires nouvelles réalisées par l'ensemble de la filière (agents immobiliers ou acteurs du crédit immobilier), par rapport à 2019...Cette situation pourrait néanmoins être contrebalancée par un début d'année 2021 particulièrement favorable à l'emprunt des ménages : les conditions d'octroi de crédit s'assouplissent et les taux d'emprunt diminuent, notamment sur les prêts de longue durée (sur 20 et 25 ans) ! Grâce aux dernières mesures prises par le Haut Conseil de Stabilité Financière (HCSF), les Français peuvent désormais contracter un emprunt jusqu'à 27 ans maximum (25 ans auparavant, pour l'emprunt dans le neuf uniquement) et porter, que ce soit pour l'ancien et le neuf, leur taux d'endettement à 35%, contre 33% précédemment. Ils pourront également bénéficier d'une légère augmentation du taux d'usure[2] depuis le 1er janvier 2021, notamment sur les prêts contractés sur 10 à 20 ans.« Les nouvelles dispositions prises par le HCSF correspondent parfaitement aux demandes formulées, tout au long de l'année 2020, par la profession, dont La Centrale de Financement. Cumulées avec une légère augmentation du taux d'usure au mois de janvier, ces mesures nous permettent d'envisager un premier trimestre 2021 plus serein... Et grâce à la diminution globale des taux de crédit sur un an, les Français pourront emprunter jusqu'à 10% de plus que l'année précédente ! Cette conjoncture particulièrement favorable à l'emprunt ne doit toutefois pas masquer les difficultés rencontrées par un certain nombre de salariés qui ne seront probablement plus finançables au cours de l'année 2021, car travaillant dans des secteurs sinistrés par la crise : hôtellerie, spectacle, événementiel, industrie aéronautique etc. Nous ne pouvons pas non plus sous-estimer que, dans cette période angoissante, certains ménages céderont à la morosité ambiante et risqueront de différer voire d'annuler leurs projets d'acquisition immobilière... mais La Centrale de Financement reste confiante car, avec ou sans la crise, la majorité des Français continueront leurs projets de vie dont le pilier demeure l'acquisition immobilière... C'est notre travail, aujourd'hui, de rassurer et soutenir ces ménages français, dans leurs projets. »Sylvain Lefèvre, président de La Centrale de FinancementUne population structurellement génératrice de projets et porteuse d'espoir pour le secteurEn parallèle, et malgré la crise, 70 à 80% de l'économie française tourne toujours, notamment dans les secteurs les moins impactés par la situation sanitaire. Et, pour de nombreux Français, avec ou sans la crise, la vie continue presque comme avant (vie à deux, naissances, évolutions professionnelles, etc.) et les pousse indéniablement vers de nouveaux projets d'acquisition immobilière....« Au-delà de cette population structurellement génératrice de projets et porteuse d'espoir, il y a également une autre partie de la population qui vieillit et qui met, à un moment donné, son bien en vente pour rechercher un appartement en ville ou une place dans une maison de retraite. Il s'agit, là-aussi, d'une situation conjoncturelle, et sur laquelle la crise n'a pas véritablement de prise... Ces évolutions portent, quoiqu'il arrive, notre économie. La Centrale de Financement table donc sur toute cette clientèle-là ainsi que sur l'assouplissement des conditions d'octroi de crédit pour maintenir le dynamisme de l'activité tout au long de l'année... et ce d'autant plus que la demande reste toujours soutenue ! »Sylvain Lefèvre, président de La Centrale de FinancementL'emprunteur 2021 : quel profil ?Bien que les conditions d'accès au crédit se soient assouplies, l'accès à l'emprunt en 2021 requiert un certain nombre de critères, sur lesquels il sera difficile de faire l'impasse :Avoir un CDI, dont la période d'essai est terminéeAvoir un peu d'apport, environ 10%, ce que de nombreux ménages anticipent désormais dans leurs démarches, en ayant notamment recours au soutien financier de leurs ascendants (donations).« Nous parvenons, malgré tout, encore à assouplir le montant de l'apport demandé, notamment sur des projets portés par des ménages, qu'ils soient primo-accédants ou non, ayant un revenu supérieur à 50 000€ annuel, un endettement au-dessous de 33% et un prêt n'excédant pas 20 ans. »Sylvain Lefèvre, président de La Centrale de FinancementJanvier 2021 : des taux en baisse !Afin de soutenir la demande d'emprunt immobilier en ce début d'année 2021, les banques diminuent les taux de crédit sur l'ensemble des durées de prêt, notamment sur ceux de longue durée (20 et 25 ans). Ainsi, avec les taux annoncés en janvier 2021, un emprunteur contractant un prêt d'un montant de 180.000€ sur 25 ans à 1,33%, verra sa mensualité s'élever à 705.6 euros pour un coût total de crédit de 31.680 euros.Évolution des tauxLes taux immobiliers moyens de janvier 2021 par durée d'empruntLes conditions de taux généralement constatées sont en baisse de 0.04%, en moyenne, pour toutes les durées de prêt confondues. Dans le détail : pour les prêts sur 10 ans, les taux de crédit ont diminué de 0,03%, par rapport au mois précédent, de 0.01% sur 12 ans et de 0.04% sur 15 ans. Les diminutions de taux de crédit les plus significatives s'observent principalement pour les prêts contractés sur 7, 20 et 25 ans avec une baisse des taux de crédit généralement constatés de 0.06%, par rapport à décembre 2020.Les meilleurs taux immobiliers de janvier 2021 par durée d'empruntLes meilleurs taux obtenus sur le mois de janvier 2021 sont plus avantageux que ceux obtenus au mois de décembre 2020, pour les prêts contractés sur 7 à 12 ans, avec une baisse de 0.08% des taux obtenus, pour les prêts d'une durée de 7 ans, une diminution de 0.04% pour ceux sur 10 ans et de 0.01% sur 15 ans. Pour les prêts contractés sur 15 à 25 ans, les meilleurs taux obtenus en janvier 2021 restent, quant à eux, stables et identiques à ceux du mois précédent.Profil des emprunteurs ayant réalisé leur projet en décembre 2020[1] Source : Notaires de France[2] Fixé à la fin de chaque trimestre par la Banque de France, le taux d'usure protège l'emprunteur contre des taux supérieurs à ce taux plafond, dont le dépassement pourrait placer l'emprunteur dans une situation financière difficile. Depuis le début de l'année 2020, celui-ci a baissé à deux reprises et s'est rapproché des taux moyens pratiqués par les banques, générant ainsi un effet ciseau (avec l'augmentation des taux pendant la crise, l'écart entre le TAEG et le taux d'usure s'est réduit : il s'agit de l'effet ciseau). Dans ces conditions, les emprunteurs ont atteint plus rapidement le taux d'usure, entraînant ainsi le refus de leur prêt immobilier.
Il y a 4 ans et 146 jours

La pandémie accentue la désertification des centres-villes

Pourtant classée au patrimoine mondial de l'Unesco, notamment pour son architecture gothique de briques rouges, cette ville hanséatique d'Allemagne du nord-ouest de 220.000 âmes n'échappe pas au phénomène de désertification qui touche depuis des années de nombreux centres-villes en Europe. Et la pandémie de Covid-19 lui a donné un coup d'accélérateur.A Lübeck, mondialement connue pour son massepain et visitée par 18 millions de touristes en 2019, 20% de la surface dédiée aux commerces reste vide, faute de nouveaux repreneurs, une tendance en hausse.Au milieu de la principale allée commerçante, Olivia Kempke pointe du doigt une ancienne boutique de vêtements en faillite: "certains n'allaient déjà pas bien avant la crise sanitaire et la baisse de fréquentation actuelle les achève".A la tête de Lübeck Management, association promouvant le développement urbain local, elle fustige l'hypertrophie des grands centres commerciaux périphériques, "véritables aimants à consommateurs" et des baux commerciaux toujours plus élevés "prenant à la gorge les commerçants".Achats en ligneEn cause également, la croissance des achats en ligne: ils devraient augmenter d'un tiers en novembre-décembre par rapport à 2019, au détriment de nombreux commerçants ayant pignon sur rue, selon l'Association allemande du commerce (HDE).Elle craint la fermeture de 50.000 commerces dans le pays en raison du Covid-19.La fermeture partielle des magasins en novembre et décembre, liée au coronavirus, coûtera aux détaillants des centres-villes allemands jusqu'à 16,9 milliards d'euros, selon l'institut de conjoncture IW.Le nombre de passants a diminué de moitié dans les villes allemandes en décembre, ajoute-t-il.Des chiffres qui devraient empirer après la fermeture de tous les commerces non-essentiels décrétée mi-décembre pour un mois minimum.Le ministre de l'Économie, Peter Altmaier, avait estimé en novembre que faire ses courses chez les petits commerçants s'apparentait à "une tâche nationale, voire un acte patriotique", un message rapidement devenu caduque avec le durcissement des restrictions.En plus d'aides d'urgence, le gouvernement allemand planche sur l'instauration d'une taxe visant le commerce en ligne dont le montant serait reversé aux commerçants des centres urbains.Il a également débloqué 25 millions d'euros supplémentaires pour 2021 censés éviter l'hémorragie des centres-villes. Le HDE réclame lui un "fonds d'urgence urbain" d'environ 1,5 milliard d'euros annuel.Sinon "nous ne reconnaîtrons pas nos communes après la pandémie, nous devons prendre des contre-mesures", alerte le président du HDE Gerd Landsberg.L'aide gouvernementale d'urgence s'ajoute à un programme du ministère de la Construction créé en 2002 et doté annuellement de quelque 790 millions d'euros pour aider les villes dans leur réaménagement urbain. Depuis, 1.081 métropoles allemandes ont pu en bénéficier.Lieux de vieHanau, dans la Hesse, fut l'une des première. Après 7 ans de travaux, la ville a totalement été redessinée, son centre végétalisé et rendu plus accueillant pour les personnes à mobilité réduite.Sont également apparus un grand centre commercial avec magasins indépendants, restaurants, un cinéma et une nouvelle place.Un exemple de réussite, selon Frank Schwartze, professeur à l'Université technique de Lübeck et spécialiste en développement urbain pour qui ces fonds doivent permettre "aux centres-villes de s'adapter à de nouveaux usages" pour en faire "des lieux de vie" et plus seulement de consommation."L'ancien commerce de détail ne reviendra pas", lâche-t-il, promouvant à la place "les lieux de promenades et de sociabilisation" qui facilitent les "nouvelles formes de mobilité". Entendez par-là, moins d'espaces pour les voitures, plus pour les piétons.C'est justement la voie empruntée par Lübeck avec différentes expérimentations depuis un an: un jardin partagé en plein centre, un élargissement des trottoirs agrémentés de mobilier urbain, des expositions culturelles gratuites et des rues à circulation réduite."On remarque un retour des passants et une réduction de 60% du trafic automobile. Les citoyens ont gagné en qualité de vie", se félicite le maire social-démocrate Jan Lindenau.
Il y a 4 ans et 146 jours

Nouvelle gamme de pompes à chaleur Heiwa Pro Essentiel ZEN dédiée au petit tertiaire

Ces performances énergétiques sont dans la continuité des valeurs durables et responsables que défend la marque pour ses pompes à chaleur. Pour accompagner au mieux les professionnels dans leur quotidien, la gamme HEIWA PRO se compose de 3 solutions de chauffage et climatisation à hautes performances avec une fiabilité maximale et qui s’adaptent à toutes les configurations d’espaces.Une gamme entièrement modulable et facile à poser pour l’installateurPour une plus grande flexibilité, les 3 produits de la gamme sont entièrement modulables et compatibles avec une seule gamme de groupes extérieurs. HEIWA a engagé une véritable démarche de recherche et développement sur leur design pour les rendre extrêmement compacts et faciles à transporter pour les installateurs.Pour une plus grande facilité d’installation, la configuration des produits est adaptée aux grandes surfaces, avec une longueur de liaison entre l’unité extérieure et l’unité intérieure qui peut aller jusqu’à 75 m, une longueur idéale pour les petits commerces par exemple.Des pompes à chaleur adaptées aux spécificités du petit tertiaireAfin de répondre aux spécificités du petit tertiaire qui nécessitent des produits endurants et fiables, les solutions de la gamme HEIWA Pro Essentiel ZEN sont toutes équipées du compresseur le plus avancé de la gamme HEIWA. Elles proposent un excellent indice SEER jusqu’à 6,8 en mode froid et peuvent être utilisées sur une large plage de fonctionnement : entre -20° et +48° en mode froid et de -20° à +24° en mode chaud. Très modulable selon la configuration des bureaux ou des locaux commerciaux, la nouvelle gamme HEIWA PRO permet de connecter jusqu’à 4 unités intérieures de la même puissance à l’unité extérieure. Pour simplifier la gestion des locaux commerciaux ou des espaces de travail au quotidien, il est possible de relier l’ensemble des unités intérieures à une gestion technique du bâtiment centralisée type GTB (gestion technique des bâtiments) grâce à la passerelle Modbus en option.Grâce à un contrôleur central à écran tactile associé à la passerelle Modbus il est possible de contrôler entièrement jusqu’à 36 unités intérieures de la gamme Heiwa PRO. Les produits ont été pensés pour faciliter leur maintenance. Les gainables et les cassettes sont équipés d’une pompe de relevage pour faciliter l’évacuation des condensats et permettre plus de souplesse lors de l’installation. Sa hauteur de refoulement jusqu’à 1m assure une grande flexibilité de positionnement dans l’installation. Les codes erreurs s’affichent aussi directement sur l’écran de l’unité intérieure (ou sur la télécommande filaire) ce qui facilite les interventions des installateurs.Du confort pour les usagers des bureaux et des locaux commerciauxLa gamme HEIWA Pro offre de multiples options pour le confort des usagés, parfaitement adaptées aux espaces collectifs. Les produits HEIWA peuvent être 100% connectés pour faciliter leur usage. Autonomes, ils disposent d’un mode automatique qui génère la bascule entre le mode chaud et le mode froid selon la température de consigne (entre 16° et 30°). Les usagers ou les vendeurs, par exemple, n’ont donc plus à se soucier de régler la température intérieure pour le confort de leurs clients ou de leurs collaborateurs. Par ailleurs, grâce à la fonction « SetBack » l’administrateur peut définir une plage de température minimum et maximum ainsi que le mode souhaité (froid ou chaud). Si les usagers le souhaitent, ils peuvent aussi utiliser la fonction verrouillage sur un mode et une température unique. Pour gagner du temps, toute la programmation initialement installée est conservée dans le cas d’une coupure de courant grâce à la fonction redémarrage automatique. Pour plus de facilité dans le contrôle de l’installation, l’ensemble de la gamme peut être connecté au réseau wifi.Les solutions HEIWA sont très adaptées au rythme et à l’usage des locaux commerciaux ou des bureaux. Elles sont équipées d’un mode absence longue durée, idéal pour faire des économies d’énergies lors des périodes de congés ou de fermetures annuelles. Alors que nombreux espaces commerciaux sont dépourvus de fenêtre, et qu’elles peuvent parfois être inaccessibles dans les bureaux, il est peut être compliqué d’aérer. La fonctionnalité « Air Neuf » renouvelle l’air d’une pièce en cas de mauvaises odeurs ou d’un besoin de ventilation. Pour un maximum de confort à destination des clients ou des collaborateurs, la fonction « silence » permet aux systèmes HEIWA de se faire discrets.Le gainable Heiwa PRO Essentiel ZenLe système gainable permet de chauffer efficacement l’intérieur de son entreprise en toute discrétion et en préservant le design des espaces. De 5kW à 12,1kW, la nouvelle gamme gainable Heiwa PRO Essentiel Zen offre un large choix de puissances. Afin de pouvoir s’adapter parfaitement aux différents usages des locaux, la marque Heiwa a développé son propre Zoning sur la solution gainable. L’usager peut alors contrôler la température de manière indépendante dans chaque zone, et jusqu’à 6 zones, grâce à un thermostat radio ou filaire. Chaque composant du zoning HEIWA (plénum de soufflage, plénum de reprise, passerelle de communication et centrale de contrôle zoning) a été étudié pour s’adapter sur mesure aux différentes unités intérieures. L’ensemble du Zoning est entièrement pré- monté et la configuration est extrêmement simple.Le gainable HEIWA Essentiel Zen PRO peut se décliner en deux autres modèles. Le gainable Essentiel Zen 5 Kw SLIM est idéal pour les faux plafonds, les combles ou les encadrements réduits. Son design optimisé permet de réduire le niveau sonore et d’améliorer le rendement du système. Le gainable Essentiel Zen Haute Pression est quant à lui destiné aux espaces plus grands qui nécessitent plus de pression. Un kit d’accessoires d’isolation est inclus lors de l’achat d’un système gainable de la gamme Heiwa PRO quel que soit le modèle.La cassette Heiwa PRO Essentiel ZenLa gamme cassette Heiwa PRO Essentiel Zen permet de répondre aux principaux besoins des espaces commerciaux avec un design élégant et un confort maximal. Sa pose est un véritable gain de temps pour l’installateur grâce à son carton d’emballage conçu pour servir de gabarit. Les capots d’angles escamotables situés aux 4 coins de la façade, permettent d’ajuster facilement la hauteur de l’unité par les trappes d’accès, et ce, même après avoir installé la grille. Pour optimiser le confort des utilisateurs, l’orientation de chaque volet peut être pilotée indépendamment à l’aide de la télécommande filaire.Le plafonnier Heiwa PRO Essentiel ZenLa technologie et l’efficacité au service des gros volumes et des grands espaces du petit tertiaire. Les angles des volets du plafonnier Heiwa PRO Essentiel Zen permettent un balayage spécifique en mode froid comme en mode chaud et améliorent le confort de l’habitat.
Il y a 4 ans et 146 jours

JO-2024 : des opposants à la vente d'une partie d'un parc saisissent la justice

"Ces parcelles, affectées depuis des dizaines d'années aux loisirs et sports, fêtes, ces espaces verts et boisés avec leur biodiversité, leur faune et flore seront détruits et cédés par lots à des bétonneurs et promoteurs", ont dénoncé les requérants dans un communiqué.La section départementale du Mouvement national de lutte pour l'environnement (MNLE 93), le Collectif pour le Triangle de Gonesse et une dizaine d'usagers du parc ont annoncé avoir déposé le 28 décembre un recours en référé contre la décision du Conseil départemental de la Seine-Saint-Denis.La vente d'une partie de l'Aire des Vents, située sur la commune de Dugny, a été votée le 10 décembre, au profit de la société de livraison des ouvrages olympiques (Solideo) pour 6,9 millions d'euros.La zone, en partie bétonnée et qui accueille traditionnellement la Fête de l'Huma, doit se transformer en vue des Jeux olympiques. Le projet prévoit d'y construire le village des médias, qui sera ensuite transformé en écoquartier de 1.300 logements et commerces.Les opposants dénoncent une "artificialisation définitive" et "l'amputation" du parc, poumon vert de cet département très densément peuplé."On peut faire autrement. On n'est pas du tout opposés à ce qu'un 'cluster des médias' en provisoire soit construit comme au moment de la COP21", a estimé Jean-Marie Baty, président du MNLE 93.Le référé-suspension devra être étudié par la cour administrative d'appel de Paris, compétente pour les contentieux liés aux JO-2024."Toutes les procédures ont été faites dans les règles et dans la transparence", a réagi auprès de l'AFP le conseil départemental. Un argumentaire repris par la société Solideo, sollicitée par l'AFP."Si on avait fait du provisoire, l'impact environnemental aurait été très discutable et personne n'aurait compris qu'on ne profite pas des Jeux pour laisser un héritage et avoir davantage de logements", a-t-il ajouté, rappelant que "100.000 demandeurs de logements sociaux en Seine-Saint-Denis" patientent faute d'offre suffisante.En parallèle 13 hectares de terrain, inaccessibles car pollués par des hydrocarbures, sont en cours de dépollution et seront intégrés au parc. Au total, "on va agrandir le parc", a souligné le département, qui indique que l'association à l'initiative de la requête sera reçue dans les semaines à venir.
Il y a 4 ans et 146 jours

Leslie Laroche, nouvelle secrétaire générale des Canalisateurs

Précédemment chargée de projets au sein des Canalisateurs, elle maîtrise déjà l'ensemble des expertises qui font la force de ses entreprises dans les domaines de l'eau et de l'assainissement, du gaz et des fluides divers et de la réhabilitation des réseaux. En charge des commissions Économie et Formation depuis 2015, elle a aussi travaillé sur de nombreux projets de communication, mobilisant des acteurs et des compétences multiples.Un parcours résolument dédié à la responsabilité environnementaleFemme de conviction, engagée pour la protection de l'environnement, Leslie Laroche est titulaire d'un Master 2 en Économie et Gestion de l'Environnement, avec une expertise dans les domaines de l'économie des ressources naturelles, les politiques publiques environnementales, l'aménagement du territoire et le développement économique.Leslie Laroche a débuté sa carrière à l'ADEME lors d'un stage en 2013 en qualité de chargée de mission Rénovation Énergétique et travaillé en particulier sur la rénovation énergétique du parc de logement privé en Midi-Pyrénées. Elle a ensuite occupé le poste de chargée d'études économiques au sein de la CERC (Cellule Economique Régionale de la Construction) Nouvelle-Aquitaine et produit des études et publications sur des thématiques liées à la construction (conjoncture, perspectives d'activité, emploi-formation, développement durable, …).
Il y a 4 ans et 146 jours

Oknoplast rachète le plus grand fabricant espagnol de menuiserie en PVC

Le groupe OKNOPLAST est une entreprise qui a plus de 26 ans d'expérience. Depuis sa création, elle a enregistré une augmentation permanente de ses ventes, d'embauches et de sa capacité de production. En 2019, la société a enregistré un chiffre d'affaires de 770 millions de PLN (plus de 172 millions d'Euros), dont 72% à l'exportation. Les principaux marchés de l'entreprise, outre la Pologne, sont la France, l'Italie, l'Allemagne et la Belgique. L'entreprise emploie plus de 1850 personnes et dispose d'un réseau de plus de 3000 distributeurs.Le groupe OKNOPLAST est déjà l'un des leaders de l'industrie de la menuiserie en PVC en Europe. Il est présent dans 13 pays en Europe. Son objectif est de devenir l'un des leaders sur chacun des marchés d'exportation grâce à la création d'une marque forte et d'un réseau de vente dédié. Aujourd'hui, le groupe OKNOPLAST rachète le leader espagnol des fenêtres en PVC, avec la société Ampuero, et espère bien se faire un nom sur la péninsule ibérique.« Le groupe OKNOPLAST a toujours été considéré comme un leader de l'innovation dans l'industrie en Europe. Il a notamment mis au point des produits, des solutions commerciales et des actions marketing. Nous avons été les premiers en Europe à introduire plusieurs dizaines d'innovations de produits, établissant ainsi des normes pour cette industrie. Nous avons également été les premiers à prendre des engagements audacieux en sponsorisant des clubs tels que l'Inter Milan, le Borussia Dortmund ou l'Olympique Lyonnais. Aujourd'hui, en tant que précurseur et première entreprise polonaise dans le secteur des fenêtres en PVC, nous avons fait quelque chose qu'aucune de nos entreprises nationales n'a encore fait. Nous entrons sur le marché espagnol, avec cette opération de rachat, ce qui est une approche encore une fois innovante pour nous. Cela se concrétise avec le rachat de l'entreprise Ampuero, le plus grand producteur de fenêtres en PVC en Espagne », déclare Mikołaj Placek, président du groupe OKNOPLAST.Ampuero est une entreprise familiale espagnole dotée de 45 années d'expérience et d'un chiffre d'affaires de 36 millions d'euros. Elle dispose de son propre réseau de distribution avec 300 magasins et détient une part de marché de 10%.Ampeuro a de grandes ambitions. Bien qu'elle soit leader dans le secteur de la menuiserie en PVC en Espagne, elle dispose encore d'un grand potentiel de développement. L'entreprise a la volonté de conquérir encore plus de parts de marché et le groupe OKNOPLAST compte bien l'y aider.
Il y a 4 ans et 147 jours

New York a perdu 70.000 habitants et 34 milliards de dollars de revenus

Depuis le début de la pandémie, des milliers de ménages aisés se sont installés en banlieue de New York, voire beaucoup plus loin, jusque dans le Vermont ou la Pennsylvanie.Selon le cabinet de recueil et d'analyses de données liées à la mobilité Unacast, environ 3,5 millions de personnes se sont installées dans la métropole new-yorkaise, quand 3,57 millions en sont partis entre le 1er janvier et le 7 décembre.Ces chiffres s'appuient sur des données recueillies sur des smartphones avec le consentement de leurs propriétaires. Une fois récoltées, les informations sont agrégées et anonymisées.L'analyse des données fait apparaître que si le revenu agrégé des 3,5 millions de personnes qui se sont installées dans la région depuis le début de l'année était de 264 milliards de dollars, celui des 3,57 millions d'habitants qui en sont partis était, lui, de 298 milliards.Cela représente une différence de 34 milliards de dollars en net, qui montre que le revenu moyen des partants (83.473 dollars par an) était bien supérieur à celui des arrivants (75.428)."Les nouveaux résidents gagnent considérablement moins que ceux qui sont partis", analysent les auteurs de l'étude. "Cela signifie qu'ils peuvent se permettre moins en termes de prêts immobiliers, de loyers, de restaurants ou de commerces."Selon des chiffres publiés par le site d'annonces immobilières Streeteasy, les loyers à Manhattan ont baissé de 7,8% au troisième trimestre par rapport à la même période de l'année précédente.Le loyer médian (la moitié au-dessus, la moitié en dessous) s'est établi à 2.990 dollars, le niveau le plus bas depuis 2011.
Il y a 4 ans et 147 jours

Le moral des ménages en France a "nettement rebondi" en décembre

Par rapport à novembre, l'indicateur synthétique mesurant le moral des ménages gagne ainsi six points et "retrouve son niveau de septembre. À 95, il demeure néanmoins en dessous de sa moyenne de longue période (100)", précise l'institut national de la statistique.Il indique qu'en décembre, "la proportion de ménages estimant qu'il est opportun de faire des achats importants augmente très fortement. Le solde correspondant gagne quinze points par rapport au mois précédent. Il dépasse sa moyenne de longue période, pour la première fois depuis février 2020".Concernant la situation financière future des ménages, "le solde d'opinion augmente fortement aussi, gagnant neuf points et dépassant sa moyenne de longue période", met en avant l'Insee.Toujours au cours du mois de décembre, la part des ménages estimant qu'il est opportun d'épargner "baisse nettement".Celle considérant que le niveau de vie en France va s'améliorer au cours des douze prochains mois "augmente très fortement, après avoir chuté en octobre et novembre: le solde correspondant gagne vingt points mais demeure néanmoins très en dessous de sa moyenne de longue période", résume l'institut."La part des ménages qui considèrent que le niveau de vie en France s'est amélioré au cours des douze derniers mois est stable", ajoute-t-il.Les craintes quant au chômage "baissent nettement en décembre" mais demeurent depuis avril 2020 "très au-dessus" de la "moyenne de longue période".Enfin, concernant l'inflation, les ménages estimant que les prix vont augmenter au cours des douze prochains mois sont "nettement moins nombreux qu'en novembre", et la part de ceux estimant que les prix ont augmenté au cours des douze derniers mois "est stable".En novembre, le moral des ménages était tombé à son plus bas niveau depuis la crise des gilets jaunes en décembre 2018. L'Insee revoit même mercredi à la baisse son indicateur synthétique de la confiance des ménages, à 89 contre 90 communiqué fin novembre.
Il y a 4 ans et 147 jours

Réforme du RGE : La CAPEB obtient l'expérimentation de la qualification « chantier par chantier »

Depuis l'entrée en vigueur au 1er janvier 2021 de l'arrêté du 24 décembre, la Confédération de l'Artisanat et des Petites Entreprises du Bâtiment (CAPEB) est satisfaite de l'expérimentation lancée pour deux ans de mettre en œuvre la qualification « chantier par chantier », qu'elle était seule à demander.Ce projet a mobilisé la CAPEB et les pouvoirs publics durant près de deux années. Et sans la volonté du ministre du logement, cette expérimentation n'aurait très certainement pas été mise en place.Si l'ensemble des acteurs - clients, entreprises, pouvoirs publics - souhaite une rénovation énergétique efficace des logements, la CAPEB est convaincue que ce succès passera nécessairement par le recours aux entreprises artisanales du bâtiment présentes sur le territoire. Ainsi la massification prônée par les pouvoirs publics devrait plus facilement voir le jour avec un plus grand nombre d'entreprises en capacité de réaliser des travaux aidés. « Nous défendons depuis toujours l'accès direct des petites entreprises du bâtiment au marché de la rénovation énergétique. Dans le cadre du dispositif RGE, nos entreprises n'ont pas peur d'être jugées sur la qualité des travaux et elles aspirent à ce que les formalités administratives soient réduites à leur strict minimum. Il est important de ne pas laisser des entreprises compétentes au bord de la route, je pense à celles qui ont quitté le dispositif RGE et à celles qui ne sont pas en mesure d'y accéder pour insuffisance d'activité. La qualification « chantier par chantier » va leur permettre de réaliser des travaux et, je l'espère, par la suite d'intégrer le dispositif RGE. Ainsi, davantage de nos clients pourront bénéficier des aides gouvernementales. Je remercie les pouvoirs publics d'avoir accepté de lancer cette expérimentation qui permettra d'enclencher la massification dans des conditions sécurisées. Nous savons que nos entreprises sont prêtes à relever le défi de la transition énergétique. »Jean-Christophe Repon, Président de la CAPEBBravo pour ce dispositif simple et crédibleConformément aux souhaits de la CAPEB, ce dispositif est crédible en ce qu'il exige des critères minimaux (être à jour de ses cotisations sociales, inscription au répertoire des métiers, ancienneté de deux ans, etc) et permet ainsi d'éviter les opportunistes ou les fraudeurs tentés de profiter de l'aubaine de ce marché. Enfin, la force de ce dispositif réside surtout dans le contrôle systématique des chantiers réalisés. Simplicité et crédibilité sont autant de promesses qui conduiront les entreprises à entrer tout naturellement dans la qualification RGE et qui permettront aux clients d'être totalement sécurisés.À suivreCertes il reste encore des ajustements à prévoir et surtout à intégrer au 1er avril le domaine des énergies renouvelables pour que le dispositif soit pleinement opérationnel. La CAPEB, aux côtés des pouvoirs publics, se mobilisera activement pour le suivi et le pilotage de cette expérimentation.
Il y a 4 ans et 147 jours

Le début de l'année s'annonce difficile pour l'économie française selon Bruno Le Maire

"Le plus difficile est devant nous, il va falloir faire preuve d'une force de caractère considérable", a affirmé le ministre lors d'un échange en visioconférence avec le groupe de réflexion Institut Montaigne."Nous avons devant nous un virus qui persiste, (...) nous aurons plus de faillites en 2021 qu'en 2020 (...), nous avons une transition sur l'emploi qui va se solder par des destructions d'emplois pendant un certain temps et qui vont être difficiles à amortir, et puis nous avons des incertitudes politiques", a-t-il détaillé.Pour que l'économie française réussisse à "dépasser ces difficultés", et alors que le gouvernement table sur une croissance de 6% cette année, il a d'abord réitéré sa volonté de soutien "total" aux secteurs en difficulté.L'hôtellerie-restauration, l'évènementiel, la culture ou le sport, "nous ne les laisserons pas tomber, nous mettrons l'argent nécessaire", a insisté le M. Le Maire, alors qu'une réouverture le 20 janvier des restaurants et cafés s'éloigne de plus en plus.Le gouvernement travaille d'ailleurs à augmenter les aides versées aux entreprises pour répondre aux besoins des chaînes de restaurants ou d'hôtels pour qui les sommes allouées actuellement sont insuffisantes, a-t-il confirmé.Les hôteliers et restaurateurs demandent à pouvoir percevoir jusqu'à 3 millions d'euros, à l'image de ce que l'Allemagne verse à ses entreprises pour le paiement de leurs charges fixes. La discussion a lieu avec Bruxelles, qui doit valider un tel dispositif.Le ministre souhaite aussi que les banques généralisent le report d'un an du début du remboursement des Prêts garantis par l'État (PGE) accordés aux entreprises, alors que l'échéance se rapproche avec de premiers remboursements dus en principe au printemps.Par ailleurs Bruno Le Maire s'est redit ouvert à davantage de soutien aux plus modestes, pourquoi pas par la création d'un chèque alimentaire.A côté de ces soutiens, le ministre entend poursuivre le déploiement du plan de relance pour les secteurs plus dynamiques. "La relance a commencé fin 2020, nous l'accélèrerons en 2021", a-t-il assuré, citant le succès de plusieurs appels à projets lancés ces derniers mois.
Il y a 4 ans et 147 jours

Lancement du nouvel indice de la qualité de l'air ATMO

L'évolution de l'indice repose sur plusieurs nouveautés :il intègre un nouveau polluant réglementé : les particules fines PM2,5, aux effets sanitaires avérés. Ses seuils sont alignés sur ceux choisis par l'Agence européenne pour l'environnementIl permet de fournir une prévision calculée à l'échelle de chaque établissement public de coopération intercommunale (EPCI), sur l'ensemble du territoire national, y compris outre-merL'échelle évolue aussi : le niveau Très bon disparaît, et le niveau Extrêmement mauvais fait son apparition.Le nouvel indice qualifie donc l'état de l'air selon 6 classes : Bon / Moyen / Dégradé / Mauvais / Très mauvais / Extrêmement mauvaisLe code couleur s'étend désormais du bleu (bon) au magenta (extrêmement mauvais)Ce nouvel indice donne une représentation différente de la qualité de l'air, ainsi la prise en compte des particules fines PM2,5 et les changements de seuils permettent de mieux décrire la qualité de l'air.Il s'agit d'une représentation simplifiée de la qualité de l'air. Il se fonde sur des prévisions journalières et comporte une marge d'incertitude, à l'image des bulletins météorologiques.L'entrée en vigueur de cet indice s'inscrit dans la série d'actions structurantes engagées par le Gouvernement pour améliorer la qualité de l'air sur l'ensemble de notre territoire. :La création de nouvelles Zones à faible émissionDe nouvelles mesures en faveur des mobilités propres (bonus écologique, prime à la conversion, soutien au déploiement des infrastructures de recharge pour les carburants alternatifs) ;L'ensemble des politiques nationales de soutien aux mobilités actives (plan vélo, plan de déploiement du covoiturage) ;Les actions impulsées localement par les collectivités locales et soutenues par l'État, dans le cadre des feuilles de route adoptées en 2018 dans les zones en dépassement avec un soutien dans le cadre du nouveau fonds air-mobilité mis en place par l'ADEME.
Il y a 4 ans et 147 jours

Vœux 2021 du Groupe Millet

Il y a 4 ans et 147 jours

Un ancien site de bureaux reconverti en espace résidentiel harmonieux et arboré

Surprenant de modernité, l’ensemble immobilier parvient à convertir avec élégance un ancien site de bureaux en un espace résidentiel harmonieux et arboré. L’INATTENDU sort de terre là où, autrefois, se dressait le site administratif de la Société Alsacienne de Supermarché qui a intégré le groupe Auchan depuis une vingtaine d’années.Aujourd’hui, sa filiale immobilière Ceetrus s’associe avec Bouygues Immobilier dans ce projet de transformation d’envergure. Résolument novateur, le projet s’inscrit dans une perspective de cohabitation et d’ouverture sur le quartier. Le résultat place véritablement le citoyen au centre d’un lieu de vie mixte, alliant dynamisme urbain et cadre verdoyant.« Rebâtir » la ville de demainÉrigé en lieu et place d’une friche inoccupée, le programme résidentiel L’INATTENDU participe à la mutation du paysage urbain strasbourgeois. Ce site autrefois gris et austère fait aujourd'hui place à une zone d’habitation agréablement végétalisée.Répondant à une demande croissante en logements à proximité du centre-ville de Strasbourg, cette nouvelle réalisation contribue à relancer l’attractivité du quartier de Koenigshoffen. Nichée entre le quartier Saint-Joseph et le Schnockeloch, pourvu de nombreux points d’attractions, l’ouvrage séduit également par ses tarifs accessibles à partir de 3.300€ le m2.Koenigshoffen, un contraste méconnuDynamisme urbain d’un quartier strasbourgeoisSituée aux portes Ouest de Strasbourg, la co-réalisation de BOUYGUES IMMOBILIER et CEETRUS promet une vie urbaine simplifiée et pleine de praticité.Le complexe résidentiel, idéalement desservi, encourage les mobilités douces :Par l’arrêt Comtes situé sur la récente extension du tramway (ligne F), permettant une liaison vers le centre de l’Eurométropole en moins de 10 minutes.Par des lignes de bus.Par une voie cyclable directement accessible.La proximité avec la route des Romains, véritable artère commerçante, ouvre à toute commodité. Accessibles à pied depuis la résidence, les enseignes du secteur répondent à bon nombre des besoins du quotidien : santé, services, alimentation.De même, pour les déplacements vers les écoles, collèges et équipements sportifs, le véhicule devient superflu !Un cadre de vie empreint de natureImplantée en 2ème rideau de la route des Romains, la copropriété est à l'abri de l’animation de l’axe routier. Afin de préserver davantage la tranquillité des résidents, aucune circulation des véhicules au sein du complexe immobilier n’est possible. Un grand parc est au cœur de l’opération. L’INATTENDU, bulle de quiétude, jouit ainsi d’un cadre bucolique bordant un agréable cours d’eau : le Muhlbach.Si l’héritage de l’histoire romaine de Koenigshoffen y est connu, le charme de Saint-Joseph et les maisons à colombages du Schnockeloch confèrent une authentique singularité à ce secteur en plein renouveau.L’atout méconnu du lieu reste son ouverture sur des espaces naturels. La proximité avec le parc du Niederholz, situé à 10 minutes du programme, invite aux pique-niques en famille... D’autres nombreuses possibilités de flâneries s’offrent aux futurs acquéreurs : se promener au bord du canal de la Bruche, sillonner les itinéraires cyclables, fréquenter les paisibles bassins de pêche ou arpenter au grand air les espaces boisés.L’INATTENDU urbainComposé de 3 bâtiments de standing, ce nouvel ensemble, signé BOUYGUES IMMOBILIER et CEETRUS, affiche un caractère contemporain souligné par un travail d’architecture harmonieux. De manière à encourager les déplacements doux, chaque immeuble est pourvu d’un local vélo pratique et sécurisé. Les stationnements seront dissimulés en sous-sol ou aux pourtours des bâtiments.Du 2 au 5 pièces, chaque logement est personnalisable. La large gamme de prestations intérieures (sols, carrelages, mobilier de cuisine et de salle de bain...) permettant à chaque acquéreur de créer le cocon qui lui ressemble.Balcons, terrasses ou jardins privatifs prolongent agréablement les espaces de vie. Pour davantage de confort, des celliers agrémentent certains lots. De grands appartements sont disponibles aux derniers niveaux, ils ont été conçus comme de véritables maisons de villes.L’omniprésence inattendue du végétalLe complexe urbain L’INATTENDU se dessine au cœur de 9.700 m2 d’espaces verts, soit plus de la moitié de la surface de terrain sur lequel se réalise cette opération.Tandis que les abords directs de la résidence ont été soigneusement dessinés, la nature alentour a été magnifiquement préservée.Car c’est bien le vert qui prédomine dans cette ambiance luxuriante. Il est omniprésent partout où le regard se pose :Dans les agréables jardins privatifs de la façade sud, accessibles depuis les logements en rez-de-chausséeDans les 1700 m2 d'îlots privatifs permettant aux propriétaires de s’adonner, par exemple, aux joies du jardinage pour accompagner les néophytes, des animations et de l’initiation aux bonnes pratiques sont envisagéesDans le parc public de 3.000m2 réalisé par la municipalité de StrasbourgDans la zone boisée déjà existante menant aux berges naturelles du Muhlbach à l’extrémité de la résidence qui reste un espace réservé aux résidentsDans la ligne d’arbres le long du cours d’eau, qui, dans le respect des engagements de BOUYGUES IMMOBILIER et CEETRUS au profit de la biodiversité, est préservée autant que possible et étoffée.Avec L’INATTENDU, les co-promoteurs insufflent une dynamique nouvelle qui place le futur acquéreur au centre. Le projet, qui ne s’ouvre pas seulement sur la nature, propose aussi un cadre de vie propice aux partages entre voisins. Les espaces communs, parc public et jardins, concourent à la cohabitation entre habitants de la résidence et du quartier. Une réalisation résolument humaine !Caractéristiques techniques :3 Bâtiments collectifs R+4 à R+5Du 2 au 5 pièces avec espace extérieur selon les lots170 appartements en accession libre89 logements répartis entre du logement locatif aidé d’intégration, du locatif à usage social et du locatif Intermédiaire Livraison : 2nd semestre 2023Architecte : OSLO Architecture