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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Batinfo

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Il y a 4 ans et 178 jours

Assistez aux présentations en ligne « Workshops » d'ARCHLine.XP, logiciel d'architecture BIM

Distribué exclusivement en France par la société ZW FRANCE, ce logiciel BIM conçu pour modéliser une maquette numérique 3D sera présenté sous la forme de 2 workshops en ligne sur la chaine YouTube de ZW FRANCE.Les mardi 24 et mercredi 25 novembre : 2 workshops en ligne de 45 minutes dédiés au logiciel BIMLe 1er workshop, le 24 novembre est dédié à une présentation générale d’ARCHLine.XP. Au programme : interface, outils de construction et d’agencement et documentation (bibliothèques BIM).Le 2nd worshop du 25 novembre sera, lui, consacré à ARCHLine Live, le logiciel complémentaire de rendu réaliste en temps réel. Il y sera présenté la synchronisation avec ARCHLine, les bibliothèques d’objets/matériaux, la gestion des lumières et d’effets de caméra ou encore la création d’images, de vidéos et de panoramas.Chacune des présentations sera suivie d’un temps de questions/réponses où les internautes auront au préalable posé leurs questions dans le chat YouTube.Pour avoir plus d’informations et s’inscrire : CLIQUEZ ICIVendredi 27 novembre : -15% de remise à l’occasion du Black FridayA l’issue de ces deux jours de présentation, ZW FRANCE proposera une remise exceptionnelle de 15% pour tout achat de licence ARCHLine.XP, qu’il s’agisse de la version LT, Pro ou du logiciel de rendu réaliste en temps réel ARCHLine LIVE. Cette offre sera valable uniquement le vendredi 27 novembre, lors du Black Friday.ARCHLine LT et ARCHLine Live sont aujourd’hui au tarif de 585 € HT. La version Pro, est, quant à elle à 2.290€ HT.
Il y a 4 ans et 178 jours

Fabemi, un groupe engagé dans l'économie circulaire

Cette démarche en faveur de l'environnement présente le triple avantage de soutenir la production locale, de réduire la consommation des ressources et d'inciter les industriels à mettre en place une bonne gestion de leurs déchets. La construction est un secteur particulièrement concerné par ces enjeux environnementaux.Le Groupe Fabemi s'engage depuis plusieurs années dans une démarche d'économie circulaire. Créé en 1961 à Donzère (Drôme), l'entreprise développe des systèmes constructifs en béton dans plusieurs domaines : Gros œuvre, Voirie & Réseaux, Terrasse & Jardin.Le Groupe intègre véritablement l'économie circulaire dans son éthique d'entreprise.Éco-conceptionLe Groupe Fabemi fabrique des produits 100% français, certifiés origine France garantie (seul label permettant de garantir une fabrication française). Une reconnaissance pour l'entreprise qui légitime l'engagement historique du Groupe à fabriquer français, et qui assure au consommateur fiabilité et qualité des produits.Les blocs Fabtherm® montrent l'exemple100% naturels et recyclables, les blocs isolants Fabtherm® et Fabtherm® Air sont un exemple de la démarche d'éco-conception au cœur de l'innovation et du développement produits Fabemi.Présentant un faible impact sur l'environnement, ces blocs contribuent à réduire l'empreinte carbone des bâtiments de l'ordre de 4 à 8% par rapport à d'autres solutions constructives, permettant ainsi la réalisation d'ouvrages labellisés E+C-. Les produits Fabtherm® sont d'ores et déjà une solution permettant de répondre aux enjeux de la future RE 2020. De leur fabrication à leur recyclage en fin de vie, l'empreinte carbone des produits Fabemi est réduite grâce à une production-distribution locale, des approvisionnements au plus proche des usines, un procédé de fabrication sans cuisson, un séchage naturel des produits et une utilisation sur des chantiers dans une zone de chalandise moyenne de 200 km autour des sites de production, permettant de contenir l'impact CO2 du transport des produits.Lancés en 2018, les produits Fabtherm® confortent Fabemi comme leader et novateur sur le marché des produits préfabriqués en béton.Élargir le recyclage à tous les bétonsDans un contexte mondial de croissance de la demande en matières premières et de tension concernant l'approvisionnement en ressources, il est essentiel que les produits mis sur le marché incorporent plus de matériaux issus des filières de valorisation des déchets.Fabemi encourage l'élargissement du domaine d'emploi des bétons issus de matériaux recyclés pour une mise en œuvre dans ses produits. Les rebus de fabrication du Groupe, même dans de faibles proportions, représentent une source potentielle de granulats recyclés que Fabemi projette de réemployer en les intégrant dans la fabrication des produits. Ces déchets peuvent dès à présent être valorisés et réutilisés pour la production de béton prêt à l'emploi (BPE), grâce à une évolution normative. Ceux-ci vont bientôt être autorisés pour la fabrication de produits préfabriqués comme les blocs bétons.Écologie industrielleLes usines Fabemi ont été construites ou réaménagées selon les critères stricts du Groupe : sécurité, écologie industrielle et innovation en implantant dans les unités de production les meilleures technologies disponibles.De plus, l'entreprise privilégie l'internalisation des activités en lien avec la fabrication des produits finis : Fabemi Industrie produit les raidisseurs utilisés pour la fabrication des poutrelles RAID développées par le Groupe. Cette intégration verticale est un exemple supplémentaire de l'importance de l'économie circulaire pour le Groupe Fabemi, les aciers étant fabriqués sur le même site de production que celui des poutrelles.Fabemi innove toujours et investit dans la modernisation de ses installationsLe Groupe Fabemi, qui génère un chiffre d'affaire de 120 millions d'euros par an s'appuie sur une stratégie de développement agile faisant la promotion de l'industrie 4.0., en collaboration avec des industriels français comme Quadra ou des indépendants très spécialisés pour les outils de production industrielle.Qui se ressemble s'assembleLa démarche d'économie circulaire fait d'ores et déjà de nombreux adeptes parmi les industriels français et ce n'est pas un hasard si certains d'entre eux ont développé des partenariats avec le Groupe Fabemi. Travailler conjointement sur ces thématiques universelles en partageant la même éthique environnementale accroît la viabilité et la pertinence de leurs modèles économiques dans un monde en plein bouleversement, en lien avec la prise de conscience environnementale.Par exemple, Knauf, fabricant de solutions d'isolation thermique et phonique, partenaire de Fabemi, est fortement impliqué lui aussi dans le recyclage des déchets de PSE (polystyrène expansé). En février 2020, Le Groupe Knauf a créé Knauf Circular® (knaufcircular.fr), un service qui a pour objectif le recyclage des déchets propres de PSE (hors déconstruction) issus de la mise en œuvre de produits PSE sur chantier. Ce nouveau service est actuellement lancé en phase pilote sur le quart Sud-Est de la France et devrait se déployer ensuite sur la France entière, à partir de 2021. Les volumes de PSE ainsi collectés sont ensuite acheminés vers un des sites autorisés de recyclage du PSE.Une production localeLes produits fabriqués par Fabemi gros œuvre sont conçus « économie circulaire » : maçonneries de blocs béton et planchers préfabriqués poutrelles entrevous. L'approvisionnement des 12 usines du Groupe réparties sur le territoire français est local, celles-ci se trouvent stratégiquement dans un rayon de 10 km des carrières de granulats.Dans le cadre de l'entrée en vigueur de la RE 2020, les produits du Groupe ont été certifiés NF FDES (Fiches de Déclaration Environnementale et Sanitaire) permettant une quantification de l'impact environne-mental des produits en Kg de CO2 / m2 ou ml.Dans la prochaine réglementation environnementale devant entrer en vigueur en juillet 2021, les émissions de CO2 dues à la construction et à la vie du bâtiment seront comptabilisées et ne devront pas dépasser des valeurs seuil. Les produits Fabemi apparaissent comme des solutions constructives bas carbone prêtes à relever les nouveaux défis liés aux évolutions réglementaires.Le Groupe poursuit la mise en place de stratégies de développement de solutions constructives éco-conçues, faisant du faible impact carbone des produits un formidable levier de croissance de ses activités.Une offre complèteLe Groupe Fabemi développe des produits et solutions pour la construction et l'aménagement des espaces, organisées en 3 lignes de produits :Gros œuvreCette activité comprend la fabrication de systèmes constructifs à faible impact CO2 : blocs béton traditionnels, blocs béton isolants, poutres, poutrelles et entrevous.Plus de 1 million de tonnes de blocs béton et plus de 4 millions de mètres linéaires de poutrelles par an.Voirie & RéseauxEn constante évolution, cette activité mobilise des ressources en recherche et en fabrication. Fabemi développe cette activité en concevant des produits - dalles, pavés, bandes de guidage, caniveaux - respectant les normes en vigueur. La gamme Caladia Fabemi, point fort de l'activité Voirie, comprend des produits plus esthétiques, tout en restant conforme aux critères d'aménagement et d'embellissement des espaces publics.Plus de 100.000 tonnes de bordures par an.Terrasse & JardinCette activité s'articule autour des gammes BRADSTONE et CARRÉ D'ARC : produits d'aménagement extérieur tels que dallages, margelles et accessoires, bordures, murets, parements muraux ou encore de pavages. Fabemi propose un large choix de produits dans différents matériaux - béton design, béton décoratif, pierre naturelle, céramique -, pour créer terrasses, plages de piscine, allées…3 millions de m2 de dallages par an.
Il y a 4 ans et 178 jours

Le chiffre d'affaires de Neoen en hausse de 22% sur les neuf premiers mois de l'année

Le chiffre d'affaires de l'entreprise a atteint 224,1 millions d'euros, stimulé par de nouveaux parcs et à une forte progression de l'activité de stockage.L'activité a crû dans le solaire, de 26% à 112,7 millions d'euros et dans l'éolien, de 7% à 83,7 millions. Elle a parallèlement doublé dans le stockage d'énergie, à 27,2 millions."Au total, nous avons gagné plus de 800 MW depuis le début de l'année, ce qui illustre non seulement la qualité et la compétitivité de nos projets mais aussi notre capacité à proposer des services innovants et différenciants", s'est félicité le PDG de Neoen Xavier Barbaro, cité dans le communiqué.Sur le seul troisième trimestre 2020, Neoen a réalisé un chiffre d'affaires de 66,9 millions d'euros, en hausse bien plus modeste de 1%, les ventes ayant reculé dans l'éolien et le stockage.L'entreprise confirme pour l'ensemble de 2020 son objectif - affiné fin septembre - d'excédent brut d'exploitation (Ebitda) entre 270 et 300 millions d'euros, avec une marge brute supérieure à 85%.
Il y a 4 ans et 178 jours

Ouverture d'une enquête préliminaire sur le projet de tour "Emblème" à Nancy

"A la suite de signalements de la délégation lorraine d'Anticor, une enquête préliminaire est ouverte afin de vérifier la régularité des aspects financiers de cette complexe opération immobilière", a déclaré à l'AFP François Perain, confirmant une information du quotidien L'Est Républicain.L''enquête a été confiée au SRPJ de Nancy.Ce projet de tour, qui mêle des logements et des bureaux à proximité immédiate de la gare de Nancy, est porté par le groupe Nouvel Habitat.La section d'Anticor en Meurthe-et-Moselle a effectué des signalements auprès des autorités locales sur ce projet, et notamment sur l'achat par la région Grand Est de 1.359 mètres carrés, quand le permis de construire initial n'en prévoit que 652. "Le permis de construire ne correspond pas à l'achat effectué par la région", a déclaré à l'AFP Claude Marcel, administrateur de la section locale d'Anticor.Un permis de construire modificatif avait été déposé par le promoteur et signé par la mairie de Nancy le lendemain de la défaite électorale de l'ancien maire (MR) Laurent Hénart, avant son remplacement par le socialiste Mathieu Klein, selon L'Est Républicain. Mais ce permis de construire modificatif fait l'objet d'un contentieux entre la nouvelle équipe municipale et le porteur du projet.L'administrateur d'Anticor affirme également que la région a déjà versé "2,2 millions d'euros pour ces bureaux qui n'existent que sur papier, et les paie plus de 40% au-dessus du prix du marché, alors même qu'il existe plein de locaux vides dans la région de Nancy".De son côté, la région Grand Est explique que cette acquisition doit permettre "l'installation pérenne" de la "maison de la Région" à Nancy, "afin de répondre aux attentes des partenaires avec plus de proximité".Selon elle, ce projet permettra de "réduire ses dépenses locatives de fonctionnement d'environ 4 millions d'euros sur 20 ans". Elle souligne que les agents de la région travaillant à Nancy sont actuellement répartis dans "trois espaces distincts de bureaux".Elle estime par ailleurs que le prix d'acquisition, à 2.700 euros le mètres carré, est "conforme aux prix du marché", et précise qu'il a été diminué de 5,44% au cours de négociations avec le promoteur.
Il y a 4 ans et 180 jours

Interpellation de travailleurs illégaux sur un chantier de la préfecture de Meurthe-et-Moselle

"La police aux frontières (PAF), appuyée par les services d'inspection du travail, a procédé à plusieurs interpellations sur un chantier se déroulant sur le site de la préfecture", a-t-elle indiqué dans un communiqué.Elle a précisé que les entreprises en charge du chantier faisaient l'objet d'un suivi par le "comité opérationnel départemental anti-fraude".Les contrôles effectués ont révélé la présence de travailleurs "non déclarés ou en situation irrégulière", et des conditions de travail "non conforme".Deux travailleurs étrangers détenteurs de faux papiers ont été placés en garde à vue. L'un d'eux a été placé en rétention.L'enquête, menée par la PAF, "vise à identifier les employeurs réels de ces sept étrangers censés avoir été embauchés par deux entreprises différentes", a déclaré à l'AFP le procureur de la République de Nancy, François Perain, selon lequel "deux de ces employés n'avaient pas été déclarés à l'URSSAF".
Il y a 4 ans et 180 jours

Confinement: le gouvernement renforce l'incitation à alléger les loyers des commerçants pour novembre

Le ministre de l'Economie Bruno Le Maire, qui avait fustigé début novembre certaines grandes foncières refusant d'accorder des réductions de loyers à leurs locataires professionnels frappés par la crise, s'est réjoui de cet accord qui prévoit, pour tout bailleur renonçant au loyer de novembre, un crédit d'impôt de 50% du montant de ce loyer en 2021.Mais pour Franck Trouet, porte-parole du syndical GNI qui représente les indépendants de l'hôtellerie-restauration, "il faut aussi prendre en compte les périodes de confinement et de couvre-feu antérieures: de mars à juin nos professionnels n'ont pas eu du tout de recettes et ils ont dû supporter des loyers qui restent impayés parce qu'ils n'ont pas les moyens de les payer"."Cela n'est pas satisfaisant, cela n'est pas conforme à la promesse du président de la République", selon lui.En outre, les professionnels à la tête de "deux ou trois affaires, gérées par une holding, eux, n'ont pas reçu la moindre aide depuis le départ" de la crise sanitaire, souligne M. Trouet.Le dispositif annoncé le 29 octobre prévoyait un crédit d'impôt de seulement 30% mais sur l'ensemble du quatrième trimestre pour les bailleurs renonçant à au moins un mois de loyer.Il ne concernait que les loyers des entreprises de moins de 250 salariés fermées ou appartenant au secteur de l'hôtellerie, des cafés et de la restauration.Il est cette fois étendu aux loyers de celles de 250 à 5.000 salariés, mais dans ce cas le crédit d'impôt sera limité à un tiers du montant du loyer, a précisé M. Le Maire."Nous avons aussi voulu traiter des entreprises plus importantes, de taille intermédiaire, parce qu'il y a des galeries marchandes, des galeries commerciales qui sont concernées et qui sont elles aussi menacées", a détaillé le ministre.M. Le Maire a remercié "l'ensemble des associations et fédérations des bailleurs, car c'est la première fois que nous trouvons un accord collectif sur une mesure de cette importance".Dans un communiqué, ces organisations professionnelles, parmi lesquelles la Fédération française de l'assurance, l'Union nationale des propriétaires immobiliers mais aussi plusieurs associations de commerçants comme le Procos ou la FCA, "saluent la mise en oeuvre du crédit d'impôt proposé par le gouvernement pour inciter à l'annulation des loyers".Les fédérations de bailleurs "appellent tous leurs adhérents à utiliser ce crédit d'impôt, et à accorder une annulation du loyer du mois de novembre (...), à l'exclusion des charges qui resteront dues".
Il y a 4 ans et 180 jours

Eclairage modernisé, plus d'espaces verts: Paris planche sur son urbanisme

La mairie de Paris, qui a lancé une large consultation dès la rentrée, a ainsi réuni du 26 septembre au 17 octobre 100 personnes (70 Parisiens et 30 métropolitains), en conférence citoyenne, pour évoquer les nouvelles mesures de matériaux, d'architecture, de propreté ou de mobilité.Se sont ajoutées 1.084 contributions formulées par les internautes du 26 septembre au 17 octobre, outre les courriers ou les votes en ligne.Parmi les préconisations, les citoyens ont suggéré de "mettre des emplacements vélos dans les parkings souterrains et à proximité de station RER métro", de "couvrir le périphérique avec des espaces verts", de "réhabiliter des immeubles de bureaux et construire des résidences étudiantes", d'"augmenter la surface agricole urbaine" en créant notamment "des jardins partagés dans les écoles" ou "des parcelles agricoles dans les parcs et bois parisiens".Pour 94% des participants au vote, il faut "contraindre à l'utilisation de matériaux éco-responsable dans l'infrastructure urbaine" pour réduire "pollutions sonore, visuelle, environnementale et lumineuse". Ils plaident ainsi pour l'usage de "matériaux locaux qui s'adaptent au climat" lorsqu'il s'agit de constructions neuves.Pour lutter contre les nuisances sonores, nombre des sondés demandent l'interdiction des deux roues à moteur thermique dans la capitale. "C'est la contribution la plus votée par les citoyens", a relevé Emmanuel Grégoire, le Premier adjoint à la maire de Paris, en charge de l'Urbanisme.Lors du Conseil de Paris prévu en décembre, les élus lanceront officiellement la révision du PLU, avant "la phase de diagnostic prévu en 2021, une phase réglementaire en 2022 et une adoption par l'exécutif parisien fin 2023, début 2024", selon M. Grégoire.
Il y a 4 ans et 180 jours

Les mesures de soutien aux entreprises durant le confinement

Le ministre de l'Economie a en outre modifié le dispositif de crédit d'impôt pour les bailleurs visant à alléger les loyers des commerçants empêchés d'exercer.Voici un rappel des principales mesures prises depuis la début de la crise sanitaire au printemps :Chômage partielCe dispositif de prise en charge des salaires par l'Etat et l'Unedic, pour protéger l'emploi et les compétences, devrait coûter au moins 31 milliards d'euros cette année.Environ 15.000 demandes par jour d'activité partielle ont été déposées depuis le 30 octobre, selon le ministère du Travail.Le niveau de cette prise en charge a évolué dans le temps et en fonction des secteurs.Les entreprises fermées y ont droit avec zéro à charge pour l'employeur, une aide qui s'appliquait déjà avant le reconfinement aux secteurs du tourisme et activités connexes (restaurants, hôtellerie, culture, événementiel...).Plus de 14 millions de salariés de près 1,3 million d'entreprises ont été concernés depuis le début de la crise du coronavirus, selon le site data.gouv.fr. Ils perçoivent actuellement 70% de leur salaire brut, soit environ 85% de leur salaire net.Loyers des commerces fermésLes bailleurs pourront obtenir en 2021 un crédit d'impôt de 50% du montant du loyer de novembre s'ils renoncent à ce mois de loyer au bénéfice d'une entreprise fermée de moins de 250 salariés, ce qui est le cas de la grande majorité des commerces. Si l'entreprise compte entre 250 et 5.000 salariés, comme par exemple certains galeries marchandes et commerciales, ce crédit d'impôt est réduit à un tiers du montant du loyer. Les charges (eau, électricité...) resteront dues par les locataires.Fonds de solidaritéConçu en mars pour soutenir les plus petites entreprises et les travailleurs indépendants, il prévoit le versement d'une indemnité mensuelle pour compenser une partie de leur perte d'activité liée aux restrictions d'activité et à la crise.Son accès et les montants alloués ont été considérablement augmentés à mesure que la crise s'aggravait et plus de 6,5 milliards d'euros ont déjà été dépensés dans ce cadre.Sa nouvelle version coûtera 6 milliards supplémentaires pour le seul mois de novembre.Désormais accessible aux entreprises de moins de 50 salariés sur l'ensemble du territoire, il compense la perte de chiffre d'affaires jusqu'à 10.000 euros pour l'ensemble des entreprises fermées, ou pour celles des secteurs du tourisme et activités connexes (restauration, événementiel, culture, etc.) dont le chiffre d'affaires baissera d'au moins 50% par rapport à la même période de 2019.Toutes les autres entreprises subissant une perte d'au moins la moitié de leur chiffre d'affaires sont éligibles à une aide de 1.500 euros.M. Le Maire a assuré qu'il veillerait personnellement à ce que les commerçants fermés puissent "bénéficier de l'aide du Fonds de solidarité dès les premiers jours dès les premiers jours de décembre" en se déclarant sur le site impots.gouv.fr.Reports et exonérations de chargesToutes les entreprises de moins de 50 salariés fermées administrativement seront exonérées de cotisations sociales, ainsi que celles des secteurs du tourisme, du sport, de la culture et de l'événementiel si leur chiffre d'affaires chute de plus de moitié durant cette période.Les prélèvements de cotisations des indépendants seront automatiquement suspendus.Début août, les seuls reports de cotisations sociales s'élevaient à 21,1 milliards d'euros.Les exonérations pures et simples qui avaient déjà été accordées dans le tourisme et les secteurs connexes pour un montant ont été évalués à 5,2 milliards d'euros par le gouvernement.Prêts garantis par l’ÉtatPour soutenir la trésorerie des entreprises tous secteurs confondus, l'Etat a mis en place avec les organismes bancaires ce dispositif dans lequel il apporte sa garantie aux prêts sollicités par les entreprises.Le gouvernement a budgété un maximum de 300 milliards d'euros, et au 30 octobre plus de 124 milliards d'euros ont été accordés à un peu plus de 600.000 entreprises.Son accès a été prolongé jusqu'au 30 juin 2021 depuis l'annonce du couvre-feu mi-octobre.Le différé de remboursement de ces prêts garantis pourra être porté de un à deux ans après accord des banques, une extension qui a été négociée avec Bruxelles car elle aurait pu être assimilée à un avantage compétitif indu.Prêts directs de l’ÉtatPour les entreprises qui ne trouvent aucune autre solution de financement, l’État pourra accorder des prêts jusqu'à 10.000 euros pour les entreprises de moins de 10 salariés et jusqu'à 50.000 euros pour celles qui ont de 10 à 49 salariés. Le gouvernement a provisionné 500 millions d'euros à cette fin.
Il y a 4 ans et 180 jours

La domotique au service de l'autonomie

Continuer de mener une vie indépendante, chez soi, est le souhait de la majorité de nos aînés. Et pour cela garantir la sécurité des plus âgés est essentiel. Dans ce but des solutions domotiques existent pour apporter du soutien et une aide au quotidien. Les solutions intelligentes appelée AAL, Ambient Assisted Living, permettent une aide précieuse au maintien à domicile.Ces solutions domotiques et immotiques offrent une multitude de services aux personnes âgées pour un maximum d'autonomie, nombreuses tâches du quotidien sont alors effectuées automatiquement. Une économie considérable puisque l'appel à du personnel soignant est limité et la vie en maison de retraite retardée. Cependant, en cas d'anomalie, de danger ou d'urgence, la famille et/ou le personnel soignant peuvent tout de suite être avertis par notification push ou via un appel.Les solutions domotiques et immotiques offrent tant d'autres services tels que des alertes en cas de chutes potentielles, de présence ou des interrupteurs d'urgence alertant les membres de la famille ou le personnel soignant, des lumières clignotantes en cas d'urgence pour alerter les voisins, une qualité de l'air contrôlée pour minimiser les maladies respiratoires… Tant d'options pour une vie autonome simplifiée et sécurisée. Par exemple, un éclairage nocturne se déclenche automatiquement lorsqu'une personne se lève de son lit en pleine nuit pour éclairer un chemin jusqu'aux WC d'une lumière douce et tamisée afin d'offrir un levé sécurisé sans éblouir la personne en recherche d'autonomie. La famille et les soignants peuvent aussi être notifiés lorsque les mouvements quotidiens tels que l'heure de levée ne respectent pas ses habitudes. Les solutions domotiques et immotiques sont un réel progrès pour cette tranche d'âge de la population. Toute une génération a aujourd'hui accès à une technologie qui révolutionne leur quotidien au sein de leur foyer.
Il y a 4 ans et 181 jours

La révision des aides aux Parcs solaires sera "ciblée" et "juste", promet le gouvernement

Le gouvernement avait annoncé fin octobre vouloir réviser des contrats photovoltaïques signés durant la période de 2006 à 2010, quand les tarifs de soutien public étaient encore très élevés malgré une baisse des coûts. Un amendement du gouvernement au projet de loi de finances (PLF) a été déposé et doit bientôt être débattu."Il s'agit de revenir sur une petite minorité de contrats, on parle de 800 contrats sur les 235.000 qui existent, et qui concernent des installations déjà amorties, qui ont bénéficié d'un rendement du capital parfois supérieur à 20% aux frais du contribuable", a déclaré Mme Pompili à l'Assemblée nationale, en réponse à Charles De Courson (Libertés et Territoires)."Si nous ne faisons rien (...), le contribuable devra débourser d'ici 10 ans plus de 20 milliards d'euros pour rémunérer l'ensemble de ces contrats alors que moins de subventions permettraient de maintenir la même production d'énergie renouvelable en rémunérant de manière normale les producteurs", a-t-elle fait valoir."J'insiste sur le fait que ce sera une révision ciblée, qu'elle sera juste; nous avons travaillé avec la filière et défini avec eux une clause de sauvegarde qui permettra au cas par cas de regarder pour éviter qu'une révision de contrat puisse mettre en péril l'exploitation", a ajouté la ministre.L'annonce de cette révision a suscité l'inquiétude des professionnels du secteur mais aussi des interrogations sur le sort des territoires ultra-marins ou des agriculteurs."Nous examinerons les cas particuliers de la Corse et de l'Outre-mer qui présentent des spécificités que nous connaissons", a indiqué Barbara Pompili.Elle a aussi rappelé que seules les plus grosses installations étaient visées par cette révision, "ce qui protège de facto les particuliers et la quasi-totalité des agriculteurs".
Il y a 4 ans et 181 jours

Altarea prudent pour la fin d'année face au reconfinement

"La reprise de l'épidémie de Covid-19 et le reconfinement imposé le 29 octobre dernier pourraient (...) avoir des impacts (...) qu'il n'est pas possible d'évaluer précisément à ce stade", a prévenu Altarea dans un communiqué à l'occasion de ses chiffres du troisième trimestre.Le groupe a, pour l'heure, dégagé un chiffre d'affaires trimestriel de 716,1 millions d'euros, soit une progression de 15,4% par rapport à la même époque de l'an dernier.Altarea, qui est particulièrement diversifié en étant présent dans les commerces comme les bureaux ainsi que le logement, a profité de ce dernier secteur.Son activité de promoteur a enregistré une nette hausse des revenus et devrait continuer sur un bon rythme grâce à des ventes solides.Comme ses principaux concurrents, le groupe a vendu de nombreux logements à de grands investisseurs, ce qui compense un déclin chez les particuliers, plus réticents dans un contexte de crise.Mais c'est dans les commerces, affectés par la crise sanitaire, que le futur est incertain. Les locataires du groupe sont affectés, pour beaucoup, par plusieurs semaines de fermeture lors du premier confinement au printemps et doivent maintenant affronter un reconfinement.A ce jour, "il semblerait que davantage de commerçants aient décidé de maintenir leur exploitation (...) soit plus du double du nombre observé au printemps", note toutefois Altarea, qui compte notamment beaucoup de locataires dans les gares.Toutefois, "il est à ce stade trop tôt pour chiffrer l'impact de ce reconfinement sur le recouvrement des loyers du quatrième trimestre", prévient-il, alors que le gouvernement menace d'"obliger" les grands propriétaires à accepter plus de faveurs envers les commerçants.Reste qu'Altarea a déjà échoué à encaisser plus de la moitié des loyers prévus au second trimestre, puis encore près d'un cinquième au troisième.
Il y a 4 ans et 181 jours

Inovalis et Pitch Promotion annoncent la livraison de « Convergence », le plus grand siège de Danone dans le monde

Après une première pierre posée en décembre 2018, l’immeuble est livré le 19 octobre 2020. Convergence présente 25.090 m² de bureaux répartis sur 7 étages et 257 m² de commerce. Construit par Eiffage Construction, l’ensemble immobilier a fait l’objet de la signature d’un BEFA (Bail en État Futur d’Achèvement) par Danone pour une durée ferme de 12 ans.Au 17 rue des Deux Gares à Rueil-Malmaison, Convergence occupe une situation stratégique, à seulement quelques mètres de la station du RER A, à l’entrée du quartier tertiaire Rueil-sur-Seine, et à proximité du cœur de ville avec ses commerces.Une architecture ambitieuse pour le nouveau flagship de DanonePlusieurs défis avaient été lancés à Inovalis et Pitch Promotion dans le cahier des charges. Le concept même de l’immeuble était crucial pour pouvoir répondre à la mission de Danone qui prône une vision : « One Planet One Health ». Il fallait que cette ambition se traduise dans l’architecture extérieure et dans les aménagements. Son concepteur, le studio ORY.architecture, a fait le pari d’une architecture organique et ouverte, visant une intégration cohérente au cœur d’un quartier en pleine mutation.Vue de la rue, la façade propose des ondulations, évocatrices des organismes vivants. Elles sont interrompues par une percée visuelle, dans le travers du bâtiment. Le soubassement de l’immeuble est marqué par des poteaux en V qui dessinent une sorte de dentelle. Ils confèrent une identité forte au rez-de-chaussée. Ce dernier étant exclusivement consacré aux fonctions d’accueil, de commerce et de restauration.Son ouverture sur la ville, à deux pas de la gare de RER, a été clairement voulue. C’est pourquoi son intégration dans les espaces verts a été soigneusement pensée. Le square et les jardins de l’allée Armand Camus qui bordent l’immeuble ont tous deux été généreusement plantés, en pensant non seulement aux salariés, mais aussi aux riverains.À l’intérieur, les mêmes formes douces et fluides s’associent aux jeux de lumière naturelle, à la qualité des matériaux et à l’omniprésence du bois pour évoquer la nature et la santé. Organisés autour du square paysagé, les sept niveaux de bureaux sont reliés à deux halls d’accès baignés de lumière naturelle. Tous les espaces de Convergence répondent ainsi aux nouveaux usages du travail collaboratif. Ils sont parfaitement adaptés à la flexibilité et l’évolutivité réclamées par les utilisateurs.Conçu pour être agréable à vivre par ses utilisateurs, le design intérieur de Convergence est totalement orienté sur le bien-être, la qualité d’accueil et le confort de vie. Confiés au Studio Jean-Philippe Nuel, son architecture intérieure et ses aménagements incarnent les valeurs de son locataire : optimisme, générosité et bien-être...Convergence physique et culturelle des équipes DanoneLa qualité architecturale et les prestations de Convergence ont répondu en tous points aux attentes d’un acteur de premier plan, Danone. Ainsi, ce sont près de 1.600 personnes qui vont converger très bientôt vers cette nouvelle implantation, qui devient le plus grand siège de Danone dans le Monde.Seront réunies les divisions des « produits laitiers et d’origine végétale », des « eaux minérales naturelles » et de la « nutrition médicale », ainsi que des fonctions transversales : les ressources humaines, les finances, le secrétariat général, les services informatiques et quelques équipes internationales.Danone a dédié le 7e et dernier étage de l’immeuble, doté des plus grandes terrasses de l’immeuble, à des espaces particulièrement innovants dans leur aménagement : la factory, la place du village, l’auditorium, la salle Planète... Cette « convergence » physique et culturelle sur un seul site a pour objectif de favoriser les échanges entre les équipes et susciter de nouvelles synergies.« Cette réalisation illustre parfaitement notre engagement d’investir dans un immobilier neuf de qualité, en adéquation avec les objectifs des utilisateurs les plus exigeants. L’ensemble répond au cahier des charges de nos critères d’investissement en termes de profil, de localisation et de commercialisation » déclare Khalil Hankach, directeur général délégué d’Inovalis SA.« La livraison de Convergence marque une étape importante sur cet ambitieux projet, que nous avons réalisé avec notre partenaire Inovalis pour l’une des plus grandes entreprises françaises. Convergence démontre notre capacité à réaliser des ensembles attractifs pour des utilisateurs de premier plan et traduit parfaitement nos convictions sur le futur du bureau. Intégré à son environnement et le tissu urbain alentour, cet ensemble offrira aux salariés des conditions de travail uniques répondant aux nouveaux usages », ajoute Eugénie de Silguy, Directrice Immobilier d’Entreprise de Pitch Promotion.« Convergence incarne pleinement cette nouvelle génération de siège que Danone souhaite proposer à ses collaborateurs, un cadre de travail de qualité, des espaces favorisant une meilleure collaboration, dans un esprit de convivialité et cela, au service d’une croissance durable pour l’entreprise. Nous sommes impatients de voir nos équipes y emménager », précise Philippe Amiotte, Directeur Immobilier de Danone.L’art pour égayer le quotidienDans le cadre de cette opération, Inovalis et Pitch Promotion ont confié à l’artiste Sake STC, figure de proue de la scène du graffiti, la réalisation d’une sculpture magistrale qui sera installée au centre du square courant décembre. Cette œuvre «Atlas», d’une hauteur de 3 mètres, a été réalisée en résine, fibre de verre et inox. Très colorée, elle poursuit la démarche de l’artiste intitulée « Statue Art Crimes » combinant des sculptures classiques comme Poséidon ou Apollon avec l’art illégal de son adolescence, le street-art. Une collaboration artistique a aussi pu être nouée avec deux graffeurs rueillois. En compagnie d’un troisième auteur, ils se sont vu confier la décoration des parkings souterrains.Une intégration réussie dans le tissu localConvergence contribue grandement à la métamorphose d’un quartier majeur de Rueil-Malmaison. Le chantier, mené à un rythme soutenu, dans un tissu urbain déjà dense, a permis de faire naître un immeuble de dernière génération de plus de 25.000 m². Les travaux ont nécessité de charrier 350 tonnes de fer et métaux recyclés, 20.000 tonnes de béton recyclé, 18 tonnes de bois et de déchets verts.En récompense de ces efforts, le quartier à proximité de la gare de RER bénéficie d’une nouvelle identité urbaine. En remerciant la municipalité de la ville, Khalil Hankach n’a d’ailleurs pas manqué de souligner que désormais, « c’est une nouvelle page d’histoire qui s’ouvre dans ce quartier ».Détails du projetAssistant maître d’ouvrage : Aupera, filiale du Groupe Inovalis AdvenisMaître d’ouvrage délégué : SNC Pitch PromotionPreneur : Danone SAArchitecte : ORY.architectureArchitecte d’intérieur : Studio Jean-Philippe NuelEntreprise construction : Eiffage ConstructionAménagement bureaux Danone : CDBSurface utile brute locative : 25.253 m² (24.997 m² de bureaux et 255 m² de commerces)Niveaux : R+7 et 2 niveaux de sous-solsStationnement : 330 places, aires dédiées aux deux roues et enclos à vélosServices : Restaurant, café contemporain, auditorium, fitnessTerrasses : 1.468 m²Patio : 1.097 m²
Il y a 4 ans et 181 jours

Aldes prend une participation dans la Start-Up Teqoya

Cette opération est en parfaite cohérence avec sa stratégie dont le principal objectif est de contribuer à la conception de lieux de vie sains pour le plus grand nombre.Née en 2015 sous l'impulsion de Pierre Guitton, son co-fondateur et président, TEQOYA fabrique en France des purificateurs d'air, exploitant ses technologies brevetées d'ionisation et d'électrofiltration pour éliminer les microparticules polluantes et les aérosols vecteurs d'infections. Cette innovation permet de purifier l'air en permanence, sans production d'ozone et sans consommables. Primée lors de La French Touch Conference 2016 à New York, sélectionnée pour le French Tech Tour China par BPI France et Business France, la start-up réalise aujourd'hui plus de 70% de son chiffre d'affaires à l'export, notamment en Chine.Ce partenariat se traduira par l'intégration, dès 2021, de la technologie TEQOYA dans les solutions de ventilation et de purification d'air développées par le Groupe ALDES à destination des bâtiments résidentiels et tertiaires.Pour la start-up TEQOYA, la présence du Groupe ALDES à ses côtés lui permet de bénéficier de la puissance commerciale d'un groupe international présent sur de très nombreux de marchés professionnels et grand public."Nous sommes très fiers de ce partenariat made in France qui enrichit notre politique de développement vers des technologies efficientes." déclare Stanislas LACROIX, PDG du Groupe ALDES "Il est parfaitement en ligne avec notre raison d'être, notre stratégie et notre mouvement RévolutionAIR, porteur de notre engagement en faveur du renforcement de la prise en compte de la qualité d'air intérieur et de ses impacts sur la santé."Pour Pierre GUITTON, président de TEQOYA, "l'entrée du Groupe ALDES au capital de TEQOYA témoigne de la qualité de la relation engagée entre les deux entreprises depuis bientôt deux ans. Nous sommes très heureux de cette opération qui démontre la qualité et la pertinence de nos technologies, et confiants dans le potentiel des produits que nous développons ensemble pour améliorer la qualité de l'air de nos lieux de vie."Cette prise de participation s'inscrit dans la démarche d'innovation et de développement du Groupe ALDES, dont l'intention est de conclure d'autres partenariats avec des start-up dans son écosystème.
Il y a 4 ans et 181 jours

Concours "Les Génies de la construction !"

Imaginer un futur des territoires intelligents, durables et connectésOuverte aux élèves de collège et lycée et aux étudiants de l'enseignement supérieur, la 17e édition du concours Les Génies de la Construction ! est aujourd'hui lancée. Véritable démarche interdisciplinaire, le concours Les Génies de la Construction ! est une belle opportunité de valoriser auprès des jeunes la richesse et la diversité des métiers techniques et innovants du bâtiment et de travaux publics, ainsi que leur transversalité et leur capacité à s'adapter pour accompagner les mutations environnementales, technologiques et numériques. Encadrés par leurs professeurs, les jeunes compétiteurs sont invités à mener une réflexion collaborative et prospective, liée aux nouveaux défis de la construction et de l'aménagement des territoires, pour imaginer un futur des territoires intelligents, durables et connectés. Malgré le contexte de crise sanitaire liée à la Covid-19, 26 académies (171 équipes engagées et 29 projets finalistes) ont participé à l'édition précédente du concours, grâce à la mise en place d'un dispositif exceptionnel, afin de permettre aux équipes inscrites d'aller au bout de leur projet. Des vidéos de présentation des projets ont ainsi été réalisées, afin de permettre aux jurys d'évaluer les travaux à distance et sélectionner les lauréats.Pour sa 17e édition, le concours Les Génies de la Construction ! s'adaptera à nouveau avec agilité au contexte toujours perturbé, pour permettre aux établissements scolaires de participer et de s'investir pleinement dans leurs projets. S'inscrire dans les priorités du ministère de l'Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports et répondre aux enjeux des professionnels du secteur de la constructionDonner du sens et concrétiser les enseignements, par un travail transversal et collectif d'une équipe d'élèves ou d'étudiants, invitée à produire la réalisation d'une construction ou d'un aménagement (maquette physique ou virtuelle, production numérique, etc.). Le projet présenté est jugé sur sa faisabilité et sa capacité à se transposer sous une forme concrète et réalisable.Inscrire la transition numérique dans les apprentissages, pour préparer pleinement les élèves à une société, à des études supérieures puis à un monde du travail toujours plus numériques.Contribuer au développement d'une meilleure orientation scolaire et professionnelle des jeunes, afin de mieux accompagner les élèves dans la définition de leur projet d'orientation, qui peut représenter pour eux et leur famille une source d'inquiétude.Favoriser la promotion de la voie de formation professionnelle comme voie de formation d'excellence et de réussite, pour répondre aux nouveaux besoins en compétences des entreprises du secteur de la construction, en lien avec les transitions environnementales, technologiques et numériques, et renforcer l'attractivité de la formation professionnelle pour se former à un métier du bâtiment et des travaux publics. Inscrire l'éducation à l'avant-poste de la transition écologique pour répondre à la volonté du ministère de l'Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports de faire des établissements scolaires un terrain d'engagement en faveur du développement durable, de la biodiversité et de la lutte contre le changement climatique. Réaliser des productions durables et citoyennes Les productions que doivent réaliser, en équipe, les jeunes candidats doivent répondre aux problématiques posées par l'évolution d'un territoire intelligent, durable et connecté, sur l'une des thématiques suivantes :le logement ;la mobilité et les déplacements dans les territoires (pont, route, voie ferrée, etc.);les activités humaines (culture, industrie, éducation, santé, commerce, agriculture, loisirs);la préservation de l'environnement, y compris la gestion de l'eau et des déchets;les énergies locales et renouvelables.Concevoir un éco-quartier, faciliter la vie quotidienne des personnes à mobilité réduite, produire de l'énergie avec une route, exploiter la géothermie, identifier les innovations dans les matériaux, robotiser une tâche sur un chantier, optimiser l'apport solaire sur un bâtiment, assurer la bonne gestion de l'eau potable, gérer les risques d'inondations, construire des logements modulables et réversibles, favoriser la biodiversité en ville, la mobilité douce, la gestion intelligente de l'espace, stocker et restituer des énergies renouvelables... sont autant de sujets sur lesquels les élèves et étudiants peuvent débattre et travailler.Les équipes se répartissent en quatre catégories :« Collège » pour les élèves du cycle 4 ;« Pro » pour les élèves de SEGPA, d'EREA et de 3e prépa métiers ;« Lycée » pour les élèves du cycle terminal ;« Sup » pour les élèves et étudiants de l'enseignement supérieur (STS, IUT, université, école d'ingénieurs, etc.) .Afin de répondre et de s'adapter aux attentes des programmes d'enseignement et aux besoins des professionnels du secteur de la construction, les règlements de participation au concours ont été élaborés par des enseignants et des acteurs du secteur de la construction. Favoriser la créativité d'équipe, la mixité et l'interdisciplinarité Le concours Les Génies de la Construction ! récompense le travail collectif et collaboratif d'une équipe d'élèves ou d'étudiants pour une production relative à la réalisation d'une construction ou d'un aménagement (maquette physique ou virtuelle, production numérique, concrétisation d'un projet…).La participation au concours est l'occasion de favoriser le décloisonnement de manière générale, au travers :de la mixité transversale, en faisant travailler ensemble des élèves de formations différentes ;de l'interdisciplinarité, en mobilisant des savoirs et savoir-faire de plusieurs disciplines (technologiques générales) ; de la mixité verticale, en faisant participer des équipes intégrant des niveaux scolaires ou universitaires différents pour mener à bien un projet.Juger un projet sur sa faisabilité Le projet de construction est jugé sur sa faisabilité. La réalisation peut être représentée par maquette virtuelle ou autre production numérique et/ou matérialisée par une maquette physique du projet ou d'une partie « intelligente du projet. Pour cette 17e édition du concours, les participants de la catégorie sup devront réaliser une maquette virtuelle, afin que les solutions présentées prennent en compte la démarche BIM (Building information modeling), accompagnée d'une maquette physique de tout ou partie du projet présenté.Des open badges pour reconnaître les réalisations et les compétences des jeunesLe concours Les Génies de la Construction ! réitère en 2020-2021 l'édition d'open badges, initiée l'an passé. Ces images numériques, qui fournissent un système d'accréditation, permettent de reconnaître des réalisations et des compétences, formelles ou informelles, acquises à l'occasion d'un projet. Les open badges de participation et personnalisés, selon la catégorie et le prix remporté, seront attribués. Ils permettront ainsi aux jeunes qui les recevront de rejoindre la grande famille de la construction, en les inscrivant dans leur passeport pour la construction « My.constructionpass ».Les Génies de la Construction !, un concours organisé en deux étapesUne sélection académique (si le nombre d'équipes candidates le justifie) ou une sélection inter-académique, qui pourront être organisés en distanciel, avec une présentation orale devant un jury composé de représentants du ministère de l'Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports, de professeurs et d'acteurs de la construction.Une finale nationale organisée le 9 juin 2021 à Paris en format « phygital », pour permettre aux équipes d'élèves ou d'étudiants sélectionnées au niveau académique de présenter leurs travaux lors d'un « grand oral » devant un jury national, ou à distance. La date de clôture des inscriptions est fixée au 25 janvier 2021.Inscriptions, informations complémentaires et règlements disponibles sur : https://lesgeniesdelaconstruction.fr
Il y a 4 ans et 181 jours

Covid: le décret élargissant le nombre de personnes vulnérables bénéficiant du chômage partiel paru au JO

Un précédent décret avait mis fin, à compter du 1er septembre, au dispositif exceptionnel d'indemnisation (certificat d'isolement et chômage partiel) pour les travailleurs vulnérables, institué début mai en raison de la crise sanitaire. Plusieurs associations de patients et de professionnels de santé avaient alors exprimé leur inquiétude et demandé des garanties quant aux conditions de retour au travail des personnes vulnérables.Dans le décret paru mercredi, le gouvernement fournit la liste des situations jugées à risque, notamment avoir "65 ans et plus", "être au troisième trimestre de la grossesse", souffrir d'"hypertension artérielle compliquée", d'un "diabète non équilibré", d'"asthme sévère", d'obésité, de la maladie de Parkinson, d'un "cancer évolutif sous traitement (hors hormonothérapie)", etc.Si ces personnes vulnérables ne peuvent "recourir totalement au télétravail", elles devront bénéficier de "mesures de protection renforcées" sur leur lieu de travail, comme un bureau individuel ou un poste de travail aménagé, des gestes barrières renforcés... Les horaires de travail devront être adaptés pour "éviter les heures d'affluence". L'employeur devra aussi fournir des masques chirurgicaux "en nombre suffisant" pour les trajets entre le domicile et le lieu de travail quand la personne emprunte "des moyens de transport collectifs".Les personnes vulnérables qui ne pourront ni télétravailler à 100%, ni bénéficier des "mesures de protection renforcées" sur leur lieu de travail ou leur trajet domicile-travail, pourront être placées en activité partielle à leur demande et "sur présentation à l'employeur d'un certificat établi par un médecin", selon le décret."Lorsque le salarié est en désaccord avec l'employeur sur l'appréciation" des mesures de protection renforcées mentionnées dans le décret, il pourra saisir le médecin du travail et sera placé en activité partielle "dans l'attente" de son avis, indique le gouvernement.Saluant mercredi ce décret "visant à protéger" les travailleurs vulnérables, l'Unsa a toutefois regretté l'absence de "mesures pour les personnes vivant sous le même toit".La Ligue contre l'obésité "inquiète""Par principe de précaution, elles devraient pouvoir bénéficier des mêmes mesures de protection, ainsi que d'un droit opposable au télétravail lorsque le poste occupé le rend possible", estime le syndicat dans un communiqué.L'Unsa note en revanche "avec satisfaction" que le nouveau décret "précise des mesures de protection renforcées (...) indispensables pour assurer la sécurité des salariés vulnérables qui ne peuvent télétravailler". Elle juge aussi "positivement la possibilité pour le salarié de pouvoir bénéficier du chômage partiel, s'il évalue que les mesures visant à le protéger sont insuffisantes".La Ligue contre l'obésité, "inquiète", a pour sa part protesté contre "un décret en trompe-l'oeil", qu'elle qualifie de "marché de dupes" dans un communiqué.Selon l'association, "si l'employeur, déjà seul décideur de la mise en place du télétravail, estime que les précautions sanitaires sont suffisantes dans son entreprise, il pourra passer outre le certificat médical".Or "quel patient en situation d'obésité osera, malgré son certificat médical lui recommandant l'activité partielle, affronter son employeur au risque de recevoir au mieux une sanction, au pire de perdre son emploi?", souligne la Ligue contre l'obésité, rappelant que "les patients souffrant d'obésité peuplent déjà un très grand nombre de lits en réanimation dans tousles hôpitaux du pays".
Il y a 4 ans et 181 jours

Le gouvernement refuse d'autoriser les visites de biens immobiliers mais accepte de prolonger le dispositif Pinel

Au lendemain d'un appel lancé par dix grands réseaux immobiliers pour rendre possible la visite des biens immobiliers, la ministre a estimé sur BFM Business qu'il était "trop tôt" pour envisager tout changement."Il faut tenir bon", a-t-elle exhorté disant "bien comprendre" les difficultés des professionnels du commerce immobilier.Ces derniers se disaient dans une tribune "très inquiets pour leurs agences et leurs collaborateurs", soit "32.000 personnes réparties sur l'ensemble du territoire, au sein de 5.800 agences et cabinets dont la trésorerie a déjà beaucoup souffert cette année".Seule une "réponse interministérielle" pourra mettre fin aux restrictions en vigueur, a expliqué Mme Wargon, précisant qu'elle travaillait avec ces réseaux immobiliers sur "des protocoles sanitaires" pour encadrer les visites une fois le confinement levé.Interrogée sur l'avenir du dispositif Pinel, qui devait expirer fin 2021, la ministre a annoncé son prolongement en 2022.Ce dispositif est destiné aux futurs propriétaires qui comptent louer leur bien dans le secteur du neuf: ils ont droit à un dispositif fiscal avantageux s'ils s'engagent à demander un loyer inférieur au marché."Comment on va le prolonger ? A l'identique ou en l'améliorant ? Là, les discussions sont encore en cours", a-t-elle indiqué.
Il y a 4 ans et 181 jours

La concurrence des assurances emprunteur s'est nettement améliorée au bénéfice des clients

"L'assurance emprunteur est un marché sur lequel la concurrence est en marche, ainsi que l'avait souhaité le législateur dès 2010", a commenté le CCSF, instance de concertation où siègent à parité des représentants des établissements financiers et des clients, ainsi que des parlementaires et des représentants des organisations syndicales.Estimé à 9 milliards d'euros, le marché français de l'assurance emprunteur, très convoité dans un contexte de taux bas qui érodent les marges bancaires et compliquent la tâche de faire fructifier les primes d'assurances, reste en effet largement dominé par les établissements bancaires qui profitent généralement de la signature d'un prêt pour placer leur assurance de crédit "maison".En 2010, la loi Lagarde avait ouvert la possibilité pour les emprunteurs de choisir une autre assurance que celle proposée par leur banque. Et plusieurs autres lois votées par la suite ont tenté de favoriser davantage de concurrence sur le marché, notamment en permettant aux clients de changer d'assurance tous les ans."Le bilan montre que les consommateurs en sont, aujourd'hui, les principaux bénéficiaires, avec notamment des tarifs réduits et des garanties renforcées, et que, de ce point de vue, l'objectif du législateur a été atteint", se félicite le CCSF, précisant que les tarifs des contrats emprunteur ont connu des baisses allant de 10 à 40%."Le rapport du CCSF confirme que c'est un marché concurrentiel, sur lequel les différentes offres, y compris celles des bancassureurs, se développent et évoluent, dans l'intérêt des clients", a réagi la Fédération bancaire française (FBF) dans un communiqué distinct.Et de rappeler son "objectif constant d'assurer la protection maximale des emprunteurs et la solidarité des emprunteurs par la mutualisation des risques".Le CCSF se fait toutefois l'écho de "difficultés dans le processus global de souscription soulignées par les assureurs externes et courtiers", lesquels dans leur grande majorité attribuent ces obstacles à "l'organisation interne des banques pour le traitement des demandes de substitution".En outre, diverses carences apparaissent dans l'information transmise aux clients sur les conditions d'indemnisation et sur les produits proposés, pointe le CCSF, qui explique vouloir organiser des séances de travail "dans l'année à venir" pour progresser dans ce domaine.Ce constat global s'appuie sur la base d'un rapport réalisé par le cabinet indépendant Actélior. Et malgré les relations parfois tendues entre les protagonistes du secteur, "les membres du CCSF ont validé le choix d'Actélior pour mener cette étude, rédigé et approuvé les questionnaires, et ont apporté des données chiffrées qui permettent d'afficher un très bon niveau de représentativité du bilan", précise le comité.
Il y a 4 ans et 181 jours

Livrer vos projets dans les délais grâce aux solutions digitales Archipad

Archipad accompagne les professionnels de la construction et de l’immobilier dans leur transformation digitale depuis 2010. Archipad s’adresse à tous les métiers de la construction: architectes, maîtres d’œuvre, promoteurs, entreprises générales, bureaux d’études…La digitalisation, un outil de communicationLa mauvaise communication est aujourd’hui une des plus grandes sources de retards sur les chantiers.Archipad facilite et accélère la diffusion de l’information : les solutions Archipad sur navigateur web et applications iOS se chargent de synchroniser et consolider l’ensemble des travaux de vos collaborateurs. Votre équipe est ainsi toujours à jour grâce à une vue exhaustive des projets quelles que soient les phases du projet : exécution, OPR, pré-livraison, livraison et parfait achèvement.Une nouvelle fonctionnalité de visioconférenceArchipad simplifie également les échanges directs avec les équipes, en présentiel ou en télétravail grâce à la nouvelle fonctionnalité de visioconférence. Directement intégrée à Archipad Cloud et Archipad App, elle permet de créer des réunions en ligne sécurisées afin d’inviter jusqu’à 9 utilisateurs sur un projet de construction commun.La fonction visio vous permet également de partager votre écran sur Archipad Cloud : vous avez la possibilité de projeter à l'ensemble de la réunion vos différents documents (Word, Doc, présentations Powerpoint, Excel…).Générer un rapport en quelques clicsLe simple fait de réaliser un rapport peut être très chronophage, de 2 à 3 heures. Les rapports avec Archipad App, sont générés directement sur le terrain, en seulement 4 étapes. Ils peuvent également être complétés en revenant au bureau sur Archipad Cloud et adaptés selon la personne qui va les consulter.Des statistiques pour mieux détecter les faiblessesLes tableaux de bord permettent de visualiser de manière synthétique la performance globale du chantier grâce aux statistiques des données agrégées recueillies par vos collaborateurs.Un outil flexible et une équipe réactiveGrâce à la flexibilité de l’outil de création de formulaires Digitform, les équipes Archipad ont fourni gratuitement à leurs utilisateurs les fiches d’entretien COVID-19 seulement 48 heures après l’annonce officielle par l’OPPBTP.Excellente note et application intuitiveUne prise en main réalisée en moins de 15 minutes et des fonctionnalités adaptées à chaque étape, même hors connexion. Cette efficacité et satisfaction se traduisent par une évaluation de 4,5 sur 5 sur l’Appstore. Archipad: 100 000 projets accompagnés, sur plus de 60 pays.Se doter d’une solution digitale, c’est mieux suivre les réserves en vue de la livraison d’un ouvrage de meilleure qualitéQue ce soit au bureau sur Archipad Cloud, ou sur le terrain avec Archipad App et Mobi, vous gagnez un temps considérable. Vous gérez très facilement vos réunions de chantier, saisissez vos réserves et améliorez les échanges avec vos équipes et générez en un temps-record des comptes rendus de qualité.L’application est disponible en essai gratuit sur Appstore et sur internet : https://cloud.archipad.com/Vous pouvez vous inscrire gratuitement à une démo complète des solutions Archipad en ligne, et poser vos questions pour une parfaite connaissance de l’outil et de ses possibilités.Pour avoir des informations complémentaires sur nos solutions de suivi de chantier ou pour une démonstration : https://archipad.com/fr/demonstration-en-ligne/
Il y a 4 ans et 181 jours

Le boom attendu des énergies renouvelables devra être confirmé par les politiques selon l'AIE

"Les renouvelables peuvent résister à la crise du Covid mais pas aux incertitudes politiques", prévient Fatih Birol, directeur exécutif de l'AIE, qui publie mardi son rapport Renouvelables 2020.Cette année, tandis que les énergies fossiles s'effondraient, les capacités de production nouvelles ont porté à près de 90% sur des énergies renouvelables, tirées par le solaire, l'éolien et l'hydro-électricité, notablement aux Etats-Unis et en Chine. Ces nouvelles capacités devraient atteindre un niveau record de 200 gigawatts (GW).Le mouvement devrait s'accélérer encore en 2021, pour atteindre une croissance inégalée depuis 2015, indique ce bilan annuel, notamment avec la réalisation de projets suspendus pour cause de Covid-19.Ce boom de quelque 10% des capacités en 2021 devrait être particulièrement manifeste dans l'UE et en Inde, selon le rapport.Les capacités éoliennes et photovoltaïques devraient à cette allure dépasser celles du gaz en 2023 puis du charbon en 2024, estime l'Agence, qui conseille de nombreux pays dans leur politique énergétique."En 2025, les renouvelables devraient devenir la principale source de production électrique dans le monde, mettant un terme à cinq décennies de course en tête pour le charbon", souligne M. Birol: elles fourniront alors un tiers de l'électricité mondiale, avec une capacité équivalente au double des capacités chinoises actuelles toutes sources confondues.Ces prochaines années verront en particulier le boom de l'éolien en mer, alimenté par une chute rapide des coûts de production: en 2025, l'offshore devrait représenter un cinquième du marché éolien, estime l'AIE.Cette année, la course à l'équipement a été très visible aux Etats-Unis et en Chine, où les développeurs ont souhaité profiter de dernières subventions.Sur ces dix premiers mois, les mises aux enchères de capacités en Chine, en Inde et en Europe ont été supérieures de 15% par rapport à la même période en 2019, un "nouveau record qui montre bien l'importance des perspectives attendues à moyen et long terme", souligne le rapport. Et dans le même temps, sur les marchés boursiers, la valeur des actions des acteurs du solaire doublait par rapport à décembre 2019.L'AIE pour autant appelle les gouvernements à soutenir cet élan, et se dit préoccupée par la fin des mesures de soutien sur certains marchés clés comme la Chine et le photovoltaïque: en fonction de l'aptitude des gouvernements à répondre à cette incertitude, les capacités renouvelables nouvelles pourraient en 2022 soit légèrement décliner soit croître de 25%.
Il y a 4 ans et 181 jours

Concours Acier 2020

Il y a 4 ans et 182 jours

POINT.P lance son programme de sport en entreprise : « Tous Athlètes POINT.P »

L'entreprise a décidé d'intensifier la promotion de l'activité physique et sportive, en tant que levier de bien-être et donc de performance pour ses salariés. S'appuyant sur un vécu dans le sport de plus de 20 ans, POINT.P, a acquis la conviction qu'un collaborateur en forme est un collaborateur plus performant.Toute l'ambition du programme « Tous Athlètes POINT.P », est de diffuser une culture sport dans l'entreprise pour améliorer la Qualité de Vie au Travail (QVT).Dans le cadre de la démarche de vision partagée « Conquête 2025 », les équipes POINT.P ont co-élaboré la stratégie de l'entreprise. Elles se sont donné 18 défis pour y arriver et notamment le défi n°10 « Nous voulons des équipes solidaires ayant plaisir à travailler ensemble ». Favoriser le plaisir de travailler ensemble est une clé de la réussite pour accompagner la reprise économique et garantir le meilleur niveau de services à ses clients. C'est dans ce cadre que POINT.P lance son programme de sport en entreprise « Tous Athlètes POINT.P » en direction de ses 11 000 collaborateurs.« Avec « Tous Athlètes POINT.P », notre enseigne s'engage en transformant sa présence dans le sport en un véritable levier de mobilisation interne pour améliorer le bien-être physique, mental et social de nos collaborateurs. Car des collaborateurs en meilleure forme, ce sont des collaborateurs plus performants et nous y avons tous à y gagner. Mais dans notre esprit, cela va au-delà de la seule performance, c'est un engagement sociétal, qui vise à faire de l'entreprise un lieu plus humain, un lieu plus agréable à vivre. »Nicolas Godet, Directeur Général POINT.P et Directeur Général adjoint de SaintGobain Distribution Bâtiment FranceSi la pratique d'une Activité Physique et Sportive (APS) s'impose comme un enjeu de santé publique, c'est que ses bénéfices sont unanimement reconnus. Dans ce contexte, les entreprises deviennent des acteurs de plus en plus impliqués, pour intégrer cette dimension dans le quotidien de leurs collaborateurs. Avec ce programme, POINT.P assume cette responsabilité sociétale des entreprises à œuvrer pour la Qualité de Vie au Travail (QVT). Le soutien aux athlètes de haut niveau est donc désormais mis au service de cette vision d'avenir.L'expérience accumulée pendant les deux premières années du Team « Athlètes POINT.P », a beaucoup marqué l'entreprise. Malgré les conséquences de la crise, elle a influencé et orienté les réflexions de l'enseigne autour de la place et des bénéfices du sport pour ses collaborateurs.Trois athlètes ont été retenus par POINT.P pour devenir les ambassadeurs de ce nouveau programme, afin d'inciter, d'accompagner et d'encourager les collaborateurs à bouger plus !Il s'agit d'Anne-Laure Florentin (Karaté), d'Alexis Hanquinquant (Paratriathlon) et de Jordan Broisin (Handiski).Membre du « Pacte de Performance » depuis 2018, POINT.P a confirmé son soutien jusqu'au 31 décembre 2021, pour accompagner les trois champions, sur les grandes échéances sportives de l'année à venir, notamment Olympiques et Paralympiques.Le programme « Tous Athlètes POINT.P » a démarré dès le 14 septembre 2020, et sera progressivement enrichi dans le temps. Il comporte aujourd'hui trois dispositifs :1. Du 14 septembre au 18 octobre, POINT.P a organisé son premier challenge connecté interne, par équipe et accessible à tous quel que soit son niveau sportif. L'objectif était de réaliser le plus d'activités physiques (running, cyclisme et marche) en cinq semaines. Ce challenge a rencontré un grand succès en interne, avec plus de 1 500 participants (près de 14% des collaborateurs) qui ont parcouru ensemble 106 609 km en courant et à vélo. L'opération, qui renforce la cohésion interne, a pour vocation de devenir un rendez-vous récurrent du programme « Tous Athlètes POINT.P ».L'Enseigne a également décidé, avec ses collaborateurs, de reverser 6 868 € au fond de solidarité « Soutiens ton Club », afin d'aider les clubs les plus impactés par la crise sanitaire. Engagé depuis plus de 20 ans dans le sport français, et depuis bientôt 3 ans dans le Pacte de Performance, il est naturel pour POINT.P de continuer à soutenir le sport français à travers ce don, et de participer à l'équilibre quotidien offert par nos clubs.2. Le déploiement national d'un dispositif quotidien d'échauffement des collaborateurs en agence avant la prise de poste. Testé dans une série d'agences depuis 2019, cette « routine » va faire l'objet d'une diffusion plus large auprès de plus de 800 agences de l'Enseigne. L'objectif est de mieux préparer les collaborateurs, à leur journée de travail, notamment pour les métiers nécessitant des efforts physiques de manutentions.3. Enfin, pour encourager les collaborateurs à pratiquer une activité sportive, un dispositif de co-financement de dossards pour participer à des courses à pied en région est également mis en place. Celui-ci est construit avec les 11 directions régionales de POINT.P et il tiendra compte des envies des collaborateurs en matière de choix des courses.
Il y a 4 ans et 182 jours

Cheminées Poujoulat dévoile de nouveaux chapeaux de cheminée

Avec une nouvelle forme de « jupe » et l’intégration d’une trappe de ramonage, Cheminées Poujoulat entend simplifier la vie des installateurs, tout en garantissant la même performance de tirage.Un rôle primordial dans la gestion du tirageLe chapeau de cheminée permet de protéger le conduit et la souche de cheminée de la pluie et des vents violents. Sans cette protection, la pluie s'infiltrerait dans le conduit de cheminée et des risques de moisissure pourraient apparaître, et des problèmes de tirage pourraient se créer. Le chapeau permet également de dévier le vent vers le haut et empêche ainsi le retour de flamme dans la pièce. Il préserve des obstructions possibles (nids d'oiseaux, amas de feuilles…).Un nouveau design pour améliorer la performance…Les chapeaux CTIV qui équipent toutes les sorties de toit Terminal vertical en inox évoluent dans leur forme. En effet, la « jupe » du chapeau augmente en hauteur et améliore la performance face aux éléments climatiques qui évoluent singulièrement ces dernières années, notamment avec des épisodes de pluie de plus en plus intenses.… et une nouvelle fonctionnalité pour simplifier les interventionsUne trappe de ramonage a été ajoutée pour faciliter l'entretien des conduits sans démontage du chapeau. Les interventions de maintenance sont simplifiées pour les conduits de poêles à granulés.Son utilisation est simple : la trappe en partie supérieure se verrouille et se déverrouille aisément grâce à la fermeture automatique et sa goupille de sécurité. À noter que sur le plan aéraulique, cette modification technique n'impacte pas la performance.Sans évolution de prixTestée par le laboratoire CÉRIC et brevetée, cette innovation apporte un réel plus et répond aux exigences des clients de Cheminées Poujoulat. Le prix reste inchangé et l'ajout de cette innovation permet d'apporter aux installateurs une solution d'entretien des conduits aisée et optimisée.
Il y a 4 ans et 182 jours

Eiffage et Vinci remportent plusieurs contrats à l'étranger

Eiffage a été désigné "adjudicataire pressenti" par le ministère norvégien des Transports pour aménager un tronçon d'autoroute "qui reliera les villes de Langangen à Rugtvedt, pour un montant d'un peu plus de 190 millions d'euros", a-t-il détaillé dans un communiqué.Le contrat, qui comprend la construction de plusieurs viaducs, pourrait être complété par un nouveau marché, cette fois de 260 millions d'euros sur la même autoroute.De son côté, Vinci a gagné deux contrats, via sa filiale Eurovia, auprès de Deutsche Bahn, équivalent allemand de la SNCF, pour un montant total de 67 millions d'euros. L'un vise à rénover la gare de Bonn-Beuel et l'autre à construire ou rénover plusieurs kilomètres de chemin de fer.
Il y a 4 ans et 182 jours

Le coût du "chantier présidentiel" du château de Villers-Cotterêts débattu à l'Assemblée nationale

Tandis que certains députés d'opposition jugent le projet "disproportionné", l'entourage de la ministre de la Culture, Roselyne Bachelot, souligne auprès de l'AFP "le niveau de délabrement" du site, un "scandale patrimonial"."C'est la première fois sous la Ve République qu'un président de la République place son +grand chantier+ hors de Paris", contrairement au Centre Pompidou, au Grand Louvre, à la BNF ou au Musée du Quai Branly, insiste-t-on rue de Valois.Dans l'hémicycle, la députée LR Valérie Bazin-Malgras, bien que "réjouie" par la "rénovation de ce château Renaissance", s'est dite "frappée de la disproportion des moyens qui lui sont consacrés"."Cela sème le doute sur l'ambition initiale de ce grand projet présidentiel", a-t-elle jugé lors de l'examen du budget 2021 du ministère de la Culture."Le projet envisagé apparaît aujourd'hui assez disproportionné à un moment où chacun est invité à revoir ses ambitions à la baisse", a abondé Frédérique Dumas, du groupe Libertés et Territoires."Ce n'est pas parce que les travaux dérapent, mais parce que les financements privés et le mécénat ne sont pas au rendez-vous, ce que l'on peut comprendre", en cette période de crise, a nuancé le député LR Gilles Carrez.Dans un rapport parlementaire, Gilles Carrez précise que la prise en charge de l'Etat s'alourdit en raison "de travaux non prévus initialement, dont 60 millions d'euros pour la réfection de la cour et le clos et couverts des espaces appelés à accueillir des activités privées"."Aucune contribution de mécénat n'a pu être mobilisée, alors que 25 millions d'euros étaient attendus à ce titre", ajoute-t-il.Pour l'entourage de Mme Bachelot, ce projet est "un acte très fort de déconcentration" et pour la francophonie."Il est certain que c'est une somme très importante, qui reflète l'engagement présidentiel pour le sujet", poursuit-il. "Cet important chantier de restauration répare un véritable scandale patrimonial: l'abandon par l'Etat, propriétaire du château depuis 1794, de ce témoin majeur de l'Histoire et de l'architecture française."M. Macron avait annoncé en 2018 son souhait de faire du château de Villers-Cotterêts, château royal du XVIe siècle bâti par François Ier, un "laboratoire" de la francophonie.C'est dans ce château qu'a été promulguée en 1539, l'ordonnance de Villers-Cotterêts qui a rendu l'usage de la langue française obligatoire dans tous les documents officiels.
Il y a 4 ans et 182 jours

La Maison Blanche russe en état de délabrement

Le service de presse du gouvernement russe, cité par l'agence de presse TASS, a indiqué vendredi que la Maison Blanche avait été classée en état de délabrement.Il a ajouté que des "travaux de reconstruction" d'ampleur étaient nécessaires, du fait notamment "de la dégradation de l'étanchéité du bâtiment, du mauvais état des toitures et par conséquent d'un grand nombre de fuites, notamment dans les sous-sols". Étant donné la taille importante de l'édifice, les travaux se feront par étapes et une partie du personnel sera relogée, précise cette source.Le coût total des travaux a été estimé à 5,27 milliards de roubles (58,9 millions d'euros au taux actuel).Inaugurée en 1978, recouverte de granit et de marbre, l'imposante Maison Blanche, sur les rives de la Moskova, a accueilli d'importantes institutions soviétiques et le Congrès des députés du peuple, équivalent du Parlement, jusqu'en 1993.En octobre 1993, elle avait été le théâtre d'une crise politique sanglante impliquant des parlementaires conservateurs opposés notamment à la nouvelles Constitution promue alors par le président Boris Eltsine.Réfugiés dans le bâtiment, des députés et leurs soutiens en avaient été expulsés le 4 octobre après un assaut des forces spéciales ayant fait officiellement quelque 150 morts. Une grande partie de l'immeuble, pilonné par des tirs de chars, avait été dévastée par les flammes lors de ces affrontements.Le bâtiment avait ensuite été remis en état, devenant le siège du gouvernement russe actuellement dirigé par Mikhaïl Michoustine. Vladimir Poutine y a aussi travaillé lorsqu'il fut Premier ministre de 2008 à 2012.
Il y a 4 ans et 182 jours

Chevilles plastique W-UR de Würth

Il y a 4 ans et 182 jours

Le nu-propriétaire risque des condamnations qu'il ignore

La question était soulevée par le nu-propriétaire d'une parcelle inconstructible, poursuivi en justice parce qu'un mobile-home y était installé.Il faisait valoir que l'installation dans ce secteur naturel interdit était une infraction commise par l'utilisateur du terrain, c'est à dire l'usufruitier, et que lui-même n'y était pour rien.Lorsqu'un bien immobilier est "démembré" entre un nu-propriétaire et un usufruitier, seul ce dernier a la possibilité de l'utiliser, rappelait-il.Mais pour la Cour, le nu-propriétaire peut être condamné si l'on retient qu'il est aussi bénéficiaire de l'installation interdite. Selon les juges, ce nu-propriétaire de la parcelle est responsable des faits, même s'il n'en est pas à l'origine.Il peut aussi se voir imputer l'obligation de détruire la construction illégale et de remettre les lieux en l'état, ont rappelé la justice, car la remise en état est une mesure attachée au bien lui-même et non une peine qui serait attachée à la personne qui a commis l'infraction.La Cour avait d'ailleurs jugé en mai 2015 que l'obligation de démolir une construction illégalement bâtie se transmettait avec le bien lui-même à tout nouveau propriétaire.(Cass. Crim, 18.12.2018, M 18-80.536).
Il y a 4 ans et 183 jours

Malgré le reconfinement, Eiffage ne change pas ses prévisions

Le groupe, numéro 3 français du BTP après Bouygues et Vinci, a fait état, dans un communiqué, d'une petite baisse de ses revenus au troisième trimestre à 4,57 milliards d'euros, soit 2,3% de moins qu'un an plus tôt.Il a notamment subi une baisse de son chiffre d'affaires dans ses activités de chantiers, un secteur qui reste sujet à de nombreuses contraintes dans le cadre de la crise sanitaire.Le groupe, qui avait subi une perte nette au premier semestre en raison notamment d'un confinement de plusieurs semaines en France, doit actuellement gérer de nouvelles mesures de ce type mises en place fin octobre."L'activité se poursuit dans les travaux, [mais] ce deuxième confinement pénalisera inévitablement les trafics autoroutier et aéroportuaire en France", a prévenu le groupe.Pour autant, Eiffage, qui est surtout actif dans les concessions d'autoroutes et se concentre sur des aéroports français par contraste avec son concurrent Vinci, ne change pas les prévisions qu'il avait actualisées l'été dernier, lors de ses résultats semestriels.Il fait toujours état de "perspectives d'activité et de résultats attendus en forte baisse sur 2020", mais sans évoquer une perte annuelle car il attend "un redressement significatif au second semestre".
Il y a 4 ans et 183 jours

A Paris, dans les tours endormies de la Défense, plus grand quartier d'affaires d'Europe

Après avoir refermé la porte de l'espace de travail de 25 postes à l'isolement depuis qu'un cas Covid a été détecté au sein d'une équipe, Laurent Lévy, directeur général de Freelance.com, située au 18e étage de la Grande arche, parcourt les 1.200 m2 à moitié déserts de son entreprise de 200 salariés."On navigue à vue", lâche-t-il, sans compter "l'impact systémique qu'on va se prendre sur l'année 2021."Par la fenêtre du plateau plongé dans le noir, les immenses tours futuristes percent à peine le ciel de plomb en cette journée d'automne morose, près d'un an après l'apparition du coronavirus.En contrebas, les cadres supérieurs en costume slaloment entre les gratte-ciels du quatrième centre d'affaires au monde. Les grandes enseignes et le centre commercial Les 4 Temps brassent leur flux de consommateurs. Des adolescents en baskets squattent les marches menant à la Grande arche, dont des techniciens en apesanteur réparent l'ascenseur vertigineux.Derrière les murs des 59 tours de verre et d'acier, plus rien ne ressemble au monde d'avant.Selon l'établissement public Paris-La Défense, qui gère ce quartier construit dans les années 60, depuis la fin du confinement en France en mai, la fréquentation de ses quelque 180.000 salariés a baissé de 40%. Les 3,7 millions de m2 de bureaux des 500 entreprises sont bien clairsemés.De la fourmilière qu'était La Défense, qui abrite banques, sièges sociaux du CAC 40 ou grandes entreprises internationales, "il ne reste pas grand-chose", soupire Rabah Kidri, responsable d'équipe dans une grande banque du quartier.Sens de circulation imposésAu bureau de ce trentenaire, entre le télétravail, les mesures barrière et les sens de circulation imposés, les salariés ne sont "plus jamais en même temps au même endroit". Les liens sociaux se délitent, le travail est ralenti."Pour aller voir Antoine qui est à trois chaises derrière moi, je suis obligé de faire le tour de deux salles", explique le jeune homme, au siège de son entreprise deux à trois jours par semaine."Si on le fait, c'est qu'il y a nécessité, (...) alors qu'avant, on pouvait le faire plusieurs fois dans la journée, ne serait-ce que pour voir comment ça allait ou se faire un petit coucou."Dans une autre tour, siège d'un géant de l'énergie, Mohamed, qui nettoie des bureaux à la Défense depuis 17 ans, a vu l'atmosphère changer radicalement."Avant le Covid, les employés se permettaient de boire un café avec nous, ils rigolaient. Maintenant, c'est travail, travail et rien d'autre. Même quand ils nous voient à la cafétéria, ils vont nous regarder : est-ce que tu es masqué, quelle est ta société... Les gens sont méfiants !"Pour les agents d'entretien, la pression est forte. "On est en première ligne. On n'a pas le droit à l'erreur. On oublie de mettre un savon dans les toilettes et l'affaire remonte tout en haut", raconte Mohamed, qui préfère ne pas donner son nom de famille. Comme ses collègues, il craint d'attraper le virus "mais après on n'a pas le choix, il faut qu'on travaille."Le mot d'ordre : "rassurer", même si la charge de travail s'en trouve alourdie. "Les gens doivent voir qu'on est partout, qu'on désinfecte les ascenseurs, les bureaux, comme ça, dès qu'ils touchent quelque chose, ils savent que ça a été nettoyé."A la pause déjeuner, Mohamed court pour tout aseptiser, claviers d'ordinateurs, tables, plexiglas entre les bureaux.Rabah Kidri lui préfère éviter la cantine, qui n'a plus rien d'un lieu de convivialité: il faut y réserver sa place une semaine à l'avance, pour un créneau d'une demi-heure."Le visage de l'autre"Ambiance "morose", "tendue" à la Défense, disent ses salariés.Face aux visages masqués et aux plateaux fantômes. "Tout le monde attend avec impatience de pouvoir enlever son masque, moi le premier, pour respirer un peu et ne serait-ce que pour voir le visage de l'autre", dit Laurent Lévy de Freelance.com.Face à la deuxième vague et aux nouvelles mesures qui ne cessent d'être annoncées, au risque d'aggraver la crise économique. Pour cette année, l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) prévoit une récession de 9% et la destruction de 840.000 emplois en France.Si les grandes sociétés des tours de la Défense paraissent solides, elles prennent des coups.Le cours de l'action Société Générale a presque été divisé par trois depuis février. Dans certains groupes, l'activité a chuté au point que les salariés sont désoeuvrés. "Les managers essaient d'occuper les gens en confiant des tâches annexes", souffle cet employé d'une petite institution financière."Tout est devenu plus pesant", soupire Chantal Raisséguier, directrice d'une société de conseil immobilier spécialisée dans l'hôtellerie."Dès que les choses redémarrent un peu, on a le sentiment qu'il va y avoir des annonces négatives, des freins qui se remettent. (...) Ça donne le sentiment que ça ne va jamais s'arrêter."Sans compter des conditions de travail déshumanisées.A Freelance.com, comme dans beaucoup de sociétés de La Défense habituées aux outils numériques, le télétravail, imposé massivement et de manière soudaine, est la règle. Pour la plupart, les échanges se font depuis des mois par emails, visio, téléphone.L'intégration des "nouveaux" est un casse-tête. A distance, "c'est quand même beaucoup plus compliqué de comprendre ce qu'on fait, qui est qui, les tenants et aboutissants de l'organisation", souligne Claude Tempe, vice-président de la société."Le body langage, les rapports humains, les ragots de couloir, tout ça construit la façon dont les gens communiquent entre eux."Cyril de Thoury, qui dirige un pôle de neuf personnes dans sa banque, raconte avoir recruté un jeune alternant sans l'avoir jamais rencontré. Son intégration avec des équipes présentes seulement 50% du temps a posé d'énormes difficultés.Réinventer le bureauMais globalement, à Freelance.com comme ailleurs, le télétravail n'a pas posé de problèmes logistiques majeurs. "On a réussi à maintenir un niveau d'activité et de service quasi équivalent à ce qui se faisait quand tout le monde était au bureau", constate Claude Tempe.Nombre de salariés ont d'ailleurs compris que l'ère de la présence au bureau touchait à sa fin. La pandémie a montré "qu'on peut très bien travailler de n'importe où en France avec une efficacité presque équivalente", dit Rabah Kidri prêt à "aller travailler ailleurs avec un salaire peut-être un peu moindre mais une qualité de vie supérieure".Un moyen de faire des économies pour des sociétés qui pourront être tentées d'y louer moins de m2 - comme certaines grosses entreprises l'ont déjà envisagé à la City de Londres ou à Manhattan.A La Défense, quatre nouvelles tours sont en construction, dont deux de plus de 200 mètres de haut.Paris-La Défense se veut optimiste: "On sait que l'immobilier est fait de cycles et depuis 60 ans La Défense en a connu de nombreux."Mais Christophe Burckart, directeur général de IWG, entreprise qui loue 18.000 m2 pour le coworking dans le quartier, ne croit pas à un retour en arrière. "Le bail conventionnel où les entreprises doivent s'engager à louer pour 6, 9 ou 12 ans devient une rigidité très contraignante pour les entreprises", affirme-t-il.Persuadée que "le bureau va devoir se réinventer", Mme Raisséguier parle désormais au passé de ce pôle économique "extrêmement vivant" où elle a travaillé une vingtaine d'années."Est-ce que le quartier redeviendra aussi plein qu'avant ? Pas certain", avance-t-elle, alors que tout le monde subit le reconfinement.
Il y a 4 ans et 183 jours

Des permis de construire accordés par le maire de Bonifacio à son prédécesseur annulés

Les associations U Levante et l'association bonifacienne comprendre et défendre l'environnement (ABCDE) ont contesté la validité de deux arrêtés municipaux pris en août et septembre 2019 par l'actuel maire Jean-Charles Orsucci (LREM).Ces arrêtés accordaient des permis de construire à Jean-Baptiste Lantieri, l'ancien maire (DVD) de 1998 à 2008 de la cité des Falaises, à l'extrême sud de l'île de Beauté.Le premier permis portait sur la création d'une résidence de tourisme de 32 logements et le second de 46 appartements.Dans les deux cas, le tribunal administratif de Bastia a estimé que le secteur des projets ne respectait pas le code de l'urbanisme précisé par le plan d'aménagement et de développement durable pour la Corse (Padduc) et a annulé les permis de construire, selon les décisions de justice prises mardi et consultées par l'AFP."Le projet en litige s'implante dans un espace essentiellement vierge d'urbanisation où sont implantées quelques constructions de façon diffuse ne pouvant de ce fait être regardées comme constituant une agglomération ou un village", indique le tribunal dans sa décision portant sur le second projet.
Il y a 4 ans et 183 jours

Télétravail: Elisabeth Borne prévient les employeurs récalcitrants qu'ils s'exposent à des sanctions

Après une visite au siège de BNP Paribas dans le quartier Opéra, puis dans les locaux d'Engie et de Total à la Défense, la ministre a insisté lors d'un point presse sur le caractère "indispensable" du télétravail pour les activités qui le permettent, au vu de l'épidémie "très brutale" de Covid-19.Depuis une semaine, la nouvelle version du protocole national en entreprise prévoit que "100% des tâches télétravaillables doivent être télétravaillées", a-t-elle rappelé, des règles qui semblent appliquées avec moins d'entrain depuis le nouveau confinement."J'ai passé ma semaine à appeler des dirigeants d'entreprises, des DRH, pour leur dire que même si aujourd'hui - et c'est ce qui revient beaucoup - les salariés ne souhaitent pas majoritairement repasser à 100% en télétravail, il faut le faire", a ajouté la ministre, plaidant qu'il faut trouver "le bon équilibre" entre poursuivre l'activité économique et "casser la dynamique de l'épidémie"."C'était important pendant cette semaine de sensibiliser" et ensuite "si jamais certaines entreprises n'ont pas compris, on sera dans notre rôle de conseiller, d'accompagner, mais aussi de contrôler et si ça ne va pas, de mettre en demeure et d'avoir des sanctions", a affirmé la ministre."On fait d'abord confiance" au dialogue social et "si certains ne comprennent pas, on sera amenés à faire des sanctions", a-t-elle insisté.Au siège de BNP Paribas, dans la matinée, la ministre a visité un immense open-space quasiment vide, la direction indiquant n'avoir "jamais fait revenir tous les salariés" depuis la première vague. Dans une agence bancaire, "service essentiel" selon la direction, 6 salariés sur 9 étaient en revanche présents, avec un protocole sanitaire strict.La ministre s'est ensuite rendue au siège d'Engie, accueillant en temps normal 4.000 personnes. Ils n'étaient que 80 vendredi, soit 2%, contre environ "2.000 avant le second confinement", selon l'entreprise. Celle-ci a expliqué avoir choisi de laisser "des soupapes" pour les personnes ayant des raisons personnelles de venir, car "trop seules ou dans des appartements trop petits", ou ayant des activités nécessitant d'être sur place (dépannage informatique, service courrier...).Enfin, chez Total, la direction a fait état de 8% de personnes présentes vendredi dans les 4 sites du groupe du quartier d'affaires, et 20% en moyenne sur la semaine.Le ministère a commandé un sondage pour mesurer l'état réel du recours au télétravail, attendu en principe en début de semaine prochaine.
Il y a 4 ans et 183 jours

Les professionnels du Bâtiment fustigent deux amendements relatifs au PTZ et au « Pinel »

D’abord, l’engagement de prorogation en 2022 n’est respecté que pour le PTZ. Malgré des assurances répétées, le Pinel s’arrêterait toujours fin 2021. Alors que depuis mi-2017, le secteur subit une chute de production de près 100.000 logements, le Gouvernement serait donc prêt à renoncer à un dispositif qui permet de loger 50.000 ménages par an dans les zones tendues à des prix conventionnés.Ensuite, le gouvernement ne saisit pas l’opportunité de renforcer ces dispositifs, en boostant le PTZ pour les ménages jeunes et modestes, en particulier en zones B2 et C, ou en boostant le Pinel pour encourager la mobilisation de l’épargne privée en faveur du logement neuf. Il manque ainsi l’occasion de soutenir le secteur de la construction alors qu’il reste un des rares leviers de croissance domestique.Enfin, le gouvernement fait le choix de la complexité. La « contemporanéisation » des ressources s’appliquerait au PTZ, alors qu’elle achoppe depuis des mois pour les APL. Les plafonds de loyer du Pinel seraient redéfinis chaque année, probablement commune par commune, pour respecter le plafond fixé par l’amendement, sans explication sur l’opérationnalité d’une règle applicable au ... 1er janvier 2021 !Pour les signataires « ces dispositions ne répondent en rien à l’urgence, alors que les ventes plongent depuis des mois et les permis depuis trois ans. La chute de l’activité de la construction est d’ores et déjà certaine en 2021. Les amendements du gouvernement ne l’empêcheront pas. La mise en place d’une RE2020 dont personne, pas même le gouvernement, n’est en capacité de mesurer l’impact aujourd’hui, va même l’accélérer. C’est un long hiver qui se profile pour le secteur de la construction. Le pire de la crise est-il un moment bien choisi pour affaiblir des dispositifs qui ont fait leur preuve ? »
Il y a 4 ans et 183 jours

Dix groupes immobiliers appellent le gouvernement à autoriser les visites de biens

"Signer un mandat de vente, contracter un prêt immobilier auprès de sa banque, régulariser un acte chez son notaire et même déménager" sont des actes réalisables, en revanche, la visite d'un bien est interdite, déplorent dans une tribune les dirigeants de dix vastes réseaux immobiliers en France (l'Adresse, Century 21, Citya, Era, Foncia, Guy Hoquet, Laforêt, Nestenn, Nexity et Orpi).Au nom de "l'intérêt général et du droit au logement", ces professionnels demandent à l'exécutif "de reconsidérer" [sa] position en la matière."Ce chaînon manquant bloque l'intégralité des ventes et des locations et plonge certains de nos compatriotes dans des situations de détresse et de grande fragilité", estiment-ils dans cet appel adressé au président de la République, au Premier ministre et à la ministre déléguée chargée du Logement, Emmanuelle Wargon.Se disant "prêts à renforcer encore les protocoles" sanitaires, les dirigeants avancent différentes propositions comme "limiter le nombre de visites et de visiteurs, nettoyer les lieux à chaque passage, obliger nos collaborateurs à télécharger l'application TousAntiCovid pour tracer leurs visites"."Toutes les options sont sur la table", affirment-ils.Tous se disent "très inquiets pour [leurs] agences et leurs collaborateurs", soit "32.000 personnes réparties sur l'ensemble du territoire, au sein de 5.800 agences et cabinets dont la trésorerie a déjà beaucoup souffert cette année".En jeu également, d'après ces dirigeants, le niveau des prix immobiliers. "Les projets suspendus durant le confinement vont s'accumuler et entretenir la hausse des prix", prévoient-ils."Dans un contexte économique difficile, cela va plonger de nombreux Français dans des situations complexes", jugent-ils.
Il y a 4 ans et 183 jours

En pleine tension avec l'Etat, Action Logement change de dirigeant

"Le conseil d'administration d'Action Logement Groupe a choisi, lundi 9 novembre, Nadia Bouyer pour diriger le groupe", a annoncé Action Logement dans un communiqué. "Elle succèdera à Bruno Arbouet, en fonction depuis 2015."Action Logement est l'un des principaux acteurs français du monde HLM et même du logement en général. C'est un organisme géré de concert par le patronat et les syndicats, à partir d'une taxe prélevée auprès des entreprises. Le départ de M. Arbouet avait été décidé voici plus d'un an, mais les représentants de l'Etat chez Action Logement s'y étaient opposés, arguant notamment d'indemnités excessives de départ.C'est un signe parmi d'autres de relations tendues entre l'Etat et l'organisme. Celles-ci se sont encore crispées à la rentrée avec un prélèvement d'un milliard d'euros par le gouvernement, puis la volonté affichée par celui-ci de réformer Action Logement. Citée dans le communiqué, Mme Bouyer a promis de garder le "cap" d'Action Logement, "dans une période où l'accès au logement est une problématique majeure pour nombre de nos concitoyens". La nouvelle dirigeante était déjà une responsable d'Action Logement, dont elle dirigeait une filiale, Seqens, un gros acteur du logement social en Île-de-France. Auparavant, elle a notamment conseillé François Fillon sur les questions de logement lorsque le futur candidat de droite à la présidentielle était Premier ministre à la fin des années 2000. Elle a également fait un passage par la Cour des Comptes.
Il y a 4 ans et 184 jours

La marque française Technal célèbre ses 60 ans

Un esprit visionnaire insufflé par son fondateur André Bos, créateur en 1963 du profilé rainuré « 4114 » qui a bâti la « success-story » TECHNAL. Marque de référence dans le monde de l'architecture et du bâtiment, et également chez les particuliers, TECHNAL est reconnue à l'international pour la qualité et la performance de ses solutions. Des menuiseries innovantes, design et gages de confort pour les utilisateurs qui vivent en harmonie, reflets de son ADN. Sa proximité avec l'ensemble des professionnels, son sens du service, son écoute… sont également des valeurs fondatrices et fédératrices que TECHNAL s'attache à perpétuer. À la recherche de l'excellence, elle s'appuie sur l'engagement et la passion des femmes et des hommes pour l'atteindre.60 ans d'innovation et de designInnover, en imaginant des choses simplement mais différemment, telle est la philosophie de TECHNAL. Un esprit pionnier, nourri par la marque, pour toujours conserver une longueur d'avance.* Véritable apporteur de solutions, TECHNAL est à l'origine de nombreuses avancées technologiques aujourd'hui démocratisées. Du coulissant épuré et performant GK considéré, dès sa commercialisation en 1975, comme la « Rolls des baies coulissantes » à la première véranda à tubulure du marché baptisée JADE en 1993, en passant par le lancement de la gamme de fenêtres universelles SOLEAL en 2007, le premier coulissant à ouvrant caché LUMEAL en 2009, la fenêtre anti-bruit active en 2015 ou plus récemment la fenêtre climatique en 2017… Créatrice de tendances, la marque a fait évoluer l'offre de finitions : le blanc laqué TECHNAL, les collections EXCLUSIVES aux tonalités texturées et en 2019 les couleurs « Regards d'architectes » en collaboration avec ALAIN MOATTI et KENGO KUMA. TECHNAL a également été précurseur en communication. Elle a par exemple été la première marque dans le secteur de la menuiserie à être présente en télévision dès 1987.60 ans de passion pour l'architectureANDRÉ BOS a noué très vite des relations étroites avec les architectes. Cela a débuté avec des documentations complètes que les commerciaux leur remettaient en mains propres à travers la France. En 1987, TECHNAL franchit un nouveau cap en confiant la réalisation de son stand BATIMAT à un architecte de renom. DOMINIQUE CHÂTELET, JEAN NOUVEL, JEAN-MICHEL WILMOTTE, NORMAN FOSTER, FRANÇOISE-HÉLÈNE JOURDA, JACQUES FERRIER, NICOLAS MICHELIN, KENGO KUMA, STEFANO BOERI…, la collaboration se poursuit depuis 33 ans.En 2002, le lancement du PALMARÈS ARCHITECTURE ALUMINIUM TECHNAL est l'occasion de valoriser la coopération entre les architectes, les maîtres d'ouvrage, les fabricants-installateurs et l'industriel.Pour poursuivre et renforcer son histoire avec les prescripteurs, TECHNAL lance fin 2018 sa communauté « Club 4114 ». Au programme : échanges d'expériences, inspirations et amour pour l'architecture. En 2019, le concours international WORLD ARCHITECTURE TECHNAL AWARDS (WATA) marque d'une nouvelle pierre blanche l'histoire de TECHNAL. Il confirme le rayonnement de la marque française, reconnue au-delà des frontières pour son savoir-faire et ses solutions en aluminium conjuguant design et confort de vie.
Il y a 4 ans et 184 jours

Une résidence séniors ID&AL groupe sur le site de l'ancienne clinique de Mont de Marsan

114 logements, destinés à la location, verront ainsi le jour d'ici septembre 2022 au sein d'un programme visant à réduire les situations d'isolement des personnes âgées grâce à de nombreux services et une proximité directe du centre-ville.Le 14 septembre dernier, rue Henri Duparc à Mont de Marsan (40), a débuté la construction d'un programme pensé et développé par ID&AL groupe, avec le concours de l'Atelier SCHWEITZER Architectes. Ce projet consiste en la réalisation d'une résidence de services à destination des populations dites « seniors ». Cet habitat intermédiaire, véritable alternative entre l'Ehpad et le domicile, constitue une solution d'avenir pour les publics visés qui se retrouvent trop souvent isolés en périphérie de Mont de Marsan. Les habitants des 114 logements prévus par le programme jouiront d'une implantation idéale au cœur de la ville. Ainsi facilité, l'accès aux commerces, transports, loisirs et dispositifs médicaux est propice au lien social et complémentaire aux multiples services de la résidence assurant protection, sérénité et qualité de vie. Parmi les services et aménagements pensés par ID&AL groupe : espace d'accueil, restaurant, bar, piscine, salle de fitness, salle de détente. Une architecture responsable et agréable L'espace abandonné depuis le départ de l'ancienne clinique de Mont de Marsan a permis de concevoir un programme ambitieux et respectueux de son environnement naturel et calme. La prise en compte des maisons individuelles et du Parc Jean Rameau voisins a participé aux choix architecturaux évitant un volume continu et monotone. C'est dans ce cadre que le bâtiment se décline tout d'abord suivant une stratification horizontale avec un socle affirmé qui le « pose » sur le terrain en pente dont il convient d'accompagner la déclivité tout en gérant les différentiels de hauteurs. Les étages courants sont traités avec une alternance de loggias, baies libres et baies donnant sur balcons, et tous les appartements bénéficient d'une ouverture sur l'extérieur. Placés en sous-sol, les stationnements favorisent ainsi les espaces verts et les cheminements piétons en surface ainsi qu'un boulodrome. Le choix de la labellisation NF HQE vise quant à elle à limiter à court et long termes les impacts environnementaux de l'opération de construction et de réhabilitation, tout en assurant aux futurs occupants des conditions de vie saine et confortable. Cette résidence se compose de 114 appartements allant du T1 au T3 répartis comme suit :33 T1 de 36m² en moyenne63 T2 de 45m² en moyenne18 T3 de 65m² en moyenne« Face au vieillissement de la population et à l'isolement croissant des personnes âgées, les territoires doivent établir une politique du logement adaptée aux besoins de leurs concitoyens les plus âgés. En tant que développeur d'immobilier, notre rôle est de les aider à trouver des solutions pour répondre à la question du ‘'bien vieillir'' chez soi. C'est ainsi que nous avons conçu et pensé cette résidence. Elle est le fruit de notre volonté de créer du lien social et de garantir un maximum de confort et de convivialité aux habitants, tout en leur assurant la proximité du centre-ville et de ses attractions. Un concept qui a séduit la Mairie de Mont de Marsan par son potentiel de création d'emplois non délocalisables, son adaptation aux enjeux de prévention de la perte d'autonomie et son exploitation opportune d'un espace resté en déshérence ces dernières années »Kim MAS, Directeur de l'agence Côte basque d'ID&AL groupe
Il y a 4 ans et 184 jours

Les revenus du constructeur de maisons Hexaom progressent nettement au troisième trimestre

Entre juillet et septembre, le groupe a réalisé un chiffre d'affaires de 211,5 millions d'euros, soit une hausse de 15,3% par rapport à la même époque de l'an dernier.Le groupe avait souffert du strict confinement décrété au printemps, au début de la crise sanitaire, de nombreux chantiers se trouvant interrompus le temps de mettre en place les mesures nécessaires.Mais il a connu pendant l'été un "fort effet de rattrapage", se félicite-t-il.Ce rattrapage s'entend en matière de réalisation des maisons comme de ventes de projets aux particuliers. Toutefois, ces dernières, gages de revenus à venir, s'inscrivent toujours en nette baisse sur l'ensemble de l'année écoulée (-7,7%).Le rattrapage est aussi sensible dans la rénovation, une activité minoritaire mais dans laquelle le groupe compte beaucoup se développer.
Il y a 4 ans et 184 jours

Hunter Douglas présente Combi-Line, un système de pose unique pour plafond

Des possibilités de modulation infinies Le système de pose unique Combi-Line est équipé de clips compatibles avec différentes solutions proposées par Hunter Douglas Architectural : les lames en métal 30 BD/BXD, les panneaux linéaires en bois plaqué 30WL60 et les panneaux en feutre HeartFelt® 30HL60. Il permet ainsi l’assemblage de trois différents matériaux et styles de panneaux sur un seul et même support, et en tous sens.Les possibilités sont infinies : Combi-Line permet de rompre les lignes pour un design comportant moins de linéarité, de créer des motifs aléatoires et des espaces libres, etc. Le nouveau système, conçu par Hunter Douglas Architectural, donne ainsi l'opportunité à chaque architecte de composer un plafond modulaire hors du commun, avec une vaste gamme de panneaux proposant différents matériaux et existant dans différentes finitions.Par ailleurs, chaque panneau peut être démonté indépendamment des autres : les clips, spécialement conçus pour les lames HeartFelt® et les panneaux linéaires en bois plaqué ou en métal, s'insèrent sur le rail porteur en acier et se fixent sur des positions pré-définies.Design et développement : créer à partir d’un défi Combi-Line est né grâce à un défi rencontré sur un projet important. En effet, l’ingénieux système a été développé sur mesure par Hunter Douglas Architectural pour le terminal de l’aéroport d’Amsterdam-Schiphol, dans lequel il a été installé en 2015. Avec les architectes en charge du projet, l'équipe Recherche et Développement (R&D) du fabricant a travaillé à l'élaboration d'un système équipé de clips intégrés au rail ; le but étant de permettre l’installation des lames de plafond de manière aléatoire, tout en garantissant la possibilité de créer de vastes espaces ouverts sur le plénum.Satisfaite par le résultat et convaincue du potentiel de ce système de pose plafond sur mesure, l’équipe Hunter Douglas Architectural a décidé de continuer à le développer. C’est ainsi que Combi-Line est né.Michiel Langeveld, Responsable Recherche et Développement chez Hunter Douglas Architectural, avait la charge de développer la solution. Il explique : « Alors que nous travaillions à la solution idéale pour le projet de l’aéroport, nous avons tout de suite su que ce nouveau système flexible avait un fort potentiel. Nous nous sommes rendu compte avec enthousiasme que nous pouvions innover, en combinant les clips compatibles avec les différents types de lames pour permettre de les interchanger. J’ai demandé aux architectes si la possibilité de mélanger les panneaux serait intéressante pour eux, et ils ont répondu par l'affirmative. »Au cours de l'élaboration du système, l’équipe R&D de Hunter Douglas Architectural a également mis au point un robot programmé pour laisser des marques sur le rail, aux positions exactes où chaque lame doit être fixée.Solution esthétique et technique sur mesure Pour Hunter Douglas Architectural, Combi-Line est un produit qui offre à l'architecte une liberté exceptionnelle dans son design.Pieter van Rees, Responsable du Business Development chez Hunter Douglas Architectural explique : « Non seulement le système permet le placement aléatoire des panneaux, mais en plus il représente une solution esthétique pour les espaces laissés ouverts sur le plénum car ils sont mieux intégrés dans le design. »Par ailleurs, grâce à la diversité des panneaux compatibles, les choix de couleurs sont larges ; plusieurs combinaisons, correspondant à différents styles, sont proposées par Hunter Douglas Architectural.Côté technique, Combi-Line propose des performances acoustiques idéales pour créer un environnement agréable : ce système de plafond permet d’obtenir une valeur d’absorption (αw) maximale de 0,70 en fonction du plafond et de l’agencement des lames. De plus, comme pour tous les systèmes de plafonds Hunter Douglas Architectural, le plénum est facile d'accès pour les besoins d'entretien et chaque panneau peut être démonté indépendamment des autres. Combi-Line : un système et divers panneaux de plafonds, pour un design unique. Avec Combi-Line, le fabricant entend ainsi démontrer qu’il est possible de créer des plafonds uniques.Pieter van Rees ajoute : « Le développement de Combi-Line prouve plus encore : il démontre que même une entreprise d’envergure internationale peut proposer des solutions individuelles, sur mesure, quel que soit le projet. »En effet, pour la seconde phase de l'élaboration du projet concernant le terminal de l'aéroport d'Amsterdam-Schiphol, Hunter Douglas Architectural a créé un module de 135,5 mm (distance séparant les centres des panneaux) contre 60 mm pour le modèle standard.Grâce à la diversité de design proposée et ses performances acoustiques admirables, Combi-Line s’adapte à tous les secteurs : entreprises, transports (aéroports, stations de métro ou de bus, gares ferroviaires), commerces, loisirs, espaces publics, hôtellerie, résidences ou établissements de santé ou éducatifs.
Il y a 4 ans et 184 jours

Les propriétaires du "Signal", immeuble symbole de l'érosion côtière, bientôt indemnisés

Le protocole a été signé entre l'État, la mairie de Soulac-sur-Mer et la communauté de communes Médoc Atlantique qui, officiellement, va devenir propriétaire de l'immeuble pour le détruire.Les 75 propriétaires recevront de l'Etat une indemnisation à hauteur de 70% de la valeur originelle estimée du bien, à la condition de transférer ce bien pour un euro symbolique à la communauté de communes et de renoncer à toute demande indemnitaire supplémentaire. Ils ont jusque décembre 2021 pour accepter.Les premiers versements d'indemnisation devraient pouvoir intervenir à partir du mois de mars 2021, selon la préfecture."Ce dossier est exceptionnel et devrait le rester", a prévenu la préfète de Nouvelle-Aquitaine Fabienne Buccio. Pas question que cela devienne une jurisprudence.Construit à 200 m du rivage en 1967, l'immeuble de quatre étages se trouve aujourd'hui au bord d'une dune sableuse qui menace de s'effondrer, à seulement 20 m des flots. En 2014, la préfecture avait pris un arrêté de péril et les résidents avaient dû vider définitivement les lieux.Les coproriétaires avaient alors entamé une bataille juridique pour être indemnisés qui s'est terminée par un refus du Conseil d'Etat en août 2018. Les parlementaires locaux se sont ensuite emparés du dossier jusqu'à ce qu'une enveloppe de 7 millions d'euros soit adoptée par le Parlement."Le dénouement favorable d'aujourd'hui n'était pas évident (...) seul un dispositif législatif pouvait le permettre", admet le maire de Soulac-sur-Mer et président de la communauté de communes, Xavier Pintat."Il y avait une âme""C'est la ténacité qui a payé, la persévérance au milieu d'un océan de doute", s'est également réjoui l'ancienne sénatrice LREM Françoise Cartron qui a défendu le dossier à Paris. "C'est un moment émouvant", a-t-elle confié, "c'est là qu'on voit le lien entre les élus nationaux et les citoyens. Sans l'outil législatif, on ne pouvait y arriver".Pour Jean-José Guichet, qui représente les copropriétaires, la majorité de ceux-ci devraient accepter l'accord. Sinon ils seront expulsés : le "choix est limité", dit-il, "les gens sont tellement las, cela fait des années qu'on se bagarre"."Ce n'était pas une résidence de gens hyper riches. C'était très mélangé, on était tous soudés. Il y avait une âme dans ce Signal", ajoute-t-il en se souvenant de ses filles et petites-filles venant en vacances. "Il faut être conscient qu'on ne pouvait plus rester. Je suivais l'avancée de la mer depuis 25 ans", ajoute M. Guichet, propriétaire depuis 1978.Le bâtiment avait été désamianté en 2018 pour éviter que "12.000 tonnes de gravats contaminés à l'amiante" ne tombent à la mer et sur la plage de Soulac, station balnéaire courue du Médoc. Le coût de ce désamiantage, un million d'euros, avait exceptionnellement été pris en charge par l'Etat."Des choses comme celle-ci ne devraient plus arriver. C'est un exemple, "Signal". Il va falloir être extrêmement vigilant sur les implantations nouvelles", a demandé Jean-José Guichet aux représentants de l'Etat qui signaient le protocole."Notre cas n'est pas unique, j'ai des coups de fil de la Martinique, de la Réunion, où il y a des cas similaires au Signal", a-t-il ensuite dit à la presse."Ce dénouement favorable n'arrête pas l'érosion côtière, on en aura dans les années à venir (...) ça deviendra un enjeu", a reconnu Xavier Pintat.