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Il y a 4 ans et 185 jours

Covid-19 : dans le sillage des compagnies aériennes les aéroports s’inquiètent pour leur avenir

Les aéroports européens ont réclamé jeudi à l'Union européenne des mesures urgentes et spécifiques, au même titre que les compagnies aériennes, s'inquiétant pour la solvabilité à court terme des plus petits face à une situation qui se dégrade avec l'aggravation de la crise du Covid-19."Nous tirons déjà nos dernières cartouches et la crise continue à s'aggraver", a déclaré le directeur général d'Airports council international (ACI) Europe, Olivier Jankovec, cité dans un communiqué.L'organisation, qui représente 500 aéroports dans 46 pays européens, estime qu'au cours des prochains mois près de 200 aéroports régionaux risquent d'être en état d'insolvabilité en raison de la faiblesse persistante du trafic aérien liée aux fermetures de frontières et restrictions de circulation face à la nouvelle vague de Covid-19."Les dépenses de trésorerie des aéroports, déjà à des niveaux insupportables, ne feront que s'accélérer avec de nouvelles pertes d'emplois, en l'absence d'une intervention urgente", s'est alarmé ACI."Clairement, nous allons avoir besoins d'aides" car celles "données à certaines compagnies aériennes ne vont pas résoudre nos problèmes", a martelé M. Jankovec mercredi lors d'une réunion du secteur au niveau européen.Selon l'ACI, les aéroports européens plus importants et les "hubs" "ne sont pas à l'abri d'un important risque financier" après avoir réduit les coûts "jusqu'à l'os" et avoir eu recours aux marchés financiers pour consolider leurs comptes.Pour leur permettre de tenir, l'ACI demande notamment que les aides d'État aux entreprises puissent être versées jusqu'à la fin 2021.En octobre, Bruxelles a annoncé l'élargissement et la prolongation jusqu'à l'été 2021 de l'assouplissement des aides d'État adopté au printemps dernier pour soutenir les entreprises européennes face à la pandémie.L'ACI réclame également un plan spécifique pour l'aviation qui permettrait de verser des aides tant que des mesures de restrictions de circulation seront maintenues en Europe.Approche "plus équilibrée""Par rapport aux compagnies aériennes qui ont bénéficié de plus de 31,8 milliards d'aides de la part des gouvernements européens, le soutien aux aéroports est resté limité jusqu'ici, atteignant 840 millions" d'euros, a noté ACI."Nous avons besoin" des mêmes aides que les compagnies aériennes de la part des États, a insisté M. Jankovic, réclamant une "approche plus équilibrée" des soutiens accordés.L'essentiel des revenus des aéroports dépend du trafic passagers, souligne ACI, ajoutant que la bonne tenue du fret aérien n'a qu'un "impact marginal" sur les revenus des aéroports qui par ailleurs ne sont payés qu'une fois le service rendu.Le secteur du transport aérien est l'un des plus durement touchés par la crise avec des coûts fixes qui pèsent lourdement sur les finances.Pour regagner la confiances des passagers et permettre un redémarrage du trafic, l'ensemble des acteurs réclame le déploiement à grande échelle de tests de dépistage du Covid-19 dans les aéroports, permettant d'éviter les mesures de quarantaine à l'arrivée.L'Association internationale du transport aérien (Iata) prévoit une baisse du trafic mondial en 2020 de 66% et n'envisage pas un retour à une situation d'avant-crise avant 2024.En septembre, le trafic aérien mondial était en recul de 72,8% (mesuré en kilomètres passagers payants, ou RPK) par rapport à la même période en 2019, contre -75,2% en août, selon l'Iata.Comme en août, seules 12% des liaisons internationales ont été assurées. Cet effondrement du long-courrier va vraisemblablement conduire à une transformation du "business model" des aéroports, a souligné le patron d'ACI Europe.En revanche, les liaisons intérieures ont enregistré en septembre un léger mieux (-43,3% contre -50,7% en août) avec un quasi-retour à la normale en Chine et en Russie.En Europe, le trafic a été en baisse de 75,8% en septembre par rapport à la même période en 2019.
Il y a 4 ans et 186 jours

Face à la crise, l'activité partielle longue durée monte en puissance

Selon la ministre du Travail Élisabeth Borne, les entreprises se saisissent désormais "massivement" de ce "bouclier anti-licenciement" avec "4.300 accords couvrant plus de 300.000 salariés", dont 80% dans des PME de moins de 50 salariés.Le motoriste Safran a été dans les premiers à négocier un tel accord qui couvre 6.000 salariés sur 44.000 en France. Pour eux, la réduction d'activité est en moyenne de 20%, donc un jour par semaine, indique-t-on chez Safran. "C'est plutôt bien perçu. Quand on regarde ce qui peut se passer ailleurs, on est quand même contents de voir qu'on peut sauvegarder l'emploi", même si "on fait effectivement des sacrifices", dit-on. L'APLD autorise une réduction du temps de travail jusqu'à 40% d'heures chômées sous condition d'un accord d'entreprise ou de branche, de six à 24 mois, validé par l'administration et comprenant des engagements sur l'emploi et la formation.L'État rembourse à l'entreprise l'indemnité versée au salarié, à hauteur de 85% ou 100% suivant les secteurs. Le salarié perçoit 70% de sa rémunération brute (84% nette) sur les heures chômées. L'entreprise peut aller plus loin, comme Valeo qui a porté l'indemnisation à 80% du brut ou Bosch à 75%.Les entreprises mettent en avant la "visibilité" à moyen terme apportée par ces accords, après le chômage partiel classique utilisé par certaines "en urgence" face au Covid-19 et dont les règles fluctuent. En terme de formation, l'accord chez Safran prévoit seulement que le salarié peut se former avec l'accord de son manager, l'entreprise envisageant sur ce volet un nouvel accord "d'ici la fin de l'année"."Bémol" sur la formationFin octobre, le ministère du Travail a d'ailleurs fait état d'un "bémol" sur la formation alors que la logique du dispositif est d'y consacrer le temps chômé. "C'est pauvre sur la formation. Les accords visent davantage à se donner du temps sur l'emploi plutôt qu'à préparer le futur", déplore Jean-François Foucard, en charge de la formation à la CFE-CGC.Chez Xelians (archivage), qui vient de signer un accord pour sa principale filiale, le président Jacques Thibon explique à l'AFP que l'entreprise a pris des "engagements d'accroissement des efforts de formation". Mais il ajoute qu'"en terme de formations réelles, ça dépendra des demandes des salariés".L'accord, qui couvre environ 85% des quelque 500 salariés, prévoit "une réduction du temps de travail de 20%". Il est organisé sous la forme d'une semaine de travail ramenée à 4 jours, un dispositif "assez simple" et "plutôt bien vu" par les salariés dont la rémunération nette n'est réduite que de "3 à 4%".Pour Michel Beaugas, secrétaire à l'emploi à FO, les syndicats soutiennent l'APLD car "les salaires sont à peu près préservés" et cela "vaut mieux que des licenciements avec une prime one-shot". Mais, nuance-t-il, le succès auprès des employeurs s'explique aussi parce que "les engagements ne sont pas vraiment contraignants".De fait, un accord APLD n'interdit pas de négocier parallèlement un PSE et l'employeur n'est pas tenu de rembourser les aides si "les perspectives d'activité se sont dégradées" dans l'intervalle.Plusieurs grosses entreprises (Airbus, Air France...), confrontées à des situations différentes suivant leurs sites ou leurs métiers, ont d'ailleurs mixé l'APLD avec d'autres dispositifs. Aéroports de Paris la négocie, en même temps que des ruptures conventionnelles collectives (RCC) et un accord de performance collective (APC).Pour l'instant, seules six branches dont la métallurgie ont conclu un accord. Une trentaine d'autres sont en discussion, mais certaines n'avancent guère dans la restauration ou la coiffure. Ces accords de branche permettent aux employeurs, notamment des PME, de rédiger si besoin un document unilatéral. Ces derniers représentent déjà 44% des 4.300 accords.Pour 2021, la budgétisation de l'activité partielle (courte ou longue) est de 6,6 milliards d'euros, de quoi financer 450.000 salariés en APLD, une enveloppe indicative que le ministère espérait en septembre ne pas atteindre. Mais c'était avant le reconfinement.
Il y a 4 ans et 186 jours

Le plan de relance est-il déjà dépassé avant même d’être voté ?

"Cette stratégie +France relance+ (...) ça n'est pas une stratégie pour faire face aux difficultés du moment, ça nous l'avons déjà fait et nous allons continuer (...), non c'est préparer la France de 2030", défendait fin août Emmanuel Macron, juste avant la présentation du plan de relance.Avec ses 100 milliards d'euros sur deux ans, dont un tiers consacré à la transition écologique, le plan de relance doit à la fois contribuer à retrouver d'ici à 2022 le niveau d'activité d'avant crise et entraîner l'économie vers une croissance plus durable.Mais ce volontarisme se heurte désormais à la situation sanitaire, avec une deuxième vague qui s'annonce ravageuse et un reconfinement qui ampute de nouveau l'activité."Il y a un décalage entre le plan de relance annoncé il y a deux mois, qui a été élaboré dans un scénario qui privilégiait l'hypothèse d'une seule vague de l'épidémie, et ce dont on a besoin aujourd'hui avec le reconfinement et les conséquences économiques", estime Anne Laure Delatte, économiste chargée de recherches au CNRS.Selon une évaluation de l'Institut Montaigne publiée vendredi, sur les 100 milliards d'euros du plan, "seul un cinquième de ce montant (21,5 milliards) sera consacré au soutien à court terme de l'économie, quand le double sera alloué à des mesures de moyen et long terme", le reste étant des mesures à effet mixte.Le plan a aussi été élaboré dans une perspective de reprise forte de l'économie l'an prochain: le gouvernement table sur une croissance de 8% après une chute historique attendue à 11% cette année.Mais la reprise sera peut-être plus longue à venir. "Il faudra réévaluer ces chiffres à l'aune de la durée du confinement", a d'ailleurs concédé le ministre de l'Economie Bruno Le Maire mercredi.La commission européenne et le FMI ont déjà abaissé leurs prévisions pour la France, respectivement à 5,8% et 6%."Nous sommes dans une situation d'incertitude maximale: on commence à comprendre que ce n'est pas la dernière vague, et en plus s'ajoute le contexte international avec le Brexit et dans une moindre mesure les élections américaines", avance Anne-Laure Delatte.En fonction des perspectives sanitaires au moment du déconfinement, "soit il y a un rebond dynamique, probablement comparable avec celui du troisième trimestre, soit les ménages et les entreprises anticipent un nouveau confinement et alors certains vont sans doute être dans une position attentiste", juge aussi Xavier Ragot, président de l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE).Un attentisme peu propice aux décisions d'investissement et de consommation qu'un plan de relance est censé stimuler."Réajuster"Après plusieurs mois de crise, les entreprises sont aussi désormais dans une situation plus fragilisée, et souvent un endettement plus important.Jeudi, le rapporteur de la commission des Finances du Sénat Jean-François Husson a appelé le gouvernement à "réajuster" un plan qu'il juge "tardif et mal calibré". Et il estime qu'"il faut désormais privilégier les mesures temporaires pour soutenir l'économie".De nombreux économistes plaident pour un renforcement du soutien aux fonds propres des entreprises afin de limiter les faillites, alors qu'une enveloppe de 3 milliards est prévue dans le plan."C'est essentiel, parce qu'une fois que vous avez une entreprise qui fait faillite, en réalité, vous en avez en cascade car les intermédiaires, les clients, vont être eux-mêmes mis en difficulté", juge Anne-Laure Delatte.Le dispositif d'activité partielle sera sans doute aussi plus utilisé qu'anticipé, estime Xavier Ragot.A cela s'ajoute le besoin de soutenir davantage les ménages modestes, alors que la crise accentue les inégalités, défend l'Institut Montaigne.Le gouvernement n'écarte d'ailleurs pas de renforcer les aides à court terme, à l'image de l'aide annoncée pour le paiement des loyers des entreprises.D'autres mesures pourraient être intégrées dans le projet de budget pour 2021, selon Bruno le Maire, même s'il défend avec force les "deux piliers" pour lui complémentaires de la stratégie du gouvernement: "la protection et la relance".
Il y a 4 ans et 186 jours

Bruno Le Maire veut obliger les foncières à accorder des réductions de loyers pour les baux commerciaux

"Je les recevrai pour les mettre devant leurs responsabilités et nous verrons ensuite quelles dispositions réglementaires nous pouvons prendre pour obliger les grandes foncières à jouer le jeu de la solidarité face à la crise", a affirmé le ministre devant la commission des Finances de l'Assemblée nationale.Affirmant qu'il lui était "revenu qu'un certain nombre de grandes foncièresne jouaient pas le jeu", il a jugé "inacceptable" le fait qu'elles ne se saisissent pas du dispositif mis en place par le gouvernement pour prendre en charge une partie des abandons de loyers qu'elles pourraient concéder aux professionnels.Le gouvernement a instauré un crédit d'impôt de 30% pour les bailleurs en échange du renoncement à au moins un mois de loyer sur la période d'octobre à décembre.Cette mesure était vivement réclamée par les entreprises, en particulier les petits commerces dont l'activité est fortement pénalisée par la crise sanitaire.
Il y a 4 ans et 186 jours

Une large majorité de Français envisagent une crise économique majeure et durable

Odoxa, dans cette enquête pour Challenges, BFM Business et l'assureur Aviva, a demandé aux personnes interrogées leur ressenti sur l'impact de la deuxième vague d'épidémie de Covid-19 sur l'économie et la croissance mondiale: 69% ont répondu qu'elle "va provoquer une crise économique mondiale majeure et durable comme celle de 2008".En mars, seuls 29% des Français avaient choisi cette réponse. A l'inverse, 63% pensaient que la pandémie allait "ralentir la croissance pendant quelques mois mais sans provoquer une crise majeure", or ils ne sont plus que 27% à penser cela fin octobre.A la question de savoir si les Français sont, "depuis ces dernières semaines", plutôt plus confiants ou plutôt moins confiants concernant l'avenirde la situation économique en France, 87% des sondés disent être "plutôt moins confiants".Et 64% se sentent "plutôt plus inquiets" pour leur propre emploi "depuis ces derniers jours ou ces dernières semaines". Enquête réalisée en ligne entre le 28 et le 29 octobre auprès d'un échantillon de 1.002 personnes représentatif de la population française de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas. Marge d'erreur de 2,5 points.
Il y a 4 ans et 186 jours

La Forestale : un écolodge de luxe en bois Kebony

Acqualagna, Italie. En plein cœur de la Riserva Naturale Statale Gola del Furlo, à Acqualagna, capitale de la truffe blanche, se trouve un nouvel écolodge : La Forestale Furlo. Bâti sur la base d'une ancienne caserne de gardes forestiers, l'écolodge est conçu comme un modèle de rénovation écologique. Ce lieu d'exception comprend cinq chambres différentes, aux prestations luxueuses : design épuré ultra-moderne, matières de haute qualité et durables, grandes superficies, baies vitrées aux vues splendides, marbre et même une terrasse privée, Eric Merlin, le fondateur du lieu, a également fait des choix en matière de style de vie. « Ici, pas de télévision dans les chambres, pas de climatisation, c'est le livre de Pierre Rabhi, La Sobriété Heureuse, qui a guidé le projet », explique-t-il.« On vient profiter de cette immersion dans une nature non-contaminée, sauvage, où la biodiversité est exceptionnelle. La Forestale n'est surtout pas un hôtel : c'est Don Merlino qui accueille des gens chez lui, dans un concept B&B basé sur un lien humain et personnel fondamental », poursuit-il. La promesse de La Forestale repose sur un triptyque design / gastronomie / écologie. Tout autour de l'écolodge sont accessibles de nombreuses activités liées à la nature et à la réserve naturelle : trekking, VTT, canyoning, birdwatching… Les rivières pures et fraîches des monts avoisinants invitent à la baignade. Acqualagna est la capitale de la truffe : on la trouve toute l'année, tout comme les champignons. « Le Furlo est un village gastronomique : il abrite pas moins de 6 restaurants pour 50 habitants, dont deux sont spécialisés dans la truffe », ajoute Eric Merlin. Enfin, les environs proposent une vaste culture, de nombreux centres historiques, et tous les charmes de l'Italie. « Nous sommes à moins d'une demi-heure de la mer Adriatique et de ses stations balnéaires pleines de charme ».Eric Merlin a choisi le bois Kebony pour habiller ce lieu paradisiaque : « Je l'ai choisi pour ses qualités incomparables et sans concurrence (à ma connaissance) en matière de résistance, de dureté et de longévité ; le tout confirmé par une garantie, unique sur le marché, de 30 ans, ainsi que l'absence d'entretien. J'ai beaucoup de respect pour les entreprises “engagées” comme Kebony. Nous partageons les mêmes valeurs liées à la RSE, au développement durable. », explique-t-il.Développée en Norvège, la technologie révolutionnaire Kebony est un procédé respectueux de l'environnement, qui modifie les résineux issus de sources durables en chauffant le bois avec de l'alcool furfurylique ; un sous-produit agricole. En polymérisant la paroi cellulaire du bois, les résineux adoptent en permanence les attributs du bois dur tropical, notamment une durabilité, une dureté et une stabilité dimensionnelle élevées. Ce processus n'améliore pas seulement significativement les propriétés physiques du bois, mais contribue également à l'apparence unique de celui-ci grâce à sa patine gris argent qui se développe au fil du temps.Cette patine argent a fait l'objet de simulations 3D, afin de visualiser son évolution du marron vers le gris. Cela a permis de garantir une continuité esthétique, notamment au niveau de la couleur de l'aluminium des fenêtres. Le bois, quant à lui, permet à l'écolodge de se fondre idéalement dans la beauté du paysage environnant.* Technologie KebonyLa technologie Kebony est un processus de production breveté qui permet d'améliorer les propriétés des bois résineux pour leur conférer des caractéristiques comparables à celles des bois exotiques. Grâce à un procédé respectueux de l'environnement, les bois sont imprégnés d'un liquide biologique provenant de déchets de cultures agricoles. En chauffant le bois, les polymères furfuryliques sont imprégnés dans les parois cellulaires du bois, ce qui augmente sa durabilité et sa stabilité dimensionnelle, sans pour autant sacrifier son esthétique.
Il y a 4 ans et 186 jours

Thermo'Luc Air Pur : le revêtement thermorégulant et dépolluant qui s'applique comme une peinture

La gamme Thermo'Luc Air Pur se compose de trois produits (prim', mat et velours) disponibles en deux qualités : Nord 16/23 pour les régions connaissant moins de pics de chaleur et Sud 22/28 pour les régions les plus chaudes (proches du bassin méditerranéen par exemple).Un confort thermique optimal en hiver comme en étéLe principe de thermorégulation de Thermo'Luc Air Pur fonctionne comme une pile. Lorsque la température dépasse 19°C (pour la qualité « Nord ») ou 25°C (pour la qualité « Sud »), Thermo'Luc Air Pur se charge en absorbant et en stockant la chaleur, ce qui permet de stabiliser la température de la pièce. Il se décharge ensuite lorsque la température descend en dessous de 19°C (pour la qualité « Nord ») ou 25°C (pour la qualité « Sud) en libérant la chaleur emmagasinée et stabilise ainsi la température de la pièce.Un geste pour l'environnementLa gamme Thermo'Luc Air Pur s'inscrit dans une démarche écologique que ce soit dans sa composition (les microcapsules invisbiles qui contiennent les Particules à Changement de Phase sont éloborées à partir de cires végétales) ou dans son utilisation quotidienne.En effet, bien qu'ils n'aient pas pour vocation de remplacer le chauffage, la climatisation ou l'isolation, les produits Thermo'Luc Air Pur contribuent au maintien d'une température de confort (située entre 16° et 23° en fonction des pièces de l'habitat) en limitant l'utilisation d'appareils de régulation thermique. En été, il agit comme une climatisation passive et permet de réduire l'utilisation de la climatisation principale du logement. En hiver, il assure l'inertie en employant les sources de chaleur naturelle et optimise les apports solaires, ce qui permet un gain de température jusqu'à 4°C et donc une réduction de la consommation d'énergie de 15%.Des produits respectueux des utilisateursEn plus de l'économie d'énergie apportée par sa propriété thermorégulante, la gamme Thermo'Luc Air Pur est classée A+ et bénéficie du label « Air Pur » qui assure aux occupants un air intérieur sain grâce à un taux de COV inférieur à 1g/L et une fonction destructrice de formaldéhydes.
Il y a 4 ans et 186 jours

Vinci gagne un contrat de 450 millions d'euros pour une autoroute australienne

"Vinci remporte le contrat de l'autoroute Sydney Gateway", a déclaré le groupe dans un communiqué.Le marché comprend la construction d'une portion d'autoroute vers l'aéroport de Sydney, principale ville australienne.Il "prévoit la construction et la rénovation de cinq kilomètres de voies, ainsi que la réalisation d'un échangeur, de 19 ponts, d'un autopont reliant les terminaux de l'aéroport et de pistes cyclables et piétonnes", détaille Vinci.Le marché représente un équivalent de 900 millions d'euros et Vinci partage le contrat à parts égales avec le groupe local John Holland.
Il y a 4 ans et 186 jours

Bulldozair lève 4 millions d'euros pour démocratiser sa solution de collaboration digitale dans le BTP

Bulldozair propose une solution de suivi de chantier qui permet à tous les corps de métiers d'un projet de construction de se connecter : ingénieurs, conducteurs de travaux, mais aussi architectes, bureaux d'études et maîtrise d'ouvrage. Concrètement, les équipes sur le chantier ont accès à toute l'information liée au projet, peuvent gérer avec simplicité tâches, plans, planning, collecter la donnée et émettre des rapports automatisés directement depuis leurs smartphones. En parallèle, le management - grâce à la centralisation et l'analyse de ces informations par Bulldozair - est alerté sur les risques et les retards, et facilité dans sa prise de décision. A la clé, la revalorisation des métiers présents sur les chantiers, et l'amélioration significative de la gestion des projets, pour un gain de productivité de 25%.« PRO BTP est heureux de s'associer via PRO BTP Innovation à la levée de fonds de Bulldozair: "Nous sommes fiers d'accompagner cette solution de digitalisation du suivi des chantiers qui sert l'ensemble de la profession, de la TPE au grand groupe international. Ce faisant, PRO BTP montre encore une fois son attachement au service d'une profession et sa capacité à accompagner les innovations majeures de ce secteur. » Hervé Naerhuysen, Directeur Général de PRO BTP et Président de PRO BTP InnovationDes fondations solides pour s'attaquer au marché des petites entreprises... Forte de la transversalité de son modèle, la startup a rapidement séduit les donneurs d'ordres d'industries hétéroclites dont le potentiel de développement reste soutenu à l'instar de Carrefour, RATP, CHANEL, TOTAL, EDF, EIFFAGE APRR ou encore Bouygues Immobilier. Selon l'industrie et ses besoins, la plateforme est déployée pour la gestion de projet (comptes rendus, planning, process, collaboration documentaire) et le pilotage des chantiers (gestion des tâches, qualité, conformité, formulaires), ou encore l'audit de sites de production et opérations de maintenance.Avec ce nouveau tour de table, Bulldozair s'attaque au segment des petites et moyennes entreprises, avec pour objectif de tripler le nombre de ses clients d'ici 2 ans. Simple, universelle et collaborative, la solution de Bulldozair est aussi conçue pour accompagner la digitalisation des quelques 40 millions de PME des divers métiers du BTP à travers le monde.Nous avons été séduits par la vision transformative de Bulldozair qui arme les entreprises du secteur pour relever les défis opérationnels et financiers actuels et futurs et oeuvre en faveur de la collaboration de terrain et de la valorisation de ses métiers. Bulldozair est donc en totale adéquation avec les entreprises Proptech accompagnées et financées par Anaxago.” affirme Alexandre Heraud Investment Director chez Anaxago.… et lancer un chantier technologique ambitieux. Bulldozair double ses effectifs R&D et renforce son offre produit pour accélérer son avance technologique et étendre l'usage de la plateforme vers un outils de pilotage de projet de construction à 360°. Une accélération qui repose sur 3 piliers : Amélioration en continu de la simplicité d'usage et de l'ergonomie de la plateforme, en collaboration avec des utilisateurs sur le terrain et au bureau (chef de chantier, responsable travaux, managers...). Développement de nouveaux modules en self-service et d'intégrations étendues pour une expérience client optimisée, en fonction des besoins. Lancement d'une offre conçue pour les petites équipes.« Avec cette levée nous allons renforcer une équipe produit déjà sénior pour développer les fonctionnalités complémentaires demandées par des utilisateurs chez qui nous voyons une très grosse adoption. Notre plateforme sera encore plus simple, plus modulable et plus ouverte. Nous construisons un outil de pilotage à 360° des projets de construction utilisable par toute la chaîne de valeur et sur toute la durée d'un projet. »Maxence Lerigner, CTO et co-fondateur de BulldozairBulldozair, l'architecte d'une nouvelle approche de la collaboration dans le BTPEn outre, la solution mobile-native de Bulldozair dessine une nouvelle approche de la collaboration dans le BTP et permet à ses métiers - héritiers d'un savoir-faire traditionnel transmis oralement - de prendre le virage du numérique. Fer de lance de la Proptech, Bulldozair remplace les archaïques carnets de notes, rapports papier et aller-retours inutiles par des outils technologiques, au service de l'humain et de son savoir-faire, compatibles avec le travail de terrain.« La crise de la covid-19 intervient après plusieurs années de marges faibles, de productivité en baisse, et de difficultés à recruter dans le secteur de l'immobilier et de la construction. L'industrie est enjointe à se transformer. Pour cela il est nécessaire de porter un coup de marteau à la conception traditionnelle de son organisation. C'est précisément la mission de Bulldozair. »« Cette levée de 4 millions va nous permettre d'accélérer dans cette voie, tant d'un point de vue commercial que technologique »Ali El Hariri, CEO et co-fondateur de Bulldozair
Il y a 4 ans et 186 jours

En pleine crise sanitaire, pas de trêve pour les expulsions locatives

Une femme enceinte de huit mois qui se retrouve à la rue, un Niçois à qui la mesure vient d'être notifiée et qui se demande si les restrictions sanitaires vont lui permettre d'y échapper..."Allô prévention expulsion, bonjour ?" A l'autre bout du fil, un assistant social appelle pour le compte d'une dame, en pleurs devant lui, dont le fils adolescent était tout seul dans son appartement lorsque l'huissier a débarqué avec la police pour les mettre dehors.Peut-elle saisir un juge ? Où vont-ils dormir ces prochains jours, on ne lui a proposé aucun hébergement alternatif. Du lundi au vendredi, chaque après-midi, juristes et bénévoles de l'association se relaient pour conseiller des personnes qui, souvent, "connaissent mal leurs droits".La ministre du Logement Emmanuelle Wargon a pourtant répété mi-octobre que la circulaire du 2 juillet continuait de s'appliquer: aucune expulsion avec le concours de la force publique ne peut avoir lieu sans solution d'hébergement ou de relogement."Globalement, cette mesure a permis de limiter fortement le nombre des expulsions, mais certaines préfectures ne l'appliquent pas, ou avec une interprétation restrictive", regrette Christophe Robert, le délégué général de la Fondation Abbé Pierre."Ils expulsent dans des délais parfois très rapides, sans proposer d'alternative, ou alors quelques nuitées à l'hôtel: ce n'est pas suffisant"."Par la fenêtre"Les hébergements d'urgence, notamment à l'hôtel, sont déjà complètement saturés, avec quelque 3.000 appels chaque soir au numéro 115 du Samu social, qui se voient rejetés.La Fondation a déjà identifié 110 ménages expulsés et à la rue depuis cet été en France. Ce qui représente "sans doute une part infime" de la réalité, précise Christophe Robert.Assia, 56 ans, veuve et handicapée depuis un accident vasculaire cérébral, a été expulsée le 9 octobre parce que son propriétaire, un particulier, veut revendre son appartement.Cette ancienne coiffeuse a toujours payé le loyer de son studio de 23m2 à la limite de l'insalubrité, dit-elle, où "les fils électriques dépassent de partout". Mais avec moins de 600 euros d'allocations par mois, sans emploi, elle n'a quasiment aucune chance de retrouver un logement en région parisienne."Je n'étais pas là ce jour-là, le propriétaire a jeté toutes mes affaires par la fenêtre dans la cour, j'étais tellement choquée, j'ai passé une semaine à l'hôpital psychiatrique", raconte-t-elle, la voix étouffée par les sanglots.Assia a beau être reconnue prioritaire au titre de la loi Dalo - le préfet de Seine-Saint-Denis avait six mois après le jugement d'expulsion prononcé en juin 2019 pour la reloger -, elle dort désormais par terre et la peur au ventre dans un hall d'immeuble à Aubervilliers. "N'importe qui peut passer par là, je ne dors plus, je suis fatiguée..." Explosion des expulsionsMoussa, lui, suivait un master 2 de droit des affaires lorsqu'il est tombé sous le coup d'une procédure d'expulsion après avoir perdu le petit boulot qui lui permettait de financer ses études.Il y a trois ans, il contracte une première dette de loyer, réussit à la rembourser, puis une deuxième d'environ 3.000 euros, l'équivalent de six mois de loyers à 479 euros. "Le bailleur - un gestionnaire du parc social - ne m'a plus lâché, ils ont continué les poursuites", raconte le jeune homme.L'autorisation d'expulsion de la préfecture tombe en novembre 2019, mais un juge lui accorde un sursis jusqu'en juillet suivant pour lui permettre de régulariser sa situation.Entre temps, l'étudiant continue de payer ses loyers sans toutefois parvenir à rembourser sa dette. Durant le confinement provoqué par la crise sanitaire, il demande à bénéficier du fonds solidarité logement, et propose des arrangements au bailleur. En vain, il n'aura pas de réponse."Dès le mois de mars, l'huissier a commencé à me harceler pour que je rende les clés", poursuit Moussa, qui squatte aujourd'hui le canapé d'une amie, en attendant de trouver mieux. "J'ai trouvé un travail (de juriste, ndlr) en juin, mais le 11 septembre, ils sont venus changer les serrures. Ils m'ont donné deux heures pour prendre mes affaires".Alors que les impayés de loyer représentaient déjà 95% des expulsions forcées avant la crise sanitaire, les associations craignent une hausse inédite du phénomène avec les pertes d'emplois générées par la crise sanitaire."Si on ne réagit pas maintenant pour trouver des alternatives, on va forcément vers une explosion des expulsions dans les prochains mois", met en garde Christophe Robert.
Il y a 4 ans et 186 jours

Le télétravail fait beaucoup moins recette pour ce deuxième confinement

"Tous ceux qui ont des tâches télétravaillables, et il y en a beaucoup, doivent télétravailler cinq jours sur cinq", a encore rappelé mardi la ministre du Travail Elisabeth Borne sur Europe 1.Une injonction que Sofia*, salariée d'un cabinet de conseil en région parisienne, aimerait voir son employeur respecter.Dans un mail adressé aux quelque 500 salariés de la société, la direction affirme souhaiter "le maintien de nos activités en mode +normal+", soit un jour télétravaillé par semaine maximum."C'est très choquant, on a l'impression qu'on ne vit pas dans le même pays. C'est juste une stratégie de contrôle des gens", déplore Sofia, qui souhaiterait éviter de prendre les transports pour se rendre en banlieue parisienne. "Pour travailler on a besoin d'un ordinateur et d'une connexion internet", assure-t-elle.Même constat pour Bertrand*, qui travaille au Crédit Agricole. Sa direction lui a adressé un message lui annonçant un maximum de deux jours de télétravail par semaine."Nos postes étaient 100% en télétravail en mars", rappelle Bertrand, qui a du mal à comprendre.Comme lui, des salariés d'offices HLM, de sociétés de dépannage informatique en ligne ou de location d'engins de BTP ont raconté à l'AFP avoir travaillé uniquement depuis leur domicile en mars-avril dernier, ce qui ne leur est aujourd'hui plus permis.Tous avancent le même argument: le refus du télétravail est lié à "une peur de perte de contrôle du salarié, avec une baisse de productivité".Chez LCL, filiale du Crédit Agricole, FO s'est ému d'un "0% télétravail" imposé à tout le réseau commercial. La branche banques du syndicat a dénoncé dans un communiqué une situation propre à ce secteur. "La profession, à de rares exceptions, exclut toujours de recourir massivement au travail à distance en particulier pour les salariés des réseaux et en contact direct du public", dénonce FO.Un protocole flouAlors que syndicats et patronat ont entamé des discussions mardi sur le télétravail, la négociatrice de la CFDT Catherine Pinchaut a évoqué "de fortes remontées" venant d'entreprises qui refusent le télétravail.Le nouveau protocole national dans les entreprises, mis en ligne jeudi par le ministère du Travail, "laisse libre court à de nombreuses interprétations", a-t-elle dénoncé. "C'est à l'appréciation pure de l'employeur, qui décide que le poste de M. ou Mme Dupont est télétravaillable ou pas", sans discussion avec le salarié, a déploré Mme Pinchaut."On voit bien qu'il y a une boulette dans la rédaction du protocole", a-t-elle regretté.De son côté, Mme Borne a relevé des "signaux positifs" comme la fréquentation en baisse des transports en commun en Ile-de-France lundi (entre 25 et 40% en moins par rapport à la normale)."Je vais continuer toute cette semaine à mobiliser les entreprises, j'ai plusieurs visioconférences avec des directeurs de ressources humaines", a-t-elle assuré, affirmant qu'une enquête allait être diligentée en fin de semaine pour "mesurer la façon" dont le télétravail a été mis en oeuvre.En attendant, Thibault*, qui travaille pour une entreprise de dépannage informatique à distance dans la région de Nantes, note une différence de taille par rapport à la situation du printemps: "contrairement au premier confinement, notre client n'a pas arrêté sa production donc il y a autant de travail, voire plus, avec plein de problèmes techniques", explique-t-il, rendant le travail à distance plus compliqué cette fois-ci.Chez Dassault Aviation, certains salariés se sont plaints de ne pouvoir travailler à 100% depuis chez eux, pour "des raisons de performance économique" selon la CFDT. Mais comme le rappelle Bernard Mathieu, délégué syndical CFE-CGC, "le président de la République a dit que les usines devaient tourner" donc "le 100% télétravail est impossible", et pas seulement pour les ouvriers.
Il y a 4 ans et 187 jours

Entrepreneurs - Acteurs du territoire

Il y a 4 ans et 187 jours

Epargné par la crise, le secteur des piscines s'attend à une excellente année

Le "Covid-19 n'a pas inversé la dynamique du marché de la piscine", a résumé lors d'une conférence de presse Jacques Braun, l'un des responsables de la Fédération des professionnels de la piscine (FPP).Il estime au contraire qu'avec les mesures de confinement prises au printemps, puis renouvelées en fin d'année face à la propagation du virus, la crise a servi d'"accélérateur" car "les Français ont compris l'intérêt du bien-être à domicile".Pour cette année, sur la base de projections faites à partir d'enquête auprès de ses adhérents, la fédération table sur la construction de 175.000 piscines, soit une hausse de plus de 6%. Ce serait la cinquième année de suite de progression.Le premier confinement a, certes, temporairement fait chuter les ventes pendant plusieurs semaines au printemps, tout en bloquant des chantiers, mais cela n'a pas duré et le secteur a même fait progresser ses revenus (+1,5%) sur tout le premier semestre.Le marché a connu "une nette reprise dès la fin du confinement", a expliqué M. Braun.Pour la suite, le secteur n'a guère de craintes quant aux conséquences du reconfinement décrété fin octobre, faisant état de carnets de commandes bien remplis et de chantiers qui restent actifs."La construction d'une piscine est assimilée au bâtiment" et donc reste autorisée, a souligné M. Braun, notant que les entreprises savaient quelles mesures sanitaires immédiatement mettre en place, par contraste avec le printemps.
Il y a 4 ans et 187 jours

Les artisans du bâtiment demandent la clarification rapide de certaines mesures qui freinent l'activité

Jean-Christophe Repon, Président de la CAPEB : « J’ai adressé un courrier à Monsieur Bruno LE MAIRE Ministre de l’Économie et des Finances, Monsieur Alain GRISET Ministre délégué chargé des PME, Madame Emmanuelle WARGON Ministre déléguée chargée du Logement et Madame Elisabeth BORNE Ministre du Travail, afin de leur demander de clarifier rapidement certaines mesures et de lever les freins qui entravent la poursuite de l’activité dans l’artisanat du bâtiment. En effet, si nos entreprises sont pleinement mobilisées pour maintenir leur activité dans le strict respect des mesures sanitaires, c’est au travers de notre réseau départemental que ces difficultés ont été soulevées. Nous rappelons, enfin, la nécessité de disposer de positions officielles qui permettent d’appliquer les dispositions gouvernementales de la même manière sur tout le territoire national. Sans positions officielles, il y a risque d’iniquité territoriale ou d’interprétations. Ce risque est souvent la source de grandes insatisfactions et de mécontentements, dans un contexte déjà fragilisé par de fortes incertitudes ».Les demandes de la CAPEB aux pouvoirs publicsConcernant les déplacements :Permettre aux clients, particuliers et professionnels, de pouvoir se déplacer afin de suivre et de réceptionner leurs chantiersConfirmer que des déplacements inter-régionaux à titre professionnel sont autorisés, quel que soit le périmètre, sous réserve de disposer d’un justificatif de déplacement professionnel de son employeur pour les salariés ou de l'attestation de déplacement dérogatoire pour les non-salariésPermettre aux Travailleurs Non-Salariés (TNS) de ne pas devoir renouveler chaque jour leur autorisation de déplacementConcernant la poursuite de l’activité :Veiller à ce que les autorisations temporaires d'installations d'engins (grues, engins de levage, échafaudages, etc.) ne soient pas interrompuesRéactiver les cellules mises en place par les préfets afin de faciliter la continuité de l'activité dans les territoiresAutoriser explicitement un professionnel du bâtiment à pouvoir accueillir du public dans le respect des règles sanitaires, afin d’assurer la vente de matériaux et d’équipements liés aux métiers du bâtiment pour lesquels il réalise des installations ou des aménagements, comme notamment les poêles à bois et autres équipements de chauffage, les fenêtres, les portails ainsi que les combustibles de chauffage, les peintures, etc.Autoriser explicitement les professionnels du bâtiment à assurer leurs rendez-vous commerciaux auprès de leurs clientsConfirmer l’application du principe de poursuite d’activité du BTP pour les ramoneurs, même lorsque ces derniers ne relèvent pas du secteur du bâtimentAutoriser les restaurateurs ou les mairies volontaires ou encore les CFA à ouvrir leur établissement, salle polyvalente, gymnase, cantine…, pour permettre aux salariés du BTP de pouvoir, dans le respect des règles sanitaires, prendre leur repas dans des lieux adaptésautoriser explicitement les stagiaires du BTP à pouvoir faire leur stage en entreprise (par exemple, dans le cadre d’une convention de stage liant un lycée professionnel, un jeune et une entreprise)Concernant le soutien financier aux entreprises :Permettre aux entreprises du bâtiment subissant une perte d’activité parce qu’empêchées de réaliser leurs prestations (refus du client - particulier ou professionnel - de permettre à l’entreprise de réaliser sa prestation pendant le confinement, fermeture temporaire de l’entreprise suite à un cas COVID déclaré) d’être éligibles à l’activité partielle suivant les mêmes modalités que les entreprises relevant des secteurs protégés ou subissant une fermeture administrativeConfirmer que le fonds de solidarité est bien ouvert à l’ensemble des entreprises, y compris celles relevant du secteur du bâtimentConfirmer que les exonérations et reports de cotisations sociales pour les travailleurs indépendants et les employeurs ne sont pas limités aux seules entreprises fermées administrativement ou aux PME appartenant à certains secteurs d’activitéEnfin, la CAPEB demande de prévoir un délai supplémentaire pour le dépôt des dossiers de qualification des entreprises du bâtiment.
Il y a 4 ans et 187 jours

Faites de l’ascenseur un atout séduction du bâtiment neuf

Rassurer les investisseursLa pandémie – et le confinement qu’elle a entraîné – a mis le marché immobilier sur « pause » pendant une partie de l’année 2020. La reprise tarde à s’affirmer, les promoteurs restent pessimistes… Frileux, les investisseurs sont aussi plus exigeants. La crise a fait comprendre que plus que jamais, il fallait penser le bâtiment autrement : l’immeuble doit pouvoir s’adapter à des évolutions, parfois soudaines et imprévisibles, des usages et des attentes. Par exemple, le développement du télétravail pourrait pénaliser l’immobilier de bureaux, sans que l’on sache réellement à quel point cette tendance sera durable.Il est donc nécessaire de concevoir des bâtiments flexibles et réversibles, d’intégrer des exigences en matière d’accessibilité, de sécurité et d’hygiène. En clair, imaginer un bâtiment prêt à accompagner les évolutions d’usage, capable de rassurer les investisseurs sur sa pérennité.En matière de flexibilité, et donc de durabilité, l’ascenseur joue un rôle clé. C’est lui qui garantit la fluidité des déplacements : il doit pouvoir s’adapter aux particularités des flux de personnes, que le bâtiment héberge des bureaux ou des logements, ou soit à usage mixte.Séduire les usagersLe bâtiment ne doit pas uniquement séduire les investisseurs : il doit aussi se faire attractif pour les futurs usagers, qu’ils soient acheteurs résidentiels ou futurs locataires… Là encore l’ascenseur a un rôle à jouer, et peut même devenir un point différenciant !Il n’est plus question de considérer simplement l’ascenseur comme un mode de déplacement vertical. Il doit devenir un lieu où séjourner est agréable, en misant sur le confort, le design, l’éclairage, les matériaux utilisés… Il peut également offrir aux usagers de nouveaux services. Ainsi par exemple, KONE propose des ascenseurs connectés, qui peuvent être appelés à distance ou même vous reconnaitre et pré-programmer l’étage de destination. Ces ascenseurs connectés peuvent aussi se doter d’écrans, diffusant des contenus multimédias et supportant des services de communication ou de conciergerie à l’attention des résidents. Dans ces cabines « nouvelle génération », des revêtements anti-microbiens assurent une hygiène irréprochable, des surfaces « anti-traces de doigts » gardent un aspect impeccable, l’ambiance lumineuse soignée participe au bien-être, tout comme les couleurs et textures des parois. Le constructeur a imaginé une véritable expérience multi-sensorielle !Un ascenseur prêt pour demainMais l’ascenseur connecté n’est pas seulement un ascenseur accueillant. Il est aussi un équipement dont la sécurité et le coût (d’entretien, de maintenance, d’usage…) sont optimisés, grâce à la maintenance prédictive. Ses multiples capteurs scrutent en continu son fonctionnement, son moteur d’Intelligence Artificielle analyse les données recueillies, si bien que les risques de dysfonctionnement sont détectés avant qu’ils ne surviennent. Les équipes techniques sont ainsi alertées automatiquement, et une intervention permet d’éviter la panne.L’ascenseur connecté est prêt à s’intégrer dans une démarche de smart building : une ouverture sur l’avenir qui a tout pour rassurer les acheteurs !
Il y a 4 ans et 187 jours

Le grands fonds de soutien aux groupes français Lac 1 entre en action

Ce fonds doté de plus de 4 milliards d'euros et géré par Bpifrance a acquis une participation de 5,08% dans Arkema pour un montant de 348 millions d'euros, a annoncé mardi le directeur général de la banque publique d'investissement Nicolas Dufourcq.Lac 1, un temps baptisé Lac d'argent, a été initié début 2020 et a bouclé sa première tranche de 4,2 milliards d'euros fin mai.C'est un fonds privé mais géré par Bpifrance et outre la banque publique d'investissement qui a apporté 1 milliard d'euros, une vingtaine de souscripteurs ont participé à cette première levée de fonds: plusieurs grands investisseurs institutionnels (assurances, banques), les groupes Orange, Unibel, Financière Dassault, ou encore le fonds souverain d'Abou Dhabi Mubadala.Lors de sa création, l'objectif affiché était d'atteindre une capacité d'investissement de 10 milliards d'euros, notamment pour permettre de stabiliser le capital d'entreprises françaises cotées et les protéger contre des rachats hostiles.Par ailleurs, en pleine crise économique engendrée par l'épidémie de Covid-19, "un grand nombre de sociétés performantes, internationalisées et innovantes souhaitent stabiliser leur capital en s'appuyant sur des investisseurs de long terme", expliquait au printemps Nicolas Dufourcq.Dans le cas d'Arkema, son président "a le souci d'avoir à son capital des investisseurs de long terme", a-t-il indiqué mardi, alors que Lac 1 a la vocation d'investir sur une durée d'au moins dix ans.Une prochaine opération ?Groupe de chimie de spécialité né en 2006, Arkema est un des principaux acteurs mondiaux de la chimie de spécialité, et produit notamment des adhésifs, des matériaux avancés et des résines pour revêtement.La direction a présenté en avril un plan stratégique à cinq ans, via lequel il ambitionne de devenir "un pur acteur de la chimie de spécialité" en renforçant son portefeuille dédié, qui représentait déjà en 2019 près de 80% de ses 8,7 milliards d'euros de chiffres d'affaires."La chimie de spécialité est importante parce que nous aurons de plus en plus besoin de matériaux innovants", a expliqué M. Dufourcq pour justifier ce premier investissement de Lac 1, ajoutant que Bpifrance est déjà très présent sur ce secteur via le soutien à l'innovation et le financement de PME.Lac 1 envisage d'ailleurs "d'accroître" sa participation dans Arkema et Bpifrance devrait obtenir lors de la prochaine assemblée générale en mai un siège au conseil d'administration, a précisé par ailleurs M. Dufourcq.Peu après l'ouverture de la Bourse de Paris, l'action Arkema prenait 2,49% à 87,42 euros, dans un marché en hausse de 1,31%.Pour Lac 1, cette première opération devrait rapidement être suivie d'une autre. "Nous nous rapprochons d'une décision de lancement d'une opération d'acquisition", a indiqué M. Dufourcq, sans préciser dans quel secteur elle pourrait avoir lieu.Il a simplement avancé que cela serait plutôt dans l'industrie, conformément à l'ADN de Bpifrance.Quand à Lac 1, "nous continuons la levée de fonds", a-t-il ajouté, même si la crise sanitaire et les restrictions de déplacements ne facilitent pas les discussions avec des investisseurs potentiels.
Il y a 4 ans et 187 jours

Une construction bois innovante et approvisionnée en circuit court certifiée PEFC dans la commune corse d'Evisa

Ce beau projet qui dispose d'une charpente et d'une ossature bois en pin laricio approvisionnés en circuit court par des entreprises de la région avec du bois local provenant de forêts certifiées PEFC pour leur gestion durable, est une construction innovante et engagée en faveur de l'équilibre forestier.Pour la 1ère fois, la liste des lauréats comprend un projet certifié PEFC, l'auvent de l'école d'Evisa, en Corse, récompensé dans la catégorie Aménagement Extérieur. « Microprojet de grande envergure », il est l'un des premiers ouvrages en bois certifié PEFC pour sa charpente et son ossature bois selon le guide PEFC de « certification de projet de construction ».JeanJacques Gianni, maire de la commune d'Evisa et maître d'ouvrage du projet, explique : « La forêt en Corse est un enjeu majeur pour le territoire et la certification PEFC nous permet de mettre en valeur le patrimoine exceptionnel qu'elle représente. Le projet de l'auvent d'Evisa en est la preuve : il nous a permis de lutter contre la désertification de notre village en contribuant à l'économie locale, à la promotion d'emplois locaux, à l'animation et à la cohésion de la vie locale. D'autres villes corses pensent reproduire notre démarche pour leurs propres projets de construction à venir ».L'ouvrage, qui mixe avec brio intégration paysagère et choix stylistique est un hommage à la Corse. Deux essences ont été utilisées : du châtaignier et du pin laricio. La totalité du pin laricio provient de la forêt communale d'Evisa, certifiée PEFC pour sa gestion durable. Ils ont été sciés et charpentés dans un rayon de 30 km afin de privilégier les circuits courts et de valoriser les artisans locaux. Le choix d'essences locales raconte à la fois le lien entre les Corses et leurs forêts et la valeur symbolique de cet auvent imaginé pour l'école du village. Reliant les enfants et les adultes à leur environnement et à la nature toute proche, l'auvent d'Evisa témoigne d'un savoir-faire ancien et d'une volonté de respecter, valoriser et protéger les forêts corses.« La possibilité d'utiliser du bois local certifié a été un argument déterminant pour la commune dans la réalisation de l'auvent d'Evisa. Valoriser les ressources naturelles de la commune corse, les savoir-faire et les entreprises locales, tout en respectant le juste équilibre entre toutes ces dimensions économiques, écologiques et sociétales, rendent ce projet d'autant plus innovant et inspirant. Nous espérons que la construction d'Evisa va permettre une prise de conscience pour générer chez les pouvoirs publics locaux l'envie de donner une plus grande ambition au matériau bois et à nos forêts en Corse » détaille Christophe Felder, Directeur territorial de l'ONF Corse.Pour Paul-Emmanuel Huet, Directeur Exécutif de PEFC France, « la certification de projet PEFC atteste de l'utilisation de bois certifié PEFC pour tout ou partie d'une construction ou d'une rénovation. Elle garantit que toutes les parties impliquées dans la réalisation d'un projet de construction ou de rénovation en bois ont mis en application les principes de traçabilité du bois de la chaîne de contrôle PEFC. Ainsi, la certification de projet PEFC permet de garantir que les matériaux bois mis en œuvre dans une construction sont issus de forêts gérées durablement et de sources responsables ». L'auvent d'Evisa devrait ouvrir la voie à d'autres projets certifiés PEFC dans le secteur de la construction bois.
Il y a 4 ans et 187 jours

Nouveau site Internet et nouvelle identité visuelle pour le Syndicat National des Industries du Plâtre

Indispensables dans la construction et l'aménagement intérieur, le plâtre et ses produits dérivés répondent à toutes les exigences en matière de performances acoustiques et thermiques, de confort et de sécurité.Destiné en priorité aux élus, aux institutionnels et aux professionnels, ce site propose de nombreuses rubriques destinées à éveiller la curiosité de certains, renforcer la connaissance de tous et illustrer le bel avenir de ce matériau.Un secteur dynamique présente des innovations et des réalisations récentes.Une industrie engagée met en lumière les engagements de la filière en termes d'économie circulaire, de biodiversité, de qualité des produits et systèmes.Une filière d'avenir invite la nouvelle génération à rejoindre la filière.A partir de l'onglet « menu », le site présente, de manière un peu plus traditionnelle, des informations très complètes et utiles sur l'univers du plâtre :Du gypse au plâtre informe sur l'exploitation de la ressource gypsifère menée dans le respect de l'environnement et de la biodiversité.Environnement / Économie circulaire décrit les bénéfices du matériau en termes de performance environnementale, de qualité de l'air intérieur des bâtiments et de recyclage des déchets de construction à base de plâtre.Produits et systèmes plâtre présente les produits, les applications et les innovations. Cette rubrique réaffirme également les réponses de la filière en termes de qualité et de performance.Formation & métiers détaille les cursus et les professions de la filière dont l'avenir est prometteur en raison des besoins importants du secteur de la construction et de l'aménagement notamment pour la rénovation énergétique des bâtiments.Notre syndicat professionnel renseigne sur les membres du SNIP et ses missions, en évoquant les partenaires qui nous aident à mener celles-ci à bien.Le nouveau site est disponible à cette adresse : www.lesindustriesduplatre.orgUn nouveau logoLe SNIP a souhaité profiter de la refonte de son site Internet pour redonner de la modernité et un aspect contemporain à l'identité graphique du syndicat.« Le 1er choix fort a été de transformer l'expression "Les Industries du Plâtre" en "snip", acronyme utilisé par la plupart de ceux qui nous connaissent. L'explication de l'acronyme reste malgré tout présente en signature du logo pour ceux qui découvriraient notre filière industrielle française. L'utilisation d'une typographie plus moderne que la précédente et celle de minuscules inscrivent notre logo dans la tendance de l'époque et lui confère un aspect adouci et plus intimiste. Enfin, nous avons choisi de conserver un code coloriel proche de l'existant (du bleu, du gris) pour ne pas créer une rupture trop forte et rester dans les codes du secteur du bâtiment. »Jean-Michel Guihaumé, Délégué Général du SNIPAvec tous ces éléments graphiques, portée par un site Internet actualisé, clair, ergonomique et responsive, la filière plâtre affiche désormais sa modernité, son attractivité et son rôle moteur pour une industrie française forte et d'avenir.
Il y a 4 ans et 187 jours

Repsol réduit sa perte au 3e trimestre

Le résultat net ajusté, présenté par Repsol comme représentant plus fidèlement son activité car ne tenant pas compte des stocks, est lui positif et atteint sept millions d'euros pour le troisième trimestre.Sur les neuf premiers mois de 2020, la perte nette s'élève à près de 2,6 milliards d'euros, en raison de la révision à la baisse de la valeur des stocks, et de celle des actifs d'exploration et de production, des décisions prises au deuxième trimestre.Le groupe rappelle avoir travaillé dans "un environnement d'extrême difficulté", avec une forte chute des prix du pétrole et du gaz, ainsi qu'une "baisse historique de la demande dans le monde entier".La branche Exploration et production a enregistré un résultat net ajusté de 51 millions d'euros, en baisse de 77% sur un an, tandis que la branche Industrie (raffinage) essuyait une perte de 67 millions d'euros.Pour affronter la crise, Repsol a mis en marche un "plan de résilience" grâce auquel il compte réduire de 500 millions d'euros ses coûts opérationnels et réduire ses investissements de 1,2 milliard d'euros.Le groupe, qui tente de se diversifier dans les énergies renouvelables, a gagné 169 millions d'euros dans ce domaine au troisième trimestre.Repsol s'est engagé à réduire à zéro ses émissions de gaz à effet de serre d'ici 2050. Il développe plusieurs projets de parcs d'éoliennes et de parcs photovoltaïques en Espagne, ainsi qu'au Chili.
Il y a 4 ans et 187 jours

Bluevoûte RPT de Bluetek, un lanterneau filant à rupture de pont thermique

Une performance isolante accrueImaginé pour renforcer l'isolation des bâtiments neuf ou en rénovation (tertiaires, industriels, commerciaux, etc.) nécessitant une amélioration accrue de leur isolation thermique, le nouveau lanterneau filant Bluevoûte RPT (Rupture de Pont Thermique) de BLUETEK a été conçu avec une costière à double paroi avec une âme isolante de 90 mm.Afin de proposer un lanterneau facile à poser et parfaitement étanche, BLUETEK a équipé Bluevoûte RPT d'un profilé en PVC extrudé et d'un joint spécial entre la costière et sa voûte en PCA (polycarbonate alvéolaire). Ce dernier intègre des barrettes à rupture thermique à ses extrémités pour limiter la déperdition thermique de la voûte. Celle-ci étant généralement composée de plusieurs panneaux PCA pour les modèles de lanterneaux filant, un joint supplémentaire “spécial serreur” a également été ajouté entre chaque panneau pour offrir un produit fini parfaitement étanche à l'air offrant un URC (valeur déterminant les performances thermiques d'un lanterneau de toiture complet) allant jusqu'à 1.35 W/m2.k pour une modèle Bluevoûte de 3 x 10 m avec un PCA de 32 mm d'épaisseur.Options et accessoiresGrille de barreaudage fixeCostière droite RPT 350, 420 et 500 mmPCA en Pearl Inside : finition améliorant la performance acoustique de la voûte par l'intégration de microbilles de verre.Coloris de la costière : blanc (RAL 9010), noir (RAL 9005)Un système de désenfumage et d'aération optionnelAfin d'apporter plus de confort et de sécurité, Bluevoûte RPT peut être équipé d'un système de désenfumage et d'aération en option avec l'intégration d'un ou plusieurs modules d'Exuplus RPT, ouvrant à rupture de pont thermique. Ce module de désenfumage intégré à la Bluevoûte RPT dispose de deux types d'ouverture à vérins : pneumatique ou électrique (24V).Quelque soit le mécanisme utilisé, le module Exuplus RPT (également conçu avec une isolation thermique renforcée) autorise une ouverture totale ou partielle, selon la configuration choisie (ex. course 300 mm ou 500 mm d'ouverture).Caractéristiques techniques Exuplus RPT PNEU (pneumatique) et ELEC (électrique)* Finition Pearl Inside** Av (anciennement SGO, soit la Surface Géométrique d'Ouverture en m2)Aa (anciennement SUE, soit la Surface Utile d'Evacuation)Av et Aa sont les termes de la norme CE
Il y a 4 ans et 187 jours

« Architectures habitées » : un nouveau palmarès proposé par le CAUE du Val-de-Marne

Les architectes et les commanditaires d'un projet dans le Val-de-Marne sont invités à envoyer leurs candidatures entre le 1er septembre et le 13 novembre 2020.Valorisant des projets de construction, de transformations, de rénovation ou d'agrandissement, ce palmarès sera l'occasion de démontrer l'importance de l'architecture et son rôle dans la fabrication d'un cadre de vie de qualité.Les réalisations sélectionnées, exemplaires et inspirantes, contribueront à révéler les savoir-faire des acteurs et professionnels du bâtiment mais aussi la plus-value du recours à l'architecte pour un propriétaire.La production d'habitat individuel tient, en effet, une place importante sur le territoire, et la qualité de cette production est un enjeu majeur que le CAUE s'efforce d'accompagner dans ses missions de conseil, de sensibilisation et de formation. Déroulement du palmarès « Architectures habitées » :Appel à candidatures du 01/09/2020 au 13/11/2020 (constitution d'un binôme maître d'œuvre / maître d'ouvrage pour des projets réalisés entre 2013 et 2019)Jury, avril 2021Appel au vote du public, mars à juin 2021Remise des prix, fin juin début juillet 2021
Il y a 4 ans et 187 jours

Borne va "proposer une discussion" aux partenaires sociaux sur les congés payés et l'activité partielle

"Ça n'est pas une décision d'État" qui prévoit que "l'activité partielle donne droit à des congés payés, c'est un accord qui a été trouvé entre les partenaires sociaux en 2012", a d'abord souligné Mme Borne sur Europe 1."J'entends certains restaurateurs qui sont inquiets, qui se disent au moment où l'activité va repartir, peut-être que les salariés voudront poser des congés", a poursuivi la ministre. "Je crois aussi que les salariés qui auraient été plusieurs mois en activité partielle auront aussi à cœur de reprendre le travail", a-t-elle ajouté."En tout cas, j'entends que certaines professions posent la question. Je vais proposer aux partenaires sociaux de rouvrir une discussion sur ce sujet et je n'ai pas de doute qu'on trouvera une solution", a estimé Mme Borne, sans répondre à une question sur un éventuel remboursement par l'État du coût de ces congés pour les employeurs.Notant qu'"on parle de congés qui seront pris entre mai 2021 et mai 2022, qui pourront sans doute être étalés", la ministre "propose cet échange" avec les partenaires sociaux. "Ce n'est pas moi qui peux décider toute seule sur un accord qui a été pris par les partenaires sociaux (...). Je n'ai pas l'habitude de décider à la place des partenaires sociaux", a-t-elle insisté."Je crois beaucoup à l'importance du dialogue entre les organisations syndicales et patronales dans la période qui vient. Donc je souhaite d'abord les entendre. La discussion va s'ouvrir", a-t-elle dit, en indiquant qu'elle devait rencontrer "les représentants des restaurateurs prochainement", ce qui permettra de "reparler de ce sujet".Évoquant par ailleurs le télétravail, la ministre a promis la mise en place d'"un numéro vert de soutien psychologique pour les salariés des petites entreprises qui peuvent être en difficulté" à cause du travail à distance."Des salariés sont en difficulté psychologique" en raison du télétravail, "il faut faire attention", a-t-elle mis en garde, en relevant que "dans les grandes entreprises, il y a des cellules d'appui pour les salariés qui souffrent d'isolement".
Il y a 4 ans et 187 jours

Le bailleur Marseille Habitat mis en examen suite à l'effondrement de deux immeubles en 2018

La société d'économie mixte de la ville de Marseille a également été mise en examen pour blessures involontaires et mise en danger de la vie d'autrui, a indiqué à l'AFP la procureure de Marseille Dominique Laurens, confirmant une information du site d'information locale Marsactu.La présidente de Marseille Habitat depuis le changement de majorité à l'hôtel de ville lors des dernières élections municipales, Audrey Gatian, "sera entendue en tant que représentante morale", a expliqué Mme Laurens.La mise en examen de la société d'économie mixte de la ville de Marseille est la première dans ce dossier.Il y a quasiment deux ans jour pour jour, deux immeubles de l'hyper centre populaire de Marseille, aux 63 et 65 de la rue d'Aubagne, s'étaient effondrés, faisant huit morts. Ce drame avait mis en lumière l'ampleur du problème des logements insalubres dans la deuxième ville de France dirigée pendant 25 ans, jusqu'à l'été dernier, par le maire LR Jean-Claude Gaudin, autour duquel s'était cristallisé les critiques.L'accès au numéro 63, immeuble à l'abandon, avait été condamné à la suite d'une procédure d'expropriation l'ayant attribué au bailleur social municipal Marseille Habitat en 2017, avait alors indiqué le parquet. L'immeuble situé au 65 était quant à lui une copropriété privée.Des nombreux signalements sur le mauvais état des deux bâtiments avaient été effectués par les habitants auprès de leurs propriétaires, du syndic, de la mairie ou encore des experts judiciaires intervenus au cours de différentes procédures.
Il y a 4 ans et 188 jours

Un nouveau Président pour le Conseil supérieur de la construction et de l'efficacité énergétique

Emmanuelle Wargon, ministre déléguée auprès de la ministre de la Transition écologique chargée du Logement et en charge de la construction, a nommé Christophe Caresche à la présidence du Conseil supérieur de la construction et de l'efficacité énergétique (CSCEE).En présence d'Emmanuelle Wargon, Christophe Caresche présidera donc une réunion exceptionnelle du CSCEE ce mercredi 4 novembre. Cette réunion sera l'occasion de faire un point sur la continuité d'activité et la mobilisation de toute la filière du bâtiment et de la construction en cette période de confinement. Elle permettra aussi de rappeler les perspectives de travail du CSCEE pour les prochaines semaines, notamment la consultation à venir du conseil sur la future réglementation environnementale des bâtiments neufs (RE2020).Christophe Caresche est engagé de longue date en faveur de la transition écologique. Fin connaisseur du monde du logement, il préside et dirige depuis 2017 l'opérateur foncier Tonus Territoires (ex-Foncière publique solidaire), filiale de la Caisse des dépôts, qui investit dans la construction de logements neufs en zones tenduesAncien député de Paris (1997-2017), Christophe Caresche succède à Thierry Repentin, maire de Chambéry, qui avait démissionné de la présidence après sa nomination à la présidence de l'Anah, le 14 octobre dernier.
Il y a 4 ans et 188 jours

Nouvelle mise à jour du guide Covid-19 de préconisations de sécurité sanitaire de l'OPPBTP

Ce maintien d’activité est rendu possible par l’application des recommandations du Guide de préconisations de sécurité sanitaire pour la continuité des activités de la construction-Covid-19 de l’OPPBTP, qui ont fait la preuve de leur efficacité depuis le début de la pandémie.Suite à la publication du nouveau protocole national pour assurer la santé des salariés face à l’épidémie de Covid-19 en date du 29 octobre, l’OPPBTP publie une nouvelle version de son guide, en conformité avec cette mise à jour et avec les recommandations du Haut Conseil de la Santé Publique.Les principales modifications portent sur les adaptations au port du masque de protection respiratoire, la contribution au dépistage chez les salariés, la réinstauration du télétravail comme règle générale pour toutes les activités qui le permettent, les règles supplémentaires de distanciation physique ainsi que la nouvelle application TousAntiCovid. L’OPPBTP rappelle également qu’une vigilance particulière doit être portée sur les lieux de pauses et les réfectoires et qu’une aération des locaux très régulière est primordiale.Ainsi, le guide apporte les précisions suivantes :Les adaptations au principe général du port d’un masque au sein des entreprises dans les lieux collectifs clos pourront être organisées par les entreprises pour répondre aux spécificités de certaines activités ou secteurs professionnels, après avoir mené une analyse des risques de transmission du SARS-CoV-2 et des dispositifs de prévention à mettre en œuvre. Elles font l’objet d’échanges avec les personnels ou leurs représentants, afin de répondre à la nécessité d’informeret de s’informer pour suivre régulièrement l’application, les difficultés et les adaptations au sein de l’entreprise et des collectifs de travail.Les entreprises peuvent collaborer avec les autorités sanitaires dans le cadre du « contact tracing » ou pour l’organisation d’une campagne de dépistage en cas de détection d’un cluster. En complément, les employeurs peuvent, dans le respect des conditions réglementaires, proposer à leurs salariés volontaires des actions de dépistage. A cette fin, la liste des tests rapides autorisés et leurs conditions d’utilisation ont été rendus disponibles par les autorités de santé. Ces actions de dépistage doivent être intégralement financées par l’employeur et réalisées dans des conditions garantissant la bonne exécution de ces tests et la stricte préservation du secret médical. En particulier, aucun résultat ne peut être communiqué à l’employeur ou à ses préposés. Par ailleurs, s’agissant des tests sérologiques, les indications définies par les autorités sanitaires à ce stade ne permettent pas d’envisager des campagnes de tests sérologiques par les entreprises.Le télétravail doit à nouveau être la règle pour toutes les activités qui le permettent. Les employeurs fixent les règles applicables dans le cadre du dialogue social de proximité, en veillant au maintien des liens au sein du collectif de travail et à la prévention des risques liés à l’isolement des salariés en télétravail.Le maintien de l’activité des chantiers doit se faire avec un niveau d’encadrement au moins égal à celui nécessaire hors pandémie afin d’assurer en particulier un haut niveau de sécurité des personnels. Chaque fois que nécessaire, l’ensemble des acteurs des opérations de construction doivent pouvoir se rendre sur chantier, dans le respect des gestes barrières et munis d’une autorisation de déplacement fournie par leur employeur. Pour l'exécution des tâches qui ne peuvent être réalisées en télétravail, l'organisation du travail doit permettre de réduire les déplacements domicile-travail et d’aménager le temps de présence en entreprise de manière à réduire les interactions sociales et limiter l’affluence aux heures de pointe.L’employeur doit informer ses salariés de l’existence de la nouvelle application « TousAntiCovid » et de l’intérêt de son activation pendant les horaires de travail.Les moments de convivialité réunissant les salariés en présentiel dans le cadre professionnel doivent être suspendus.Les espaces de restauration et de pause doivent être aménagés afin de respecter la distance de 1 m tout autour de chaque personne : places en quinconce, écrans de séparation et 6 personnes maximum par table.Par ailleurs, l’OPPBTP met à disposition de nouvelles affiches rappelant les bonnes pratiques à adopter afin de se protéger et de protéger les autres, dans la sphère privée comme dans le cadre de la vie professionnelle. Ces affiches sont disponibles dans la Boîte à Outils Covid-19 du site preventionbtp.fr.Enfin, afin de faciliter la compréhension de ces nouvelles préconisations par l’ensemble des professionnels, l’OPPBTP accompagne la nouvelle version du guide d’une synthèse récapitulative. Les deux documents sont disponibles sur le site internet de préventionbtp.fr.Les conseillers de l’OPPBTP mobilisésSur le terrain, les équipes de l’OPPBTP restent mobilisées pour aider les entreprises à bien mettre en œuvre toutes les mesures indispensables sur les chantiers. Les conseillers en prévention et les formateurs de l’OPPBTP sont disponibles sur le terrain et à distance.L’OPPBTP est présent également pour répondre aux questions des entreprise grâce au service PréventionBTP En Direct. Une base de Questions/Réponses spécifiques sur la Covid-19 y est disponible.
Il y a 4 ans et 188 jours

Reconfinement : l'ingénierie salue la prise en compte par le gouvernement des spécificités de la filière

Les entreprises d'ingénierie adressent en premier lieu une pensée spécifique aux personnels soignants et à tous ceux qui seront une nouvelle fois en première ligne dans la lutte contre la propagation de la pandémie de Covid-19.Elles restent pleinement mobilisées au service de la relance économique du pays et rappellent que tout projet industriel et de construction a besoin, pour voir le jour, d'études techniques, analyses, conseil amont, conception… Autant de missions qui sont assurées par les professionnels des entreprises d'ingénierie.A l'heure de la publication du nouveau protocole national pour assurer la santé et la sécurité des salariés en entreprise, les entreprises d'ingénierie se félicitent que le gouvernement prenne en compte les spécificités de la profession. Si le télétravail reste « une obligation », Elisabeth Borne, la ministre du Travail, de l'Emploi et de l'Insertion, a clairement identifié les bureaux d'études comme un cas spécifique nécessitant une adaptation du 100% télétravail : « Ceux qui ne peuvent pas effectuer toutes leurs tâches à distance peuvent se rendre une partie de leur temps sur le lieu de travail, c'est le cas, par exemple, dans un bureau d'études pour un ingénieur ou un technicien, ou pour un architecte qui a besoin d'équipements spécifiques pour travailler. »Cette adaptation du nouveau protocole en entreprise est vivement saluée par la profession qui estime qu'elle rendra possible une plus grande efficacité de ses collaborateurs, au service de la relance tout en garantissant le meilleur niveau de protection sanitaire.Bien évidemment, les entreprises d'ingénierie restent très majoritairement organisées autour du télétravail afin de réduire au plus strict minimum les déplacements et les interactions sociales, dans la lutte contre la propagation du virus.
Il y a 4 ans et 188 jours

Livraison du plus grand Leroy Merlin de La Réunion

L'offre commerciale du Retail Park s'étoffera prochainement avec la livraison au groupe Ravate, en tant que locataire cette fois-ci, d'un immeuble commercial de 3 600 m² destiné à l'enseigne Ravate Déco. Cet actif sera détenu à 50% par CBo Territoria.Un Retail Park de 30 600 m² de bâtis, au sein de la zone commerciale du « Sacré Cœur », commune du PortÉtendu sur 6 hectares, le Retail Park développé par CBo Territoria complète la plus grande zone commerciale de La Réunion, dénommée « Sacré Cœur ». Cette dernière comprend déjà sur 27 000 m² un Hypermarché Jumbo et une galerie commerciale de 85 enseignes ayant bénéficié d'une extension inaugurée en novembre 2018.Le site commercial développé par CBo Territoria accueillera d'ici le deuxième trimestre 2021 différentes enseignes complémentaires sur un total 30 600 m² de bâtis, avec 900 places de parking.A ce jour, ce sont 20 000 m² qui ont été livrés (soit 65% du retail park), dont 13 800 m² pour le Leroy Merlin et 6 200 m² livrés fin 2018, abritant Intersport, Athlete's Foot, Gifi, franchises du groupe Ravate.Restent à livrer, courant novembre, un bâtiment de 3 600 m² pour Ravate Déco et, en avril 2021, 7 000 m² pour accueillir diverses enseignes de commerces, des loisirs ainsi qu'une brasserie - restaurant - pub « Au Bureau », enseigne phare du groupe Bertrand, n°2 de la restauration en France.Immédiatement accessible depuis la voie rapide reliant le nord au sud de l'île, le Retail Park a été créé en étroite coordination avec la commune du Port, la Région Réunion et les services de l'État.Son développement est le résultat d'une collaboration rapprochée avec le groupe Ravate, leader de la distribution non alimentaire à La Réunion, exploitant des franchises d'enseignes de premier plan.La création du Retail Park par CBo Territoria représente un investissement global de 61,5 M€. Il s'articule autour de 3 différents types d'opérations :Promotion Immobilière : 13 800 m² livrés en octobre 2020 pour le groupe Ravate qui y installe sa franchise Leroy Merlin ;810 m² pour un restaurant, en cours de vente, livraison prévue en avril 2021 ;Foncière (actif détenu à 100 %) : construction de 6 200 m² pour accueillir divers commerces complémentaires de la zone commerciale, livraison prévue en avril2021 ;Foncière en partenariat avec le groupe Ravate (actif détenu à 50% et résultats Mis En Équivalence) : 6 200 m² livrés fin 2018, abritant Intersport, Athlete's Foot, Gifi, franchises du groupe Ravate ;3 600 m² pour accueillir l'enseigne Ravate Déco, livraison prévue en novembre 2020.Une réalisation en résonance avec la nature réunionnaiseConçu par l'architecte réunionnais Henry Lucas, le nouveau Leroy merlin a été élaboré en collaboration avec la commune du Port, l'équipement marquant architecturalement l'entrée de la ville. Le bâtiment est en partie habillé en bois de Cryptomeria, cèdre local présent sur l'Île, connu pour être adapté au climat tropical et aux vents cycloniques. Sa conception permet une consommation énergétique réduite grâce à une orientation spécifique des surfaces vitrées avec protection solaire, une coque protectrice thermique (façades et toitures isolées et de couleurs claires), un abondant éclairage naturel des espaces d'accueil et l'installation de panneaux de production d'énergie photovoltaïque.
Il y a 4 ans et 188 jours

Des unités mobiles en réanimation pour aider les hôpitaux à répondre à la forte demande de soin

I-Care, une solution qui intègre le soin au cœur de sa conceptionAvec la Covid-19, les hôpitaux ont dû convertir certaines de leurs unités de soins en services de réanimation, nécessitant le report des opérations chirurgicales qui pouvaient l'être. Grâce à I-Care, les hôpitaux n'auront plus à compromettre certains services pour pallier le manque d'unités de réanimation, et ce au détriment des patients.Ces modules, des conteneurs conçus et réalisés pour être prêts à l'emploi, répondent aux situations d'urgence sanitaire ainsi qu'aux besoins de surfaces médicalisées des hôpitaux et cliniques. Ils offrent des espaces de travail ergonomiques, généreux, fonctionnels, pour garantir une efficacité optimale pour les soignants, le patient bénéficiant d'un environnement de soin de haute qualité équivalent à celui de la structure hospitalière principale.Au-delà de l'innovation évidente que représente ces unités mobiles de réanimation, le groupement a souhaité insuffler les réflexions qui l'animent quotidiennement, tant dans la conception que dans la fabrication des conteneurs. Ainsi, les équipes sont constituées de soignants, d'architectes, d'ingénieurs techniciens et biomédicaux, d'ergonomes, de designers d'espaces, d'ingénieurs de production, pour étudier à chaque phase tous les détails du projet.Une solution évolutive efficace grâce à une logique « Plug & Play »La solution I-Care est développée en petite unité de 5 lits venant se greffer autour d'un plateau central. Ce dernier constitue le noyau de la structure pour l'ensemble de ces unités et rassemble toutes les fonctions « support » nécessaires au bon fonctionnement des zones de soins. Ce plateau est modulaire et extensible afin d'y ajouter des unités de 5 lits – permettant ainsi d'obtenir un service de 15, 20, 25 ou 30 lits – et offre une possibilité de plusieurs combinaisons en mode « plug and play ».L'ensemble a été conçu pour bénéficier d'une lumière naturelle grâce à toutes les ouvertures positionnées tant dans les boxes que dans les espaces de circulation et le plateau central. Obéissant aux normes de sécurité et sanitaire les plus exigeantes, il intègre un circuit propre dissocié pour la gestion des déchets.Enfin, les modules I-Care ont été conçus pour être installés dans tous les types de lieux, de topographie (en pente, sur toiture, etc.) et de géographie sans aménagements supplémentaires, grâce à un système de pieds réglables. I-Care peut aussi s'adapter à tous les types de climat.
Il y a 4 ans et 188 jours

Decathlon signe un contrat avec Voltalia pour se fournir en électricté solaire

"Par cet accord, Decathlon s'engage à acheter directement l'énergie produite par une centrale dédiée qui sera construite et financée par Voltalia. La création de cette centrale solaire est rendue possible par l'engagement sur le très long terme de Decathlon", explique entreprise dans un communiqué.Ce type de contrat de gré à gré, négocié sur le long terme par les entreprises avec les producteurs, est connu sous son nom anglais de "corporate PPA" (pour "power purchase agreement"). Généralement fondé sur les énergies renouvelables, il est très répandu aux Etats-Unis et se développe peu à peu en France.Le contrat annoncé mardi porte sur un parc photovoltaïque dans le Sud-Est de la France qui sera mis en service d'ici à 2023 et dont 16 mégawatts seront dédiés à Decathlon pour alimenter ses sites français, détaille Voltalia.La production doit fournir environ 15% de la consommation annuelle d'électricité de Decathlon en France.Le distributeur d'articles sportifs s'était engagé à utiliser 100% d'électricité d'origine renouvelable d'ici à 2026.Voltalia avait aussi annoncé en juin un accord pour fournir de l'électricité d'origine solaire aux supermarchés Auchan. La famille Mulliez est actionnaire de ces derniers, tout comme de Decathlon et Voltalia.
Il y a 4 ans et 188 jours

Le SNFA et l'UFME interpellent le Gouvernement sur la situation des salles d'exposition et points de vente de menuiseries

Le décret n°2020-1310 du 29 octobre 2020 affirme que les établissements (ERP), relevant de la catégorie M (magasins de vente et centres commerciaux), peuvent accueillir le public pour la livraison, le retrait de commandes ou l'activité suivante : commerce de détail de matériaux de construction, quincaillerie, peintures et verre en magasin spécialisé. Les distributeurs, négoces et grandes surfaces du bricolage peuvent ainsi être ouverts aux professionnels comme au grand public. Or, les entreprises dont la désignation de l'activité est le Bâtiment ou le commerce spécialisé ne sont pas autorisées à ouvrir, bien qu'elles soient également des ERP relevant de la catégorie M.Afin de retrouver l'équité entre professionnels, le SNFA et l'UFME demandent :l'ouverture de ces salles d'exposition et points de vente soit autorisée, en respectant le protocole sanitaire actuel qui pourrait être complété par de nouvelles mesures telles que la mise en place d'une jauge d'accueil au public, la prise de rendez-vous, la manipulation des produits seulement par le professionnel, etc., à être autorisés à accueillir les ménages français, en tant que maîtres d'ouvrage, dans ces ERP, en mentionnant obligatoirement la date, l'heure et le lieu de leur déplacement dans leur attestation dérogatoire. « Ces mesures dérogatoires seraient les seules à pouvoir préserver nos emplois et maintenir notre activité l'année prochaine. », entonnent à l'unisson Bruno Cadudal, Président de l'UFME, et Bruno Léger, Président du SNFA.Au-delà de la seule activité commerciale, les salles d'exposition et magasins de menuiseries sont les vitrines de l'activité chantier des entreprises. Les professionnels de la Filière Fenêtre & Véranda constituent des maillons indispensables à la gestion de la chaîne des chantiers du Bâtiment pour les particuliers, de la prescription à la livraison du chantier. Véritables lieux d'accueil et de conseil, ils permettent à l'artisan de présenter à son client la gamme de produits et d'accessoires disponibles, de s'assurer de l'adaptation de son offre à la demande, d'expliciter le devis et le mode de mise en œuvre.
Il y a 4 ans et 188 jours

Tous les services publics essentiels seront maintenus pendant le reconfinement

Du côté de l'approvisionnement électrique, le décalage dans les travaux de maintenance des réacteurs nucléaires lié au premier confinement réduit la disponibilité du parc pour cet hiver."Nous restons vigilants sur cette question", a dit Mme Pompili, évoquant plusieurs mesures prises pour compenser: "optimisation du programme de travaux de maintenance", coup de pouce à l'achat de thermostats "intelligents", doublement de la capacité d'effacement par rapport à l'an dernier. Une campagne télévisée débute aussi lundi pour inciter les particuliers aux économies d'énergie.Des capacités de production électrique au charbon ont aussi été utilisées. Mais "on reste sur une proportion faible", a assuré Mme Pompili, une proportion "un peu plus forte que l'an dernier, qui avait été un hiver doux, mais on est en dessous des années précédentes, 2018, 2017..." "On reste sur la décision de fermer nos centrales à charbon en 2022", a-t-elle insisté lors d'une conférence de presse.Côté eau et déchets, le service de traitement est assuré, a aussi dit la ministre, rappelant au passage que mouchoirs et masques se jetaient à la poubelle.A ce stade, "la mise en place d'une filière [de recyclage des masques] est lourde, et le gisement en tonnage assez faible pour alimenter une filière", a-t-elle indiqué, appelant "à utiliser les masques lavables".Côté tri, les filières de collecte "continuent de fonctionner normalement".Les déchèteries seront cette fois ouvertes aux particuliers et sans rendez-vous, à condition de se munir de son attestation de déplacement.Côté transports, "les transports du quotidien continueront à jouer un rôle clé", a ajouté la ministre, et "il est bien autorisé d'utiliser le vélo pour aller au travail, faire ses courses et faire de l'exercice dans la limite d'une heure et d'un kilomètre autour de chez soi".Sur les moyennes et longues distances, les transports "s'adapteront à la demande", mais "pour l'instant il est difficile de faire des projections".Selon la ministre, les TGV ont déjà vu tomber leurs réservations à 20% de leur niveau habituel (elles étaient tombées à 1% lors du 1er confinement).Enfin pour les commerces, bars, restaurants, concernés par des fermetures administratives, la loi sur prolongation de l'état d'urgence sanitaire interdit les coupures d'eau, de gaz et d'électricité, a-t-elle précisé.
Il y a 4 ans et 188 jours

Pendant le reconfinement la rénovation des logements continue mais les visites immobilières s'arrêtent

"Il est toujours possible de faire des travaux de rénovation, y compris chez les particuliers", a déclaré la ministre déléguée au Logement, Emmanuelle Wargon, lors d'une conférence de presse au ministère de la Transition écologique, dont elle dépend.A l'époque du premier confinement, un certain flou avait régné quant à l'aspect essentiel des travaux liés au bâtiment et de nombreux chantiers s'étaient interrompus pendant des semaines.Mais, cette fois, l’État a insisté sur le maintien de l'activité dans le secteur, explicitement évoqué par le président Emmanuel Macron lors de l'annonce du reconfinement.En revanche, toujours dans le secteur du logement, "les agences immobilières seront fermées au public", a confirmé Mme Wargon.Cela veut notamment dire que les visites de logements, en vue d'un achat immobilier, vont s'interrompre, même si les agents pourront toujours se déplacer pour effectuer un état des lieux.Les visites "ne sont plus autorisées", a souligné Mme Wargon, renvoyant à la mise en ligne de photos par les agents immobiliers.C'est une défaite pour le secteur qui réclamait le maintien des visites immobilières, même si la ministre a annoncé que les employés des agences seraient éligibles à la prise en charge par l’État du chômage partiel.Comme lors du précédent confinement, le gouvernement va aussi permettre le report des assemblées générales de copropriété qui ne pourront se tenir physiquement.Enfin, "les déménagements restent autorisés (...) dans le strict respect des mesures sanitaires", a précisé Mme Wargon.
Il y a 4 ans et 189 jours

Nouvelles dates pour Équipbaie-Métalexpo en 2021 et le Mondial du Bâtiment en 2022

BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMACe retour à Paris et ce nouveau calendrier biennal, en année paire, s'accompagnent d'une profonde transformation de l'évènement, avec un concept d'exposition totalement repensé et une offre digitale enrichie.Le vœu des professionnels exaucéGrâce à un travail en collaboration avec Viparis, propriétaire de Paris Expo Porte de Versailles, les organisateurs du Mondial du Bâtiment ont pu saisir l'opportunité de revenir sur le site historique des salons BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA. Ce retour permet de répondre aux souhaits des professionnels du Bâtiment, de la Construction et de l'Architecture d'un évènement plus convivial et à proximité du centre de Paris et de son offre de tourisme d'affaires.Parmi les conditions pour ce retour à Paris Expo Porte de Versailles, figurait une modification de la date de l'évènement. L'édition 2021 est ainsi reportée à l'automne 2022, ce qui devrait également minimiser les risques de décalages successifs en cas de prolongation de la pandémie actuelle, et faciliter la présence des exposants et visiteurs internationaux. Les trois salons se tiendront dorénavant tous les deux ans au mois d'octobre en année paire, en alternance avec ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO, les années impaires.Un évènement plus efficace et plus sobreEn 2022, les salons BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA occuperont les espaces du Hall 1 au Hall 6, représentant une surface d'exposition de plus de 136 000 m². Cette surface étant inférieure à celle disponible au Parc de Paris Nord Villepinte, ce retour s'accompagnera par conséquent d'un chantier d'aménagement de l'offre et de la logistique de l'évènement.Ainsi, les exposants se verront proposer une nouvelle offre d'exposition, organisée autour de modules standards et de tailles de stand limitées. De plus, un projet logistique d'envergure aura pour objectif de réduire les temps de montage/démontage et de fluidifier les flux autour de la Porte de Versailles.Cette refonte de l'offre et de la logistique évènementielle apportera de multiples avantages aux exposants : choix de l'emplacement dès l'inscription, augmentation significative du retour sur investissement (ROI) par une réduction des coûts d'exposition et du passage à 4 jours pour tous les salons.L'autre enjeu est celui de l'évènement lui-même qui va devenir plus sobre et s'inscrire dans une démarche RSE, dans le cadre de la feuille de route que s'est donné Reed Expositions France. Le Mondial du Bâtiment sera le premier grand salon du secteur à mettre en œuvre une politique et des actions d'envergure pour la réduction de ses impacts : réduction et revalorisation des déchets, politique d'achats responsables, écoconception, restauration responsable….Une offre digitale de rupture « 365 jours/365 jours »Pour développer la visibilité des exposants entre deux éditions du Mondial du Bâtiment et leur permettre de préparer une rencontre conviviale et qualitative pendant les 4 jours de salon physique, les organisateurs de BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA ont également conçu une offre nouvelle d'outils digitaux. Elle a pour ambition d'augmenter le nombre de contacts et la notoriété des marques des exposants sur une période élargie : la mise en relation et la visibilité, cœur de métier des salons, sont maintenant étendues entre deux éditions grâce au digital.Disponible dès la signature de participation au salon physique, cette offre en rupture avec les pratiques du métier s'articule autour d'un mix de solutions digitales : des contenus multiformes disponibles sur les blogs - livres blancs, articles, nouveautés produits… - des tables rondes en live et en replay, des émissions et podcasts sur Batiradio, des moments interactifs avec des webinars et des conversations en ligne.Bien plus qu'un simple come-back à la Porte de Versailles, c'est la fédération du plus grand nombre d'acteurs du bâtiment que nous promettent la réinvention de l'évènement et son dispositif digital. Rendez-vous début 2021 pour la feuille de route détaillée !Pour Guillaume Loizeaud, Directeur de BATIMAT : « Quel plaisir et quelle belle perspective de pouvoir écrire avec la filière cette nouvelle histoire ! Le retour de BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA à Paris en 2022 s'annonce comme un grand moment de convivialité pour tous les professionnels. Complètement repensé sur le format d'exposition, en phase avec les grands enjeux, augmenté dans le temps grâce au digital, le Mondial du Bâtiment réunira le meilleur du salon et du virtuel. »Pour Yves Danielou, Président de l'Afisb : « L'Afisb, ses adhérents et tous les acteurs de la salle de bains ne peuvent que s'enthousiasmer à l'idée du futur Mondial du Bâtiment. Les conditions sont réunies pour en faire un vrai succès. Nous ressentons tous le besoin de moments de convivialité dans notre travail et nos relations professionnelles et Paris expo Porte de Versailles, en grande partie rénovée, les offre dorénavant aux visiteurs comme aux exposants. Ré enchanter ce grand rendez-vous du bâtiment suppose un véritable travail de renouvellement que le nouveau calendrier va permettre de mener. A la demande de nombreux exposants, nous allons ainsi améliorer l'offre commerciale, pour atteindre un meilleur coût/contact. »Pour François Frisquet, Président d'Uniclima : « Notre Profession se réjouit de cette nouvelle dimension que prendra la prochaine édition d'INTERCLIMA en 2022 avec un retour au cœur de Paris, en collaboration avec nos partenaires du Mondial : BATIMAT et IDÉOBAIN. Nous donnons donc rendezvous à tous les acteurs du confort et de l'efficacité énergétique pour découvrir le dynamisme croissant de notre filière. »ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPOFruit du dialogue constant avec les 6 syndicats partenaires (Groupement ACTIBAIE, FFPV, SNFA, UFME, UMB et Union des Métalliers), cette date a été choisie collectivement afin de répondre plus que jamais à l'objectif d'être le rendez-vous incontournable des professionnels de la menuiserie et de la métallerie. Elle en fera également le 1er salon de la reprise pour le secteur de la menuiserie.De nouvelles dates et une ambition renforcéePrévu en novembre 2020, le salon ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO a été reporté en raison de la pandémie de la COVID-19 et de ses conséquences sur l'activité économique à la fois des fabricants, des installateurs menuisiers et des métalliers. Il sera désormais programmé en octobre tous les deux ans, les années impaires, en alternance avec le Mondial du Bâtiment, déplacé en octobre les années paires.Initialement placée sous la thématique de « La révolution positive du digital », la prochaine édition d'ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO (du 21 au 24 septembre 2021) sera d'autant plus tournée vers l'avenir qu'elle incarnera la digitalisation du secteur en proposant aux visiteurs une expérience unique et inédite sur le salon et une offre digitale renforcée.Une plateforme digitale en amont du salonLes organisateurs du salon créent ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO DIGITAL, une plateforme d'information et d'échanges lancée dès novembre 2020. Accessible en continu, rythmée par des rendez-vous mensuels, elle a pour objectif de fidéliser et d'amener la communauté des menuisiers et métalliers à se retrouver sur le salon ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO en septembre 2021. Elle propose aux professionnels, en avant-première et en digital, de découvrir des vidéos de démonstration produits, des vidéos d'experts, des nouveaux produits et services, et des webinars proposés par les exposants du salon, dont une trentaine sont d'ores et déjà engagés sur ce nouvel outil. Autre initiative digitale, les exposants du salon sont également présents dans le tout nouvel annuaire des fournisseurs du Blog, qui vient compléter le site internet du salon.Guillaume Loizeaud commente ce choix : « Nous remercions les exposants d'ÉQUIPBAIEMÉTALEXPO qui nous ont montré leur confiance en nous suivant pendant cette période de réflexion. La rentrée de septembre 2021 devrait voir la filière rassérénée par les effets positifs du plan de relance et prête à se retrouver sur son salon. »Pour Bruno Léger, président du SNFA : « Nous sommes très reconnaissants envers Reed d'avoir négocié pied à pied pour obtenir ce magnifique résultat : le retour de BATIMAT à la porte de Versailles, les années paires, qui permet à ÉQUIPBAIE de se tenir dès l'année prochaine. ÉQUIPBAIE 2021 sera la première occasion pour toute notre profession de se retrouver autour de nos innovations. Je remercie tous nos adhérents exposants d'avoir été patients et de nous avoir fait confiance ».Pour Bruno Cadudal, Président de l'UFME : « Après des mois de crise sanitaire Covid-19, je suis heureux d'annoncer une bonne nouvelle à la profession conjointement avec mes partenaires du Pôle Fenêtre et les équipes de Reed Expo. La confirmation des nouvelles dates de la prochaine édition du salon d'ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO montre que notre filière, consciente de vivre dans un monde « d'après » Coronavirus, reste optimiste et dynamique afin que la reprise de nos activités soit durable. Les professionnels représentés au sein de l'UFME seront nombreux à se mobiliser pour le 1er salon de la menuiserie. »Pour Franck Perraud, Président de l'Union des Métalliers : « MÉTALEXPO est un des événements majeurs de la métallerie. Maintenir des liens forts avec nos partenaires et nos fournisseurs est essentiel en cette période incertaine. Je me réjouis que toute la famille de la métallerie puisse se retrouver en septembre 2021 »
Il y a 4 ans et 189 jours

La filière construction s'engage à "assurer la continuité des activités dans les meilleures conditions" durant le reconfinement

Dans le contexte particulier du confinement, les organisations professionnelles de la filière construction* déclarent, en qualité d'acteurs responsables et engagés, tout faire pour :maintenir l'activité sur le territoire ;protéger les salariés de la filière en respectant les règles sanitaires et le protocole de préconisations de la filière ;préserver l'approvisionnement des chantiers en matériaux et équipements ;favoriser l'embauche des jeunes et maintenir l'apprentissage.Fortes de l'expérience du confinement de mars-avril, elles font appel à la responsabilité collective et au sens du bien commun pour prévenir :les risques d'arrêt de chantiers ou de réticence des clients à faire des travaux chez eux pendant les périodes de confinement ;le blocage des permis par les services instructeurs des collectivités locales ;le blocage des signatures de contrats et des actes de vente ;le blocage des livraisons ;les difficultés de circulation et de transport des équipes ;les dégradations et les vols pouvant survenir en marge des chantiers.Les acteurs de la filière construction, signataires de cet engagement, représentent une :force de frappe économique de premier ordre avec plusieurs centaines de milliards d'euros de chiffre d'affaires annuel sur l'ensemble du territoire national, réalisés par des centaines de milliers d'entreprises de toute taille,filière d'excellence avec un nombre d'emplois en France de l'ordre de 4 millions, gage de la cohésion sociale de la nation.Cet engagement vient matérialiser la nécessité d'une action collective forte de l'ensemble des acteurs, amont et aval, de la filière construction. C'est en effet ensemble que l'activité et les emplois pourront être maintenus par la filière, garante du maintien de l'activité économique, de la cohésion sociale et des territoires en France.* Les organisations professionnelles de la filière construction :FFB : Fédération Française du BâtimentFNTP : Fédération Nationale des Travaux PublicsFDME : Fédération des Distributeurs de Matériel ÉlectriqueFNAS : Fédération Française des Négociants en appareils sanitaires, chauffage, climatisation et canalisationsFND : Fédération Nationale de la DécorationFNAIM : Fédération Nationale de l'ImmobilierUSH : Union Sociale pour l'HabitatAIMCC : Association des Industries de Produits de Construction CarrièrePôle Habitat FFB : Constructeurs de maisons individuelles, promoteurs immobiliers et aménageurs fonciers.FEDEREC : Fédération Professionnelle des Entreprises du RecyclageFNBM : Fédération du Négoce de Bois et des Matériaux de ConstructionDLR : Fédération nationale des Distributeurs, Loueurs et Réparateurs de matériels de bâtiment, de travaux publics et de manutentionFIEEC : Fédération des Industries Électriques, Électroniques et de CommunicationFSIF : Fédération des sociétés immobilières et foncièresUNSFA : Union des ArchitectesCINOV : Fédération des syndicats des métiers de la prestation intellectuelle du Conseil, de l'Ingénierie et du NumériqueSYNTEC-INGENIERIE : Fédération professionnelle de l'ingénierie.UNTEC : Union nationale des Économistes de la constructionFPI : Fédération des Promoteurs Immobiliers
Il y a 4 ans et 189 jours

Rénovation énergétique des bâtiments : une priorité nationale

En effet, un bâtiment mal isolé laisse la chaleur s'échapper par ses parois et vers l'extérieur. Pour passer à un bâtiment basse consommation, il faut penser à protéger " l'enveloppe globale " de manière pérenne. Le choix des matériaux est important. Il conditionne l'efficacité des travaux engagés, leur durabilité et le confort. La laine de roche ROCKWOOL est l'une des solutions les plus efficaces en matière d'isolation thermo-acoustique. Elle possède également d'excellentes propriétés en protection incendie et conserve ses performances pendant plus de 55 ans. Signataire de la charte FAIRE depuis son lancement en avril 2019, ROCKWOOL s'est engagé à soutenir le Plan de Rénovation énergétique des bâtiments qui vise à faire baisser la consommation énergétique et à éradiquer la précarité énergétique en 10 ans.Améliorer le confort tout en réduisant les dépenses énergétiques Grâce à sa densité et à la conductivité thermique, la laine de roche augmente l'inertie thermique de la paroi, permettant ainsi de conservant la chaleur à l'intérieur. Mais elle empêche également la chaleur de rentrer à l'intérieur lors des périodes estivales et garantie que la maison reste fraîche en été. Le confort thermique de l'habitat est alors amélioré, et les dépenses liés au chauffage et à la climatisation sont réduites, et ce tout au long de l'année, été comme hiver. Les produits ROCKWOOL offrent également une excellente protection acoustique : ils isolent et amortissent les vibrations et le bruit en absorbant ainsi de nombreuses nuisances sonores (voisins, trafic routier, ferroviaire ou aérien). Enfin, la sécurité de l'ouvrage est prioritaire. Il convient notamment d'anticiper le premier des risques : l'incendie. La laine de roche est non combustible par nature, elle agit pour contenir le feu et empêcher sa propagation et ne dégage pas de fumées toxiques. Rénover les murs extérieursFaçade sous enduit20 à 25% d'énergie passe par les murs. En rénovation, que ce soit en maison individuelle ou en appartement, les techniques d'isolation par l'extérieur ne sont pas toujours possibles. Alors comment faire ? ROCKWOOL propose des solutions qui s'adaptent à tous les styles architecturaux.La technique de pose d'isolant sous enduit est courante aujourd'hui lors d'un ravalement de façade. Il existe aujourd'hui des techniques permettant de reproduire à l'identique les détails architecturaux des façades appelés modénatures. Elles sont alors transposées sur la nouvelle façade de manière à conserver l'aspect du bâtiment ou bien à lui donner un nouveau style architectural.Les performances de la laine de roche associées à un large choix de coloris et de finitions couvrent tous les projets en rénovation. Avec la gamme Ecorock, ROCKWOOL propose plusieurs solutions dédiées à l'isolation par l'extérieur sous enduit.Isolation des murs extérieurs par l'intérieurLorsque vous ne souhaitez pas réaliser la rénovation des murs par l'extérieur (mur en pierre ou patrimoine architectural particulier), ROCKWOOL vous propose des solutions d'isolation par l'intérieur. Découvrez Rockmur, notre nouvelle solution thermo-acoustique polyvalente idéale pour isoler les murs par l'intérieur et les cloisons. Il apporte tout le confort souhaité tant dans son installation que dans son utilisation. Cette solution garantit des économies d'énergie, améliore le confort et maintient l'esthétique de la façade existante.Isoler la toitureLa toiture représente jusqu'à 30% des déperditions de chaleur d'un bâtiment. ROCKWOOL propose des solutions d'isolation adaptées à tous types de travaux autour de la toiture : en combles aménagés, combles perdus ou en isolation de la toiture par l'extérieur (sarking).Transformer les combles en espace de vie de qualitéVous souhaitez aménager les combles perdus en un espace agréable à vivre tout en apportant du confort intérieur : Rockcomble Evolution est la solution qui répond à toutes vos attentes. 100% laine de roche et 100% premium, cette solution vous offre un gain de temps et de confort de pose (jusqu'à 50% de temps gagné lors de la pose de l'isolant par rapport à une solution bicouche).Rockcomble Evolution assure un excellent confort intérieur non seulement en hiver, mais également en été, permettant de retarder et d'atténuer le transfert du flux de chaleur de l'extérieur vers l'intérieur et vice-versa et apporter ainsi du confort et du bien-être.Isoler les combles perdus pour un meilleur confortLes combles perdus, bien qu'inhabités, nécessitent une isolation performante qui permet d'apporter un confort thermique été / hiver dans les étages inférieurs, tout en réduisant la consommation d'énergie.L'isolation des combles perdus par soufflage est une méthode simple et rapide, adaptée à la rénovation. Cette technique du soufflage permet d'isoler les combles perdus dans les zones difficiles d'accès en éliminant les ponts thermiques. Jetrock 2 est la solution en laine de roche à souffler qui garantit une performance réelle et durable avec son lambda 44, meilleure performance thermique du marché en laine minérale soufflée. Réellement stable au vent sans déflecteur (jusqu'à une vitesse de vent de 126 km/h), ce produit est insensible à l'eau et à l'humidité grâce à son caractère non hydrophile et très durable dans le temps (classement S1).Il est également possible d'isoler les combles perdus à l'aide de rouleaux en laine de roche.Isoler les combles par l'extérieurAfin de donner un aspect esthétique à la maison, il est possible de conserver les éléments intérieurs apparents de la charpente de la toiture en choisissant d'isoler par l'extérieur (sarking).Rockciel, l'isolant spécial sarking, permet de limiter les déperditions de chaleur en hiver et évite la surchauffe des pièces sous-jacentes l'été tout en réduisant les bruits extérieurs. Il offre un gain de surface dans l'habitation, une durabilité dans le temps et d'excellentes performances thermiques ! Quel que soit votre projet, il existe une solution ROCKWOOL pour tous vos travaux de rénovation !
Il y a 4 ans et 189 jours

Il y a "une marge de progression considérable" pour le Télétravail

Question : Comment expliquer le recul du télétravail après le déconfinement ?Réponse : "La raison majeure me semble être la perception par la hiérarchie d'une perte de contrôle des travailleurs. C'est la résistance qu'oppose le système en général depuis l'avènement du télétravail. Avant le Covid, selon les enquêtes, on était entre 3 et 10% de télétravailleurs selon la fréquence de télétravail. On est passé à 30% pendant le confinement. Pourquoi tout d'un coup des activités sont-elles devenues télétravaillables ? Pourquoi n'y en aurait-il pas au-delà ?Aux États-Unis, après la première vague du Covid, 58% des actifs étaient en mode télétravail (33% en télétravail constant et 25% en partiel). La différence avec la France est énorme. La notion de télétravail est à géométrie variable. Cela veut dire que la marge de progression est considérable.Q : Cela vaut-il aussi bien pour les grandes entreprises que pour les PME ?R : "Je fais un rapprochement avec l'émergence de l'informatique personnelle au début des années 80 quand les travailleurs avaient leur micro-ordinateur sur le bureau. La perte de contrôle due à l'autonomisation des pratiques a fini par s'imposer parce que la productivité était au rendez-vous.Pourquoi les directions d'entreprise ne font pas aujourd'hui le même constat alors que toutes les études convergent pour faire valoir une intense productivité du télétravail ? PSA l'a compris. Facebook, Twitter ont un coup d'avance et voient aussi les économies considérables à réaliser dans le mobilier d'entreprise, etc.Les petites entreprises, en excluant les startups qui ont basculé depuis longtemps dans le télétravail, sont scotchées au lieu du travail parce qu'un certain nombre d'activités ne sont pas éligibles au télétravail et la notion de contrôle y est souvent plus prégnante. Mais ceux qui télétravaillent aujourd'hui le savent : il est assez facile de les contrôler à distance."Q : La résistance n'est-elle pas aussi du côté des travailleurs, le confinement ayant montré qu'il n'était pas facile pour tout le monde de travailler depuis chez soi ?R : "N'est-on pas en train de s'enfermer avec le Covid dans une notion très réductrice du télétravail à domicile dont le confinement a montré les difficultés que cela pouvait poser ? On continue de marteler que le travail à distance = travail à domicile, je pense que c'est une erreur. Le télétravail n'est vu par les entreprises et aussi les pouvoirs publics que comme un outil protecteur du Covid.Cela dit le système a une difficulté à voir que le télétravail n'est pas une commodité mais une rupture sociétale. L'opinion est prête, elle en a fait la démonstration : les chiffres montrent une appétence majoritaire des actifs pour le télétravail, de l'ordre de 80%.Le télétravail renvoie à l'idée d'un travail apaisé, maîtrisé, autonome. Cela instille surtout l'idée neuve d'une coexistence possible de la sphère du travail avec les sphères personnelle, familiale et sociale. Tout lieu connecté devient éligible au télétravail. Le télétravail demain renverra à un archipel de lieux de vie où pourront cohabiter des activités professionnelles ou non."
Il y a 4 ans et 189 jours

Miralite Pure : le nouveau miroir durable de Saint-Gobain

Un allié du design intérieurConçu sur une base de verre PLANICLEAR©, DIAMANT© ou PARSOL©, le miroir MIRALITE© PURE optimise la réflexion de l'éclairage naturel ou artificiel. Son excellente opacité le destine naturellement à être rétro-éclairé au gré des envies.Ce nouveau miroir est idéal pour décorer et agrandir toutes les pièces de la maison, comme la salle de bains ou l'entrée, et il contribue à rendre plus accueillants les espaces recevant du public comme les bureaux, les hôtels, les restaurants, les salles de sport…À l'instar d'un miroir traditionnel, MIRALITE© PURE se plie à toutes les transformations, découpes droites ou en formes, perçage et façonnage. En tant que panneau mural, habillage de meubles ou en miroir de décoration, il se décline en différentes teintes pour agrémenter l'intérieur : clair, bronze, gris ou vert.Un mirroir saint et durableMIRALITE© PURE associe efficacité technique et performance environnementale. Cette innovation de Saint-Gobain répond parfaitement à son engagement « pour le développement de matériaux pensés pour le bien-être de chacun et l'avenir de tous ».Fabriqué à partir de 30% de verre recyclé (calcin) il emploie 20% de laque en moins grâce à une couche unique à base d'eau, et ne comprend pas de plomb ajouté. La production de MIRALITE© PURE a, de plus, été optimisée pour consommer moins de ressources naturelles qu'un miroir traditionnel.Les flux logistiques ont également été étudiés afin de limiter l'empreinte sur l'environnement. Lors de sa fabrication et jusqu'à sa pose, MIRALITE© PURE n'émet presque aucun COV préservant ainsi les opérateurs de fabrication, jusqu'au client final. Ces performances sont garanties par une FDES validée par l'INIES, un organisme indépendantLa durabilité de MIRALITE PURE dépasse largement les exigences de la norme européenne (EN 1036). Cette éco-innovation est le reflet de l'engagement de Saint-Gobain dans le développement de solutions plus durables pour l'habitat et l'amélioration du quotidien.
Il y a 4 ans et 189 jours

La Maison Sénior, une éco-construction participative et le premier projet locatif C2C en France

En collaboration avec les futurs habitants, ce projet a été conçu dans une démarche circulaire de réutilisation des matériaux : le cradle to cradle*. Potentielle réponse d'hébergement pour nos aînés, ce programme d'aménagement urbain respectueux de l'environnement sera livré fin 2021. Zoom sur les 3 points forts de la Maison Sénior.Un meilleur parcours résidentiel du public séniorSituée au cœur du centre-bourg de la commune de La Chapelle-Thouarault, la future résidence Maison Sénior est née d'une volonté de la Ville d'améliorer le parcours résidentiel du public sénior. Cette résidence proposera une solution alternative à un accueil en EPHAD, en faveur d'un maintien à domicile. Les 19 logements permettront d'offrir aux résidents un cadre et une qualité de vie en adéquation avec leurs besoins. Ces populations sont en attente d'un environnement chaleureux et sécurisé, favorisant le lien social. Située à proximité des commerces de la Ville, la résidence Maison Sénior favorisera à la fois les échanges, la convivialité tout en permettant aux résidents de conserver leur indépendance et autonomie. Ce modèle de construction a pour vocation de devenir une référence dans les opérations de renouvellement urbain et de répondre aux enjeux écologiques mais aussi démographiques des prochaines années.Un projet d'habitat conçu par et pour les futurs habitantsDepuis février 2017, trois ateliers animés par Néotoa ont permis d'échanger sur les besoins des futurs habitants. En présence des élus de la commune (initiateurs du projet), des équipes Néotoa, des riverains, de l'équipe d'architectes, d'une aide-soignante et de l'institut environnemental EPEA (assistant du maître d'ouvrage), la conception participative du futur projet s'est déclinée autour de trois axes principaux : la définition du projet initial et la programmation ; la définition des objectifs architecturaux du projet ; une réflexion sur les espaces partagés et les usages. Ces échanges ont permis de créer du lien entre les parties prenantes, avant même que la résidence ne soit construite. De nouvelles rencontres sont programmées pour évoquer notamment l'animation de la salle commune.Une éco-conception Cradle to Cradle* – C2CL'éco-conception Cradle to Cradle* est une nouvelle façon de concevoir les bâtiments. Les matériaux utilisés sont non toxiques et mis en place de façon à pouvoir être démontés et récupérés après usage. Le Cradle to Cradle* traduit ainsi l'utilisation de matériaux « upcyclables** ». Par rapport au recyclage conventionnel, la démarche maintient la qualité des matières premières tout au long du cycle de vie du produit. Cela signifie que tout peut être considéré comme une ressource et que la notion de déchet disparaît. La résidence Maison Sénior bénéficie d'une isolation des murs en paille et laine de bois, d'ossatures bois et utilise des matériaux réutilisables. L'ensemble de ces atouts en font un bâtiment très innovant et performant énergétiquement éligible au modèle et à la certification Cradle to Cradle* – C2C, attribuée en fin de chantier. Il s'agit du premier projet locatif à viser ce référencement en France.La période de travaux est estimée à 18 mois : le gros œuvre est en cours, le montage de la structure bois/paille se fera à partir de début octobre, la mise hors d'eau/hors d'air à la fin du 1er trimestre 2021. La livraison est prévue fin 2021/début 2022.La résidence a été pensée par 10i2LA Architecture pour s'intégrer au cœur du bourg sans altérer le paysage urbain initial. Les façades seront aménagées de façon à donner l'illusion de plusieurs bâtiments accolés : un bardage bois succédant à de l'enduit à la chaux puis à des ardoises naturelles, etc. La qualité des espaces a été privilégiée : 47 m2 pour les deux pièces et 67 m2 pour les trois pièces. Les logements seront traversants ou orientés plein Sud et posséderont tous un balcon ou une terrasse. Deux espaces partagés permettront aux futurs usagers de se retrouver : un jardin à l'arrière du bâtiment et une salle commune au rez-de-chaussée.Financement : 30% de subventions de l'État et de Rennes Métropole, 20% de fonds propres Néotoa et 50% de prêts.*Cradle to cradle : du berceau au berceau.** Upcyclables : recyclables.