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Il y a 4 ans et 286 jours

La période de crise aurait favorisé l'accès au crédit immobilier des ménages aisés

Pour ce faire, une analyse comparative des différentes transactions ou dossiers traités entre avril et juin 2020, par rapport à la même période en 2019, a été effectuée. A quel type de profils la crise a-elle-profité ? Dans quelles conditions et pour quels projets ?Alors que le secteur immobilier a été fortement impacté par la crise, un signal fort en faveur de la reprise était attendu. La récente décision du Haut Conseil de Stabilité Financière (HCSF) de maintenir les mesures restrictives relatives à l'octroi de crédit immobilier (limitation de la durée des prêts à 25 ans et taux d'endettement inférieur à 33%) est donc une véritable mauvaise nouvelle pour le marché. Une décision qui aura pour conséquence directe de limiter encore davantage l'accès à la propriété des emprunteurs les plus modestes, à commencer par les primo-accédants, déjà particulièrement affectés par la crise économique... Malgré cette conjoncture inédite et une légère augmentation des taux de crédit constatée au mois de juillet 2020, les conditions d'emprunt demeurent favorables, plus particulièrement pour les prêts sur une durée de 10 et 25 ans.Retour sur la période de crise : des banques plus exigeantes au profit des emprunteurs au dossier le plus solide !Dans un contexte de forte incertitude, les banques sont restées prudentes et ont parfois joué sur une légère augmentation des taux. Elles ont par ailleurs privilégié les meilleurs dossiers [1] afin d'éviter le risque de défaut. Dressant un état des lieux de la période de crise (avril, mai et juin 2020), La Centrale de Financement a également constaté une augmentation du montant moyen du prêt, dont la hausse la plus marquante a été constatée en comparant les mois de mai 2019 et 2020. Sur cette période, le montant moyen des prêts contractés a augmenté de 14,24% (pour les dossiers finalisés).« La hausse du montant du prêt pourrait notamment trouver une explication dans l'augmentation des prix de l'immobilier, engendrant une hausse structurelle du montant des crédits contractés sur la période analysée. » - Sylvain Lefèvre, président de la Centrale de FinancementCette augmentation des prix de l'immobilier dispose d'un impact direct sur le profil des emprunteurs en mesure d'accéder au crédit. Il s'agit principalement de ménages aisés, dont le revenu moyen s'élève à 57 171€ en moyenne entre avril et juin 2020 (pour les dossiers finalisés). Sur la même période, en 2019, le revenu moyen s'élevait à 53 419€. Le revenu moyen des ménages emprunteurs au deuxième trimestre 2020 est donc supérieur de 7,02% par rapport au deuxième trimestre 2019.Sur les trois derniers mois étudiés, la période de crise est restée favorable à l'emprunt à deux puisque la part des prêts montés par des emprunteurs en couple est relativement stable par rapport à la même période en 2019.La crise a également conforté l'attrait des ménages pour l'achat d'une résidence principale. En effet, la part consacrée à l'acquisition d'une résidence principale s'élevait à 85% en moyenne sur le deuxième trimestre 2019, contre 87% sur la même période en 2020.Pour l'ensemble des dossiers de prêts montés et finalisés étudiés, la Centrale de Financement a constaté une augmentation du montant d'apport entre le deuxième trimestre 2019 et 2020. En effet, la part d'emprunteurs dont l'apport est inférieur à 10 000 € a baissé sur la période étudiée.Les durées de prêts se sont également allongées entre 2019 et 2020, sur les mois d'avril, mai et juin. Les dossiers de prêts montés en mai ont par exemple vu leur durée moyenne augmenter de 6 mois, et de 3 mois en juin, entre 2019 et 2020.L'apport personnel de plus en plus indispensable pour les primo-accédantsAlors que les primo-accédants ont été particulièrement impactés par la crise, avec la mise en chômage partiel de nombre d'entre eux, ces derniers se sont retrouvés fortement pénalisés face à l'emprunt immobilier. Leur proportion par rapport au nombre total d'emprunteurs a globalement diminué sur la période d'avril à juin entre 2019 et 2020. La part du nombre de primo-accédants est donc passée de 34% pour les dossiers finalisés en avril 2019 à 26% en avril 2020. Toujours concernant les dossiers finalisés, cette part est passée de 37% en juin 2019 à 33% en juin 2020.Afin de sécuriser leurs dossiers, les banques ont requis un apport personnel de plus en plus conséquent, notamment pour couvrir les frais de notaire ou de garantie.« Dans une période où l'accès au crédit pour les primo-accédants peut être plus compliqué, le besoin de conseil et d'accompagnement est plus que jamais indispensable. Par certains mécanismes permettant de s'adapter à la situation de chacun, comme la délégation d'assurance, La Centrale de Financement a la possibilité de construire des solutions de financement respectant les limites fixées par le HCSF et permettre à son dossier d'obtenir une réponse favorable. » déclare Sylvain Lefèvre.Une demande d'apport plus importante dans l'ancien que dans le neuf !Le montant de l'apport demandé dépend également du type de projet de l'acquéreur ! La Centrale de Financement a par exemple comparé trois projets dans le département de la Seine Maritime : un achat dans le neuf, un achat dans l'ancien, et la construction d'une maison, pour un montant total de 220 000 euros chacun. Pour le projet dans le neuf, la demande d'apport personnel s'élève à 8 765 euros (frais de notaire et coût de l'hypothèque compris), et à 10 049 euros pour le projet de construction (frais de notaire et coût de l'hypothèque compris). En revanche, pour le projet dans l'ancien, l'apport personnel nécessaire est de 18 315 euros (frais de notaire et coût de l'hypothèque compris). À montant total égal, il est donc plus difficile d'accéder à la propriété dans l'ancien en raison du besoin d'un apport personnel plus élevé.« Un marché de l'ancien atone aurait pour conséquence directe de freiner le dynamisme du neuf. Ces marchés sont interdépendants : l'un ne peut être vigoureux que si l'autre l'est également ! Par exemple, un retraité habitant à la campagne souhaitant vendre son bien ancien pour investir dans le neuf en centre-ville ne pourra le faire que s'il trouve un acheteur. » soutient Sylvain Lefèvre.Juillet 2020, un mois toujours favorable à l'emprunt malgré une légère hausse des tauxLes taux ont légèrement augmenté par rapport au mois précédent. Hormis pour les prêts d'une durée de 10 et 25 ans pour lesquels les taux baissent, ils augmentent pour les durées comprises entre 12 et 20 ans, ainsi que pour ceux d'une durée de 7 ans. Cette hausse à l'arrivée de la période estivale s'explique en partie par la volonté des banques d'anticiper une certaine baisse de la demande pendant les congés annuels. Malgré ces hausses des taux, les conditions d'emprunt restent extrêmement bonnes, avec des taux à des niveaux toujours avantageux.Ainsi, avec les taux annoncés ce mois-ci, pour un emprunteur contractant un prêt d'un montant de 180 000€ sur 20 ans à 1,29 %, la mensualité s'élèvera à 851.22 euros avec un coût total de crédit de 24 292,8 euros.Évolution des tauxLes taux immobiliers moyens de juillet 2020 par durée d'empruntLes conditions de taux généralement constatées augmentent de 0,02% pour les prêts sur 7 et 20 ans. Pour les prêts sur une durée comprise entre 12 et 15 ans, les taux ont augmenté de 0.04%. En revanche, pour les emprunts d'une durée de 10 ans et de 25 ans, les taux ont respectivement diminué de 0.02% et 0.01%.Les meilleurs taux immobiliers de juillet 2020 par durée d'empruntLes meilleurs taux du mois de juillet augmentent légérement par rapport à ceux du mois de juin pour l'ensemble des durées d'emprunt. Un emprunteur bénéficiant d'un très bon dossier pourra donc solliciter un financement, avec un taux qui reste très avantageux.Profil des emprunteurs ayant réalisé leur projet en juin 2020L'emprunteur type du mois de juin 2020
Il y a 4 ans et 286 jours

La sécurité des cathédrales n'est "pas seulement une question d'argent"

"L'urgence va être de faire en sorte que toutes les installations électriques soient vérifiées et que les cathédrales soient toutes dotées de systèmes de détection d'incendie et de détection de fumée, que les plans d'évacuation des œuvres soient mis en œuvre et parfaitement cohérents", a-t-elle argumenté lors de la séance de questions au gouvernement à l'Assemblée Nationale."Mais ne nous faisons pas d'illusions, ce n'est pas seulement une question d'argent: la mise en sécurité des cathédrales est quelque chose de complexe, parce que ce n'est pas un musée, pas un château qu'on visite: c'est un lieu de culte, de prière, de partage, dans lequel on rentre évidemment sans discrimination et en toute liberté", a-t-elle souligné."Comment mettre en sécurité, avec des détecteurs de fumée, une nef qui fait 37,5 mètres de hauteur... C'est la responsabilité de tous et de toutes de garder la sécurité de nos cathédrales", a insisté Mme Bachelot.La ministre de la Culture était interrogée sur le plan "sécurité cathédrales" de son ministère qui concerne 89 édifices cultuels dont l'Etat est propriétaire. Adopté après l'incendie, en avril 2019, de Notre-Dame de Paris par l'ancien ministre Franck Riester, ce plan est doté de 2 millions d'euros en 2020, en sus des 40 à 45 millions d'euros affectés annuellement aux cathédrales.Les investigations de la police judiciaire se poursuivent à Nantes pour tenter de déterminer l'origine du sinistre qui s'est déclaré samedi matin. L'enquête a révélé l'existence de trois points de feu distincts.L'un des pistes envisagées par le sacristain de la cathédrale est celle d'un court-circuit électrique.La plupart des incendies qui se déclarent chaque année dans les églises et cathédrales ne sont pas la conséquence d'actes criminels. Les installations électriques défectueuses sont à l'origine de quelque 30% des sinistres, selon les experts du patrimoine.
Il y a 4 ans et 287 jours

Commerce en ligne : Pompili propose un moratoire sur les projets de nouveaux entrepôts

La proposition portée par Mme Pompili, qui avait signé une tribune en ce sens il y a quelques semaines avant de prendre ses fonctions, n'a pas été tranchée encore au niveau gouvernemental, précise-t-on, confirmant une information de RTL.Dans son discours de politique générale mercredi, le Premier ministre Jean Castex a promis la mise en place d'un moratoire pour l'installation de nouveaux centres commerciaux dans les zones périurbaines, "pour lutter contre l'artificialisation des sols".La proposition de Mme Pompili, qui ne se veut "pas anti e-commerce" dit-on au ministère, est liée à des raisons de "cohérence des politiques publiques", afin de lutter contre cet étalement urbain et revitaliser les centres-bourgs.La nouvelle ministre suggère le lancement d'une mission parlementaire, "en lien avec Bercy", pour dresser un état des lieux de l'impact économique et environnemental de l'essor des entrepôts logistiques en France. Un moratoire sur les installations nouvelles, dont la durée reste à préciser, serait imposé en attendant ses résultats.Interrogé par l'AFP, Amazon a indiqué vendredi ne pas avoir "d'information spécifique sur un potentiel moratoire" concernant ces dépôts et n'a pas souhaité commenter.Le géant américain défend son rôle en matière d'emploi (30.000 emplois directs et indirects en France, dont 9.300 directs sur les 200.000 du commerce en ligne, selon une porte-parole).Le Syndicat des indépendants (SDI), qui représente notamment les commerçants de proximité, a pour sa part "accueilli favorablement" cette proposition qui permettrait "un rééquilibrage" entre commerces de centre-ville, grandes surfaces de périphérie et commerce en ligne."Cette proposition, si elle est appuyée par le gouvernement, permettra de revitaliser les centres-villes et de soutenir la relance des commerces de proximité. Ces derniers ont été durement touchés par la crise sanitaire et les mouvements sociaux qui ont précédé, et ils sont aujourd'hui dans une détresse économique qui les laisse sans armes face à la concurrence des acteurs du e-commerce", a commenté Marc Sanchez, secrétaire général du SDI.Pour les Amis de la Terre, "l'annonce de Barbara Pompili crée de l'espoir mais la bataille au gouvernement est loin d'être gagnée".Pour l'ONG, "une différence de traitement" entre les entrepôts de commerce en ligne et les zones commerciales serait "injustifiée d'un point de vue juridique, économique et environnemental".
Il y a 4 ans et 287 jours

La R&D d'EDF et l'hydraulique

Il y a 4 ans et 287 jours

Equilibrio, sèche-serviettes et sèche-peignoir électrique en acier inoxydable

Alimenté par énergie électrique à bas voltage, selon les principes d’économie énergétique de la production CEA, EQUILIBRIO s’adapte très facilement à toute ambiance domestique et publique, en trouvant la correcte modularité selon les espaces et les exigences du projet. Le design pure et linéaire rend EQUILIBRIO transversale : le corps à encastrer, universel et libre, détermine la modularité et/ou répétabilité. Un produit qui peut combiner de manière exemplaire fonctionnalité, durabilité et design. EQUILIBRIO est disponible dans les finitions standards satinée et polie et aussi dans toutes les finitions spéciales CEA (Black Diamond, Bronze, Cuivre et Light Gold) écologiques et biocompatibles.
Il y a 4 ans et 287 jours

De nouvelles réalisations en Stonepanel de Cupa Stone

Avec un large choix de couleurs, de formes et de formats, le parement en pierre qui donne du relief aux murs intérieurs et extérieurs est une excellente alternative aux revêtements utilisés habituellement pour des décors rustiques voire contemporains ! Très tendance, il réserve bien des surprises en matière de déco. Zoom sur 4 nouvelles réalisations Cupa Stone.Dans le jardin : les parements stonepanel bien intégrés aux paysagesLes parements Stonepanel® permettent une multitude de réalisations pour aménager et décorer le jardin : les murets et bordures en pierre naturelle se fondent harmonieusement dans la végétation et nécessitent peu d'entretien. Les parements Stonepanel® les habillent avec brio en offrant des lignes asymétriques qui accrochent le regard et dynamisent l'espace.Stonepanel® SaharaGneiss multicolore de teinte marron avec des nuances de gris d'aspect sobre et rustique.Format standard : 60 x 20 cm x 3-5 cmPrix public indicatif TTC : 120,67 €/m2Ce muret en ardoise se caractérise par des lignes épurées, la pierre est fine et allongée, et offre une esthétique minimaliste pour un bel effet déco. De quoi vous inspirer pour créer des aménagements qui sortent de l'ordinaire !Stonepanel® Jet Noir Lames FinesL'ardoise traditionnelle aux nuances de noir et de gris s'adapte parfaitement aux aménagements extérieurs.Format standard : 60 x 20 cm x 2-4,5 cmPrix public indicatif TTC : 126,00 €/m2 hors poseVue sur la ville : une vraie terrasse urbaineLes propriétaires ont aménagé ce petit espace sur le toit, en terrasse facile à vivre, pour se reposer, se détendre et recevoir des amis sans pour autant jardiner. Ils ont choisi un parement dans des teintes gris/bleu pour son aspect très naturel et décoratif ; c'est cet habillage du mur qui souligne ici l'originalité et fait toute la différence !Stonepanel® NordicCe quartzite aux nuances grises et bleues transmet fraîcheur et clarté pour un style très contemporain. Format standard : 60 x 20 cm x 3-5 cmPrix public indicatif TTC : 119,48 €/m2 hors poseDonner son empreinte à la maison avec la pierre naturelleEnvie de nouveautés ou de relooker sa maison, pensez aux solutions hautement esthétiques de Cupa Stone, les parements en pierre naturelle Stonepanel®. La gamme complète répond à tous les styles et permet de créer des décors exclusifs. Elle connaît un regain d'intérêt pour toutes les constructions ou rénovations soucieuses d'écologie et d'environnement.Cette maison incarne l'esprit du sud, alternant simplicité et modernité sur fond de douces tonalités mêlant design épurés et matériaux bruts. Les parements confèrent un cachet et une personnalité aux façades avec un effet d'enrochement plus vrai que nature !Stonepanel® MarinaPierre lumineuse et élégante avec des tonalités crème et rose claire. Ce panneau est idéal pour créer des projets contemporains. Format standard : 60 x 20 cm x 3-5 cmPrix public indicatif TTC : 120,67 €/m2 hors poseLes + produitsL'installation des panneaux est simple et facile. Elle n'implique pas l'utilisation de machines spécifiques.La pose est dix fois plus rapide que la pose traditionnelle (20m2 en moyenne/jour).Le panneau ne nécessite aucun travaux de nettoyage pendant au moins une dizaine d'années ; l'aspect visuel du parement reste impeccable dans la durée.Les déchets et les pertes dues aux coupes sont largement diminués durant le chantierLe système de fixation breveté et homologué, en acier inoxydable, permet l'installation à plus de 2 mètres de hauteur (Avis technique, CSTB).La base de ciment renforcée (3 cm d'épaisseur) par une armature en fibre de verre garantit la tenue des pierres.Le parement en forme de « S » rend les joints invisibles et assure un aspect homogène à la surface installée.Tous les produits en pierre naturelle sont disponibles exclusivement dans les 11 agences du réseau Cupa Stone en France.A découvrir sur le site internet : www.cupastone.fr
Il y a 4 ans et 287 jours

Le groupe Icade, reflet de l'immobilier face à la crise

La crise "fait un trou d'air en 2020 mais l'effet dans le temps sera assez limité", a assuré à l'AFP Olivier Wigniolle, directeur général d'Icade, à l'occasion des résultats semestriels mardi.Son bénéfice net semestriel a chuté de 89%, par rapport à un an plus tôt, à cinq millions d'euros. Le "cash-flow net courant", plus représentatif des performances, a reculé de 7,8% à 161,3 millions d'euros, et les revenus de 8,3% à 622 millions.Sur toute l'année, Icade estime que la crise privera ses résultats d'une centaine de millions d'euros, mais espère en récupérer presque la moitié en 2021.Ces chiffres dressent des perspectives pour l'ensemble du secteur immobilier au-delà de la seule situation du groupe, au capital dominé par le public via la Caisse des dépôts.En effet, Icade joue sur de multiples tableaux. Il fait construire des logements, loue des bureaux et possède des établissements de santé, essentiellement des cliniques et maisons de retraite.Le groupe accélère depuis plusieurs années dans cette dernière activité."On ne savait évidemment pas que le Covid allait arriver", a souligné M. Wigniolle. "Mais à rebours, ça valide cette stratégie. L'immobilier de santé, on va en avoir plus besoin demain qu'hier."Le patron d'Icade évoque notamment le "Ségur de la santé". Lancées en pleine épidémie, ces négociations entre gouvernement et monde de la santé viennent d'aboutir à la promesse de vastes investissements.Signe qu'Icade croit toujours beaucoup à la santé, et pas seulement en France, le groupe a annoncé mardi l'achat pour 145 millions d'euros de maisons de retraite, largement situées en Allemagne, au groupe Orpéa qui continuera à les exploiter.Sur le même modèle, "peut-être verrons-nous les hôpitaux publics externaliser (vendre) une partie de leurs murs, même s'il est trop tôt pour le dire", a avancé M. Wigniolle.Le logement rebonditL'immobilier de santé, est une niche, mais les résultats d'Icade donnent d'autres indications sur un univers beaucoup plus vaste, le logement. Elles sont plutôt rassurantes, dans la lignée de chiffres déjà donnés par un grand concurrent, le promoteur Kaufman & Broad, début juillet.Les revenus ont certes chuté face à l'interruption de nombreux chantiers lors du strict confinement contre le virus au printemps. Mais les réservations, gage de futures rentrées d'argent, ont fortement rebondi dès le déconfinement."Objectivement, ce n'était pas le pronostic que nous faisions", s'est félicité M. Wigniolle, estimant que le confinement fait émerger une "aspiration à un logement de meilleure qualité".Néanmoins, plus que les particuliers, ce sont les grands investisseurs qui ont soutenu les ventes et les dominent désormais. Leurs réservations ont doublé par rapport à un an plus tôt."C'est une classe d'actifs qui leur semble assez intéressante dans le contexte actuel", a remarqué M. Wigniolle, évoquant un "niveau de risque extrêmement limité".A ce titre, Icade a annoncé une énorme vente - 1.000 logements - à la filiale de logements de la Caisse des dépôts, CDC Habitat.Certes, la transaction se fait en famille, vu les liens entre Icade et la Caisse, mais elle n'est pas isolée. Kaufman & Broad avait aussi souligné l'immense appétit de CDC Habitat qui a promis de financer des dizaines de milliers de nouveaux logements face à la crise.Reste le cas des bureaux. La crise va-t-elle se traduire par la faillite de multiples locataires, entraînant une déprime générale de l'immobilier d'entreprise ?Icade n'observe pas de défaillances en série, mais a renoncé à percevoir plusieurs mois de loyers auprès des plus petites entreprises, de l'argent qu'il ne récupérera jamais.Quant aux bureaux eux-mêmes, vont-ils devoir changer de visage alors qu'entreprises et employés se sont - parfois difficilement - habitués au travail à domicile ?"Je ne sais pas si le travail dans les immeubles de bureaux va être très affecté par la crise", a éludé M. Wigniolle. "On n'en est pas encore là."
Il y a 4 ans et 287 jours

BigMat s'associe à l'artiste Thomas Rouzière pour valoriser les artisans du BTP

Forte du succès rencontré lors de sa première édition, la campagne multi-primée donne le coup d'envoi d'une nouvelle saison, dans un univers proche du cartoon.Après une fructueuse collaboration en 2019 avec l'illustratrice Sheina, c'est au tour de l'auteur de bandes dessinées Thomas Rouzière de reprendre le flambeau pour une aventure inédite de 4 mois. Un bel hommage rendu aux artisans, artistes du quotidien, à travers un univers inspiré du Toon me, mêlant photos de chantiers et dessins.« Béa, la couleur est en train de s'effacer du monde. Tu dois réparer la fuite. Trouve la source, rends ses couleurs au monde. »Redonner des couleurs au monde pour faire face à la grisaille ambiante : voilà le défi lancé à Béa, héroïne dessinée à la fois téméraire et un peu distraite. Son créateur, Thomas Rouzière, l'accompagne sur des chantiers post-apocalyptiques afin qu'elle y apporte, semaine après semaine, un élan de vie et de gaieté. Chaque vendredi, son aventure déclinée en 20 posts sera résolument participative : poétique, généreux et organique, le monde de Béa évoluera au gré de l'implication d'influenceurs du monde brico-déco qui pourront influer sur le cours des événements et co-dessiner, à son côté, un monde meilleur.En 2019, la campagne BÉTON ARTY avait permis à BigMat de toucher plus d'un million de personnes, de multiplier par dix le nombre de ses followers sur les réseaux sociaux et d'augmenter de 40% le trafic sur son site web.Cliquez ICI pour visualiser le teaser de l'opération BÉTON ARTYThomas RouzièreDiplômé de l'EPSAA en Arts Graphiques, Thomas Rouzière est illustrateur et auteur de bande-dessinée. Il a développé un goût particulier pour l'observation, les petites choses et le souci du détail. Dans ses carnets, il travaille chaque jour son univers, ses images et personnages dans un style très minutieux, organique, vivant.https://www.behance.net/thomasrouziere
Il y a 4 ans et 287 jours

Réouverture à Rouen de l'Aître Saint-Maclou, édifice médiéval rare

"Des centaines de compagnons (menuisiers, peintres, restaurateurs, etc)", ont participé à ce chantier de 14 millions d'euros, précise la collectivité propriétaire des lieux. La région Normandie et l'État ont participé à hauteur de respectivement 4 et 2,2 millions d'euros.L'édifice du XIVe siècle se compose d'une cour fermée, entourée de galeries à pans de bois ornées d'éléments de décoration en pierre ou boisés.L'élément le plus saillant de la restauration est la réouverture d'une galerie entre les deux rues qui encadrent le monument historique.L'aître sera ouvert du lundi au dimanche en accès libre et gratuit. Des visites guidées sont également proposées pour expliquer par exemple le crâne à triple faces sculpté de la façade ou la cloche de la cour.Une galerie installée dans les ailes nord de l'aître et abritant des expositions ouvrira au public le 8 août.Selon Alain Bardin, coordinateur du projet de réhabilitation, "Rouen est la seule ville d'Europe à posséder un décor de danse macabre sculptée au sein d'une cour carrée".Avant rénovation, l'Aître attirait en moyenne plus de 300.000 visiteurs par an.Jusqu'en 2014, le monument était occupé par l'école des Beaux-Arts de Rouen.
Il y a 4 ans et 287 jours

Concessions d'autoroutes : le Conseil d'État rejette la requête d'un militant écologiste

Raymond Avrillier, 72 ans, espérait l'annulation d'un accord qui prévoyait une hausse des tarifs autoroutiers chaque année entre 2019 et 2023 pour compenser le gel des tarifs décidé en 2015 sous la pression de Ségolène Royal, alors ministre des Transports et de la transition énergétique.Cet ancien élu à la ville de Grenoble réclamait également l'annulation, pour "excès de pouvoir", de plusieurs clauses de ce même protocole d'accord, conclu le 9 avril 2015, qui accordaient aux sociétés autoroutières un allongement de leurs concessions en échange des travaux à réaliser.Dans sa décision, dont l'AFP a obtenu copie, le Conseil d'État a notamment estimé que la requête de M. Avrillier était "entachée d'une irrecevabilité manifeste" car "l'intéressé", qui "se prévaut de sa qualité de contribuable", ne "peut (...) être regardé comme un tiers susceptible d'être lésé dans ses intérêts de façon suffisamment directe et certaine"."Les clauses du protocole relatives (...) à la mise en œuvre du protocole dont M. Avrillier demande l'annulation sont dépourvues de caractère réglementaire", a ajouté le Conseil d'État, précisant que la seconde requête de l'ancien élu n'est pour cette raison "pas non plus recevable".Le 18 mars 2019, le Conseil d'État avait enjoint Bercy de communiquer à M. Avrillier - à l'origine de plusieurs affaires judiciaires embarrassant Nicolas Sarkozy et d'un scandale impliquant l'ancien maire de Grenoble Alain Carignon - les documents relatifs à cet accord après plusieurs refus du ministère.La haute juridiction avait estimé que "le protocole transactionnel" signé par les deux ministres compétents à l'époque - Emmanuel Macron pour l'Économie et Ségolène Royal pour les Transports - "constitue un contrat administratif et présente le caractère d'un document administratif communicable".
Il y a 4 ans et 287 jours

Les dirigeants du BTP combatifs et prêts à faire évoluer leur organisation pour la reprise

Si des inquiétudes pointent quant à leur trésorerie ou leur carnet de commande, les dirigeants se disent prêts à « réentreprendre », quitte à sacrifier leurs vacances cet été. L'étude rappelle aussi que les dirigeants du secteur sont des travailleurs particulièrement débordés.Patrick Miliotis, directeur général de la Fondation MMA des Entrepreneurs du Futur : « La Fondation interroge chaque année depuis 6 ans les dirigeants français sur leur état de santé physique et psychique. Il nous paraissait incontournable de prendre leur pouls suite à la crise sanitaire et surtout à l'heure de la relance. Cette enquête nous montre que la combativité des entrepreneurs, leur aptitude à s'adapter, à résoudre des problèmes, à saisir des opportunités sont plutôt exacerbées par la crise avec une capacité de résilience en augmentation. Notre mission est d'accompagner ces entrepreneurs à chaque étape de la reprise pour les aider à réentreprendre sans s'épuiser. »Dans le secteur du BTP / Industrie, près d'un entrepreneur sur deux va sacrifier ses congés d'étéA l'heure de la relance, les dirigeants d'entreprises de BTP / Industrie sont en première ligne pour assurer la reprise des chantiers, organiser le retour des équipes sur le terrain, relancer la chaîne d'approvisionnement en matériaux… Pour nombre d'entre eux, la perspective de s'éloigner de l'entreprise n'est tout simplement plus d'actualité. 47% des dirigeants du secteur prévoient ainsi d'écourter, annuler ou reporter leurs congés d'été. Un taux supérieur à la moyenne globale de 44%.Des dirigeants combatifs et agiles, dont les business modèles semblent avoir bien résisté à la criseInterrogés sur leur état d'esprit vis-à-vis de la relance, les chefs d'entreprises français révèlent un très fort sentiment de combativité (92%). Sentiment partagé par 90% des sondés du secteur BTP/Industrie.Pourtant prêts à s'adapter, les dirigeants du secteur sont 76% à se dire ouverts aux opportunités professionnelles. Plus d'un chef d'entreprise du secteur sur deux (59%) prévoit également de mettre en place une nouvelle organisation du travail au sein de sa structure.En bonne forme physique, les entrepreneurs BTP / Industrie se sentent en revanche débordésInterrogés sur leur forme physique, les dirigeants du secteur BTP / Industrie affirment dans leur grande majorité se sentir en bonne forme (81%). Une situation comparable aux chiffres généraux (85%).Pour autant, ils se disent bien souvent stressés (45%) et confient se sentir beaucoup plus débordés que la moyenne (63% vs. 54% au global).Les entrepreneurs du secteur moins inquiets que la moyenne, la trésorerie et le carnet de commande restent les premières sources d'inquiétudeDans ce contexte économique complexe et incertain, 40% des dirigeants du secteur se disent inquiets, un taux remarquablement inférieur à celui du commerce (54%), beaucoup plus durement impacté par la crise.Au global, les sources d'inquiétudes sont logiquement fléchées sur la trésorerie, citée par 82% des personnes interrogées et le carnet de commande, évoqué à 72%.Des chefs d'entreprises particulièrement confiants pour l'avenir de leur activitéPortés par leur volonté d'agir et de « ré entreprendre », les femmes et hommes interrogés ont fait part d'une grande confiance en l'avenir.A l'échelle du secteur, les sondés sont 82% à se dire confiants pour leur vie personnelle ; 78% pour leur situation professionnelle et 73% pour la situation financière du foyer.Les dirigeants du BTP / Industrie dénotent une fois de plus par leur confiance plus marquée que la moyenne pour l'avenir de leur activité : 79% vs. 74% au global.Soutenus par leurs proches dans la reprise, les dirigeants entendent désormais mieux profiter de leur familleAlors que le déséquilibre vie privée et vie professionnelle a longtemps été vu comme une fatalité pour les entrepreneurs, la préservation de la vie de famille est aujourd'hui unanimement considérée comme une priorité.Pour 63% des chefs d'entreprises du secteur, le confinement leur a permis de mieux profiter de leurs proches. Ils ressortent de cette période avec le sentiment d'être soutenus par leurs proches (80%) pour aborder la reprise. Un taux toutefois inférieur à la moyenne globale de 88%.Ces femmes et ces hommes dirigeants entendent aujourd'hui mieux préserver cet équilibre. Ils sont ainsi unanimement décidés (93%) à mieux profiter de leur famille tout au long de l'année et 91% à déclarer vouloir continuer à pratiquer une activité sportive pour se maintenir en forme.Un cycle de webinaires et un guide inédit pour aborder les enjeux santé pour l'entrepreneur face à la relanceTout au long de ces prochaines semaines, la Fondation MMA des Entrepreneurs du Futur déploie un dispositif spécial pour aborder les problématiques de la santé et de la prévention face aux risques d'épuisement pour les entrepreneurs.Un cycle de 3 webinaires « Comment ré entreprendre sans s'épuiser » se déroule du 6 au 8 juillet en partenariat avec les CCI. Il est complété par la sortie du guide inédit « L'Entrepreneur en forme », réalisé sous la direction du médecin psychothérapeute Gérard Ostermann avec le regard de nombreux experts et des témoignages d'entrepreneurs.Méthodologie :Étude réalisée par l'institut OpinionWay pour la Fondation MMA des Entrepreneurs du Futur auprès d'un échantillon de 802 dirigeants d'entreprises représentatif des TPE, PME et ETI françaises (1 à 4999 salariés), dont 191 entreprises du secteur BTP/Industrie.L'échantillon a été interrogé du 12 au 22 juin 2020 par téléphone. La représentativité de l'échantillon est assurée par un redressement sur les critères de taille d'entreprise et de secteur d'activité, après stratification par région de résidence.
Il y a 4 ans et 287 jours

L'agriculture doit contribuer plus à la production d'énergies

Le rôle de ce secteur, qu'il s'agisse de produire de l'électricité, du gaz ou des carburants, "est un sujet majeur aux implications multiples pour l'environnement et le climat, pour ses conséquences en matière d'aménagement des territoires, d'organisation des filières et des exploitations agricoles", relève l'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST).Parmi les propositions, destinées à orienter le plan de relance économique du gouvernement attendu fin août, le rapport appelle à "développer de manière prioritaire la méthanisation" qui permet de produire du biogaz à partir de déchets organiques.Les rapporteurs de la mission, le député (LREM) Jean-Luc Fugit et le sénateur (PS) Roland Courteau, "déplorent les ambitions trop modestes" de la Programmation pluriannuelle de l'énergie (PPE).Alors que la loi a fixé en 2015 "un objectif ambitieux de 10%" de biogaz dans la consommation de gaz en 2030 (soit 39 à 42 TWh), la PPE de 2016 visait 8 TWh injectés dans le réseau en 2023, ramenés à 6 TWh en 2020, regrette le rapport, soulignant au passage que la définition de la feuille de route énergétique de la France devrait incomber au Parlement, non au gouvernement.Parmi leurs autres propositions: doter d'un volet agricole la recherche sur les énergies, renforcer le conseil auprès du monde agricole et intégrer ces projets dans les politiques d'aménagement des territoires.Les pouvoirs publics devraient "encourager l'appropriation des infrastructures de production d'énergie par les agriculteurs plutôt que par les énergéticiens seuls ou des opérateurs tiers", ajoutent les parlementaires.Dans l'éolien et le photovoltaïque, "les agriculteurs se contentent souvent de mettre à disposition des ressources foncières", notent-ils, relevant que leur appropriation "permettrait aussi de faire évoluer les regards sur ces filières" parfois difficilement acceptées.Enfin il faudrait soutenir l'agrivoltaïsme, des panneaux solaires mobiles qui, installés au-dessus des plantations, évitent d'utiliser du foncier supplémentaire, notent les auteurs.Selon le rapport, le secteur agricole, avec au moins 50.000 exploitations concernées, assure déjà 20% de la production d'énergies renouvelables (soit 3,5% de la production nationale d'énergie), dont 96% de la production nationale de biocarburants, 26% du biogaz, et via son foncier 83% de l'éolien, 13% du solaire photovoltaïque.
Il y a 4 ans et 288 jours

Lancement du 3ème Challenge Start-ups Construction Tech

Le Challenge Start-ups Construction Tech® est un concours qui a pour but de soutenir des start-ups déjà présentes dans la filière Construction / Bâtiment / Immobilier mais également de faire émerger toutes les start-ups qui souhaiteraient proposer leurs solutions dans ces secteurs.Le coup d'envoi de la troisième édition du Challenge Construction Tech® est dès à présent donné ! Les start-ups ont jusqu'au 30 octobre 2020 pour proposer leurs candidatures qui seront étudiées par un jury d'experts courant décembre 2020. Les lauréats seront annoncés officiellement à l'issue de ce jury.Ce jury choisira les lauréats, ainsi que le Grand Lauréat, en fonction de plusieurs critères dont la pertinence et la maturité de la solution ou du produit présentés, dans des domaines aussi variés que :Sécurité des personnes & équipement de protection individuelleSmart home, Smart building & IoTSmart citiesBIM, 3D & réalité virtuelleSolution constructive et matériauxÉnergie, efficacité énergétique & ENRPlateforme d'intermédiationData, IA & blockchainGestion de chantierÉconomie circulaireVégétalisation.Challenge Construction Tech® : une vitrine pour les start-upsConstruction Tech® mettra à disposition des lauréats de nombreux outils pour valoriser leurs innovations.Dès leur inscription au Challenge Start-ups Construction Tech®, les lauréats seront valorisés à travers des campagnes sur les réseaux sociaux, des e-mailings, et une communication spécifique menés par BATIMAT. Ils pourront aussi bénéficier de l'enregistrement d'un podcast dans « La start-up de la semaine » sur BATIRADIO.Nouveauté pour cette édition, le Grand Lauréat aura la possibilité de prendre la parole sur le salon Pollutec (Lyon, 1-4 novembre 2020).En janvier 2021, tous les lauréats se verront proposer de venir « pitcher » lors d'une conférence de presse Construction Tech® et de présenter leurs solutions devant les journalistes. Pour se préparer, ils recevront l'aide d'un des membres du jury, invités à parrainer la start-up de leur choix.En novembre 2021, le Grand Lauréat aura la possibilité d'être présent sur le secteur Construction Tech® de BATIMAT, lui apportant une forte visibilité auprès du secteur du bâtiment, et la possibilité de rencontres avec les industriels et les décideurs du secteur.Les start-ups inscrites au 3ème Challenge seront également invitées à intégrer l'Annuaire numérique des Start-Ups Construction Tech®, un outil exclusif développé par BATIMAT pour faciliter la mise en relation entre les start-ups et les autres acteurs du Bâtiment et de l'Immobilier.
Il y a 4 ans et 288 jours

Le prolongement au nord de Paris de la ligne de métro 14 ouvrira en décembre

Ce chantier, qui prolonge cette ligne de métro entièrement automatisée au delà de la gare Saint-Lazare, avec quatre nouvelles stations jusqu'à Mairie de Saint-Ouen, a été ralenti d'abord par le confinement puis par les nouvelles règles sanitaires applicables sur les chantiers."Grâce aux essais concluants de circulation de trains (...) réalisés le week-end des 4 et 5 juillet, la RATP vise une mise en service du prolongement de la ligne 14 au nord pour mi-décembre 2020 avec l'ouverture de trois nouvelles stations (Pont Cardinet, Saint-Ouen, Mairie de Saint-Ouen) et une ouverture de la station Porte de Clichy en janvier 2021", a indiqué la RATP, dans un communiqué.La régie des transports franciliens estime que "le maintien d'une ouverture quasi-totale en 2020 (par rapport au calendrier précédent qui prévoyait une mise en service mi-septembre) résulte à la fois des efforts déployés par la RATP, les équipes de la maitrise d'oeuvre et l'ensemble des entreprises mobilisées"."La station Porte de Clichy, plus étendue que les trois autres stations (...) sera achevée avec un léger décalage et sera maintenue fermée en décembre", précise la RATP.Elle souligne aussi que le nouveau calendrier prévisionnel "reste lié au bon déroulement des prochaines étapes du chantier et de la fourniture des automatismes et matériels roulants, ainsi, bien sûr, qu'à l'évolution de la crise sanitaire".
Il y a 4 ans et 288 jours

Nomination de Marc Bellair au sein de Bluetek

Un parcours internationalMarc BELLAIR débute sa carrière dans le bâtiment en 1991 au sein de l'entreprise thaïlandaise Sodap Taïland Ltd, filiale du groupe Lafarge, en qualité de manager technique de production. Il y a assuré la direction de l'usine de production et la gestion des grands comptes clients internationaux.Durant 6 ans (1991-1997), Marc BELLAIR a également apporté son concours à travers diverses missions de support auprès d'unités du groupe au Pakistan, à Taïwan ou encore à Hongkong. En 1997, Marc BELLAIR intègre la filiale Lafarge Refractories, du groupe éponyme, spécialisée dans la fabrication des bétons réfractaires pour l'industrie de l'aluminium. Jusqu'en 2002, Marc BELLAIR a eu pour mission de développer le marché international des matériaux réfractaires avec un périmètre d'action couvrant pas moins de 20 pays.Fort de ces expériences, Marc BELLAIR occupera le poste de la Direction Nationale des Ventes Façade et Prescription chez Wienerberger auprès des maîtres d'œuvre, des architectes et des bureaux d'études tout en participant à la stratégie commerciale de cette branche d'activité de Wienerberger.Un nouveau challenge dans la gestion des énergies dans le bâtimentL'arrivée de Marc BELLAIR, depuis le 1er juin 2020, témoigne de la volonté d'ADEXSI de renforcer la prescription de sa filiale Bluetek en restructurant cette cellule autour des compétences et des services du groupe ADEXSI et de l'offre GENATIS, solution globale pour la gestion des énergies naturelles des bâtiments.Cette nouvelle organisation de la prescription de BLUETEK aura pour vocation d'apporter des solutions clés en mains aux maitres d'œuvres et d'ouvrage ainsi qu'aux architectes.Genatis : une solution globaleGENATIS est une marque transversale d'ADEXSI qui regroupe les produits et savoir-faire de l'ensemble de ses filiales – BLUETEK, ESSERTEC, SOUCHIER-BOULLET, TELLIER BRISE-SOLEIL, SIA – en vue de proposer une solution globale de gestion des énergies naturelles dans les bâtiments.Destinée à tous les professionnels de la construction (architectures, aux maîtres d'œuvre, aux maîtres d'ouvrage, etc.), l'offre GENATIS, est une solution avant-gardiste qui répond aux nombreux défis de la rénovation énergétique des bâtiments ainsi qu'à la future réglementation environnementale de 2020.Une offre de services spécifiquesLa solution GENATIS se complète d'une offre de services dédiés en complément des produits des filiales d'ADEXSI. Parmi ces services, GENATIS assure la gestion du rafraichissement des bâtiments grâce à des automates programmables pilotables pas les gestionnaires permettant notamment d'obtenir un confort optimisé par la gestion de la gradation de l'éclairage artificiel, l'ombrage des façades et des lanterneaux présents en toiture, la ventilation, le rafraichissement par évaporation ou la façade bioclimatique. Enfin, GENATIS propose également un service « Diagnostic ».Cette prestation fait partie des leviers clés de l'offre GENATIS qui permettront à Marc BELLAIR de professionnaliser d'avantage la prescription de BLUETEK en apportant une étude complète des bâtiments pour mieux comprendre leurs pathologies. Ceci afin de mieux appréhender les solutions - et leurs installations - les plus adaptées. Ce service, traité par le bureau d'étude d'ADEXSI, comprend l'étude d'optimisation, les travaux, l'accompagnement et la garantie de performances sur l'ensemble des solutions GENATIS.
Il y a 4 ans et 288 jours

Bruno Le Maire souhaite renforcer la régulation des concessions autoroutières

"Le modèle de délégation de service public à des entreprises privées a apporté la preuve de son efficacité mais la condition, c'est que la régulation soit améliorée", a déclaré le ministre devant la commission d'enquête du Sénat sur les concessions autoroutières.M. Le Maire, qui était directeur de cabinet du Premier ministre Dominique de Villepin, de 2006 à 2007, au moment de la privatisation des sociétés d'autoroutes, a jugé que cette opération avait été "réussie"."L'Etat n'a pas vocation à gérer des autoroutes", a-t-il affirmé, estimant que les gestionnaires privés étaient "mieux à même, mieux équipés" pour cela. Mais il a souligné que l'Etat restait propriétaire des infrastructures, n'ayant fait que céder ses parts dans les sociétés gestionnaires.Il a estimé que l'Etat en avait tiré "le meilleur prix", avec 14,8 milliards d'euros de recettes.Selon le ministre, la qualité de service a été au rendez-vous, grâce notamment à 22 milliards d'euros d'investissements réalisés par les sociétés concessionnaires. "Nous avons un des meilleurs réseaux autoroutiers au monde", a déclaré M. Le Maire.Reconnaissant que les tarifs étaient "chers" pour beaucoup d'usagers, il a assuré qu'ils ne s'étaient pas envolés et avaient "augmenté en suivant un rythme proche de celui de l'inflation et conforme aux règles prévues dans les contrats".Mais il a reconnu qu'il y avait "matière à amélioration" sur la régulation des concessions."Les hypothèses sous-jacentes aux contrats ne prévoyaient pas la baisse très forte des taux d'intérêt qui a permis aux sociétés concessionnaires de réduire leurs frais financiers, en refinançant leurs dettes à des conditions plus favorables. C'est un point fondamental", a-t-il dit.M. Le Maire a jugé "impératif pour les prochaines concessions de pouvoir réévaluer" ce coût de financement "pour que le concessionnaire ne bénéficie pas d'une sur-rentabilité".Il a notamment proposé de réduire la durée des contrats à 15 ans pour des infrastructures "qui ne nécessitent pas d'investissement massif dans les années à venir" et d'instaurer une "clause de rendez-vous tous les cinq ans qui permet de réévaluer les taux de retour sur investissements cibles"."Je ne crois absolument pas à l'opportunité d'une renationalisation de ces autoroutes", a-t-il dit, estimant qu'elle aurait un coût "considérable pour les finances publics, compris entre 45 et 50 milliards d'euros" et "serait un très mauvais investissement".
Il y a 4 ans et 288 jours

Durieu Owatrol : les solutions bois d'extérieurs

En retrait ou bien partie intégrante du jardin, cachette pour les enfants, remise à outils ou gazebo pour se réunir, l'abri de jardin est toujours en bois et doit durer car on n'en change pas tous les ans ! Plutôt que de le délaisser, la tendance est à l'entretien pour faire renaître ! On ne change pas, on prend soin, on transforme, on pérennise.Attitude actuelle, pérenniser n'est pas si simple. Pour faire durer et réussir la rénovation d'un ouvrage en bois, il faut s'approprier les bons réflexes car le bois vit et requiert des soins particuliers.Avant de lui appliquer quelque finition que ce soit, il faut qu'il soit propre. La première étape est donc toujours le nettoyage et il est indispensable de diagnostiquer la solution adéquate. C'est-à-dire analyser et déterminer s'il faut dégriser, déshuiler ou décaper. Ensuite vient l'étape de protection.Étape nettoyage : rappels et solutions OWATROL®On dégrise un bois simplement sale : NET-TROL®, véritable cure de jouvence, dégrise en 15 min les bois juste gris.On déshuile un bois encrassé par une ancienne finition huilée qui a cuit au soleil : AQUANETT® déshuile les bois encrassés en 20 minutes.On décape un bois avec un ancien revêtement très filmogène ou une ancienne peinture : DILUNETT® ou PREPDECK® s'attaquent au décapage et laissent un bois impeccable en moins de 2 h.NB : Après avoir déshuilé ou décapé il faut ABSOLUMENT stabiliser le support avec une passe de NET-TROL® afin d'assurer la tenue de la finition qui viendra ensuite.Étape protection : choisir la finition - Huile, lasure ou saturateurL'huile apporte un bel aspect mais va noircir sur le bois sous l'effet des UV et l'encrasser. L'entretien est plus compliqué.La lasure apporte une finition filmogène qui va s'écailler, il faudra décaper pour la maintenance.Le saturateur nourrit le bois en profondeur et le protège de l'intérieur sans laisser de film en extérieur. L'entretien est simple.Durieu privilégie le saturateur pour les bois extérieurs car c'est le seul produit qui avec son mode opératoire apporte une protection vraiment complète : avec une imprégnation optimale et en saturant le bois mouillé sur mouillé, la protection est totale. Les saturateurs de la gamme Owatrol® sont incontournables et chacun apporte une solution très technique bien ciblée.Zoom TEXTROL®Les bois tendres qui sont moins durs, moins denses et plus poreux que les autres essences ont besoin d'un soin particulièrement nourrissant qui se combine bien aux particules du bois pour assurer une protection optimale et durable.TEXTROL® est un saturateur très riche dédié aux bois tendres qui les magnifie et les protège durablement.À base d'huiles végétales combinées à des résines alkydes souples de haute qualité le TEXTROL® possède des qualités de pénétration exceptionnelles qui vont permettre de nourrir le bois dans la masse pour garantir sa longévité.Nourri de l'intérieur, le bois est prêt à résister aux intempéries pluie, vent soleil, air salé…Déco : TEXTROL® offre une large palette allant du classique incolore au gris graphite ultra moderne !
Il y a 4 ans et 288 jours

Le Sénat vote une prime à l'embauche plus large

Le premier dispositif, évalué à 400 millions d'euros, propose aux entreprises de moins de 250 salariés une prime à l'embauche pour tout CDI ou CDD de plus de six mois, d'un montant de 4.000 euros maximum sur deux ans. Avec une majoration de 50% pour l'embauche de jeunes de moins de 26 ans en sortie de formation initiale, soit 6.000 euros.Hormis pour les jeunes, pour lesquels il n'y aurait pas de plafond, le bénéfice d'une telle prime serait limité aux embauches de salariés jusqu'à 1,6 SMIC.Le ministre des Comptes publics Olivier Dussopt a contesté une prime "trop large", attribuée "quel que soit l'âge" et a appelé les sénateurs à "se rallier à l'amendement" du gouvernement sur l'emploi des jeunes.Présenté dimanche, cet amendement a été rejeté par le Sénat, le rapporteur général Albéric de Montgolfier (LR) jugeant que le dispositif adopté par la chambre haute dans la nuit "satisfait pleinement l'intention du gouvernement".Le gouvernement proposait une enveloppe d'un milliard d'euros pour tirer "les conséquences budgétaires" de l'annonce du président de la République le 14 juillet "de mettre en place un dispositif exceptionnel de réduction du coût du travail, à hauteur de 4.000 euros par an pour les jeunes".Le porte-parole du groupe LREM au Sénat Julien Bargeton a défendu "un geste significatif", qui "témoigne de la riposte" du gouvernement face à l'urgence de la situation économique et sociale.Le Sénat a en revanche voté deux amendements du gouvernement en faveur de l'apprentissage. Le premier ouvre 744 millions d'euros de crédits en autorisations d'engagement pour le financement de la mesure incluant les contrats de professionnalisation dans l'aide exceptionnelle à l'apprentissage.Le second prévoit le financement à hauteur de 7 millions d'euros de la protection sociale des jeunes qui auront commencé une formation en CFA entre le ler août et le 31 décembre 2020 et qui n'auront pas signé de contrat d'apprentissage entre 3 et 6 mois après le début de leur formation.Dans la nuit de samedi à dimanche, le Sénat a également voté une mesure de bons d'achat ou de chèques loisirs de 400 euros pour 6 millions de foyers modestes, dans leurs activités culturelles et touristiques, y compris pour des prestations hôtelières ou dans la restauration.Le Sénat a voté ce dispositif de 2,4 milliards d'euros contre l'avis du gouvernement."Pour les ménages les plus modestes, nous avons clairement préféré affecter les moyens dont nous disposons au financement de l'activité partielle et du fonds de solidarité avec l'objectif de préserver l'emploi et les compétences d'un maximum de Français", a réagi le ministre Olivier Dussopt, opposé à cet amendement.
Il y a 4 ans et 288 jours

Erosion côtière : le sénat vote l'indemnisation des propriétaires du "Signal"

Cet amendement, défendu par le gouvernement, "précise le cadre juridique permettant d'utiliser les crédits de 7 millions d'euros du programme prévention des risques, dédié à l'indemnisation de propriétaires de biens dans des immeubles rendus inhabitables par l'érosion côtière", a expliqué Agnès Pannier-Runacher, ministre déléguée auprès du ministre de l'Économie.Le texte prévoit une indemnisation des propriétaires des lots de l'immeuble Le "Signal" de Soulac à hauteur de 70% de la valeur vénale estimée, sans que ne soit pris en compte le risque d'effondrement, a-t-elle précisé.Le versement de l'indemnité qui doit être demandé avant le 31 décembre 2021 est conditionné à deux points:"Le transfert de la propriété du bien à une personne publique identifiée en accord avec le représentant de l'Etat dans le département" et "la renonciation de la part des propriétaires à toute demande indemnitaire faisant l'objet d'un contentieux en cours ou futur".Les propriétaires des 78 appartements - surtout des résidences de vacances - avaient été évacués en 2014 par arrêté préfectoral, à la suite d'un recul marqué du trait de côte, du fait des fortes tempêtes de l'hiver 2013-2014.Ils ont mené sans succès une longue bataille judiciaire pour faire reconnaître l'érosion dunaire au titre des risques naturels donnant droit à indemnisation, comme la submersion marine ou les mouvements de terrain."C'est l'occasion de clore une histoire de six ans, faite de rebondissements, d'atermoiements, où des gens ont perdu du jour au lendemain leur lieu d'habitation et vont de procédure en procédure avec toutes les angoisses et les inquiétudes que cela suscite", a expliqué la sénatrice LREM de Gironde Françoise Cartron."Ce sont des familles modestes qui parfois ont dû être relogées à la va-vite dans des caravanes, leur appartement étant rendu inhabitable du jour au lendemain. Cet amendement va aussi permettre à la ville de Soulac de tourner la page et de concevoir un projet d'aménagement et d'embellissement de ce lieu qui aujourd'hui est occupé par une ruine", a-t-elle ajouté.Pour la sénatrice PS de Seine-Maritime Nelly Tocqueville, ce dossier doit alerter la représentation nationale sur "la problématique de l'érosion de nos littoraux"."La situation du Signal risque de se reproduire de façon bien plus systématique qu'on ne le croit dans les années à venir", a-t-elle mis en garde.
Il y a 4 ans et 288 jours

Castex donne des gages aux partenaires sociaux sur les retraites et l'assurance chômage

"En détendant les calendriers, cela permet d'éviter les sujets qui fâchent", a commenté le président du Medef Geoffroy Roux de Bézieux, au sortir de cette "conférence du dialogue social" qui succède à des rencontres bilatérales la semaine dernière.Première satisfaction pour les syndicats et le patronat qui avaient tous repoussé l'idée de reparler rapidement du dossier des retraites: les concertations sur ce thème sont repoussées "au moins jusqu'à la fin de l'année".Comme réclamé par le Medef notamment, M. Castex a annoncé aux participants qu'il saisirait de nouveau le Conseil d'orientation des retraites (COR) à la rentrée afin d'évaluer la situation financière des régimes actuels en distinguant la partie liée à la crise en cours du déficit structurel.Selon une estimation provisoire du COR dévoilée en juin, le déficit pourrait approcher les 30 milliards d'euros cette année, un chiffre mis en avant par l'exécutif pour justifier la nécessité de prendre des mesures."Nous continuons de croire qu'un système universel est plus juste mais la priorité n'est pas celle-ci aujourd'hui", a redit le patron de la CFDT Laurent Berger qui veut se concentrer sur "la lutte contre le chômage, le maintien de l'emploi, la lutte contre la paupérisation" et a vu "une vraie sincérité du Premier ministre dans sa conviction du dialogue social".Autre satisfaction: le report jusqu'au début 2021 de la totalité de la réforme de l'assurance chômage, y compris les mesures déjà entrées en vigueur le 1er novembre qui durcissent les conditions d'ouverture de droits (avoir travaillé six mois pendant une période de 24 mois, au lieu de 4 mois sur 28) et de leur rechargement.Jean Castex s'était dit prêt, la semaine dernière, à "décaler" cette réforme dont les syndicats réclament l'abandon pur et simple alors que l'Unédic pronostique la destruction de 900.000 emplois d'ici à la fin de l'année."En train de changer"Le Premier ministre, arrivé à Matignon avec une réputation de négociateur, a salué "le sens des responsabilités des partenaires sociaux" et "la qualité du dialogue", alors que ceux-ci s'étaient sentis largement marginalisés pendant les trois premières années du quinquennat."Tout cela ne préjuge pas d'un accord global. Il y aura, on le sait, des divergences (...) mais il faut d'abord savoir nous parler, nous respecter, et fixer des voies et des chemins pour l'avenir", a-t-il plaidé, promettant sur les retraites "une nouvelle méthode"."Il semble que quelque chose soit en train de changer dans la méthode du gouvernement", a même lancé le président de la CFE-CGC François Hommeril, qui a habituellement la dent très dure envers l'exécutif. "C'est un discours de gaulliste social qui rompt avec Macron, c'est déstabilisant", a commenté le numéro un de FO, Yves Veyrier, auprès de l'AFP.Le Premier ministre a garanti un "calendrier extrêmement exigeant", d'abord sur l'emploi et également "pour arrêter et finaliser le plan de relance" auquel les partenaires sociaux seront étroitement associés.Des concertations auront lieu dès la semaine prochaine au ministère du Travail sur l'emploi des jeunes, dont 700.000 sont attendus sur le marché du travail à la rentrée.Il s'agit de fixer les modalités de la réduction annoncée du coût du travail de 4.000 euros par an (prime ou exonération de cotisations) qui doit concerner chaque jeune de moins de 25 ans employé par une entreprise. Le Medef a demandé que cette mesure ne soit pas limitée à 1,6 Smic, une question en suspens. Les syndicats sont hostiles par principe aux exonérations qui affaiblissent le financement de la Sécurité sociale, et craignent des effets d'aubaine.Pour les nombreuses concertations à venir (financement de la protection sociale, dépendance, assurance chômage, travailleurs détachés, partage de la valeur, etc), dont certaines seront déclinées territorialement (plan de relance, transition écologique), un agenda sera envoyé aux partenaires sociaux en début de semaine prochaine.La CGT, qui avait annoncé dès la semaine dernière une journée de mobilisation et de grève le 17 septembre, a dans un communiqué, fait rare, "pris acte avec satisfaction des engagements" du Premier ministre sur les retraites et l'assurance chômage, notant "un changement de méthode et une meilleure considération des organisations syndicales".
Il y a 4 ans et 288 jours

Le bâtiment fustige le rabotage de MaPrimeRénov' pour l'isolation thermique par l'extérieur

Malgré les alertes de la FFB, les fraudes se sont multipliées depuis la mise en place en 2020 de l'Isolation Thermique par l'Extérieur à 1€.Face à ce constat, le gouvernement a décidé de modifier brutalement les critères de MaPrimeRénov', nouveau dispositif qui n'a pas sept mois d'existence !Depuis le 15 juillet, le montant de l'aide pour les travaux d'ITE a été abaissé à 60 €/m² pour les ménages modestes et 75 €/m² pour les ménages très modestes (contre respectivement 75 €/m² et 100 €/m² auparavant).De plus, la surface éligible de murs isolés se trouve dorénavant limitée à 100 m² par opération.« Ces dispositions pénalisent avant tout les ménages modestes et les entreprises qui travaillent bien. En revanche, elles ne règlent pas le problème de fond, puisque les intermédiaires peu scrupuleux bénéficieront toujours des CEE, qui suffisent à financer une intervention de piètre qualité. En outre, ce rabotage introduit à nouveau de l'instabilité dans le principal mécanisme public de soutien à la rénovation énergétique. Il tombe au plus mal, alors que MaPrimeRénov' peine à monter en puissance, et brouille le message du gouvernement qui annonce depuis plus d'un mois un grand plan de rénovation énergétique. » Olivier Salleron, Président de la FFB
Il y a 4 ans et 288 jours

Hausse du coût attendu en 2021 pour le soutien aux renouvelables

Cela représente une augmentation de 12% par rapport au montant des charges constaté au titre de 2019, souligne la Commission de régulation de l'énergie (CRE) dans sa délibération publiée vendredi.Ce montant prévisionnel se répartirait entre soutien aux énergies renouvelables électriques (à 62%, dont 32% pour le photovoltaïque et 19% pour l'éolien en métropole), 23% pour la péréquation tarifaire en "zones non interconnectées" (notamment les îles d'outremer), 7% au soutien à la cogénération et 6% à l'injection de biométhane.Selon la CRE, cette hausse de 12% résulte notamment de l'essor du parc de production d'électricité d'origine renouvelable, et des installations injectant du biométhane et de la quantité de gaz injecté (qui multiplient par 5 les charges liées à l'achat de biométhane).Les "charges de service public de l'énergie" (CSPE) servent à couvrir les missions de service public assurées essentiellement par l'opérateur historique EDF, dont celles liées au rachat à un prix bonifié de l'électricité d'origine renouvelable, et à la péréquation tarifaire en outre-mer.Au total, le montant des charges à compenser en 2021 est évalué à 10,56 milliards d'euros, en prenant en compte le montant des charges supportées par les opérateurs au titre de 2021, ainsi qu'une régularisation au titre des années 2019 et 2020.Le Parlement, dans le cadre de la loi de Finances, devra in fine déterminer à quelle hauteur ce montant sera effectivement pris en charge par le budget de l'État.
Il y a 4 ans et 289 jours

L'application de la réforme de l'assurance chômage repoussée à début 2021

Immédiatement après, Laurent Berger, numéro de la CFDT et Yves Veyrier, numéro un de FO, ont assuré que toutes les mesures étaient concernées y compris celles déjà entrées en vigueur, notamment "la durée d'affiliation", au sortir d'une réunion entre les partenaires sociaux et le gouvernement à Matignon."C'est une satisfaction pour que les chômeurs ne soient pas touchés début septembre par ces mesures que nous avions toujours qualifiées d'injustes", s'est félicité Laurent Berger.Depuis le 1er novembre dernier, la durée d'affiliation, pour pouvoir ouvrir des droits, est passée à six mois, au lieu de quatre mois, sur une période de 24 mois au lieu de 28 mois.Les syndicats réclament l'abandon pur et simple de la totalité de cette réforme alors que l'Unédic pronostique la destruction de 900.000 emplois d'ici la fin de l'année."Selon la situation économique, on a compris qu'il y aurait la possibilité d'aller au delà" du début de l'an prochain, a aussi précisé Laurent Berger."Le Premier ministre nous a promis de nous écrire rapidement pour formaliser en détail ce qui nous a été annoncé", a ajouté M. Asselin sur l'ensemble des dossiers.Sur les jeunes, il y aura "une concertation la semaine prochaine au ministère du Travail pour en définir les modalités concrètes", a ainsi dit M. Asselin."En détendant les calendriers, cela permet d'éviter les sujets qui fâchent", a expliqué de son côté le président du Medef, Geoffroy Roux de Bézieux.
Il y a 4 ans et 289 jours

Line Glass, le nouveau système de fermeture avec verre coulissant de Bat Group

LINE GLASS est la solution idéale pour transformer terrasse, arcade et pergola en véritable pièces extérieurs, protégées du vent, de la pluie et du bruit.Ces systèmes de fermeture tout en verre vous permettent de maintenir l’apport de lumière naturelle en préservant la vue sur le paysage et en créant un continuum avec l’environnement extérieur.En particulier, le système LINE GLASS se compose d’une structure en aluminium peint et de panneaux en verre trempé de 10 mm supportés par des guides contenant le système coulissant.Les composants de fermeture des fonds eux-mêmes son innovants : ils simplifient le montage, permettent une fermeture parfaitement linéaire des panneaux, avec un écoulement fluide et simplifient le nettoyage.Les dimensions permettent d’atteindre une largeur maximale de 7 mètres pour une hauteur maximale de 3 mètres pour créer des grandes surfaces vitrées. Les multiples configurations possibles, avec rails à 3,4 et 5 voies, permettent de choisir entre un verrouillage latéral ou central.Recherche stylistique, attention au détail et sécurité d'un produit entièrement fabriqué en Italie : cela unit les accessoires BAT, une réalité internationale qui conçoit et fabrique des composants de protection solaire depuis 40 ans dans son siège à Noventa di Piave, près de Venise.LINE GLASS - Détails Techniques :Lignes épurées et formes carréesFermeture avec verre alignéesBrosse pour garantir un mouvement fluide et silencieuxSystème qui permet un nettoyage rapideVoie inferieur de seulement 18 mm de hauteurRampe a 45° pour faciliter l’accès aux poussettes et aux fauteuils roulantsFermeture autobloquante et/ou verrouillable.
Il y a 4 ans et 289 jours

L'A45 définitivement enterrée avec l'expiration de sa déclaration d'utilité publique

"Le sentiment qui domine, après l'abandon de ce projet, c'est celui d'un grand gâchis car on avait franchi toutes les étapes, y compris sur le financement, et qu'on touchait au but", a déclaré mercredi à l'AFP le président LR du conseil départemental de la Loire, Georges Ziegler.La région Auvergne Rhône-Alpes, le département de la Loire et la métropole de Saint-Etienne avaient provisionné près de 400 millions d'euros pour ce chantier d'une cinquantaine de kilomètres, dont le coût estimé à 1,2 milliard devait être partagé en trois avec l'État et le concessionnaire retenu, Vinci Autoroutes.Le projet d'autoroute qui n'attendait plus qu'une signature du gouvernement pour être lancé, visait à améliorer le trafic routier très dense entre les deux métropoles de Rhône-Alpes.Mais il n'avait pas été retenu dans le rapport Duron sur les infrastructures du pays au printemps 2018 et la ministre des Transports de l'époque, Élisabeth Borne, l'avait définitivement écarté à l'automne suivant."Cette décision revient à condamner des milliers d'automobilistes et d'entreprises à subir embouteillages, pollution et perte de compétitivité", a dénoncé une nouvelle fois, mercredi, le président de la Région Laurent Wauquiez. Le mois dernier, Gaël Perdriau, qui préside la métropole stéphanoise, avait déploré, lui, "l'inconstance" de la parole de l'État dans ce dossier.Après avoir boycotté des réunions de concertation destinées à faire émerger des "solutions alternatives" routières et ferroviaires, l'État s'engageant à maintenir son enveloppe de 400 millions d'euros, les trois collectivités pro-A45, qui refusent d'en faire autant, avaient vainement demandé au gouvernement de prolonger la DUP de dix ans.
Il y a 4 ans et 289 jours

Vinci remporte un contrat de 183 millions d'euros pour boucler le périphérique de Calgary

"Cette infrastructure routière de cinq kilomètres comprend quatre échangeurs, sept ponts ainsi qu'un passage souterrain pour les piétons. Les travaux englobent le terrassement, le drainage, la pose des enrobés et l'installation de l'éclairage public", précise un communiqué.Le terme de ce chantier, remporté par des filiales de Vinci pesant pour 65% dans le groupement des entreprises retenues par le ministère des Transports de la province de l'Alberta, est prévu pour 2024.Cette dernière section doit permettre le contournement à l'ouest de Calgary via un réseau de plus de 100 km de voies continues autour de la ville.Vinci avait réalisé au Candana en octobre 2019 le contournement de Regina, capitale de la province de Saskatchewan, dans le cadre d'un partenariat public-privé.
Il y a 4 ans et 289 jours

Grohe annule sa participation au salon ISH 2021 pour des raisons de sécurité sanitaire

La situation sanitaire reste fragile en Allemagne et à l'étranger et les grands événements représentent toujours un risque de contamination majeur.Jonas Brennwald, CEO LIXIL EMENA et Co-CEO GROHE AG explique : "C'est avec un profond regret que nous devons annuler notre participation au Salon ISH prévu en mars 2021. Pendant le salon, nos clients et partenaires commerciaux attendent de nous que nous créions une expérience de marque unique avec des lancements de produits innovants en s’engageant personnellement avec eux. Toutefois, compte tenu des circonstances et des restrictions sanitaires, nous ne pensons pas que cela concorde avec le concept de salon"."Nous avons été désolés d'apprendre qu'il n'y avait pas de possibilité de reporter le salon ISH à une date ultérieure", ajoute Thomas Fuhr, COO Fittings LIXIL International et Co-CEO GROHE AG. "L'une des principales valeurs de notre entreprise est de faire ce qui est juste. Nous sommes convaincus que dans cette situation de crise, le désistement est malheureusement la meilleure chose à faire pour garantir la sécurité et la santé de toutes les personnes concernées".À la suite à cette décision, GROHE prévoit également de revoir sa participation à d'autres salons de la zone EMENA. Néanmoins, GROHE souhaite créer une expérience de marque unique pour ses partenaires commerciaux et les médias et, travaille actuellement sur un concept alternatif.
Il y a 4 ans et 291 jours

Les concertations sur la réforme des retraites repoussées "au moins jusqu'à la fin de l'année"

L'exécutif a cependant appelé "à ne pas mettre la poussière sous le tapis et à prendre nos responsabilités en ce qui concerne le système actuel", qui devrait être en fort déficit à la fin de l'année, a ajouté M. Asselin."Nous continuons de croire qu'un système universel est plus juste mais la priorité n'est pas celle-ci aujourd'hui", a souligné le patron de la CFDT Laurent Berger. Le Premier ministre Jean Castex "a dit que c'était repoussé à des discussions plutôt en 2021", a-t-il confirmé."Ça correspond à notre volonté de ne pas faire du sujet des retraites un sujet de l'été et de l'automne, mais plutôt se laisser le temps du diagnostic pour voir d'abord comment on aura été capable de répondre ou non aux enjeux de lutte contre le chômage, de maintien de l'emploi, de lutte contre la paupérisation, avec une priorité mise en direction des jeunes", a encore salué M. Berger, estimant que "la priorité est placée au bon endroit en termes d'objectif et de calendrier, à savoir l'emploi, l'emploi, l'emploi".Par ailleurs, M. Castex "nous a rassurés sur le fait qu'il faudrait faire la distinction entre ce qui est du domaine du conjoncturel et ce qui est du structurel" sachant qu'après la crise du coronavirus "les schémas d'équilibre" financier "ne sont plus les mêmes", a précisé M. Asselin.Dans cette perspective, M. Castex a annoncé aux participants qu'il saisirait de nouveau le Conseil d'orientation des retraites (COR) afin d'évaluer la situation financière des régimes actuels. Selon une estimation provisoire du COR dévoilée en juin, le déficit pourrait approcher les 30 milliards d'euros cette année.Les partenaires sociaux demandaient unanimement le report, si ce n'est pour certains l'abandon total, de la réforme des retraites, suspendue sine die par l'épidémie de coronavirus.Jean Castex avait initialement indiqué vouloir reprendre les concertations afin de régler le dossier "à court terme". Il avait aussi assuré vouloir distinguer "très clairement" la refonte du système actuel "de toute mesure financière", comme l'allongement de la durée de cotisation, prise pour combler les déficits.
Il y a 4 ans et 291 jours

Les crédits immobiliers en quête d'une reprise malgré les incertitudes

Ces dernières semaines, emprunteurs et acheteurs "sont au rendez-vous, il y a des recherches en ligne importantes, il y a des visites de biens, il y a des ventes qui se réalisent de manière significatives, et dans un contexte où les prix semblent tenir. On a une forme d'élan post-confinement", a résumé jeudi dans une vidéo Jean-Marc Vilon, directeur général de l'organisme Crédit Logement qui réunit les principales banques françaises.Cet élan est-il durable? "Il est encore un peu tôt pour le dire. La période qu'on traverse est absolument unique, on n'a évidemment jamais vécu cela et ce qui va se passer sur le marché de l'immobilier va dépendre du marché immobilier lui-même, mais aussi et encore plus de l'évolution économique générale", a-t-il toutefois nuancé, évoquant des "incertitudes très fortes"."Il faut attendre la rentrée pour être un peu plus affirmatif sur les tendances du marché, mais en même temps, il ne faut pas bouder notre plaisir d'une reprise d'activité qui, depuis la fin du confinement, est quand même tout à fait réelle", s'est réjoui M. Vilon.Remontée des tauxLe taux moyen des crédits immobiliers en France a continué à progresser en juin, prolongeant la tendance esquissée en avril et en mai. Durant ces deux mois, les taux du crédit immobilier avaient en effet grimpé respectivement à 1,18% puis 1,25%, après des mois d'évolution à un plancher historique touché en fin d'année dernière à 1,12%.Le résultat du mois de juin porte ainsi le taux moyen des crédits immobiliers à 1,25% sur l'ensemble du deuxième trimestre."Avec le durcissement de la crise économique déclenchée par la mise en oeuvre du confinement, les risques portés par les établissements prêteurs sur la dette immobilière des particuliers se sont renforcés. La montée du chômage et les pertes de pouvoir d'achat accentuent les risques de défaut sur la dette en cours de remboursement, alors que la suppression des aides personnelles à l'accession a fait disparaître un filet de sécurité qui avait montré son efficacité durant la crise des +subprime+", souligne l'observatoire Crédit Logement-CSA.Cette tendance masque des disparités entre les différents profils d'emprunteurs.Les emprunteurs ne présentant pas en général les meilleurs profils (niveaux des revenus et de l'apport personnel, durée des crédits octroyés...) et qui supportaient déjà un taux supérieur à la moyenne de leur famille de durée connaissent l'augmentation la plus forte. À l'inverse, la hausse des taux survenue depuis décembre 2019 est moindre pour les emprunteurs dont le profil est jugé moins porteur de risques.Allongement des duréesCette évolution apparaît en ligne avec les demandes des autorités financières qui, face à l'essor du crédit immobilier avant le confinement, avaient demandé aux banques de resserrer un peu leurs conditions, alors que les prêts atteignaient en France un montant total historique.Mais si elles se sont montrées plus sélectives envers les profils d'emprunteurs, les banques semblent avoir lâché un peu de lest du côté de la durée des emprunts.La remontée des taux des crédits et la poursuite de la hausse des prix des logements ont donc été partiellement compensées par l'allongement des durées : au deuxième trimestre 2020, la durée des prêts bancaires accordés était de 231 mois en moyenne, contre à peu près 228 mois sur le premier trimestre et sur l'ensemble de l'année 2019, montre l'observatoire.En ce qui concerne l'activité des nouveaux prêts immobiliers, l'observatoire remarque une reprise en juin, après des turbulences en mars sur fond de déclenchement de la crise du Covid-19, suivies par un effondrement de la production en avril et en mai. Mais "la reprise observée en juin n'a pas permis de retrouver le niveau d'activité de février 2020, et encore moins celui de juin 2019".Le mois dernier, la production, c'est-à-dire le montant global des crédits accordés, a chuté de 10%, et le nombre de prêts bancaires a reculé de presque 12% par rapport à juin 2019, selon l'observatoire.
Il y a 4 ans et 291 jours

Exonération de charges "dès juillet" pour les entreprises qui recruteront des jeunes

Pour "chaque jeune qui sera employé par une entreprise, l'entreprise verra une réduction de ses cotisations sociales de 4.000 euros par an", "jusqu'à 1,6 smic" et "jusqu'à 25 ans", a ajouté le ministre, précisant une mesure dévoilée mardi par le président de la République Emmanuel Macron."C'est un dispositif très généreux mais qui, je l'espère, sera très efficace", car "rien ne serait plus terrible pour une nation que de faire payer à ses jeunes (...) le prix de la crise"."Il s'agit de faire en sorte que les 700.000 jeunes qui, fin août, vont arriver avec leur diplôme, leur formation professionnelle, sur le marché du travail, trouvent une place", a expliqué M. Le Maire.Ce dispositif, ciblé sur l'embauche de jeunes peu qualifiés, "durera un à deux ans" et sera évalué, avait précisé le chef de l'État lors d'un entretien télévisé à l'occasion du 14 juillet.Pour aider les jeunes à s'insérer sur le marché de l'emploi après le choc de la crise sanitaire, M. Macron a également annoncé la création de 300.000 contrats d'insertion et de 100.000 places supplémentaires en service civique dans les six mois à venir. Il en existe 140.000 aujourd'hui.
Il y a 4 ans et 291 jours

Exonération de charges "dès juillet" pour les entreprises qui recruterons des jeunes

Pour "chaque jeune qui sera employé par une entreprise, l'entreprise verra une réduction de ses cotisations sociales de 4.000 euros par an", "jusqu'à 1,6 smic" et "jusqu'à 25 ans", a ajouté le ministre, précisant une mesure dévoilée mardi par le président de la République Emmanuel Macron."C'est un dispositif très généreux mais qui, je l'espère, sera très efficace", car "rien ne serait plus terrible pour une nation que de faire payer à ses jeunes (...) le prix de la crise"."Il s'agit de faire en sorte que les 700.000 jeunes qui, fin août, vont arriver avec leur diplôme, leur formation professionnelle, sur le marché du travail, trouvent une place", a expliqué M. Le Maire.Ce dispositif, ciblé sur l'embauche de jeunes peu qualifiés, "durera un à deux ans" et sera évalué, avait précisé le chef de l'État lors d'un entretien télévisé à l'occasion du 14 juillet.Pour aider les jeunes à s'insérer sur le marché de l'emploi après le choc de la crise sanitaire, M. Macron a également annoncé la création de 300.000 contrats d'insertion et de 100.000 places supplémentaires en service civique dans les six mois à venir. Il en existe 140.000 aujourd'hui.
Il y a 4 ans et 291 jours

Cet été, les français vont rénover leurs habitats

Si certains partent déjà se faire dorer la pilule au soleil, d'autres ont décidé de profiter des vacances pour rénover leurs habitations. Le portail ProntoPro s'est intéressé à cette tendance, en analysant la manière dont les français préparent leurs travaux estivaux. Via son Observatoire ProntoTrends, ce top 5 des services les plus demandés nous renseigne sur leurs priorités.Selon les régions, arrivent en tête l'aménagement du jardin, le paysagisme, l'installation de stores, d’une piscine, de panneaux solaires ou d'une terrasse. Force est de constater que les français souhaitent profiter de leur espace extérieur (lorsqu'ils en possèdent un). Les cours de jardinage ont même remplacé les demandes de coach sportif cette année, c'est dire l'impact du confinement. Après plusieurs mois de restrictions, les français privilégient clairement les activités extérieures cet été.D'après une étude réalisée par Cofidis mi-juin, le budget moyen envisagé par les Français pour leurs travaux de rénovation est de 9 550€. Et plus de la moitié de ce budget est dédié à l'entretien extérieur, avec 61% des demandes on peut raisonnablement parler d'une vague verte ! Au niveau régional, c'est en Corse que les français dépensent le plus pour leur espace extérieur et en Ile-de-France qu'ils dépensent le moins, sans surprise. Quant à l'aménagement intérieur, c'est en région PACA que les français y dédient la plus grande partie de leur budget avec 22% de leurs dépenses.Détails des services les plus demandés cet été en FranceInstaller un dispositif anti-moustique caracole en tête avec 29% des demandes, puis se classe la climatisation avec 23% des demandes. Viennent ensuite la peinture (17%) et la réparation de volets (10%). Notons qu'en Bourgogne-Franche-Comté, Centre-Val de Loire, Grand-Est et Occitanie, la demande d'installation de climatisation dépasse celle des moustiquaires. Sinon en Occitanie comme en Corse, une approche éco-durable favorable aux économies d'énergie orientent la plupart des demandes vers l'installation de panneaux solaires.En dehors de la rénovation, quelles sont les autres activités préférées des français pendant leurs temps libres cet été ? Les cours de jardinage, de cuisine, les coachs sportifs et les leçons d'anglais dominent toujours le classement des professionnels les plus recherchés dans la catégorie « bien-être & les loisirs ». Cependant en 2020, on observe une nette poussée des demandes pour les cours de jardinage. Le confinement aura fait naître de nouvelles vocations. Les français souhaitent apprendre à entretenir leur jardin, une manière de s'occuper de leur habitation, en profitant de l'extérieur.Le rapport complet se trouve ici
Il y a 4 ans et 291 jours

Le Covid fait exploser la dette française

"La crise économique actuelle, induite par la crise sanitaire liée à la pandémie de Covid-19, a conduit à une dégradation des finances publiques sans précédent depuis la Seconde Guerre mondiale", s'inquiète ce rapport présenté par Laurent Saint-Martin, rapporteur général du Budget à l'Assemblée.Le choc est en effet estimé "à ce stade" à environ 22 points de produit intérieur brut (PIB), selon le troisième projet de loi de finances rectificative qui évalue le ratio de dette française sur le PIB à 120,9% soit 2.650 milliards d'euros.En conséquence, le recours de l'État aux émissions de dette sur les marchés financiers devrait s'envoler à 361,2 milliards d'euros au total, contre 230,5 milliards d'euros prévus initialement, d'après le projet de loi de finance rectificative.La Banque centrale européenne (BCE) a de son côté joué un rôle "décisif" avec son arsenal de mesures monétaires accommodantes qui ont permis de maintenir des taux d'intérêt bas.Mais alors que le sujet brûlant de la dette enflammait déjà dirigeants politiques et économistes avant même le coronavirus, un tel niveau d'endettement est-il soutenable?"Il n'existe pas de niveau déterminé et unique du ratio caractéristique d'une situation d'insoutenabilité", soulignent les auteurs, qui ont auditionné plusieurs économistes de différents bords. DurableIls mettent toutefois en garde contre la dégradation de l'image de la France auprès de ses créanciers et l'affaiblissement de la croissance.La situation "doit amener à nous questionner avec un regard nouveau sur le caractère durable de cette situation", estiment les auteurs.D'autant que la crise n'est pas terminée et que les plans de relance "ne devraient pas être financés par une hausse significative des prélèvements obligatoires", au moment où l'exécutif vient d'annoncer un plan de relance de 100 milliards d'euros financé pour plus d'un tiers par l'Europe.Sur les impôts et les mesures d'économie, le document souligne justement les dangers des politiques de rigueur qui ont coûté à l'Europe de précieux points de croissance après la crise des dettes souveraines.D'où l'émergence de la question du "cantonnement" de la dette, également abordée dans le rapport. Le Premier ministre Jean Castex a justement indiqué mercredi que la dette issue de la crise ferait l'objet d'un traitement à part avec un remboursement étalé sur le long terme via une ressource dédiée.Celle-ci "sera remboursée jusqu'en 2042 de façon à bien identifier la dette qui est liée aux dépenses de la crise du reste de la dette", a détaillé le ministre des Finances Bruno Le Maire jeudi sur France Inter.L'idée d'une dette mutualisée est également abordée dans le rapport, sur le modèle du projet européen de 750 milliards d'euros dont les négociations entre dirigeants s'annoncent âpres à Bruxelles vendredi.Ce projet, soutenu jeudi par la patronne de la BCE Christine Lagarde, prévoit que 500 milliards de subventions ne soient pas remboursés par les Etats bénéficiaires.La question de l'achat direct de dette par la banque centrale, la souscription d'une dette perpétuelle, ou l'annulation ou restructuration de la dette, n'ont en revanche pas les faveurs du rapport. Sur l'annulation ou la restructuration, le document souligne qu'il existe un risque de déstabilisation des marchés et un conflit juridique avec les traités.
Il y a 4 ans et 292 jours

La suppression de la taxe d'habitation pourrait être reportée selon Bruno Le Maire

"Je veux qu'il n'y ait aucune ambiguïté, la promesse du président de la République a été tenue pour les 80 % (des ménages, ndlr) et elle sera tenue puisque la suppression de la taxe d'habitation a été votée et la taxe d'habitation sera bien supprimée", a assuré M. Le Maire lors d'une interview au journal de 20 heures sur France 2.Le patron de Bercy a reconnu que des questionnements existaient au sein du gouvernement entre la possibilité "de prendre un peu plus de temps" pour finaliser la suppression de la taxe d'habitation '"parce qu'effectivement ça coûte cher", ou celle de la supprimer "d'ici 2023 comme c'était prévu" pour les 20 % de ménages français qui continuent de la payer.Le chef de l'Etat Emmanuel Macron avait évoqué la veille une "option possible" de "décaler un peu, pour les plus fortunés (...) la suppression de la taxe d'habitation".Restant évasif, M. Le Maire a également mentionné un possible report de cette taxe pour "une partie de ces 20%, ceux qui paient les taxes les plus élevées et ceux qui ont le plus les moyens dans notre pays". Il n'a cependant pas préciser de calendrier."Il y a beaucoup de classes moyennes et nous voulons protéger les classes moyennes, nous le faisons en refusant toute augmentation d'impôts", a encore observé le ministre des Finances."C'est des options qui sont sur la table, je vais consulter les parlementaires pour voir ce qu'ils en pensent, faire des propositions au Premier Ministre, et ensuite les arbitrages définitifs seront rendus", a-t-il déclaré.
Il y a 4 ans et 292 jours

Sur la route du Nord

Il y a 4 ans et 292 jours

Edilians lance son nouveau plan santé-sécurité

Les nouvelles orientations qui en découlent sont réunies dans un plan Santé-Sécurité qui sera lancé le 18 septembre prochain sur l’ensemble des sites de production d’EDILIANS à l’occasion de l’édition 2020 de la “Journée de la Santé et Sécurité”.La sécurité sur le lieu de travail a toujours été un axe prioritaire pour EDILIANS. Aujourd’hui, la santé des collaborateurs devient aussi un enjeu essentiel pour l’entreprise qui souhaite renforcer son action et impliquer tous les services au-delà des sites industriels car comme l’explique Eric Perrier, Directeur Sécurité, « un accident peut survenir en tous points de l’entreprise, pas seulement sur les lignes de production ».S’adressant à chacun des 1.000 salariés d’EDILIANS, le nouveau plan Santé-Sécurité vise à développer un état d’esprit positif tant sur le plan sécuritaire que médical pour “réussir ensemble à atteindre l’objectif de zéro accident et zéro maladie” souligne Pascal Casanova, Président.“Arrivé le matin indemne et partir le soir idem, c’est toute la philosophie du programme Santé-Sécurité que nous mettons en place” ajoute Pascal Casanova. Celui-ci s’articule autour de 6 thèmes majeurs :la fierté de travailler en Santé et Sécurité avec une plus grande communication sur les réussites et les pratiques vertueuses recensées dans les usines ainsi que sur les règles à appliquer,le leadership terrain et le rôle des managers pour mobiliser chacun dans tous les services et mettre en œuvre les outils en faveur d’une implication massive,les règles à respecter, afin de rester en sécurité et en bonne santé, réunies dans une charte Santé-Sécurité qui détaille les engagements et les attitudes à adopter par tous les acteurs de l’entreprise, avec pour valeur commune le respect (des hommes, de l’entreprise, des clients, de l’environnement),le plan santé avec des moyens conséquents pour impulser une dynamique autour de la santé mentale et physique, capital individuel et collectif de première importance,la conformité et la mise en place d’un plan de sécurisation sur 3 ans des machines et équipements sur tous les sites, suite à un audit externe conduit pour lister les points d’amélioration sur chacune des lignes de production. Désormais, quand une intervention de maintenance est réalisée, elle devra être précédée d’une analyse des risques préalable pour gagner en vigilance et en sérénité,un processus d’intégration et de formation plus important et mieux structuré des nouveaux entrants et des intérimaires incluant un volet santé et sécurité.Pour impliquer, rassembler et responsabiliser l’ensemble des collaborateurs, des prestataires et des clients autour de ce projet commun, EDILIANS a souhaité illustrer sa démarche en créant une identité graphique dédiée. Symbolisant deux personnages liés l’un à l’autre, formant un cœur, le logo traduit l’interdépendance. « Une notion qui porte les valeurs de respect et reflète l’implication et la bienveillance de chacun vis-à-vis de son prochain » explique Eric Perrier, Directeur Sécurité. Ce message fort sera décliné sur l’ensemble des supports de communication interne ainsi que sur les panneaux d’affichages prévus à l’entrée des sites de production.Sujet majeur pour EDILIANS, ce plan de prévention sera officiellement lancé le 18 septembre lors de la prochaine Journée de la Santé-Sécurité organisée sur les 14 sites de production français ainsi que sur celui d’Umbelino Monteiro au Portugal. Au cours de cette nouvelle édition, point de départ d’une mobilisation collective, des ateliers et mini-conférences seront notamment proposés pour progresser rapidement.
Il y a 4 ans et 292 jours

Facibloc choisit Ecap® d'Edilteco pour l'ITE des maisons ossatures bois

Afin de proposer une finition sous forme de crépi, doublée d'une isolation thermique extérieure, sur ses constructions ossature bois, Sébastien Borie a choisi d'utiliser le système ITE ECAP® d'EDILTECO® France. ECAP® présente de nombreux avantages notamment sa capacité d'imperméabilité, sa bonne isolation thermique, ses multiples coloris et matériaux de finition (Acrylic Colour, Acrylic Siloxane Colour, Silicate Colour) mais c'est aussi sa simplicité de mise en œuvre qui a séduit l'entrepreneur.ECAP® et FACIBLOC®, plus de simplicité pour plus d'efficacitéTout comme le système FACIBLOC®, ECAP® est une solution efficace offrant simplification de pose et rapidité de mise en œuvre. En cours de fabrication, les plaques de polystyrène ECAP® reçoivent l'application d'un sous-enduit de 3 mm sur la surface du PSE et l'intégration, sur le sous-enduit, d'une armature en fibre de verre débordante des deux côtés.Les plaques sont préalablement découpées et dans le même temps, les emplacements des chevilles sont réalisés dans la couche de base et l'armature. La plaque est donc semi-finie en usine et cela offre un gain de temps considérable lors de leur mise en œuvre.Également, les travaux ne nécessitent pas l'utilisation d'une bâche de protection aux U.V. ce qui allège sensiblement le coût du chantier. A l'instar d'ECAP®, les blocs en bois FACIBLOC® sont fabriqués en usine. Ils sont composés de briques de bois conçues en Douglas et bénéficient d'un double contreventement en OSB (Oriented Strand Board) de 12 mm, sans formaldéhyde.Les blocs sont proposés en 2 épaisseurs : 119 et 169 mm et sont également pré-isolés en usine avec de la laine minérales ou laine de bois. Livrés ainsi sur chantier, les murs FACIBLOC® sont manuportables et donc faciles à mettre en œuvre. Le système d'emboitement breveté FACIBLOC® (système de clef de liaison) est unique et innovant, il simplifie le montage tout en conservant l'aspect technique de la maison ossature bois.Les premiers chantiersLes premiers chantiers ECAP® et FACIBLOC® viennent d'être mis en œuvre dans le Puy-de-Dôme et à Lyon pour la conception de 3 extensions, de maisons individuelles conçues en FACIBLOC®. Ces extensions de 30 m², 25 m² et 22 m² deviendront une chambre, une cuisine et un bureau.Les clients ont choisi d'agrandir leurs maisons rapidement et à moindre coût, mais avec la certitude d'obtenir des performances très intéressantes en matière d'isolation thermique et phonique, grâce au système FACIBLOC®.Les propriétaires ont tous optés pour des blocs isolés en laine de bois avec un revêtement en crépi blanc ocre et une finition grésée.Le système ECAP® d'EDILTECO® a été chevillé sur les blocs FACIBLOC® et revêtu de la finition ECAP® AC « Acrylic Colour » ; un enduit mince qui donne du caractère au bâti et permet de lier esthétisme et protection des façades. En outre, sa formulation est dotée d'un traitement anticryptogamique offrant au produit une haute résistance à l'attaque des mousses et des champignons.L'ensemble confère une excellente isolation thermique avec un R de 6,20, répondant aux exigences de la RT 2020 (complexe mur en laine de bois R de 4,3 et plaque ECAP® en PSE blanc de 60 mm R de 1,9).L'autoconstruction FACIBLOC®Du studio de jardin de 17 m² à la maison traditionnelle de plus de 100 m², avec un R+1, les constructions FACIBLOC® offrent tous les avantages de l'ossature bois.Tous les matériaux ont été choisis en fonction de leur qualité technique et du respect de l'environnement. Le bois notamment va permettre de réguler l'hygrométrie ambiante et reste respectueux de la nature grâce à ses bas rejets de CO².Les isolants concèderont une excellente isolation phonique et une isolation thermique performante répondant aux exigences de la RT 2012 et 2020. Dès leur usinage les blocs FACIBLOC® sont répertoriés afin d'être assemblés entre eux, suivant un schéma de calepinage.L'entreprise conçoit et fournit également au choix, une charpente traditionnelle, une charpente en fermette à 2 ou 4 pans ou un toit terrasse avec un système de poutres en I, trois fois plus légères que les poutres en bois massif et à performances mécaniques égales.Les éléments de la baie sont également calibrés dans les blocs pour y être intégrés. Les pré-cadres des menuiseries sont réalisés en usine et habillés d'acier laqué de la couleur des menuiserie choisies. En option, des menuiseries en PVC, en aluminium ou en bois sont livrées avec les blocs.De la même manière, pour les volets roulants, les coffres tunnels sont usinés et fixés au pré-cadre. Ainsi ils sont livrés encastrés comme pour une maison en maçonnerie traditionnelle. 2 types de finitions sont disponibles : un crépi avec le système ECAP® d'EDILTECO® qui est mis en œuvre sur chantier ; ou un bardage dont les liteaux et le pare pluie sont fixés sur le bloc en usine.En pratique...Dès la validation de la commande, l'usinage est lancé et les délais de fabrication sont d'un mois environ.Les murs FACIBLOCS® sont livrés palettisés suivant le plan de calepinage. La mise en œuvre de l'extension ou de la maison se fait sur une dalle bois ou béton.Les blocs sont emboités les uns aux autres selon le système de clef FACIBLOC® qui permet de conserver tous les aspect écologiques, économiques et performants de la maison ossature bois.Grâce à l'isolation de la clef de liaison, il n'y a pas de discontinuité entre les matériaux et les parois de la structure ; les ponts thermiques sont ainsi pratiquement inexistants.FACIBLOC® fournit la lisse basse, la bande bitumeuse étanche, les blocs muraux identifiés selon le plan de calepinage, la lisse de chainage ainsi que toute la quincaillerie afin de permettre, même à un particulier novice, de monter ses murs dans les règles de l'art et en toute sécurité.Les documents de montage accompagnent pas à pas le monteur afin qu'il puisse, s'il le souhaite, assembler seul sa maison. Pour rappel, les autoconstruction FACIBLOC® sont légères et manuportables, elles ne nécessitent donc pas l'intervention d'un engin de levage.Mais le client peut aussi faire appel à un piloteur FACIBLOC® qui viendra l'aider et le conseiller à monter sa maison ou son extension, ou alors solliciter une équipe de montage indépendante (2 personnes) sur demande, qui prendra en charge le montage des murs et de la charpente.Les autoconstructions FACIBLOC® sont livrées hors d'eau, hors d'air.Informations complémentairesUsinage : Usine FACIBLOC® Clermont-Ferrand.Hauteur maximale d'un panneau : 2,80 mètres.Essence de bois : Douglas ou Epicéa.Mise en œuvre : pas de temps de séchage, murs secs, pose été comme hiver.Prix indicatif : Murs, charpente, menuiseries et revêtement extérieur, livrés, entre 400 et 460 euros TTC le m².Distribution : FACIBLOC® est distribué sous licence aux artisans indépendants, spécialistes ou non de l'ossature bois.
Il y a 4 ans et 292 jours

Colas Rail remporte son premier contrat à Singapour, d'un montant de 41 millions d'Euros

"Colas Rail réalisera la conception, la fourniture, l'installation, les essais et la mise en service des nouveaux systèmes d'alimentation électrique de la ligne de métro léger Bukit-Panjang", explique la filiale de Colas, groupe détenu par Bouygues.Il s'agit du premier contrat remporté par Colas Rail à Singapour.
Il y a 4 ans et 292 jours

Un "Grand Palais éphémère" en montage sur le Champ-de-Mars, à Paris

Construit pour l'Exposition universelle de 1900 et dédié "à la gloire de l'art français", le Grand Palais doit bénéficier d'une importante rénovation jusqu'en 2024 afin de "faire entrer pleinement le monument dans le XXIe siècle".Le "Grand Palais éphémère", bâtiment provisoire d'environ 10.000 m² conçu par l'architecte Jean-Michel Wilmotte, accueillera d'ici là les manifestations artistiques et culturelles, ainsi que les événements liés à la mode, à la gastronomie et au sport habituellement organisés dans la Nef. Une grande partie du Champ-de-Mars restera accessible aux promeneurs.Une fois ces travaux de rénovation achevés, le Grand Palais historique accueillera à l'été 2024 les épreuves d'escrime et de taekwondo des Jeux olympiques, puis d'escrime fauteuil et de para judo des Jeux paralympiques.Le "Grand Palais éphémère" abritera au même moment les compétitions de judo et de lutte des JO, puis celles de tennis de table paralympiques.
Il y a 4 ans et 292 jours

La justice donne raison aux notaires et retoque la "déesse du foyer" de la Fnaim

Les notaires, qui avaient saisi le Tribunal judiciaire de Paris, souhaitaient faire interdire l'utilisation par les agents immobiliers d'un logo spécifique témoignant de leur statut officiel et qui représentait la silhouette d'une déesse romaine, Vesta.Or, cette déesse ressemblait un peu trop à la figure représentant traditionnellement les notaires (une autre figure féminine mythologique portant une couronne), a estimé le Conseil du notariat, jugeant qu'il y avait là un risque de "pratiques commerciales trompeuses".Les deux symboles présentent "d'évidentes similitudes", a tranché vendredi le tribunal des référés, jugeant que "l'adoption et l'utilisation par ses promoteurs du signe +Vesta+ constitue un trouble manifestement illicite"."Le #CSN poursuivra avec détermination tous les braconniers du sceau qui misent sur la confusion. L'emblème de la #République ne saurait être galvaudé", a tweeté mercredi son président, Jean-François Humbert, en réaction à cette décision de justice rendue en procédure rapide."Il est le symbole des seuls officiers publics et agents qui représentent l'Etat, et de la puissance publique qui les a nommés", a ajouté le dirigeant. Il a par ailleurs cité auprès de l'AFP un sondage montrant que "les personnes interrogées pensaient aux notaires lorsqu'elles voyaient ce signe", en référence à la déesse choisie par la Fnaim.Le tribunal a expliqué avoir notamment fondé sa décision sur des détails précis pouvant prêter à confusion, notamment la forme ovoïde des deux logos et le drapé porté par les deux femmes représentées.Première victoireIl s'agit là d'une première victoire pour le CSN, qui cherchait à travers cette action en justice à éviter tout risque de confusion entre le rôle d'authentification de transactions dévolu aux notaires, et celui des agents immobiliers servant d'intermédiaires entre vendeurs et acheteurs de biens.Une première victoire -- car la Fnaim, contrainte par la justice de faire retirer sous huit jours l'ensemble des supports utilisés par toute personne, sous peine d'une astreinte de 500 euros par jour et par infraction, a d'ores et déjà annoncé son intention de faire appel.La première organisation d'agents immobiliers veut conserver ce choix de déesse du foyer comme "le symbole d'une profession réglementée"."Nous n'avons pas conçu ce caducée contre les notaires, mais pour affirmer notre identité d'agents immobiliers qualifiés, titulaires d'une carte professionnelle", a affirmé son président Jean-Marc Torrollion dans une déclaration transmise à l'AFP."Je déplore le mépris affiché une nouvelle fois par le Conseil supérieur du Notariat vis-à-vis des professionnels de l'immobilier", a-t-il ajouté.M. Torrollion réclame par ailleurs un "arbitrage politique" de cette affaire, estimant avoir reçu le soutien de Julien Denormandie, ancien ministre de la Ville et du Logement --passé entre-temps au portefeuille de l'Agriculture à la faveur du remaniement ministériel.Loin d'être simplement une querelle de voisinage, cette bataille en justice est l'expression d'un malaise plus profond entre ces deux maillons de l'immobilier français: les deux organisations ont difficilement cohabité lors du récent confinement pour cause de coronavirus.Dès les premiers jours, la Fnaim a reproché aux notaires d'être nombreux à fermer leurs études et à ne plus authentifier les opérations immobilières, une étape essentielle pour les mener à bien et permettre aux professionnels d'être payés.Le gouvernement a tenté de résoudre le conflit en servant d'intermédiaire. Rapidement, il a pris un décret pour faciliter la signature virtuelle de documents auprès de notaires. Mais la mesure, difficile à généraliser techniquement, n'a guère débloqué la situation.Les notaires ont de leur côté attaqué début avril la Fnaim, lui reprochant des "chiffres fantaisistes et trompeurs" sur le nombre de projets immobiliers bloqués.
Il y a 4 ans et 292 jours

Les taux des crédits immobiliers ont continué à remonter en juin

Le mois dernier, les taux des crédits immobiliers accordés par le secteur concurrentiel se sont en moyenne établis à 1,29%, détaille jeudi dans un communiqué l'observatoire Crédit Logement-CSA, qui associe les principales banques françaises à un institut d'études de marché.Cette évolution prolonge la tendance esquissée en avril et en mai, mois durant lesquels les taux du crédit immobilier avaient grimpé respectivement à 1,18% puis 1,25%, après des mois d'évolution à un plancher historique touché en fin d'année dernière à 1,12%."Avec le durcissement de la crise économique déclenchée par la mise en oeuvre du confinement, les risques portés par les établissements prêteurs sur la dette immobilière des particuliers se sont renforcés", souligne dans un communiqué l'observatoire Crédit Logement-CSA."La montée du chômage et les pertes de pouvoir d'achat accentuent les risques de défaut sur la dette en cours de remboursement, alors que la suppression des aides personnelles à l'accession a fait disparaître un filet de sécurité qui avait montré son efficacité durant la crise des +subprimes+", ajoute-t-il.En ce qui concerne l'activité des nouveaux prêts immobiliers, l'observatoire remarque une reprise en juin, après des turbulences en mars sur fond de déclenchement de la crise du Covid-19, suivies par un effondrement de la production en avril et en mai. Mais "la reprise observée en juin n'a pas permis de retrouver le niveau d'activité de février 2020, et encore moins celui de juin 2019".Le mois dernier, la production, c'est-à-dire le montant global des crédits accordés, a chuté de 10%, et le nombre de prêts bancaires a reculé de presque 12% par rapport à juin 2019, selon l'observatoire.