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Il y a 5 ans et 27 jours

Covid-19 : les prix de l'immobilier neuf ne subissent pas la crise, bien au contraire

Pour les prix de l'immobilier neuf, la tendance est toujours largement haussière dans les grandes villes, selon le spécialiste de l'immobilier neuf sur Internet, Trouver-un-logement-neuf.com. Pour l'heure, la baisse des prix ne semble pas être d'actualité…Avec le télétravail testé à très grande échelle pendant le confinement, en marge de la fin de la métropolisation, d'un retour à la campagne de citadins des très grandes villes de France... certains tablent sur une diminution des prix de l'immobilier. Et pourtant, pour l'heure, aucune tendance à la baisse des prix de l'immobilier neuf n'est visible, bien au contraire. D'après le baromètre des prix de l'immobilier neuf du site de référence, Trouver-un-logement-neuf.com, on observe plutôt une nouvelle forte hausse sur le prix du trois-pièces, surface de référence, dans la quasi-totalité des 10 plus grandes villes de France, lors des six derniers mois. Tendance presque identique avec un mois de recul.Hausse dans 8 grandes villes sur 10Le prix de l'immobilier neuf a progressé dans 8 grandes villes sur 10 lors des six derniers mois, selon les derniers chiffres du baromètre de Trouver-un-logement-neuf.com. Une hausse quasi généralisée qui va jusqu'à +8,7% à Lille en comparaison des prix moyens pratiqués pour un trois-pièces en novembre 2019. Lille qui devient ainsi la 6ème grande ville la plus chère devant Montpellier : +5,6% et Strasbourg : +3,3%. Toulouse, malgré une hausse de 4,2% en un semestre, reste la grande ville la plus abordable à 250.000 € pour un trois-pièces.Parmi les fortes hausses observées, on note également Lyon : +3,4%, au-delà des 366.000 € pour acheter un T3 neuf, ainsi que Bordeaux : +4,6% où les prix repartent franchement à la hausse pour atteindre un prix moyen de 332.300 € pour un trois-pièces.Des hausses limitées ailleurs, comme à ParisDans certaines localités, la hausse reste plus limitée : stabilité parfaite lors des six derniers mois à Marseille où il faut compter 261.000 € pour acheter un T3. Légère hausse à Nice : +0,6% à 354.600 €. La capitale de la Côte d'Azur est ainsi sur le podium des trois grandes villes les plus chères, quand Paris, avec un prix en progression de 0,7% depuis novembre 2019, reste la ville la plus chère de l'hexagone dans l'immobilier neuf avec un prix moyen de 818.000 € pour un trois-pièces.L'exception nantaiseSeule exception parmi les grandes villes : Nantes où le prix moyen d'un trois-pièces diminue de 2,6% en six mois. Il est donc de nouveau possible d'acquérir un appartement neuf à moins de 300.000 € dans la cité des ducs de Bretagne.Fin du confinement : quelles conséquences ?En parallèle, en un mois, c'est-à-dire à cheval avant et après le déconfinement, on note également peu de reculs des prix. Seules trois grandes villes affichent des prix des logements neufs en baisse en un mois : Nantes encore : -0,7% ; mais également Toulouse : -0,8% et surtout, Strasbourg qui enregistre une baisse de 2,4% en 30 jours.A l'inverse, cela augmente fort dans certaines localités en un mois : +2,3% à Lyon, +2,6% à Montpellier, +6,5% à Paris.Conclusion :Pour l'heure et comme l'ont dit déjà plusieurs grands promoteurs, face à la pénurie de logements neufs disponibles avant l'épidémie de coronavirus, face au ralentissement de la délivrance des permis de construire pendant le confinement, en attendant le verdict du second tour des élections municipales, les prix de l'immobilier neuf ne devraient pas diminuer, à plus forte raison dans les grandes villes. D'autant que la demande y est restée bien présente durant le confinement. Les logements neufs avec de larges terrasses, voire jardins privatifs, déjà réputés pour être plus chers, y ayant d'ailleurs tirés leur épingle du jeu.Consulter ici le prix de l'immobilier neuf ville par villeMéthodologie : une méthode de calcul en temps réelLe prix moyen actuel de l'immobilier neuf dans les 10 plus grandes villes françaises a été calculé le lundi 25 mai 2020 par type de surface, selon les prix indiqués chaque jour par les annonceurs du site Trouver-un-logement-neuf.com : sur une base minimale de 5 programmes immobiliers neufs différents pour chaque localité, soit plusieurs dizaines de prix de logements neufs comparés.
Il y a 5 ans et 27 jours

L'économie française repart mais la récession sera pire que prévu

Sur le seul deuxième trimestre, la chute du PIB pourrait atteindre "environ 20%", après -5,8% au premier, a estimé mercredi l'Insee dans son dernier point de conjoncture, ajoutant que sur l'ensemble de 2020, une récession de 8%, comme envisagé par le gouvernement, représente un scénario "peu réaliste".Il reposerait en effet sur un retour intégral à la normale dès juillet.Or "après près de deux mois au ralenti, comme en apnée, l'économie française s'efforce (...) de reprendre son souffle. Mais elle refait surface dans un monde qui n'est plus exactement le même qu'avant la crise sanitaire", explique l'Institut national de la statistique.La reprise sera "au mieux progressive au second semestre", estime l'Insee.Lundi, le gouverneur de la Banque de France, François Villeroy de Galhau, avait aussi affirmé que la période de déconfinement coûterait au moins trois points de PIB cette année."J'ai toujours indiqué que les 8% de chute de croissance étaient un chiffre provisoire (...) Il faut nous attendre à des chiffres de récession très dégradés pour 2020 en France", a commenté mercredi le ministre de l'Économie Bruno Le Maire sur Radio Classique.Il a jugé que les chiffres de l'Insee "confirment qu'il y a une reprise réelle mais progressive".Depuis le début du déconfinement, entamé le 11 mai, l'activité est en effet repartie "prudemment mais nettement" en France, selon l'Insee. L'économie française tournerait "à environ quatre cinquièmes de son niveau d'avant crise", contre deux tiers pendant le confinement.Avec la réouverture de la plupart des commerces et le retour au travail de nombreux Français, tous les secteurs ont vu leurs niveaux d'activité se redresser par rapport à la période du confinement.Dans les branches marchandes, les plus touchées par le confinement, la perte d'activité est de 25% contre 39% avant le déconfinement. Elle est de 38% dans la construction (contre 75% avant le 11 mai), et de 24% dans l'industrie (contre 38%).Les contraintes sanitaires et les perturbations persistantes des chaînes de production et d'approvisionnement freinent encore la reprise.Surtout, certains secteurs importants restent à l'arrêt ou presque, comme l'hôtellerie-restauration, l'événementiel ou la culture, même si cafés et restaurants vont pouvoir rouvrir dans les zones "vertes" dès le 2 juin selon des modalités attendues jeudi.Consommation repartieEn attendant, les ménages ont déjà profité de la réouverture des commerces, avec un rebond de la consommation durant la première semaine du déconfinement, avec un niveau seulement inférieur de 6% à son niveau d'avant-crise (contre -32% début mai).Mais, prévient l'Insee, "une partie de ce rebond est ponctuelle, correspondant à des achats qui avaient dû être reportés", ce qui ne "permet pas à ce stade de déduire ce que sera le +régime permanent+ de la consommation pendant les prochaines semaines".D'autant qu'avec les incertitudes sur l'avenir et les inquiétudes sur une hausse du chômage - Bruno Le Maire a déjà prévenu qu'il y aurait des faillites et des licenciements "dans les mois qui viennent" -, les ménages pourraient s'avérer prudents.En mai, le moral des ménages est ainsi resté en berne. L'indice de confiance publié par l'Insee a encore perdu 2 points par rapport à avril où il avait déjà chuté de 8 points.Or la reprise de la consommation, tout comme de l'investissement des entreprises, sera essentielle pour soutenir l'économie dans les prochains mois. Le Medef a d'ailleurs demandé des mesures "coup de fouet" avant l'été pour soutenir la demande.Après des plans de soutien dédiés aux secteurs les plus touchés, comme le tourisme, l'automobile et l'aéronautique, le gouvernement prépare un plan de relance global pour la rentrée.Alors que l'État va réduire à partir du 1er juin sa prise en charge du chômage partiel, l'organisation patronale demande un allègement très progressif de ce dispositif, et propose un système "temporaire" d'indemnisation des salariés pour les heures non travaillées.
Il y a 5 ans et 27 jours

L'U2P lance un site d'achat de matériel de protection et une cellule d’accompagnement psychologique

Un site pour s’approvisionner en équipement de protection individuelleDepuis le 20 mai 2020, l’ensemble du matériel sanitaire nécessaire à la protection individuelle des artisans, des commerçants et des professionnels libéraux, de leurs salariés et de leurs clients ou patients, sera proposé à la vente sur le site proxiprotection.fr.Les chefs d’entreprise de proximité disposeront ainsi de leur propre réseau indépendant pour s’équiper rapidement et durablement, dans des conditions tarifaires avantageuses, en masques, gants, gel hydroalcoolique, visières antiprojections, blouses…La plateforme ProxiProtection, initiée par l’U2P et soutenue par la Direction Générale des Entreprises du Ministère de l’Économie et des Finances, est le fruit d’un partenariat avec la société Paris Fashion Shops, chargée de l’approvisionnement, de la vente et de la livraison du matériel, dans le respect des normes sanitaires en vigueur.Une cellule d’accompagnement psychologiqueEn parallèle, l’U2P et ses organisations membres mettent en place le 20 mai une plateforme d’écoute et d’accompagnement psychologique des chefs d’entreprise de proximité grâce à un numéro national d’appel gratuit : le 09.85.607.727, ouvert 7 jours sur 7 de 8h à 20h.Pour répondre à l’inquiétude et parfois la grande détresse causées par la crise actuelle, l’U2P a cherché les moyens de rompre l’isolement des chefs d’entreprise, en leur permettant de libérer leur parole et d’évoquer leurs difficultés avec des professionnels de confiance.Ce numéro d’appel gratuit permet d’entrer en dialogue avec l’un(e) des trente psychologues mis à disposition. Sa mise en place est rendue possible par l’UNAPL et ses deux fédérations membres représentant les psychologues, le Groupement syndical des praticiens de la psychologie, psychothérapie, psychanalyse en libéral (PSY’G) et le Syndicat national des psychologues (SNP), ainsi que par le cabinet de psychologues en ligne BeMyPsy.« Protéger les artisans, les commerçants et les professionnels libéraux est une priorité, affirme le président de l’U2P Alain Griset. La proximité et au cœur de leur métier et les Français en auront plus que jamais besoin. Il faut leur donner les moyens de reprendre leur activité sans compromis pour leur santé, celle de leurs salariés ou celle de leurs clients et patients. Au-delà, il faut également prêter une attention toute particulière à leur santé psychologique, car les difficultés de ces dernières semaines font peser un risque d’isolement croissant sur les chefs d’entreprise, qui voient leurs responsabilités s’alourdir et leur visibilité sur l’avenir se réduire. »
Il y a 5 ans et 27 jours

Webinaire "Durabilité et Recyclage des Solutions Rockwool" les 4 & 10 juin 2020

Un meilleur traitement des déchets issus des activités du secteur du bâtiment est aujourd’hui primordial. Engagé dans cette lutte, ROCKWOOL, leader de la production d’isolants en laine de roche, souhaite partager ses solutions en invitant les acteurs du bâtiment à découvrir comment mener à bien un chantier d’isolation de manière productive, durable et écologique. Rendez-vous les 4 et 10 juin prochains pour un webinaire special “Durabilité et Recyclage des Solutions Rockwool” !Dans le souci de répondre constamment aux besoins de la rénovation et de la construction neuve, le secteur du bâtiment consomme une quantité de ressources considérable. Résultat : une production annuelle de plus de 40 millions de tonnes de déchets. Pour autant, ce secteur constitue bien l’un des piliers des enjeux du développement durable et de la lutte contre le réchauffement climatique. Dès lors, quelles solutions sont mises à la disposition de ses acteurs pour assurer une meilleure gestion des déchets sur les chantiers ? Déjà sensible à ces enjeux, notamment à travers son programme de recyclage des déchets de chantiers ROCKCYCLE et animé par une volonté de transfert des connaissances, ROCKWOOL invite l’ensemble des acteurs du bâtiment souhaitant faire rimer leurs chantiers avec durabilité et écologie à participer à deux webinaires autour du thème « Durabilité et Recyclage des Solutions Rockwool », animé par Colas Lévêque, Responsable Prescription Nationale chez ROCKWOOL. Au programme, 2 sessions de 45 minutes vous attendent :Jeudi 4 juin à 11hMercredi 10 juin à 11hLors de ce webinaire vous découvrirez : Comment les isolants ROCKWOOL en laine de roche assurent une plus grande pérennité de l’ouvrage Comment les solutions ROCKWOOL contribuent à lutter contre le changement climatique, développer l’économie circulaire et assurer le bien-être des occupants Les services de recyclage de déchets proposés par ROCKWOOLPour s’inscrire, rien de plus facile, cliquez ici
Il y a 5 ans et 27 jours

EOL Retail requalifie une friche commerciale au Mans

Après le départ il y a 2 ans de la jardinerie TRUFFAUT implantée à proximité du centre commercial Carrefour Centre Sud, la présence d'une friche au cœur de ce secteur économique du sud du Mans était redoutée.L'enseigne nationale, assistée de l'équipe montage et développement d'EOL RETAIL a donc étudié différentes hypothèses de requalification de cet ensemble immobilier situé à un emplacement stratégique sur un foncier de 7 000 m². Des pistes ont été travaillées avec des enseignes spécialisées et différents opérateurs immobiliers.Un bâtiment durableLe choix s'est porté sur la candidature du groupe L.A FOIR'FOUILLE. Présente depuis 2004 dans la ZAC de Vauguyon, avec un magasin de 1 500 m², l'enseigne nationale spécialiste de l'équipement de la maison à petits prix, souhaitait agrandir sa surface de vente. Actuellement locataire, l'enseigne deviendra propriétaire d'un futur bâtiment répondant à tous les critères environnementaux. Une fois rasée, l'ancienne jardinerie fera place à un local commercial entièrement neuf d'une surface de 2 800 m². Le futur site répondra à tous les critères environnementaux avec notamment l'installation de panneaux solaires.Emmanuel CLOËREC, Directeur associé d'EOL souligne : « Chez EOL, nous sommes convaincus que l'obsolescence n'est pas une fatalité mais un gisement de valeurs ».Le groupe AXTOM, société spécialisée dans le développement, la conception et la promotion d'opérations immobilières a été sélectionnée afin de mener à bien cette opération. La livraison du nouveau magasin est envisagée pour le dernier trimestre 2020.Cette réalisation vient compléter la revalorisation actuellement en cours du centre commercial mitoyen “Centre Sud” par Constructa Asset Management filiale du Groupe Constructa spécialisée dans la valorisation & la gestion d'actifs immobiliers. L'acquisition en 2018 des 13 500 m² du centre commercial « Centre Sud » dédié au commerce de proximité a pour objectif de repositionner l'espace commercial dans sa zone de chalandise.
Il y a 5 ans et 27 jours

Vinci gagne un contrat à 120 millions d'euros pour le Grand Paris Express

"Les travaux, d'un montant total de 120 millions d'euros, consistent à fournir et poser la voie ferrée", ainsi que mettre en place plusieurs équipements comme des passerelles sur "un tronçon de 16,5 km en tunnel", détaille Vinci dans un communiqué."Ce tronçon est situé entre la future station Pont de Sèvres et la future gare Les Ardoines à l'est de Vitry-sur-Seine", précise le groupe, ajoutant que les travaux dureront plus de cinq ans à partir de la mi-2021.
Il y a 5 ans et 27 jours

Une pompe alimentée par l'énergie solaire pour l'approvisionnement en eau des régions éloignées

Vers les grandes tendances d'avenirLa demande en eau augmente dans le monde entier et le changement climatique impacte principalement les réserves d'eau douce. Pour faire face à la croissance démographique continue, l'urbanisation galopante, les besoins croissants de l'agriculture et l'augmentation de la pollution de l'eau nécessitent des solutions rapides et fiables. Dans de nombreux pays, les sécheresses et les pénuries d'eau font souffrir les populations touchées et constituent une menace pour l'agriculture.« L'eau souterraine est une importante source d'approvisionnement en eau. Elle peut être pompée dans des puits à l'aide de pompes immergées », déclare Roman Zielinski, chef de produits chez Wilo. « Toutefois, dans les zones éloignées, une alimentation électrique stable est habituellement rare car il n'y a souvent pas de réseau électrique ou alors très instable. Nous avons adapté une méthode alternative nous permettant de produire l'énergie localement de manière fiable et de l'utiliser pour l'approvisionnement en eau. ». La Wilo-Actun OPTI-MS est une pompe alimentée en électricité à partir de l'énergie solaire, gratuitement et facilement accessible sans nécessité d'infrastructures telles que des câbles électriques ou de routes pour le transport de combustibles.L'approvisionnement en eau autonome dans les régions éloignéesLa Wilo-Actun OPTI-MS est conçue pour être utilisée en combinaison avec des installations photovoltaïques afin de former un système d'approvisionnement en eau autonome. Elle convient pour l'irrigation agricole et l'élevage. Le convertisseur de fréquence intégré rend possible à la fois l'utilisation de l'énergie solaire et le raccordement à une alimentation secteur en courant alternatif. Cette dernière peut être considérée comme une « solution de secours » lorsqu'il n'y a pas d'énergie solaire mais que l'eau doit continuer à être pompée pendant une durée limitée en cas de besoin exceptionnel. L'Actun OPTI-MS garantit un débit d'eau optimal grâce à ses rendements moteur et hydraulique élevés et à un algorithme MPPT (Maximum Power Point Tracking) dynamique : « La quantité d'énergie que le panneau solaire peut fournir dépend du soleil - le potentiel de performance respectif dépend de l'emplacement, de l'heure et de la météo », explique Roman Zielinski. « Le microprocesseur intégré calcule le rapport optimal entre le courant électrique et la tension en utilisant l'algorithme MPPT, afin de demander la plus grande quantité d'énergie. Le résultat obtenu offre une vitesse plus élevée et donc une plus grande quantité d'eau pompée. »Fonctionnement de la pompe par commande à distanceLe système de pompe requis, y compris la configuration du panneau solaire, peut être déterminé à l'aide d'un logiciel de configuration en ligne sophistiqué. Le logiciel peut fournir des prévisions précises concernant le débit d'eau moyen attendu en fonction des informations relatives à l'emplacement, la durée de fonctionnement et l'installation. Cela permet d'éviter le surdimensionnement et de réduire les coûts associés. L'Actun OPTI-MS peut être surveillée et commandée à distance par une application. « Ainsi, le fonctionnement de la pompe peut même être contrôlé sur de grandes distances à l'aide d'un smartphone. Si, par exemple, je décide que mon champ de céréales ne doit pas être irrigué aujourd'hui, je n'ai pas besoin de me rendre à la station de pompage pour modifier les réglages », déclare le chef de produit. « Si quelque chose change dans l'état de fonctionnement de la pompe, un message est envoyé sur le smartphone de l'opérateur afin que les contre-mesures correspondantes puissent être déclenchées. »L'utilisation de matériaux de grande qualité garantit une longue durée de vie de la pompe immergée. Tous les composants essentiels, tels que le carter moteur, les roues et les aubes directrices des pompes sont entièrement fabriqués en acier inoxydable. Le moteur encapsulé et le convertisseur de fréquence scellé avec de la résine soulignent le fait que Wilo a également mis l'accent sur la durabilité lors de la conception. Les fonctions de protection intégrées à la pompe lui évitent tous dommages dus au fonctionnement à sec, aux températures excessives et aux variations irrégulières des paramètres électriques. Le convertisseur de fréquence intégré étant déjà parfaitement adapté au système, aucun paramétrage complexe n'est nécessaire. L'installation électrique se limite donc au raccordement de la pompe et du système solaire.
Il y a 5 ans et 28 jours

Les entreprises vont payer 15% du chômage partiel à partir de juin

Dans un communiqué lundi soir, le ministère du Travail a annoncé que la prise en charge de l'activité partielle par l'État et l'Unédic passerait de 100 à 85% de l'indemnité versée au salarié, dans la limite inchangée de 4,5 Smic.Si les organisations d'employeurs avaient réclamé le maintien à 100% pendant l'été, elles pourraient cependant se satisfaire de cette évolution présentée comme "raisonnable" lundi matin par le ministre de l'Économie Bruno Le Maire, d'autant que le communiqué ne parle pas de réductions ultérieures.Cette modification ne change rien pour le salarié qui continuera lui à percevoir 70% de sa rémunération brute (soit 84% du net et davantage si l'entreprise complète) et au minimum le Smic net.La mesure sera mise en œuvre par décret, après l'adoption d'un projet de loi en cours d'examen au Parlement qui permettra notamment une modulation du dispositif selon les secteurs d'activité.Les secteurs "faisant l'objet de restrictions législatives ou réglementaires particulières en raison de la crise sanitaire", comme le tourisme, la culture ou la restauration, continueront à bénéficier d'une prise en charge à 100%.Cela permet "d'encourager la reprise d'activité dans les secteurs qui ne subissent plus de contraintes à la reprise, tout en préservant les secteurs qui demeurent fermés ou très impactés", juge le ministère."Nous avions plaidé pour un chômage partiel au moins jusqu'à la rentrée car les entreprises n'auront pas retrouvé une activité normale d'ici là", a rappelé le Medef lundi soir dans réaction écrite adressée à l'AFP.Pour le mouvement patronal, "l'important, c'est que le chômage partiel ne se transforme pas en chômage tout court, donc il faut sortir du champ de la dégressivité les secteurs connexes aux secteurs fermés. Nous attendons les propositions du gouvernement sur ce point".La nouvelle d'une moindre prise en charge du chômage partiel par la puissance publique était guettée depuis plusieurs jours, car le gouvernement a fait du recours massif à ce dispositif la clé de voûte de sa politique pour éviter les licenciements dans la foulée du confinement.Dans ce but, il avait adopté "le régime le plus protecteur d'Europe" selon la ministre du Travail Muriel Pénicaud, avec cette prise en charge intégrale et élargie à quasiment toutes les catégories de salariés, ce qui avait été salué par patronat et syndicats.Un dispositif massivement utiliséSelon une estimation du ministère, environ 8,6 millions de salariés auraient été ainsi effectivement placés en avril en activité partielle.Conséquence de ce choix, la France a pour l'instant connu peu de licenciements, les réductions d'effectifs passant essentiellement par le non-renouvellement de CDD et de missions d'intérim.Mais, avec le déconfinement, le gouvernement jugeait que ce remboursement intégral aux employeurs pouvait freiner la reprise en incitant les employeurs à ne pas reprendre leur activité tant que celle-ci ne serait pas jugée assez rentable.En outre, le coût du dispositif, réparti entre deux tiers pour l'État et un tiers pour l'Unédic, devenait colossal: il a été évalué à 24 milliards d'euros sur trois mois, de mars à mai.Avec aussi une fraude semble-t-il plus importante que prévu, poussant le gouvernement à annoncer un renforcement des contrôles. Selon une enquête réalisée auprès de représentants de salariés par le cabinet Technologia, "24% des employés en chômage partiel total auraient été amenés à poursuivre leur activité à la demande de l'employeur".En face, le patronat jugeait une modification du dispositif prématurée au vu de la fragilité des entreprises."Commencer à diminuer le niveau de prise en charge le 1er juin serait une erreur majeure parce que les entreprises tourneront encore à un rythme faible", avait averti le président du Medef, Geoffroy Roux de Bézieux.En cas de réduction de la prise en charge, "il faudra s'attendre, c'est inévitable, à ce que les entreprises commencent à licencier économiquement", avait mis en garde de son côté François Asselin, président de la Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME).
Il y a 5 ans et 28 jours

Guerre ouverte entre notaires et agents immobiliers

Le Conseil supérieur du notariat (CSN), l'instance qui représente les notaires au niveau national, a annoncé lundi qu'il attaquait en justice la Fnaim, première organisation d'agents immobiliers en France.En cause? Une question d'image. La Fnaim propose aux agents d'afficher dans leur boutique un logo qui doit témoigner de leur statut officiel. Le notariat l'accuse d'avoir copié la plaque affichée par les notaires à l'entrée de leur office.Les images sont proches en effet, et mettent chacune en scène une figure féminine, même s'il s'agit d'une personnification de la République dans le cas des notaires et d'une déesse romaine, Vesta, du côté des agents.C'est la voie vers des "pratiques commerciales trompeuses", selon le notariat qui met en garde, dans un communiqué, contre un risque de "confusion" entre deux professions au coeur de l'immobilier.Les agents servent d'intermédiaires entre vendeurs et acheteurs, tandis que les notaires jouent un rôle crucial en authentifiant les transactions.Le client risque-t-il de confondre un agent, activité à but purement lucratif, et un notaire, en partie garant d'un service public?"Il n'en est rien", assure à l'AFP Jean-Marc Torrollion, président de la Fnaim, revendiquant un logo "très clairement différent".Cette action en justice témoigne "d'une très grande fébrilité" du notariat, contre-attaque-t-il. "Quand on en est réduit à ça, on a quand même un petit problème existentiel. Que craignent-ils? Leur légitimité ne vient pas de leur logo.""C'est une profession qui est aujourd'hui sur la défensive", avance-t-il, accusant le notariat de ne pas avoir "su gérer correctement la période du confinement"."Indigne"Car le conflit est plus profond qu'une querelle de logo: les deux organisations sont en guerre plus ou moins ouverte depuis le début du confinement décrété mi-mars en France contre la propagation du coronavirus.Dès les premiers jours, la Fnaim a reproché aux notaires d'être nombreux à fermer leurs études et à ne plus authentifier les opérations immobilières, étape essentielle pour les mener à bien et permettre aux professionnels d'être payés.Le gouvernement a tenté de résoudre le conflit en servant d'intermédiaire. Rapidement, il a pris un décret pour faciliter la signature virtuelle de documents auprès de notaires.Mais la mesure, difficile à généraliser techniquement, n'a guère débloqué la situation.Elle n'a pas non plus empêché le notariat de s'attaquer à son tour publiquement à la Fnaim début avril, reprochant à celle-ci des "chiffres fantaisistes et trompeurs" sur le nombre de projets immobiliers bloqués.Le président du CSN, Jean-François Humbert, accusait au passage la Fnaim de ne représenter qu'une "petite partie des agences". Le monde des agents n'a, certes, pas présenté un front uni: une autre organisation, la SNPI, s'est désolidarisée de la Fnaim qui revendique quelque 12.000 adhérents.Depuis, les deux professions n'ont guère donné de signe de rapprochement malgré certaines initiatives locales, comme en Île-de-France où agents et notaires, ainsi qu'architectes et promoteurs immobiliers, se sont réunis début mai pour proposer des solutions communes à la crise économique.Alors même que le confinement est levé depuis deux semaines et que les acteurs du marché immobilier font état d'une reprise de l'activité, l'action en justice du notariat laisse difficilement entrevoir une accalmie.M. Torrollion a une attitude "indigne", passant du "dénigrement pendant la crise" à la "copie trompeuse", accusait encore lundi sur Twitter M. Humbert, en appelant au ministre du Logement, Julien Denormandie.Interrogé par l'AFP sur le conflit, le ministère n'a pas répondu dans l'immédiat.
Il y a 5 ans et 28 jours

Le salon Artibat est reporté aux 13, 14 et 15 octobre 2021

Alors que le salon ARTIBAT était quasiment complet au mois de mars (+ de 800 exposants pour 40 000 visiteurs attendus), l'élan et l'énergie déployés par tous pour que cette édition soit exceptionnelle, ont été freinés net par la pandémie mondiale actuelle.Cette décision de report d'une année a été motivée avant tout par les retours des exposants inquiets de la tenue du salon dans un contexte économique compliqué et par les dispositions sanitaires qui devraient très certainement continuer à s'appliquer au mois d'octobre. Conditions sanitaires indispensables et nécessaires mais qui semblent trop contraignantes pour envisager sereinement un Salon ARTIBAT, basé sur l'échange, la proximité et la convivialité. Une recette qui a fait ses preuves depuis 32 ans déjà.Valérie Sfartz, Directrice du Salon ARTIBAT, précise : « Cette décision nous a semblé indispensable à prendre compte-tenu du contexte d'incertitude face à la reprise économique de l'ensemble de notre secteur d'activité comme aux conditions sanitaires à mettre en œuvre pour garantir la sécurité de tous. Nous avons également acté ce report dès à présent afin de permettre aux différents acteurs du salon (exposants et prestataires) de reporter leurs investissements pour la prochaine édition d'ARTIBAT.» Et de conclure : « Nous remercions tous nos exposants, nos partenaires presse, nos prestataires, les institutionnels et le Parc des Expositions de Rennes pour leur compréhension et leur soutien dans ce report. Nous aurons le plaisir de nous retrouver les 13, 14 et 15 octobre 2021 à Rennes, dans de meilleures circonstances, pour recharger les carnets de commande et vivre le salon ARTIBAT comme ce moment privilégié attendu de rencontres, de business et d'échanges. D'ici là, prenez bien soin de vous et bonne reprise à tous.»
Il y a 5 ans et 28 jours

Le marché du logement va évaluer les dégâts du coronavirus

Les notaires donneront jeudi leurs chiffres, établis avec l'Insee, sur le nombre de ventes de logements anciens en France et l'évolution de leurs prix au premier trimestre.Ces chiffres commenceront à dessiner l'ampleur d'une paralysie probablement jamais vue de l'immobilier français. Après des années de hausse incessante des prix, le marché s'est heurté au strict confinement décrété entre la mi-mars et le début mai pour éviter la propagation du coronavirus.Alors que plus d'un million de ventes avaient été conclues l'an dernier, il a été impossible pendant presque deux mois de visiter un logement et très difficile d'achever une transaction, même si le gouvernement a facilité les signatures virtuelles auprès des notaires.Mais désormais "il y a une véritable envie, une véritable confiance des Français dans leur projet immobilier", assurait la semaine dernière Julien Denormandie, ministre du Logement, sur Sud Radio. "Depuis la sortie du confinement", le 11 mai, "énormément de Français sont retournés dans les agences immobilières."C'est ce que rapportent aussi plusieurs acteurs, comme le réseau Century 21 ou la Fnaim, première organisation du secteur: les clients sont revenus en masse et n'ont, globalement, pas renoncé à leurs projets."On est rassuré sur le fait qu'il y a de l'activité", résumait mi-mai Jean-Marc Torrollion, président de la Fnaim, sur Europe 1. "Notre crainte naturellement c'est de savoir si elle va durer dans le temps."Optimistes et pessimistesSimple rattrapage ou reprise durable ? C'est la grande question et les chiffres des notaires, jeudi, seront bien trop obsolètes pour y répondre. Clos fin mars, ils ne couvrent même pas toute la période du confinement.Le secteur ne peut donc s'attendre qu'à plusieurs mois de spéculations et de chiffres parcellaires selon les acteurs, dont les opinions gravitent entre deux grandes tendances.Pour certains, la crise ne changera rien à la demande de logements, en particulier dans de grandes villes comme Paris où l'offre est insuffisante. Il est donc illusoire de craindre ou d'espérer un recul des prix.De nombreux acteurs estiment néanmoins que l'immobilier, malgré sa réputation de valeur refuge, ne pourra échapper aux conséquences d'une crise économique qui s'annonce majeure.L'attitude des banques en particulier s'annonce cruciale. A quel point limiteront-elles les prêts immobiliers alors que ces derniers étaient en plein essor depuis des années, contribuant à soutenir la demande et faire monter les prix?Les réponses ne viendront pas avant des mois car, même si la reprise ressentie par les agents se traduit finalement en chiffres, ce rebond risquera lui-même d'être en trompe-l'oeil."Il y a des gens qui sont obligés d'avancer dans leur projet immobilier, c'est ce à quoi on assiste", avance auprès de l'AFP Thomas Lefebvre, directeur scientifique du site MeilleursAgents, qui rassemble des données recueillies auprès d'une bonne partie des agents français. "Est ce que ça va être durable? Ca, on va plutôt le voir à partir de septembre."Reste le cas particulier du logement neuf, dont les enjeux sont cruciaux pour l'ensemble du marché car une chute de la construction alimenterait un manque durable de logements, une situation favorable à la hausse des prix.Cet effondrement ne fait guère de doute, le confinement ayant mis à l'arrêt de nombreux chantiers et gelé l'examen des permis.Prévus vendredi pour la période comprise entre février et avril, des chiffres auraient dû en donner une idée, mais le ministère du Logement a annoncé mardi à l'AFP qu'ils étaient reportés sans nouvelle date, en raison des difficultés à établir des statistiques dans la période actuelle.
Il y a 5 ans et 28 jours

Les permis de construire de logements en nette hausse juste avant la crise sanitaire

Entre décembre et février, le nombre de permis de construire, qui donnent une idée du niveau de la construction à venir, s'est établi à 114.400, soit une hausse de 13,2% par rapport à un an plus tôt, selon le ministère de la Cohésion des Territoires, dont dépend le logement.En revanche, les mises en chantier, c'est-à-dire les logements dont la construction a commencé dans les faits, ont reculé de 3,3% à 106.900.C'est la première fois que le ministère diffuse des chiffres sur la construction de logements depuis le strict confinement imposé entre mi-mars et début mai face au coronavirus. Habituellement mensuelle, leur publication avait été interrompue.Des chiffres plus actuels étaient attendus vendredi, pour la période comprise entre février et avril, mais le ministère du Logement a annoncé mardi à l'AFP qu'ils étaient reportés sans nouvelle date.En tout état de cause, les chiffres diffusés mardi sont déjà "une bonne nouvelle", a estimé dans un communiqué Julien Denormandie, ministre du Logement. "Ils montrent, qu'avant la crise du Covid-19, la dynamique de construction de logements (...) était enclenchée".La construction de logements s'inscrivait en baisse depuis deux ans, mais donnait en effet déjà des signes de rebond depuis la fin 2019.
Il y a 5 ans et 28 jours

Des pêcheurs manifestent en baie de Saint-Brieuc contre un projet de parc éolien

"Ça s'est passé dans le calme, comme on l'avait demandé", a déclaré à l'AFP Alain Coudray, président du comité des pêches des Côtes d'Armor, qui estime qu'il y avait entre 50 et 70 bateaux sur zone.La préfecture maritime de l'Atlantique a pour sa part comptabilisé 60 navires "au plus fort" et appelé "au calme et au respect de l'ordre public en mer".Deux navires de la marine nationale ainsi qu'un patrouilleur et une vedette de la gendarmerie avaient été dépêchés sur place.Des bateaux de pêche sont entrés dans la zone interdite par arrêté préfectoral mais il n'y a pas eu de verbalisation, selon la préfecture maritime.Les pêcheurs manifestaient contre le lancement d'une campagne de sondages géophysiques et de détections pyrotechniques menés par le Réseau de Transport d'électricité (RTE) en vue de la construction du parc éolien en mer de Saint-Brieuc."Ils sont venus faire ces études sans aucune concertation de la profession.Quand ils feront une concertation, après, on verra", a lancé M. Coudray."Nous restons ouverts au dialogue avec les pêcheurs", a souligné RTE auprès de l'AFP. "Nous entendons leurs préoccupations et nous avons tout mis en oeuvre pour y répondre", a-t-on ajouté de même source.Une réunion s'est ensuite tenue avec des représentants de l’État, des pêcheurs et les porteurs du projet de parc éolien.Le parc éolien en mer de Saint-Brieuc doit être érigé à 16,3 kilomètres au large des côtes bretonnes. D'une capacité totale de 496 MW, avec 62 éoliennes, il est censé produire 1.820 GWh par an, l'équivalent de la consommation électrique annuelle de 835.000 habitants, selon son promoteur, Ailes Marines, filiale de l'espagnol Iberdrola.Le parc éolien doit être opérationnel en 2023.
Il y a 5 ans et 28 jours

Point.P dévoile son nouveau catalogue professionnel 2 en 1

Avec plus de 25 000 références, dont de nombreuses nouveautés produits, ce catalogue diffusé à 365 000 exemplaires à travers toute la France reste l'outil incontournable pour les acteurs du BTP. A l'image des engagements de l'enseigne, il a pour objectif de simplifier la vie et de faire gagner du temps au professionnel.Toute l'offre de matériaux, outillage et consommables en un seul outilLes métiers du BTP sont de moins en moins segmentés, c'est pourquoi les professionnels ont souvent besoin de s'équiper en matériaux de construction ainsi qu'en outillage, sans distinction. Afin de faciliter leurs recherches, POINT.P a choisi de réunir son offre de matériaux, d'outillage et de consommables en un seul et même support. Ainsi, qu'il soit maçon, plaquiste ou encore électricien, le professionnel, quelque soit son corps de métier, trouvera rapidement et simplement le produit qu'il recherche dans ce catalogue simple, clair et fonctionnel. Les deux sens de lecture (l'un pour les matériaux, l'autre pour l'outillage et les consommables) lui permettront en un geste de se diriger vers l'offre la plus adaptée à ses besoins. De plus, chaque offre dispose d'un index spécifique pour aider le professionnel à sélectionner rapidement le ou les produits souhaités.Pour répondre aux spécificités de chaque région, le catalogue 2020 Matériaux, Outillage & Consommables de POINT.P se décline en 10 versions régionales. Pour chacune, la partie Matériaux regroupe en moyenne 5 000 références dans 11 univers : Gros œuvre, Façade ITE, Assainissement, VRD-TP, Bois et Panneaux, Couverture, Systèmes plaque et plâtre, Isolation, Plafond, Menuiseries intérieures & extérieures et Revêtements sol & mur.La partie Outillage répertorie quant à elle 6 000 références d'outillage réparties en 8 univers : Connectivité-Electricité-Ventilation, Electro & Consommables, Matériel de chantier, Protection individuelle, Outillage manuel, Fixation-Quincaillerie, Plomberie-Sanitaire et Mastic-Peinture-Droguerie.POINT.P propose une offre très large de références pour tous les professionnels, puisqu'au total sur l'ensemble du territoire, ce sont plus de 25 000 produits, dont de nombreuses nouveautés, qui sont référencés dans l'édition 2020 de son catalogue, et 100 000 sur le site pointp.fr.Un catalogue pense au service du professionnelLe nouveau catalogue 2 en 1 a été entièrement repensé pour correspondre au mieux aux attentes de l'artisan. Au travers de cet outil, l'enseigne s'engage à simplifier la vie du professionnel et à lui faire gagner du temps.Dans cette optique, le catalogue intègre notamment un nouveau service client permettant au professionnel d'entrer directement en contact par SMS avec leur agence POINT.P. Celle-ci peut ainsi répondre immédiatement et à tout moment au besoin du client (informations horaires, disponibilité produits…). Pour cela, un listing des agences disposant de ce service est disponible en fin de catalogue, avec le numéro de téléphone portable renseigné en face de chaque agence concernée.Toujours dans une démarche de simplification et de gain de temps pour le professionnel, l'intégralité des références sont accompagnées d'un code-barre pour accéder à la fiche produit associée sur pointp.fr ainsi qu'aux informations de stocks et de disponibilité dans son agence. Cela permet au professionnel de passer commande depuis son téléphone en direct du chantier, puis de venir retirer rapidement son produit dans l'une des 800 agences POINT.P ou de se faire livrer.De plus, pour aider le professionnel à faire le meilleur choix au meilleur prix, les produits offrant le meilleur rapport qualité/prix de chaque marque de distributeur POINT.P (Cada, Ultibat, Deltapro, Arte, Novipro) sont mis en avant, avec une offre personnalisée pour chaque région.Enfin, dès les premières pages, les nombreux services que propose l'enseigne sont présentés, avec notamment :Le programme Génération Artisans et ses services et logiciels pour aider l'artisan au quotidien (Solu+, Tolteck, Renoprim+ Direct, CapRenov+, Objectif RGE, La Maison Saint-Gobain, Studio GA, Dynabuy,...).Les engagements livraison sur chantier avec suivi en temps réel par SMS.La possibilité d'ouvrir un compte en quelques minutes et de bénéficier du paiement à crédit.Les engagements de la marque POINT.P permettant à tous les clients de gagner du temps et de leur simplifier la vie. Une démarche environnementale forteLa volonté de POINT.P de regrouper l'ensemble de ses références en un seul catalogue s'inscrit également dans une démarche de protection de l'environnement. Ce catalogue unique permet en effet de répondre aux enjeux de réduction des déchets papiers. Fabriqué à partir de papier recyclé, il est distribué dans les agences de l'enseigne en 365 000 exemplaires seulement, soit environ 40 % de moins qu'en 2019, afin de correspondre au plus près des besoins sur le terrain et éviter le gaspillage.
Il y a 5 ans et 28 jours

Rabot Dutilleul Construction assure une reprise progressive de ses chantiers en toute sécurité

Une décision qui a pour objectif de soutenir l'activité de l'entreprise en cette période difficile. La nouvelle gouvernance de l'entreprise, qui prendra ses fonctions à compter du 17 avril aura également à cœur de relever les défis d'aujourd'hui et répondre aux enjeux de demain.Redémarrer rapidement au moins un chantier par Région d'implantationC'est l'objectif que s'est fixé Rabot Dutilleul Construction pour cette reprise progressive de l'activité. Sont ainsi concernés les chantiers des Grands Moulins de Paris et de Jean Macé dans les Hauts-de-France ; la réhabilitation en logements des anciens hôpitaux Villemin Maringer Fournier à Nancy, le CROUS de Strasbourg, un EHPAD et un service de soins à domicile à Moyenmoutier (88) dans le Grand Est ; ainsi qu'un chantier de logements à Massy en Ile-de-France. L'Ile-de-France où Rabot Dutilleul Construction a par ailleurs assuré vendredi dernier la livraison du nouveau plateau médico-chirurgical de l'hôpital Henri Mondor qui compte notamment un service de réanimation d'une capacité de 55 chambres, ainsi qu'un service dédié aux soins critiques avec 30 chambres de surveillance continue.« Je tiens ici à saluer l'engagement de l'équipe du chantier de l'hôpital Henri Mondor qui a montré un grand professionnalisme et a travaillé 7j/7 pour pouvoir mettre à disposition des chambres pour les patients atteints de Covid-19 », déclare Frank Fessenmayer, Directeur régional de Rabot Dutilleul Construction en Ile-de-France.Une reprise dans le respect des conditions sanitairesLa sécurité des compagnons et de l'encadrement des chantiers est une priorité pour Rabot Dutilleul Construction qui a adopté des mesures de prévention afin de protéger la santé des collaborateurs et de les inciter à veiller sur leur santé, leur sécurité et celle de leur entourage. Un guide interne « Covid RDC » basé sur le guide de l'OPPBTP, a ainsi été diffusé auprès de toutes les équipes: port du masque, de gants, mise à disposition de gel hydroalcoolique, nettoyage des équipements,… sont autant de mesures à mettre en œuvre pour assurer une reprise des chantiers en toute sécurité. Des postes de « Chargé de Prévention Covid » ont également été créés au sein de l'entreprise pour garantir la sécurité sanitaire des personnels présents et entrants sur chaque chantier. Nomination d'une nouvelle gouvernanceA compter du 17 avril 2020, une nouvelle gouvernance sera mise en place chez Rabot Dutilleul Construction pour prendre en main l'entreprise dans la période critique, organiser la reprise et poursuivre le déploiement de la stratégie engagée. Frédéric STERNHEIM est nommé Président de Rabot Dutilleul Construction. Patrick ADAM prend la direction générale de Rabot Dutilleul Construction et remplace Thierry GEFFROY. Arnaud MERVEILLE est nommé Directeur Administratif et Financier de Rabot Dutilleul Construction.Cette équipe de tête apporte toutes ses compétences à l'entreprise pour poursuivre sa transformation en cohérence avec le plan stratégique « Demain 2025 ». En cette période particulière, elle s'attachera également à mettre en œuvre toutes les solutions permettant de passer cette crise en assurant la reprise des chantiers, le pilotage actif de la trésorerie, mais aussi en réfléchissant à de nouveaux modèles. Pour cela, Rabot Dutilleul Construction peut s'appuyer sur son savoir-faire et ses compétences centenaires, des technologies performantes, des collaborateurs engagés et un carnet de commandes solide de 400 millions d'euros en construction en France.
Il y a 5 ans et 28 jours

BDR Thermea Group devient pionnier de la production d'hydrogène vert avec un centre R&D en Italie

Bassano del Grappa, lieu d'autoproduction d'hydrogène vert Bassano del Grappa, en Italie, est le site de la plus grande usine de production de BDR Thermea. Depuis 2018, le groupe produit sa propre électricité à Bassano del Grappa grâce à 6 000 m² de panneaux solaires sur le toit de son usine. Cette électricité alimente déjà la production d'environ 4 000 chaudières par jour, évitant ainsi le rejet de plus de 400 tonnes de CO² par an.Aujourd'hui, un équipement d'électrolyse a été installé à Bassano en Italie. Il transforme l'électricité de ses panneaux photovoltaïques en hydrogène. Cet hydrogène sera utilisé pour tester et piloter le développement de prototypes de mélange 100% hydrogène et hydrogène/gaz naturel dans le centre de R&D dédié à la technologie des chaudières à hydrogène pour tout le groupe.« Permettre la transition énergétique mondiale est la force motrice de BDR Thermea Group. L'autoproduction d'hydrogène vert de Bassano en est un autre exemple concret. Nous avons créé une chaîne énergétique durable complète : nous produisons de l'électricité solaire, nous l'utilisons pour transformer l'eau en hydrogène par électrolyse, puis nous utilisons cet hydrogène pour alimenter nos nouvelles innovations dans nos chaudières d'essai à hydrogène », déclare Peter Snel, directeur technique de BDR Thermea Group.BDR Thermea Group à la pointe de la technologie des chaudières à hydrogène L'intérêt pour l'hydrogène dans les appareils de chauffage domestique est en forte croissance dans l'UE, où 40% de la consommation d'énergie primaire est utilisée pour le confort thermique et l'eau chaude sanitaire. L'hydrogène peut être stocké pendant de plus longues périodes pour pallier les fluctuations saisonnières.Depuis juin 2019, BDR Thermea Group pilote la première application réelle de sa chaudière à hydrogène à haut rendement et à 100%, conçue et développée à Bassano del Grappa en Italie ainsi qu'à Rozenburg aux Pays-Bas. En novembre dernier, le groupe est devenu la première entreprise en Europe à recevoir la certification pour l'utilisation d'un mélange d'hydrogène dans les chaudières domestiques aux Pays-Bas. De plus, la société participe au programme britannique Hy4Heat et explore activement des projets pilotes sur l'hydrogène partout en Europe.« Chez BDR Thermea Group, nous aidons à décarboner le chauffage et à permettre la transition vers des énergies durables. C'est pourquoi nous investissons considérablement dans des solutions telles que les chaudières à hydrogène et les pompes à chaleur », explique Bertrand Schmitt, PDG de BDR Thermea Group.
Il y a 5 ans et 29 jours

La France va devoir faire face à son tour aux faillites et licenciements

La crise du Covid-19 a mis un coup d'arrêt brutal à l'économie partout dans le monde. Et les conséquences ne se sont pas fait attendre dans certains pays.Exemple emblématique: les États-Unis où le taux de chômage a explosé, atteignant 14,7% en avril, contre 3,5% en février, soit son plus bas niveau depuis 50 ans. Au total, 38,6 millions de personnes ont demandé une allocation chômage depuis l'arrêt de l'économie mi-mars.En Amérique latine, 11,5 millions de personnes supplémentaires vont être au chômage en 2020, en raison de la pandémie, selon un récent rapport de deux agences onusiennes.La France semblait jusqu'à présent relativement épargnée. Le nombre de chômeurs a certes progressé de 7,1% sur un mois en mars, mais cela s'explique essentiellement par le non-renouvellement de CDD, missions d'intérim ou de reports/annulations d'embauches.Principal rempart de protection contre les vagues de licenciements: la prise en charge par l’État du chômage partiel, un dispositif dont 8,6 millions de salariés auraient bénéficié, selon une estimation du ministère du Travail."L’État n'a pas hésité à dépenser", il s'agit d'une "mesure très centrale du soutien à l'économie qui a permis de sauvegarder des emplois", a observé auprès de l'AFP Anne Eydoux, maîtresse de conférences d'économie au Cnam et membre des Économistes atterrés.Le gouvernement souhaite toutefois réduire progressivement à partir de juin ce dispositif de soutien au chômage partiel, une mesure à laquelle s'oppose notamment le Medef. De son côté, la Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME) demande d'attendre septembre avant une réduction "sensible" de la prise en charge, s’attendant à des licenciements.Le sort du pays va en effet se noircir: "Il y aura des faillites et il y aura des licenciements dans les mois qui viennent", a prévenu sur Europe 1 le ministre de l'Économie Bruno Le Maire.Entreprises "non profitables"Les faillites vont se produire "petit à petit", mais il est "extrêmement compliqué" d'anticiper précisément à quoi s'attendre, a indiqué à l'AFP Eric Heyer, directeur du département analyse et prévision de l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE). Selon lui, le nombre de disparitions d'entreprises dépendra notamment du retour ou non de la consommation et du soutien que le gouvernement proposera aux entreprises."La capacité de rebond de la demande est plus forte en France qu'ailleurs, puisque les ménages ont un revenu qui s'est mieux maintenu", grâce au chômage partiel, a relevé M. Heyer."La consommation va repartir dans certains secteurs qui pourront rattraper une partie du retard, mais pas dans d'autres où la facture va s'alourdir", a-t-il cependant expliqué.Le tourisme, l'hôtellerie et la restauration, encore à l'arrêt, sont particulièrement en danger, ainsi que certaines branches industrielles, telles que l'automobile et l'aéronautique, pour lesquelles le gouvernement doit présenter prochainement des plans de soutien spécifiques.Les petites entreprises sont menacées tout comme de grands fleurons français, à l'instar de Renault - qui "joue sa survie", selon les mots de Bruno Le Maire.Autre difficulté pour les sociétés: les mesures sanitaires entraînent des coûts supplémentaires et ralentissent la production. "Beaucoup d'entreprises - mais c'est très difficile à chiffrer aujourd'hui - vont devenir non profitables pour une durée que ni vous ni moi on sait estimer", a souligné lors d'une audition à l'Assemblée nationale le patron du Medef, Geoffroy Roux de Bézieux, prévoyant également des faillites.Face à ces difficultés qui se profilent, les syndicats sont déjà en alerte.La CFDT, qui s'attend à ce que la crise soit sévère, appelle notamment à une "mobilisation générale sur l'emploi". De son côté, FO réclame "un contrôle strict des procédures de suppressions d'emplois, afin d'empêcher les licenciements quand une entreprise a bénéficié ou bénéficie d'aides publiques en particulier".
Il y a 5 ans et 29 jours

Reprise des chantiers : quels surcoûts liés aux mesures sanitaires pour les artisans du bâtiment ?

Les enquêtes-flash réalisées chaque semaine par le GIE CERC auprès de 1416 entreprises du bâtiment confirment ce redémarrage. Cependant, même si la part des chantiers en activité « normale » est également en hausse en mai, cette activité n'est pas effective sur la totalité des chantiers. Pour autant, il ne faudrait pas occulter un point important qui risque de compromettre la reprise et met en péril nombre d'entreprises. Il s'agit de l'absorption des surcoûts car de nombreuses entreprises travaillent à perte aujourd'hui compte tenu du refus de nombre de clients, notamment particuliers, d'en tenir compte. Après deux mois d'arrêt ou de confinement, comment prendre le risque de perdre sa clientèle ? Cette problématique est particulièrement préoccupante pour les entreprises artisanales. Dans l'attente de son étude exhaustive sur le sujet, la CAPEB dévoile l'estimation des trois principaux postes de surcoûts : la coactivité, la désinfection et les équipements de protection.« Depuis le déconfinement, nous constatons une hausse du redémarrage de l'activité du BTP estimée entre 50% et 60% par rapport à la situation d'avant crise sanitaire. Et nous nous en réjouissons. Mais les retours terrain dont la CAPEB dispose vont tous dans le même sens : les surcoûts de la sécurité sanitaire. Les situations sont très différentes dans le neuf ou en rénovation, ce qui explique la fourchette de notre estimation. Les 3 grands postes de surcoûts sont : la coactivité qui est le plus important et qui peut atteindre dans certains cas 50% du surcoût total, la désinfection et dans une moindre mesure les équipements individuels et/ou collectif de protection. La « coactivité », englobant le transport, est le surcoût de production le plus lourd à supporter. La distanciation sanitaire oblige les équipes, les salariés et les métiers à intervenir successivement sur un chantier, ce qui allonge, de surcroit en site occupé, les délais de réalisation. Perdre des heures, perdre du temps, protéger efficacement ses salariés et ses clients augmentent les charges. Alors bien sûr, pour le moment les entreprises font face, mais pour combien de temps ? A ce titre, la désinfection est un enjeu essentiel pour rassurer les clients et notamment les particuliers en entretien-rénovation en site occupé. Ce surcoût est incompressible pour redonner la confiance. A la nécessaire réorganisation sanitaire des chantiers pour mettre en œuvre les gestes barrières, s'additionnent les difficultés d'approvisionnement et une charge administrative en hause liée au Covid-19. A ce stade, il est encore difficile de connaître avec certitude le montant exact de tous ces surcoûts mais nous pouvons d'ores et déjà affirmer que le retour de l'activité sur certains chantiers se fait à perte. Nous restons donc très attentifs à l'évolution de ces surcoûts qui, selon notre première estimation, varierait entre les différents types de marchés : entre 10 et 20% en entretien / rénovation et 10% dans le neuf. Cette situation est évidemment extrêmement préoccupante et pourrait conduire à de nombreuses défaillances d'entreprise si rien n'est fait. A moyen terme, l'expérience me dit que de nouvelles méthodes de travail, d'organisation, de phasage des chantiers seront à inventer ». - Patrick Liébus, président de la CAPEBEstimation des surcoûtsLa coactivité/productivité (allongement des délais, coordination, phasage complexe à organiser, location de nouveau moyen de transport ….) va engendrer un surcoût entre 4 et 10% du coût journalier. Ce poste peut représenter jusqu'à 50% du surcout sanaitaire total.Les équipements (gants, masques, gel…) vont représenter entre 2 et 4% du coût journalierLa désinfection (décontamination, nettoyage du matériel, outillage supplémentaire…) entre 4 et 8% du coût journalier.Les surcoûts sont plus élevés en rénovation notamment en site occupé. On estime ainsi le surcoût moyen entre 10 et 20% en entretien-rénovation contre 10% dans le neuf.Reprise des chantiers : une montée en puissance de l'activité inégale en fonction des régionsLa publication des recommandations sanitaires élaborées par l'OPPBTP ainsi que le déconfinement ont permis aux entreprises du bâtiment de reprendre sensiblement leur activité. Les résultats de l'enquête-flash GIE-CERC montrent qu'au 14 mai, ce sont 72% des chantiers qui étaient ouverts contre 53% au 5 mai. Au 14 mai, 37% des chantiers affichaient un niveau d'activité normale alors qu'ils n'étaient que 22% avant le déconfinement. Une montée en puissance qui permet de maintenir l'activité de 76% des salariés du BTP et intérimaires ETP (en équivalant temps plein) contre 57% au 5 mai.Cette hausse de l'activité connaît cependant de fortes disparités entre les régions. Ainsi, la part des chantiers en activité normale dans le Sud-Est de la France (36%) et le Nord-Est (48%) est plus importante qu'en Ile-de-France (22%). A noter que certaines activités peinent à reprendre. C'est le cas de l'activité commerciale dont les carnets de commandes se sont drastiquement réduits pendant le confinement et qui mettront plusieurs semaines avant de se remplir à nouveau. Une situation également délicate dans le secteur des marchés publics qui n'ont pas encore tous réouvert. Les entreprises artisanales attendent pourtant un soutien fort de la part de la commande publique. En tout, ce sont donc encore 15% des chantiers qui sont fortement ralentis et 28% des chantiers qui sont toujours à l'arrêt. Une situation qui devrait s'améliorer dans les jours à venir. Ainsi, 33% des chantiers qui étaient à l'arrêt au 14 mai devraient reprendre d'ici le 18 mai. Les artisans renouent également avec la confiance : 67% des chefs d'entreprises déclarent avoir confiance en la reprise de leur activité contre 58% le 5 mai.Malgré la reprise de l'activité, le contexte sanitaire particulier dans lequel les entreprises artisanales du bâtiment travaillent comporte son lot de difficultés qui continuent de ralentir les chantiers.Des difficultés toujours présentes et recensées par la CAPEB, qui ralentissent fortement les chantiers Des difficultés d'approvisionnement : les artisans continuent d'être confrontés à un ralentissement d'approvisionnement des matériaux et matériels, notamment en provenance d'Espagne et d'ItalieDes contraintes administratives en hausse : les charges administratives et les contraintes d'organisation liées au COVID 19 représentent une charge supplémentaire pour les chefs d'entreprisesDes reports voire des annulations de travaux chez les particuliers : certains particuliers sont toujours réticents quant à la réalisation de travaux chez eux et préfèrent reporter voire annuler des travaux pourtant prévus en amontDes reports de paiements dus à l'arrêt des marchés publics : l'arrêt des marchés publics à cause du confinement a entraîné l'arrêt des paiements pour les chantiers réalisés en amont du confinementDes difficultés pour gérer les déchets : on constate ainsi un ralentissement de l'enlèvement des déchets du BTP pendant le confinement qui a entrainé l'accumulation des déchets au niveau des entreprises
Il y a 5 ans et 29 jours

Covid-19 : le point sur les dispositifs pour les entreprises en difficulté

Au total, l'exécutif a déployé 450 milliards d'euros d'aides et de garanties de l'État, selon le ministre de l’Économie Bruno Le Maire. Le point sur les principaux dispositifs et les conditions pour en bénéficier. Le fonds de solidaritéPour aider les plus petites entreprises victimes de la crise, l'Etat a mis en place un fonds de solidarité doté de 7 milliards d'euros. Le premier volet de ce dispositif prévoit de compenser jusqu'à 1.500 euros la perte de chiffre d'affaires des très petites entreprises (TPE), des indépendants, micro-entrepreneurs et professions libérales.Pour en bénéficier, ces sociétés doivent notamment avoir fait l'objet de fermetures administratives, réaliser un chiffre d'affaires de moins un million d'euros et employer moins de 10 personnes.Le deuxième volet permet aux entreprises connaissant le plus de difficultés d'obtenir quant à elles jusqu'à 5.000 euros d'aide complémentaire versée par les régions.Plus spécifiquement pour les secteurs à l'arrêt comme l'hôtellerie, la restauration ou l'événementiel, l'aide est portée jusqu'à 10.000 euros et l'accès au fonds prolongé jusqu'à fin 2020.Le prêt garanti par l’État (PGE)Toutes les entreprises, quelle que soit leur taille ou leur forme juridique, ayant des difficultés de trésorerie, peuvent en faire la demande auprès de leur banque. Annoncés fin mars, les prêts garantis par l'Etat pourront atteindre au total 300 milliards d'euros, soit l'équivalent de 15% du produit intérieur brut (PIB) français.Ce qui veut dire qu'en cas de non-remboursement, l'État prendra à sa charge la majeure partie du reste du crédit à rembourser. Seules sont exclues de ce dispositif certaines sociétés civiles immobilières, les établissements de crédit et les sociétés de financement.Depuis le lancement du PGE, les banques françaises ont comptabilisé environ 80 milliards d'euros de demandes, pour un demi-million de prêts, a précisé jeudi Bruno Le Maire au Figaro.L'activité partielleSelon une estimation du ministère du Travail fin mai, le cumul des demandes d'autorisation de chômage partiel a atteint 12,7 millions depuis le 1er mars, tandis que 8,6 millions de salariés auraient bénéficié du dispositif qui a jusqu'ici permis d'éviter une explosion du chômage en France.Les salariés du privé mis au chômage partiel par leur entreprise bénéficient actuellement d'une garantie de 84% du salaire net (100% au niveau du Smic), que l’État et l'assurance chômage remboursent intégralement aux employeurs dans la limite de 4,5 Smic.En raison du déconfinement, le gouvernement a toutefois prévu que les entreprises contribuent dans des "proportions raisonnables" aux salaires des employés maintenus au chômage partiel, après le 1er juin, l'objectif étant d'inciter à la reprise d'activité.En revanche, le recours à l'activité partielle pour les entreprises du tourisme et de la restauration sera possible jusqu'à au moins fin septembre, "dans les mêmes conditions qu'aujourd'hui", a précisé le Premier ministre.Le report des chargesDepuis le 15 mars, les entreprises en difficulté ont la possibilité de décaler de trois mois la date de paiement de leurs cotisations sociales, sans pénalité. Très sollicités, ces reports s'élevaient à 17 milliards d'euros début mai, selon le ministre des Comptes publics Gérald Darmanin. Ce bilan provisoire concerne les charges sociales des régimes général, agricole et Agirc-Arcco.Côté fiscal, les entreprises ont également la possibilité de demander le report de l'impôt sur les sociétés ou les taxes sur les salaires auprès de la Direction générale des finances publiques (Dgfip).Les charges pour les entreprises de moins de 10 salariés ayant fait l'objet d'une fermeture administrative depuis le 15 mars, sont elles supprimées.
Il y a 5 ans et 29 jours

Les assemblées générales virtuelles des copropriétés pourront être généralisées

"Je vais présenter tout à l'heure en conseil des ministres un bout de texte législatif qui va permettre de rendre possible les AG de copropriétaires, mais de matière dématérialisée: par visioconférence, par téléphone", a déclaré sur Sud Radio le ministre du Logement, Julien Denormandie.Les assemblées générales sont essentielles au bon fonctionnement d'une copropriété, car c'est là que les propriétaires décident des frais à engager, en particulier les travaux. Ils s'y prononcent aussi pour renouveler ou non le mandat du syndic, l'organisme généralement professionnel qui gère la copropriété pour leur compte.Le gouvernement avait déjà accédé à une demande des syndics en prolongeant de plusieurs mois les mandats qui devaient arriver à échéance pendant la crise, les assemblées ne pouvant se tenir alors qu'un strict confinement était imposé aux Français.Mais le secteur voulait aller plus loin en permettant que les AG se tiennent à distance, dans l'idée qu'il sera impossible d'en organiser suffisamment tout en respectant les restrictions sanitaires contre le coronavirus. Les rassemblements publics de plus de dix personnes sont ainsi exclus pour l'heure.La participation à distance est déjà une possibilité si la copropriété le décide, mais une telle mesure nécessite d'être elle-même adoptée lors d'une précédente assemblée générale. Pour éviter une situation inextricable, le gouvernement va donc généraliser temporairement cette possibilité."On va le rendre possible à partir de début juin", a déclaré M. Denormandie. Le ministère a précisé à l'AFP que la mesure courrait jusqu'au 31 janvier 2021.
Il y a 5 ans et 29 jours

Le gouvernement souhaite élargir l'utilisation des fonds du Livret A qui a battu des records en avril

En avril, la collecte nette sur le Livret A a atteint 5,47 milliards d'euros contre 2,71 milliards en mars. Un an plus tôt, elle s'élevait à un peu moins de deux milliards, selon des chiffres publiés mercredi par la Caisse des dépôts.La collecte sur le Livret de développement durable et solidaire (LDDS), qui contribue au financement de l'économie sociale et solidaire, a également atteint un niveau mensuel historique à 1,93 milliard d'euros.Au total, la collecte nette sur le Livret A et le LDDS réunis, placements tous les deux défiscalisés, s'est élevée à 7,39 milliards d'euros en avril. En cumulé sur les quatre premiers mois de l'année depuis janvier, elle a atteint plus de 17 milliards d'euros.Fin avril, l'encours total d'épargne placée sur les deux produits atteignait 428,2 milliards d'euros."Niveau jamais atteint"C'est "un niveau jamais atteint depuis la précédente crise (...) trois fois plus qu'au mois d'avril 2019", a affirmé mercredi matin Éric Lombard, directeur général de la Caisse des dépôts, lors d'une audition devant des commissions sénatoriales.Cet embellie n'est pas le résultat d'une rémunération attractive : le taux de rémunération du Livret A et du LDDS a été abaissé en février de 0,75% à 0,5%, soit son plus bas niveau historique."Les Français ont épargné parce qu'ils ne pouvaient pas dépenser et cette absence de dépenses naturellement pèse sur l'économie", a estimé M. Lombard.En France, les mesures sanitaires mises en place pour lutter contre le Covid-19 ont entraîné la fermeture pendant plusieurs semaines des commerces non-essentiels.À cette épargne forcée s'est ajoutée une autre épargne, volontaire celle-ci, placée en réserve par certains ménages inquiets."Aujourd'hui, nous estimons l'épargne des Français à 40% de leurs revenus", a souligné mercredi M. Lombard, ajoutant "que le plus tôt elle [ressortirait] (...) pour financer la consommation et l'investissement, le mieux ce [serait]"."Mais dans l'intervalle, cette épargne ne dort pas, elle est pleinement utilisée pour le soutien de notre économie: l'activité de financement du logement social se poursuit, l'activité de financement des collectivités locales a augmenté de façon importante et, de plus en plus, nous allons l'utiliser", a détaillé le numéro un de la Caisse des dépôts.Utilisation "élargie" des fonds"Nous sommes très favorables à l'idée (...) que l'utilisation de ces fonds puisse être élargie pour être plus utile et plus efficace en cette période de sortie de crise", a-t-il défendu devant les sénateurs.Le directeur de la Caisse des dépôts rejoint ainsi les propos tenus à la mi-avril par le ministre de l'Économie Bruno Le Maire, qui souhaitait de l'investissement et non de l'épargne pour relancer l'économie."Le mois d'avril restera dans les annales de l'épargne française. (...) Malgré leur faible rendement, le Livret A et le LDDS sont les grands gagnants de cette période très particulière d'épargne subie", a réagi dans une note Philippe Crevel, directeur du Cercle de l'épargne, cabinet de réflexion sur l'épargne et sa réglementation.De façon plus générale, "l'augmentation de l'épargne de précaution a été constatée lors de chaque crise depuis 1973", relève cet analyste."La collecte du mois d'avril 2020 est une collecte d'attente, mais aussi de précaution. Dans un contexte plus qu'incertain, les ménages ont décidé de renforcer leur épargne liquide afin de faire face à d'éventuelles problèmes de court terme. Parmi les sujets d'inquiétudes figurent évidemment la santé mais aussi le risque de perte d'emploi ou de revenus", explique-t-il.Selon lui, "au regard des précédentes crises, le dégonflement de l'épargne de précaution sera progressif et risque de ne pas être totale d'autant plus que le retour à la normale s'annonce long. Les craintes d'une longue crise économique incitent les ménages à maintenir un fort volant de liquidités".
Il y a 5 ans et 29 jours

AMCC décline ses coulissants alu en version à galandage

Une esthétique panoramique 1 pour un confort sans limiteIdéal pour supprimer les frontières entre l'intérieur et l'extérieur de l'habitat, les nouveaux coulissants aluminium à galandage CG70 d'AMCC associent :un dormant de 160 mm à coupe droite, avec ou sans panneau isolant,un ouvrant équipé d'un double vitrage à isolation thermique renforcée 4/20/4 avec intercalaire à bord aluminium pour la ligne Élégance et à bord chaud pour la ligne Excellence.Ces caractéristiques techniques confèrent à l'ensemble d'excellentes performances pour atteindre un coefficient de transmission thermique de 1,7 à 1,4 W/m2.K et une étanchéité à l'air et à l'eau respectivement de A*3-E*6B-V*A2 pour le coulissant aluminium CG70 Élégance, et de A*4-E*6B-V*A2 pour la ligne Excellence.Avec leurs profilés et leur montant central étroits, les coulissants aluminium à galandage d'AMCC autorisent la création de larges baies vitrées, y compris de grande hauteur (jusqu'à 2,60 m), avec un clair de jour optimal.Disponibles sur-mesure en version monorail 1 vantail (avec refoulement sur un côté) ou monorail 2 vantaux (à refoulement sur deux côtés), les coulissants CG70 sont munis d'un rail en polyamide qui, associé à des joints en partie basse, facilite leur manipulation. Les vantaux disparaissent alors entièrement dans l'épaisseur de la cloison pour apporter un maximum de lumière naturelle.Cette ouverture maximale du coulissant permet également de gagner en liberté de circulation grâce à un accès totalement dégagé sur l'extérieur.Des coulissants à la sécurité assurée 2 et au design préservéPermettant de créer de larges ouvertures pour offrir une vue imprenable sur le paysage, les coulissants aluminium à galandage d'AMCC laissent entrer la nature dans le séjour sans négliger la sécurité. Pour cela, ils disposent :d'un profilé de réception de cloison qui garantit une rigidité maximum et une protection renforcée,d'une serrure à 2 ou 3 points de fermeture par crochets et gâches inox au service d'une grande résistance à l'effraction.Pour répondre aux exigences esthétiques et décoratives de chaque habitat, les nouveaux coulissants CG 70 sont proposés dans un large choix de coloris, en finition lisse ou granité mate ainsi qu'en bi-coloration, procédé qui permet d'appliquer une teinte différente sur les profilés intérieurs et extérieurs.Et pour une finition parfaite jusque dans les moindres détails, les coulissants sont manœuvrables à l'aide de différents modèles de poignées (poignée décalée anti-pince doigt, poignée Aktiv ou encastrée).En enrichissant sa gamme de coulissants aluminium avec ces versions à galandage, AMCC propose une offre complète de coulissants, fenêtres et porte-fenêtres à frappe qui s'associent parfaitement, créant ainsi une harmonie entre l'ensemble des menuiseries de la maison.
Il y a 5 ans et 29 jours

« De la Terre au Soleil » : le nouveau rapport RSE de Terreal met en lumière son engagement profond et ses initiatives innovantes

Aussi le titre de son nouveau rapport RSE, « de la Terre au Soleil », n'est pas un hasard. Tout en restant ancré dans les traditions liées à la terre cuite, TERREAL a pris un tournant majeur avec un développement fort du solaire pour affirmer son engagement dans la transition énergétique et la lutte contre le réchauffement climatique. Avec ce rapport RSE riche en infographies, TERREAL explicite la pertinence de ses réalisations et de ses objectifs, de ses succès mais aussi de certaines difficultés, dans un contexte de transformations environnementales, économiques, industrielles et socioculturelles.La RSE est plus qu'un concept pour le secteur de l'habitat qui est en constante mutation : elle constitue un levier de performance puissant que TERREAL a su saisir pour écrire son futur et garantir la pérennité de ses activités. Pour atteindre ses objectifs, le Groupe a en effet définit une stratégie RSE forte, articulée autour de 4 engagements principaux :agir pour l'environnement ;accompagner localement;développer des relations et des conditions de travail responsables ;soutenir l'innovation durable. En visant un horizon à très court terme et en y consacrant des investissements immédiats, TERREAL s'emploie à construire, promouvoir et généraliser une démarche collaborative et opérationnelle d'ici à 2021.Il s'appuie pour cela sur une organisation dédiée, intégrant des comités de pilotage, des groupes de travail et des référents pour chacun des objectifs fixés. TERREAL a également réalisé en 2019 un Code de Conduite qui est aujourd'hui appliqué à l'ensemble du Groupe et a été diffusé à toutes ses parties prenantes.En route vers le bas carbone !Mener une démarche concrète de développement durable est un pilier stratégique de TERREAL qui cherche au quotidien à éviter, réduire et compenser les impacts de ses activités grâce à différentes initiatives, dont l'application d'une feuille de route bas carbone.Conscient de son rôle dans la conservation des ressources et de la biodiversité, TERREAL engage des actions d'économies afin de limiter ses prélèvements d'argile et de sable. L'entreprise se mobilise pour concevoir des projets de carrière les moins impactants possible, pour revitaliser les milieux et enrichir la biodiversité pendant et après exploitation. Ses carrières font aussi l'objet d'initiatives complémentaires visant à approfondir sa connaissance de la biodiversité et à conduire, le cas échéant, des actions de compensations.La culture du mécénat inscrite dans l'ADN de TERREALLa présence de TERREAL à l'échelle des territoires implique une relation de confiance et un dialogue constant avec tous les acteurs locaux : collaborateurs, clients, utilisateurs finaux, associations, collectivités locales et institutions.TERREAL met en place des actions pour la formation et la création d'emplois en zone rurale, le soutien aux initiatives culturelles et sociales, ainsi que la préservation du patrimoine avec pour exemple en 2019 l'opération emblématique de mécénat du château de La Salvetat-Saint-Gilles ou l'annuel Concours des Terroirs de TERREAL.Château de La Salvetat-Saint-GillesGarantir la santé et la sécurité de tous les collaborateurs : une priorité absolue Attachés à la transmission et au partage de valeurs communes, TERREAL place l'humain au cœur de ses préoccupations. Ses collaborateurs constituent en effet sa première richesse et TERREAL agit au quotidien pour leur garantir un environnement de travail adapté et sain.Ainsi, le travail en hauteur, les interventions sur machine et la circulation piéton-engin ont fait l'objet de nombreuses initiatives pour réduire ces risques potentiellement grave.En 2019, TERREAL a même lancé son Challenge Sécurité interusines. Il permet ainsi à ses collaborateurs d'être acteur de leur sécurité et d'identifier toutes les situations dangereuses pour les traiter immédiatement et éviter les accidents. La prévention a franchi un cap supplémentaire avec 4 fois plus de remontées terrain identifiées dont 83% déjà traitées.Une innovation au service de ses clients et au développement de l'habitat durable avec le solaireLe bâtiment représente aujourd'hui environ 40% des consommations totales d'énergie en France et près de 20% des émissions de CO2. Face à ce constat, TERREAL s'est donné pour mission de contribuer au développement d'un habitat sain et durable. Entretenir des relations durables, transparentes et éthiques avec toutes ses parties prenantes, écouter et accompagner ses clients lui permet de continuer à avancer et à anticiper les attentes et les changements de la société. Déjà au cœur de la stratégie d'innovation de TERREAL, l'objectif pour 2021 est que 100% de ses produits soient couverts par une démarche d'éco-conception.L'innovation responsable de TERREAL repose sur 3 grands axes :contribuer à accroître l'efficacité énergétique et à réduire l'impact carbone des maisons,permettre de préserver l'identité et le caractère patrimonial de nos régions,donner la possibilité à ses clients de travailler en sécurité et de préserver leur santé.Lancé en janvier 2020, le programme « Demain, Tous Solaire » de TERREAL s'inscrit pleinement dans cette stratégie d'innovation. Avec ce programme, le Groupe s'inscrit davantage dans les grandes mutations du bâtiment pour construire l'habitat du futur au travers de solutions de toitures solaires intelligentes, permettre la production hyperlocalisée d'énergie verte et accompagne ses clients historiques dans le virage énergétique.
Il y a 5 ans et 29 jours

Un groupement mené par Vinci remporte un contrat de 799 millions d'euros pour le Grand Paris Express

Ce marché comprend la réalisation de 11,8 kilomètres de tunnel qui seront creusés par deux tunneliers, la réalisation des gares d'Antonypôle, Massy-Opéra et Massy-Palaiseau, ainsi que la traversée de la future gare Aéroport d'Orly, déjà en travaux, et de 13 ouvrages de service de l'Est de la ligne.Il s'agit du premier marché de génie civil de la ligne 18, qui a vocation à relier Orly à Versailles via Massy-Palaiseau et le plateau de Saclay à l'horizon 2030, a souligné la SGP dans un communiqué."L'attribution de ce marché (...) concrétise l'engagement de la Société du Grand Paris à réaliser l'intégralité des lignes du Grand Paris Express", a relevé son président Thierry Dallard, cité dans le communiqué.Très attendue par les élus et institutions situées sur son parcours, la ligne 18 est aussi la plus controversée du projet de métro du Grand Paris, car traversant des zones peu denses. Le chantier emploiera "jusqu'à 700 personnes en période de pic d'activité", a relevé Vinci dans un communiqué distinct.Le groupement, dont les différentes filiales de Vinci représentent 75%, est composé pour les 25% restants de deux filiales de Spie batignolles.
Il y a 5 ans et 29 jours

SPIE équipe BMZ Group avec les dernières technologies d'ingénierie du bâtiment

Les travaux initiés par SPIE en août 2019 sur le site du nouveau centre logistique de l'entreprise devraient s'achever prochainement. Ce contrat a été confié à SPIE GfT, une filiale de SPIE Deutschland & Zentraleuropa basée à Essen.À Karlstein am Main, en Bavière, BMZ Group développe et fabrique, entre autres activités, des systèmes de batterie high-tech destinés à équiper un large éventail de produits de fabricants de renommée mondiale, notamment des véhicules électriques. Le maître d'œuvre pour ces deux projets est LIST Bau, avec lequel SPIE a déjà collaboré par le passé.Des exigences élevées pour le système d'alarme incendieBMZ Group a décidé de construire un nouveau hall de production qui vient s'ajouter aux deux halls existants à Karlstein, ainsi qu'un nouveau centre logistique comprenant un entrepôt à hauts rayonnages pour les batteries. Ce centre est unique en Allemagne. SPIE est chargée de l'installation complète de l'infrastructure électrique, des câbles d'alimentation et systèmes de distribution aux raccordements au réseau, non seulement dans le nouveau centre d'assemblage de batteries, mais également dans le nouveau centre logistique.Le fournisseur de services multi-techniques assure également l'installation des câbles du réseau informatique, des systèmes audio et vidéo, et des dispositifs d'alarme incendie complexes. « En cas d'incendie, il est difficile d'éteindre le feu au niveau des batteries ; le système d'alarme incendie requis doit répondre des exigences très strictes. Outre l'installation de dispositifs d'alarme incendie au plafond des halls à 20 mètres de hauteur, nous équipons la totalité des racks grande hauteur d'un système d'évacuation des fumées (EFC) qui contrôle l'air en permanence à la recherche d'éventuelles variations. Cela permet de détecter les particules de fumée en quelques secondes et de déclencher l'alarme immédiatement. Au total, nous posons 3,5 km de conduits d'évacuation des fumées. » explique Baki Aslan, chef de projet chez SPIE GfT, l'entité chargée de l'exécution du contrat.Le concept du système d'alarme incendie a été préalablement approuvé par les pompiers. Baki Aslan : « Nous installons également, entre autres, 4 km de câbles d'alarme incendie, 35 km de câbles de transmission données, 60 km de divers câbles électriques et 150 détecteurs de fumée dans les bureaux et les espaces communs, ainsi que 300 lampes dans l'ensemble du complexe. »Le centre logistique étant situé en bordure d'une réserve ornithologique, son éclairage nocturne répond à des exigences spécifiques : « Sur les 27 mâts d'éclairage que nous installons, seul un tiers fonctionne à partir d'une certaine heure, afin de ne pas perturber la faune locale. L'éclairage doit toutefois être suffisant lors de la rotation des équipes », souligne le chef de projet.Une collaboration efficace et un fonctionnement respectueux de l'environnementSuite à l'évolution des exigences en cours de projet, SPIE a pris en charge des services supplémentaires en cours de déploiement dans le centre logistique. Baki Aslan précise : « Nous introduisons beaucoup de nouvelles solutions pour le client et proposons des améliorations pour un fonctionnement efficace. Nous échangeons régulièrement avec le client afin d'élaborer ensemble des solutions optimales et de réagir rapidement et de manière constructive aux nouvelles situations. » En période de pointe, le chef de projet est présent sur le site avec une équipe de près de 20 collaborateurs. « Après l'achèvement réussi des travaux dans le nouveau centre d'assemblage de batteries, nous nous attachons désormais à boucler les travaux de l'entrepôt à hauts rayonnages, afin que les batteries produites puissent y être stockées de manière optimale », précise Baki Aslan.
Il y a 5 ans et 32 jours

L'OPPBTP accompagne les référents Covid-19 au sein des entreprises grâce à des formations en ligne

Dans le cadre de sa mission d'accompagnement des professionnels du BTP pour la prévention des risques, l'OPPBTP a donc mis en place de nombreux outils pour les soutenir dans la gestion de cette situation exceptionnelle. L'Organisme propose aujourd'hui deux outils de formation en ligne entièrement dédiés aux référents Covid-19. L'objectif est de les aider à s'approprier les nouvelles missions qui leurs sont confiées ainsi que les outils mis à leur disposition pour y parvenir.Référent Covid-19, un rôle inédit au sein des entreprisesLes nouvelles mesures de prévention exigées pour lutter contre la propagation du Covid-19 bouleversent largement les habitudes des personnels sur les chantiers. Or pour adopter de nouvelles façons de travailler et acquérir de nouveaux réflexes, il est indispensable d'accompagner les équipes en mobilisant les moyens humains. C'est la raison pour laquelle le guide de préconisations de l'OPPBTP propose de désigner un ou plusieurs référents Covid-19 entreprise et chantier. Leur rôle est de coordonner les mesures à mettre en œuvre et de les faire respecter tout en les adaptant à la réalité terrain propre à chaque entreprise. Cela nécessite de connaître les gestes barrières et les préconisations de sécurité sanitaire complémentaires de l'OPPBTP, mais aussi d'être capable de les déployer dans toutes les situations.Deux outils de formation dédiés aux référents Covid-19Dans le cadre de cette situation inédite, l'OPPBTP s'engage donc à accompagner les référents Covid-19 pour les aider à endosser leurs nouvelles responsabilités. Pour cela, l'Organisme propose deux outils de formation gratuits :La formation à distance Référent Covid-19 : mise en place sous la forme de classe virtuelle, cette formation de 2h30 est encadrée par un formateur de l'OPPBTP. Son objectif est de permettre à chaque référent de comprendre les enjeux de sa mission, d'utiliser les outils opérationnels à sa disposition et de l'aider à déployer un plan d'action Covid-19 dans son entreprise en mobilisant les équipes sur la gestion de ce risque. Plusieurs sessions nationales regroupant 15 personnes maximum sont organisées à partir du 14 mai et jusqu'à fin juin. Les référents qui le souhaitent peuvent d'ores et déjà s'inscrire en ligne sur la plateforme de formation à distance de l'OPPBTP.Un module elearning Référent Covid-19 : cette formation de 15 minutes seulement permet à chaque référent de comprendre facilement l'essentiel de sa mission et de découvrir les outils opérationnels qui sont à sa disposition pour la mener à bien. Chaque référent peut y accéder en totale autonomie et quand il le souhaite sur le site preventionbtp.fr. Présenté de manière simple, il se compose de trois vidéos interactives suivies d'un quiz pour tester ses connaissances.
Il y a 5 ans et 32 jours

L'IoT au service du Smart Building

Cette évolution ouvre la voie vers de nouvelles perspectives en matière d'efficience, de performance énergétique et d'intelligence du bâtiment. Comme tout pouvoir, cela implique de grandes responsabilités. C'est dans cet esprit que la loi ELAN et de récents décrets ont vu le jour, dont l'objectif est notamment de réduire la consommation énergétique des bâtiments tertiaires de plus de 1000 m² de 60% entre 2010 et 2050.Dans ce contexte, il est possible de se demander quel rôle jouera l'IoT pour atteindre cet objectif et quelles sont les projections envisageables d'un Smart Building en 2050 ?Remontée des données et performance énergétique du bâtimentAfin d'analyser le fonctionnement d'un bâtiment, il est tout d'abord nécessaire de disposer d'un maximum de données. Pour cela, il faut équiper un bâtiment d'une multitude de capteurs et de solutions connectées. Cela passe à la fois par un renouvellement des solutions GTB (Gestion Technique de Bâtiment) déjà en place mais quelque peu obsolètes, et par l'installation de nouveaux équipements connectés afin de réaliser une gestion intelligente centralisée.Première pierre à l'édifice, les compteurs connectés. Grâce à ces équipements, il est possible de remonter les données de consommations électriques, de gaz et d'eau d'un bâtiment. Ils permettent d'identifier les comportements anormaux et d'en apprendre davantage sur les comportements de consommation des utilisateurs. D'autres éléments de type chaudière, HVAC (chauffage, ventilation et climatisation) ou encore éclairage, permettent d'alimenter en données une unité centrale (ou poste de supervision), cerveau du bâtiment intelligent et de l'optimisation énergétique.Non directement impliqués dans les aspects de performance énergétique mais nécessaires pour rendre un bâtiment encore plus performant dans son fonctionnement : tous les éléments de contrôle, dispositifs ou systèmes d'alerte qui permettent de détecter rapidement toute activité anormale afin de réagir le plus vite possible.Un élément essentiel intervient dans un second temps afin de remonter ces données : la connectivité. Pour ces applications, différentes solutions peuvent être choisies. Le réseau filaire offre une option robuste et sécurisée, mais est coûteux et s'approche de l'obsolescence (fin du RTC). Le réseau local (wifi d'un bâtiment) reste envisageable mais limité pour accueillir de multiples fournisseurs de solution car il nécessite des autorisations d'accès au réseau pour chaque nouvel équipement.De son côté, le GSM et les cartes SIM multi-opérateurs auront un avantage certain du fait de leur facilité de déploiement, leur fiabilité, leur pérennité et leur spectre d'utilisation. Intégrées directement au sein d'un équipement, elles permettront de remonter, en temps réel et de façon simultanée, les données d'usage des différents compteurs et capteurs, et de télé-maintenir les solutions. Les nouveaux réseaux LPWAN pourront aussi être utilisés pour des solutions nécessitant que très peu de données et pour améliorer la pénétration des ondes à l'intérieur du bâtiment.Plongeons dans le futur : année 2050, le prochain Smart BuildingDès lors, nous pouvons nous demander à quoi ressemblera le bâtiment de 2050 ? Il est possible d'imaginer que les immeubles seront dotés de parkings connectés qui indiqueront aux conducteurs les places disponibles. Ces places pourront être équipées de bornes de recharge électrique leur permettant de se connecter au réseau du bâtiment pour recharger et mettre à jour le logiciel embarqué dans leur véhicule.Afin d'entrer dans le bâtiment, les collaborateurs pourront ensuite être amenés à s'identifier à l'aide de leur paume de main. Cette solution de contrôle d'accès a pour objectif d'assurer la gestion des droits dans le bâtiment. Grâce à cette identification, l'ascenseur sera également en mesure de les conduire directement à leur étage. Par ailleurs, ces ascenseurs connectés permettront de réaliser de la maintenance prédictive et de gérer les appels d'urgence.A l'intérieur du bâtiment, les collaborateurs pourront croiser des panneaux d'affichage digitaux annonçant les évènements au sein de l'entreprise, les informations du bâtiment ou encore la météo. Des capteurs disposés dans le bâtiment leur permettront également de détecter les salles de réunion utilisées ou non et de les diriger.Il est possible d'imaginer que tous les compteurs (électriques, à gaz, d'eau) seront connectés et remonteront leurs données d'usage pour détecter les comportements anormaux (fuites, consommation excessive) et être télé-maintenus à distance. Le bâtiment autonome apprendra chaque jour les comportements de ses usagers, et sera en capacité de réaliser du « Demand response », c'est-à-dire une gestion des pics et creux de consommation. À la fin de la journée, il sera en mesurer d'activer automatiquement les alarmes, de baisser le niveau de chauffage, d'éteindre toutes les lumières, et d'agir à nouveau automatiquement avant l'arrivée du premier employé le lendemain matin.Tous ces usages cumulés permettront à la fois d'optimiser la consommation énergétique et de réduire les coûts tout en améliorant le bien-être des collaborateurs de l'entreprise. Cependant, pour arriver à ce scénario, les grands enjeux des années à venir seront l'interopérabilité entre les solutions, la sécurité des objets connectés et la combinaison de l'intelligence artificielle avec toutes les données remontées.Le bâtiment intelligent de demain sera à la fois intelligent, autonome et aura une part prépondérante dans la future Smart City. Pour cela, les solutions connectées et les réseaux IoT seront la boussole permettant d'envisager un monde optimisé et autonome en énergie.Par Gweltaz Le Coz, expert Smart Building chez Matooma
Il y a 5 ans et 32 jours

Marché et crédit immobilier : bilan des comportements et perspectives de reprise

Dans ce contexte, Rami Karam, Directeur Général de lesfurets, et Sylvain Lefèvre, co-fondateur et Président de La Centrale de Financement, réalisent un état des lieux de la situation actuelle et dressent les perspectives de reprise progressive, en ces premières semaines de déconfinement.Point de vue de deux experts :Les marqueurs d'une accélération des solutions digitalisées pour faciliter les démarches immobilièresSylvain Lefèvre : Le confinement a eu un impact très fort sur la demande de crédit immobilier. Malgré le maintien des projets en cours, beaucoup de nouvelles affaires ont été annulées ou différées. Le décret du 4 avril permettant aux notaires de proposer des signatures électroniques pour tous les actes notariés a facilité les démarches qui étaient en attente. L'adaptation des acteurs de l'immobilier avec l'augmentation des visites virtuelles a également ouvert la voie à une reprise progressive du marché.De notre côté, nous avons mis au point, comme la plupart de nos banques partenaires, la signature électronique afin de finaliser, dans les meilleurs délais, les demandes de prêts de nos clients. Nous nous sommes également chargés de prolonger la validité des offres de prêt jusqu'à 90 jours, contre 30 jours habituellement. La digitalisation de la chaîne immobilière s'est donc accélérée avec une légère augmentation des taux au mois d'avril sans que celle-ci n'impacte véritablement les conditions d'emprunt. Les conditions de taux généralement constatées augmentent légèrement pour l'ensemble des durées habituelles de prêts avec 0.07% d'augmentation sur 10 et 25 ans, 0,08% sur 7 et 15 ans. Cette légère tendance haussière s'accentue pour les emprunts sur 20 ans, avec 0.09% d'augmentation constatée, ainsi que pour les emprunts effectués sur 12 ans, pour lesquels les taux se sont accrus de 0.1%.À date, les pertes du marché sont difficiles à estimer, elles seront plus visibles en août-septembre en raison du report de certaines signatures sur mai-juin ; l'été étant une période peu propice aux transactions immobilières.Rami Karam : Côté comparaison, après avoir noté une baisse de quasi 50% des visites sur notre site et de 67% des simulations de tarification sur le produit prêt immobilier au mois d'avril versus la première quinzaine de mars alors que nous comptabilisons 300.000 devis annuels sur le produit immobilier en temps normal, les simulations repartent à la hausse avec une forte reprise depuis le début du mois de mai versus le mois d'avril (+58% en trafic naturel uniquement), celles-ci étant encore plus exploratoires qu'intentionnistes.Pour 70% des Français, l'achat immobilier est l'objectif d'une vie et se fait 1,5 fois au cours de celle-ci, un indice qui explique le choix des consommateurs de continuer à se projeter en faisant des estimations de prêts immobiliers, malgré la période. Sachant qu'un tiers de la charge mentale des Français a été liée à la gestion des dépenses contraintes pendant le confinement, nous avons voulu tenir notre promesse d'accompagnement de cette valeur refuge en développant de nombreux contenus sur le site pour donner des éléments de décryptage et de conseils aux utilisateurs notamment sur les reports et suspensions de prêts. Aujourd'hui, de nombreuses visites s'orientent encore prioritairement vers des pages de contenu plutôt que sur les pages amenant l'usager vers le tunnel de comparaison.Report ou suspension de crédit et assurance emprunteur, quelle bonne formule pour maintenir un budget impacté par la crise économique ?R. K. : En France, l'encours de remboursement de prêts immobiliers détenus par 9 millions d'emprunteurs est de 1.300 milliards d'euros. Si les revenus des Français sont en baisse, il existe des solutions à l'instar du marché italien qui a adopté le 11 mars dernier la possibilité de suspendre le remboursement de son prêt immobilier jusqu'à la fin de l'année. S. L. : La modulation des échéances de prêt n'est possible, en France, que si cette clause est prévue au contrat de prêt (mais, ces clauses ne s'appliquent souvent qu'à partir d'une ou deux années de crédit). Au regard de la situation inédite dans laquelle se trouve l'ensemble du pays, le report des échéances de prêt a été rendu possible pour une durée de 6 mois. Sans pénalités ni frais additionnels, cette mesure exceptionnelle est une solution véritablement solidaire et efficace apportée par les banques. Elle permet à un grand nombre d'emprunteurs de se prémunir de fins de mois difficiles.R. K. : Pourtant cette bonne initiative a un coût et un impact fort : l'allongement des intérêts et le coût de l'assurance qui perdure même en cas de suspension ou report. S. L. : En effet, les échéances de l'assurance emprunteur ne sont pas reportables, puisque le contractant au prêt continue d'être exposé aux différents aléas couverts par l'assurance (ex : problèmes de santé, décès etc.). Celui-ci ne peut pas non plus être dispensé du paiement de ses mensualités, malgré une baisse de revenu liée au chômage partiel. Les assurances emprunteurs ne couvrent en général que la baisse de revenu engendrée par la perte d'un emploi, pour motif économique. R. K. : C'est ici que la comparaison est une solution économique importante. Grâce à la loi Bourquin, les emprunteurs peuvent résilier leur contrat d'assurance emprunteur en deux temps trois mouvements et effectuer des économies pouvant s'élever à plusieurs milliers d'euros par an. Dans la majorité des cas, séparer son crédit et son assurance est une démarche très rentable et les économies peuvent dépasser en moyenne jusqu'à 1.000 euros sur la durée totale du prêt.Le rachat de crédits, champion du traitement à distanceR. K. : Même si nous avons noté une baisse de 30% des demandes d'utilisateurs sur notre site sur les trois premières semaines de confinement, le travail à distance de nos partenaires sur les produits financiers comme le rachat de crédits ainsi que la possibilité de ne pas avoir de frein à la finalisation des documents a permis un maintien de l'offre comme de la demande intéressant pour les consommateurs. Nos partenaires bancaires ainsi que les courtiers ont continué à se rendre disponibles avec des outils digitaux simples et éprouvés. Les simulations reprennent de façon certaine depuis deux semaines avec +30 à 40% sur le produit rachat de crédits.S. L. : La crise que nous vivons actuellement risque d'impacter sur une longue durée les revenus des Français ainsi le rachat de crédits peut permettre de réduire le montant dépensé chaque mois en remboursement d'échéances incluant le capital et les intérêts. Le rachat de crédits pourrait être une solution pour abaisser le poids des crédits sur le budget mensuel des Français.R. K. : À noter que la baisse des mensualités peut aller jusqu'à 60% lors d'une opération de rachat de crédits. Le rachat de crédits est une opération particulièrement intéressante pour éviter toute situation de surendettement puisqu'elle permet notamment de dégager un montant de reste à vivre plus important chaque mois. Si elle peut intervenir sur un seul crédit immobilier ou consommation, l'opération de regroupement de crédits peut également en compter plusieurs et de chaque type. Une solution simple et accessible pour tous les Français !
Il y a 5 ans et 32 jours

Visiter un bien immobilier ou déménager à plus de 100 km du domicile autorisé par le gouvernement

"Afin de permettre aux Français de reprendre leurs projets immobiliers et d'encourager la reprise d'activité du secteur, les déménagements et les visites immobilières en dehors de son département et à plus de 100 km de sa résidence sont désormais autorisés", a déclaré Julien Denormandie, ministre chargé de la Ville et du Logement, cité dans le texte.Exception aux règles imposées depuis la levée partielle du confinement pour lutter contre l'épidémie de Covid-19, sont désormais autorisés les déplacements liés à un déménagement ou à une visite immobilière, "qu'il s'agisse d'achat ou de location, quand ils ne peuvent pas être reportés", a précisé le ministère."Un nouveau modèle d'attestation sera prochainement mis en ligne et précisera les pièces justificatives à fournir pour pouvoir effectuer ces déplacements", selon la même source.Pour les personnes déménageant elles-mêmes: "il leur appartient de se munir de l'attestation de déplacement dérogatoire si le déménagement les conduit dans un autre département et au-delà d'une distance de 100 km de leur résidence initiale", souligne le ministère.A noter que dans le cas d'un déménagement ou d'une visite dans son département et à moins de 100 km de la résidence initiale, aucune attestation n'est nécessaire.Les personnes déménageant peuvent aussi faire appel à un professionnel qui pourra effectuer le trajet "dans le cadre de son activité professionnelle", ajoute le ministère.
Il y a 5 ans et 32 jours

Supprimer des jours de repos pour accélérer la reprise serait une "fausse bonne idée" selon les économistes

"Enlever un jour de congé pour booster la croissance, c'est un peu une fausse bonne idée qui réapparaît en France après chaque crise et qui équivaut à une baisse de salaire déguisée", commente auprès de l'AFP Grégory Claeys, économiste à l'institut Bruegel à Bruxelles.Le débat a ressurgi récemment avec une proposition du Medef, toutefois rapidement remballée face à l'hostilité des syndicats.En temps normal, travailler un jour supplémentaire a un effet bénéfique sur la croissance, cependant considéré comme "marginal" par les économistes. Avant la crise, l'Institut national de la statistique avait ainsi estimé à +0,12 point l'effet positif du calendrier en 2020, qui compte deux jours ouvrés supplémentaires par rapport à l'année précédente.Inutile d'espérer accroître cet effet positif en augmentant significativement le nombre de jours ouvrés, préviennent les économistes. Car cela aurait des conséquences négatives - notamment sur la productivité - et pénaliserait certains secteurs d'activités.Raccourcir les vacances d'été de quelques semaines, par exemple, provoquerait un choc supplémentaire chez les professionnels du tourisme et du loisir. "Cela reviendrait à transférer l'activité d'un secteur à un autre, sans véritablement apporter d'avantage à l'économie dans son ensemble", explique à l'AFP Alexandre Delaigue, professeur d'économie à l'université de Lille.Augmenter le nombre de jours travaillés à l'échelle d'un pays permet éventuellement de répondre à un problème d'offre insuffisante ou de compétitivité. Afin d'améliorer cette dernière, le Portugal avait ainsi décidé en 2012 de rayer du calendrier quatre jours fériés. Avant de les rétablir quelques années plus tard.Autre cas de figure: en France, entre 2004 et 2008, le lundi de Pentecôte a été un jour férié non chômé, au cours duquel de nombreux salariés ont travaillé sans être rémunérés afin de financer la prise en charge des personnes dépendantes.Mais à présent "nous avons un problème de demande qui est faible en France et partout dans le monde", en raison des mesures sanitaires pour limiter la propagation de l'épidémie, souligne M. Claeys. Vêtements, meubles ou voitures n'ont guère trouvé preneurs pendant le confinement.Ajustements ciblésPour accompagner la reprise, "nous avons besoin de flexibilité, plutôt que d'une augmentation générale de la durée du travail", indique à l'AFP Agnès Bénassy-Quéré, professeure à l'université de Paris 1 Panthéon Sorbonne."Une journée de travail plus longue pourrait être extrêmement utile aux entreprises des secteurs où la demande est présente, étant donné que nous avons du mal à réallouer la main d’œuvre rapidement", complète-t-elle.Les commerçants, qui retrouvent leur clientèle mais doivent réduire le nombre de personnes accueillies simultanément par précaution sanitaire, pourraient par exemple réaliser un nombre de ventes plus important sur une journée allongée.Dans le secteur du bâtiment, cela permettrait d'opérer une forme de rattrapage sur les chantiers qui ont été interrompus.Lorsque l'activité sera repartie, "aménager d'une manière un peu différente le travail pourrait vraiment améliorer les choses dans certaines entreprises, mais ce type de décision doit être pris au cas par cas et en concertation avec les salariés", précise M. Delaigue.Certaines lois permettent de mettre en place des ajustements, en ayant recours notamment aux heures supplémentaires ou à l'annualisation du temps de travail.Mais "pour l'instant, l'urgence c'est de voir comment les entreprises vont pouvoir fonctionner, nous avons besoin de solutions originales et adaptées aux différents secteurs", estime M. Delaigue.
Il y a 5 ans et 32 jours

Milwaukee® étoffe sa gamme de marteaux démolisseurs filaires avec trois nouveaux outils

MILWAUKEE® K 1528 H et K 1530 H : deux nouveaux marteaux démolisseurs ultra-performants dans la catégorie 15 kgLes marteaux démolisseurs MILWAUKEE® K 1528 H et K 1530 H développent une force de frappe impressionnante de 39 Joules et une cadence de 1560 cps/min, assurant ainsi une progression rapide dans les travaux de démolition de dalles de béton et de fondations.Leur design en ligne est idéal pour les travaux de démolition au sol et les burinages intenses.Le modèle K 1528 H est équipé d'une réception HEX 28 mm et le modèle K 1530 H d'une réception HEX 30 mm.MILWAUKEE® K 1000 S : nouveau démolisseur SDS Max dans la catégorie 10 kgTrès proche des deux précédents modèles du point de vue ergonomique, ce marteau démolisseur MILWAUKEE® K 1000 S est équipé d'un emmanchement SDS Max et d'une mécanique puissante délivrant une force de frappe de 26 Joules et une cadence de 1 950 cps/min pour une vitesse d'exécution du travail très rapide.Sa construction compacte en ligne est idéale pour les travaux de démolition verticale et les burinages intenses.Il est également pourvu d'un variateur de vitesse électronique pour ajuster la cadence de frappe en fonction de la tâche à accomplir. Sa fonction Variolock rend possible l'orientation du burin sur 12 positions différentes pour trouver l'angle d'attaque optimal sur le matériau.
Il y a 5 ans et 32 jours

Isola 3 de KE créé un nouvel espace outdoor pour le restaurant italien “Il Casale da Renatone”

Le revendeur KE STORE Arredamenti Crispino a été contacté par le propriétaire du restaurant pour concevoir un nouvel espace extérieur, à la fois fonctionnel et en parfaite adéquation avec le contexte esthétique d'une ferme typique. Une nouvelle zone protégée, qui peut être utilisé et exploité à tout moment de l'année et où vous pouvez placer librement et espacer vos tables en préservant l'intimité et en assurant la sécurité nécessaires aux clients.Les concepteurs du KE STORE d'Isernia se sont concentrés sur la pergola ISOLA 3 de KE: des lignes pures, un toit légèrement arqué équipé avec une toile d'une élégante nuance de blanc mat de chez Ferrari Blockout et créé par Giovanardi ainsi que des fenêtres coulissantes pour pouvoir profiter pleinement de la nature environnante.Une fois de plus, KE se confirme comme le partenaire par excellence pour tous les restaurateurs qui ont envie ou besoin de moderniser l'espace outdoor de leurs locaux. Les structures ont non seulement un design sophistiqué, mais sont parfaitement adaptées à la création de véritables îlots extérieurs, dans le but de pouvoir accroitre sa capacité d'accueil. Hermétiquement refermables sur les côtés, en effet, ils s'adaptent parfaitement à toutes les conditions climatiques. De cette façon, les restaurateurs sont assurés de travailler avec plus de continuité et profite d'un double avantage: pouvoir offrir aux clients un lieu de prestige avec plus de place disponible, sans les inconvénients liés à la saisonnalité et aux intempéries.Dans ce cas précis, une nouvelle zone de 100 mètres carrés a été construite, elle vient compléter le bâtiment principal et répond parfaitement au besoin éventuel de créer des espaces bien séparés et délimités, sans compromettre le style de la pièce. Le kit de lumières LED RGB sur tout le périmètre externe d'ISOLA 3 crée un effet scénographique au coucher du soleil, tandis que les rideaux drapés installés juste devant les fenêtres coulissantes à l'intérieur ajoutent une touche d'élégance classique faisant rappel à la décoration du restaurant.Caractéristiques techniques :GENNIUS ISOLA 3 – Pergola en structure aluminium, disponible en version autoportante ou adosséeDimensions maximales: 550 cm de largeur x 700 cm d'avancéeHauteur du périmètre: 23 cmSystème autoportant dans les dimensions 550 cm x 700 cm avec 4 colonnesSystème adossé dans les dimensions 550 cm x 700 cm avec 2 colonnesSystème entièrement modulaire en largeur et en avancée avec différentes possibilités de construction.En option: kit d'éclairage LED blanc dimmable sur le périmètre interneEn option: kit d'éclairage LED RGB dimmable sur périmètre externeEn option: store vertical latéral Vertika intégré jusqu'à 6 mètres et entièrement dissimulé dans le périmètreEn option: rideau drapé sur le périmètre interneEn option: fenêtres panoramiques coulissantesVis en acier inoxydable non visiblesFiche d'identité du chantier :Nom du projet: Restaurant “Il Casale da Renatone”- “La Ferme de Renatone”Localisation: S.S., Strada Statale 85 var Variante di Venafro, 86077 Pozzilli (IS) Revendeur: KE Store Arredamenti Crispino - Viale S. Nicandro, 116, 86079 Venafro IS Projet: KE Store Arredamenti Crispino - Viale S. Nicandro, 116, 86079 Venafro IS Client: privéSurface couverte: 100 m² Produit installé: Pergola Gennius ISOLA 3, dans les dimensions 10 x 10 mètres, couleur RAL 9010 blanc avec kit d'éclairage LED et fenêtres panoramiques coulissantes.Toile utilisée pour la couverture: Serge Ferrari 602-50537 BLOCKOUT par Giovanardi.
Il y a 5 ans et 32 jours

Le groupe Hexaom et Nexhome signent un partenariat innovant pour la sécurité du domicile

« Une enquête menée auprès de nos clients en 2019, a révélé que le besoin de sécurité des acquéreurs d'une maison est très fort » nous indique Loïc Vandromme, secrétaire général du groupe HEXAOM, qui précise « dans l'année qui suit l'emménagement, nous avons constaté que près de 60% de nos clients s'étaient équipés d'une solution de sécurité, plus ou moins fiable. »En réponse à ce constat, HEXAOM a décidé, de traiter la sécurité du domicile comme une priorité, dès la construction, et non plus comme un sujet secondaire que le client traiterait seul, ultérieurement.Dans ce but, HEXAOM a établi un partenariat, avec la société NEXHOME, un opérateur de sécurité, spécialiste des maisons neuves, qui a développé une offre de sécurité innovante, haut de gamme, efficace, simple et proposée à un prix enfin accessible à tous.« L'offre de la société NEXHOME nous satisfait à double titre souligne Loïc Vandromme :pour les clients : l'alarme connectée fournie par NEXHOME, donne accès à un vrai service de télésurveillance, à un prix très accessible (moins de 15 € TTC/mois) et flexible (le service est proposé sans obligation et sans engagement de durée) ; nos clients nous disent tout simplement : « c'est bien d'y avoir pensé » ;pour les constructeurs : NEXHOME fournit du matériel de haute sécurité, d'une grande marque, réputée pour sa fiabilité. Le processus de pose très souple ne perturbe pas du tout l'organisation de nos chantiers. Ainsi, la sécurité est un plus commercial, sans contrainte technique. »Pour le Groupe HEXAOM, dans une maison, la sécurité n'est pas une optionEn partenariat avec NEXHOME, HEXAOM est le 1er constructeur national de maisons, qui commence à intégrer l'offre de sécurité, en base, dans des maisons neuves.Les chiffres sur la sécurité du domicile en France80%* des Français se disent souvent inquiets lorsqu'ils quittent leur maison.Cette crainte est fondée :1/2* : un Français sur deux sera victime d'un cambriolage dans sa vie.1/3* : un Français sur trois risque de subir un incendie dans sa vie.Une solution existe :les risques diminuent de 75%*, dans une maison équipée d'une alarme fiable, connectée à un PC de télésurveillance, dont les agents sont habilités à appeler directement les forces de l'ordre en cas d'intrusion, ou à alerter immédiatement les pompiers, en cas de départ de feu. Pourtant, moins de 7%* des foyers français sont équipés d'une alarme connectée, avec un vrai service de télésurveillance (versus 14%* dans de nombreux pays européens et 25%* aux Etats-Unis). Le marché français :D'après l'atlas de la sécurité 2019, fin 2019, il y avait environ 1,45 Millions de foyers bénéficiant d'un service de télésurveillance en France.Pourquoi un si faible taux d'équipement en France ?Le principal frein est le prix des services de télésurveillance : il faut compter généralement de 30 € à 45 € TTC par mois, pour un service de qualité. Un prix qui n'est malheureusement pas accessible à tous !NEXHOME résout ce paradoxe avec une offre de télésurveillance accessible à tous à moins de 15 € TTC / mois.* Source : Argus de l'assurance**L'autorisation d'exercer ne confère aucune prérogative de puissance publique à l'entreprise ou aux personnes qui en bénéficient.
Il y a 5 ans et 32 jours

Malerba signe une trilogie numérique non virtuelle

Affichant aujourd'hui 11 unités de production et un chiffre d'affaires de plus de 190 millions d'euros pour 500 collaborateurs, MALERBA revendique une conception et une fabrication 100 % françaises. L'entreprise développe des solutions spécifiques de blocs-portes pour chaque marché, avec, en fil conducteur, performances et qualité, qu'il s'agisse d'esthétique mais aussi d'isolations thermique et acoustique, de résistance au feu ou à l'effraction ou bien encore de sécurisation des flux.Dans sa démarche d'innovation continue, l'industriel rhône-alpin, qui valide 25 à 30 nouveaux procès-verbaux et rapports d'essais par an, mise tant sur le développement de nouveaux produits que sur l'élaboration d'une palette exhaustive de services. Consolidant cette logique d'accompagnement clients, MALERBA annonce aujourd'hui une trilogie d'innovations numérique.Ainsi, outre l'annonce de la disponibilité de 99% de ses références en objets BIM, MALERBA crée la rupture au travers de véritables expériences immersives de show-rooms virtuels, dédiés aux secteurs de l'Habitat, des ERP/Tertiaire et de l'Industrie, pour concevoir, en quelques clics seulement, son bloc-porte ou sa porte technique, à façon. Autre innovation numérique, les équipes Prescription et agents commerciaux peuvent désormais proposer aux professionnels la possibilité de vivre, en 5 minutes environ, un essai feu en conditions réelles. Munis d'un oculus go, ils pourront, grâce à une vidéo tournée à 360° lors d'un véritable essai feu mené dans le laboratoire d'essais d'orientation MALERBA, mieux appréhender tous les enjeux autour de la sécurité incendie et la technicité des produits conçus par MALERBA.MALERBA : l'innovation BIMSeulement deux ans après s'être emparé du sujet BIM, MALERBA propose aujourd'hui une bibliothèque d'objets BIM complète et aboutie, avec la mise à disposition d'objets paramétriques et d'objets paramétrés, ainsi qu'un service support dédié au sujet du BIM. D'ailleurs MALERBA annonce la disponibilité de 99% de ses références produits dans cette base d'objets ; une information qui prévaut également pour les solutions MONTIBERT, soit quelque 968 objets BIM MALERBA et MONTIBERT disponibles ; les 1 % restant étant créés à la demande, via le service SupportBIM MALERBA qui dispose de toutes les compétences requises pour les réaliser.Intelligents, allégés, riches en données, les objets BIM MALERBA et MONTIBERT permettent à l'industriel de se démarquer commercialement et font la différence chez les bureaux d'études comme sur les chantiers, d'autant plus qu'ils sont complétés, depuis mi 2018, de toute l'expertise du SupportBIM, le service dédié au BIM chez MALERBA.Ce département MALERBA, qui traite 80% des demandes entrantes sous 48 heures, est en charge de développer les objets BIM paramétriques ou spécifiques et met aussi à disposition les données structurées des produits. Que le projet soit en phase amont ou chantier, il apporte des solutions adaptées à chaque profil de professionnel (objets paramétrés pour DOE numérique, paramétriques à la demande, conversion au format spécifique demandé, etc.).Ainsi, les objets BIM MALERBA répondent à tous les besoins, allant du basique LOD 200 (dimensionnement de l'encombrement) au complexe LOD 550 (niveau de détail précis). De même, mentionnons que MALERBA peut répondre aussi, sous REVIT, avec des objets RFA, mais aussi sous ARCHICAD avec des objets chantiers paramétrés au format IFC. Sous les logiciels métiers (Tekla, All Plan, Advent, Sketchup, etc.), MALERBA est capable d'assurer 100 % des demandes avec des objets chantiers paramétrés au format IFC ou en DWG 3D, accompagnés d'un fichier .txt intégrant les données structurées. Enfin, les données structurées des références MALERBA et MONTIBERT sont accessibles sur la base EDIBATEC avec une mise à jour régulière au gré des publications des évolutions.Fort du constat que ce service connait un succès croissant et que les clients et les prescripteurs apprécient d'avoir un interlocuteur expert dédié, David PALMERO, Directeur Commercial de MALERBA, précise : « Nous avons fait le choix de développer nos propres objets et d'apporter du support aux projets BIM, d'abord parce que cela fait partie de la philosophie de MALERBA de toujours apporter des solutions globales et concrètes. Ensuite, parce que nous souhaitons accompagner toutes personnes intéressées par les objets blocs-portes dans leur démarche et simplifier leur quotidien. Si nous passions par des plateformes de téléchargement par exemple, sans contact direct avec les utilisateurs de ces objets, nous ne serions pas en capacité d'apporter le niveau de service que nous proposons aujourd'hui et cela nous priverait d'une dimension « veille marché » importante pour nous. » Et de conclure : « Aujourd'hui, nous constatons que les bureaux d'études sont avant tout demandeurs d'objets REVIT, alors que nos clients réclament des objets REVIT mais aussi des données exploitables pour des logiciels métiers tels que Tekla Structure ou BIM Cloisons. Les demandes qui nous parviennent pour des objets sous ARCHICAD sont plus marginales. Chez MALERBA, aujourd'hui, nous sommes en capacité de répondre à 100 % de ces demandes, quel que soit le logiciel utilisé.»MALERBA : l'innovation show-rooms virtuelsSi MALERBA dispose aujourd'hui de 2 show-rooms physiques reconnus et appréciés des professionnels pour leur grande qualité à Cours-la-Ville, ces derniers présentent néanmoins des limites puisqu'ils ne peuvent exposer qu'une sélection infime des produits disponibles dans les gammes MALERBA et MONTIBERT et un tout petit aperçu des différentes définitions et finitions. Ne pas pouvoir démontrer toute l'étendue de ses gammes de blocs-portes et leurs possibilités de personnalisation n'était pas satisfaisant pour MALERBA. Aussi, en complément de ses show-rooms physiques, l'industriel français a imaginé deux show-rooms virtuels, en réalité augmentée, qui permettent de personnaliser son bloc-porte ou sa porte, à façon.Développé avec un logiciel traditionnellement utilisé pour concevoir des jeux vidéo, ce nouveau service MALERBA transporte en effet le visiteur dans une autre dimension. Il s'y déplace physiquement comme dans un véritable point de vente afin de choisir son produit, son huisserie et sa finition, celle du vantail ou encore ses équipements, etc. C'est le même principe qu'un jeu vidéo, en plus complexe puisqu'il y a une infinité de combinaisons possibles ! D'ailleurs, de l'avis même des développeurs, il y a un nombre bien plus importants de scénarios de configurations pour un bloc-porte (plusieurs millions en fait) que de variantes dans un jeu…Le visiteur, plongé dans cette expérience immersive MALERBA, élabore le produit de son choix et peut le visualiser en quelques clics seulement. Notons aussi que le système permet de prendre une photo et de se faire envoyer par email le visuel et le descriptif complet du produit paramétré… pour alimenter par exemple le dossier d'un projet. Efficacité et services MALERBA obligent.Disponibles au siège social de MALERBA, ces nouveaux show-rooms en réalité augmentée peuvent également, pour les partenaires commerciaux qui le souhaitent, être installés dans les locaux de leur entreprise pour une journée. Une occasion particulière de montrer à leurs équipes ou à leurs clients, toute l'étendue des solutions produits du fabricant au travers d'une expérience particulièrement avant-gardiste et ludique qui les transporte dans un univers totalement numérisé.David PALMERO, Directeur Commercial MALERBA, résume : « L'année dernière, nous avons mené une vraie réflexion sur le futur visage de nos espaces show-rooms. Parce que nous commencions à déployer des objets BIM performants et à disposer de données bien structurées, nous avions dorénavant la possibilité de développer des espaces imaginaires et interactifs, avec l'aide d'un moteur de rendu 3D. C'est ainsi que le développement des objets BIM a conduit au projet de virtualisation des espaces show-rooms. Aujourd'hui, MALERBA présente 2 show-rooms virtuels « Portes habitat/ERP/tertiaire » et « PMT/PMIS », qui dupliquent et complètent idéalement les show-rooms physiques de Cours-la-Ville. Ces nouveaux espaces virtuels disposent de possibilités qu'aucun show-room physique ne pourra jamais présenter, puisqu'ils permettent de personnaliser les blocs-portes à l'envi. »MALERBA : l'innovation Essai Feu immersiveAutre volet des nouveautés numériques MALERBA à découvrir, la vidéo immersive en 360° d'un essai feu conduit dans le laboratoire interne MALERBA, de sa préparation à sa phase finale. Beaucoup de professionnels travaillant dans le domaine de la sécurité feu n'ont jamais eu l'opportunité ni de près, ni de loin, d'assister à un essai feu réel (seul le personnel du laboratoire est habilité généralement à assister à l'essai). C'est pourquoi MALERBA, qui possède son propre four d'essais feu, souhaitait leur transmettre cette expérience.Ce laboratoire est intégré au sein d'un bâtiment de 400 m² spécifiquement dédié pour assurer un fonctionnement en totale sécurité. Equipé de 10 bruleurs pilotés par ordinateur qui font monter la température intérieure très rapidement en suivant une courbe de consigne normalisée, le four d'essais MALERBA dispose d'une ouverture de 4 mètres sur 4. Il a été conçu pour recevoir des éléments constructifs non-porteurs tels que des blocs-portes ou des cloisons et évaluer leur résistance au feu.Les produits MALERBA et MONTIBERT y sont testés (50 à 60 produits par an) suivant les principes généraux précisés dans la norme européenne EN 1363-1, et les méthodes d'essais spécifiques EN 1364-1 et EN 1634-1 avec, pour objectif, de qualifier la résistance au feu pendant 30, 60 ou 120 minutes généralement. Notons que lors d'un essai de résistance au feu EI120 (=2 heures), la température du four monte jusqu'à 1 200° C.Mentionnons aussi qu'en complément des tests dans le four d'essais feu, le laboratoire MALERBA dispose également des compétences et de l'équipement pour réaliser des essais d'orientation acoustiques, à l'A.E.V., d'ensoleillement, de battements, de vérins de poussée et D.A.S.Très pédagogique, la vidéo de cet essai feu permet, en 5 minutes environ, de vivre un essai en conditions réelles, avec des explications claires et concises.Une expérience qui assure une meilleure compréhension des enjeux autour de la sécurité incendie et la technicité des produits mis au point par l'entreprise.En effet, MALERBA a eu l'occasion de présenter récemment cette vidéo à plusieurs reprises et les retours sont unanimes sur le réalisme et l'impression immersive ressentis. Il ressort également que cette expérience permet aux spectateurs, acteurs au quotidien de la sécurité incendie, de mieux prendre conscience de l'importance de leur activité et de leur responsabilité en matière de sécurité feu. De plus, ceux qui avaient déjà pu assister à un essai ont déclaré que c'était la 1ère fois qu'ils assistaient à la préparation et à la fin d'un essai dont ils ne soupçonnaient pas ni la complexité ni la technicité.David PALMERO de conclure : « En fait, nous avions la volonté de faire partager à tous les professionnels l'expérience d'un essai réel au feu, ce qui nous a rapidement conduits au choix technique d'une captation vidéo à 360°. Face à l'accueil enthousiaste, notre équipe Prescription et certains agents commerciaux MALERBA ont été dotés d'un oculus go pour donner l'occasion à tous professionnels intéressés de découvrir cette expérience dans les mois qui viennent ».Nouvelles FDES individuellesMALERBA confirme la finalisation de la première partie de son programme d'élaboration de FDES individuelles (Fiches de Déclaration Environnementale et Sanitaire), disponibles sur son site internet, rubrique « Démarche environnementale », et bien entendu, sur le site INIES. Ces FDES, propres aux produits MALERBA et MONTIBERT, sont basées sur l'Analyse du Cycle de Vie (ACV) et ont été vérifiées par une tierce-partie indépendante dans le cadre du programme de vérification INIES des FDES. Elles concernent tous les produits blocs-portes bois MALERBA et tous les produits MONTIBERT (blocs-portes bois vitrés, blocs-gaines bois, trappes de visite bois, châssis et cloisons vitrés bois).Nouveautés pour les gammes de blocs-portes HabitatMALERBA a aussi mené un travail sur ses gammes de décors et de finitions. Ainsi, sa gamme TON BOIS pour blocs-portes métalliques habitat a été totalement renouvelée avec une sélection de revêtements PVC affichant résistance aux UV et à l'air salin. Cette nouvelle gamme de décors TON BOIS pour blocs-portes métalliques remplace ainsi la gamme existante pour blocs-portes paliers. De plus, grâce à leurs caractéristiques techniques autorisant une utilisation en extérieur, ces nouveaux décors ont permis à MALERBA d'élaborer une toute nouvelle gamme pour ses blocs-portes d'entrée de maison individuelle.Par ailleurs, de nouveaux décors avec inserts décoratifs aluminium ont vu le jour pour personnaliser les blocs-portes bois paliers (gamme FIBER STYL') et les blocs-portes métalliques paliers (gamme STYL' ART) avec les modèles ZEN et FILETTI dans 2 versions : inox brossé et noir mat.Paumelles, serrures et cylindresPar ailleurs, MALERBA annonce que ses blocs-portes seront prochainement équipés avec de nouvelles générations de paumelles, fruits de 5 ans de recherche et de développement. Déjà commercialisée depuis quelques semaines, la paumelle PM2D a ainsi été conçue spécifiquement pour ses blocs-portes PMT et PMIS. Elle remplace avantageusement la solution antérieure de pivot avec capot en ABS noir, en améliorant considérablement l'esthétique des blocs-portes. Le fabricant s'apprête également à lancer une paumelle innovante conçue exclusivement pour ses blocs-portes bois. Parmi les caractéristiques distinctives de cette nouvelle référence, citons son esthétique d'une grande sobriété, parfaitement lisse, sans fourreau visible ni bouchon rapporté, ainsi que sa grande résistance mécanique. Enfin, MALERBA continue de diversifier son offre de serrures et cylindres connectés pour une ouverture sans clé. Dernièrement, MALERBA a ainsi validé la serrure connectée SOMFY sur ses blocs-portes bois paliers EI30 pour le neuf et la rénovation, venant compléter l'offre déjà existante avec le cylindre connecté ENT'R d'ASSA ABLOY.L'ensemble de ces nouveautés est à retrouver dans le catalogue HABITAT COLLECTIF 2020 et le document TON BOIS pour blocs-portes d'entrée de maison individuelle qui viennent de paraître.
Il y a 5 ans et 33 jours

Au Caire, l'installation de quatre sphinx antiques en pleine ville fait polémique

Vieux d'environ 3.500 ans, les sphinx à tête de bélier et corps de lion ont longtemps orné le temple de Karnak, dévolu au dieu Amon, l'une des principales divinités du panthéon égyptien.Leur transfert début mai sur la place Tahrir, épicentre de la révolte populaire de 2011, a été un déchirement pour certains Louxoriens."Je suis contre le transfert des statues. Ça m'attriste", a regretté Ahmed Idriss, un député du gouvernorat de Louxor."Louxor est un musée à ciel ouvert qu'il aurait mieux valu développer car la valeur des monuments est liée à leur emplacement historique", a-t-il ajouté.Les quatre pièces de grès ont été installées autour d'un obélisque de granite rose trois fois millénaire portant une représentation du roi Ramsès II, pharaon de la XIXe dynastie (1301-1236 avant J.-C.).Ce dernier avait été déplacé quelques mois plus tôt du site archéologique de Tanis, dans le delta du Nil."Objets inestimables"Ce projet urbanistique, lancé par les autorités en 2019, s'est attiré les foudres d'archéologues, de militants et d'universitaires, en raison notamment de l'exposition des pièces antiques à la pollution et à l'érosion.Fin 2019, une pétition demandant l'arrêt des travaux a été adressée au président Abdel Fattah al-Sissi.Invoquant la Convention de Venise (1964) pour la restauration et la préservation des monuments, les avocats du Centre égyptien pour les droits économiques et sociaux (ECSR), une ONG locale, ont même entamé une procédure judiciaire dénonçant la mise en danger "d'objets inestimables".La Convention de Venise a été adoptée par l'Unesco en 1974 et signée la même année par l'Égypte."L'importante pollution sur la place Tahrir va dégrader les objets (antiques)", qui risquent de perdre leur valeur historique, a mis en garde sur Facebook l'égyptologue Monica Hanna.Au cœur de la capitale égyptienne, la place Tahrir est très souvent embouteillée et enfumée.Tahrir héberge plusieurs bâtiments importants dont le musée égyptien, très prisé des touristes, où se trouvent des milliers d'objets antiques et le "Mogamma", un grand bâtiment de style soviétique qui abrite des services administratifs.C'est devant ce dernier que s'étaient réunis en janvier-février 2011 les manifestants de la révolte qui a balayé Hosni Moubarak, après 30 ans de règne.En décembre, M. Sissi annonçait que le transfert des statues sur la place la doterait d'une "touche de civilisation".Pourtant, "Tahrir", qui signifie "Libération", n'est pas dépourvue d'histoire aux yeux de l'architecte Ayman Badr."La place n'a pas besoin d'être décorée avec des éléments historiques (...) Sa valeur historique réside dans sa mémoire", estime-t-il.Entre autres transformations, les autorités prévoient d'unifier la couleur des façades qui entourent la place, d'ajouter de l'éclairage et de réduire le nombre de panneaux publicitaires.Face aux craintes de voir les statues vandalisées, le ministre du Tourisme Khaled al-Enany a affirmé que des piédestaux avaient été construits "afin que personne ne puisse les toucher" et assure que les nouveaux monuments de la place seront régulièrement entretenus.AttractivitéLa date d'inauguration de cette transformation symbolique reste inconnue --les sphinx et l'obélisque attendent sous emballages.Le patrimoine antique de l'Égypte constitue une source importante d'attractivité et alimente l'économie du tourisme, vitale pour le pays.Comme partout ailleurs dans le monde, ce secteur, qui représente 5% du PIB égyptien, est à l'arrêt depuis le début de la pandémie de nouveau coronavirus.En dépit des arguments officiels, M. Badr demeure perplexe quant au bien-fondé du nouvel agencement de la place.Selon lui, les sphinx et l'obélisque sont "éclipsés" par les imposantes constructions qui entourent la place.Mahmoud Zaki, guide touriste à Louxor, considère, lui, que les adversaires du projet "ne se rendent pas compte" de la gloire que représente la présence de ces œuvres sur "la plus célèbre des places d'Égypte".Un avis que partage l'expert en égyptologie Ali Abu Deshish: "Ça n'a pas de sens que des obélisques égyptiens se trouvent sur des places aux quatre coins du monde et qu'il n'y en ait pas sur Tahrir".
Il y a 5 ans et 33 jours

Près de 300 chantiers inscrits sur « Reprise Chantier » en seulement une semaine

Une semaine seulement après ce lancement, cette initiative solidaire remporte un franc succès. Les professionnels travaillant au sein d'entreprises de toutes tailles (des grandes majors du secteur aux PME locales) ont en effet téléchargé l'application afin d'accélérer la reprise de leurs chantiers en toute sécurité. Ce sont ainsi près de 300 chantiers dans toutes la France qui sont déjà inscrits sur l'application « Reprise Chantier ».Marc Germain, cofondateur de Wizzcad, déclare : « Nous ne nous attendions pas à enregistrer un volume de téléchargement si élevé dès la première semaine. Ces chiffres impressionnants témoignent de la nécessité, pour tous les acteurs du secteur, de relancer rapidement leur activité mais aussi et surtout de leur volonté de protéger les équipes en garantissant un niveau maximum de sécurité aux personnes. Nous sommes ravis d'un tel engouement autour de notre initiative et fiers de contribuer, à notre niveau, à accélérer la reprise du secteur ».
Il y a 5 ans et 33 jours

Isover propose de mieux comprendre les certificats d'économie d'énergie (CEE)

Pour accompagner les particuliers et professionnels à y voir plus clair, ISOVER propose tout un dispositif pour mieux comprendre les CEE, lutter contre la précarité énergétique et réduire la consommation énergétique. Les CEE, un puissant levier de développement du chiffre d’affaires des professionnelsRappel du dispositif des CEEDepuis 2005, l’État incite les particuliers et les collectivités à réaliser des travaux de rénovation énergétique en échange d’une prise en charge d’une partie des coûts de ces travaux sous la forme d’une prime ou de bons d’achat assumés par les fournisseurs d’énergie et les distributeurs de carburants (les obligés).Sont notamment éligibles aux CEE, les travaux d’isolation des combles, murs, sols et plafonds pour les bâtiments existant depuis plus de deux ans à la date d’engagement de l’opération. Le demandeur peut être propriétaire, locataire ou bailleur.Avec les objectifs actuels des CEE (1 600 TWh cumac), ce sont près de 9 milliards d’euros de CEE qui sont à réaliser. Autrement dit, 9 milliards d’euros à saisir sur le marché de la rénovation énergétique, notamment en isolant les logements !L’isolation est au coeur du système des CEE avec le dispositif “coup de pouce”Depuis début 2019, le dispositif des CEE est amplifié grâce à la prime “coup de pouce isolation” qui permet d’aider tous les ménages, partout en France, à réaliser des travaux d’isolation à moindre coût. Les aides bonifiées se font sans conditions de ressources financières et sont cumulables pour une prise en charge maximale du coût des travaux. Ainsi, les CEE se cumulent avec le CITE (Crédit d’Impôt Transition Énergétique), le taux de TVA à 5,5% et l’écoprêt à taux zéro (ECO-PTZ), permettant une économie sur le coût total des travaux allant de 50 à 70%*. Autant de leviers pour les entreprises pour obtenir des chantiers !*Source : Baromètre ISOVER/Futurethinking 2019ISOVER répond aux questions que se posent les professionnelsSi, en moyenne, les artisans connaissent quatre dispositifs d’aide aux travaux de rénovation énergétique, les CEE (35%) et le coup de pouce isolation (21%) demeurent en bas du classement, loin derrière les classiques TVA à 5.5 % (81%), PTZ (61%) et CITE (60%). Reste que les professionnels qui, connaissant les CEE, les jugent “complexes” pour les particuliers, alimentant ainsi pléthore d’idées reçues sur le sujet. (source : Étude Mai 2019 - Institut Future Thinking France pour ISOVER).ISOVER aide les professionnels à utiliser les CEE, via des outils pratiquesPour calculer, en quelques clics, le montant des aides pour des travaux d'isolation thermique en rénovation, ISOVER a mis en place un outil digital, pratique et rapide appeléCALCUL'AIDESUn PACK CEE ISOVER ENTREPRISES est également disponible gratuitement sur notre site pour les professionnels. Il est composé d'une réglette permettant de visualiser d'un coup d'oeil les économies réalisées par les clients sur les travaux d'isolation, et d'un guide pour connaître les correspondances des produits isolants par rapport au niveau de confort souhaité, éligibles aux aides financières.ISOVER accompagne les professionnels via de nombreuses formations, dont une pour obtenir la qualification RGE. Ce label, dit d'éco-conditionnalité, permet aux professionnels de faire bénéficier à leurs clients des aides fiscales de l'État.À partir du 16 septembre, et durant deux mois, ISOVER lance une vaste campagne de communication qui servira d'amplificateur pour recourir à la mise en place des Certificats d'Économies d'Énergie dans le cadre des enjeux de la Transition Énergétique.Cette campagne, qui tranche avec la tonalité d'une campagne classique, a pour vocation de mettre fin aux idées reçues des professionnels comme des particuliers en apportant des solutions concrètes pour favoriser les CEE.
Il y a 5 ans et 33 jours

Nouveau guide pratique « Les toitures et terrasses végétalisées – 2ème édition »

Pour concevoir, réaliser et entretenir une toiture végétalisée, dans les règles de l'art !Ce guide couvre la globalité de la démarche de mise en œuvre d'une toiture végétalisée:conception du projet ;choix des éléments porteurs et du complexe isolation-étanchéité ;choix du complexe de végétalisation ;traitement des ouvrages particuliers ;dispositif d'arrosage et zones de toiture inadaptées ;entretien des toitures et terrasses végétalisées.Le présent guide est basé sur les DTU de la série 43, les Règles professionnelles CSFEADIVET-L'enveloppe du bâtiment, le fascicule 35 du CCTG « Aménagements paysagers » et les normes produits en vigueur.Cette nouvelle édition prend en compte les évolutions des règles de l'art sur la base des nouvelles règles professionnelles et des Avis Techniques de procédés de végétalisation. Deux nouveaux chapitres sur les intervenants de la chaîne et sur les travaux préparatoires de la toiture (délimitation des zones plantées et non plantées, etc.) dans le cadre de la mise en œuvre de la végétalisation sont proposés. Parmi les compléments de cette nouvelle édition, on peut aussi citer, dans le chapitre 3, la distinction faite entre les éléments porteurs à usage structural (terrasses végétalisées multi-usages partiellement accessibles) et à usage non structural (terrasse végétalisée non accessible). La partie sur la végétalisation a également été actualisée.Auteur(s)Cette nouvelle édition a été rédigée par Ismaël Baraud, ingénieur évaluation au Pôle évaluation étanchéité couverture de la Direction Enveloppe Isolation et Sols du CSTB, et Claude Guinaudeau, expert des techniques du paysage et de l'environnement.Sommaire▪ Le domaine d'application du guide ▪ Les intervenants ▪ La conception du projet de végétalisation ▪ Typologie des structures de végétalisation des toits et terrasses ▪ Les plantes ▪ Les prescriptions d'exécution des ouvrages de toitures ▪ La mise en œuvre des structures du bâti support ▪ Les toitures-terrasses végétalisées et le développement durable ▪ La maintenance et l'entretien des toitures végétalisées ▪ Réglementation, normes et autres documents de référenceCollectionGuide Pratique développement durablePublic viséCe guide sera utile à tout professionnel concerné par un projet de toiture végétalisée : maîtres d'ouvrage, architectes, étancheurs, paysagistes, donneurs d'ordre, collectivités locales, services urbanisme...Points fortsGuide basé sur les DTU de la série 43 et sur les Règles professionnelles.Pas d'ouvrage réellement concurrent.Guide complet qui aborde l'ensemble du sujet.
Il y a 5 ans et 33 jours

Les charges d'ascenseur doivent tenir compte de l'étage

Ce critère de répartition des charges en fonction de l'utilité, et non en fonction de l'usage réellement fait par chacun, est rendu obligatoire par la loi du 10 juillet 1965 qui organise la vie en copropriété.Faire payer la même quote-part de charges d'ascenseur à l'occupant du premier étage et à l'occupant du cinquième est évidemment contraire, pour les juges, à ce critère d'utilité.La Cour explique que, devant une telle clause insérée dans un réglement de copropriété, chacun peut, à tout moment, quelle que soit l'ancienneté de cette clause, en réclamer l'annulation et demander une nouvelle répartition qui sera faite au besoin par la justice.Le syndicat des copropriétaires, dans cette affaire, soutenait que le copropriétaire du premier étage, qui contestait la répartition, ne prouvait pas que cette répartition égalitaire serait anormale ou contraire à la réalité, mais la Cour a exclu de tels arguments.(Cass. Civ 3, 9.5.2019, P 18-17.334).