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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Muuuz

(5579 résultats)
Il y a 9 ans et 177 jours

Svet Vmes : 9 Frames Hall

La rénovation du hall d'entrée de Poljane Grammar School située à Ljubljana, en Slovénie a remis en valeur cette pièce historique qui a été malmenée par les restaurations précédentes. L'agencement minimaliste redonne un coté majestueux à ce hall d'entrée de 58m². Le bâtiment de Poljane Grammar School construit en 1889 fait partie du patrimoine de la ville. Le studio d'architecture Svet Vmes a su remettre en valeur ses qualités historiques à un aménagement lumineux et minimaliste. Les ornements en stuc ainsi que les moulures ont été préservées et intégralement repeints en blanc offrant une atmosphère lumineuse propice à l'accueil des étudiants. Le carrelage du sol a été remplacé par un sol en granito gris clair formant un podium à degrés et offrant la possibilité aux étudiants de s'y assoir et d'y bavarder pendant les pauses. L'axe de symétrie, qui se prolonge à l'extérieur de l'édifice a été respecté. De part et d'autre du chemin menant à l'escalier, neuf volumes en verre et acier noir ont été disposés. Modulables pour certains d'entre eux, ils permettront aux étudiants ainsi qu'au personnel d'accrocher des affiches, ou des communiqués. Leur transparence laisse voir la blancheur immaculée des murs rénovés. La majesté du hall est soulignée par un luminaire rond minimaliste magnifiant le plafond en stuc de la fin du 19ème siècle. L'ensemble forme un espace semblable à une galerie d'art contemporain. Photographies de Matev¸ Paternoster Pour en savoir plus, visitez le site de Svet Vmes   
Il y a 9 ans et 178 jours

Sweco Architects : Hemsö Restaurant

Dans le cadre de l'ouverture au public de l'ancienne forteresse militaire de Hemsö en Suède, entièrement souterraine et datant de la guerre froide, l'agence Sweco a été mandatée pour concevoir le nouveau lieu de restauration destiné aux visiteurs. Depuis le site une vue est entièrement dégagée sur le grand paysage et sur le golfe de Bothnia. "A refined barrack" Sweco Architects Seul édifice visible à des kilomètres, les architectes ont pris soin de concevoir un lieu à l'échelle non imposante. Une architecture légère, à l'ossature en bois, abrite le restaurant sous une toiture en tôle inspirée du vocabulaire de l'aviation militaire. Le Hemsö Restaurant s'est construit en référence à l'histoire du lieu ; une architecture où la structure légère et apparente fait écho au vocabulaire rationnel des baraquements militaires ; ainsi qu'à la nature environnante : le bois est un matériau traditionnel et local, et les larges baies reflètent les éléments du paysage. Le pavillon de restauration a été bâtit contre la pente, une partie de la surface du bâtiment semble d'ailleurs incrustée au relief. Depuis l'intérieur c'est un mobilier et des parements en bois qui accueillent les visiteurs dans une ambiance réchauffée par les teintes de ce matériau. Les ouvertures cadrent la vue et mettent en scène la grande nature à la manière d'un tableau. Photographies : Tim Meier Pour en savoir plus, visitez le site de Sweco Architects  
Il y a 9 ans et 179 jours

SIDES CORE : Re-Edit

Un styliste japonais, désormais installé dans la région d'Osaka, a conçu à l'aide du couple d'architectes SIDES CORE un nouvel espace où il pourra exercer l'art de la coiffure. Les trois ont travaillé ensemble à la conception d'un cocon contemporain où règne une atmosphère légère et apaisante. "A space to refresh your heart and mind." SIDES CORE Le projet s'installe au rez-de-chaussée d'un immeuble d'angle, il profite ainsi d'une belle visibilité depuis l'espace public et de généreuses ouvertures lui apportant lumière et vue. Les murs et le plafond ont étés peints en blanc à l'exception de certains éléments de remplissages recouverts d'un gris pâle. Contre les murs et les ouvertures donnant sur la rue a été placé une série de rideaux fins dont la maille, poreuse à la lumière, assure une relative discrétion et donne à l'espace une ambiance toute en légèreté. Grâce à la mise en place de ce filtre, la limite est toujours franche mais semble être diluée dans l'espace. Le mobilier a été choisi en bois, avec de très légères touches de couleurs. Tablettes et miroirs, dessinés pour le projet, sont accrochés finement par un câble fin et ses crochets depuis une platine jaune implantée au plafond. Une grille de platine ponctue le plafond de petites touches colorées et offre de la modularité à l'espace. Un endroit est resté discret, derrière une paroi de verre intérieure, il s'agit d'une cabine qui accueille deux bacs à shampoing. Photographies : Yoshiro Masuda Pour en savoir plus, visitez le site de SIDES CORE  
Il y a 9 ans et 179 jours

DeltaLight : Fifty-5

Fifity-5 est une applique murale donnant l'illusion d'une géométrie lumineuse. Dessinée à la manière d'une perspective cubique à moitié étirée, elle joue avec ombres et lumière pour amplifier l'effet d'optique. Le luminaire envoie sa lumière vers le sol de manière diffuse, et vers le plafond de manière plus franche et structurée, les lignes sont beaucoup plus démarquées. Fifty-5 se décline dans une version blanche et dans une version noire avec un insert noir, blanc ou or. Pour en savoir plus, visitez le site de DeltaLight  
Il y a 9 ans et 181 jours

Tommaso Garavini : Supernova

Le mois dernier, l'italien Tommaso Garavini a investi le pavillon de Rome au Festival Out Door, qui s'est déroulé du 1er au 28 novembre 2015. Cet artiste pluriel a réalisé la mise en espace d'une partie du pavillon où la nature s'épanouit par touches. Combinant une formation à l'Académie des Beaux-Arts à Rome ainsi que des études de scénographie, Tommaso Garavini a réalisé dans le cadre du Festival Out Door, qui s'est déroulé à Rome au mois de novembre dernier, une installation au Pavillon de Rome où cohabitent la nature et des créations humaines. A travers l'installation Supernova Tommaso Garavini questionne sur la place de l'homme dans l'univers. Il y a 4 niveaux dans cette installation, et chacun explore un sujet. "Nous ne sommes rien, dans le sens le plus pur du terme, par rapport à ce qui nous entoure dans l'univers. Un millionième de millionième d'un grain de sable." Tommaso Garavini. Niveau 1, le tronc-corps. Sous la table, un tronc d'arbre calciné évoque la forme d'un corps avec les jambes brûlées. Il représente l'ignorance et la misère de l'homme, trop attaché à la matérialité. Niveau 2, les phases de la lune. 11 assiettes posées sur la table représentent les 11 phases lunaires. La lune est l'objet céleste le plus proche de la terre, elle est le premier lien visible entre nous et l'univers. Cet astre a une profonde influence sur notre vie quotidienne. Niveau 3, le nuage. Au-dessus des phases de la lune, une structure métallique imite par son assemble hasardeus la formation chaotique des nuages. Les pièces de métal ont été découpées et soudées au hasard pour former des triangles qui créent un ensemble harmonieux. Niveau 4, Kokedama. De multiples kokedama " c'est un art japonais qui se situe à mi-chemin entre le bonsaï et l'ikebana " semblent flotter telles des planètes dans l'espace, lui confèrent une atmosphère de légèreté et de délicatesse et s'animant au grès des courants d'air. Ce système planétaire miniature est une métaphore de la puissance de la vie. Conclusion : échelles. Sur le mur du fond, des petites échelles en fils rouges se répètent à la manière d'un papier peint. Symboles d'une élévation spirituelle, elles sont une invitation à regarder le ciel et la grandeur de l'univers. L'installation de Tommaso Garavini peut se lire comme une salle à manger, où l'artiste invite chaque visiteur à savourer chaque jour ce que la vie et la nature nous offrent. Pour en savoir plus, visitez le site de Tommaso Garavini et le site du Festival Out Door
Il y a 9 ans et 181 jours

Collectif GFR et RStyles : Rosa Parks fait le mur

L'"uvre de street art qui s'étend sur 400m le long des chemins de fer partant de la Gare Rosa Parks à Paris sera inaugurée le 19 décembre 2015. Ce Mur-Forum est un projet financé grâce au budget participatif de la ville de Paris qui vise à redynamiser le quartier par le biais de cet espace d'expression libre créé par et pour les citoyens. Il y a 60 ans, le 1er décembre 1955, Rosa Parks, une couturière quadragénaire noire refuse de céder sa place à un passager blanc dans un bus dans l'Alabama. Presque en même temps que l'inauguration de la gare Rosa Parks (le 13 décembre) rue d'Aubervilliers à Paris dans le 19ème arrondissement, aura lieu celle du Mur-Forum Rosa Parks situé du 104 au 164 rue d'Aubervilliers. Cette "uvre participative a généré un nouvel espace de dialogue entre les habitants qui se sont investis d'octobre à décembre 2015 par le biais d'ateliers-débats pilotés par l'association GFR et RStyles durant lesquels ils ont échangé avec les artistes de street art du monde entier qui sont intervenus sur le mur, et participé avec eux. Faire appel au street art pour le projet Rosa Parks fait le mur a été une évidence pour les porteurs du projet. Pour eux, il y a un lien direct et puissant entre le geste historique de Rosa Parks et ce moyen d'expression urbaine : c'est l'appropriation et l'investissement de l'espace public, qui appartient à tout le monde. Ce projet collaboratif, créée et pensée par " et pour " les habitants rend ainsi un bel hommage à l'acte de résistance de Rosa Parks, qui a été fondateur dans la lutte des droits civiques. Mur-Forum Rosa Parks, 104 au 164 rue d'Aubervilliers, Paris 75019. Inauguration le samedi 19 décembre à 16h30. Pour plus d'informations, visitez le site de Rosa Parks fait le mur
Il y a 9 ans et 181 jours

Fild : Podolyan Store

Le Podolyan Store, créé par le studio Fild pour la marque de vêtements éponyme, se situe en plein c"ur de Kiev, la capitale Ukrainienne. L'intérieur du magasin aux couleurs sombres est composé avec diverses textures créant un véritable épiderme à l'intérieur de la boutique. Le noir et le gris profond qui habillent ce magasin de vêtements sont propres à la marque Podolyan. La grande arcade de l'immeuble pré-révolutionnaire investi par la boutique permet d'y faire largement pénétrer la lumière naturelle, renforcée par les multiples sources d'éclairage intérieur imaginées par Dan Vakhrameyev, le créateur de Fild. Le carrelage triangulaire du plancher se prolonge par un revêtement en bois de forme et teinte semblables sur le mur du fond, entrainant le regard vers le plafond noir à moulures et masquant ainsi habilement la porte donnant sur les locaux privatisés de la boutique. Un escalier suspendu noir et blanc amène les clients à l'étage où se situe l'atelier de couture. Dan Vakhrameyev a imaginé pour cet intérieur un mobilier aux lignes claires, minimalistes et subtiles en contraste avec l'intérieur sombre. Des structures grillagées multifonctionnelles servent de support de décoration/d'exposition de produits. Les 80m² de la boutique se retrouvent ainsi modelées par des lignes fines qui quadrillent et structurent l'espace. "Afin de souligner l'espace de la boutique, nous avons décidé de produire des meubles légèrement sophistiqué et exquis et de garder la vitrine aussi transparente que possible pour une bonne visibilité depuis la rue. En d'autres termes, l'idée était de faire l'intérieur une vitrine afin d'attirer l'attention des passant." Dan Vakhrameyev Photographies de Roman Pashkovskiy Pour en savoir plus, visitez le site de FILD 
Il y a 9 ans et 181 jours

Centre Pompidou : Anselm Kiefer

A partir du 16 décembre 2015, le Centre Pompidou à Paris accueillera une grande rétrospective consacrée à Anselm Kiefer. Elargie par l'exposition de ses livres-sculptures à la Bibliothèque Nationale de France, ces deux expositions rendent pleinement compte de l'"uvre monumental de cet artiste contemporain majeur. Né en 1945 en Allemagne, Anselm Kiefer vit et travaille dans le sud de la France depuis plus de 20 ans. L'exposition qui lui est consacrée au Centre Pompidou présentera une soixantaine de ses peintures, mais aussi certaines de ses installations et ses vitrines-objets. Saturées de matières diverses comme le plomb, le sable, la suie, la terre, le ciment et la cendre, les "uvres de Kiefer sont chargées d'interrogation obstinées concernant les destructions provoquées par la Seconde Guerre Mondiale, et le national-socialisme qui ont profondément marqué cet artiste. Ses installations monumentales font référence aux bombardements subis par l'Europe lors de ce conflit mondial. "Pour se connaître soi, il faut connaître son peuple, son histoire... j'ai donc plongé dans l'Histoire, réveillé la mémoire, non pour changer la politique, mais pour me changer moi, et puisé dans les mythes pour exprimer mon émotion. C'était une réalité trop lourde pour être réelle, il fallait passer par le mythe pour la restituer." Anselm Kiefer A La Ribaute, son ancien atelier en plein air situé à Barjac (Gard), l'artiste a totalement remodelé le paysage en recréant sur un terrain vague un paysage urbain représentant une étrange ville dépouillée, en ruines, constituée de rebuts de chantier. Kiefer appelle cet ensemble " l'architecture inversée " . La double rétrospective des "uvres d'Anselm Kiefer, hantées par le passé de l'Allemagne et la dévastation, rend compte de son travail empreint d'un aura puissant et mélancolique. Visitez le site de l'exposition d'Anselm Kiefer au Centre Pompidou et le site de son exposition L'alchimie du livre à la BnF.  Anselm Kiefer au Centre Pompidou, Place Georges-Pompidou, 75004 Paris, du 16 décembre 2015 au 18 avril 2016, tlj sauf le mardi de 11h00 à 21h00, 14¤/11¤. Anselm Kiefer, l'alchimie du livre à la Bibliothèque Nationale de France, Quai François Mauriac, 75013 Paris, du 20 octobre 2015 au 7 février 2016, du mardi au samedi de 10h à 19h, dimanche de 13h à 19h, lundi et jours fériés, 11¤/9¤.
Il y a 9 ans et 182 jours

William Hall, Léonard Koren : Béton

Le béton, sujet majeur en architecture, a depuis l'antiquité, et jusqu'à nos réalisations contemporaines, été l'un de ces matériaux avec lesquels l'Architecture a su évoluer et relever défis structurels et esthétiques. Néanmoins, selon William Hall et bien d'autres, une perception négative de ce matériau a pendant longtemps dominé les esprits. Béton, est un ouvrage qui offre, sous un "il militant et une plume engagée, une exploration visuelle de ce matériau. Le livre présente l'esthétique et la variété de l'architecture en béton au travers d'une exploration de 175 édifices construits de la Rome antique à nos jours, dans le monde. Les éditions Phaidon invitent, sous une couverture texturée à la manière d'un béton matricé, 576 pages à la gloire de ce matériau devenu essentiel à la narration de la grande Histoire de l'Architecture. L'ouvrage réuni des édifices qui interrogent et fascinent encore. Les 175 bâtiments, des projets novateurs et charismatiques, sont présentés selon l'usage du béton dans l'architecture présentée : la Forme, la Texture, la Juxtaposition, le Paysage, la Lumière, la Masse, la Présence et l'Échelle. "Comment a t'on pu qualifier ce matériau d'austère, froid, insipide ? Mon expérience prouvait le contraire : le béton est une matière vivante et changeante"  William Hall William Hall affirme, dans son introduction, qu'une perception négative du béton a longtemps dominé les esprits. S'il reconnaît volontiers qu'il existe des bâtiments en béton de piètre qualité, il impute cela plutôt à la rapidité de leur construction ou aux trop petits budgets qui leur sont alloués plutôt qu'au matériau lui-même. Dans cet ouvrage, William Hall invite les lecteurs à reconsidérer l'image du béton à travers l'étude de sa contribution à l'architecture. A propos des auteurs :Diplômé de la Central Saint Martins de Londres, William Hall a débuté sa carrière dans l'agence de l'architecte minimaliste John Pawson. Après avoir été directeur artistique chez Phaidon Press, il dirige sa propre agence à Londres et travaille pour des clients comme Calvin Klein, le Henry Moore Institute et la Tate. Leonard Koren a écrit et conçu de nombreux ouvrages, dont le plus célèbre est Wabi-Sabi, For Artists, Designers, Poets & Philosophers (1994). En 1976, après avoir étudié l'architecture pendant deux ans à l'UCLA, il a fondé Wet, un des premiers magazines d'avant-garde des années 1970. Il est aujourd'hui consultant en design et en esthétique, et l'auteur de plusieurs ouvrages sur ces thèmes. William Hall, avec un essai de Léonard Koren, Béton, Paris, Phaidon, 2015, 576 pages. 175 illustrations, 39¤95, publié le 3 septembre, 25x29cm, ISBN 978 0 7148 7045 8 Pour en savoir plus, retrouvez l'ouvrage Béton sur le site de l'éditeur Phaidon Illustrations et Photographies : 0. Couverture Béton, Phaidon1. Teshima Art Museum, Teshima, Japan, 2010, Ryue Nishizawa - Noboru Morikawa2. Sun Moon Lake Visitor Centre, Yuchih Township, Taiwan, 2010, Norihiko Dan - Norihiko Dan and Associates3. Solomon R. Guggenheim Museum, New York, New York, USA, 1959, Frank Lloyd Wright - © The Solomon R. Guggenheim Foundation, New York. Photograph by Robert E. Mates4. Concrete-Pod, Nagoya, Japan, 2005, Kazuya Morita - Ichiro Sugioka    
Il y a 9 ans et 182 jours

Vantot : Limpid Lights

Vantot est un studio de design originaire des Pays-Bas. La dernière création de Sam Van Gurp et Esther Jongsma, fondateurs du studio, est une collection de lampes suspendues dont les sources lumineuses se déplacent à l'intérieur de leurs corps. Colorés, et de différentes textures les corps des lampes sont en verre soufflé. En manipulant l'objet, la lumière se transforme de manière ludique et peut devenir floue, fumée, sombre, brumeuse, ou encore plus ou moins colorée. Le réglage s'obtient par une action sur le câble suspendu depuis l'intérieur du corps de la lampe. Pour en savoir plus, visitez le site de Vantot
Il y a 9 ans et 182 jours

Wonk Architectes : Centre culturel de Meurchin

Les volumes sobres du centre multiculturel de Meurchin imaginé par le studio Wonk Architectes accueille une bibliothèque, une école de danse, une école de musique ainsi qu'une salle multifonction. La modernisation des services liés à la culture a été un enjeu important pour cette commune du Pas-de-Calais. Les trois volumes de l'édifice s'articulent autour d'une parcelle étroite de la place centrale, face à la Mairie et à l'église, la configuration du terrain lui donnant une allure insolite. L'aspect extérieur joue sur les contrastes des matériaux avec des façades en brique, matériau typique de la région, et un bâtiment en verre misant sur la transparence. A l'intérieur, la sobriété et la luminosité sont de mise avec un espace aux tonalités majoritairement blanches, égayé par des accents colorés apportés par le mobilier. D'autres matériaux, comme le béton ou la présence de parquet ajoutent du relief à l'intérieur immaculé des trois entités. Cette architecture montre à la fois la volonté de la municipalité de préserver l'intégrité de son cadre urbain et son envie de se tourner vers l'avenir avec un projet résolument moderne. Photographies de Guillaume Guérin Pour en savoir plus, visitez le site de Wonk Architectes 
Il y a 9 ans et 182 jours

Jessica Ross, Emily Wallace and Cathrynn Healy : Disposture

Trois étudiantes en design ont créé une assise délibérément peu commode qui encourage l'utilisateur à explorer de nouvelles postures embrassées dans une série complexe de sections de bois. L'exploration se fait au travers d'une découverte, à la limite entre art et design, où le corps et l'objet se répondent dans un mouvement devenant presque danse. Disposture a été imaginée et conçue par Jessica Ross, Emily Wallace et Cathrynn Healy, dans le cadre du programme de design d'intérieur au Duncan Jordanstone College of Art and Design à Dundee en Ecosse. Le meuble est fabriqué à partir de sections de chêne massif disposées en clairevoie et vissées ensemble afin de donner forme à une spirale non conventionnelle.  
Il y a 9 ans et 182 jours

Pedro Marzorati : Where the tides ebb and flow

Des silhouettes d'hommes nus grandeur nature d'un bleu éclatant se sont retrouvées plus ou moins immergées dans le lac du parc Montsouris situé dans le 14ème arrondissement parisien. L'installation de Pedro Marzorati qui anime le bassin est présente dans le cadre de la COP21 jusqu'au 15 décembre. Elle illustre de manière poétique le thème de la montée des eaux suite au réchauffement climatique. Cette "uvre, qui se positionne comme un acte de militantisme artistique fait écho aux populations des habitats menacés par la montée des eaux due au réchauffement planétaire et les catastrophes naturelles qui en découlent. Cette installation, présentée pour la première fois en 2008 aux Pays-Bas, est particulièrement pertinente en marge de la conférence mondiale sur le climat qui se déroule actuellement à Paris, et dont l'enjeu principal est la lutte contre les changements climatiques liés à l'activité humaine. Pedro Marzorati, Where the tides ebb and flow, Parc Montsouris, Paris 75014, Du 10 octobre au 15 décembre, de 9h à 19h. Pour en savoir plus, visitez le site de ArtCOP21  et le site de Pedro Marzorati 
Il y a 9 ans et 182 jours

Collectif Parenthèse : Leave or Use

Le Collectif Parenthèse conjugue les disciplines au travers de réalisations en architecture, scénographie et design. Leave or use marie bois et cuivre et offre à la créatrice Louise Bonenfant un meuble support de sa nouvelle collection. Hybride et modulable, Leave or Use se replie et se redéploie en composant sa structure "en totem" des deux boîtes qui le contienne. Leave or use a été imaginé à l'occasion du Pop-Up store de la créatrice Louise Bonenfant à la galerie Nikki Diana Marquardt en décembre 2015. Pour en savoir plus, visitez le site du Collectif Parenthèse  
Il y a 9 ans et 182 jours

Maison & Objet Paris Janvier 2016 : WILD

Dans un monde où surabondent la domestication, l'urbanisation et la technologie, la nature cherche à reprendre ses droits en s'aventurant hors des sentiers battus. C'est en faisant ce constat que les membres de l'Observatoire de Maison & Objet ont choisi pour la prochaine édition, qui se déroule à Paris du 22 au 26 janvier 2016, la thématique WILD. A travers un imaginaire qui s'ensauvage, les créateurs puisent leurs idées dans l'innocence d'un paysage intact, l'harmonie de la Terre-Mère, la profondeur la forêt. Ce thème de saison est décliné selon trois modes : le film d'Inspirations, le parcours d'Inspirations et le Cahier d'Inspirations. "Entre menace de la disparition et espérance d'une renaissance, la nature reprend le dessus et s'exprime dans tous ses états premiers, du sauvage au sacré." Marie-Jo Malait, Rédactrice en chef du Cahier d'Inspirations. Pour François Bernard, scénographe de l'Espace d'Inspirations, le thème " sauvage " est apparu comme une synthèse de deux tendances actuelles, le soft et le raw, le sophistiqué et le brut. L'idée est de sortir de notre zone de confort pour nous questionner sur notre place dans le vivant, afin de retrouver le lien rompu entre l'homme et la nature à travers des disciplines aussi diverses que les arts plastiques, la gastronomie, l'art de vivre, la cosmétique et les arts décoratifs. L'Espace d'Inspiration ouvre sur l'idée originelle du sauvage, avec l'évocation de la forêt profonde. Il se poursuit avec l'idée d'un ensauvagement de la ville dans ses interstices, mais aussi dans l'architecture des paysages domestiques et commerciaux. Enfin, le dernier volet de l'exposition aborde une dimension plus spirituelle du thème autour du sacré et du rituel. Cet Espace d'Inspiration sera prolongé par le Wild Café-Librairie, conçu par Elizabeth Leriche. Enfin, un espace de conférences permettra d'ouvrir le sujet et de le restituer dans le contexte plus global des tendances actuelles. Salon Maison & Objet Paris, du 22 au 26 janvier 2016, Parc des expositions Paris Nord Villepinte, de 9h30 à 19h sauf le mardi 26 janvier jusqu'à 18h. Pour en savoir plus, visitez le site de Maison & Objet   Photographies :- Photo 1 : Couverture du Cahier d'Inspirations n°28 " WILD, Copyright : Laforge- Photo 2 : Verter Turroni, Banc Olmo en fibre de verre, pour Laboratorio dell'Imperfetto, 2014- Photo 3 : Olivier Van Herpt, Adaptive Manufacturing, céramiques imprimées en 3D, Olivier Van Herpt. Copyright : Dirk Van Den Heuvel- Photo 4 : Studio Maarten Kolk & Guus Kusters, Herbaria, pour Thomas Eyck- Photo 5 : Fredrikson Stallard & David Gill Gallery, Species 2- Photo 6 : Charles Fréger, Babugeri, de la série Wilder Mann (2010-11).  
Il y a 9 ans et 182 jours

Patrick Norguet : Knit

Knit est une collection de tables et d'assises extérieures imaginées par Patrick Norguet pour l'éditeur Ethimo. Le designer a conçu sa collection autour d'un mélange de matériaux entre bois et tissus pour un résultat élégant affichant aussi sa robustesse. La collection Knit utilise matières naturelles et couleurs minérales, pour une gamme qui saura prendre naturellement sa place sur les terrasses et au c"ur des jardins, mais qui pourra également se glisser facilement dans les salons et les séjours. Pour en savoir plus, visitez le site de Patrick Norguet et de Ethimo  
Il y a 9 ans et 182 jours

FAT : Alentejo Country Hotel

L'Alentejo Country Hotel s'implante au c"ur d'un paysage de chênes liège et d'olivier dans la Serra de Grândola au sud du Portugal. L'architecture, introduite sur le site par l'agence FAT " Future Architecture Thinking, offre une posture de respect et de valorisation du milieu rural autour de l'hôtel. L'ensemble est composé de huit modules disposés sur le haut d'une colline, les chambres contemplent le grand paysage. Le paysage de la Serra de Grândola est composé de douces collines au c"ur d'un paysage qui semble s'étendre vers un horizon lointain. A seulement une heure de la capitale Lisbonne et à quelques minutes du village de Grândola, le contexte rural, au sein duquel le projet s'installe, a été favorisé par la beauté singulière du site. Le concept de l'hôtel et l'architecture développée par ses concepteurs ont été guidé par l'envie de favoriser la jouissance de la nature et la découverte de la culture régionale. La préservation des traits physiques et morphologiques du site, a dicté les principes de base de l'intervention architecturale : un dessin simple et élégant, inspiré par la nature et la richesse des paysages environnants. La disposition des arbres présents sur le site d'implantation a conduit à diviser le projet en plusieurs modules de plain-pied disposés entre ces derniers. L'hôtel se compose de huit volumes placés au-dessus du sol grâce à une structure minimisant notamment l'imperméabilisation des sols ainsi que l'étendue des fondations. Le plus grand volume offre l'entrée, la réception et un ensemble de lieux communs à tous les usagers. Les volumes les plus petits contiennent les installations du personnel, des locaux techniques, de stockage et de service. Les cinq autres volumes, d'une échelle équivalente, offrent 22 chambres et 2 suites, toutes avec de grands espaces, un design minimaliste et des terrasses privées face au paysage. Les volumes des chambres regroupent 4 ou 5 unités. Les bâtiments du projet évoquent l'image traditionnelle d'une maison. Les architectes ont souhaité exprimer les caractéristiques de l'architecture traditionnelle de la région au travers du principe formel de leur architecture et dans la sobriété des lignes et des matériaux. Les rondins de bois utilisés pour les façades établissent un dialogue avec le paysage environnant. Ils contrastent également par leurs textures et leur couleur avec les bâtiments blancs à la géométrie simple et raffinée. Photographies : Joa?o Morgado Pour en savoir plus, visitez le site de
Il y a 9 ans et 182 jours

Biennale des photographes du monde arabe : 1ère Edition

Co-organisée par l'IMA - Institut du Monde Arabe - et la MEP - Maison Européenne de la Photographie, l'événement se déploie sur 8 lieux de part et d'autre de la Seine autour de ces deux grandes institutions. Du 11 novembre au 17 janvier 2016, sont présentées les "uvres de 50 photographes contemporains qui opèrent depuis le début des années 2000, dans et sur le monde arabe. " J'ai voulu créer un événement photographique qui rende compte des transformations en profondeur de cette vingtaine de pays dont certains touchent à l'Europe, des progrès qui s'y font jour, des difficultés sans doute qu'ils peuvent rencontrer, mais aussi des raisons d'espérer que l'on peut observer si l'on est objectif. L'enjeu est d'apporter des points de vue différents, positifs sur le monde arabe, d'en révéler la richesse et les difficultés, les transformations trop peu connues, les confrontations de ses habitants à des événements, parfois chaotiques, dont ils sont victimes : la biennale doit être une sorte de radioscopie du monde arabe. Elle doit aussi montrer au grand jour des artistes de qualité internationale, dont nos institutions ont mission de révéler les talents. " Jack Lang, Président de l'Institut du monde arabe. A l'IMA, des séries de photographies d'une trentaine d'artistes originaires des pays arabes entrent en dialogue avec des travaux de photographes occidentaux. Leurs images touchent à l'histoire politique et sociale récente des pays arabes, via un véritable travail d'écriture visuelle, avec une tendance contemporaine de la photographie mêlant l'art au document. A la MEP sont présentées six expositions individuelles d'artistes. Parmi les exposants, l'artiste franco-marocaine Leila Alaoui, présente son travail qui explore l'identité, les diversités culturelles et la migration dans l'espace méditerranéen à travers une série de portraits sur fond noir. Quant au duo franco-italien de photographes Andrea & Magda qui travaillent au Moyen-Orient depuis 2008, il explore les conséquences de la mondialisation sur les territoires et l'économie. La richesse et la diversité des points de vue de ces artistes opérant aussi bien de l'intérieur que de l'extérieur du monde arabe, est particulièrement précieuse car elle contribue à sortir des clichés les plus éculés, à révéler des réalités cachées, volontairement masquées parfois, à améliorer la compréhension entre les peuples. Du 11 novembre 2015 au 17 Janvier 2016, dans les 8 lieux suivants : Institut du Monde Arabe, Maison Européenne de la Photographie, Cité des arts, Mairie du IVème arrondissement, association Graine de photographe, Galerie Basia Embiricos, Galerie Photo 12, Galerie Binôme. Pour en savoir plus, visitez le site de la Biennale des photographes du Monde Arabe,  le site de l'Institut du Monde Arabe  et le site de la Maison Européenne de la Photographie  Photographies : - Photo 1 : Wafaa Samir - Image extraite de la série "Ramadan" © Wafaa Samir. 'uvre exposée à l'IMA - Photo 2 : Andrea & Magda " Sinaï Park ", l'hôtel Al Farah, Taba, 2014 Courtesy Andrea & Magda. 'uvre exposée à la MEP - Photo 3 : Safaa Mazirh Sans titre, #5 Courtesy Safaa Mazirh et Galerie 127, Marrakech. 'uvre exposée à la Cité des Arts - Photo 4 : Giulio Rimondi " Intérieurs provisoires ", réfugiés syriens au Liban, 2013 Courtesy Giulio Rimondi. 'uvre exposée à l'IMA - Photo 5 : Yazan Khalili " 2.5' | f9 ", série Landscape of Darkness, 2010 Courtesy Yazan Khalili et Galerie Transit Mechelen, Belgique. 'uvre exposée à l'IMA - Photo 6 : Mouna Saboni " La peur " (série sur les femmes victimes de maltraitances), Égypte, 2015 Courtesy Mouna Saboni. 'uvre exposée à l'IMA - Photo 7 : Leila Alaoui. 'uvre exposée à la MEP - Photo 8 : Bruno Barbey. 'uvre exposée à la MEP - Photo 9 : Pauline Beugnies. 'uvre exposée à la Mairie du IVème arrondissement - Photo 10 : Massimo Berruti - Drops. Water crisis in Gaza and the West Bank, Palestine, 2015. 'uvre exposée à la MEP - Photo 11 : Pauline Beugnies - Génération Tahrir, Le Caire, 2012. 'uvre exposée à la MEP - Photo 12 : Stéphane Couturier - Alger, 2014 " Cité Climat de France. 'uvre exposée à la MEP  
Il y a 9 ans et 183 jours

Adam Wiercinski : ?ród?o.bar

Le ?ród?o.bar a été entièrement conçu et aménagé par l'architectepolonais Adam Wiercinski. Ce bar situé à Poznan en Pologne a été visuellement agrandi par son agencement et son mobilier de style industriel. Le bar à whisky ?ród?o.bar est situé dans une des artères les plus branchées de la ville, la rue Taczaka. Situé en sous-sol, l'espace a été complétement réhabilité ce qui a permis de faire apparaitre les murs en brique d'origine ainsi que le vieux parquet. A l'intérieur, l'espace de 45m² a été organisé par l'installation de quatre structures en acier grillagées dont la couleur noire n'entre pas en concurrence avec la multitude de matériaux bruts constituant l'intérieur, comme le fer rouillé ou bien les panneaux de MDF brut pour les tables. Le mobilier ainsi que l'éclairage ont été réalisés sur mesure par Adam Wiercinski. Ils donnent une touche colorée à l'ensemble avec des accents d'orange et de vert. L'été, le design graphique de cet espace se prolonge jusque dans la rue avec une terrasse délimitée par des pots de fleurs conçus également par l'architecte. La géométrie de cet intérieur a permis de dégager malgré la petite surface du bar un espace assez vaste pour accueillir les clients dans une ambiance contemporaine industrielle. Photographies de Przemys?aw Turlej et Damian Be?owy Pour en savoir plus, visitez le site de Adam Wiercinski   
Il y a 9 ans et 183 jours

Kimberly Elam : Géométrie du design

La deuxième édition de cet ouvrage de Kimberly Elam, parue à la fin de l'été 2015, décrypte des "uvres et créations des plus célèbres artistes et designer à travers les proportions établies par le nombre d'or. Auteur de nombreux ouvrages consacrés au design, Kimberly Elam est à la tête du département de communication graphique et interactive de la Ringling School of Art and Design en Floride, où elle enseigne également. Traitant du nombre d'or, Kimberly Elam fait pénétrer le lecteur au c"ur de la relation mystérieuse qui existe entre les mathématiques, la géométrie et l'esthétique. Elle fait un décryptage de la structure géométrique de l'équilibre visuel à travers divers exemples comme les oeuvres de Toulouse-Lautrec, de Goya, mais aussi les créations de Mackintosh, du Corbusier et de Volkswagen. Neuf ans après sa première sortie, c'est une deuxième édition enrichie de Géométrie du design que propose la maison d'édition Eyrolles. Celle-ci est enrichie de 36 pages ainsi que de feuillets en papier calque permettant une approche encore plus visuelle des exemples proposés. Kimberly Elam, Géométrie du design, Paris, Eyrolles, 2015, 144 pages. 2e édition, 19¤90, publié le 27 août 2015, 17x21cm, ISBN 978-2-212-14225-9. Retrouvez Géométrie du design de Kimberly Elam sur le site de Eyrolles 
Il y a 9 ans et 183 jours

Olafur Eliasson : Ice Watch

L'installation Ice Watch de l'artiste dano-islandais Olafur Eliasson située sur la Place du Panthéon à Paris a été créée à l'occasion de la COP21 avec de véritables blocs qui se sont détachés du glacier du Groenland. En marge de la COP21 qui se déroule jusqu'au 11 décembre 2015, Olafur Eliasson a été invité à investir la Place du Panthéon dans le 5ème arrondissement à Paris avec une installation faisant directement référence au réchauffement planétaire.  L'installation, constituée de 18 blocs de glace de près de 10 tonnes chacun a été élaborée en collaboration avec le géologue Minik Rosing. Ces morceaux d'icebergs provenant du glacier de Nuuk, le plus fameux du Groenland. Ils sont tombés naturellement dans la mer sous l'effet de la hausse des températures. Chaque seconde, le glacier perd l'équivalent de 1000 de ces blocs de glace, et ce tout au long de l'année. Les blocs de glace terminent de fondre durant ces derniers jours de la COP21, où se joue l'avenir de notre planète avec la lutte contre le réchauffement climatique. Photographies de Jørgen Chemnitz et Martin Argyroglo Pour en savoir plus, visitez le site de Ice Watch Paris   
Il y a 9 ans et 185 jours

Alain Carle Architecte : La Héronnière

La Héronnière est le projet d'une maison destinée à accueillir une jeune famille avec ses deux enfants. Le projet devait être conçu en symbiose avec l'environnement et le site privilégié qu'il allait occuper. L'architecte québécois Alain Carle installe l'habitation au milieu d'une forêt, le projet semble flotter au milieu d'une mer de végétaux.Le terrain, sur lequel le projet s'installe, possède trois massifs rocheux, très vite repérés par l'architecte. Alain Carle décide d'implanter la maison en suspension au-dessus de ces trois roches découvertes de leur tapis végétal par le temps. Une plateforme constitue le principal élément du premier étage, une large partie est utilisée comme terrasse extérieure, un lieu duquel l'on admire la beauté de la nature environnante. Le rez-de-chaussée s'est dessiné et s'est construit entre les rochers, introduisant ainsi un dialogue poétique entre les différents éléments constituant ce nouveau paysage. Photographies : Adrien Williams Pour en savoir plus, visitez le site de Alain Carle Architecte  
Il y a 9 ans et 185 jours

Trestle Union : Perch

Fondé par les deux designers néo-zélandais Nikolai Sorensen et Mike Grobelny, Trestle Union est un atelier qui prône un design soigné et abordable. Ils revisitent avec Perch le sujet du tréteau permettant ainsi d'offrir à une table en verre ou en bois un piétement simple, épuré et aux lignes travaillées. Perch est un tréteau métallique fabriqué à partir de tiges en acier de 12mm. Il a été conçu et est fabriqué au sein des ateliers de Nikolai Sorensen et Mike Grobelny en Nouvelle Zélande. Pour en savoir plus, visitez le site de Trestle Union  
Il y a 9 ans et 185 jours

Ross Lovegrove : Manta

La lampe Manta est un luminaire aérien aux courbes organiques. Conçue par le designer gallois Ross Lovegrove elle semble imiter le mouvement des raies, reine des océans. Suspendues, les lampes sont composées d'un cadre en aluminium cintrant une toile translucide du fabricant Barrisol, spécialisé dans les plafonds tendus. L'éclairage est obtenu grâce à plusieurs bandes de LED. La lampe Manta offre un design aérien et une lumière douce et apaisante destinées aux grands espaces comme les grands magasins ou les grands lieux publics. Pour en savoir plus, visitez le site du designer Ross Lovegrove  
Il y a 9 ans et 185 jours

Anno : Frédéric Malphettes

  Frédéric Malphettes revisite de manière contemporaine le concept de treille. Composée de plusieurs anneaux mariant bois et métal, la structure s'entremêle et développe une géométrie composée librement. Baptisée Anno, la structure offre un volume graphique utilisé afin de guider la croissance de la plante installée à ses pieds. De façon ludique chacun crée ainsi sa propre composition, un nid d'abeilles composé de pointe de diamant ou d'hexagone. Anno géométrise un tableau végétal qui habillera murs intérieurs et extérieurs. Elle est éditée par Edition Compagnie. Pour en savoir plus, visitez le site de Frédéric Malphettes et des éditions compagnies  
Il y a 9 ans et 186 jours

Arnaud Lapierre : Triangle

Triangle est une table d'appoint pour l'instant au stade de prototype. Imaginée par le designer Arnaud Lapierre elle est fabriquée par l'assemblage de pièces en verre teinté et d'acier inoxydable. À la manière de la superposition de différents calques, la transparence des pièces crée reflets et motifs évoluant suivant l'angle du regard. Dimensions : 35 x 35 x 50 cm Pour en savoir plus, visitez le site de Arnaud Lapierre  
Il y a 9 ans et 188 jours

Skene Catling de la Peña : Flint House

Flint House, située à Buckinghamshire dans la banlieue de Londres, est une maison en deux parties s'intégrant totalement au paysage par sa forme pyramidale et l'utilisation de matériaux locaux comme le calcaire ou le silex. S'élevant sur un filon de calcaire qui se prolonge depuis les falaises blanches de Douvres jusqu'aux collines crayeuses North Downs, le bâtiment a été imaginé comme une entité géologique pleinement intégrée dans le paysage agricole du domaine de Waddesdon, appartenant à lord Jacob Rothschild, à la demande duquel l'édifice a été construit. Isolé du reste des constructions, le bâtiment semble émerger du sol comme une falaise après le choc de plaques tectoniques. Les matériaux constitutifs de l'édifice sont le béton, le verre, le métal ainsi que des matériaux locaux comme le calcaire et le silex. On retrouve abondamment ce dernier dans les champs labourés entourant le site. L'architecture a été générée à partir de ce matériau néolithique. Le revêtement de la façade du rez-de chaussée est fait de silex mélangé à du mortier noir, puis de galets quadrangulaires, pour se terminer en partie supérieure en longs bloc de calcaire blanc. Par ce dégradé de couleur le bâtiment semble ainsi se dissoudre dans le ciel. La plus grande des deux unités pyramidales est constituée de trois chambres, d'une salle à manger, d'une cuisine et d'une bibliothèque et mesure 465m². La plus petite est un studio annexe de 115m². Ces deux gradins monolithes semblant émerger de la surface de la terre forment des plateformes invitant à la contemplation du paysage environnant. Photographies de James Morris Pour en savoir plus, visitez le site de Skene Catling de la Peña 
Il y a 9 ans et 188 jours

Alexis Tricoire : Nouveau Monde

Dans le cadre du salon Solutions COP21 qui se déroule du 4 au 11 décembre au Grand Palais le designer et artiste français Alexis Tricoire Présente son installation végétale Nouveau Monde qui s'offrecomme un sas d'accueil et de sensibilisation pour les visiteurs de Solutions COP21. Alexis Tricoire est un des chefs de file du design végétal. C'est avec son studio végétal Atmosphère, créé en 2009 qu'il a réalisé l'installation éphémère Nouveau Monde qui se présente comme une hutte de 20m² et de 6m de haut dont la structure en bois est recouverte d'un millier de plantes. A l'intérieur, les sens du visiteur " la vue, l'ouïe mais aussi l'odorat et le toucher à travers la structure végétale " sont mis à profit pour le sensibiliser aux thématiques abordées dans la nef du Grand Palais. Un film réalisé à partir des données de la NASA sensibilise le public sur la progression inquiétante des points chauds sur la planète. L''artiste souhaite, à travers cette installation, rappeler qu'il est nécessaire de rafraichir nos villes par l'association de l'architecture au végétal. Cette immersion multi-sensorielle est un acte de sensibilisation artistique. Photographies de la rédaction Pour en savoir plus, visitez le site de Végétal Athmosphère et de Solutions COP21 
Il y a 9 ans et 188 jours

Avatar Architettura : Museo del Novecento

Après plus de 50 ans de fermeture, l'ancien hôpital San Paolo de Florence construit au XIIIème siècle accueille depuis cet été le Museo Novecento, consacré à l'art italien du XXème siècle présenté par une scénographie immersive réalisée par Avatar Architettura repensant le parcours muséal. Fort de son expérience dans l'aménagement des espaces publics et la production d'installations pour les espaces artistiques (Biennale de Venise, Galerie des Offices, etc.), le duo de ce studio d'architecture italien formé par Nicola Santini et Pier Paolo Taddei, a su trouver un équilibre en ajoutant à la robustesse des murs anciens du musée une part de fraicheur qui a complétement modernisé l'édifice. La conservatrice Valentina Gensini a su concilier dans ce projet des installations contemporaines et des dispositifs audiovisuels et multimédia avec "uvres du siècle dernier, allant dans le sens d'une nouvelle conception plus contemporaine du musée. Chose étonnante, le parcours des collections se fait à rebours : on commence la visite par l'avant-garde de la toute fin des années 1990 et on remonte dans le temps jusqu'au début du siècle. "Nous avons conçu l'espace d'exposition comme un [?] milieu actif capable de changer les relations entre le volume existant et les "uvres d'art." Avatar Architettura L'entrée dans les salles de collections permanentes se fait par la loggia du premier étage, où nous sommes accueillis par trois dispositifs spatiaux surprenants : sortes de couloirs habillés d'un revêtement métal de forme parallélépipédique, semblables à des entonnoirs dont l'intérieur est revêtu de couleurs vives. Par ces tunnels colorés le visiteur s'engouffre dans le musée qui l'accueille pour le faire voyager dans le temps. A l'intérieur de l'édifice, les longues salles ont été séquencées par des cimaises blanches qui semblent flotter au-dessus du sol et des socles noirs qui accueillent des sculptures. Le noir et le blanc ont été privilégiés pour la scénographie, mettant ainsi en valeur la richesse de la polychromie des "uvres présentées. Ce musée, défini comme immersif par ses concepteurs, est le résultat d'un mariage réussi de l'architecture florentine de la renaissance et des dispositifs d'aménagement contemporains. Avatar Architettura est parvenu à renouveler la sensibilité du lieu en l'ancrant dans notre époque, lui redonnant ainsi une seconde vie. Photographies de Pietro Savorelli Pour en savoir plus, visitez le site du Museo Novecento et le site de Avatar Architettura
Il y a 9 ans et 189 jours

Maison & Objet Paris Janvier 2016 : Les Talents à la Carte

A chaque édition, le salon Maison & Objet met en avant le travail de quelques signatures montantes du design. Pour la prochaine édition, qui se déroulera à Paris du 22 au 26 Janvier 2016, les six Talents à la Carte sélectionnés sont scandinaves. Jonas Edvard, Danemark Ce designer indépendant diplômé de l'Académie royale des Beaux-Arts du Danemark en 2013, crée du mobilier durable conçu avec des matériaux bruts non traités dont il met en avant les propriétés et la texture. Il explore ainsi le potentiel d'une économie mondiale " verte ", donnant naissance à des produits à la fois fonctionnels et respectueux de l'environnement, dans une démarche de simplicité et de sincérité. Plusieurs de ses créations sont présentes dans les collections permanentes danoises, au Designmuseum Danmark et au Trapholt Museum. Visitez le site de Jonas Edvard  {gallery}mo2016_talentsalacarte/jonasedvard{/gallery}   Troels Flensted, Danemark Après avoir achevé ses études à Londres, Troels Flensted est retourné dans son pays natal afin d'y ouvrir son propre studio où il réalise les expériences nécessaires à ses créations. En explorant les différentes propriétés des matériaux des couleurs et les multiples procédés de fabrication, ce danois produit des créations uniques qui résultent de l'alliance aléatoire des pigments et de la matière traduite dans des formes épurées. Visitez le site de Troels Flensted {gallery}mo2016_talentsalacarte/troelsflensted{/gallery}   Katriina Nuutinen, Finlande Cette jeune finlandaise diplômée en 2011 de l'École des Arts et du Design de l'université Aalto, travaille sur le dialogue entre le verre et la lumière, en le combinant à d'autres métériaux, comme le bois, le cuir, le métal ou la céramique. Cette créatrice conçoit des objets de décoration, des accessoires d'intérieur ainsi que de la vaisselle qui s'accomodent à la luminosité de tous les intérieurs. Visitez le site de Katriina Nuutinen {gallery}mo2016_talentsalacarte/katriinanuutinen{/gallery}   Sruli Recht, Islande L'année 2015 marque un tournant dans la vie de ce créateur atypique islandais : après avoir quitté l'Autralie pour rejoindre Londres où il a travaillé avec Alexander McQueen, Sruli Recht s'installe à Reykjavík. Son travail allie les méthodes de confection traditionnelles à la technologie expérimentale d'avant-garde formant ainsi des créations surprenantes. Il travaille avec des types nouveaux de matériaux, qui, par leur design numérique, évoquent les dysfonctionnements sociaux propres à notre époque avec une pointe de brutalité et d'ironie. Visitez le site de Sruli Recht  {gallery}mo2016_talentsalacarte/srulirecht{/gallery}   Kneip, Norvège Cet atelier d'artisanat a été fondé par deux diplômés de l'Ecole d'architecture et de design d'Oslo, Jørgen Platou Willumsen et Stian Korntved Ruud. Leurs objets fait à la main en petite série racontent chacun une histoire par la conjugaison d'un vaste éventail d'expressions et de techniques qui convergent vers un point où l'art, le design et l'artisanat se rencontrent. La géométrie douce de leurs créations est une leçon de style. Visitez le site de Kneip {gallery}mo2016_talentsalacarte/kneip{/gallery}   Färg & Blanche, Suède Le studio de création franco-suédois a vu le jour en 2010 sous l'impulsion des designers Fredrik Färg et Emma Marga Blanche. Leur sens de l'expérimentation sur les textiles et les autres matériaux sont souvent rehaussés d'une touche espiègle. Les deux créateurs ont été récompensés par de nombreux prix et ont notamment collaboré avec Comme Des Garçons sur des expositions à Tokyo, Séoul et Paris. Visitez le site de Färg & Blanche {gallery}mo2016_talentsalacarte/fargetblanche{/gallery}   Salon Maison & Objet Paris, du 22 au 26 janvier 2016, Parc des expositions Paris Nord Villepinte, de 9h30 à 19h sauf le mardi 26 janvier jusqu'à 18h. Hall 7 pour les Talents à la Carte. Pour en savoir plus, visitez le site de Maison & Objet  
Il y a 9 ans et 189 jours

Jacques Ferrier Architectures : Siège de Hachette Livre

Le siège de la maison d'édition fondé par Louis Hachette a pris ses quartiers au sur de la petite couronne de la capitale, à Vanves. Sa silhouette offre depuis l'extérieur une image de calme solidité, quant à l'intérieur, il présente un espace de travail propice au vivre-ensemble. Le programme de Jacques Ferrier prend en compte la part de créativité propre aux métiers du livre. Les plans d'étages ont ainsi tous été conçus différemment afin d'éviter la l'uniformité et la répétition et laisser libre cours à la diversité des maisons d'édition qui vont s'y installer. Les couloirs, loin d'être rectilignes, forment des chemins qui se croisent et se dédoublent invitant ainsi à la déambulation au sein de l'édifice, creusé par des patios et de grandes loggias. Tous les espaces de vie en communauté ont été mis en valeur afin de transformer l'espace de travail en un lieu avant tout communautaire et vivant. "J'aimerais qu'on s'y sente bien, qu'une relation s'établisse avec le temps, de l'ordre du familier, de l'amical, quelque chose qui aide, ne serait-ce qu'à mieux traverser la journée, et pourquoi pas, à travailler différemment et à mieux créer." Jacques Ferrier Ce bâtiment ouvert sur la ville laisse entrevoir aux passants le jardin intérieur de papyrus. Les façades, revêtues de lames couleur ivoire évoquent les feuilles d'un livre, et jouent de manière subtile avec les variations de la lumière extérieure. La silhouette urbaine inédite de cet édifice appartient désormais, et pour longtemps, au paysage métropolitain du Grand Paris. Le Siège de Hachette Livre de Jacques Ferrier Architectures fait partie de la sélection officielle des ADC Awards 2016 catégorie Bureaux. Photographies © Jacques Ferrier Architectures / photo Luc Boegly Pour en savoir plus, visitez le site de Jacques Ferrier Architectures 
Il y a 9 ans et 190 jours

Eugeni Quitllet : Créateur de l'Année M&O Paris Janvier 2016

Depuis 2015, Maison & Objets  met à l'honneur un Créateur de l'Année. C'est le designer catalan Eugeni Quitllet qui sera mis en avant pour les 20 ans du Salon, lors de la prochaine édition qui se déroulera du 22 au 26 janvier 2016 au Parc des expositions Paris Nord Villepinte. Basé à Barcelone, Eugeni Quitllet est un créateur d'objets bestsellers et une personnalité à suivre pour mieux découvrir notre époque. A mi-chemin entre dessin et sculpture, les silhouettes élégantes de ses créations donnent une impression d'apesanteur en jouant avec les pleins et les vides. Le vocabulaire créatif d'Eugeni dépasse le simple rapport fonction/style pour découvrir des objets encore inconnus de leur époque. Parmi ses créations phares, on peut nommer le fauteuil Skill (2011), la chaise Masters 52014) et la chaise Dream-Air (2015) pour Kartell, ou bien le casque VK-1 (2011) pour la marque Aëdle, ou encore les couverts édités pour Christofle en 2014. Se définissant comme un " Disoñador ", contraction des mots designer et rêveur en espagnol, Eugeni Quitllet propose à travers ses créations une version transfigurée de notre environnement. Il investira en janvier au salon Maison & Objet un espace qui lui sera entièrement dédié. Maison & Objets, 22 au 26 janvier 2016, de 9h30 à 19h, sauf le mardi 26 jusqu'à 18h, Parc des expositions Paris Nord Villepinte  Photographies de Nacho Alegre et de Eugeni Quitllet Pour en savoir plus, visitez le site de Maison & Objet    Depuis 2015, Maison & Objets  met à l'honneur un Créateur de l'Année. C'est le designer catalan Eugeni Quitllet qui sera mis en avant pour les 20 ans du Salon, lors de la prochaine édition qui se déroulera du 22 au 26 janvier 2016 au Parc des expositions Paris Nord Villepinte. * Basé à Barcelone, Eugeni Quitllet est un créateur d'objets bestsellers et une personnalité à suivre pour mieux découvrir notre époque. A mi-chemin entre dessin et sculpture, les silhouettes élégantes de ses créations donnent une impression d'apesanteur en jouant avec les pleins et les vides. Le vocabulaire créatif d'Eugeni dépasse le simple rapport fonction/style pour découvrir des objets encore inconnus de leur époque. Parmi ses créations phares, on peut nommer le fauteuil Skill (2011), la chaise Masters 52014) et la chaise Dream-Air (2015) pour Kartell, ou bien le casque VK-1 (2011) pour la marque Aëdle, ou encore les couverts édités pour Christofle en 2014. Se définissant comme un " Disoñador ", contraction des mots designer et rêveur en espagnol, Eugeni Quitllet propose à travers ses créations une version transfigurée de notre environnement. Il investira en janvier au salon Maison & Objet un espace qui lui sera entièrement dédié. Maison & Objets, 22 au 26 janvier 2016, de 9h30 à 19h, à part le 26 jusqu'à 18h, Parc des expositions Paris Nord Villepinte Photographies de Nacho Alegre et de Eugeni Quitllet Pour en savoir plus, visitez le site de Maison & Objet http://www.maison-objet.com/fr  
Il y a 9 ans et 190 jours

Jung Ong : Star

Artiste et Architecte malais basé à Kuala Lumpur, Jung Ong a intégré une installation lumineuse en dodécaèdre incarnant une apparition presque spontanée et éphémère au c"ur d'un immeuble inachevé. Une installation aux allures d'étoiles dont les branches semblent avoir percé les planchers lourds et gris de cette architecture dénudée. L'"uvre de Jung Ong est présentée dans le cadre du Festival de Urban Xchange, organisé par Eeyan Chuah et Gabija Grusaite du centre d'art contemporain de Butterworth Penang. Star est constituée de 500 mètres de câbles en acier et de bandes de LED. Les câbles sont ancrés au sol, aux dalles et aux poutres. Présenté comme une expérience de plus, l'installation se divise et se visite aux différents étages, chacun offrant sa propre expérience spatiale. La forme se décompose en lignes incandescentes, chaque fragment tenant sa propre caractéristique électrique et structurelle. Pour en savoir plus, visitez le site de Jung Ong  
Il y a 9 ans et 190 jours

Jacopo Mascheroni Architecture: Villa Montebar

La Villa Montebar est une maison en bois préfabriquée et installée face au spectacle des Alpes suisses. Un lieu magique où le silence alterne avec le son des doux carillons des vaches des pâturages alentour. Le projet, résolument contemporain tire pourtant son inspiration au sein des codes de l'architecture locale. Sans s'imposer, le volume respecte les codes de l'architecture de la région. Chaque maison doit avoir une enveloppe aux teintes grises et sombres ainsi qu'un toit en pente afin de garantir la meilleure intégration possible avec l'environnement et l'existant. A partir de cette contrainte, l'idée des architectes a été de développer une solution architecturale homogène en utilisant le même matériau à la fois pour le toit et les façades. Le concept fournit à la villa un aspect monolithique à la manière d'une pierre posée dans le paysage. La seule exception est la façade au Sud, située face à la vallée, qui accorde une vue spectaculaire à 180 degrés grâce à un mur-rideau entourant les espaces de vie. Le mur-rideau se replie à l'intérieur et crée une loggia utilisée durant les mois les plus chauds de l'année. Pour en savoir plus, visitez le site de JM Architecture  
Il y a 9 ans et 190 jours

Nendo : Aoyama Office

Au c"ur d'un immeuble de bureaux conçu à Tokyo par Kenzo Tange, pionnier de l'architecture moderne japonaise, le studio Nendo installe à l'un des étages un design intérieur inspiré directement par le vocabulaire de la façade existante. Plutôt que de réinventer une intériorité singulière, le studio Nendo compose un espace poreux et où les limites semblent s'estomper. Construit en 1977 l'immeuble Sogetsu Kaikan a également abrité les bureaux de son architecte Kenzo Tange au 10e étage. L'architecture du bâtiment est principalement caractérisée par un mur-rideau extérieur, reflétant la verdure du Akasaka Estate situé en face. Sa construction plane permet une vue claire et dégagée depuis l'intérieur. "Considering these characteristic features, we have sought to come up with a design inspired by the exterior aesthetics, rather than a design based on interior functionality so often seen in office buildings." Studio Nendo Le nouvel aménagement intérieur a été conçu afin de correspondre avec les lignes du plan en forme de L et diagonales de distribution du bâtiment originel. Le concept mis en "uvre par le studio Nendo a reproduit, pour le partitionnement, le mur-rideau extérieur à l'intérieur. Les cadres de fenêtres en aluminium ont été reproduits à l'identique. Pour le verre de nombreux tests ont été réalisés avec différents filtres appliqués directement sur le matériau tout en jouant et avec les peintures et les revêtements intérieurs. Le studio Nendo avait à c"ur de reproduire précisément la coloration et la réflection des demi-miroirs originaux de la façade. Afin d'accentuer le mimétisme entre intérieur et extérieur, le revêtement de sol a été installé de manière symétrique par rapport à la paroi du mur-rideau. Le résultat est un design intérieur d'une grande cohérence respectant l'architecture imaginée par Kenzo Tange. Pour en savoir plus, visitez le site de Nendo  
Il y a 9 ans et 191 jours

Ege : Figura

Avec la collection Figura, Ege apporte une nouvelle dimension aux dalles de moquette. Les formes ludiques, la souplesse d'utilisation, les associations de matières, de tonalités et de couleurs permettent de personnaliser chaque projet pour créer un design unique. La collection permet de puissants contrastes mais se prête également à une atmosphère tout en subtilité. Le sol devient un élément graphique majeur, en toute simplicité. Pour en savoir plus, visitez le site d'EGE.
Il y a 9 ans et 191 jours

Demeter Fogarasi : Poetic Furniture Frozen Textile

Le designer hongrois, Demeter Fogarasi a imaginé avec poésie une nouvelle manière de transformer le textile. Afin de réaliser une chaise, il le solidifie et fige ses courbes et ses mouvements. Le matériau composite ainsi créé possède les propriétés techniques suffisantes mais souligne également le naturel voulu par le designer. "The idea was to create a concept furniture, which is concerned with the poetic nature of the material. While forming the furniture the originally soft material becomes rigid. I wanted to save this moment of creation, when a piece of textile is blown onto the frame, forming a chair." Demeter Fogarasi Pour en savoir plus, visitez le site de Demeter Fogarasi  
Il y a 9 ans et 191 jours

PPA Architectures : Maison Martel

Dans un vieux quartier populaire de Toulouse, les architectes de l'agence PPA Architecture ont livré le projet de la maison Martel : la restructuration d'une ancienne fonderie dont la nouvelle architecture, greffée à l'existant, a su rester discrète pour mieux se révéler à l'intérieur. Le hangar existant est constitué d'une structure de poteaux en maçonnerie et d'une façade de type atelier donnant sur la rue, support de la charpente métallique en cornière. Malgré l'état dégradé du bâtiment industriel, les architectes, inspirés par l'histoire, l'ambiance et le potentiel du lieu, ont choisi de le conserver et qu'il devienne ainsi le contenant d'un grand espace à l'air libre. Le véritable espace extérieur de la maison, à l'abri des regards et mis en scène par ce témoignage et ces traces industrielles. L'habitation se développe à partir des deux dernières travées de l'ancien hangar et entre son flanc ouest et la limite de la parcelle. Conçus sur deux niveaux principaux, les espaces se jouent des altimétries et créent marches, passerelles, mezzanines et doubles hauteurs. Un jeu qui donne toutes ses qualités aux volumes du projet.La matérialité a été choisie sobre et brute. Du bois à la teinte naturelle habille quelques planchers, les marches et une grande bibliothèque. Seul une peinture blanche habille la sous-face des planchers de l'étage en bac acier. "La maison est discrète dans son environnement; elle se révèle par l'intérieur. Simple dans son expression, précise dans son organisation et généreuse dans la qualité et la variété des espaces, elle répond fidèlement à la personnalité de ses habitants." Photographies : Philippe Ruault Pour en savoir plus, visitez le site de PPA Architectures  
Il y a 9 ans et 192 jours

Alicja Prussakowska : Mizu

Originaire de Pologne et formée à Kraków, Cracovie, la jeune designer Alicja Prussakowska innove et présente Mizu une étagère hybride aux courbes mouvantes et modulables. Ses lignes inspirées des vagues ondulent suivant le décor et l'exposition souhaitée. ?, prononcez Mizu, signifie l'eau en japonais. Les vagues du meuble imaginé par Alicja Prussakowska tentent d'évoquer et de symboliser cet élément cher à la tradition japonaise. Mizu est composé de deux parties : une base solide en bois aggloméré et laqué en noir assoie le meuble au sol et renferme deux tiroirs latéraux, la seconde est l'ensemble des étagères en lames de bois dont la finesse permet leurs courbures. Deux cadres en chêne massif, reliés par un tasseau horizontal, constituent la structure. Deux câbles d'acier supportent les quatre fines lames de bois. L'élégance du meuble est également soulignée par les attaches et les pièces de serrurerie en laiton. Elles restent discrètes mais ont été choisies et dessinées avec le plus grand soin. Mizu semble instable parce que très aérien, mais le contraste et la maitrise de l'objet évoquent une reposante sérénité. Pour en savoir plus, visitez le site de Alicja Prussakowska  
Il y a 9 ans et 192 jours

Arnaud Lapierre : Strie

Arnaud Lapierre, connu pour son design poétique, épuré et sensible, a imaginé Strie : une chaise conçue à la fois pour l'extérieur et l'intérieur. Elle est proposée soit en laiton, soit chromée. Dimensions : 52 x 62 x 81 cm Pour en savoir plus, visitez le site de Arnaud Lapierre Design Studio  
Il y a 9 ans et 192 jours

Nathanael Dorent + Mark Havasi : Maison Spirale

Au c"ur du lotissement d'un bourg du Calvados, deux architectes ont exprimé de manière franche une nouvelle interprétation de la maison individuelle. Son architecture se place en opposition avec le système générique organisant les parcelles alentour. Elle se formalise selon des axes et des partis pris architecturaux propre au site et aux souhaits de ses futurs habitants. L'idée principale du projet était de construire une maison baignée de lumière naturelle, mais en même temps de protéger les habitants du regard des voisins. La maison est développée autour d'un patio afin de répondre à ce besoin d'intimité. L'enveloppe extérieure est opaque tandis que la façade intérieure est entièrement vitrée. Le volume de la maison est compact et évolue progressivement autour du patio à la manière d'une spirale s'ouvrant vers le sud. La forme architecturale optimise les apports en lumière naturelle et offre différents points de vue sur le jardin et l'horizon. Les sols restent horizontaux et les différentes altimétries sont réglées à l'aide de quelques escaliers différenciant les espaces. La toiture, elle, se projette à l'oblique offrant à l'intérieur la direction de la spirale. Les espaces intérieurs sont ponctués par différents blocs colorés correspondant à chacun des éléments du programme. Le plan offre un espace ouvert et continu permettant la circulation et des relations visuelles tout autour du patio. Photographies : Raphael Bourelly Pour en savoir plus, visitez le site de NDA  
Il y a 9 ans et 192 jours

De Rosee Sa Architects : The Woodland Cabin

A l'orée d'un bois, là où le village de Nouvelles en Belgique semble se terminer et se conjuguer avec la nature, l'architecte Max de Rosee a récemment livré une cabane de 35 mètres carrés. Le projet autoconstruit s'est développé au bord d'un étang en utilisant un bois local. Le projet a été conçu à la manière d'une cabine regroupant en son plan tous les éléments nécessaires à l'accueil de quelques personnes pendant une durée plus ou moins longue. Outre l'onirisme architectural qu'évoque le sujet des cabanes, le projet devait être léger, simple et économique. L'ossature bois a été retenue par les architectes. Une série de fermettes en bois, visibles à l'intérieur, portent le projet. Le bois utilisé a été usiné à partir d'arbres prélevés dans les forêts environnantes. Les matériaux utilisés comprennent des fondations en béton, un plancher en bois suspendu sur de petits murs de briques, et à l'intérieur un bardage de panneaux OSB. La peau extérieure est constituée d'un bardage horizontal en bois traité et teinté par une huile sombre. Les ouvertures de la cabane capturent et projettent à l'intérieur le paysage alentour. L'espace intérieur a été conçu de manière modulable afin de répondre à diverses utilisations : travailler, dormir, se regrouper ; et est chauffé par un poêle à bois. Photographies : Will Scott Pour en savoir plus, visitez le site de De Rosee Sa Architects  
Il y a 9 ans et 192 jours

Jana Revedin : La Ville Rebelle, Démocratiser le projet urbain

À l'heure de l'urgence du développement d'une architecture et d'une ville durable, cet ouvrage rassemble les manifestes d'architectes du monde entier, lauréats du Global Award for Sustainable Architecture, remettant en question le modèle du fonctionnalisme fondé sur l'exploitation sans limites des ressources et l'aménagement souvent trop autoritaire de l'espace. Sous la direction de Jana Revefin, l'ouvrage La Ville Rebelle recueille les textes théoriques et les réflexions d'architectes qui, aux quatre coins du monde, partagent une même conviction : le modèle du fonctionnalisme, qui a accompagné au XXe siècle une vision du progrès fondée sur l'exploitation sans limites des ressources et l'aménagement autoritaire de l'espace, est épuisé, après avoir gravement obéré les grands équilibres humains et naturels de la planète. Cette idéologie de la table rase qui rêvait d'émanciper l'homme lui a en fait ôté tout droit d'agir sur son habitat. Il faut changer de paradigme pour rétablir des conditions humaines plus équitables et des modes de vie plus durables : dans les mégapoles, les quartiers précaires, les territoires ruraux paupérisés, au c"ur des villes les plus développées en apparence. Tous les architectes coauteurs de ce livre sont lauréats du Global Award for Sustainable Architecture. Chacun expose, à partir de ses propres expériences de terrain, comment il invente des processus fondés sur l'analyse et la conception participatives, en étudiant les milieux habités par le biais des besoins humains, en liant les processus d'intervention à la mémoire collective et à l'engagement citoyen. La ville rebelle, Démocratiser le projet urbainOuvrage collectif de Christopher Alexander, Al Borde, Marco Casagrande, Santiago Cirugeda, Marie-Hélène Contal, Salma Samar Damluji, Yona Friedman, Lu Wenyu, Philippe Madec, Juan Román, Rotor et de Wang Shu. Édition publiée sous la direction de Jana RevedinTextes traduits de l'anglais par Édith Ochs et de l'espagnol par Varinia Taboada et Francisca Burgos Sous la direction de Jana Revedin, La Ville Rebelle, Paris, Collection Manifestô - Alternatives, Gallimard, 2015, 160 pages. 17¤, paru le 29 octobre, 14x19cm, ISBN 9782072619564 Pour en savoir plus, visitez le site des Editions Alternatives
Il y a 9 ans et 192 jours

ArtCOP21 : Villes Potentielles

En pleine COP21, Villes potentielles, architecture et anthropocène a pour ambition de mener une réflexion sur l'imaginaire architectural et urbain que convoquent les changements climatiques. Trente jeunes architectes et quelques unes de leurs figures tutélaires participent à cet événement et engagent un travail commun pour penser la ville à l'ère de l'anthropocène. 30 maquettes, 64 dessins originaux et 90 images de référence tentent de restituer cet imaginaire. L'exposition "Villes potentielles" s'articule autour de deux séquences, une séquence Histoire et une séquence Manifeste. La séquence Histoire a pour ambition de saisir la relation que la ville et l'architecture entretiennent au climat et à l'idée de nature en croisant plusieurs temporalités : le temps long qui revient sur l'évolution de Paris et son environnement (-52 avant JC - 2241), le temps moyen qui présente dix-huit projets à l'ère de l'anthropocène (1789-2015) et le temps court qui analyse la construction du récit écologiste dans le milieu de l'architecture de la création du GIEC à Fukushima (1988-2011). La séquence Manifeste présente deux oeuvres collectives réalisées par trente agences d'architecture. Par le dessin d'un cadavre exquis et par la constitution d'un atlas commun, les architectes questionnent la manière dont la thèse de l'anthropocène modifie les figures architecturales que sont : le foyer qui renvoie à l'intime, la place qui renvoie à ce qui est public et la limite qui renvoie à ce qui est sacré. En parallèle se tient le colloque "Villes potentielles" dont l'ambition est de mettre en place un débat transversal sur la question de la ville à l'ère de l'anthropocène en faisant intervenir ses différents acteurs et en entrecroisant leurs regards sur l'évolution de la métropole face au "nouveau régime climatique".Ce débat critique a pour objectif d'explorer la manière dont les figures du foyer, de la place et de la limite sont bousculées à l'ère de l'anthropocène. Le colloque s'organise en trois rencontres les 09, 10 et 11 décembre dans la chapelle de la Maison de l'architecture. Le foyer à l'ère de l'anthropocène- Le 9 décembre 2015 de 18h30 à 21h -Nicolas Bourriaud, Philippe Chiambaretta, Françoise Fromonot, Fanny Lopez, Caroline Maniaque, Jean-Philippe Vassal et Hans Walter MüllerLa crise environnementale s'immisce-t-elle dans les lieux de l'intime et de l'habiter? Engage-t-elle de nouveaux usages et d'autres modes de vie ? Cette nouvelle ère de l'anthropocène participe-t-elle à construire un autre quotidien ? Comment et avec quels outils appréhender à l'échelle du foyer le "nouveau régime climatique" ? La place à l'ère de l'anthropocène- Le 10 décembre 2015 16h30 à 19h -Patrick Bouchain, Catherine Jacquot, Mathieu Mercuriali, Michael Ghyoot et Jean-Louis Violeau. Modération : Soline NivetLe récit écologiste questionne-t-il la représentation du sujet ? Engage-t-il, au-delà de la réalité physique des problèmes environnementaux, à repenser la question du collectif ? Cette crise de la modernité que met en lumière la thèse de l'anthropocène nous engage-elle à construire les outils pour penser un monde commun ? Comment concevoir et habiter ces lieux du collectif face au "nouveau régime climatique" ? La limite à l'ère de l'anthropocène- Le 11 décembre 2015 18h30 à 21h -Christophe Bonneuil, Franck Boutté, Mireille Ferri, Djamel Klouche, Catherine Larrère, Sébastien Marot, Dominique Rouillardet Nasrine Seraji. Modération : Jean AttaliL'avènement de l'Homme comme force géologique nous engage-t-il à penser différemment la question de la limite ?Cette notion qui convoque l'espace, le territoire et les modes de vie et qui renvoie à des questions inhérentes au sacré permet-elle de lire dans leur complexité les bouleversements qu'annonce le "nouveau régime climatique" ? Nous tenterons, au cours de cette dernière rencontre du colloque, qui se tient aussi le dernier jour de la COP21, de nous emparer de la figure de la limite face à l'anthropocène en entrecroisant les regards des différents acteurs de la ville. Villes Potentielles " Maison de l'Architecture 148 rue du faubourg Saint-Martin, 75010 Paris - du 25 novembre 2015 au 5 janvier 2016 Pour en savoir plus, visitez le site de ArtCOP21