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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Urbanisme - Aménagement

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Il y a 3 ans et 50 jours

Étude annuelle sur les placements immobiliers : "40 ans de performances comparées – 1981-2021"

En couvrant 4 décennies complètes, marquées par quatre crises économiques majeures (krach obligataire et boursier d’octobre 1987, éclatement de la bulle internet au début des années 2000, crise des subprimes en 2008 entraînant la crise financière globale, choc brutal sur l’économie mondiale à partir de 2020 avec l’irruption de la crise sanitaire), l’étude de l’IEIF aboutit à des conclusions robustes sur l’évolution longue des principaux placements.Cette édition 2022, avec les caractéristiques des placements à fin 2021, couvre la période de rebond économique et mesure les impacts majeurs laissés par la crise pandémique sur l’univers des placements quant à la hiérarchie des actifs.Au préalable, l’étude 40 ans de performances fait le point sur les caractéristiques des patrimoines des ménages pour appréhender leurs attentes en matière de placements mais également l’évolution de leurs comportements d’épargne.Un surplus d’épargne financière toujours très élevé en FranceSelon la Banque de France, le surplus d’épargne financière des ménages, constitué sur deux ans (entre le premier trimestre 2020 et le quatrième trimestre 2021) calculé comme la différence entre les flux d’épargne financière observés et les flux qu’on aurait obtenus en prolongeant la tendance pré-Covid, est estimé à 175 milliards d’euros, après 113 milliards à fin 2020.En moyenne sur l’année, le taux d’épargne des ménages en France s’établit à 19,5% en 2021 selon l’Insee après 21,4% en 2020. Le taux d’épargne financière a également reculé : il s’établit à 8,7% en 2021 après 12,2% en 2020.En 2021, l’épargne financière s’est principalement portée sur les dépôts bancaires qui ont progressé de plus de 104 milliards d’euros : dépôts à vue et dépôts rémunérés dont les encours s’établissent respectivement à 672 milliards d’euros et 1.161 milliards d’euros à fin 2021. L’assurance-vie a progressé de 39 milliards d’euros et représente désormais un encours de 2.178 milliards d’euros.En lien avec les performances de 2021, la Bourse continue d’attirer un nombre croissant d’investisseurs : 1,6 million de particuliers ont passé un ordre d’achat ou de vente en 2021, dont 217.000 nouveaux entrants.Des classements de performances différents selon les périodesSur 5 ans (2016-2021) : les performances des locaux Industriels (couvrant la logistique et les locaux d’activité) sont particulièrement élevées, en raison de la forte appréciation des valeurs vénales de la Logistique sur la période. Alors que les Actions présentent un TRI 5 ans de plus de 10%, l’immobilier coté est en territoire négatif, en lien notamment avec le comportement en bourse des Foncières Commerces.Sur 10 ans (2011-2021) : les Actions sont en tête du classement des performances avec un TRI 10 ans de 12,4% devant l’immobilier direct : les locaux Industriels sont en deuxième place avec un TRI 10 ans de 11,4% suivis par les Bureaux (7,8 %) et les Commerces (7,2%).Sur 20 ans (2001-2021) : comme sur 15 ans, les Commerces sont nettement en haut du classement avec un TRI 20 ans de 17,6%, suivi par les Foncières (TRI 20 ans : 12,3%). Les autres actifs immobiliers direct se positionnent ensuite : les locaux Industriels (TRI 20 ans : 10,4%) puis les Bureaux (TRI 20 ans : 10,3%) et le Logement (TRI 20 ans : 10,1% pour le Logement France et 9,4% pour le Logement à Paris).Sur longue période : Sur 30 ans (1991-2021), les Actions et l’Immobilier coté délivrent des niveaux de performances comparables. Le Logement est particulièrement performant sur 30 ans et distance les autres classes d’actifs immobiliers. Les TRI des SCPI et des Bureaux sont très proches, en lien avec la forte exposition historique des SCPI aux Bureaux. Sur 40 ans (1981-2021), les placements en bourse sont les plus performants : les Actions devancent l’Immobilier coté de 2 points. Le Logement à Paris présente un TRI supérieur à 10% sur 40 ans. L’immobilier non coté présente des performances supérieures à celles des obligations.Un couple rendement/risque toujours attractif pour l’immobilier vis-à-vis des autres classes d’actifsDe part ces caractéristiques, l’immobilier se positionne à mi-chemin entre les actions d’une part et les obligations d’autre part et présente un couple rendement -risque attractif par rapport à ces 2 références. Les couples rendement-risque permettent de positionner les différents placements les uns par rapport aux autres selon les durées observées, en distinguant pour un niveau de risque comparable, les niveaux de performances obtenus des différents placements ou à niveau de performance comparable, les placements qui se révèlent plus volatils, donc plus risqués.Les Bureaux et le Logement présentent des performances et des niveaux de volatilité proches sur 5 ans et sur 10 ans. Sur 10 ans, les Actions distancent les Foncières avec une performance plus élevée et une volatilité nettement plus contenue. Sur 15 ans, Le Logement, les Bureaux et les SCPI présentent des performances supérieures à celles des Actions. Comparés au Logement et aux Bureaux, les Commerces sont sur des niveaux de volatilité proches mais délivrent des performances plus faibles que ce soit sur 5, 10 ou 15 ans. Sur 30 ans, le Logement France présente une performance légèrement supérieure à celles des actifs côtés, mais avec deux fois moins de volatilité.Sur 40 ans, les Actions présentent des niveaux de performances et de volatilités plus élevés que ceux des autres actifs.ConclusionPour Stéphanie Galiègue, Directrice Générale déléguée de l’IEIF : « les résultats de l’édition 2022 confirment ceux de 2021 avec une dichotomie plus forte entre les classes d’actifs immobiliers dont les performances sont les plus robustes à l’image de l’Industriel, (en particulier la Logistique) et du Logement (faible volatilité) et celles dont le modèle a été fragilisé par la crise sanitaire malgré le rebond économique qui a suivi : Bureaux, Commerces. Seulement, les performances des actifs sur les 40 dernières années ont été portées par un environnement économique mondial particulier : les prochaines décennies risquent d’être marquées par la déglobalisation, les échéances climatiques et le vieillissement de la population, dans un contexte de faible croissance économique et d’inflation élevée. Cela modifiera nécessairement la structure de l’économie, de l’épargne et donc le comportement des différents placements. »
Il y a 3 ans et 50 jours

A l'approche des législatives, le bâtiment adresse 85 propositions aux candidats pour une « France, terre de bâtisseurs »

Ce document couvre tous les champs législatifs qui impactent le quotidien des entreprises : urbanisme, fiscalité, droit du travail, développement des compétences, marchés, etc…Ces propositions s’articulent autour de 16 priorités : Soutenir l’accession à la propriétéConcilier le « zéro artificialisation nette » (ZAN) des sols et les besoins de développement des territoiresTenir compte des contrats d’apprentissage déjà en cours dans l’entreprise au titre de l’insertionInstaurer le permis déclaratif en lotissement et en zone d’aménagement concertéGénéraliser la dématérialisation de l’instruction des demandes d’autorisation d’urbanismeAutoriser la publicité sur les bâches de chantier pour financer la rénovationLimiter la durée de l’activité en microentrepriseLutter contre le dumping social et le travail illégalLever les freins au recrutementDécourager la permittence des intérimairesInstaurer un moratoire sur les « zones à faibles émissions mobilité » et accompagner les entreprisesAlléger la charge fiscale pour les TPELimiter la sous-traitance dans les marchés de travauxModifier les règles sur les variations de prixCompenser les surcoûts liés à la RE2020Encourager davantage la rénovation globalePour Olivier Salleron, président de la FFB : « Toutes les mesures fléchées vers le bâtiment depuis 5 ans, ont connu une traduction positive en termes d'emploi, de relance de la croissance, d'innovation et de hausse du pouvoir d'achat pour des centaines de milliers de français. Ces nouvelles propositions ont toutes un seul et même objectif : rappeler que la France est d'abord et avant tout une terre de bâtisseurs. C'est ce qui lui donne sa puissance, son identité, son équilibre territorial ! »Téléchargez les 85 propositions de la FFB en cliquant ici (PDF 6,3 MB).
Il y a 3 ans et 51 jours

Le Groupe HPG accroît ses capacités de production de menuiseries aluminium

Alu PréférenceMarque du Groupe dédiée à la fabrication de menuiseries aluminium, Alu Préférence s’adresse aux négoces spécialistes et généralistes. Aujourd’hui, Alu Préférence augmente de nouveau ses capacités de production. Après avoir mis en oeuvre en 2019 un investissement lui ayant permis d’accroître ses capacités de production de 30%, Alu Préférence va intégrer en son giron Espace Aluminium. Cette filiale d’HPG située à St André de Cubzac, à proximité du site historique d’Alu Préférence, permettra d’étendre les capacités de cette dernière de 30% à partir de l’été 2022. La marque Alu Préférence se dotera ainsi des moyens lui permettant de répondre au mieux à la demande de ses clients.BieberUn nouvel atelier de production de menuiseries aluminium, opérationnel dès l’été 2022, va être créé sur le site historique de la marque basé à Waldhambach, en Alsace. À cette occasion, Bieber prévoit de recruter une trentaine de personnes. En regroupant l’ensemble des productions de la marque sur un seul site, Bieber se dotera des moyens lui permettant d’accompagner au plus près ses clients.Le Groupe HPG en quelques chiffresLe Groupe HPG est un industriel français de référence dans le secteur de la menuiserie extérieure. C'est au travers de ses quatre marques commerciales, Préfal, Préfalu, Alu Préférence et Bieber qu'il évolue sur ce marché depuis 1989. Avec près de 10 usines de production réparties sur tout le territoire français, le Groupe HPG réalise un chiffre d'affaires de 140 millions d'euros et regroupe plus de 600 collaborateurs.
Il y a 3 ans et 51 jours

Antoine Renaux nommé directeur des opérations WICONA France

Cinq ans après avoir rejoint le groupe Hydro Building Systems, en tant que Responsable Technique en charge des services support : méthodes / projets / amélioration continue, maintenance, HSE et Qualité des sites industriels et logistiques WICONA France, implantés à Courmelles, dans l’Aisne (02), au sud de Soissons, et à Bonneuil-sur-Marne (94), Antoine Renaux prend la Direction des Opérations des deux sites et succède ainsi à Michel Bafoil. Précédemment, cet ingénieur diplômé de l’ENSIAME et d’un master en administration des entreprises, obtenu à l’IAE de Valenciennes, a travaillé durant six ans, de 2011 à 2017, pour Le Creuset. Il a notamment piloté l’installation des nouvelles lignes de production du leader mondial des cocottes en fonte émaillée en tant que chef de projet. Antoine Renaux a commencé sa carrière dans le secteur automobile, où il a successivement occupé les postes de chargé de projet, chef de projet et responsable manufacturing pour différents constructeurs et fournisseurs de rang 1 de 2005 à 2011. La nomination d’Antoine Renaux s’inscrit dans une réorganisation interne plus large visant à développer les « Opérations » du concepteur-gammiste pour préparer l’avenir, anticiper l’augmentation des volumes sur le site industriel et logistique de Courmelles et mieux répondre aux besoins des clients. Un Master Plan pour préparer l’avenir Cette réorganisation se traduit par la mise en place d’une feuille de route, synthétisée dans un Master Plan qui se déploiera jusqu’en 2026, et dont Antoine Renaux est le chef d’orchestre pour les sites de production WICONA de France. Cette démarche d’amélioration continue se traduit par le renforcement de l’équipe de direction du site de Courmelles avec la nomination de quatre responsables : un responsable Technique, un responsable Production, un responsable Chaine logistique et un responsable HSE pour un pilotage optimisé, plus réactif, et au plus près du terrain. Les postes sont actuellement ouverts. Cette organisation RH fait écho à une réorganisation au sein du groupe Hydro Building Systems, selon laquelle toutes les usines du groupe en Europe sont appelées à fonctionner de manière plus autonome, à gérer leurs propres approvisionnements et sourcing pour gagner en réactivité. Elles sont désormais toutes rattachées à Gøte Nordh, Vice-Président des opérations Europe. Cette nouvelle organisation a pour objectif de favoriser une meilleure coopération entre les usines du groupe, renforcer les synergies, et partager les bonnes pratiques. Pour faire face au développement du volume de ses activités, WICONA France a par ailleurs validé la modernisation et l’agrandissement de son site de Courmelles.  La construction d’un bâtiment de 2 500 m2 jouxtant le grand hall portera à 21 700 m2 l’ensemble. L’extension permettra de : Redéployer et automatiser certaines activités pour faciliter le travail des techniciens. Améliorer la sécurité des équipes et la qualité de service offerte, notamment en répondant aux besoins exprimés par les clients. Les travaux d’agrandissement doivent commencer cette année et le projet devrait s’étaler sur 4 ans.
Il y a 3 ans et 51 jours

Cem’In’Eu s’engage dans la démarche Fret21

Pour réduire encore de près de 2 000 t ses émissions de CO2 liées au transport, Cem’In’Eu a identifié 5 actions concrètes à mettre en œuvre. [©Cem’In’Eu] Cem’In’Eu a ratifié un engagement avec Fret21 dans le cadre du programme Eve Transport et Logistique (Engagement volontaire pour l’environnement). L’industriel renforce ainsi son engagement en faveur de la protection du climat. Il souhaite ainsi réduire ses émissions de CO2 de 20 % supplémentaires en 3 ans. Ceci, en agissant sur l’optimisation des taux de chargement, sur la modulation des modes de transport. Et enfin, sur les achats responsables grâce au choix de partenaires. Réduire encore de près de 2 000 t ses émissions de CO2 Chaque implantation d’usines Cem’In’Eu a en effet été choisie pour respecter cet impératif. A savoir, disposer de connexions fluviales et/ou ferroviaires pour garantir une logistique amont bas carbone. Au total depuis sa création, cette organisation a permis d’éviter l’émission de 2 500 t de CO2. Pour réduire encore de près de 2 000 t ses émissions liées au transport, Cem’In’Eu a identifié 5 actions concrètes à mettre en œuvre : Action 1 : pour le fret maritime, augmentation du remplissage des vraquiers en provenance de Turquie de 20 % par voyage.Action 2 : pour le fret ferroviaire, renforcement du remplissage des trains de 18 % par voyage. Et ce, grâce à la hausse de la taille de la rame, de nouveaux conteneurs et wagons en cours de mise en service.Action 3 : toujours pour le fret ferroviaire, passage d’une locomotive diesel à une hybride électrique/diesel, afin d’atteindre 80 % du flux réalisé par traction électrique.Action 4 : augmentation de 25 % par usine du nombre de transporteurs engagés dans une démarche Eve Transport et Logistique et dédiés à la livraison des clients.Action 5 : pour chacune des deux usines, transformation d’un véhicule gasoil en véhicule B100 pour le transport du vrac à destination des clients.
Il y a 3 ans et 51 jours

Rhône : la Ville de Lyon investit 10 millions d’euros dans le projet de rénovation et de préservation du parc de la Tête d’Or

La municipalité de Lyon soutient le projet de restauration du parc de la Tête d’Or. Cette opération a pour ambition de préserver ce patrimoine naturel emblématique de la ville.
Il y a 3 ans et 51 jours

L'architecte britannique Norman Foster propose de reconstruire la ville de Kharkiv en Ukraine

La Fondation de l'architecte de 86 ans a indiqué que Norman Foster s'était entretenu lundi 18 avril par visioconférence avec Igor Terekhov, le maire de la deuxième ville d'Ukraine située dans l'Est.M. Foster lui a présenté un plan pour reconstruire sa ville, connue pour son architecture dans le style Art nouveau et dont le quart des bâtiments ont été détruits depuis que la Russie a envahi l'Ukraine le 24 février.Située près de la frontière avec la Russie, la ville de Kharkiv a été le théâtre d'âpres combats au début de l'offensive russe mais est restée sous contrôle ukrainien.M. Foster a assuré vouloir "rassembler les meilleurs esprits avec les meilleurs talents du monde en termes de planification, d'architecture, de design et d'ingénierie", afin de commencer à travailler "immédiatement" pour permettre "la renaissance de la ville de Kharkiv".Il a affirmé que la première étape constituerait à dessiner un plan pour une "ville du futur", qui "combinerait l'héritage du passé le plus apprécié et vénéré avec des infrastructures et des bâtiments les plus désirables et écologiques".Dans des extraits vidéo de l'entretien publiés par les autorités de la ville mercredi, Igor Terekhov a affirmé à Norman Foster, en russe, "avoir vu (son) travail et vouloir vraiment voir ce style nouveau, progressif, dans notre ville"."J'aimerais que nous ayons un centre-ville qui devienne un des points forts de l'Europe", a encore dit le maire.Selon lui, quelque 25% des bâtiments de la ville ont été détruits et Kharkiv a besoin de nouveaux hôpitaux, de nouvelles écoles et crèches ainsi que de bureaux pour son secteur de la tech en plein essor.Tous ces bâtiments doivent être équipés d'abris antibombes, a-t-il précisé, soulignant que les immeubles résidentiels devraient aussi avoir des parkings souterrains ayant une "double fonction" et pouvant être convertis en abri en cas d'urgence.
Il y a 3 ans et 51 jours

Alpes-Maritimes : prolongement de la rue du Bon-Air et de la voie Lyan à Antibes

À Antibes (Alpes-Maritimes), le prolongement de la rue du Bon-Air et de la voie Lyan s’inscrit dans le cadre de l’implantation d’un magasin Lidl sur le site de l’ancien Conforama.
Il y a 3 ans et 51 jours

Sur la future ligne 18 du Grand Paris Express, le tunnelier Caroline entre en gare

Employés du groupement Vinci-Spie, responsables de la Société du Grand Paris (SGP) ou élus, les 120 invités, installés à 30 m de la paroi à démolir, ont vu le bout du tunnel au bout d'une heure.Progressivement, la roue de coupe de Caroline, un monstre de 9 m de diamètre pour 110 tonnes fabriqué en Allemagne, a montré ses dents et mollettes derrière la paroi de béton prévue pour être facilement détruite, et méthodiquement laminée.Placés sous la protection de Sainte-Barbe, dont la statue est présente sur le chantier, les compagnons, qui ont le statut de mineurs, baptisent toujours les tunneliers d'un prénom féminin.Les débris ont commencé à tomber dans un bruit sourd. Progressivement déshabillée, l'ossature en fibre de verre a perdu pièce par pièce avant un final prévisible, l'écroulement de la paroi en deux temps.Depuis l'aurore, Caroline avait parcouru les deux derniers mètres pour entrer dans la "boîte-gare" de 23 m de profondeur et 65 m de long, future gare d'Antonypole qui doit accueillir à terme 12.000 voyageurs par jour.Des ouvriers ont hissé le drapeau de leurs entreprises entre les pales du tunnelier, mis au repos forcé pendant 36 heures, le temps de nettoyer la scène. "C'est un aboutissement, surtout que ça part de rien", savoure Christophe Orain, un ingénieur qui salue "une aventure humaine avec des machines révolutionnaires".15 m par jourL'arrivée de Caroline est un "gros événement: c'est le premier percement d'un tunnel dans une gare sur la ligne" 18, souligne Vianney Elzière, directeur de projet de la ligne. Mais il faudra patienter jusqu'à 2027 pour voir les trains circuler sur ce tronçon du Grand Paris express, constitué de quatre nouvelles lignes de métro (15, 16, 17 et 18) desservant la proche et la grande couronne.Lancé en décembre 2021, Caroline a creusé environ 800 m depuis sa base de départ de Massy (Essonne), à un rythme de 15 m par jour, pauses comprises. Le creusement d'une terre argileuse, et donc peu capricieuse, s'étant déroulé sans encombre, la première étape a été bouclée avec deux semaines d'avance. Mais devant les 5,2 km restant à parcourir jusqu'à Orly, M. Elzière veut "rester humble et modeste face à la nature".Au départ du tunnel, les chiffres donnent le tournis: 150 camions par jour pour évacuer les 9 fosses de déblai de 1.000 m2 chacune, deux silos d'accès de 36 mètres de profondeur pour 27 m de diamètre...Dans le tunnel, environ 2.500 voussoirs, ces morceaux de voûte pesant 7 tonnes chacun, ont été posés à un rythme d'une demi-heure par anneau de deux mètres. A l'intérieur de la jupe du tunnelier, situé à l'arrière de la roue et du bouclier qui garantit l'étanchéité, ils sont amenés par l'érecteur et fixés par deux ouvriers.Horizon 2030Dans le même mouvement, la terre forée, fluidifiée par une mousse, est évacuée via la vis d'extraction sur un tapis qui s'étire avec le tunnelier, long de 100 m dans sa version allongée. Quand Caroline atteindra Orly, le tapis convoyeur fera donc 6 km de long...Dans sa cabine, Giuseppe Sanchez fait avancer Caroline à l'aide de vérins hydrauliques de 6 m de long qui se propulsent sur les anneaux déjà posés. "Si je mets plus de pression vers la gauche, la direction bouge", explique le pilote qui s'oriente avec une cible millimétrée dont il doit dévier le moins possible.Les sept voussoirs d'un même anneau posés à l'intérieur de la jupe, la machine redémarre. Le vide créé par l'avancée du train est comblé par du mortier injecté entre le béton et la terre afin de consolider l'ouvrage. Entamée en 2020, la ligne 18 doit relier à l'horizon 2030 l'aéroport d'Orly à Versailles, à travers dix gares de la grande couronne pour un budget de 4,4 milliards d'euros, selon M. Elzière.A Massy, les travaux suscitent "plus une gêne qu'un enthousiasme" chez les habitants, reconnaît le maire (UDI) Nicolas Samsoen. "Mais ils savent que ça va changer leur vie."
Il y a 3 ans et 51 jours

Vendée : le musée municipal de La Roche-sur-Yon installé provisoirement dans l’ancienne école André-Malraux

La ville de La Roche-sur-Yon a décidé de réaménager l’école André-Malraux pour y installer le musée municipal en attendant son déménagement dans l’ancien conservatoire.
Il y a 3 ans et 51 jours

« Les villes complices peuvent retisser la nation », Charles Lambert, urbaniste

Loin de tout dogmatisme, Charles Lambert se veut précis dans le choix des mots : « Je parle de transformations, et non de solutions », décrypte-t-il à propos des « 36 transformations heureuses » qui jalonnent sa « France à l’âge des villes », publiée ce printemps par les éditions du Cerf. Le titulaire du grand prix européen de l’urbanisme (1991) propose d’enrichir la notion de « terrain équipé », en y ajoutant la desserte par les transports publics.
Il y a 3 ans et 51 jours

La BnF Richelieu annonce sa réouverture en septembre

Cette réouverture "coïncide avec le tricentenaire de sa première installation dans l'ancien palais Mazarin, en 1721-1722", a-t-elle ajouté.La date choisie est le week-end des Journées européennes du patrimoine, les 17 et 18 septembre.Les visiteurs découvriront alors un nouveau jardin, rue Vivienne, qui "valorisera un ensemble de plantes papyrifères" dans un quartier peu pourvu en espaces verts, mais également un musée flambant neuf offrant quelques trésors des collections de la Bibliothèque comme des vases grecs ou le trône du roi Dagobert."Ces salles, dont certaines étaient accessibles au public, n'étaient pas pensées comme un musée. Cette fois, c'est exposé et ouvert à tous, des endroits exceptionnels comme l'ancienne salle de lecture du Cabinet des médailles, le Cabinet Louis XV", a expliqué à l'AFP la présidente de la BnF, Laurence Engel.Cet immense ensemble architectural, qui nécessitait une vaste remise aux normes, a été entièrement repensé pour le rendre plus ouvert, fonctionnel et aéré.Après l'ouverture en 1998 d'un autre site pour la BnF, la Bibliothèque François-Mitterand dans le 13e arrondissement, Richelieu a été réservé à des départements spécialisés : Manuscrits, Estampes et photographie, Monnaies, médailles et antiques, Arts du spectacle et musique, Cartes et plans.Si les chercheurs sont les utilisateurs historiques de cette bibliothèque, le grand public sera appelé à fréquenter sa majestueuse salle de lecture, la salle Ovale, pour y feuilleter entre autres 9.000 bandes dessinées en accès libre.Les travaux ont coûté 248 millions d'euros, indique le site internet de la BnF.
Il y a 3 ans et 51 jours

Le Syndicat national du béton prêt à l’emploi (SNBPE) poursuit ses actions de découverte des métiers de la filière béton

Une vingtaine de futur(e)s ingénieur(e)s (3ème année en Génie Civil et 1ère année en prépa) a pu ainsi découvrir sur le terrain le fonctionnement d’une chaîne de production de béton dans sa globalité : de l’activité d’extraction à celle de production du béton préfabriqué et prêt à l’emploi, en passant par l’observation du front de taille, la manœuvre des engins et une visite du laboratoire où se poursuivent des travaux sur la résistance des matériaux, les bétons bas carbone, les bétons à hautes performances, le recyclage et la valorisation des granulats… Polytech Marseille propose à ses élèves un projet pédagogique vertueux. Pour aider les étudiants de première année de classe préparatoire intégrée de l'école dans le choix de leurs futures spécialisations, chaque département met en place des actions pour les présenter. Le département génie civil propose des visites de sites industriels de l'univers de la construction et s'associe au SNBPE pour faire découvrir, aux futurs ingénieurs, les acteurs du premier maillon de l'acte de construire. Des étudiants de 3ème année génie civil accompagnent, dans cette démarche, des élèves de 1ère année de classe préparatoire, en leur faisant profiter de leur expérience récemment acquise.Le SNBPE : un engagement permanent auprès des étudiants et des établissements d’enseignement pour la valorisation des métiers de la filière bétonCe type de journée pédagogique s’inscrit dans la volonté du SNBPE de mieux faire découvrir l’ensemble des métiers liés à la production du béton avec une approche terrain de partage des compétences et d’expérience des professionnels du secteur. C’est aussi l’occasion de sensibiliser les étudiants quant aux démarches éco-responsables pratiquées par des industriels toujours plus vertueux.
Il y a 3 ans et 51 jours

Exposition Soutenir au Pavillon de l’Arsenal : l’architecture du soin, de la cure au « care »

Au Pavillon de l'Arsenal, l'exposition Soutenir (Ville, architecture et soin), commissionnée par la philosophe et psychanalyste ...More about Cet article Exposition Soutenir au Pavillon de l’Arsenal : l’architecture du soin, de la cure au « care » est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 3 ans et 51 jours

Le bâtiment salue la réélection d'Emmanuel Macron mais attend plus de mesures pour le secteur lors de ce second quinquennat

Alors que la crainte de voir passer l'extrême-droite au pouvoir s'intensifiait chez de nombreux français, Emmanuel Macron a finalement été réélu le 24 avril. Lors de son discours de victoire, il déclarait « Votre vote m'oblige » en déclarant avoir conscience qu'une partie des votes en sa faveur étaient des votes contre le parti de Marine Le Pen.Le président pourrait potentiellement modifier sa ligne politique par rapport à son précédent mandat. Il avait notamment annoncé la possibilité de nommer un Premier Ministre chargé de la planification écologique, une mesure tirée du programme du candidat de l'Union Populaire, Jean-Luc Mélenchon. Cette décision, si elle vient à être appliquée, peut signifier de nombreux changements pour le secteur du BTP mais aussi de l'énergie ou de l'immobilier.Lors du débat du second tour, Emmanuel Macron avait déjà annoncé vouloir accéler le rythme de la transition écologique en France et il a réitéré cette intention devant ses partisans au soir des résultats de l'élection en déclarant « Faire de la France une grande nation écologique, c'est notre projet », affichant une volonté de « baisser de 40% notre consommation d'ici 2050 ».Le président souhaite s'appuyer sur le création de 6 à 14 nouveaux réacteurs EPR2, sur l'éolien offshore et sur une multiplication par 10 des capacités solaires installées.Concernant le bâtiment, comme déclaré lors du débat du second-tour, Emmanuel Macron compte accélérer les rénovations énergétiques des logements et vise un objectif de 700.000 rénovations par an.Les organisations du BTP félicitent Emmanuel Macron mais maintiennent leurs attentesPlusieurs acteurs du BTP et de l'artisanat saluent la victoire du candidat LREM et la continuité politique qu'elle apporte, mais ils rappellent également que du chemin reste à parcourir.La CPME désire notamment que « ce quinquennat permette la poursuite des réformes annoncées, en particulier celle des retraites » et que des sujets importants tels que « la réforme de la fonction publique et la remise à l'équilibre des finances publiques, quasiment absents de la campagne électorale, soient remis sur la pile des dossiers prioritaires ».La CMA de son coté salue les « mesures massives et décisives qui ont été décidées par l'État afin de sauvegarder les entreprises affectées par la crise sanitaire ».Pour Joël Fourny, président de CMA France : « J’adresse toutes mes félicitations à Emmanuel Macron pour sa réélection et souhaite que l’artisanat, première entreprise de France, soit au cœur de la politique économique menée par notre pays. »La Chambre des Métiers de l'Artisanat demande néanmoins des changements pour le nouveau mandat présidentiel et notamment la nomination dans le prochain gouvernement d'un « ministre en charge des 1,8 millions d'entreprises relevant du secteur de l'artisanat ».Pour Joël Fourny, président de CMA France: « Les artisans ont pu bénéficier de politiques publiques adaptées, ciblées sur leurs besoins spécifiques. Ce dialogue continu et cette collaboration efficace avec le gouvernement doit se poursuivre et s’amplifier pour maintenir la dynamique de l’apprentissage, garantir l’avenir d’un secteur en tension et permettre la croissance durable des entreprises artisanales. »L'UNAM, avec l'appui des Intercommunalités de France, rappelle « l'urgence d'agir face à la crise du logement et notamment la nécessité de réhabiliter une pensée aménagiste et de sortir d’une vision comptable pour adopter une vision fonctionnelle qui s’applique aux modes de vie ». Elle appelle de ses vœux une révision des modalités de mise en œuvre de la loi Climat & Résilience en matière de lutte contre l’artificialisation pour mieux optimiser le foncier disponible et éviter de pénaliser près de 10.000 communes déjà carencées en foncier.Pour François Rieussec, Président de l’Union Nationale des Aménageurs (UNAM): « La comptabilité urbaine ne doit pas remplacer la pensée urbaine. Et imaginer que des mesures compensatoires sont une solution, c’est délivrer un droit à la détérioration à l’environnement. Il faut que les opérations soient vertueuses en elles-mêmes, intégrer les solutions environnementales et ne pas externaliser les problèmes. »
Il y a 3 ans et 51 jours

Ce monde n’existe pas puisqu’il fut. Chroniques-photos d’aujourd’hui

Jamais peut-être l’édition spéciale photographes de Chroniques n’a autant collé à l’humeur du temps qu’en ce printemps 2022. Ses auteurs font pourtant appel à ce qui ressemble à de la nostalgie. Parler d’hier pour mieux parler d’aujourd’hui ? Une réflexion sur la chute de l’empire ? En guise de carte blanche, les photographes ne font jamais que […] L’article Ce monde n’existe pas puisqu’il fut. Chroniques-photos d’aujourd’hui est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 51 jours

Tout semble immobile, par Alban Lécuyer

Cette série, intitulée « Tout semble immobile », propose une réflexion sur l’imaginaire de la chute des grands ensembles et la place du vestige dans la ville contemporaine. Elle est un peu le contrechamp de la série Downtown Corrida* publiée en 2020. Tout semble immobile, certes, comme au cœur du cyclone. Un calme trompeur ? Les Merisiers L’imaginaire […] L’article Tout semble immobile, par Alban Lécuyer est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 51 jours

Pékin 2008, avant les Jeux Olympiques, avec Aurélien Chen

Aurélien Chen a vécu 15 ans en Chine. Architecte et photographe d’architecture, il a été témoin de la transformation urbaine et sociale d’une ville olympique, deux fois. La nostalgie camarade ? Retour en cette folle année 2008. La Chine se prépare à accueillir les Jeux Olympiques d’été. Bientôt le monde entier affluera à Pékin et la […] L’article Pékin 2008, avant les Jeux Olympiques, avec Aurélien Chen est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 51 jours

Jeter un pont dans la photographie d’Erieta Attali

Élargissant son enquête de longue haleine sur l’architecture en tant que paysage, la photographe Erieta Attali concentre notre attention sur une entreprise sociotechnique particulière : l’acte de jeter des ponts. Méditation sur la face cachée de la photographie. Alors que les figures humaines sont ostensiblement absentes de ses photographies, l’affirmation du social est inhérente, émergeant […] L’article Jeter un pont dans la photographie d’Erieta Attali est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 51 jours

L'emblématique BnF Richelieu va rouvrir ses portes, après douze années de travaux

PATRIMOINE. Le site historique logé dans le IIe arrondissement de Paris a annoncé sa réouverture en septembre prochain. De nouveaux espaces ont été imaginés, dont un jardin qui fait la part belle aux plantes utilisées pour le support d'écriture.
Il y a 3 ans et 51 jours

Le préfabricant Citygie fait le choix d’un béton bas carbone

Le groupe Citygie exploite une nouvelle recette de béton bas carbone dans son usine de préfabrication, à Chaleins (01). [©CapCross] Le groupe Citygie est la maison-mère de Bihr Environnement et Francioli. Depuis peu, il exploite une nouvelle recette de béton dans son usine de préfabrication, à Chaleins (01). Celle-ci est dédiée au mobilier urbain et aux sanitaires publics. Le matériau est formulé autour de ciments CEM III/A développés par Lafarge Ciment dans son usine au Teil (07). Ceci, afin de réduire l’impact carbone du matériau. Le CEM III/A remplace dans sa composition une certaine quantité de clinker par du laitier de hauts fourneaux. Lire aussi : La préfabrication à la mode du bas carbone 20 à 25 % d’émissions carbone en moins Le choix de ce béton n’impacte en rien la qualité des produits finaux, mais impose de nouvelles contraintes à l’outil industriel, comme un temps de séchage plus long. « Nous avons travaillé avec les fournisseurs pour adapter le produit à notre processus de fabrication », souligne Eric Piroud, directeur général de Citygie. L’intégration de ce nouveau matériau permet de réduire de 20 à 25 % l’impact carbone des produits finis, en fonction de la quantité de béton utilisée. Pour les sanitaires publics, la structure béton représente plus de 95 % de la masse du produit fini. « L’intégration du ciment CEM III/A à nos processus de fabrication constitue la première étape d’une démarche globale de réduction de notre empreinte environnementale. Pour ce volet matériaux, nous expérimentons, d’ores et déjà, avec nos fournisseurs les futures générations de ciments et bétons bas carbone, conclut Eric Piroud. Nous sommes par ailleurs engagés dans une fabrication 100 % française, grâce à des approvisionnements locaux. »
Il y a 3 ans et 52 jours

La startup Waste Marketplace lève 2 millions d’euros pour financer son développement commercial et sa solution digitale

Fondée en 2018 dans le cadre du programme d'intrapreneuriat de VINCI, Waste Marketplace propose une application qui simplifie la gestion des déchets de chantiers et industriels. Waste Marketplace mutualise les recherches et les audits chez les prestataires et sélectionne, pour ses clients, le meilleur rapport taux de valorisation/prix et localisation, pour chaque type de déchets.Waste Marketplace s’occupe de tout pour ses clients : démarches administratives, devis des prestataires, reporting précis sur les émissions de carbone générées, traçabilité des contenants. Tout est accessible en 1 clic sur l’application.SMABTP a fait le choix d’entrer au tour de table de Waste Marketplace pour participer au développement d’une offre de service utile à ses clients, acteurs du BTP. VINCI Construction reste un soutien actif dans le développement de la startup.L’objectif de cette levée de fonds par augmentation de capital, est de poursuivre le développement commercial de Waste Marketplace sur tout le territoire national et de continuer le développement fonctionnel et technologique de sa plate-forme digitale.Pour Jérôme de Tomasi, CEO de Waste Marketplace : "Cette levée de fond va nous permettre de développer davantage notre force commerciale pour mailler encore plus finement le territoire national afin de proposer le prestataire le plus adapté pour chaque besoin. Les fonds serviront également à perfectionner l’outil digital, notamment sur la traçabilité des déchets pris en charge."Pour Hervé Leblanc, directeur général adjoint grands comptes et international, groupe SMA : "Les échanges que nous avons eus avec Waste Marketplace nous ont permis de constater que cette société présente un intérêt indéniable pour les professionnels du BTP. Elle leur permet de simplifier la gestion de leurs déchets, un véritable enjeu pour le secteur qui doit intégrer le renforcement de la réglementation dans ce domaine. C’est pourquoi, nous avons fait le choix d’accompagner cette startup afin de soutenir une solution utile à la protection de l’environnement et à nos sociétaires."Pour Thierry Mirville, président de VINCI Construction Invest : "VINCI Construction fait de l’économie circulaire un axe fort de son développement et de ses savoir-faire techniques. Nous sommes particulièrement fiers du développement ambitieux de Waste Marketplace qui démontre que pour favoriser le réemploi et le recyclage des matériaux depuis et sur nos chantiers, il faut des solutions simples, économiques, locales et intégrant la traçabilité de leur origine à leur mise en œuvre."Pour Julien Villalongue, directeur, Leonard : "Parmi les nouvelles filiales et activités du groupe VINCI nées du parcours Intrapreneurs animé par Leonard, Waste Marketplace a rapidement trouvé son marché grâce à son excellente adéquation avec les besoins des acteurs du BTP et de l’industrie, pour qui l’enjeu environnemental s’affirme désormais comme une priorité."Chiffres clés :400 chantiers et site industriels actifs500 prestatairesPrès de 3.000 mouvements par moisPlus de 5.000 tonnes de déchets traitées chaque mois87% de valorisation en moyenne+263% : croissance du CA entre 2020 et 2021
Il y a 3 ans et 52 jours

Arcadis enjambe les voies de la Gare d’Austerlitz

Arcadis, société internationale d’ingénierie et de conseil, dévoile le pont de franchissement du faisceau ferré de la gare d’Austerlitz, visant à désenclaver le quartier de la Gare d’Austerlitz. Ce tablier en acier de 2 100 tonnes a été poussé, pour la seconde fois, au-dessus des voies ferrées avec une vitesse moyenne de 2m à l’heure entre samedi 16 et dimanche 17 avril. Par sécurité, le trafic ferroviaire a été complètement interrompu sur 7 voies. « Lancer le pont au-dessus des voies avec un seul point d’appui intermédiaire est à la fois une grande prouesse technique et une opération emblématique qui vient concrétiser le travail de plusieurs années. » déclare Arnaud NAËL, Directeur de projet chez Arcadis. Les équipes Arcadis ont dû faire face à des contraintes fortes liées aux infrastructures existantes (voies ferrées, ligne 10 du métro, hôpital de la Salpêtrière…) sans en impacter le fonctionnement quotidien. Au-delà de la complexité structurelle liée à l’architecture du pont, l’autre défi de taille était d’insérer harmonieusement la nouvelle liaison dans un contexte architectural très divers : de nombreux bâtiments historiques dont la chapelle Saint-Louis de la Salpêtrière côté boulevard de l’Hôpital et des nouveaux bâtiments dont le siège du groupe Le Monde côté avenue Pierre Mendès-France. Enfin, des obstacles climatiques ont donné du fil à retordre aux équipes : la crue du Rhin en juillet 2021 a ralenti le transport par voie fluviale de la charpente métallique, préassemblée dans l’usine de Lauterbourg en Alsace et acheminée sur site pour y être finalisée.D’une longueur de 87 mètres et d’une largeur variable de 19 à 32 mètres, le pont a été pensé comme une place publique visant à créer un nouveau lien piéton, cycliste et routier entre deux quartiers de Paris Rive Gauche en franchissant l’obstacle du faisceau ferroviaire de la gare d’Austerlitz. En tant que maître d’œuvre (mandataire), Arcadis a remporté, aux côtés de Wilkinson Eyre Architects et Arpentère (paysagiste), le concours lancé en 2016 par la SEMAPA (aménageur de la ZAC Paris Rive Gauche) et la Ville de Paris, pour la réalisation du pont reliant les deux secteurs du quartier Austerlitz de part et d’autre des voies ferrées. « Avec le pont Mère-Teresa qui franchit le faisceau Saint-Lazare, nous sommes les concepteurs des deux derniers ponts enjambant des faisceaux ferrés parisiens : des opérations complexes et peu courantes dans un environnement bâti extrêmement dense. Notre maîtrise de l’opération dans son ensemble et notre expérience éprouvée avec le pont Mère-Teresa nous ont permis d’accompagner la SEMAPA dans ce projet emblématique qui constitue un défi à la fois technique, architectural et urbain, dont nous sommes très fiers. » déclare Claire RAVETTI, Cheffe de projet chez Arcadis. Le chantier, qui a démarré en juin 2020, devrait prendre fin courant 2023 avec les travaux d’accostage et d’aménagement de surface. En attendant l’ouverture du pont au public à l’issue des travaux du secteur Austerlitz, la SEMAPA a salué cette dernière grande opération de lançage. « Relier les berges de Seine aux quartiers existants du XIIIème arrondissement de Paris en franchissant l’obstacle du faisceau ferroviaire de la gare d’Austerlitz est une véritable prouesse technique et offre une ouverture du quartier Austerlitz-Gare. Une fois mis en service, le nouveau pont devrait permettre aux piétons de gagner 15 minutes de marche ! » conclut la SEMAPA.Arcadis possède une expertise reconnue dans la conception d’ouvrages d’art et les projets d’ingénierie civile complexes avec des réalisations majeures comme le Viaduc de Millau, la couverture du périphérique à Porte de Vanves ou en encore les bâtiments-ponts tels que la Tour de la Biodiversité dans le 13ème arrondissement de Paris et l’ensemble immobilier « Les Vergers » à Cergy-Pontoise.
Il y a 3 ans et 52 jours

Ille-et-Vilaine : réaménagement du crématorium de Vern-sur-Seiche

Dans l’Ille-et-Vilaine, Rennes Métropole va agrandir le crématorium de Vern-sur-Seiche pour anticiper les futurs besoins sur le territoire.
Il y a 3 ans et 52 jours

Essonne : les travaux de remplacement des ponts de Chartres et de Gallardon ont repris

Suspendus, les travaux de remplacement des ponts de Chartres et de Gallardon ont été relancés après un réajustement du calendrier du projet.
Il y a 3 ans et 52 jours

MGAU - Portrait

Michel Guthmann fonde MGAU à Paris en 2005. Après plusieurs années en tant qu'architectes au sein de l'agence, Stéphanie Appert et Olivier Barthe deviennent associés en 2019.  Comptant aujourd'hui une vingtaine de collaborateurs, MGAU se nourrit des méthodes de l'architecture et de l'urbanisme pour aborder des sujets variés, […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 52 jours

Au Japon, le roi des cerisiers fait de l'ombre à la diversité

La période provoque chaque année une effervescence nationale au Japon, où les médias rivalisent de prévisions sur le calendrier précis de la pleine floraison des cerisiers ("sakura") et où les badauds s'adonnent à la coutume festive du "hanami" - l'admiration de leurs fleurs.Les Somei Yoshino représentent plus de 90% des cerisiers ornementaux plantés au Japon. Leur floraison, qui dure environ une semaine, tend à se déclencher simultanément sur les arbres d'une région donnée car ce sont des clones d'un seul spécimen.Prisée pour sa pousse rapide, cette variété a conquis tout le Japon lors de l'urbanisation effrénée du pays entre les années 1950 et 1980. Mais elle est aussi plus exposée que d'autres à des maladies et tend à prendre beaucoup de place en grandissant."Le secret c'est de planter la bonne variété au bon endroit", estime Hideaki Tanaka, un expert des cerisiers ornementaux qui aimerait davantage de diversité en la matière au Japon."Il y a toutes sortes de sakura, pas seulement le Somei Yoshino. Je veux aider à recréer les temps anciens, quand il y avait une grande variété à admirer" avec des périodes de floraison différentes, ajoute-t-il.Sa ferme horticole à Yuki, dans le département d'Ibaraki (nord-est de Tokyo), présente environ un millier de cerisiers de 400 variétés différentes afin d'inciter les municipalités de tout le pays à envisager des alternatives au Somei Yoshino.Son exploitation a aussi distribué plus de trois millions de jeunes plants de sakura, dont des Somei Yoshino, mais elle fait désormais la promotion d'une autre variété, le "Jindai Akebono", un cerisier plus résistant aux infections et moins volumineux quand il grandit, le rendant ainsi plus facile à tailler.Un lien affectif fortPendant des décennies, d'innombrables Somei Yoshino n'ont pas été correctement taillés, les laissant vulnérables à une infection appelée la "maladie du balai de sorcière", qui forme des grappes de rameaux disgracieux et nuit à la floraison.Les Somei Yoshino deviennent aussi très grands et très larges, ce qui peut représenter un danger en cas de typhon ou autre catastrophe naturelle au Japon, et leurs racines volumineuses peuvent fissurer les trottoirs.Malgré tous ces inconvénients, remplacer cette variété reine n'est pas facile pour les municipalités, car les habitants sont souvent très attachés aux cerisiers de leur quartier.A Kunitachi par exemple, dans la banlieue ouest de Tokyo, la ville a mis trois décennies pour enlever environ 80 Somei Yoshino sur 210 censés être remplacés.Avec leurs branches étendues, ces arbres forment un tunnel floral que les habitants du quartier veulent préserver. "Des gens avaient emménagé ici pour les admirer", explique Ryusuke Endo, un responsable des services de voirie de Kunitachi.A Yokohama (sud-ouest de Tokyo), le projet d'abattre 300 cerisiers Somei Yoshino bordant une avenue fréquentée a aussi récemment provoqué un tollé et fait du bruit dans les médias locaux."Le Somei Yoshino sera toujours la principale attraction", reconnaît lui-même l'horticulteur Hideaki Tanaka. "Mais j'aimerais aider les communautés à créer d'autres espaces où les gens peuvent admirer toutes sortes de variétés de cerisiers".A Kunitachi, où la municipalité a commencé à planter des Jindai Akebono, la variété dont M. Tanaka fait la promotion, "les gens commencent à se rendre compte que ces arbres-là sont beaux également", veut croire M. Endo.
Il y a 3 ans et 52 jours

A Issy-les-Moulineaux, Altarea livre un coeur de ville mixte et relié à la géothermie

INNOVATIONS. Sur une ancienne friche tertiaire en plein centre-ville, au sud-ouest de Paris, voit le jour un quartier mixte bureaux-commerces-logements. Innovation principale : Engie Solutions y a installé un réseau de chaud et froid alimenté par la géothermie, qui desservira aussi les logements.
Il y a 3 ans et 52 jours

Les inondations en Afrique du Sud, triste révélateur d'une crise aiguë du logement

Les crues et les glissements de terrain causés par une semaine de fortes pluies dans la province du KwaZulu-Natal (KZN, est), ouverte sur l'océan Indien, ont fait au moins 435 morts et laissé des milliers de personnes sans toit. Les quartiers les plus démunis ont été dramatiquement touchés.Thulisile Ntobela, 31 ans, vivait autrefois dans un appartement. Mais lorsque son loyer a augmenté, cette mère de cinq enfants, sans emploi, n'a pas pu suivre et elle a du déménager.Sur ce bout de terrain vague, elle a construit une cabane il y a cinq ans. Ici, pas de loyer, "on construit notre maison et on s'installe", dit-elle. Auparavant plantée de gommiers, la zone d'eNkanini est aujourd'hui occupée par des centaines de baraques en tôle, vulnérables aux intempéries. Quelque 87 constructions ont été détruites par les récentes inondations.En Afrique du Sud, environ 13% des près de 60 millions d'habitants vivent dans des logements informels, selon les statistiques officielles. Sur des terrains souvent non constructibles et parfois inondables."J'avais tellement peur. Je tenais mon bébé dans mes bras. Les gens criaient" pendant la tempête, raconte Thulisile Ntobela. Le plus jeune de ses enfants, un nourrisson de huit mois, est accroché dans son dos. Par miracle, aucun d'entre eux n'a été blessé, ils se sont réfugiés chez un voisin lorsqu'ils ont senti le sol bouger.Héritage de l'apartheid"Nous n'avons pas de maison. C'est chez nous ici", dit simplement Mzwandile Hlatshwayo, 25 ans, qui vit aussi dans le township. Il est venu d'un coin rural de la province pour chercher du travail. "S'il y avait la moindre chance d'obtenir un logement social, nous irions", dit-il.Le pays manque de 3,7 millions de logements, selon le Centre pour le financement du logement abordable en Afrique (CAHF). L'exode rural pour des raisons économique a accentué la pression sur le logement dans les centres urbains.Un autre facteur est que la majorité des terres sont détenues par les 8% de Sud-Africains blancs, héritage d'une politique d'expropriation de la population noire pendant l'apartheid.Trente ans après la fin du régime raciste, la question de la redistribution des terres n'est toujours pas résolue dans un pays classé comme le plus inégalitaire du monde par la Banque mondiale.Selon les secouristes qui ont passé des jours dans les townships de la ville à récupérer des corps enfouis dans les coulées de boue, les cabanes construites sans tenir compte du terrain étaient exposées à un risque accru aux inondations.Les autorités ont déclaré commencer à aménager des espaces dans le quartier voisin de Ndwedwe, afin de construire des logements temporaires pour les victimes des intempéries. Des solutions à plus long terme sont encore à l'étude.Cette catastrophe naturelle sans précédent dans le pays est l'occasion pour le gouvernement de s'attaquer enfin au problème des sans-terre et de la pauvreté, estime Sbu Zikode, de l'organisation locale de défense des terres et du logement, Abahlali baseMjondolo (habitants des cabanes, en zoulou)."Le pays et le monde nous regardent pour savoir comment nous allons faire face à la catastrophe", dit-il. "Le gouvernement est obligé d'agir et de fournir des terres".
Il y a 3 ans et 52 jours

Urbanisme transitoire : 3 questions à l’agence Looking for Architecture

Fondée en 2011 à Lyon par Antoine Trollat et Laurent Graber, l'agence Looking for Architecture a ...More about Cet article Urbanisme transitoire : 3 questions à l’agence Looking for Architecture est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 3 ans et 52 jours

3 questions à : Maryse Faye, maire adjointe de Montpellier déléguée à l’urbanisme et au foncier

Le 9 février dernier se sont tenues à Montpellier les premières Assises du territoire "Inventons ensemble ...More about Cet article 3 questions à : Maryse Faye, maire adjointe de Montpellier déléguée à l’urbanisme et au foncier est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 3 ans et 52 jours

L'Etat accorde une dotation de 10 millions d'euros à la Monnaie de Paris

La Monnaie de Paris souffre depuis plusieurs années d'une baisse des commandes de l'État: en 10 ans, elles ont été divisées par deux, l'argent liquide étant de moins en moins utilisé au profit d'autres moyens de paiement, comme le sans contact ou les applications sur smartphone.L'établissement a donc entamé une stratégie de diversification, grâce notamment à l'édition de pièces thématiques autour de personnages réels ou fictifs comme Napoléon ou Harry Potter, qui lui a permis l'an dernier de redevenir profitable.Présent à Paris et dans la banlieue bordelaise (Gironde), il souhaite également exploiter des terrains lui appartenant en menant des projets immobiliers.Dans un récent entretien au quotidien régional Sud Ouest, son PDG Marc Schwartz, indiquait ainsi vouloir s'"assurer des revenus complémentaires en créant des locaux" sur un de ses sites à Pessac, près de Bordeaux, pour les louer à des entreprises.
Il y a 3 ans et 52 jours

Immobilier logistique : un 1er trimestre 2022 dans l’élan de 2021

Le marché utilisateurs : un 1er trimestre 2022 dans la continuité de 2021Avec près d’1 M de m² placés en logistique à l’échelle de la France (978 700 m²), le 1er trimestre s’inscrit dans le prolongement de la fin 2021, avec une hausse de 23 % par rapport au 1er trimestre 2021 et se positionne plus globalement comme un très bon trimestre. L’agro-alimentaire a été particulièrement actif au cours de ce 1er trimestre témoignant du dynamisme de ce secteur économique, et son corollaire la poursuite de la réorganisation de leur supply chain dans un environnement concurrentiel, avec, en particulier, plusieurs transactions XXL recensées. « Les besoins des utilisateurs sont réels mais le climat géopolitique en pousse certains à davantage de prudence dans les prises de décision, en particulier pour les plus grands projets », commente Pierre-Louis Dumont, Directeur Exécutif Agence I&L France.La tension sur l’offre continue de brider certains marchés comme Rhône-Alpes ou bien encore PACA qui pousse les entreprises à se positionner sur des localisations alternatives de 2ème voire 3ème couronne de métropoles. « Ce phénomène de report témoigne des besoins et de l’envie de faire des utilisateurs malgré une offre lacunaire. Néanmoins, cet éloignement croissant des barycentres de distribution se fait au prix de coûts de transport supplémentaires et d’un impact environnemental non souhaité », ajoute Pierre-Louis Dumont.L’investissement surfe sur le dynamisme du marché utilisateurs Les fondamentaux du marché de la logistique restent très bons. « Dns ce contexte d’incertitude, les produits avec des flux locatifs sécurisés à long terme sont toujours recherchés par la majeure partie des investisseurs. » Les produits en blanc ou avec des durées de baux courtes continuent d’intéresser ceux cherchant à capturer les croissances des valeurs locatives et générant ainsi des rendements supérieurs ces prochaines années », commente François-Régis de Causans, Directeur Investissement I&L. Toutefois, au-delà de l’attrait structurel et long terme de cette classe d’actif, le climat actuel est particulièrement complexe et les tendances à court et moyen termes ne sont pas clairement identifiées.
Il y a 3 ans et 52 jours

Comment Helsinki imagine et construit la ville durable de demain

INTERNATIONAL. La capitale finlandaise s'est fixée pour objectif d'atteindre la neutralité carbone d'ici 2030. Elle a déjà réduit ses émissions de gaz à effet de serre de 30%, et s'emploie à bâtir une ville plus durable, plus accessible, mais aussi plus intelligente, pour un futur plus respectueux de l'environnement.
Il y a 3 ans et 52 jours

L’Alliance HQE-GBC France édite un guide des bonnes pratiques du bâtiment durable et de la commande publique

Des dizaines d’experts de huit pays de l’Union Européenne se sont engagés dans la préparation du guide dans le cadre du projet Life Level(s), qui met en avant les différents degrés de durabilité des bâtiments.Le projet encourage les pays de l’Union Européenne à intégrer dans leur législation les critères d’évaluation de performance des bâtiments en matière de durabilité issus du cadre de travail Level(s) de l’UE. Ce dernier tient compte du cycle de vie complet d’un bâtiment, en couvrant les étapes de fabrication des matériaux, de construction, d'exploitation du bâtiment, de déconstruction et de démolition.Le Guide établit que la commande publique durable doit se construire autour de trois indicateurs clés : l’Analyse du Cyclede Vie (ACV), le Coût Global et la Qualité de l’Air Intérieur (QAI). Sur le critère de l’ACV, la France s’illustre avec les projets portés par le bailleur social Lille Métropole Habitat et le CD2E à Villeneuve d’Ascq et Wavrin. Pionniers, ces projets ont intégrés dès 2019, neuf indicateurs d’ACV dans leur appel d’offres en se basant sur l’expérimentation E+C-, ce qui a permis de connaître les performances environnementales du projet et de développer des stratégies d’écoconception.« L’Alliance HQE-GBC France, avec son principe de Haute Qualité Environnementale place l’intérêt général au cœur de ses préoccupations. Afin que les bâtiments de demain soient durables et contribuent à la protection de la santé de tous, nous devons dès aujourd’hui mettre en place les mesures nécessaires pour assurer leur performance environnementale, économique et la qualité de vie en leur sein. De la maison individuelle à l’écoquartier, des immeubles de bureaux aux complexes sportifs, les indicateurs de performance appuyés par Life Level(s) doivent nous permettre d’aiguiller nos choix de construction. En diffusant alors les bonnes pratiques, nous parviendrons par un effort commun à atteindre nos objectifs, » dit Estelle Réveillard, directrice de l’Alliance HQE-GBC France. Elle ajoute que la collaboration européenne au sein du projet Life Level(s) permet de développer un cadre de travail robuste et d’amplifier les retombées du travail accompli.En guise d’avancée concrète, L’Alliance HQE-GBC France a préparé une lettre d’engagement pour les autorités publiques et les entreprises qui souhaitent intégrer les indicateurs LIFE Level(s) de durabilité dans leurs appels d’offres et contribuer ainsi de manière concrète à la préservation de l’environnement et de la santé.Guide consultable via ce lien.
Il y a 3 ans et 52 jours

L’Alliance HQE-GBC France édite un guide des bonnes pratique du bâtiment durable et de la commande publique

Des dizaines d’experts de huit pays de l’Union Européenne se sont engagés dans la préparation du guide dans le cadre du projet Life Level(s), qui met en avant les différents degrés de durabilité des bâtiments.Le projet encourage les pays de l’Union Européenne à intégrer dans leur législation les critères d’évaluation de performance des bâtiments en matière de durabilité issus du cadre de travail Level(s) de l’UE. Ce dernier tient compte du cycle de vie complet d’un bâtiment, en couvrant les étapes de fabrication des matériaux, de construction, d'exploitation du bâtiment, de déconstruction et de démolition.Le Guide établit que la commande publique durable doit se construire autour de trois indicateurs clés : l’Analyse du Cyclede Vie (ACV), le Coût Global et la Qualité de l’Air Intérieur (QAI). Sur le critère de l’ACV, la France s’illustre avec les projets portés par le bailleur social Lille Métropole Habitat et le CD2E à Villeneuve d’Ascq et Wavrin. Pionniers, ces projets ont intégrés dès 2019, neuf indicateurs d’ACV dans leur appel d’offres en se basant sur l’expérimentation E+C-, ce qui a permis de connaître les performances environnementales du projet et de développer des stratégies d’écoconception.« L’Alliance HQE-GBC France, avec son principe de Haute Qualité Environnementale place l’intérêt général au cœur de ses préoccupations. Afin que les bâtiments de demain soient durables et contribuent à la protection de la santé de tous, nous devons dès aujourd’hui mettre en place les mesures nécessaires pour assurer leur performance environnementale, économique et la qualité de vie en leur sein. De la maison individuelle à l’écoquartier, des immeubles de bureaux aux complexes sportifs, les indicateurs de performance appuyés par Life Level(s) doivent nous permettre d’aiguiller nos choix de construction. En diffusant alors les bonnes pratiques, nous parviendrons par un effort commun à atteindre nos objectifs, » dit Estelle Réveillard, directrice de l’Alliance HQE-GBC France. Elle ajoute que la collaboration européenne au sein du projet Life Level(s) permet de développer un cadre de travail robuste et d’amplifier les retombées du travail accompli.En guise d’avancée concrète, L’Alliance HQE-GBC France a préparé une lettre d’engagement pour les autorités publiques et les entreprises qui souhaitent intégrer les indicateurs LIFE Level(s) de durabilité dans leurs appels d’offres et contribuer ainsi de manière concrète à la préservation de l’environnement et de la santé.Guide consultable via ce lien.
Il y a 3 ans et 53 jours

Build Europe envoie des centaines de lits en Pologne pour aider les réfugiés ukrainiens

L'organisation, qui représente les fédérations nationales de promoteurs, constructeurs et aménageurs européens a livré plus de 500 lits en aide aux Ukrainiens et a interpellé la présidente de la Commission Européenne.
Il y a 3 ans et 53 jours

Forte de 30 ans d’actions, l'UNICEM demande aux pouvoirs publics la reconnaissance de son Label RSE sectoriel

Elle profite de cet anniversaire pour réitérer l’appel de la profession auprès des pouvoirs publics d’une reconnaissance de son Label sectoriel RSE.Pour Louis Natter, président UNICEM entreprises engagées : « L’avenir nous invite à poursuivre nos efforts et à renforcer nos ambitions. »Les industries de carrières et matériaux de construction extraient et produisent les matériaux minéraux nécessaires aux secteurs de la construction et des travaux publics. L’UNICEM (Union nationale des industries de carrières et matériaux de construction), qui représente la profession, rassemble près de 1400 entreprises, TPE, ETI patrimoniales, groupes d’envergure internationale, qui font fonctionner plus de 7000 sites répartis sur l’ensemble du territoire.Par ce maillage territorial, ces entreprises participent pleinement au maintien de l’activité économique, industrielle et de l’emploi au cœur des régions. Il permet aussi d’établir une proximité géographique entre les sites d’extraction, de production et les zones de mise en œuvre (chantiers), diminuant, de fait, les distances et donc l’empreinte carbone liée au transport des matériaux. Conscients de leur responsabilité sociétale et environnementale et soucieux de contribuer positivement aux enjeux de développement durable, la filière et ses acteurs, font de ces sujets une priorité et déploient, depuis trois décennies déjà, de nombreuses actions...La célébration, symbolique, de ces 30 ans d’engagement en matière de développement durable, est l’occasion de revenir sur les temps forts qui ont jalonné ces années : les actions mises en place, les progrès enregistrés et les résultats obtenus. C’est aussi l’occasion pour la profession de lancer un appel, auprès des instances publiques, tant nationales qu’européennes à la reconnaissance des labels sectoriels RSE,et au soutien des PME qui s’engagent dans la RSE.1992-2022 : 30 ans de progrès en matière de développement durable1992 : Création de la charte professionnelle des producteurs de granulatsDès 1992, les producteurs de granulats, soucieux de mieux cerner l’impact environnemental lié à leur activité d’exploitation de carrières, se mobilisent et créent la charte professionnelle des producteurs de granulats. Grâce à l’adhésion de nombreux sites et en partenariat avec des centres de recherche reconnus*, plus d’une centaine d’études** scientifiques sont menées sur un peu plus de 10 ans. Ces études ont permis d’aboutir à des recommandations et à la rédaction d’un socle commun de bonnes pratiques portant, entre autres, sur la préservation de la ressource en eau, l’amélioration de l’insertion paysagère, le respect de la biodiversité, la réduction des émissions de poussière, la maîtrise de l’énergie, l’organisation de concertations avec les parties prenantes.* Les partenaires de ces études : BRGM (Bureau des Recherches Géologiques et Minières), Cemagref (Centre d’Étude du Machinisme Agricole et du Génie Rural des Eaux et Forêts (CEMAGREF), CNRS (Centre National de Recherche Scientifique), Muséum national d’histoire naturelle, Laboratoire des ponts et chaussées, INERIS (institut national de l’environnement industriel et des risques) et plusieurs universités.** Ces études sont aujourd’hui regroupées dans un catalogue mis à la disposition via ce lien2004 : La Charte environnement des industries de carrièresDans le prolongement des recommandations et bonnes pratiques formulées par la charte professionnelle des producteurs de granulats et afin d’encourager la progression des acteurs du secteur des industries de carrières sur le plan environnemental, un référentiel est créé : la Charte environnement des industries de carrières dont l’objectif est d’évaluer, d’une part et valoriser, ensuite, les progrès effectués par les industriels en matière de développement durable. Plus de 900 sites se sont engagés dans cette démarche. Ils ont pu à ce titre bénéficier d’un accompagnement qui leur aura permis de progresser dans la maîtrise de l’impact environnemental et développer, grâce à des recommandations et formations spécifiques, leurs compétences et celles de leurs collaborateurs.2017 : Création d’UNICEM entreprises engagéesAprès plusieurs décennies d’actions engagées et déployées sur le terrain, c’est de la volonté de rassembler les différents acteurs des industries de carrières et matériaux de construction qu’est née UNICEM entreprises engagées.Afin de faciliter et favoriser l’intégration de la RSE dans la stratégie et les pratiques des acteurs de la filière, UNICEM entreprises engagées lance la Charte RSE à destination de ses adhérents, un référentiel solide, évalué par des organismes tiers indépendants. Déployée dans un premier temps au sein des entreprises productrices de béton prêt à l’emploi, la Charte RSE est étendue à l’activité extractive en 2018.UNICEM entreprises engagées partenaire de la Plateforme RSE En 2018, l’UNICEM est retenue par les instances publiques pour participer à une expérimentation nationale pilotée par la Plateforme RSE (organisme gouvernemental directement rattaché au premier ministre) sur les labels sectoriels RSE. Le référentiel RSE porté par UNICEM entreprises engagées a su répondre aux préconisations de la plateforme et contribue à la reconnaissance de la filière comme un acteur engagé en faveur de la RSE.2021 : Label RSE et CAP Environnement, les nouvelles signatures des engagements de la professionL’association UNICEM entreprises engagées se dote d’une charte d’engagement et formalise ainsi la vision et les valeurs communes à l’ensemble de ses adhérents, ainsi que les objectifs qu’ils poursuivent. En parallèle, le nom des démarches évolue. La Charte environnement des industries de carrières devient Cap environnement et la charte RSE prend le nom de Label RSE.CAP Environnement signe les engagements de la professionCap environnement, la démarche de progrès des industries de carrières, repose sur un référentiel environnemental appliqué site par site par les adhérents de l’association, avec l’intervention d’un auditeur conseil externe.Ce cadre rigoureux mis en place afin d’allier au mieux développement économique et respect de l’écosystème tout en favorisant une écoute mutuelle et constructive avec les acteurs locaux a permis des progrès considérables au sein de la profession : meilleure maîtrise et réduction des impacts, valorisation de la biodiversité, réaménagements et amélioration de sites, développement de l’économie circulaire, renforcement de la concertation…Evalués par des organismes tiers, plus de 600 sites de carrières sont, à ce jour, engagés dans la démarche Cap environnement.Nombre de sites engagés dans la démarche Cap environnement (avril 2022)635 sites / 262 entreprises50% de la production de l'UNPGLe Label RSE : une reconnaissance pour la professionL’engagement des entreprises dans la RSE (Responsabilité sociétale des entreprises) correspond à une attente renforcée par la crise sanitaire. Appelant les entreprises, quelle que soit leur taille, à plus de résilience, la RSE devient un réel gage de performance qui doit être promu par des démarches sectorielles et volontaires.Les entreprises qui s’engagent dans cette démarche réalisent d’abord une auto-évaluation de leurs pratiques et de leurs performances suivant les 35 items du référentiel. Elles font ensuite l’objet d’une évaluation plus poussée effectuée sur site par un organisme tiers indépendant (OTI), sur l’ensemble des grandes thématiques du label :GouvernanceCapital humainEnvironnementClients consommateurs fournisseursAncrage localUn comité d’évaluation associant des parties prenantes externes valide le niveau attribué par l’OTI.À ce jour plus de 1000 sites sont engagés dans la démarche du label RSE de l’UNICEM.Nombre de sites engagés dans le label RSE (avril 2022)Béton Prêt à l’Emploi : 685 sites, 47% de la production du SNBPECarrières et Recyclage d’inertes : 406 sites / 28% de la production de l’UNPG Les facteurs de réussiteOutils, formations et accompagnementAfin d’encourager et aider les entreprises à s’investir toujours plus dans ses démarches, UNICEM entreprises engagées a développé une forte culture de l’accompagnement par la mise en place de nombreuses méthodes et outils :Publication de guides pédagogiques accessibles via un espace internet réservé aux adhérents,Organisation de sessions régionales de formation ciblées,Programmation régulière de webinaires,Déploiement en régions d’opérations pilotes d’accompagnement à la RSE.Concertation et dialogue avec les parties prenantesLe dialogue avec les parties prenantes (collectivités territoriales, associations…) est au cœur des démarches portées par UNICEM entreprises engagées. Des partenariats ont été développés dans ce sens avec notamment l’association Humanité et Biodiversité. Un comité des parties prenantes est réuni au moins une fois par an. De nombreuses initiatives locales et territoriales sont également mises en œuvre (journées portes ouvertes et découverte, sensibilisation auprès des écoles, chantiers nature solidaires).Témoignage Sandrine Bélier, Humanité et Biodiversité En tant que membre du comité des parties prenantes et du comité d’évaluation du label RSE de l’UNICEM, que pensez-vous de ce label ? « Je pense que c’est un outil très intéressant et important d’amélioration continue tant sur les aspects environnementaux que sociaux. C’est un label exigeant, sérieux et robuste. »Qu’apporte-t-il aux entreprises ? « Je pense que cela apporte de la crédibilité à l’entreprise tant vis-à-vis de ses salariés, que de ses clients mais aussi vis-à-vis des acteurs du territoire où elle est implantée. Par cet engagement, elle peut participer à créer de la valeur éthique. »Quel est votre rôle en tant que partie prenante ? « J’ai été, au nom d’« Humanité et Biodiversité » associée à toutes les étapes d’élaboration de ce label, dès sa création et nos propositions pour faire évoluer le référentiel d’évaluation ont été prises en compte et intégrées. Je participe, avec exigence, au processus d’évaluation des entreprises candidates au label RSE de l’UNICEM et veille au sérieux et à la réalité des démarches engagées par ces entreprises. »Et demain ? Perspectives et objectifs pour les années à venirPour Louis Natter, président UNICEM entreprises engagées : « En 30 ans, nous avons démontré notre capacité à répondre efficacement aux enjeux environnementaux et sociétaux liés à nos activités. Nous l’avons fait progressivement et collectivement, en accueillant au sein de l’association des entreprises toujours unies par cette volonté d’améliorer constamment leurs pratiques. L’avenir nous invite à poursuivre nos efforts et à renforcer nos ambitions. Si les attentes de nos parties prenantes, notamment celles de nos clients, nous confortent dans cet élan, la complexité des obligations réglementaires et normatives auxquelles nous devrons tous répondre demain ne nous facilitera pas la tâche. Les évolutions en matière d’information extra-financière et de transparence illustrent bien ce point. Nous porterons donc une attention toute particulière à l’accompagnement des entreprises de toutes tailles, en particulier des PME, en les aidant à anticiper ces changements. Immanquablement, nous ajusterons nos référentiels et nos programmes de formations ; nous veillerons aussi à établir, dès que possible, un maximum d’équivalence entre nos démarches et les systèmes d’évaluation RSE, publics ou privés, toujours plus nombreux et exigeants. Et surtout, nous nous mobiliserons pour que ce label, qui valide toutes les conditions requises, obtienne la reconnaissance qu’il mérite. En particulier, après avoir participé aux expérimentations conduites par la Plateforme RSE, nous sommes impatients de voir ce label sectoriel reconnu - enfin ! - par les pouvoirs publics. »Fédérer et élargir le cercle des entreprises engagéesUNICEM entreprises engagées (UEE) entend, dans les années à venir, fédérer davantage de PME et d’entreprises familiales dans ses actions et élargir la typologie des activités concernées.Dans cet objectif, elle développe différents outils et met en place des opérations d’accompagnement. Elle a ainsi publié, en 2020, un guide méthodologique à destination des PME afin de faciliter leur engagement dans la RSE et va, prochainement, éditer un recueil des bonnes pratiques RSE et proposer, sous forme de quiz, une approche pédagogique de sensibilisation à la RSE.S’investissant aussi sur le terrain, UNICEM entreprises engagées a lancé en 2021 une opération d’accompagnement dans six régions. Depuis le début de l’année 2022, une cinquantaine de nouveaux sites issus de PME et d’entreprises familiales ont ainsi rejoint la démarche. Ces dernières représentent à ce jour près de 70% des entreprises adhérentes au label RSE.L’association entend également élargir la typologie des activités qu’elle représente. Aujourd’hui, peuvent s’engager dans le label RSE les industries extractives, les plateformes de recyclage de déchets inertes et unités de production de béton prêt à l’emploi. Les récentes évolutions apportées au référentiel le rende désormais applicable à l’activité « roches ornementales » et les premiers granitiers vont rejoindre, prochainement, la démarche.UNICEM entreprises engagées reste prête à accompagner toute autre activité de la filière minérale afin de faciliter son engagement dans le label RSE.Quelques témoignages Stephan HELMBACHER, PDG des Sablières et ballastières Helmbacher Pourquoi vous êtes-vous engagés dans le label RSE ? « Après plus de 10 ans d’engagement dans la Charte Environnement, nous avons souhaité nous remettre en question et nous réinventer à travers le label RSE qui présentait une vision plus large de nos responsabilités. »Quels sont les résultats / bénéfices de cette labellisation ? « En interne, les premiers résultats sont la belle capacité à mobiliser une équipe. Plus globalement, la démarche nous permet de gagner en crédibilité et en respectabilité auprès de nos parties prenantes. »Pierre-Yves BEAULIEU, Directeur, Carrières et Béton B. BRONZO Pourquoi vous êtes-vous engagés dans le label RSE ? « Étant engagé dans la démarche de la Charte Environnement depuis le début en 1992, l’engagement dans le label RSE est pour nous un prolongement. Tous les items de la démarche font déjà parti de notre quotidien. » Quels sont les résultats / bénéfices de cette labellisation ? « Je reste convaincu qu’à moyen terme cela fera la différence en termes d’embauche, de pérennité des emplois et de regard de nos parties prenantes, collectivités locales, riverains, fournisseurs. Nos relations seront plus sereines et plus durables tout en montrant que notre profession est sincèrement Responsable. »Encourager l’engagement des PME-TPE dans la démarche RSETrès souvent le manque de temps et de moyens se révèlent un frein pour les PME-TPE dans le déploiement de la RSE. Partant de ce constat et de leurs observations, UNICEM entreprises engagées souhaite que les pouvoirs publics apportent un soutien au développement de la RSE dans les PME en :Finançant en partie l’accompagnement d’un expert pour réaliser un état des lieux, construire un plan d’action puis le mettre en œuvre,Facilitant l’accès aux dispositifs d’aides publiques octroyées par certaines régions (comme celle des Pays de la Loire* ) aux entreprises qui s’engagent dans un label RSE,Encourageant la création d’un prêt RSE aux conditions avantageuses (taux d’intérêt inférieurs ou sans garantie) à l’image du prêt vert financé par BPI France et l’ADEME pour les TPE-PME* Sous réserve d’éligibilité, la Région peut cofinancer cet accompagnement, par le biais d’une subvention de 50% maximum du montant hors taxes (H.T.) des coûts de l’étude, et ceci dans une limite de 15.000 €. Plus d’informations à cette adresse.Accélérer la reconnaissance du label RSEUNICEM entreprises engagées plaide pour une reconnaissance par les pouvoirs publics des labels sectoriels répondant aux préconisations formulées dans les rapports publiés suite à la loi PACTE et demande la mise en place d’une charte publique qui servira de cadre à la reconnaissance de ces labels.En complément, UNICEM entreprises engagées souhaite que les entreprises labellisées RSE soient dispensées de répondre aux questionnaires des donneurs d’ordre sur les aspects RSE. SNCF Réseau s’est montrée pionnière en la matière : les prestataires de matériaux bénéficiant du Label RSE UNICEM peuvent se prévaloir de ce référentiel sans avoir à passer par un autre mode d’évaluation.Le label RSE de l’UNICEM reconnu par SNCF RéseauPour Bérangère GALLAND, Chef du Département RSE & Communication DGFA - DIRECTION DES ACHATS SNCF RESEAU : « L’évaluation réalisée dans le cadre du label RSE UNICEM entreprises engagées par un organisme tiers indépendant permet de répondre à l’obligation de diagnostic des performances RSE demandée par SNCF Réseau à ses fournisseurs. Ainsi, nos prestataires de matériaux bénéficiant du Label RSE UNICEM peuvent se prévaloir de ce référentiel sans avoir à passer par un autre mode d’évaluation. »UNICEM entreprises engagées demande, depuis plusieurs années, que la commande publique soit un véritable levier pour encourager la RSE. Pour répondre à cet enjeu, l’UNICEM propose que l’État et les collectivités territoriales soient encouragés à recourir aux entreprises labellisées RSE.En parallèle, le débat doit être réengagé sur les règles européennes des marchés publics, afin d’autoriser les donneurs d’ordre à valoriser les prestataires labellisés RSE.Enfin, pour aller plus loin, UNICEM entreprises engagées propose, aussi, que les entreprises labellisées RSE puissent bénéficier :D’une bonification des aides publiques relatives à l’innovation, la transition écologique, la décarbonation ;De garanties publiques permettant de limiter les cautions à fournir vis à vis des banques et assurances ;D’un allègement du montant des garanties financières au titre de la remise en état (carrières, installations de traitement des déchets) ;De taux privilégiés auprès des banques et des assurances.
Il y a 3 ans et 53 jours

Ingérop acquiert Acterra, un cabinet précurseur dans le domaine du changement climatique

Cette acquisition répond à la volonté d’Ingérop de renforcer son offre d’ingénierie et de conseil par des expertises pointues et d’amplifier son action dans toutes ses activités en faveur de la transition écologique, axe prioritaire de sa stratégie d’entreprise « Vision 2025 ».Acterra, précurseur de l’adaptation et de la résilience au changement climatiqueDepuis plus de 15 ans, Acterra accompagne ses clients à chaque étape de leur action : apport d’expertise dans les phases de diagnostic des impacts du changement climatique, définition de stratégies et de programmes d’actions, accompagnement du changement et assistance à la maîtrise d’ouvrage, réformes institutionnelles et organisationnelles, suivi et évaluation de politiques et projets, accès à la finance climat, recherche & innovation. Le cabinet intervient auprès de bailleurs de fonds (AFD, GIZ, FFEM, Banque Mondiale, etc.), d’organisations internationales (PNUE, PNUD, FAO, Green Climate Fund), de gouvernements et d’agences nationales (ADEME, Agences de l’Eau, OFB, Ministères de l’Ecologie), de collectivités locales (Métropole Aix-Marseille, Communauté urbaine Grand Paris Seine et Oise) et d’entreprises privées.Basé à Marseille, le cabinet Acterra emploie 8 personnes et réalise un chiffre d’affaires d’environ 1,2 million d’euros, en progression constante depuis sa création.Un rapprochement synonyme de synergie, de complémentarité et d’engagementTout en restant une entité indépendante, pilotée par son dirigeant actuel, Stéphane Simonet, Acterra rejoindra Ingérop Méditerranée, dont le siège est également basé à Marseille, faisant jouer de ce fait pleinement la synergie et la complémentarité des équipes.L’expertise de l’entreprise viendra naturellement irriguer l’ensemble des projets portés par Ingérop dans ses différentes missions et activités (bâtiment, eau, énergie, industrie, infrastructures & mobilité, transport, ville) et permettra ainsi à Acterra d’élargir son champ d’action. En effet, la capacité d’adaptation et de résilience au changement climatique est un enjeu primordial aujourd’hui, quel que soit le projet - public ou privé, son échelle - locale à internationale, ou la nature de la mission confiée.Enfin, Acterra renforcera le savoir-faire d’Ingérop en matière de recherche et de développement de services climatiques, comme de formation, pour renforcer l’expertise de l’ensemble des collaborateurs et clients du groupe.« Je me réjouis de ce rapprochement avec le cabinet Acterra, qui s’inscrit parfaitement dans notre vision stratégique 2025. En effet, les enjeux liés au changement climatique sont aujourd’hui au cœur des préoccupations de tous nos clients et des projets que nous portons. L’expertise des équipes d’Acterra et la reconnaissance de leur savoir-faire au niveau international sont pour nous de véritables atouts pour l’avenir. », précise Yves Metz, président d’Ingérop.Pour Stéphane Simonet, dirigeant du Cabinet Acterra: « Acterra a connu ces dernières années une croissance importante de ses activités en France comme à l’international. Le rapprochement avec Ingérop va nous permettre de poursuivre ce développement et d’enrichir notre gamme de services et de solutions grâce aux synergies créées avec les différentes entités du groupe. Il s’agit donc pour nous de la bonne décision, au regard de l’urgence climatique et des besoins en constante évolution de nos clients, et du bon partenaire, dont la stratégie, les valeurs et le modèle de gouvernance s’inscrivent pleinement dans notre vision entrepreneuriale. »
Il y a 3 ans et 53 jours

Oise : la Municipalité de Compiègne lance un appel aux dons pour restaurer les Picantins de l’hôtel de ville

Plus de 80 000 euros seront nécessaires pour remettre en état les Picantins de l’hôtel de ville de Compiègne.
Il y a 3 ans et 53 jours

Oise : fin de la première phase de restauration des salles de l’hôtel de ville de Compiègne

À Compiègne (Oise), les premiers travaux de restauration des salles de l’hôtel de ville sont achevés.
Il y a 3 ans et 53 jours

Haute-Garonne : extension de la station d’épuration de Plaisance-du-Touch

La ville de Plaisance-du-Touch (Haute-Garonne) se lance dans l’extension de sa station d’épuration. Les travaux débuteront fin 2022.
Il y a 3 ans et 53 jours

La minéralité soignée de 100 logements et une école élevés sur le périphérique parisien, par NRAU et MGAU

Michel Guthmann fonde MGAU à Paris en 2005. Après plusieurs années en tant qu'architectes au sein de l'agence, Stéphanie Appert et Olivier Barthe deviennent associés en 2019.  Comptant aujourd'hui une vingtaine de collaborateurs, MGAU se nourrit des méthodes de l'architecture et de l'urbanisme pour aborder des sujets variés, […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 53 jours

Quartier Bercy-Charenton : la Mairie revoit ses ambitions

Le 12e arrondissement de Paris a finalement abandonné ses tours de béton. Les 6 orientations présentées par Emmanuel Grégoire, premier adjoint à la Maire de Paris, et Emmanuelle Pierre-Marie, Maire du 12e arrondissement de Paris, font la part belle « à la végétation urbaine ». Les réflexions entamées il y a 20 ans ont été révisées afin de correspondre aux attentes des riverains et celles, « écologiques et sociales » affichées par la municipalité. Dans le cahier des...