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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Urbanisme - Aménagement

(35876 résultats)
Il y a 3 ans et 55 jours

Démanteler les éoliennes ? Plutôt "accélérer" la transition, estime le président d'Engie

"L'enjeu aujourd'hui, ce n'est pas de ralentir la transition énergétique et encore moins de partir en marche arrière, c'est au contraire d'accélérer", a-t-il répondu à un actionnaire l'interrogeant sur "le démantèlement des éoliennes" prôné par la candidate d'extrême droite, à l'occasion de l'assemblée générale annuelle de l'entreprise."L'idée qu'on puisse démanteler des éoliennes lorsqu'elles sont en fin de vie ça fait partie de nos obligations de le faire, sinon ça me paraît plutôt une forme d'aberration", a déclaré M. Clamadieu."Il faut que nos projets de développements renouvelables s'intègrent dans leur environnement local, mais je pense que la priorité pour nous, c'est vraiment d'avancer ; le nous étant Engie mais aussi la France et l'Europe", a conclu le dirigeant, dont le groupe est désormais un acteur important des énergies renouvelables. La candidate d'extrême droite et finaliste de l'élection présidentielle propose dans son programme "un moratoire sur la construction de toute nouvelle éolienne, sur terre ou mer", tandis que leur démantèlement serait "engagé progressivement".
Il y a 3 ans et 55 jours

Bercy-Charenton : François Leclercq réconcilie la majorité parisienne

URBANISME. C'est une majorité municipale unie qui a présenté, le 21 avril, les grandes orientations d'un projet Bercy-Charenton "entièrement revu" avec l'aide de l'agence François Leclercq Associés. Cette enclave au sud-est de la capitale voit sa programmation divisée par deux.
Il y a 3 ans et 55 jours

L'université Sorbonne Nouvelle se dote d'un tout nouveau campus, gigantesque et coloré

ARCHITECTURE. L'architecte et urbaniste Christian de Portzamparc signe le nouveau campus de la Sorbonne Nouvelle, à Nation, à l'Est de la capitale. Batiactu a pu visiter cet établissement végétalisé et tout en ondulation, et vous le présente en images.
Il y a 3 ans et 55 jours

Hydrogène vert : 10 milliards d’euros de retombées économiques en France d’ici à 2030 pour les fabricants de matériel électrique

Avec l’étude de marché du GIMELEC, le syndicat professionnel de la filière électronumérique, publiée le 14 avril, Le potentiel économique colossal que l’hydrogène décarboné représente en France est maintenant connu, évalué jusqu’à 10 milliards d’euros cumulés d’ici 2030 pour les fabricants de matériel électrique et d’automatismes, dont une grande partie de PME et d’ETI.Pour Rodolphe de BEAUFORT, Délégué général adjoint du GIMELEC : « L’hydrogène est déjà massivement utilisé dans l’industrie sous sa forme dite grise, c’est-à-dire produite à partir d’énergies fossiles. Il y a aujourd’hui un véritable regain d’intérêt pour le substituer par sa forme verte, ou décarbonée, conséquence collatérale de l’explosion du prix du gaz liée à la guerre en Ukraine. On entend beaucoup parler de l’hydrogène pour son usage dans les transports, des voitures aux trains en passant par l’aviation légère. L’étude du GIMELEC montre quant à elle que la performance environnementale et énergétique de l’hydrogène se joue surtout et d’abord dans l’industrie. C’est là, à court terme, dans les usines sidérurgiques, chimiques et de raffinage qu’il permet le plus fort gain en termes de décarbonation. On parle de 11 millions de tonnes de CO2 pouvant être évitées chaque année soit 15% des émissions de l’industrie. » Plusieurs Gigafactories d’électrolyseurs s’apprêtent à sortir de terre en France : Aspach (2022), Béziers (2023), Belfort (2024), et Vendôme (2025). Elles devront répondre aux besoins qui vont exploser d’ici 2030. L’étude du GIMELEC confirme le potentiel d’environ 6,5 GW d’électrolyseurs à installer d’ici 2030 en France, puis 18 GW sur la décennie suivante. Ces potentiels, ventilés sur les sept principales régions industrielles du pays, font ressortir le défi de construction des infrastructures nécessaires. Ce potentiel devrait être repris dans la prochaine Stratégie Nationale Bas Carbone afin que la France se mobilise pour la décarbonation de son industrie puis la promotion des alternatives de mobilité propre, en complément de l’électrification directe. La réussite de la stratégie hydrogène de la France dépendra en grande partie de la mobilisation des acteurs industriels, constructeurs de matériel électrique et d’infrastructures, pour coordonner leurs efforts et répondre ainsi à la croissance exponentielle de ce marché. Cela est d’autant plus nécessaire que la concurrence internationale se met en place, notamment dans les pays asiatiques.Pour Rodolphe de BEAUFORT, Délégué général adjoint du GIMELEC : « Oui, nous identifions un potentiel en forte croissance atteignant, dès 2030, 3 milliards d’euros par an de retombées économiques pour les fabricants de matériel électrique en France. Oui, il y aura des recrutements massifs, en particulier dans les territoires où se concentreront les efforts de développement de l’hydrogène, en Méditerranée et dans la Vallée de la Seine, mais aussi partout sur le territoire national et européen, notamment dans les usines de composants électrotechniques qui sont à la base de ces nouvelles infrastructures énergétiques. Mais il faut pour cela que tout l’écosystème industriel travaille de concert. C’est tout l’objet du groupe hydrogène constitué par le GIMELEC à l’issue de son étude : fédérer les offreurs de technologies au service du développement des capacités industrielles et de la compétitivité de ce secteur. »
Il y a 3 ans et 55 jours

Rencontre de l'aluminium Technal, du bois et du béton pour une maison familiale à Fontcouverte (17)

L’agence FÉLIX BIRON ARCHITECTE a travaillé avec l’ALUMINIER AGRÉÉ TECHNAL BIRON SAS afin de faire pénétrer généreusement la lumière naturelle et profiter des différentes vues dans toutes les pièces de l’habitation. Une collaboration père/fils en toute confiance, qui a permis de réaliser des ouvertures en aluminium TECHNAL à la fois architecturales, épurées et aux détails complexes : baies coulissantes XXL ou à galandage double, fenêtres et portes sur pivot désaxé...Ce projet minimaliste, qui fait l’éloge du minéral et du végétal, a reçu le Prix HABITER LOGEMENTS INDIVIDUELS lors du dernier PALMARÈS ARCHITECTURE ALUMINIUM TECHNAL organisé en décembre 2021. La couleur gris métal givré TECHNAL des menuiseries aluminium rappelle celle du bois de l’enveloppe.Ouvertures architecturales du rez-de-chausséeLes occupants entrent sous un volume en bois, porté par deux murs monolithiques en béton. Cette séquence est mise en valeur par une porte d’entrée SOLEAL sur pivot désaxé (L. 1,4 x H. 2,6 m), qui offre une emprise visuelle minimale sur ces deux murs. Les occupants semblent glisser dans la maison à travers cette ouverture !Dans toute sa largeur, le salon s'ouvre sur le jardin au travers d’une baie coulissante LUMEAL qui s’étire sur 15 m (6 vantaux). Son orientation plein Sud maximise les apports de lumière. À ouvrant caché, elle est naturellement anti-effraction. Un gage de sécurité optimal ! Des brise-soleil en bois créent de l’ombre et participent au contrôle de la chaleur.Ouvertures architecturales à l'étageEn empruntant l'escalier, une diagonale visuelle se dessine au travers d'une grande fenêtre carrée SOLEAL 65 (L. 1,9 x H. 1,9 m). Une fois à l'étage, cette ouverture originale sur pivot offre un cadrage intimiste sur la falaise.Une large circulation, baignée d'une lumière zénithale, accueille bureaux et rangements. Elle dessert les trois chambres des enfants, ouvertes sur l’extérieur grâce à des coulissants à galandage double SOLEAL. Ces baies spécifiques permettent de créer à la fois une ouverture et un système d’occultation à l’intérieur. Leur retrait d’un mètre, par rapport à la façade, protège des rayons du soleil et facilite l’intégration de rangements dans l’épaisseur du mur.
Il y a 3 ans et 55 jours

Quelle ville demain ?

« La ville de demain » est sur toutes les lèvres, de toutes les stratégies : ...More about Cet article Quelle ville demain ? est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 3 ans et 55 jours

La Favorite – Création Yaz Bukey- Faïencerie de Gien

La Faïencerie de Gien, une manufacture du 21e siecle, entre tradition et modernité  La FaÏencerie de Gien, fondée en 1821 à Gien dans le Val de Loire, est un fleuron des arts décoratifs français ancré dans son territoire, et reconnu dans le monde entier. Elle a fait sa renommée au 19e siècle, en créant des […]
Il y a 3 ans et 56 jours

Soutenir, une exposition qui soigne

L’histoire du soin dans la ville est hétéroclite. Se croisent les disciplines médicales, urbaines, philosophiques et artistiques. Cynthia Fleury et Eric de Thoisy (agence SCAU) tracent une cartographie au corpus hybride, où santé et architecture – deux thèmes parfois distants parfois confondus selon la période de l’histoire – se rassemblent sous le prisme du « care ». L’exposition collaborative est présentée au pavillon de l’Arsenal du 6 avril au 28 août 2022. On aurait...
Il y a 3 ans et 56 jours

L'année 2022 marquera les 10 ans de WnD (Windows and Doors) sur le territoire français.

L'année 2022 marquera les 10 ans de WnD (Windows and Doors) sur le territoire français. Spécialisée dans la production de fenêtres, baies coulissantes, volets roulants et portes PVC, l'entreprise du groupe OKNOPLAST est devenue au fil des années un acteur majeur en France. Pour son 10ème anniversaire, WnD intensifie son rayonnement dans l'Hexagone avec une nouvelle équipe commerciale qui place la qualité des produits, les économies et le confort clients au coeur de la réflexion stratégique.
Il y a 3 ans et 56 jours

Le Département de la Seine-Saint-Denis renforce sa politique de l'arbre

À cette occasion, un coup d'accélérateur de ce plan a été donné, avec la poursuite de la signature de la charte d'engagement pour les arbres du territoire et le lancement de l'appel à projets « Forêt Urbaine ».En 2020, le Département de la Seine-Saint-Denis a voté un plan d'investissement de 60 millions d'euros, le « plan Canopée », avec pour objectif principal de faire passer la couverture arborée du territoire de 16% à 20% d'ici 2030, et de planter 30.000 arbres. Ce plan vise également à protéger le patrimoine arboré existant tout en mobilisant et en sensibilisant la population aux enjeux environnementaux.Un premier bilan depuis le lancement du plan CanopéeDepuis 2020, 16.000 arbres ont été plantés par le Département, le long des routes départementales, dans les crèches ou encore dans les collèges, avec notamment la création de trois cours oasis, mais aussi dans les parcs, comme celui de la Fosse Maussoin à Clichy-sous-Bois, où poussent 10.000 nouveaux plants. De premières forêts urbaines ont également été créées, comme à Sevran ou Epinay-sur-Seine.Aujourd'hui, le Département compte 96 essences différentes – contre 55 en 2019 – davantage adaptées aux changements climatiques. 45% sont des espèces indigènes, contre 33% en 2019. Les plantations réalisées ont permis de créer 14 ha de couverture arborée moyenne supplémentaire (arbres à l'âge adulte) et de désimperméabiliser 7.632 m².Une charte d'engagement pour les arbres de la Seine-Saint-DenisAfin d'associer et de sensibiliser les partenaires du territoire, du public comme du privé, aux enjeux environnementaux et sociaux que représente la place de l'arbre en ville, le Département a décliné les objectifs de son plan Canopée au travers d'une charte. En la signant, les collectivités territoriales, les bailleurs, les grands propriétaires fonciers, les aménageurs ou encore les associations, s'engagent à poursuivre les 3 principales ambitions du plan Canopée : Développer le patrimoine arboré du Département, le protéger et mobiliser pour sa préservation et son accroissement.Le mardi 19 avril à la Maison du Parc Jean-Moulin Les-Guilands, 11 actrices et acteurs ont signé cette charte : L'EPT Plaine Commune ; les villes de Montreuil, Ile-Saint-Denis et Bagnolet ; l'Union nationale des entreprises du paysage ; les associations Nature and Us, Sens de l'humus, Ferme du Sausset, Environnement 93, Fruits défendus et ANIMA. Elles et ils rejoignent les six précédent·e·s signataires : les villes de La Courneuve, Saint-Denis et Noisy-le-Sec, Seine-Saint-Denis Habitat, Séquano Aménagement et l'association Halage.Un appel à projets pour la création de forêts urbainesAfin d'aider les collectivités territoriales de Seine-Saint-Denis à valoriser leur foncier en développant leur patrimoine arboré, le Département lance cette année son appel à projets « Forêt Urbaine ».Les lauréat·e·s pourront bénéficier :d'un soutien financier de 35.000 € maximum par projet de forêt urbained'un appui technique pour la conduite de leur opération : mise à disposition du Guide Technique Canopée ; accompagnement méthodologique pour le lancement des études préalables, la conception et la mise en place du projetd'un appui à la valorisation de leur projetPour cette première édition, deux à trois projets de forêts urbaines seront soutenus. Les candidatures peuvent être déposées dès à présent et jusqu'au 3 juin 2022. Les projets lauréats seront révélés au mois de juillet.Pour Stéphane Troussel, Président du Département de la Seine-Saint-Denis: "Alors que la crise sanitaire a mis en lumière le besoin pressant de redonner plus de place à la nature en ville, le Département s'est engagé dans un effort exceptionnel et durable de développement et de préservation de son patrimoine arboré, mais également de plantation d'essences nouvelles, adaptées aux bouleversement climatiques annoncés. Nous ne pourrons atteindre ces ambitieux objectifs seul·e·s. Avec Belaïde Bedreddine, Vice-président chargé de l'écologie urbaine, nous tenons donc à remercier l'ensemble des partenaires, du public comme du privé, de plus en plus nombreux·ses à s'engager à nos côtés pour créer une véritable politique départementale de l'arbre en Seine-Saint-Denis et améliorer le cadre de vie des habitant·e·s."
Il y a 3 ans et 56 jours

Roch Office, le petit frère de Higher Roch avec des bureaux

TERTIAIRE. Le cabinet d'architectes Brenac & Gonzalez & Associés signe l'immeuble Roch Office, au coeur de la préfecture de l'Hérault. Il accompagne la tour de logements Higher Roch et la transformation de cette zone de la ville.
Il y a 3 ans et 56 jours

Béton[s] le Magazine 99

Daté mars-avril 2022 A LIRE DANS CETTE EDITION : EN COUVERTURE. Bétons et éco-construction #1 TECHNIQUES & ARCHITECTURE. Chantier à l’international. Côte d’Ivoire. Sept ponts contre l’isolement ZOOM SUR. Les adjuvants pour bétons FONDAMENTAUX. Juridique. Cyber-malveillance – Partie I BETON D’ANTAN. La Ferme radieuse. La néo-ruralité imaginée par Le Corbusier. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 56 jours

Inflation et déficit : comment présider la France dans une économie menacée

"Incontestablement, nous allons devoir traverser des temps économiques plus difficiles. L'économie française avance sur une route devenue plus glissante", a prévenu dans l'entre-deux tours le gouverneur de la Banque de France, François Villeroy de Galhau.Alors que la croissance française a atteint 7% en 2021, une des plus importantes de la zone euro après la récession record de 8% de 2020, le paysage s'est assombri ces dernières semaines."On avait assez bien réussi en France la sortie de la crise du Covid-19, et même de manière surprenante", souligne Patrick Artus, chef économiste de Natixis, évoquant le faible nombre de faillites, un endettement des entreprises maîtrisé et la baisse du chômage.Mais la guerre en Ukraine a aggravé les perturbations des chaînes d'approvisionnement des entreprises, freinant l'activité dans l'industrie, et a renforcé une inflation (4,5% en mars) déjà importante du fait de la flambée des prix de l'énergie et des matières premières. "Le conflit vient encore affaiblir la croissance qui était en train de se tasser, avec une inflation qui grignote le pouvoir d'achat des ménages et érode les marges des entreprises", estime Emmanuel Jessua, économiste chez Rexecode, tablant sur une inflation autour de 4% cette année.Avec sans doute en perspective une "répercussion progressive" sur les salaires et les prix de vente, amenés à augmenter pour suivre le mouvement de hausse, ce qui va "encore alimenter l'inflation" dans les prochains mois, comme on l'observe déjà aux États-Unis, ajoute-t-il.Pour l'instant, l'économie française semble encore résister, avec une progression du PIB attendue à 0,25% au premier trimestre selon la Banque de France, et 0,3% selon l'Insee, mais les deux institutions se montrent beaucoup plus prudentes pour la suite.La guerre provoque "un choc de prix, d'incertitude et de confiance", a résumé mi-mars Julien Pouget, chef du département de la conjoncture à l'Insee. Ménages et entreprises montrent déjà des signes de pessimisme qui pourraient peser sur la consommation et sur l'investissement."Énorme problème" de finances publiques"Je pense qu'on va perdre 2 points de croissance cette année par rapport aux 4% qu'on pouvait escompter", estime Patrick Artus. Une moindre croissance à laquelle va s'ajouter une perte de pouvoir d'achat, qui frappera davantage les ménages les plus modestes, plus sensibles aux hausses des prix de l'énergie et des produits alimentaires.Le FMI a d'ailleurs abaissé mardi de 0,6 point à 2,9%, sa prévision pour la France.Comment, dans ce contexte, financer les investissements nécessaires pour la transition écologique, l'éducation, les compétences et la santé ? Et comment soutenir la réindustrialisation de la France alors que le déficit commercial a atteint des records ? C'est tout le défi du prochain quinquennat.Le ou la futur(e) président(e) de la République, devra sans doute muscler son action contre les effets du conflit, et en premier lieu l'inflation.Marine Le Pen propose notamment une baisse de la TVA, quand Emmanuel Macron promet par exemple une aide ciblée et une réévaluation des pensions de retraite à l'été prochain.Le tout dans un contexte budgétaire tendu, avec un déficit (6,5% fin 2021) et une dette gigantesques (112,9%) en sortie de crise sanitaire. "On a des programmes assez coûteux - même si celui d'Emmanuel Macron l'est beaucoup moins que celui de Marine Le Pen - et dont le financement n'est pas toujours explicite", pointe Emmanuel Jessua.Le président-candidat a chiffré le sien à environ 50 milliards d'euros, financé en partie par la réforme des retraites et l'atteinte du plein emploi, tandis que Marine Le Pen prévoit 68 milliards d'euros de dépenses, dont le financement prévu est mis en doute par la plupart des économistes."Quel que soit le candidat élu, de toute façon il aura un énorme problème de finances publiques et il ne faut pas croire qu'on pourra passer ça à la trappe", prévient Patrick Artus.Une situation d'autant plus inquiétante que pour faire face à l'inflation la Banque centrale européenne a ouvert la voie à un relèvement de ses taux d'intérêts, ce qui pourrait gripper encore davantage la croissance.
Il y a 3 ans et 56 jours

Imaginer l'avenir de la rue métropolitaine au XXIe siècle

Rendre la ville du XXIème siècle durable et désirable et répondre à l'urgence climatique et sociale : voici le but d'ateliers et d'une consultation publique en ligne, ouverte à tous. Le projet est intitulée "la Rue commune".
Il y a 3 ans et 56 jours

Seine-Saint-Denis : plusieurs rues en travaux à Bobigny

La ville de Bobigny investit pour améliorer le cadre de vie de ses habitants. Plusieurs rues font l’objet de travaux.
Il y a 3 ans et 56 jours

Une ferme hors-sol investit un parking en plein quartier défavorisé

La ferme Champerché a choisi ce parking de 1.300 mètres carrés au cœur du quartier défavorisé des Indes, à Sartrouville (Yvelines), pour installer ses cultures hors-sol, disposées sur quatre niveaux dans neuf vastes salles.Safia Zalagh, 54 ans, courts cheveux noirs plaqués par le gel, connaît bien ce parking. Dans sa jeunesse, elle y retrouvait ses copains "pour sortir, danser, s'occuper de ceux qui avaient trop bu. On avait aménagé l'espace, c'était confortable", se souvient en riant cette habitante du quartier.Champerché a pour ambition de développer la culture hors-sol pour montrer que cette solution, déjà testée à Paris dans une ferme de 42 m2, est viable à plus grande échelle. "On souhaite industrialiser la production donc la taille de l'endroit était déterminante", explique Guillaume Fuyet, un des trois frères fondateurs de l'entreprise, responsable de la recherche et du développement.Comment ce parking est-il passé d'un squat de jeunes à une ferme de culture hors-sol à la pointe de la technologie ?"On souhaitait s'installer dans les Yvelines car on y a vécu longtemps enfants, avec mes frères", présente Antoine Fuyet, directeur de Champerché. La fratrie a rencontré le maire de Sartrouville, Pierre Fond (LR), qui les a dirigés vers le quartier des Indes et le bailleur social 1001 vies habitat. Parking condamné"Avec le projet de démolition et de reconstruction" des immeubles, "il y a de l'espace disponible dans la cité", présente Nicolas Brunet, directeur régional du bailleur social. "Le parking était condamné depuis une quinzaine d'années car il y avait des dégradations."Avec l'installation de Champerché, "tout le monde est gagnant" estime le représentant du bailleur HLM. "C'est un projet qui a un sens social, qui n'est pas rejeté par les habitants."Durant les travaux, qui ont duré presqu'un an (réhabilitation, installation des étagères...), les riverains de la cité, intrigués, ont défilé devant la porte du parking pour en savoir plus."Avant même qu'on ouvre, on a reçu au moins 30 demandes d'embauche", se rappelle Grégoire Silva, trésorier de l'entreprise. A l'issue d'entretiens, six personnes sont embauchées, dont quatre vivent dans le quartier ou aux alentours.Safia a été recrutée en août, en tant qu'"agricultrice urbaine". "J'étais paysagère, planter des arbres je sais faire mais je n'avais jamais fait de semis", mime la dynamique quinquagénaire. Maintenant, lorsqu'elle fait des semis d'aneth, ses gestes sont assurés. "Ils m'ont tout appris, c'est une super équipe.""Dès le départ c'était notre volonté d'embaucher des personnes venues de la cité des Indes", explique Guillaume Fuyet, un des trois frères fondateurs de Champerché. Les nouvelles recrues ont mis la main à la pâte pour installer les cultures. "Les bacs, les robinets, c'est nous qui avons monté tout ça", raconte Safia en désignant les étagères où poussent ses précieuses salades.Des équipements nécessaires pour mettre en place une culture en bioponie : les racines des plantes baignent dans une solution d'eau et d'engrais "organique", sans pesticides."On y trouve des champignons, des bactéries... c'est ce qui donne du goût à nos produits, contrairement à la majorité des cultures hors-sol qui utilisent des solutions minérales et auxquelles on reproche de manquer de saveur", détaille Guillaume Fuyet.Le parking insalubre est devenu une fourmilière. Chaque jour basilic thaï, coriandre ou menthe sont récoltés puis livrés aux clients, des grandes surfaces ou des restaurateurs."J'ai présenté une certaine variété de menthe du Pérou, les restaurateurs sont demandeurs", présente passionnément Guillaume Ripoche, incollable sur les 60.000 plantes cultivées à Champerché. "Maintenant il faut que je produise !"
Il y a 3 ans et 57 jours

Le Danemark présente son plan pour se passer de gaz russe

La Première ministre Mette Frederiksen avait fixé début mars un objectif de sortie du gaz russe "le plus vite possible", alors que l'UE réfléchit à un arrêt des achats à la Russie pour sanctionner Moscou.Le plan présenté mardi par l'exécutif danois prévoit notamment que la moitié des 400.000 foyers du pays qui se chauffent actuellement au gaz basculeront vers un raccordement au chauffage urbain ou vers les pompes à chaleur fonctionnant à l'électricité d'ici à 2028.Pour les foyers restants et l'industrie, le plan prévoit aussi un développement du biogaz d'origine renouvelable, "qui assurera que nous soyons libres de Poutine", a déclaré le ministre du Climat et de l'Energie Dan Jørgensen lors d'une conférence de presse.Le Danemark va également "étudier la possibilité d'anticiper et d'augmenter temporairement la production de gaz de mer du Nord sur les gisements déjà exploités", en "dialogue avec les acteurs du marché", a expliqué le gouvernement dans un communiqué.Le gouvernement danois a également dopé son plan de développement des énergies renouvelables, et prévoit désormais un quadruplement des centrales solaires et surtout de l'éolien terrestre, à horizon 2030.Le royaume scandinave est déjà un des grands champions européens de l'éolien, qui lui fournit actuellement environ la moitié de son électricité - le reste étant dominé par la biomasse et le charbon."Nous voulons développer les énergies renouvelables autant qu'il est possible de le faire de façon intelligente", a assuré Mme Frederiksen.Le gaz fournit environ 18% de l'énergie consommée au Danemark chaque année, selon les statistiques officielles. Une grande partie est longtemps venue des gisements du pays en mer du Nord, mais ceux-ci sont en rapide déclin.En 2019, la production nationale n'a permis que de couvrir 72% du gaz consommé dans le pays, selon l'Agence danoise de l'énergie.La Russie figure parmi les principaux fournisseurs des importations danoises et fournit environ 40 à 45% du gaz importé dans l'Union européenne.Les 27 mettent les bouchées doubles pour sortir du gaz russe, mais cet effort prendra plusieurs années selon les analystes.Le Danemark avait voté en 2020 l'arrêt complet de sa production de gaz en mer du Nord d'ici à 2050, devenant le premier producteur significatif d'hydrocarbures à fixer une date de fin d'exploitation.L'exécutif ne prévoit pas de renoncer à cette mesure, a-t-il indiqué mardi.
Il y a 3 ans et 57 jours

70.000 bénéficiaires du contrat d'engagement jeune depuis son lancement en mars

D'une durée de six mois à un an et ciblé sur les 16-25 ans (29 pour ceux en situation de handicap), le CEJ a pris le relais de la Garantie jeunes avec la même rémunération mensuelle de 500 euros mais un accompagnement plus intensif de 15 à 20 heures par semaine.Parmi les jeunes entrés en CEJ mi-avril (45.000 à Pôle emploi et 25.000 en mission locale), 87% sont de niveau bac ou infra-bac. Plus de la moitié de ceux en mission locale sont sans diplôme, ce qui correspondent à la cible visée des jeunes peu ou pas qualifiés.Ils ont majoritairement moins de 21 ans et 30% résident en Quartier de la politique de la ville (QPV) ou en Zone de revitalisation rurale (ZRR). Au sein de Pôle emploi, 30% des jeunes en CEJ touchent plus de 500 euros d'allocation chômage par mois, ce qui semble indiquer que leur entrée n'était pas motivée par des raisons financières mais par la perspective d'un accompagnement plus personnalisé.Alors que la Garantie jeunes était uniquement opérée par les missions locales, le CEJ peut être aussi assumé par Pôle emploi, qui y a dédié 1.660 conseillers pouvant accompagner chacun 30 jeunes maximum.Le contrat conclu entre le jeune et son conseiller référent doit prévoir "une mise en activité soutenue et régulière" (notamment par des ateliers, des immersions en entreprise, des formations, des actions sociales) visant à orienter le jeune vers l'emploi ou l'alternance. Selon Pôle emploi, ce suivi monte en puissance et tourne autour de 15 heures par semaine.Le CEJ se veut "un droit ouvert" sans limites, mais le gouvernement estime qu'il pourrait concerner 400.000 jeunes par an.Selon l'Insee, le taux des 15-29 ans "ni en emploi, ni en études, ni en formation" était de 12,2% au 4e trimestre 2021, soit près de 1,5 million.Si Emmanuel Macron est réélu, il a indiqué son intention de refonder le RSA en s'inspirant du CEJ.
Il y a 3 ans et 57 jours

Métal 57, vestige de l'ère Renault transformé par Dominique Perrault

EN IMAGES. A Boulogne-Billancourt, face à l'Ile Seguin, l'un des derniers actifs industriels de l'époque industrielle a été restructuré par Dominique Perrault Architecte pour BNP Paribas Real Estate, qui en a fait son nouveau siège. De l'usine d'hier au bureau de demain, plongée dans un bâtiment unique, flexible, polymorphe et ouvert sur la ville.
Il y a 3 ans et 57 jours

La dernière génération de portes sectionnelles de Dynaco allient stabilité, durabilité et multi design

Grâce à leurs différentes options et caractéristiques, elles peuvent s'intégrer à tout type de bâtiment. En outre, les deux solutions sont conformes à toutes les exigences opérationnelles et de sécurité des directives et normes européennes du Comité européen de normalisation (CEN). Dynaco l-14P PanelLa porte sectionnelle industrielle Dynaco l-14P Panel a un design moderne et épuré. Elle est l'une des portes sectionnelles isolées les plus stables et les meilleures du marché. Cette porte est constituée de panneaux isolés conçus sans ponts thermiques afin de minimiser les pertes d'énergie et donc de réduire les coûts énergétiques. La porte Dynaco l-14P Panel convient à tout type de bâtiment, tant sur le plan fonctionnel qu'esthétique. Grâce à ses nombreuses options de configuration, cette porte sectionnelle peut être installée dans pratiquement tous les environnements. Une fois ouverte, elle glisse sous le toit, laissant l'ouverture de la porte complètement libre. La crème de la crème La sécurité de ses utilisateurs est toujours prioritaire chez Dynaco. Par exemple, le système d'équilibrage des portes l-14P Panel et l-14F Frame permet d'accueillir des charges importantes. En effet, les deux solutions sont équipées de dispositifs de sécurité qui peuvent bloquer le mouvement descendant de la porte. La répartition de la charge sur les panneaux de ces portes minimise le risque de délamination et de fissure du panneau, ce qui se traduit par une durée de vie plus longue. Enfin, les panneaux des portes les plus larges et les panneaux avec fenêtres sont renforcés par des profilés métalliques, qui garantissent une résistance optimale au vent. En bref, les dernières portes sectionnelles industrielles de Dynaco sont les meilleures du lot en matière de sécurité et de qualité.
Il y a 3 ans et 57 jours

Corimmo Invest lance la construction d’un pôle Hôtellerie-Restauration

Situé dans la commune d’Esmans, en Seine-et-Marne, à 23 kilomètres de Fontainebleau, ce futur ensemble immobilier comprendra six enseignes dont quatre restaurants, un hôtel et un bar pour une surface locative totale de 4.060 m².L’ensemble comprendra également 229 places de stationnement extérieur, dont 24 équipées de points de recharge pour véhicules électriques et 8 réservées à des personnes en situation de handicap, pour garantir l’accès de l’ensemble à tous les publics.CORIMMO Invest interviendra sur cette opération en tant que promoteur, mais également investisseur et restera propriétaire du foncier pour trois des six enseignes qui seront louées en BEFA (2 restaurants et 1 boulangerie). Les 3 autres étant vendues en VEFA (1 restaurant asiatique, 1 hôtel et 1 bar).Cette réalisation viendra compléter l’offre déjà présente sur l’espace commercial du Bréau, composé d’une quarantaine d’enseignes marchandes et de restauration (E. Leclerc ; Flunch ; Decathlon ; Micromania …)CORIMMO Invest confie à la société COREAL, du même groupe, la réalisation de ce projet clé en main. Par ailleurs, la structure de l’ensemble des bâtiments sera composée d’une charpente métallique, respectueuse de l’environnement, marque de fabrique du Groupe COREAL.Une construction respectueuse de la Loi sur l’EauConstruit sur un ancien terrain nu en bord de route, cet ensemble répondra aux normes européennes sur l’eau, fixées par le code de l’environnement.Ainsi, CORRIMO Invest s’assure d’une non-dégradation des ressources et des milieux, du bon état des masses d’eau, et de la réduction des pollutions liées aux substances.L’intégralité des eaux de pluie du projet sera stockée et filtrée sur l’emprise de la parcelle afin de supprimer l’impact de ce projet sur le fonctionnement des nappes phréatiques locales. Par ailleurs, le projet impactant les bassins versants des fonciers périphériques, les eaux de ruissèlement seront collectées puis dirigées vers des noues d’infiltration. Fiche technique :Adresse : Lieu-dit Le Petit Fossard, Esmans (77940)Promoteur : CORIMMO InvestNombre de lots : 6 bâtiments (3 restaurants, 1 hôtel, 1 bar, 1 boulangerie)Destination : Pôle hôtellerie - restaurationSurface locative : 4 060 m2Surface totale du terrain : 14 585 m²Places de stationnement : 229 places de stationnement extérieur dont 8 PMR et 24 électriquesLivraison prévisionnelle : juin 2022
Il y a 3 ans et 57 jours

Vendée : construction de nouvelles halles aux Herbiers

Aux Herbiers (Vendée), de nouvelles halles verront le jour à proximité du cœur de ville.
Il y a 3 ans et 57 jours

Demi-niveaux et grandes ouvertures alu pour équipement mixte

Pour construire son nouvel espace jeunesse Guy Môquet, un équipement mixte de 1 700 m2, la mairie de Cabestany voulait un bâtiment attractif pour les enfants et adolescents. L’agence OECO ARCHITECTES a imaginé un monolithe de béton à la volumétrie atypique. Compact, pour répondre à l’enjeu de l’emprise au sol limitée, il s’élève sur plusieurs demi-niveaux. L’éclairage naturel constituait un enjeu essentiel pour créer des spatialités tout en connectant entre-elles les différentes entités. L’ouvrage se perce de multiples ouvertures en aluminium TECHNAL. Le centre de loisirs se déploie sur les trois demi-niveaux inférieurs. C’est un espace ouvert autour d’un hall, qui se recloisonne aisément selon les activités à l’aide de cloisons amovibles. Il s’habille de grands ensembles fixes/portes SOLEAL de 3,2 m de hauteur. La salle de danse bénéficie de la lumière du Nord à travers un mur-rideau GEODE de plus de 6 m de largeur sur 3 m de hauteur. Ce grand cadre est coupé en trois par des profilés en aluminium fins, tel un triptyque faisant l’éloge du paysage avoisinant. La façade s’anime et crée une sorte de repère dans la ville. Une porte repliable XXL AMBIAL, aux dimensions quasiment identiques, fait écho à ce mur de verre. Enfants et professeurs peuvent profiter de la terrasse qui s’ouvre totalement dès les premiers rayons du soleil. L’hébergement collectif (R+2 et R+3) accueille 6 dortoirs qui intègrent des châssis oscillo-battants SOLEAL pour faciliter la ventilation. La salle commune est pourvue d’un ensemble vitré de 11 m de large, composé de deux larges baies coulissantes, de châssis fixes et d’une porte SOLEAL. Elle permet de profiter de la terrasse au dernier niveau, qui domine et contemple le Canigou au loin, à l’abri de la Tramontane. Agence d’architecture : OECO ARCHITECTES (31) Maître d’ouvrage : MAIRIE DE CABESTANY (66) Fabricant Installateur : SPM (66) Photo : Technal – Kevin Dolmaire  
Il y a 3 ans et 57 jours

Demi-niveaux et grandes ouvertures alu pour équipement mixte

Pour construire son nouvel espace jeunesse Guy Môquet, un équipement mixte de 1 700 m2, la mairie de Cabestany voulait un bâtiment attractif pour les enfants et adolescents. L’agence OECO ARCHITECTES a imaginé un monolithe de béton à la volumétrie atypique. Compact, pour répondre à l’enjeu de l’emprise au sol limitée, il s’élève sur plusieurs demi-niveaux. L’éclairage naturel constituait un enjeu essentiel pour créer des spatialités tout en connectant entre-elles les différentes entités. L’ouvrage se perce de multiples ouvertures en aluminium TECHNAL. Le centre de loisirs se déploie sur les trois demi-niveaux inférieurs. C’est un espace ouvert autour d’un hall, qui se recloisonne aisément selon les activités à l’aide de cloisons amovibles. Il s’habille de grands ensembles fixes/portes SOLEAL de 3,2 m de hauteur. La salle de danse bénéficie de la lumière du Nord à travers un mur-rideau GEODE de plus de 6 m de largeur sur 3 m de hauteur. Ce grand cadre est coupé en trois par des profilés en aluminium fins, tel un triptyque faisant l’éloge du paysage avoisinant. La façade s’anime et crée une sorte de repère dans la ville. Une porte repliable XXL AMBIAL, aux dimensions quasiment identiques, fait écho à ce mur de verre. Enfants et professeurs peuvent profiter de la terrasse qui s’ouvre totalement dès les premiers rayons du soleil. L’hébergement collectif (R+2 et R+3) accueille 6 dortoirs qui intègrent des châssis oscillo-battants SOLEAL pour faciliter la ventilation. La salle commune est pourvue d’un ensemble vitré de 11 m de large, composé de deux larges baies coulissantes, de châssis fixes et d’une porte SOLEAL. Elle permet de profiter de la terrasse au dernier niveau, qui domine et contemple le Canigou au loin, à l’abri de la Tramontane. Agence d’architecture : OECO ARCHITECTES (31) Maître d’ouvrage : MAIRIE DE CABESTANY (66) Fabricant Installateur : SPM (66) Photo : Technal – Kevin Dolmaire   Cet article Demi-niveaux et grandes ouvertures alu pour équipement mixte est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 57 jours

Var : rénovation du réseau d’assainissement du Pradet

La mairie du Pradet et la métropole Toulon Provence Méditerranée engagent la rénovation du système d’assainissement dans les quartiers ouest de la ville.
Il y a 3 ans et 58 jours

Les juges des expropriations, témoins des mutations de la Seine-Saint-Denis

Par une grise après-midi à Saint-Denis, une nuée d'avocats arpente avec une juge des expropriations les 13.000 m2 d'un bâtiment de locaux professionnels à moitié vides, du parking jusqu'au toit. Les uns lui vantent l'emplacement idéal, les autres pointent des taches d'humidité aux murs.Dans le cadre de la diversification de la Plaine Saint-Denis, morne quartier d'entrepôts et bureaux, un aménageur public a préempté ces locaux au moment de leur mise en vente. Mais acquéreur et vendeur n'ont pu s'accorder sur le prix, nécessitant l'intervention d'une juge des expropriations pour trancher le litige.Ces magistrats spécialisés sont chargés, en cas de désaccord financier lors d'une préemption ou d'une expropriation ordonnée par la préfecture pour un projet d'utilité publique, d'arbitrer la somme que l'acteur public versera au propriétaire forcé de lui vendre.Cette mission fait de ces juges un maillon essentiel des grands projets d'urbanisme. "Nous sommes là pour assurer un équilibre entre intérêt général et protection des droits individuels et faire en sorte que l'expropriant n'abuse pas des prérogatives dont il dispose", explique Charline Cheruel, 36 ans, qui a rejoint le service en 2019.Dans ce département hérissé de grues, la patte des juges des expropriations se retrouve dans de nombreux chantiers emblématiques des évolutions du département : construction du village olympique pour les JO de Paris-2024, prolongement des lignes 11 et 14 du métro, des tramways T1 et T4, etc. En Seine-Saint-Denis, les besoins sont tels que le pôle compte désormais trois juges, contre une seule il y a quelques années. Une exception dans le paysage des tribunaux de France qui, dans leur immense majorité, n'ont pas même un seul magistrat consacré à plein temps à ce contentieux souvent marginal.Rattrapage historiqueCette particularité tient à la transition tardive que traverse actuellement la Seine-Saint-Denis.Historiquement défavorisé et sinistré par la désindustrialisation, ce territoire de 1,6 million d'habitants connaît ces dernières années un indéniable mouvement de revitalisation urbaine, une attention accrue des pouvoirs publics se conjuguant à la pression foncière de la capitale limitrophe."C'est un département sur lequel la rénovation urbaine ne s'est pas faite. Dans les autres départements autour de Paris, la rénovation s'est faite dès l'après-guerre, ce qui n'a pas eu lieu dans le 93 car les terrains n'étaient pas chers et étaient acquis par des sociétés industrielles qui avaient besoin de surface", analyse Sylvie Suply, 63 ans, juge des expropriations à Bobigny depuis onze ans.La lutte contre les marchands de sommeil et l'habitat insalubre, une priorité des autorités en Seine-Saint-Denis, les accapare beaucoup et les amène à écumer des villes comme Aubervilliers, Saint-Ouen et Saint-Denis.L'opération phare du service actuellement est le plan de rénovation urbaine, étalé jusqu'en 2030, du quartier du Chêne Pointu à Clichy-sous-Bois, copropriété parmi les plus dégradées de France, connue pour avoir servi de décor au film "Les Misérables".Pour procéder à la destruction des grandes barres insalubres, un nouvel immeuble est exproprié chaque année, soit plus de 150 nouveaux dossiers qui atterrissent à chaque fois sur le bureau des juges.Lors des visites sur place, "on entend dans les cages d'escaliers des dealers siffler pour prévenir qu'ils ne sont plus tout seuls. On va visiter les biens et c'est souvent vraiment terrible. Des cafards qui montent aux murs, une salle de bains avec de la moisissure partout, une multiprise pour l'ensemble des appareils électriques de la famille...", témoigne Bénédicte Baudoin, 44 ans.Petit à petit, un urbanisme remplace l'autre dans le département, observe Sylvie Suply : "il y a des créations de quartiers plus que de grands ensembles, avec des immeubles moins hauts, beaucoup de services de proximité comme des petits commerces, des crèches, des jardins aménagés pour les enfants".Pour les juges des expropriations en Seine-Saint-Denis, il reste toutefois encore du travail... "pour quelques décennies".
Il y a 3 ans et 58 jours

Recul du trait de côte : l'ordonnance "relocalisation" est parue

URBANISME. Une ordonnance complète la loi Climat et résilience pour faciliter la relocalisation progressive de l'habitat et des activités dans les zones affectées par l'érosion côtière. 121 communes sont concernées.
Il y a 3 ans et 58 jours

A Meudon, Villa Bloc, deux chefs-d’œuvre architecturaux méconnus

L’inspiration de Frank Gehry pour la Fondation Luma à Arles (Bouches-du-Rhône) est-elle à chercher dans le jardin aux merveilles de la Villa André Bloc, à Meudon (Hauts-de-Seine) ? (Re)découverte. Cette histoire émerge autour d’une table du comité de rédaction de Chroniques… lieu de débats à bâtons rompus sur l’urbanisme et l’architecture. Les avis divergent, induisant des […] L’article A Meudon, Villa Bloc, deux chefs-d’œuvre architecturaux méconnus est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 58 jours

Grâce à une solution globale de contrôle d’accès, Dény Security met fin au cauchemar de la gestion des clés de la commune d’Igoville (27)

Située dans la vallée de la Seine, Igoville met à la disposition de ses 1.800 habitants de nombreux bâtiments (hôtel de ville, groupe scolaire, bibliothèque, salle des fêtes, crèche…) dans lesquels vont et viennent les différents services de la ville, des prestataires mais aussi les associations locales. Autant d’équipements municipaux qu’il convient de sécuriser et pour lesquels la gestion des trousseaux de clés peut vite devenir un véritable casse-tête. Un phénomène auquel Nathalie Breemeersch, élue maire de la ville en juin 2020, ainsi que son équipe municipale ont rapidement été confrontées. Pour y remédier, la collectivité s’est entourée de l’expertise de Dény Security qui, en plus d’un accompagnement dans la conception de leur organigramme, leur a proposé une solution hybride alliant contrôle d’accès mécanique et électronique. Simplifier la gestion des clés tout en gagnant en sécurité A l’instar de toutes les communes, celle d’Igoville dispose de plusieurs bâtiments dotés d’accès principaux extérieurs et de salles intérieures jusque-là verrouillés de façon ordinaire, ce qui multiplie d’autant plus le nombre de trousseaux à gérer. Entre les passes perdus ou non restitués qui posent des problèmes de sécurité, la difficulté était souvent d’identifier la bonne clé correspondante à la bonne porte et ce, malgré une armoire dédiée avec un système de numérotation. Mais au-delà, la priorité de Nathalie Breemeersch, maire d’Igoville, était, dans le cadre du plan communal de sauvegarde, de pouvoir accéder à tout moment, à n’importe quel local et de l’ouvrir très facilement pour intervenir en cas de besoin. Durant un an, l’équipe municipale a alors mené une profonde réflexion pour trouver la solution : « une clé universelle pour tout ouvrir, presque magique » explique en souriant la maire de la commune. Après consultation de plusieurs entreprises, Dény Security s’est très vite imposé. Outre l’offre globale pérenne proposée qui va du contrôle d’accès jusqu’aux logiciels de gestion, c’est la qualité de l’accompagnement pour les aider à bien définir leurs besoins et ainsi concevoir leur organigramme, qui les a définitivement convaincu. Contrôler la périmétrie des bâtiments grâce au contrôle d’accès autonome Afin de protéger les accès des bâtiments municipaux, les cylindres électroniques Optimal Lock Mifare® sont en cours d’installation sur les entrées principales extérieures et reliés au logiciel de contrôle d’accès Logyca. Grâce à celui-ci, l’équipe gestionnaire des clés, composée de 3 personnes de la mairie, délivre ainsi librement des badges aux personnes habilitées pour entrer/sortir selon des horaires prédéfinis. En cas de problème, elle peut les désactiver rapidement et contrôler l’historique des événements. L’autre intérêt de cette solution pour la ville réside dans sa simplicité et sa rapidité de mise en œuvre en lieu et place des anciennes serrures. Totalement autonome, elle ne nécessite aucun tirage de câble jusqu’à la porte (alimentation par pile), ce qui représente une économie non négligeable en coût de déploiement. Sécuriser les accès annexes intérieurs en mécanique A l’intérieur des bâtiments municipaux, toutes les portes ne nécessitent pas un contrôle d’accès électronique. C’est la raison pour laquelle Dény Security a recommandé à la commune d’Igoville d’installer le cylindre mécanique SATYX Twin® qui, outre une puissance combinatoire très élevée grâce à 24 éléments de codage différents, présente deux particularités : – une clé réversible brevetée, dotée d’importantes variures, qui réduit considérablement les risques de copie illégale et ce d’autant plus que toute reproduction est soumise à validation préalable par l’équipe gestionnaire des clés, puis réalisée uniquement par Dény Security. Autre atout, par le simple ajout d’un Clip Tag sur l’anneau de la clé, les 3 passes généraux verrouillent/déverrouillent toutes les serrures qu’elles soient mécaniques ou électroniques. Une véritable révolution pour Nathalie Breemeersch qui devait auparavant « se déplacer en permanence avec un trousseau de clés digne de Passe-Partout », – une fonction 2 en 1, qui en cas de perte ou de vol du passe général ou d’un passe partiel, offre la possibilité de commander un 2ème jeu de l’ensemble des clés pour ré-encoder les cylindres, sans les changer, et ainsi désactiver la clé égarée. Pour définir avec précision qui peut entrer, où, quand, avec quelle clé mais aussi identifier le nombre de passes nécessaires, Dény Security a accompagné l’équipe municipale tout au long de la conception de l’organigramme mécanique. En complément, celle-ci dispose du logiciel Logiclés pour consulter en ligne la dernière version de l’organigramme, l’historique des commandes mais surtout pour gérer facilement l’ensemble des trousseaux. Finies les clés non rendues par une association par exemple ! Désormais, chaque personne qui reçoit un passe est enregistrée. En cas de non restitution à la date prévue, une alerte est automatiquement envoyée par mail ou SMS. Préserver le patrimoine historique Installée depuis 1990 dans le château du centre bourg édifié vers 1740, la mairie d’Igoville dispose de portes hors norme, en particulier celles de la salle des mariages. Pour les sécuriser sans dénaturer le style de l’époque, Dény Security s’est appuyé sur le savoir-faire de la Maison Fontaine, son activité de serrurerie d’art décorative. Ensemble, ils ont développé une solution sur-mesure dans laquelle le cylindre mécanique SATYX Twin® s’intègre harmonieusement. A terme, une douzaine de bâtiments municipaux vont être équipés ce qui représente environ 200 cylindres mécaniques et électroniques actuellement en cours d’installation par l’équipe technique de la mairie, préalablement formée par Deny Sécurity. http://www.deny-security.com/
Il y a 3 ans et 58 jours

A La Réunion, téléphérique urbain de Saint-Denis, signé L’Atelier et Richez

A Saint-Denis, Ile de la Réunion, L’Atelier architectes et Richez Associés ont, dans le cadre d’un CREM, livré en 2021 un téléphérique urbain de cinq stations inauguré en mars 2022. Surface : 6 000 m² (abords inclus.) Coût opération : 75 M€. Maître d’ouvrage : CINOR. Communiqué. Après Medellin, la ville de Saint-Denis s’est dotée […] L’article A La Réunion, téléphérique urbain de Saint-Denis, signé L’Atelier et Richez est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 58 jours

2022 L’ANNÉE DU DÉPLOIEMENT

Après le temps de la réflexion stratégique, de la restructuration de l’offre et de l’élaboration de nouveaux outils, voici venu le temps de l’action et de la concrétisation terrain ! En 2022, le réseau BATIMAN, entièrement repensé depuis 2018, fort d’une maturité de plus de 30 ans, franchit un nouveau palier. Du marketing produit aux […]
Il y a 3 ans et 59 jours

FAV 2022 : les projets lauréats de la 16ème édition

Le Festival des Architectures Vives est un parcours architectural à destination du grand public, qui permet de découvrir ou redécouvrir des sites emblématiques au cœur de la ville historique de Montpellier (Hérault) en reliant des hôtels particuliers et cours intérieures, majoritairement privées, qui ne sont usuellement pas visibles pour les visiteurs. Chaque installations créée par […] L’article FAV 2022 : les projets lauréats de la 16ème édition est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 59 jours

En Espagne, l'éolien porté par des vents favorables

"Ici, on est sur un terrain propice", assure Joaquin García Latorre, directeur de projet chez Enel Green Power España, en désignant les gigantesques mâts dressés sur les hauteurs de Villar de los Navarros, village d'une centaine d'âmes de la région de Saragosse (nord-est).Le groupe hispano-italien a choisi ce site bien exposé au vent pour implanter l'une des plus grandes fermes éoliennes du pays : le parc Tico Wind, regroupant 43 turbines d'une puissance globale de 180 mégawatts-heure (Mwh)."Ce parc est entré en phase de production en novembre" et sera pleinement opérationnel "d'ici un mois", explique Joaquin García Latorre, alors que des ouvriers s'affairent autour de ces immenses machines, culminant à plus de cent mètres de hauteur."Il y a ici entre 2.500 et 3.000 heures de vent par an. Cela signifie que nous pourrons produire près de 471 gigawatts-heure (GWh) annuellement", soit "l'équivalent de la consommation de 148.000 foyers", ajoute le responsable d'Enel.De la Galice au Pays basque en passant par l'Andalousie, les projets de ce type se multiplient depuis plusieurs années en Espagne, deuxième pays d'Europe derrière l'Allemagne et cinquième pays au monde en matière de puissance éolienne installée.Selon le gestionnaire du réseau électrique espagnol, l'éolien est devenu la première source d'électricité dans le pays l'an dernier avec 23% contre 21% pour le nucléaire et 17% pour le gaz."L'éolien bénéficie d'une situation favorable", même s'il existe encore "des freins" à son développement, très dépendant des enchères organisées par le gouvernement, juge Francisco Valverde Sanchez, spécialiste du secteur au cabinet Menta Energia.Après un boom au début des années 2000 grâce à l'octroi d'aides publiques, la filière avait subi un brusque coup d'arrêt en 2013, suite à l'arrêt des subventions en pleine crise économique.Depuis, elle est repartie de l'avant : la puissance installée de l'Espagne,qui accueille au total 1.265 parcs éoliens, est ainsi passée de 23,4 gigawatts en 2018 à 28,1 gigawatts en 2021, selon l'Association espagnole des entreprises éoliennes (AEE)."Grenier énergétique"Nombreuses zones peu peuplées, cadre juridique porteur, tissu industriel de pointe... "L'Espagne est actuellement l'un des marchés les plus intéressants pour les investisseurs", souligne Juan Virgilio Márquez, directeur général de l'AEE.Troisième exportateur mondial d'aérogénérateurs, le pays accueille plusieurs poids lourds des renouvelables, à l'image d'Iberdrola ou de Naturgy. "Cela explique le dynamisme du secteur" et "l'appétit" qu'il suscite, insiste M. Márquez.Un appétit qui va au-delà des seuls acteurs de l'énergie : en novembre, le multimilliardaire espagnol Amancio Ortega, fondateur de Zara, a ainsi injecté 245 millions d'euros dans un parc du nord-est du pays.Cette dynamique va-t-elle se poursuivre? En 2020, Madrid s'est engagé à porter d'ici 2030 la part du renouvelable (éolien, solaire...) dans l'électricité à 74% contre 47% actuellement. Ce qui induit la mise en service de 22 gigawatts en huit ans.Pour atteindre cet objectif, le gouvernement compte sur l'essor de l'éolien offshore, à ce stade balbutiant, mais pour lequel l'Espagne dispose d'un fort potentiel, avec ses milliers de kilomètres de côtes."Il s'agit d'un objectif ambitieux" qui implique "d'accélérer encore le déploiement" du secteur, relève Francisco Valverde Sanchez. Ce qui ne pourra se faire, selon lui, qu'à condition d'alléger "la bureaucratie", qui retarde nombre de dossiers.Selon l'AEE, près de 600 projets sont actuellement en cours d'examen par les services de l'Etat. Dans le cadre de son plan de réponse économique à la guerre en Ukraine, Madrid s'est engagé à accélérer la procédure pour les projets inférieurs à 75 MW.L'Espagne "dispose des ressources suffisantes pour devenir le premier pays européen pour la production et l'exportation d'énergies renouvelables", indispensables pour "l'indépendance énergétique" de l'UE, a insisté mercredi le Premier ministre socialiste Pedro Sanchez.Un message relayé par l'ensemble de la filière depuis l'invasion russe de l'Ukraine. "L'Espagne dispose d'un grand potentiel éolien (...) Elle pourrait devenir le grenier énergétique de l'Europe", résume Juan Virgilio Márquez.
Il y a 3 ans et 59 jours

Pour ses 150 ans, la fontaine Wallace à Paris entre au musée

Charité, bonté, simplicité, sobriété : les quatre cariatides caractéristiques de la fontaine vert foncé, différentes entre elles par la position de leurs jambes ou de leur corsage, trônent désormais dans un coin du jardin du musée, offrant aux visiteurs le même filet d'eau qu'un siècle et demi auparavant.Financée par le philanthrope Richard Wallace, conçue par le sculpteur Charles-Auguste Lebourg et coulée par la fonderie du Val-d'Osne (Haute-Marne) en 1872, cette fontaine, parmi les toutes premières de ce type, a été déplacée de la place Denfert-Rochereau (XIVe arrondissement) où elle avait été installée à la fin du XIXe siècle.Cette place de la rive gauche retrouvera une copie fabriquée par la fonderie GHM, héritière du Val-d'Osne.Parmi 1.200 fontaines, la Ville compte aujourd'hui 107 fontaines Wallace, mais seules deux sont classées aux monuments historiques. Depuis 1872, elles ont aussi essaimé hors de la capitale où elles seraient plus de 150 selon la Société des fontaines Wallace : partout en France mais aussi à Rio de Janeiro, à Moscou, Maputo, Amman ou Jérusalem..."Où que nous soyons dans le monde, quand on voit une fontaine Wallace, on sait qu'elle évoque Paris", a estimé Emmanuel Grégoire, premier adjoint (PS) de la mairie de Paris, lors de l'inauguration.L'entrée de cette fontaine au musée souligne la volonté de la mairie de "protéger le patrimoine historique de notre ville", a affirmé le bras droit de la maire PS Anne Hidalgo, accusée par le mouvement SaccageParis de négliger le mobilier urbain haussmannien.Les fontaines Wallace seront mises à l'honneur fin septembre par leur gestionnaire, Eau de Paris, qui entend d'ici 2024 équiper 50 d'entre elles d'un brumisateur quasiment invisible, a indiqué son président Dan Lert, également adjoint (EELV) à l'eau.
Il y a 3 ans et 61 jours

A Saint-Nazaire, l’îlot Willy Brandt selon Tolila+Gilliland

A Saint-Nazaire (Loire-Atlantique), l’atelier Tolila+Gilliland (Gaston Tolila et Nicholas Gilliland) a livré en 2022 l’îlot Willy Brandt comprenant cinq bâtiments (un hôtel, deux bâtiments de bureaux, deux de logements en accession et sociaux) autour d’une place publique et d’un parking souterrain. Surface plancher : 16 618 m². Maîtrise d’ouvrage : Linkcity Grand Ouest et CISN. Communiqué. Le […] L’article A Saint-Nazaire, l’îlot Willy Brandt selon Tolila+Gilliland est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 61 jours

Nouveau Mastère Spécialisé : « Médiation territoriale, RSE – Filières forêt-bois »

Bordeaux Sciences Agro et l’ESB lancent un nouveau Mastère Spécialisé : « Médiation territoriale, RSE – Filières forêt-bois », ce nouveau Mastère spécialisé, co-délivré par l’ESB et Bordeaux Sciences Agro répond à trois objectifs : placer la connaissance scientifique comme socle des débats relatifs aux enjeux forêt-bois, actuels et futurs ; instaurer un dialogue territorial pour co-développer la place des forêts et de leurs fonctions dans la société ; valoriser les dispositifs RSE et RSO (responsabilité sociétale des entreprises/organisations comme moyen de mise en œuvre de la transition des territoires forestiers. Après avoir obtenu leur diplôme, les apprenants pourront mettre à profit leurs compétences pour toutes les entreprises du secteur forêt-bois mais aussi pour le compte d’institutions, d’organismes et d’institutions privées comme publics telles que des collectivités territoriales, coopératives forestières, associations de protection de l’environnement, ONG. Ce Mastère Spécialisé, accrédité par la conférence des grandes écoles, s’échelonne sur 12 mois et intègre une période de stage en entreprise d’une durée de 20 semaines. Pour postuler à cette formation, les candidats doivent être titulaires d’un diplôme de niveau bac + 5 ou d’un bac + 4 avec 3 années d’expérience professionnelle. Le dépôt des candidatures se fait sur le site de l’ESB avant le 30 juin 2022. Photo : TP reconnaissance des essences © ESB – Hadrien Brunner  
Il y a 3 ans et 61 jours

FCBA et Würth France associent leurs expertises

A l’occasion du 11ème Forum International Bois Construction, l’Institut technologique FCBA et Würth France ont signé un accord de partenariat. Iĺ s’articulera autour de deux axes principaux, l’identification de sujets prioritaires pour le marché, permettant de définir et engager des programmes de R&D collaboratifs directement utiles au développement et à la commercialisation, à moyen terme, de solutions et réponses techniques concrètes et le partage et déploiement de connaissances techniques et scientifiques ainsi acquises, au service du développement de la filière bois. Plusieurs typologies de travaux seront pour cela mises en œuvre, tout au long du partenariat programmé sur 3 ans. En termes de partage d’informations et d’expertises, au service de la filière : FCBA proposera à Würth France de participer aux groupes de travail spécifiques intégrant des thématiques en lien avec les projets de R&D portés en collaboration. À l’inverse, Würth France pourra remonter à FCBA son expertise terrain, enrichissant ainsi les projets d’un retour d’expérience particulièrement utile pour fiabiliser les connaissances techniques nouvellement acquises.   Signature du partenariat FCBA – Würth France, le 7 avril 2022 au Forum International Bois Construction De g. à d. : Thibault Mandallaz, Prescripteur Référent national construction bois – Würth France Christophe Mathieu, Directeur général de FCBA Claude Kopff, Président du Directoire Würth France Mathieu Kleinclaus, Responsable marketing Würth France Frédéric Staat, Directeur du pôle Industries Bois et Construction – FCBA
Il y a 3 ans et 62 jours

Territoires invisibles – Histoires d’architectures et de paysages quotidiens

L’îlot-S, à Annecy, propose l’exposition Territoires invisibles – Histoires d’architectures et de paysages quotidiens. Jusqu’au 17 juin 2022. En accueillant l’exposition Territoires invisibles – Histoires d’architectures et de paysages quotidiens, le Caue de Haute-Savoie souhaite partager le regard exercé par le Caue Rhône Métropole sur les paysages ordinaires. Ceux dont on mésestime souvent l’importance et […] L’article Territoires invisibles – Histoires d’architectures et de paysages quotidiens est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 62 jours

Grand Paris Express : Valode & Pistre lauréat du quartier de gare d'Arcueil-Cachan

PROJETS URBAINS. A Cachan, au sud de Paris, se dessine un nouvel écoquartier, avec l'arrivée de la ligne 15 du métro. La Société du Grand Paris et la Ville ont désigné le groupement lauréat.
Il y a 3 ans et 62 jours

Inquiétudes sur le marché du logement neuf en Île-de-France

Sur la base de cette analyse chiffrée couvrant la période comprenant 2019 à 2021, cinq tendances traduisent le contexte actuel du marché du logement neuf en Ile-de-France :Tout d’abord, le marché de l’immobilier neuf n’a pas fait preuve de la même résilience que le marché de l’ancien. En effet, après de premiers signes d’essoufflement en 2018, particulièrement au niveau des commercialisations, 2019 avait été marquée par une stagnation des ventes et surtout un net recul des mises en vente (-22%) dans la région Ile-de-France. En 2020, la conjoncture immobilière neuve s’est effondrée, notamment à cause des périodes de confinement. Cette étude permet ainsi d’entrevoir les impacts qu’ont pu avoir la crise sanitaire sur les désirs des acheteurs d’un côté et l’adaptation des promoteurs de l’autre, sachant que la durée entre la prospection foncière et le lancement de la commercialisation s’établit en moyenne entre un an et un an et demi.Quant aux commercialisations, elles progressent mais à un niveau encore beaucoup trop faible par rapport à la demande. A contrario, malgré un rattrapage constaté entre 2020 et 2021, le niveau des transactions en 2021 s’est affaissé de 12% en collectif et de 23% en individuel par rapport à 2019.Autre information apportée par l’Observatoire de l’Agence Départementale d’Information sur le Logement de Paris (ADIL 75), un regain d’intérêt peut être constaté pour les communes périurbaines qui reste à confirmer en 2022.Aussi, le logement individuel en neuf ne semble pas connaître un regain d’intérêt chez les acheteurs notamment face à des volumes considérablement supérieurs dans l’ancien.Enfin, sur la base de cette étude, le prix moyen dans l’immobilier neuf ne devrait cesser d’augmenter en 2022 sur l’ensemble de l’Ile-de-France.Pour Hélène LE GALL, directrice des ADIL de Paris et du Val-de-Marne : "2022 ne s’annonce pas comme une année de franche reprise étant donné les incertitudes qui pèsent sur le contexte économique. Les taux bancaires remontent sous l’effet conjugué de l’inflation et de la croissance des taux d’emprunt de l’État. Or la facilité d’accès au crédit est primordial sur les marchés du logement, d’autant plus dans le neuf où les dispositifs d’incitation fiscale tendent à se resserrer. Par ailleurs, la forte augmentation des cours des matières premières aura très rapidement un effet sur le coût de la construction alors que les prix écartent déjà une grande partie des ménages qui souhaitent accéder à la propriété. A terme, qui pourra devenir propriétaire dans l’immobilier neuf en Ile-de-France ? Aucune solution ne pourra être apporté sans un travail concerté entre l’Etat, la Métropole du Grand Paris et la Région Ile-de-France face à ce défi majeur pour l’attractivité de la première région d’Europe."
Il y a 3 ans et 62 jours

Un nouvel établissement médico-social durable à Béziers

CEMEX fournit du béton bas carbone pour ce nouveau bâtiment dont la conception respecte de nombreux critères de durabilité.Un emplacement qui a du sensCe nouvel établissement de 4 500 m² remplacera l’actuelle maison d’accueil spécialisée « Château Saint Pierre » située à Mont-Blanc. L’architecture de cette dernière ne répondait plus aux normes d’accessibilité nécessaires aux résidents, tandis que sa vétusté et sa surface disproportionnée étaient génératrices de coût de maintenance trop élevés. APF France handicap a choisi d’implanter le nouveau pôle médico-social « Résidence Belles Terres » dans la ZAC de Mazéran ayant pour vocation de regrouper des entreprises de pointe, notamment dans le secteur de la santé et du para-médical. Ce technoparc bénéficie par ailleurs d’une proximité avec les grands axes de transport facilitant ainsi l’accès au futur centre socio-médical pour le personnel et les visiteurs.Sous le signe de la concertationLa durabilité est un enjeu prégnant du projet. L’aspect social a été soutenu dès le début puisque les résidents et le personnel ont été consultés très en amont, durant les phases de programmation et de conception, au côté d’APF France handicap. L’intégration à proximité d’un domaine viticole, la forte attente d’un environnement paysager de qualité, le besoin de créer un lieu de vie ou l’on soigne et non pas l’inverse, ont également été pris en considération ainsi que la volonté de favoriser des matériaux de construction locaux et recyclés, d’optimiser la performance énergétique et de réduire les nuisances vis-à-vis des entreprises riveraines durant le chantier. Au total, CEMEX aura ainsi fourni 5 000 m3 de béton bas carbone Vertua® classic et 200 m3 de béton architectonique matricé effet pierre à l’entreprise Olacia en charge des travaux de gros œuvre. Ces livraisons se sont effectuées depuis les unités de production voisines de Béziers et Lignan. Les bétons Vertua®, commercialisés par CEMEX dès 2018, sont largement plébiscités par les maîtres d’ouvrage et d’œuvre car ils permettent de diminuer le bilan carbone du béton au-delà de 60% et, optionnellement, de compenser les émissions restantes.Béton bas carbone et outils respectueux de l’environnementEn plus de la qualité du béton bas carbone et des livraisons sur chantier, l’entreprise Olacia a apprécié la disponibilité des équipes CEMEX quant à leur présence sur le terrain, leur écoute et la cadence des livraisons depuis le début du chantier démarré en juin 2021, ainsi que la digitalisation du parcours client via l’outil CEMEX Go qui facilite la vie des acteurs de la construction - commandes de matériaux, suivi des livraisons en temps réel, gestion documentaire, … - le tout sans papier. Les équipes du secteur Occitanie Est sont fières de contribuer à ce projet socio-économique vertueux qui a par ailleurs été reconnu « Bâtiment Durable Occitanie, niveau argent » pour sa phase conception. Les travaux de gros œuvre sont prévus d’être terminés en juin prochain.
Il y a 3 ans et 62 jours

Centre aquatique et de loisirs de Gérardmer selon AP-MA Architecture

L’agence rouennaise AP-MA Architecture (Jean-François Périnet-Marquet et François-Xavier Decré) a livré en janvier 2022 à Gérardmer (Vosges) – la ville maître d’ouvrage – le nouveau centre aquatique, lequel compte aussi une patinoire, un bowling et un mur d’escalade. Surface : 7 138,45 m² (hors LT). Coût des travaux : 10,8 M€ HT. Communiqué. Sur la […] L’article Centre aquatique et de loisirs de Gérardmer selon AP-MA Architecture est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 62 jours

Spie batignolles génie civil, Ferrovial et Spie batignolles valérian remportent la partie souterraine ouest de la ligne 18 du Grand Paris express

Ce nouveau marché, d’un montant de 438 M€, correspond aux travaux de creusement de 6,7 km de tunnel entre la gare de Saint-Quentin Est et Versailles Chantiers, du génie civil de trois gares et huit ouvrages de service. La durée totale du marché est de 104 mois.Les travaux mobiliseront près de 350 personnes en pointe et le groupement s’engage à réserver au bénéfice des personnes, aujourd’hui éloignées de l’emploi, un volume d’heures de travail d’au moins 10% du nombre d’heures prévues. Ces mesures importantes d’accueil de futurs salariés, représenteront une quarantaine de personnes accompagnées sur la durée du projet et bénéficieront principalement au territoire des Yvelines.Le creusement des 6.7 km du tunnel s’effectuera avec un tunnelier à densité variable pour assurer le passage dans les sables de Fontainebleau, et à l’approche des lignes SNCF de Versailles Chantiers. Le groupement s’est fixé des objectifs ambitieux de valorisation des déblais et notamment de ces sables. Les structures des gares seront réalisées par talutage ou en parois moulées en fonction de leur profondeur. Sur les huit ouvrages annexes, quatre puits seront forés dans de grandes profondeurs allant de 50 à 62 m du fait du relief accidenté de la vallée de la Bièvre.Déjà engagé sur de nombreux chantiers du Grand Paris Express (ligne 14, ligne 15 et ligne 18), Spie batignolles génie civil renforce ainsi sa position d’acteur incontournable sur les projets d’infrastructures majeurs du territoire.Pour Benoît Moncade, Directeur général de Spie batignolles génie civil : « Nous nous félicitons de l’attribution de ce nouveau contrat, qui représente à ce jour notre plus gros marché en tant que mandataire sur le Grand Paris Express et marque un peu plus notre présence significative au cœur de ce programme majeur. C’est une belle reconnaissance du savoir-faire et de la maîtrise technique de nos équipes génie civil et terrassement mobilisées depuis 6 ans sur les chantiers du Grand Paris Express. »Pour Ignacio Gastón, CEO de Ferrovial Construction : « Nous sommes ravis de participer à ce projet majeur qu’est le Grand Paris Express car il s'agit d'une reconnaissance de notre grande expérience internationale dans la conception et la construction de ce type d'infrastructures urbaines dans des villes telles que Londres, Sydney et Madrid. »
Il y a 3 ans et 63 jours

PLU métropolitains : quelle place pour les communes ?

Urbanisme - Entre consultation et participation active, le poids des élus municipaux varie selon les territoires.