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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Urbanisme - Aménagement

(35876 résultats)
Il y a 3 ans et 63 jours

Loi Climat et Résilience : publication de l’ordonnance encadrant l’aménagement des territoires littoraux exposés au recul du trait de côte

Ce changement est certain et le simple endiguement ne permettra pas de le combattre dans la durée.Le recul du trait de côte impose la recomposition des territoires littoraux concernés en anticipant la relocalisation progressive des habitations et des activités affectées par l’érosion. A cet effet, dans le prolongement des premières dispositions votées dans la loi Climat et Résilience, des mesures complémentaires sont introduites par voie d’ordonnance, présentée en conseil des ministres ce mercredi 6 avril 2022.Pour sécuriser et encadrer les conditions d’acquisition par la puissance publique de biens exposés au recul du trait de côte, l’ordonnance définit tout d’abord une méthode à privilégier pour évaluer la valeur de ces biens, à horizon de 30 ans. La valeur d’un bien immobilier est en priorité déterminée par comparaison avec des biens similaires situés dans la même zone d’exposition à l’érosion. En l’absence de telles références, une décote proportionnelle à la durée de vie résiduelle prévisible peut être appliquée à la valeur d’un bien similaire situé hors zone d’exposition au recul du trait de côte.En outre, un nouveau type de bail réel est créé. Le bail réel d’adaptation à l’érosion côtière pourra être conclu entre un bailleur public et un preneur sur des ouvrages et bâtiments dans les zones exposées au recul du trait de côte, pour une durée comprise entre 12 et 99 ans. Cet outil comprend un mécanisme de résiliation anticipée, en fonction de l’évolution de l’érosion, si la sécurité des personnes et des biens ne peut plus être assurée. Afin de prendre en compte les conditions d’acquisition du bien et de pouvoir financer les opérations de renaturation à terme, le preneur s’acquitte d’un prix à la signature du bail et d’une redevance pendant sa durée. Le prix de cession du bail est par ailleurs encadré pour prévenir des situations où les droits réels seraient cédés à une valeur disproportionnée au regard de la durée de vie résiduelle du bien.Enfin, l’ordonnance ouvre la possibilité de déroger à certaines dispositions de la loi littoral, notamment l’obligation de construire en continuité de l’urbanisation existante, lorsque ces dispositions empêchent la mise en œuvre d’une opération de relocalisation de biens ou d’activités menacés dans des espaces moins soumis au recul du trait de côte.Ces dérogations ne peuvent intervenir que dans le cadre d’un contrat de projet partenarial d’aménagement (PPA) ayant pour objet la recomposition spatiale du territoire d’une commune exposée au recul du trait de côte. Elles sont uniquement mobilisables lorsque les constructions, ouvrages ou installations menacés par l’évolution du trait de côte ne peuvent pas être relocalisés au sein ou en continuité de l’urbanisation existante, après accord du représentant de l’Etat dans le département ou du ministre chargé de l’urbanisme, et après avis de la commission départementale de la nature, des paysages et des sites. Ces dérogations ne peuvent pas être accordées en cas d’atteinte excessive à l’environnement ou aux paysages.Ces contrats de PPA sont d’ores et déjà expérimentés sur trois territoires pilotes (Lacanau, Gouville-sur-mer, et Saint-Jean-de-Luz), qui bénéficient de 10M€ de France Relance.Quelques chiffres :20.000 km de littoral français dont 22% des zones côtières soumises à un phénomène d’érosion. Aucune région côtière française n’est épargnée par le phénomène du recul du trait de côte650 km de littoral en recul, dont 270 km à une vitesse moyenne de 50 cm par anUne densité de population sur les côtés actuellement 2,5 fois plus élevée que la moyenne nationale, avec une tendance d’évolution prévue à la hausse
Il y a 3 ans et 63 jours

Les énergies renouvelables se taillent la part du lion des ajouts de capacité dans le monde en 2021

De nouvelles données publiées par l'Agence internationale pour les énergies renouvelables (IRENA) montrent que les énergies renouvelables ont poursuivi leur progression et gagné du terrain malgré un contexte mondial difficile. À la fin 2021, la capacité mondiale de production d'énergies renouvelables s'élevait à 3 064 gigawatts (GW), soit une augmentation du stock de ces énergies de 9,1%.Bien que l'énergie hydroélectrique ait représenté la plus grande part de la capacité de production renouvelable totale dans le monde avec 1 230 GW, le rapport Renewable Capacity Statistics 2022 de l'IRENA montre que le solaire et l'éolien ont continué à dominer les nouvelles capacités de production. Ensemble, ces deux technologies ont contribué pour 88 % à la part de toutes les nouvelles capacités renouvelables en 2021. La capacité solaire est en tête avec une augmentation de 19%, suivie par l'énergie éolienne, qui a renforcé sa capacité de production de 13%. « Cette progression soutenue est un nouveau témoignage de la résilience des énergies renouvelables. Les excellentes performances enregistrées l'année dernière offrent aux pays la possibilité de bénéficier dans une encore plus large mesure des nombreux avantages socio-économiques des énergies renouvelables. Toutefois, malgré cette tendance mondiale encourageante, notre nouvelle publication Perspectives pour les transitions énergétiques mondiales montre que la transition énergétique est loin d'être suffisamment rapide ou généralisée pour éviter les conséquences désastreuses des changements climatiques », déclare Francesco La Camera, Directeur général de l'IRENA « La crise énergétique que nous traversons actuellement vient confirmer que le monde ne peut plus compter sur les combustibles fossiles pour répondre à sa demande énergétique. Les fonds versés dans les centrales électriques à combustibles fossiles produisent des résultats indésirables, tant pour la survie d'une nation que pour celle de la planète. Les énergies renouvelables devraient devenir la norme dans le monde entier. Nous devons mobiliser la volonté politique pour accélérer le Scenario 1,5 °C. » Pour atteindre les objectifs climatiques, les énergies renouvelables doivent croître à un rythme plus rapide que la demande énergétique. Or, malgré une augmentation significative de l'utilisation des énergies renouvelables pour la production d'électricité, de nombreux pays n'ont pas encore atteint ce stade.En 2021, 60 % des nouvelles capacités ont été ajoutées en Asie, portant le total des capacités renouvelables à 1,46 térawatt (TW). La Chine a été le principal contributeur, avec un ajout de 121 GW à la nouvelle capacité du continent. L'Europe et l'Amérique du Nord, les États-Unis d'Amérique en tête, occupent respectivement la deuxième et la troisième place, avec un ajout de 39 GW pour la première et 38 GW pour la seconde. La capacité d'énergie renouvelable a augmenté de 3,9 % en Afrique et de 3,3 % en Amérique centrale et dans les Caraïbes. Malgré une croissance régulière, le rythme observé dans ces deux régions est beaucoup plus lent que la moyenne mondiale, ce qui souligne le besoin de renforcer la coopération internationale en vue d'optimiser les marchés de l'électricité et de stimuler les investissements massifs dans ces régions.Principales tendances par technologie :Énergie hydroélectrique : sa croissance a augmenté de façon continue en 2021, la mise en service de plusieurs grands projets ayant été reportée à cette année.Énergie éolienne : en 2021, son expansion s'est poursuivie, mais à un rythme plus lent qu'en 2020. (+93 GW contre +111 GW l'année précédente).Énergie solaire : avec l'augmentation des nouvelles capacités dans toutes les grandes régions du monde au cours des années précédentes, la capacité solaire mondiale totale dépasse aujourd'hui l'énergie éolienne.Bioénergie : l'expansion nette des capacités s'est accélérée en 2021 (+10,3 GW contre +9,1 GW en 2020).Énergie géothermique : la capacité géothermique a enregistré une croissance exceptionnelle en 2021, avec un ajout de 1,6 GW.Électricité hors réseau : la capacité hors réseau a augmenté de 466 MW en 2021 (+4 %) pour atteindre 11,2 GW.
Il y a 3 ans et 63 jours

Claude Le Quéré, nouvelle présidente de l’AFGC

Claude Le Quéré, nouvelle présidente de l’AFGC. [©AFGC] Le 5 avril dernier, le conseil d’administration de l’AFGC a nommé Claude Le Quéré à la présidence de l’association. Ainsi, elle succède à Bruno Godart, en poste depuis 8 ans, qui a souhaité passer le relai. Avec ses nouvelles fonctions, Claude Le Quéré souhaite faire valoir les compétences des ingénieurs et des constructeurs français au niveau international. Ella a aussi pour ambition d’accroître la visibilité de l’AFGC auprès des jeunes. « Passionnée de génie civil et de belles structures, je regrette que le grand public et nos jeunes connaissent aussi peu la beauté de cet art et la variété des métiers qu’il permet d’exercer », témoigne Claude Le Quéré. Par ailleurs, l’AFGC a su traverser la crise et garder son ancrage territorial. Ainsi, rester proche des délégations régionales lui permet d’organiser chaque année de nombreuses manifestations. Cela contribue à créer une relation durable avec les membres et à nouer des contacts professionnels pérennes. Son parcours Ancienne élève de l’Ecole polytechnique et de l’Ecole des ponts et chaussées, Claude Le Quéré a commencé sa carrière, en 2006, au Setra (aujourd’hui, le Cerema). Elle a ensuite rejoint Egis en 2010 où elle est actuellement directrice des ouvrages d’art. Membre de l’AFGC depuis le début de sa carrière, Claude Le Quéré a été tout d’abord élue au Conseil scientifique et technique. Puis, membre d’un groupe de travail, de la Délégation Ile-de-France. Et enfin, au conseil d’administration.
Il y a 3 ans et 63 jours

Vaucluse : réaménagement de la cour de l’école Elsa-Triolet à Sorgues

La ville de Sorgues (Vaucluse) a réaménagé 200 m² du patio de l’école Elsa-Triolet.
Il y a 3 ans et 63 jours

Pyrénées-Atlantiques : la placette Bellevue à Oloron-Sainte-Marie est aménagée

À Oloron-Sainte-Marie, le parking Bellevue compte désormais 14 places matérialisées.
Il y a 3 ans et 63 jours

PlanRadar augmente sa solution avec PlanRadar Connect pour accélérer la numérisation du secteur du bâtiment

Elaborée en collaboration avec le leader des plateformes d'automatisation pour les entreprises, Workato, ‘PlanRadar Connect’ vise à améliorer l’interopérabilité des systèmes technologiques associées les unes aux autres, permettant ainsi aux utilisateurs de PlanRadar de synchroniser facilement leurs données avec d’autres applications.Ces améliorations apportent une plus grande souplesse aux clients de PlanRadar, en leur offrant la possibilité de fusionner leurs logiciels déjà existants avec le processus de traitement des tâches dans PlanRadar. Cette fonctionnalité permet ainsi de gagner du temps, mais aussi d’améliorer le rendement et la précision des tâches tout en évitant la superposition des données qui nuisent à la performance de l’entreprise.PlanRadar s’est appuyé sur sa récente levée de fonds de 69 millions de dollars (série B) pour accélérer en matière de R&D. En finançant un nouveau pôle technologique et une équipe dédiée à l’innovation de ses produits, l’entreprise a priorisé une interopérabilité plus rapide et plus fluide des données avec d’autres logiciels et programmes.Pour Ibrahim Imam, cofondateur et Directeur général adjoint de PlanRadar : "Alors que le secteur de la construction poursuit son évolution dans l’ère numérique, il est devenu essentiel de trouver des moyens efficaces d’automatiser les processus d'exécution des tâches pour améliorer la concrétisation des projets et les résultats commerciaux. Cette ambition a joué un rôle de catalyseur pour ‘PlanRadar Connect’. Nous souhaitons améliorer l’interopérabilité, supprimer les barrières d’incompatibilité qui proviennent de l’utilisation de nombreux systèmes technologiques différents, source d’incohérences dans les données et d’une multiplication des tâches supplémentaires lors du processus de duplication. En créant un moyen facile à combiner avec la technologie existante, les entreprises peuvent travailler de manière plus intelligente et atteindre un plus haut niveau de précision lorsqu’il s’agit d’exploiter les données. C’est une approche plus décloisonnée et l’ensemble du secteur devrait y aspirer."La nouvelle fonctionnalité complète l’interface de programmation (API) existante du logiciel, pour la rendre plus rapide et plus facile à intégrer grâce à plus de 200 connecteurs prêts à l’emploi, comprenant notamment Outlook, Dropbox, Jira, SAP ou Microsoft Dynamics.Dans un contexte où le partage d’informations est désormais essentiel à la réussite des projets, ‘PlanRadar Connect’ permet également d’atteindre d’excellents niveaux de communication et de collaboration entre les équipes, garantissant en même temps la livraison d’audits fiables nécessaires au processus de prise de décision.Pour Gautham Viswanathan, Directeur produits chez Workato : "Alors que le secteur de la construction cherche à optimiser son efficacité, nous constatons une demande croissante d’automatisation rapide des processus de traitement des tâches en mettant en relation les équipes dans les bureaux et sur le terrain, à toutes les étapes du cycle de vie d’un projet de construction. ‘PlanRadar Connect’ est un exemple parfait de la capacité de Workato à fournir une plateforme fiable nécessitant peu ou pas de codage (low-code/no-code). L’utilisateur peut créer, de manière intuitive et autonome, des processus personnalisés facilitant l’échange d’informations et le traitement des tâches critiques de projets entre PlanRadar et plus de 200 autres applications utilisées par les entreprises."Pour Ibrahim Imam, cofondateur et Directeur général adjoint de PlanRadar : "Pour s’atteler à sa transformation numérique, le secteur de la construction doit réussir à s'uniformiser son flux d’information. Il doit pour cela s’emparer de la question de la compatibilité technologique, qui entrave actuellement ce processus. ‘PlanRadar Connect’ représente l’ultime étape du développement constant de nos solutions, qui sont déjà utilisées au quotidien par plus de 100.000 professionnels dans plus de 60 pays. Nous attendons un retour d’expérience positif de la part de nos clients une fois qu’ils auront pris en main ‘PlanRadar Connect’ avec leurs propres solutions logicielles existantes."
Il y a 3 ans et 64 jours

Une commune du Tarn-et-Garonne dit "stop" au photovoltaïque

"On n'est pas contre, mais Bessens ne peut pas être le pays du photovoltaïque", affirme Eric Escabasse, président de la société de chasse de ce village situé à une vingtaine de kilomètres de Montauban.Au volant de sa voiture, il parcourt les chemins boueux bordés de chênes qu'il connaît par cœur et où il avait l'habitude de chasser avant que 34 hectares soient recouverts de panneaux photovoltaïques.Le troisième projet à l'étude sur la commune ne passe pas pour cet homme de 57 ans qui mène la fronde. "J'espère avoir des petits-enfants, mais je ne veux pas les promener au milieu des panneaux solaires", explique-t-il à l'AFP.Pour le maire, Adrien Raphet, âgé de 34 ans, une implantation supplémentaire serait un non-sens. Sur cette commune de 1.500 habitants se produit déjà l'équivalent de la consommation annuelle en électricité de 15.000 personnes, hors chauffage."De notre côté, l'effort a été fait. On demande à ce qu'il soit réparti", souligne le jeune édile.Sans bénéfice directCe troisième projet, porté par Valorem, entreprise basée en Gironde, a fait l'objet d'une enquête publique, dont la synthèse doit être remise à la préfète du Tarn-et-Garonne, décisionnaire sur le sujet.Il concerne un peu plus de 11 hectares où seraient produits 12 GWh selon Valorem, de quoi couvrir les besoins de plus de 17.000 usagers, hors chauffage.Une pétition, portée par Eric Escabasse, a recueilli plus de 600 signatures de Bessinois qui y sont opposés."On se sent spoliés, on sacrifie notre territoire et on n'a rien en retour", estime Adrien Raphet, selon lequel "la transition ne peut pas se faire contre la population". Sollicitée par l'AFP, la préfecture du Tarn-et-Garonne n'a pas souhaité s'exprimer.A Bessens, la colère est alimentée par les deux premiers parcs, dont les travaux ont perturbé le quotidien des habitants, sans leur bénéficier directement.L'entreprise qui les a bâtis ne verse que 3.000 euros par an à la municipalité pour l'utilisation des chemins communaux.Valorem en propose 45.000. "On arrive selon nous avec un bon projet, mais trop tard", estime Frédéric Petit, responsable de l'entreprise pour l'Occitanie. "Si les deux premiers parcs n'avaient pas été construits, ça se serait passé complètement différemment."Un avis que partage Eric Escabasse: "On savait bien qu'il fallait faire la transition écologique, mais on pensait qu'ils allaient mettre ces parcs et que ça allait s'arrêter".C'est la proximité d'un point de raccordement au réseau électrique qui attire les producteurs d'énergie solaire.Pour empêcher tout nouveau projet, le maire entend sanctuariser le secteur grâce à son classement prochain en zone naturelle réservoir écologique (NRE) par l'intercommunalité.Solution alternativeIl propose également une solution alternative en prônant l'utilisation des toitures de la zone d'activités de 400 hectares située dans la commune voisine de Montbartier.Une possibilité qu'envisage Valorem, sans toutefois renoncer au projet à Bessens."Plus qu'une alternative, c'est complémentaire", affirme Frédéric Petit. "Pour arriver à la souveraineté énergétique, les toitures, ça ne suffira pas : il faudra des parcs au sol, de l'éolien, de la méthanisation..."Les Bessinois envient le sort d'Urriés, en Espagne, localité avec laquelle leur commune est jumelée et où une centrale solaire pourrait voir le jour, permettant aux habitants de ne plus payer l'électricité."Dans ce cas-là, on se dirait que ça vaut le coup, qu'ils nous ont pris un terrain, mais qu'on a un retour. Mais maintenant, c'est trop tard", juge Eric Escabasse.Les opposants, qui dénoncent le défrichage de sept hectares de forêt et craignent des problèmes lorsque viendra le temps du démantèlement des installations, ne rendent pas les armes."On se bat contre des grosses sociétés", souffle toutefois Eric Escabasse, qui attend de pied ferme la décision préfectorale.Si un projet solaire de 75 hectares a fini par être abandonné en Aveyron fin mars, le fer de lance des anti-voltaïque de Bessens confie qu'il n'est "pas optimiste".
Il y a 3 ans et 64 jours

Selon le GIEC, il est urgent d'introduire le concept de sobriété dans le bâtiment

Yamina Saheb, analyste principale des politiques climatiques chez Open Exp, l'une des autrices principales du rapport du GIEC publié lundi 4 avril, a présenté les conclusions du rapport en ce qui concerne le secteur du bâtiment le 6 avril dans une conférence en ligne organisée par l'Ecole des Ponts.
Il y a 3 ans et 64 jours

L’Europe interdit les importations de ciment russe

Fini les importations de ciment russe en Europe… [©ACPresse] L’Union européenne vient d’adopter un nouveau train de sanctions économiques et individuelles contre la Russie. Ceci, toujours en réaction à l’agression militaire opérée par le Kremlin contre son voisin ukrainien. L’objectif recherché reste inchangé : faire pression sur le gouvernement et l’économie russes, et limiter les ressources nécessaires à financer cette guerre. « L’objectif de nos sanctions est de mettre un terme au comportement irresponsable, inhumain et agressif des troupes russes. Et de montrer aux décideurs du Kremlin que leur agression illégale a un coût élevé », souligne Josep Borrell, haut représentant de l’Union pour les affaires étrangères et la politique de sécurité. Si l’une des sanctions marquantes est l’interdiction d’acheter, d’importer ou de transférer du charbon et d’autres combustibles fossiles solides depuis la Russie vers l’Union européenne, elle est loin d’être la seule. Fini le ciment russe Ainsi, certaines matières premières liées à la construction sont aujourd’hui concernées et interdites d’importation. La liste est certes courte, mais iconique : fini l’acier, le fer, le bois et le ciment d’origine russe ! Au niveau de la France, le taux d’importation de ciment en provenance de Russie reste négligeable, pour ne pas dire nul. Mais d’autres pays, d’Europe centrale en particulier, devront sans doute se tourner vers de nouveaux fournisseurs très rapidement… De quoi présager une hausse des prix.   Une autre interdiction concerne le transport routier et maritime. Plus de camions russes ou biélorusses sur les routes européennes, y compris en simple transit. Idem pour les navires marchands battant pavillon russe, qui ne peuvent plus accéder aux ports de toute l’Union européenne. Néanmoins, quelques dérogations subsistent pour des marchandises, tels les produits pharmaceutiques, médicaux, agricoles et alimentaires. Et pour le transport routier à des fins humanitaires. Par cette nouvelle série de sanctions et les précédentes, le Conseil européen exige, encore une fois, que la Russie cesse sans délai son agression militaire sur le territoire ukrainien.
Il y a 3 ans et 64 jours

Le déficit d'ingénierie rurale à la loupe

Dans son étude sur l’ingénierie territoriale publiée en avril, la société centrale pour l’équipement des territoires met le doigt sur un maillon faible de l’aménagement hexagonal : le mur des ressources humaines freine l’émergence des projets. Il se révèle plus difficile à franchir que celui de l’argent, compte tenu des moyens fléchés par le volet territorial du plan de relance.
Il y a 3 ans et 64 jours

Colas Rail toujours bien présent sur le métro du Caire

CONTRAT. La filiale ferroviaire du groupe Colas s'est vu attribuer un nouveau marché sur un chantier du réseau de métro du Caire. Une longue histoire qui se poursuit dans les souterrains de la ville égyptienne.
Il y a 3 ans et 64 jours

Une cartographie gratuite référence les acteurs biosourcés et géosourcés

DURABLE. L'association Ekopolis a créé une carte en ligne qui liste les acteurs de ces matériaux naturels et locaux, à destination des professionnels de la construction et de l'aménagement. Son directeur, Laurent Perez, raconte l'élaboration de cet outil, dans l'émission Edition spéciale de Batiactu.
Il y a 3 ans et 64 jours

Seine-et-Marne : le nouveau terrain de foot de Crégy-lès-Meaux sera prêt en septembre 2022

La Mairie de Crégy-lès-Meaux lance les travaux de son nouveau terrain synthétique. Ce chantier s’élève à 1 million d’euros.
Il y a 3 ans et 65 jours

Des grues de chantier dansent dans le ciel de Bobigny en Seine-Saint-Denis

"C'est Boboche (surnom de Bobigny, ndlr), il n'y a qu'ici qu'on voit ça", sourit Thomas, un habitant venu assister au spectacle comme de nombreuses familles.Sous les yeux du public, dix grues se sont émancipées de leurs tâches répétitives pour s'adonner à une réalisation inhabituelle dans la lumière rasante du soir.Entre la mairie et la préfecture, au milieu des HLM, elles officient sur le chantier du centre-ville de Bobigny, en lieu et place d'un centre commercial vétuste, qui accaparait depuis les années 1970 le cœur de cette ville populaire de banlieue parisienne.Avec les grutiers, "on a fait des répétitions au sol, et on disait +quart de tour à droite+, +attendez le top+, ils ont chacun un plan avec leur chorégraphie", des indications par talkie-walkie et des repères visuels dans le paysage urbain, explique la chorégraphe Kitsou Dubois, connue pour son travail en apesanteur."On n'a pas l'habitude de ces engins, qui se déplacent très lentement, il y a une grande disparité de vitesse des grues. On a simulé les grues en 3D pour pouvoir ensuite écrire la musique", enchaîne Alexandre Bouvier, compositeur qui a mêlé aussi bien les sonorités enfantines d'une boîte à musique que le célèbre psaume de Vivaldi "Nisi Dominus".D'ici 2023 un quartier flambant neuf doit sortir de terre, avec des logements, commerces, espaces verts et même un cinéma. Une petite révolution urbaine pour les quelque 50.000 Balbyniens de cette commune marquée par des cités bétonnées, construites sur dalles.La ville communiste, qui a porté ce spectacle avec le promoteur Cogedim, veut que le chantier ne soit pas uniquement synonyme "du bruit, des gravats. On fait en sorte d'inverser un peu les choses, de lever les yeux et de regarder vers l'avenir", encourage Claire Dupoizat, adjointe au maire chargée de la culture.
Il y a 3 ans et 65 jours

Devant "l'urgence" à rénover les copropriétés énergivores, quels outils ?

RÉNOVATION ÉNERGÉTIQUE. Le Forum habiter durable, à Paris, a été l'occasion pour la Ville de présenter ses dispositifs d'accompagnement des copropriétés. L'Unsfa et l'Unis ont également présenté la démarche spécifiquement dédiée aux copropriétaires, qu'ils ont lancé l'année dernière.
Il y a 3 ans et 65 jours

Du logement, de l’architecture, de la ville, les deux derniers candidats s’expriment enfin

Comme aucun des candidats du premier tour n’a parlé d’architecture, il est acquis que les deux derniers en lice n’en parleront pas non plus lors de leurs débats. Pour pallier ce trou noir dans le programme de l’une et de l’un, Chroniques est parvenu à recueillir les idées des finalistes concernant l’architecture, la ville et […] L’article Du logement, de l’architecture, de la ville, les deux derniers candidats s’expriment enfin est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 65 jours

Défaillances d'entreprises : 10.000 procédures au 1er trimestre 2022, pas de déferlante mais un dur retour à la réalité

Amorcée dès novembre 2021, la hausse des ouvertures de procédures s’accélère chaque mois. Tous les secteurs sont touchés, mais les activités en lien avec les consommateurs – restauration, commerce, service à la personne, etc. sont les plus fragilisées. En région, l’Ile-de-France et la Corse résistent le mieux.Thierry Millon, directeur des études Altares : « En 2020 et 2021, moins de 61 000 procédures collectives ont été ouvertes contre 107 000 lors des deux années précédentes. Plus de 46 000 entreprises ont été sauvées de la défaillance durant la longue période Covid. Sans le fameux « quoi qu’il en coûte » gouvernemental, la crise sanitaire aurait pu provoquer bien plus de procédures. Au 1er trimestre 2022, l’étau de la crise sanitaire se desserre et les aides s’arrêtent. Un retour à une forme de normalité qui implique aussi une reprise des défaillances. La hausse s’amorce donc et elle est déjà très nette dans les secteurs qui comptent sur la reprise des habitudes de consommation comme aller au restaurant ou chez le coiffeur. Aucun territoire n’est épargné par le phénomène. »En hausse de 34,6% sur un an, le nombre de défaillances d’entreprises se rapproche des niveaux de début 20209 972 entreprises sont tombées en défaillance entre le 1er janvier et le 31 mars 2022, soit une hausse de 34,6% par rapport à la même période de 2021. Ces niveaux, proches du 1er trimestre 2020 (10 902), restent encore nettement inférieurs à ceux de 2019 ou de 2018 qui avoisinaient les 14 000 défauts.Avec 220 jugements enregistrés ce trimestre, le nombre de procédures de sauvegarde augmente de 29,4%. Ce dispositif représente seulement 2,2% de l’ensemble des procédures.Les procédures de redressement judiciaire (RJ) sont en hausse rapide de 46,6% pour 2188 jugements prononcés. Elles représentent moins d’un jugement sur quatre (22%), un taux très en-dessous des 30% relevés en 2018.Les jugements de liquidation judiciaire (LJ) augmentent également fortement (+31,7% ; 7 564 liquidations).Les jeunes entreprises sont les plus durement fragiliséesPrès de la moitié (48%) des entreprises entrées en défaillance au 1er trimestre ont été créées il y a moins de 5 ans. Plus sévère encore, les défaillances chez les entreprises fondées pendant ou juste avant la crise ont flambé de 52%. 1927 procédures concernent des structures de moins de 3 ans. 83,8% sont immédiatement placées en liquidation judiciaire.A noter qu’il s’agit à plus de 90% de sociétés commerciales (et non de micro entreprises). Les difficultés des jeunes entreprises sont particulièrement marquées dans les activités « magasins multi-rayons » (essentiellement des commerces d'alimentation générale) où les défauts sont trois fois plus nombreux ce trimestre ; mais aussi dans la restauration (+180%), où le nombre de procédures était exceptionnellement bas il y a un an.En hausse de 56% sur un an, le nombre de procédures chez les petites PME dépasse le niveau d’avant crise94% des entreprises en cessation de paiement sont des TPE, une part relativement constante. On observe en revanche des tensions plus remarquables chez les PME. En particulier pour les « petites » PME de 10-49 salariés où les défaillances s’envolent de 56% sur an (645), dépassant le niveau d’avant crise (632). Ces structures se concentrent dans les secteurs de la construction, le commerce et l’industrie. Les PME d’au moins 50 salariés résistent davantage avec des taux de défaillance quasi stables.Les défaillances en hausse dans les deux tiers des secteurs, dépassant parfois les niveaux de 2020Après un début d’année encourageant, la guerre en Ukraine et ses conséquences doivent inciter à la prudence.Thierry Millon conclut : « En ce début d’année 2022, la confiance en l’avenir gagnait du terrain : les niveaux de trésorerie, les carnets de commande bien remplis laissaient présager une reprise de l’économie. Toutefois, depuis le 24 février et le début de l’invasion russe en Ukraine, l’horizon s’assombrit : la flambée des prix de l’énergie, les difficultés d’approvisionnement, les pénuries de matériaux, l’inflation qui s’emballe… autant de signaux qui incitent à la prudence. A l’instar du « quoi qu’il en coûte » gouvernemental déployé pendant la crise sanitaire, le nouveau Plan Résilience de 7 milliards d’euros devrait contribuer à empêcher la faillite des entreprises directement impactées par la guerre et celles plus durement touchées par l’envolée des prix de l’énergie. Ce nouveau paquet de mesures (activité partielle, PGE, etc.) doit soulager les trésoreries, mais le gouvernement exhorte les entreprises à tout faire pour continuer à payer leurs factures dans les temps. En effet, si les délais de paiement interentreprises ont été bien maîtrisés jusqu’à présent, les turbulences de ce début d’année pourraient changer la donne. Les directions financières pourraient être tentées de temporiser de plus en plus sur le règlement des factures pour conserver leur trésorerie. Dans ces conditions, la trajectoire à la hausse des défaillances d’entreprises devrait se poursuivre mais sans laisser présager à ce stade, une déferlante de faillites, les entreprises disposant encore de liquidités. »Focus / La procédure de traitement de sortie de crise : 5 mois après où en sommes-nous ?Créée par la loi du 31 mai 2021 relative à la gestion de la sortie de crise sanitaire dans son article 13, la procédure de traitement de sortie de crise (PTSC) doit permettre un rebond plus rapide aux entreprises en difficultés financières liées aux conséquences de la crise sanitaire. Elle s’adresse donc aux entreprises qui fonctionnaient dans des conditions satisfaisantes avant la crise Covid. En application depuis le 18 octobre 2021 au lendemain de la publication des décrets n° 2021-1354 et n° 2021-1355 du 16 octobre 2021, cette PTSC n’est pas destinée à être pérenne et devrait s’éteindre le 2 juin 2023.La PTSC peut concerner les entreprises de moins de 20 salariés à la date de la demande d’ouverture de la procédure et (critères cumulatifs) disposant de moins de 3 000 000 d’euros de total de passif hors capitaux propres. Les comptes annuels du dernier exercice sont exigés et doivent apparaître « réguliers, sincères et aptes à donner une image fidèle de la situation financière de l’entreprise ».En principe donc, cette nouvelle procédure peut concerner de très nombreuses entreprises en cessation de paiements. Cependant, ces dernières doivent pouvoir payer leurs salariés. En effet, à la différence du redressement judiciaire, la PTSC ne permet pas de bénéficier d’une avance du régime de garantie des salaires (AGS), ce qui peut s’avérer être un frein.La période d’observation est d’une durée maximale de 3 mois au terme desquels un plan de remboursement des dettes pourra être arrêté par le Tribunal pour une durée pouvant atteindre dix ans. A défaut d’avoir été en capacité d’élaborer un projet de plan d’apurement des dettes, le Tribunal ouvre un redressement judiciaire ou une liquidation judiciaire.Cinq mois après le démarrage de la PTSC, à peine plus d’une trentaine de procédures ont été ouvertes ; 18 sur le premier trimestre 2022 et 14 au cours du dernier trimestre 2021. Parmi ces dernières, 2 ont depuis fait l’objet d’un redressement ou d’une liquidation judiciaire. 10 ont pu valider un plan dont la durée a été fixée entre 5 et 10 ans.Pour consulter l'étude complète : cliquez ici
Il y a 3 ans et 65 jours

Demi-lune et grand soleil : un skatepark, élément structurant ?

Un immeuble de plusieurs étages sans chauffage prend froid. Pour les skateurs de Folkestone, il est pourtant chaud bouillant. Chronique d’Outre-Manche. Folkestone, dans le Kent, semble un endroit improbable pour que l’architecture embrasse enfin le skateboard, sport mondial. La pittoresque ville balnéaire anglaise était autrefois le portail britannique vers la France. Les trains en provenance […] L’article Demi-lune et grand soleil : un skatepark, élément structurant ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 65 jours

Vendée : des travaux sur les rues des Hérondais, du Commandant-Charcot et à l’entrée de la ville à Jard-sur-Mer

À Jard-sur-Mer, les rues des Hérondais et du Commandant-Charcot sont en travaux. Un aménagement paysager a aussi été réalisé à l’entrée de la ville.
Il y a 3 ans et 65 jours

Val-d’Oise : réaménagement en vue pour la place des Chênes à Cergy

La ville de Cergy va réaliser des travaux sur la place des Chênes. Son objectif est de redorer l’image de cet espace
Il y a 3 ans et 65 jours

Hérault : la Mission Patrimoine va restaurer la Maison de l’intendance du Jardin des plantes de Montpellier

À Montpellier, la Maison de l’intendance du Jardin des plantes fait partie des sites sélectionnés dans le cadre du loto du patrimoine.
Il y a 3 ans et 65 jours

Essonne : à Grigny, les travaux dans le cadre du programme Grand Cœur de Ville continuent

Restructuration de l’école Pasteur, rénovation du centre Edmond-Chervet, extension du stade Jean-Zay… Le cœur de ville de Grigny (Essonne) poursuit sa mue.
Il y a 3 ans et 65 jours

Tarkett publie son rapport 2021 de responsabilité sociale et environnementale

Entièrement audité par un tiers indépendant - KPMG -, ce rapport décrit les performances significatives de l'entreprise en matière de développement durable et sa forte ambition, dont de nouveaux objectifs climatiques.Tarkett a récemment défini sa feuille de route ambitieuse Climat 2030 sur l'ensemble de sa chaîne de valeur[1], visant à réduire de 30 % les émissions de gaz à effet de serre. Cela couvre les émissions des activités du Groupe (Scope 1) et de son énergie achetée (Scope 2) – ainsi que celles issues du reste de sa chaîne de valeur, des fournisseurs aux clients finaux (scope 3).« Au cours des deux dernières années, nous avons réduit nos émissions de gaz à effet de serre[2] de 27 %. Nous voulons désormais aller plus loin en mettant en place cette feuille de route climatique ambitieuse. Nous construisons de plus en plus de partenariats dans l'économie circulaire et l'action climatique, par nos choix engagés pour les personnes et la planète. Ensemble avec notre écosystème, nous contribuons activement aux objectifs de développement durable des Nations Unies et il est essentiel que nous nous lancions dans cette aventure avec nos clients », explique Fabrice Barthélemy, Président du Directoire de Tarkett.Au-delà de son ambition d’être un acteur clé dans l'économie circulaire, le Groupe met également l'accent sur l'utilisation de matériaux de qualité, contribuant à la santé et au bienêtre des personnes. Dans le cadre de sa responsabilité sociale, Tarkett protège et développe également ses équipes, crée une culture de la diversité et de l’inclusion tout en soutenant ses communautés locales.Tarkett a réalisé des progrès considérables avec son programme de reprise et de recyclage Tarkett a réalisé des progrès considérables avec ReStart®, son programme de collecte et de recyclage, en transformant les revêtements de sol en fin d’usage et les matériaux recyclés en nouveaux revêtements de sol. Cela permet de réduire les déchets et l'empreinte carbone, en diminuant le besoin de matières premières vierges tout en évitant l'enfouissement et l'incinération.Au cours des 11 dernières années, l'entreprise a collecté l'équivalent de 11 tours Eiffel (112 000 tonnes) de revêtements de sol dans le cadre de son programme ReStart® en Europe, en Amérique du Nord et au Brésil, dans huit centres de recyclage.De solides progrès dans ReStart® ont été réalisés au centre de recyclage de moquette unique de Waalwijk, aux Pays-Bas, au centre de recyclage de vinyle à Ronneby, en Suède et au centre de recyclage de linoléum à Narni, en Italie. Ensemble, ces centres de recyclage ont augmenté leur collecte ReStart® de 69 % par rapport à 2019. En complément des progrès réalisés avec ReStart®, 15% des matières premières (147 000 tonnes par an) sont des matériaux recyclés en 2021, l’objectif étant d'atteindre 30% en 2030. Tarkett a réduit son empreinte carboneDouze sites de production dans dix pays s'approvisionnent en électricité 100% renouvelable et 38% de la consommation totale d'énergie provient d'énergies renouvelables.Les émissions de gaz à effet de serre provenant de l'électricité achetée, de la consommation de vapeur et de la combustion de carburant sur les 34 sites de production de Tarkett dans 19 pays ont été réduites de 44 % par rapport à 2010, ce qui correspond aux émissions annuelles de gaz à effet de serre de 21 000 habitants européens.[3]Les systèmes de chauffage à énergie fossile ont été remplacés par des systèmes électriques ou à biomasse. Par exemple, l'usine de Jacareí (Brésil) a changé la source d'énergie de sa presse à chaud du gaz naturel à l'électricité, réduisant ainsi les émissions de gaz à effet de serre associées. Jacareí s'approvisionne désormais en électricité 100 % renouvelable à partir de sources hydroélectriques, solaires et éoliennes.Des exemples récents illustrant notre performance RSEEn Suède et en Belgique, nous avons collaboré avec IKEA pour collecter et recycler les revêtements de sol usagés de leurs magasins à Stockholm (Suède) et Arlon (Belgique). Plus de 14 500 m2 de matériaux ont été collectés puis traités dans notre site de recyclage à Ronneby (Suède).Tarkett est le seul fabricant de moquette en Europe capable de recycler entièrement ses dalles de moquette commerciale, grâce à son centre de recyclage de moquette unique à Waalwijk (Pays-Bas) et en étroite collaboration avec son fournisseur Aquafil. Recycler 1 m² de revêtement de sol en dalles de moquette EcoBase® après utilisation permet d'économiser 10 kgCO2e.En Europe, nous déployons des couches de remplissage renouvelables à utiliser dans le gazon artificiel. Le remplissage PureMix, qui mélange des noyaux d'olive broyés avec un remplissage en liège existant, a été déployé sur le terrain de football de la municipalité de La Haye (Pays-Bas). A Saint-Ouen (France), lors de la rénovation du gazon artificiel du terrain d'entraînement de l'école de football Red Star, des matériaux recyclés et renouvelables ont été utilisés. Un remplissage composé de sable récupéré d'un ancien gazon artificiel a été utilisé avec des noyaux d'olives concassées PureSelect.En Europe, notre solution de remplissage sportif ProMax HydroFlex - fabriquée en Allemagne - est composée à 30% de polyéthylène recyclé provenant de terrains en gazon artificiel en fin d'usage.Aux États-Unis, nous avons incorporé du PVB recyclé post-utilisation dans notre ethos® Modular avec Omnicoat Technology™, une solution de revêtement de sol souple de haute qualité fabriquée à partir de matériaux sains et sûrs, dont 33 % de PVB recyclé post-consommation. De 2004 à 2021, nous avons réutilisé 37 000 tonnes de films PVB provenant de 36 millions de pare-brise.Dans le cadre de notre programme Tarkett Cares et afin de soutenir les communautés locales, nous avons impliqué nos équipes dans plus de 700 initiatives solidaires, avec 3 300 jours de bénévolat de nos collaborateurs et plus d'un million d'euros de dons de produits (2017-2021).1 Compare à 2019, scope 1, 2 and 32 Emissions de gaz à effet de serre comparées à 2019, Scope 1 & 23 EuroStat a rapporté en 2021 que l'empreinte carbone totale de l'UE-27 était égale à 6,7 tonnes de CO2 par personne en 2019. Les émissions absolues de GES (scope 1 et 2) des sites de production de Tarkett en 2021 représentent 177 500 tonnes de CO2e, ce qui correspond à une réduction de plus de 140 000 tonnes CO2e par rapport à 2010.
Il y a 3 ans et 65 jours

La seconde vie du métro SK de Noisy-le-Grand

On pénètre ici comme dans un monde post-apocalyptique… Le règne d’un milieu interlope et underground. [©ACPresse] Saviez-vous qu’il existe un mini-métro dans le ventre du quartier du Mont d’Est, à Noisy-le-Grand, en Seine-Saint-Denis ? De cette ville nouvelle, on connaît surtout les programmes d’habitations des années 1970-1980. Des architectures telles que les Espaces d’Abraxas, de Ricardo Bofill, les Arènes de Picasso, de Manuel Nunez, ou encore La Noiseraie et le George Sand, d’Henri Ciriani. Alors qu’est-ce que cette curiosité ? D’une longueur de 518 m et doté de deux terminaux, ce mini-métro avait été conçu en 1993, pour un montant de plusieurs millions de francs. « Un immense gâchis pour un métro qui n’a jamais été mis en service », souligne Brigitte Marsigny, maire de Noisy-le-Grand. Le but de cette réalisation était de relier la gare RER du Mont d’Est au futur quartier d’affaires Maille Horizon, à l’Ouest. Mais le projet n’a jamais vu le jour, avalé par la crise immobilière du début des années 1990. Le métro SK en deux mots… Le SK était une ligne de transport de type “navette hectométrique”. Son principe : actionner des cabines-capsules au moyen de câbles, sur le modèle des téléphériques. Le nom “SK” rendait hommage à la fois au nom de son constructeur – l’entreprise Soulé – et de son concepteur – Yann de Kermadec. Durant quelques années, la RATP a fait fonctionner ce mini-métro, à raison d’une mise en marche mensuelle, avant de jeter définitivement l’éponge en 1999 ! Le mini-métro SK est à l’abandon depuis 1999, laissant le champ libre aux taggeurs. [©ACPresse]Le terminus du mini-métro SK est divisé en plusieurs espaces distincts. [©ACPresse]Conçue en 1993, la ligne SK n’a jamais été mise en service. [©ACPresse]Au bout du tunnel long de 518 m, la station Maille a été détruite. [©ACPresse]Les murs en béton sont aujourd’hui recouverts de taggs et autres graffitis. [©ACPresse]La ligne SK et ses cabines « qui ressemblent à des téléphériques » ont été laissés à l’abandon, faisant le bonheur des amoureux de l’urbex et de graffitis. [©ACPresse]Là était le quai du terminus de la ligne SK. Béante, la porte conduit au centre de commandes. [©ACPresse] Au fil du temps, les différents espaces composant la ligne SK, à l’écart de toute habitation, sont devenus le paradis des graffeurs et autres adeptes de l’urbex (exploration de lieux à l’abandon). Murs en béton, bruts ou recouverts de granite rose, et cabines-capsules couverts de graffitis, de tags, de fresques y côtoient, aujourd’hui, les armoires électriques éventrées et les escalators plus ou moins vandalisés… On pénètre comme dans un monde post-apocalyptique… Le règne d’un milieu interlope et underground. « Quand je suis arrivée aux affaires, en 2015, j’ai découvert ce lieu singulier, un peu hors du temps, reprend Brigitte Marsigny. Il est tout de suite devenu évident qu’il fallait en faire quelque chose. » Le projet K, symbole de la transformation de Noisy-Le-Grand Plus question de (re)mettre en service cette mini-métro fantôme. Les temps ont changé. Marcher 500 m n’est plus un concept abstrait, mais tout à fait dans les mœurs urbaines actuelles. D’autant plus que la promenade se passe dans un environnement dédié, aménagé… L’idée est donc de lui redonner vie, autrement. C’est le pari de la ville de Noisy-le-Grand, qui a lancé le 8 avril dernier, l’appel à projets baptisé “Station K”. Un hommage au nom d’origine – SK – et un clin d’œil à la Station F, à Paris, qui a vu la transformation de l’ancienne Halle Freyssinet en mini-Silicon Valley, sous la houlette de Xavier Niel, le patron de Free.   L’ancienne salle des commandes ou ce qu’il en reste… [©ACPresse]Tagguées à l’infini, les cabines du métro SK sont devenues des œuvres de Street-art. [©ACPresse]Bob l’Eponge s’est même invité sur une capsule laissée à l’abandon. [©ACPresse]Derrière les graffitis, on distingue encore les couleurs et le logo de la RATP. [©ACPresse]Le parking des cabines du mini-métro SK. [©ACPresse]On passe d’un espace à l’autre par des passerelles provisoires enjambant des plans d’eau souterrains apparus au fil du temps. [©ACPresse]Dans cet espace, sorte de cathédrale en béton, il est prévu de créer des murs d’escalades dans le cadre de nouveaux réaménagements. [©ACPresse]Une fresque fantasmagorique marque l’entrée – condamnée – de la ligne SK, juste à côté des accès à la station de RER Noisy-Mont d’Est à Noisy-le-Grand. [©ACPresse] Le projet vise à « créer différents lieux de vie hybrides et animés, regroupant sur un même site. Une brasserie conviviale, des cafés troglodytes, une salle de spectacles, un mur d’escalade. Mais aussi un espace d’expositions organisées dans le cadre d’une programmation culturelle et sportive », explique Téo Garcia, chargé d’opération à la Socaren, maîtrise d’ouvrage. Et, Brigitte Marsigny, de conclure : « Certains lieux, plus que d’autres, sont porteurs d’un imaginaire et d’un potentiel infini. A Noisy-le-Grand, nous avons la chance de disposer d’un tel endroit, magique et incomparable. Si l’ancien métro SK reste perçu comme un échec industriel, je suis restée ébahie par cette cathédrale souterraine où des artistes passionnés ont pu exprimer une forme d’art underground. Aujourd’hui, le SK est amené à devenir un lieu emblématique d’animation du Mont d’Est ».
Il y a 3 ans et 66 jours

La Butte-Rouge, à Châtenay, classée "site menacé" par une organisation européenne

CITÉ-JARDIN. Europa Nostra, organisation co-financée par l'Union européenne et l'Institut de la Banque européenne d'investissement, a classé la Butte-Rouge de Châtenay-Malabry parmi les "sept merveilles d'Europe les plus menacées". En cause : le projet de rénovation urbaine de la Ville, qui permet sa "destruction à 85%".
Il y a 3 ans et 66 jours

Un baromètre pour lever le tabou du handicap dans l'entreprise

Sur la base du volontariat, les entreprises peuvent publier sur le site www.lesentreprises-sengagent.gouv.fr des données brutes sur quelques indicateurs clés.Thales, Engie, Accor, Siemens, TotalEnergies ont déjà renseigné des indicateurs dans ce baromètre de même que des entreprises de taille intermédiaire comme Septodont ou Sterimed, ou des acteurs publics comme la ville de Nice.Ces données s'articulent autour de six thèmes: le taux de personnes handicapées employées dans l'entreprise, la sensibilisation du personnel et la politique handicap, le recrutement inclusif, le maintien en emploi des collaborateurs handicapés, les achats inclusifs (réalisés dans les secteurs où travaillent des handicapés) et l'accessibilité numérique.Un des objectifs est d'aider des personnes en situation de handicap à cibler les entreprises bienveillantes à leur égard et les inciter à aborder le sujet sans tabou avec le recruteur.Alors que la France compte 12 millions de personnes handicapées et que 80% des handicaps sont invisibles (cognitifs, sensoriels, maladies invalidantes chroniques, maladies psychiques...), un nombre important de salariés n'osent pas faire part de leur handicap."En faisant connaître qu'elles sont ouvertes et engagées sur le sujet, les entreprises permettront à des talents en situation de handicap de frapper à leur porte et de libérer la parole lors du recrutement, ce qui leur permettra d'obtenir les adaptations nécessaires pour faciliter leur quotidien professionnel", a expliqué à l'AFP Sophie Cluzel, secrétaire d'État chargée des personnes handicapées."D'un côté il y a des personnes qui ne se déclarent pas car elles pensent que c'est un frein à leur carrière, de l'autre des employeurs qui disent +je ne trouve pas de personnes en situation de handicap qui se déclarent", explique-t-elle.Le taux de chômage des personnes handicapés a baissé en cinq ans de 19 à 14%, indique la secrétaire d'Etat, qui relève qu'il y a une "pénurie de recrutements sur beaucoup d'offres d'emplois, et que les personnes en situation de handicap sont un vrai vivier de compétences".Ce baromètre veut aussi permettre aux entreprises de mesurer leur progression chaque année ou de se comparer avec des employeurs de secteur et de taille similaires. Les salariés pourront aussi comparer les branches professionnelles et orienter leurs recherches. L'employeur a la possibilité de faire connaître un contact pour adresser une candidature.
Il y a 3 ans et 66 jours

La Ville de Marseille flèche 1,7 milliard d’euros d’investissements sur la période 2022-2026

La Ville de Marseille a voté, le 8 avril, le premier Plan pluriannuel d’investissement de son histoire. Doté d’une enveloppe de 1,7 milliard d’euros, il a pour fil rouge la transition écologique et une répartition plus équilibrée des équipements sur l’ensemble du territoire communal. Son vote est allé de pair avec l’adoption du budget primitif établi en 2022 à 1,8 milliard d’euros et de la hausse de 14 % du taux de la taxe foncière.
Il y a 3 ans et 66 jours

20 ans de la Fondation Vinci pour la cité : les pistes pour une ville inclusive

INSERTION. Créée en 2002, la Fondation Vinci pour la Cité a accompagné plusieurs milliers de projets associatifs en faveur de l'insertion sociale et professionnelle, tout en encourageant l'engagement des collaborateurs du groupe Vinci. À l'occasion de ses 20 ans, plus que de dresser un bilan, elle s'est tournée vers l'avenir, en esquissant les pistes de collaboration vers une ville plus inclusive.
Il y a 3 ans et 66 jours

6ème édition du baromètre sur les Français et l'ascenseur

La vétusté de certains équipements reste une grande préoccupation des FrançaisLes ascenseurs font partie intégrante du quotidien des Français. 77% d’entre eux l’utilisent régulièrement. La vétusté des appareils est un enjeu primordial. Pour 96% des Français, il est important de remplacer ces ascenseurs vétustes. 58% des interrogés estiment même que c’est une priorité absolue. C’est en ce sens que la Fédération sollicite actuellement les équipes de campagne pour les élections présidentielles, afin de porter la proposition de MaPrimeRenov’Ascenseurs, pour rénover le parc vieillissant.Si un ascenseur peut avoir une durée de vie conséquente, il ne faut cependant pas négliger son entretien et son aspect. Plus d’un français sur deux (56%) insiste d’ailleurs sur ce dernier point, remettant en cause le design ancien des ascenseurs.Une volonté d’élargir les aides financières pour la rénovation de logement à la restauration et l’installation des ascenseursPour répondre aux enjeux de disponibilité, d’accessibilité et de modernisation des ascenseurs, 77% des Français jugent nécessaires que les aides financières proposées pour les rénovations d’habitation incluent l’installation et la rénovation des ascenseurs.“Ouvrir ces aides va dans la continuité des actions menées par les acteurs de la construction et de la réhabilitation immobilière pour rendre plus accessibles les logements à tous : enfants, personnes âgées, personnes à mobilité réduite ou tout simplement dans toutes les situations de la vie quotidienne avec un besoin de mobilité facilitée.” - Philippe Boué, Président de la Fédération des AscenseursUne absence d’équipements dans les habitations et les lieux publics qui perdurePar-delà les remplacements, l'accessibilité demeure un grand sujet. Près de deux tiers des Français (63%) soulignent l’importance d’équiper les immeubles d’habitation d’ascenseurs et souhaitent interpeller les politiques dans le cadre des présidentielles qui arrivent. On soulignera tout de même une amélioration dans les lieux publics vis-à-vis de 2020.“Nous souhaitons attirer l’attention sur l’accès à la mobilité pour tous. A quelques semaines du premier tour des présidentielles, elle doit faire partie des réflexions menées par les candidats sur les enjeux sociétaux auxquels sont confrontés les Français” poursuit Philippe Boué.D’autres chiffres clés à retenir :57% des Français estiment que les solutions de mobilité verticale assistent au maintien à domicile et améliorent le quotidien ;Seuls 17% des Français ont un usage quotidien de l’ascenseur de leur domicile ;30% des Français souhaitent numériser leur expérience de l'ascenseur, avec par exemple une commande vocale pour sélectionner son étage et ouvrir les portes et 37% souhaitent avoir une musique d’ambiance pendant le trajet ;Malgré une nette progression de l’équipement des administrations françaises en ascenseurs, (+8 points depuis 2016), l’accessibilité des lieux publics reste moyenne.Méthodologie de l’enquête :Etude réalisée auprès d’un échantillon national représentatif de 1082 français âgés de 18 ans et plus, dont 77% d’usagers réguliers d’un ascenseur. L’échantillon a été constitué selon la méthode des quotas, au regard des critères de sexe, âge, profession de l’individu, région et catégorie d’agglomération, dans le respect de la norme internationale ISO 20252 ‘Études de marché, études sociales et d’opinion’. Dates de terrain : du 27 au 31 janvier 2022. Étude réalisée sur Internet via le panel Ipsos.
Il y a 3 ans et 66 jours

Un nouveau marché attribué et un décret publié pour la ligne 18

GRAND PARIS EXPRESS. La Société du Grand Paris a annoncé, le 11 avril 2022, qui réalisera l'extrémité ouest de la future ligne 18, en souterrain, entre Saint-Quentin-Est et Versailles Chantiers. Peu avant, un décret attendu a été publiée, permettant de valider les modifications de ce tronçon et de la section aérienne de la ligne.
Il y a 3 ans et 66 jours

Le nouveau siège de l’ONF – Forum Bois Construction 2022

Réinventer les modes de travail pour le nouveau siège de l’ONF, l’organisation des espaces se nourrit de la ville et de la nature inspirée du contexte de son installation, dans l’école vétérinaire de Maison Alfort Avec Vincent Lavergne, architecte Vincent Lavergne Architecte Urbaniste et Samuel Poutoux, architecte Atelier WOA
Il y a 3 ans et 66 jours

Scolaire haute performance – Forum Bois Construction 2022

La ville de Trévoux a voulu être exemplaire avec la construction de ce groupe scolaire dans un nouvel écoquartier… Avec Christian Hackel, architecte, co-gérant associé -M’Cub Architectes et Damien Gallet, architecte – Gallet Architectes
Il y a 3 ans et 66 jours

Triptyque remporte le prix ArchDaily “Building of The Year 2022”

Le cabinet d’architecture Triptyque a remporté le prix ArchDaily “Building of The Year 2022” pour le projet de la Villa M à Paris. [©Grégoire Gardette] Amener l’Amazonie à Paris avec un bâtiment tropical, véritable manifeste de la création d’un pacte entre la ville, la nature et la santé, voilà le défi que s’est lancé l’agence franco-brésilienne Triptyque avec la Villa M. Et pour ce projet, le cabinet d’architecture a remporté le prix ArchDaily “Building of The Year 2022”. « Nous voulions partager ce succès et la reconnaissance de notre travail avec nos principaux partenaires qui ont uni leurs efforts pour que la Villa Mvoit le jour », indique Triptyque Architecture. La Villa M plébiscitée Amener l’Amazonie à Paris avec un bâtiment tropical, véritable manifeste de la création d’un pacte entre la ville, la nature et la santé, voilà le défi que s’est lancé l’agence franco-brésilienne Triptyque avec la Villa M. [©Grégoire Gardette] « Nous avons conçu la Villa M comme un manifeste architectural naturaliste. Un bâtiment d’une époque nouvelle où l’homme ne s’oppose plus à la nature et au vivant. Hors normes, le projet actualise le mode haussmannien, figure du style parisien, tout en intégrant la santé en cœur de ville », expliquent Guillaume Sibaud et Olivier Raffaëlli, co-fondateurs de Triptyque Architecture. La Villa M se veut “la villa Médicis des médecins et des soignants” sur quelque 8 000 m2. Qu’est-ce qu’Arch Daily ? Créé en 2008, ArchDaily est le plus important site Internet dédié à l’architecture, avec plus de 13 M de visiteurs chaque mois. Chaque année, il propose son palmarès des lecteurs sur des milliers de projets candidats. Cette année, plus de 100 000 votes ont été exprimés au cours des trois dernières semaines avec 4 500 projets en lice.
Il y a 3 ans et 67 jours

Petites architectures dans le grand paysage, en Franche-Comté

Exposition « Petites Architectures dans le grand paysage » de Julien King-Georges, architecte-plasticien. A la Maison de l’architecture de Franche-Comté. Jusqu’au 25 mai 2022. Rêve d’enfant, utopie des grands.Manière d’habiter, de protéger, d’inviter, d’écouter…La cabane évoque à chacun une image, un souvenir, des moments de bonheur.Elle est l’abri primitif, le génie créatif, l’empreinte d’un passage.Elle appartient à […] L’article Petites architectures dans le grand paysage, en Franche-Comté est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 67 jours

Nice Méridia, Comte & Vollenweider, Stéphane Fernandez et KOZ dans l’oasis

L’EPA Nice Écovallée a désigné en mars 2022 l’équipe Bouygues Immobilier – Logirem, accompagnée des agences d’architecture Comte & Vollenweider, Atelier Stéphane Fernandez et KOZ architectes pour aménager « Oasis », les lots 2.3, 2.4 A et 2.4 B dans la ZAC Nice Méridia. Communiqué de la métropole. Le long du Parc de l’Université, l’EPA […] L’article Nice Méridia, Comte & Vollenweider, Stéphane Fernandez et KOZ dans l’oasis est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 68 jours

A Bordeaux, I-TER, modèle de mixité des fonctions selon ECDM

A Bordeaux (Gironde), l’opération immobilière I-TER (pour Inclure Inviter Innover), conçue par ECDM (Emmanuel Combarel et Dominique Marrec), se veut une opération qui encourage la mixité des fonctions et usages dans la métropole. Livraison prévue fin 2023. Communiqué. Situé sur la dernière parcelle non urbanisée de la place Ravezies, le projet immobilier I-TER qui s’inscrit […] L’article A Bordeaux, I-TER, modèle de mixité des fonctions selon ECDM est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 69 jours

Le palais des Vieilles Procuraties, joyau de Venise, retrouve sa splendeur

Témoin silencieux des siècles traversés par la Sérénissime, cet ancien haut-lieu du pouvoir vénitien est prêt à livrer ses secrets au visiteur, invité à s'engouffrer dans une enfilade d'arcades entourées de poutres en bois et de murs de briques.Pour les trois premiers jours d'ouverture, la visite est réservée aux seuls Vénitiens, dont 3.000 ont répondu présents en 72 heures, avant de s'élargir à partir du 13 avril aux touristes du monde entier.Maître d'oeuvre de cette transformation d'une surface de 12.000 m2, l'architecte anglais de renommée internationale David Chipperfield a été chargé par l'assureur italien Generali, propriétaire du palazzo, d'insuffler une nouvelle vie à cet édifice iconique."La place Saint-Marc figure parmi les plus célèbres du monde, mais aucun d'entre nous n'a jamais imaginé ce qui se cache derrière ces façades construites par plusieurs architectes sur une centaine d'années", a déclaré M. Chipperfield à l'AFP.Erigées au XIIe siècle, les Procuratie Vecchie furent dévastées par un incendie en 1512. L'édifice vénéto-byzantin fut remplacé en 1538 par une structure à trois étages, dans le style classique de la Renaissance italienne.Lion ailéJusqu'à la chute de la République de Venise en 1797, les procurateurs, hauts magistrats qui secondaient le Doge, chargés du Trésor de la ville mais aussi des Affaires sociales, y ont travaillé tout en y occupant des logements gratuitement.Sous les combles de l'édifice s'étendent désormais les locaux spacieux de The Human Safety Net, une fondation lancée par Generali pour venir en aide aux personnes les plus vulnérables, dont des réfugiés, ainsi que des salles d'exposition et un auditorium."Les procurateurs s'occupaient des veuves, orphelins et pauvres. Pour nous, c'est un bel hommage à l'histoire et à l'identité de ce bâtiment d'y avoir The Human Safety Net, qui oeuvre pour l'inclusion sociale", a expliqué sa directrice Emma Ursich.A la gauche de l'entrée principale, le lion ailé de Saint Marc, symbole de la cité mais aussi l'emblème de Generali, est incrusté dans le mur de marbre blanc. Une plaque commémore la naissance en 1831 à Trieste de l'assureur, qui a pris ses quartiers à Venise l'année suivante."L'édifice avait été malmené pendant une très longue période, des décorations ont été enlevées, des escaliers, ascenseurs et salles de bains rajoutés, de manière très désordonnée. Notre responsabilité était de lui rendre une certaine intégrité", commente M. Chipperfield.Le chantier aura duré trois ans, après une phase de conception de 24 mois visant à préserver autant que possible les structures existantes.Au premier étage, où Generali a toujours quelques bureaux après avoir transféré en 1990 son siège italien dans les environs de Venise, à Mogliano Veneto, les fresques et peintures murales ont été entièrement restaurées pour leur redonner de l'éclat.La demeure de Sissi"Ce n'est un secret pour personne que travailler avec l'administration en Italie est assez compliqué", ironise David Chipperfield. Planter le moindre clou dans un édifice historique réclame d'innombrables autorisations.Quant aux artisans, "vous pouvez vous retrouver avec les meilleurs du monde", car il y a une longue tradition en Italie, "ils restaurent des bâtiments depuis mille ans"."Il était essentiel de collaborer avec les artisans et fournisseurs locaux, en utilisant des techniques et des matériaux qui font partie de la tradition vénitienne", explique Cristiano Billia, directeur associé de David Chipperfield Architects Milan.Ainsi, pour les sols, murs ou plafonds, ont été utilisés le pastellone, un produit naturel à base de chaux, le terrazzo, composé d'un mélange de fragments de marbre coloré et de ciment, ou encore le marmorino, un enduit de finition à effet satiné.Juste en face, de l'autre côté de la place, se dressent les Nouvelles Procuraties, dont la construction fut achevée en 1640 et qui hébergeaient au milieu du XIXe siècle d'illustres membres de la dynastie des Habsbourg comme l'impératrice Sissi, pendant le règne des Autrichiens sur Venise.Sa demeure donnait sur les très secrets Jardins Royaux longeant le Grand Canal, eux-mêmes rouverts au public en 2019 à l'issue de cinq ans de restauration.
Il y a 3 ans et 69 jours

"Un déni de démocratie": à Strasbourg, une autoroute pas autorisée... mais déjà en service

Au coeur de cette bizarrerie administrative, on trouve un tronçon d'autoroute de 24 kilomètres: l'A355, qui contourne Strasbourg par l'Ouest, sorte de dérivation de l'A35 qui traverse déjà la capitale alsacienne du nord au sud.Selon Vinci il s'agit du "plus grand projet autoroutier de ces dernières années en France".Envisagé dès 1973, le projet a alimenté pendant des décennies une contestation farouche. Les opposants y voyaient un nouveau sacrifice de terres cultivables et de zones humides, contestant l'idée que ce contournement puisse désengorger l'A35, saturée par les trajets pendulaires des travailleurs rejoignant quotidiennement l'agglomération.Malgré les nombreuses manifestations, et en dépit des avis défavorables rendus par les instances de contrôle des atteintes à l'environnement (notamment l'Autorité Environnementale - AE), l'Etat, à travers la préfecture du Bas-Rhin, a accordé en 2018 à Arcos, filiale du groupe Vinci, l'autorisation de construire ce tronçon d'autoroute.L'autorisation a immédiatement été contestée en justice par l'association Alsace Nature. Trois ans plus tard, en juillet 2021, la justice a partiellement donné raison à l'association, constatant que le dossier d'autorisation était entaché d'"insuffisances", concernant l'impact de l'autoroute sur la santé, la pollution ou l'évolution du trafic automobile - autant d'aspects pourtant censés justifier la construction du contournement."Le juge s'est appuyé sur des arguments qui figuraient dans le premier avis de l'Autorité environnementale", souligne Pierre Ledenvic, le président de l'AE. "On peut regretter que ces arguments n'aient pas été pris en compte en amont par le maître d'ouvrage et par l'autorité qui a accordé l'autorisation", déplore-t-il."Meilleurs sols de France"Néanmoins, malgré ces manquements, la justice n'a pas annulé l'autorisation: elle a simplement imposé à Arcos de compléter son dossier pour que la préfecture puisse éventuellement délivrer un arrêté complémentaire d'autorisation.Mais si la procédure d'autorisation a dû reprendre au début, le chantier lui s'est poursuivi et l'autoroute flambant neuve a été inaugurée le 11 décembre dernier par Jean Castex qui a vanté ses "bénéfices écologiques et environnementaux".Pendant que les premiers véhicules empruntaient la nouvelle autoroute, qui a grignoté 450 hectares classés "parmi les meilleurs sols de France" pour leur qualité agronomique, Arcos a revu son dossier. Elle l'a soumis, comme le veut la procédure, à l'Autorité environnementale... qui a retrouvé les mêmes manquements."Effectivement, un certain nombre de recommandations que nous avions faites en 2018 n'ont pas été prises en considération", regrette auprès de l'AFP Nathalie Bertrand, auteure du second avis émis par l'AE.Les autres instances consultées ont également rendu des avis défavorables sur l'A355 et la procédure suit son cours avec la tenue d'une deuxième enquête publique après celle de 2018: jusqu'au 16 avril, les habitants sont une nouvelle fois invités à donner leurs avis sur la pertinence de ce qui reste présenté comme un "projet". Bien qu'il soit déjà achevé..."Clairement on a eu un passage en force et le fait de revenir devant la population, c'est presque de la provocation", estime la maire écologiste de Strasbourg Jeanne Barseghian, qui évoque un "déni de démocratie"."On a besoin de renouer la confiance avec les autorités, il faut que les avis qui sont donnés pèsent réellement sur les décisions prises", réclame l'élue. "Interroger les citoyens sur un projet déjà fait, c'est délétère, ça décrédibilise les procédures".Signalétique trompeuseSollicitée, la préfecture du Bas-Rhin ne précise pas comment elle compte prendre en compte tous ces nouveaux avis. Si la délivrance d'un nouvel arrêté de régularisation ne fait guère de doutes, la préfète peut imposer certaines mesures à la société Arcos en fonction des observations émises.En attendant, plusieurs milliers d'automobilistes empruntent bon gré mal gré cette autoroute chaque jour, se plaignant d'une signalétique trompeuse, qui incite à passer inutilement par la section à péage, et des tarifs élevés aux heures de pointe.La société Arcos refuse de transmettre le moindre chiffre à la presse, mais elle a dû répondre à l'AE qui évoque un trafic de "7.000 à 8.000 véhicules par jour".L'itinéraire historique, gratuit, reste "utilisé par plus de 170.000 véhicules par jour sur ses parties les plus chargées", rappelle l'AE.Tous les acteurs reconnaissent néanmoins que le contournement reçoit une partie du trafic des poids-lourds. Ceux-ci ont désormais l'interdiction de traverser la ville, sauf pour charger ou livrer: le nombre de camions sur l'A35 a diminué de près d'un tiers, soit environ 3.000 par jour, selon les chiffres du Sirac (service de l'information et de la régulation automatique de la circulation).Cependant, bon nombre de poids-lourds en transit sont encore réticents à emprunter le contournement payant: selon la CRS autoroutière, 70% des camions contrôlés sur l'itinéraire historique sont en infraction.
Il y a 3 ans et 69 jours

Les prix de l'immobilier ancien toujours en hausse malgré la flambée de l'énergie qui pèse sur les acquisitions

Les tendances à l’œuvre depuis la sortie des confinements sont toujours là : succès des maisons individuelles plutôt que des appartements, hausse des prix sur l'ensemble du territoire sauf à Paris, offre insuffisante par rapport à la demande.Au premier trimestre, les prix au mètre carré ont progressé de 3,7% sur un an selon Laforêt, de 6% selon Orpi et de 8,2% selon la Fédération nationale de l'immobilier (Fnaim), qui prend en compte les données de ses agences franchisées mais aussi celles recueillies sur des portails en ligne.Selon la Fnaim, c'est dans le Grand Ouest que les prix ont le plus augmenté, avec plus de 15% de hausse en Bretagne et près de 11% en Pays de la Loire.Mais la flambée des prix des carburants et de l'énergie commence à avoir des conséquences sur le marché, selon Orpi et Laforêt."S'il y a encore quelques mois, certains étaient prêts à faire quelques kilomètres de plus pour accéder à un bien, ils sont désormais regardants sur l'éloignement d'un logement par rapport aux infrastructures de transport ou leur lieu de travail. (...) De la même façon, certains foyers préfèrent opter pour un logement un peu plus petit pour ne pas subir leur facture d'énergie à terme", assure le président d'Orpi Guillaume Martinaud, cité dans le communiqué du réseau.Laforêt note également un léger regain d'intérêt pour les appartements et la région parisienne, possiblement imputables à la flambée des carburants et des coûts du chauffage."Le marché est contradictoire depuis quelques années maintenant", sourit Yann Jéhanno, président de Laforêt interrogé par l'AFP. "Evidemment, les maisons permettent, notamment en zone périurbaine, de répondre à cette demande de la pièce en plus, du jardin pour pouvoir s'isoler ou pour gérer les enfants, et en même temps on a de nouvelles aspirations qui engagent une partie des clients à revenir vers les centres-villes", dit-il.Les biens à l'extérieur des villes supposent souvent l'achat d'une voiture supplémentaire et peuvent être chauffés au gaz ou au fioul, énergies polluantes et de plus en plus chères, explique-t-il.Laforêt s'inquiète également de l'accès plus restreint aux crédits immobiliers, avec la remontée des taux d'intérêt conjuguée aux nouvelles règles qui plafonnent le taux d'endettement des ménages à 35% de leur revenu.
Il y a 3 ans et 69 jours

À Marseille, des logements alimentés en biométhane issu de boues d'épuration

REPORTAGE. Au sein de la cité phocéenne, une unité de production transforme du biogaz en biométhane, une énergie 100% renouvelable. L'idée ? Décarboner le territoire euro-méditerranéen en fournissant du gaz vert à ses citoyens. Batiactu a pu visiter ce site qui ambitionne de s'agrandir.
Il y a 3 ans et 69 jours

« On peut rénover la ville sans la gentrifier », Patrice Leclerc, maire de Gennevilliers (Hauts-de-Seine)

Rénovation urbaine près de la future gare du Grand Paris, nouveau quartier en bordure du parc départemental des Chanteraines, transformation de la halle des Grésillons en pôle d’économie circulaire : alimentés par un budget annuel d’investissement de 60 millions d’euros, les chantiers en cours et en projet à Gennevilliers (47 000 habitants, Hauts-de-Seine) alimentent les réflexions politiques de son maire Patrice Leclerc. Il les a synthétisées dans son essai publié en janvier chez Arcane 17, sous le titre « Inventons un nouvel art de vivre populaire en ville ».
Il y a 3 ans et 69 jours

Flambée des coûts de construction et incertitudes géopolitiques : le BTP doit s'adapter rapidement

Arcadis, société internationale d’ingénierie et de conseil, annonce la publication de son rapport annuel « International Construction Cost Index 2022 ». A destination des investisseurs, cet index compare les coûts de construction dans 100 métropoles mondiales. Il propose un décryptage des facteurs expliquant les coûts par grandes zones géographiques, ainsi qu’une analyse des grandes tendances du secteur.En France, la production dans le secteur de la construction qui avait chuté pendant la pandémie, s'est redressée en 2021. Le redémarrage violent de la demande a submergé les capacités de production de toute la filière d’approvisionnement. Le « just in time » a volé en éclat et les achats de précaution se sont amplifiés. Début 2022, la tendance établie auprès des constructeurs est semblable dans les Travaux Publics et le Bâtiment : il n’y a pas pénurie à date, néanmoins les délais de fournitures et les coûts ne sont plus garantis par les fournisseurs. Les prévisions initiales ébauchées avant le conflit ukrainien - de 3% d’augmentation de la production en 2022 - sont désormais largement remises en cause, le marché devenant extrêmement volatil.Le ministère de l'Économie et des Finances avait déjà appelé en 2021 les acheteurs publics à adapter certaines modalités d'exécution et de passation des contrats de la commande publique (prolongation des délais d’exécution, insertion de clauses de révision de prix, …), ces mesures ayant été mises à jour récemment en février 2022.Enfin, de nombreux autres facteurs conjoncturels contribuent à l’aggravation de cette crise comme la hausse historique de commandes de maisons individuelles en 2021 ou encore la pression s’exerçant sur la filière bois, poussant les majors à sécuriser leurs approvisionnements stratégiques.« Si la crise est mondiale et qu’elle affecte en priorité les pays occidentaux, on constate que les grandes villes françaises comme Paris et Lyon maintiennent leur compétitivité du point de vue des investisseurs internationaux. " Faire plus avec moins" sera la clé de la résilience à long terme pour le secteur de la construction, dans un contexte de forte inflation et d’incertitudes géopolitiques. » précise Nicolas Boffi, City Executive Paris chez Arcadis.Un "Guide pratique" en cinq points est présenté dans le rapport afin de faire face à la volatilité actuelle du marché.
Il y a 3 ans et 69 jours

Zéro artificialisation nette : regards croisés promoteurs-collectivités

URBANISME. Le Zan est résolument considéré comme l'un des enjeux majeurs de la décennie, à la fois par les promoteurs et par les collectivités. Vinci Immobilier et Toulouse Métropole ont témoigné, au salon BIM World, de la manière dont ils abordent ce nouveau paradigme.
Il y a 3 ans et 69 jours

« Territoire Habité » – 58 projets d’avenir pour le Grand-Orly Seine Bièvre

Territoire Habité – 58 projets d’avenir pour le Grand-Orly Seine Bièvre est une exposition présentée à Fresnes (Val-de-Marne) par les étudiant·es du DSAA Design d’Espace Territoires Habités de l’École Boulle. Jusqu’au 31 juillet 2022. L’École Boulle et l’Établissement public territorial Grand-Orly Seine Bièvre ont initié en 2016 un partenariat pédagogique portant sur des projets d’amélioration […] L’article « Territoire Habité » – 58 projets d’avenir pour le Grand-Orly Seine Bièvre est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.