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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Urbanisme - Aménagement

(35877 résultats)
Il y a 3 ans et 104 jours

Loi SRU, Zan, prêt à taux zéro... les représentants des candidats face aux architectes

PRÉSIDENTIELLE 2022. Le Conseil national de l'ordre des architectes (Cnoa) a invité plusieurs représentants des candidats à l'élection présidentielle à présenter leur programme sur le logement et l'urbanisme, face aux enjeux du changement climatique. Tour d'horizon de leurs propositions...
Il y a 3 ans et 104 jours

Le SNBPE et l’Unicem proposent un plan d’action environnemental pour ses adhérents

Le SNBPE et l’Unicem organisent, le lundi 7 mars prochain, une nouvelle “matinale environnement”. [©SNBPE/Unicem] En septembre 2021, l’Unicem Ile-de-France, Haropa Port et la Ville de Paris signaient une nouvelle édition de la charte d’amélioration des ports. L’Unicem et le SNBPE ont alors acté un plan d’action concret pour poursuivre la sensibilisation de leurs adhérents. Cela, afin d’améliorer l’exploitation des activités portuaires et industrielles en Ile-de-France. Après une première session, le 22 novembre dernier, les deux entités poursuivent les “matinales environnement”, dont la prochaine est prévue pour le lundi 7 mars 2022. Celle-ci s’adresse aux agents techniques et aux responsables de centrales à béton de la région, pour les sensibiliser aux bonnes pratiques environnementales. Le programme des “matinales environnement” Les matinales reviennent ainsi sur différentes thématiques. A l’image du régime règlementaire “installations classées pour la protection de l’environnement”. L’Unicem et le SNBPE décryptent aussi la pratique sur le terrain pour déterminer les bonnes pratiques à mettre en place. Lire aussi : Le SNBPE et Cimbéton lancent la 8e édition du concours d’idées Les conférences sont d’ailleurs organisées autour de plusieurs sujets. A savoir la gestion du stockage des matériaux, des eaux et le tri des déchets. Les participants peuvent ensuite partager leurs expériences en matière d’actions environnementales au sein de leur activité. Plusieurs autres sessions sont déjà programmées tout au long de l’année 2022.
Il y a 3 ans et 104 jours

L’OPPBTP met à jour le Guide de préconisations de sécurité sanitaire

Cette version prend en compte le nouveau protocole sanitaire en entreprise, publié par le ministère du Travail le 26 février et applicable depuis le 28 février, en conformité avec les recommandations du Haut Conseil de Santé Publique et de l’État.Les principaux aménagements du guide concernent : Le port du masque : A compter du 28 février 2022, les obligations de port du masque ne sont plus applicables aux personnes accédant aux établissements, lieux, services et événements avec un pass vaccinal, y compris pour les professionnels soumis au pass vaccinal qui y exercent leur activité. Le port du masque peut toutefois y être rendu obligatoire par le préfet de département lorsque les circonstances locales le justifient. Le port du masque est maintenu dans les transports - y compris lorsque le pass vaccinal s'y applique - pour les déplacements longue distance par transports interrégionaux. Les cas contacts : Depuis le 28 février, un seul test devient nécessaire (autotest, PCR ou antigénique) deux jours après avoir été déclaré cas contact, pour les personnes vaccinées. Si l'autotest est positif, un test antigénique ou PCR est nécessaire pour confirmer le résultat.Le télétravail, recommandé depuis le 2 février dernier. Les employeurs fixent, dans le cadre du dialogue social de proximité, les modalités de recours au télétravail, en veillant au maintien des liens au sein du collectif de travail et à la prévention des risques liés à l’isolement des salariés en télétravail.Les réunions en audio ou en visioconférence restent à privilégier. Lorsqu’elles se tiennent en présentiel, les participants doivent respecter les gestes barrières, notamment le port du masque, les mesures d’aération/ventilation des locaux ainsi que les règles de distanciation.Les moments de convivialité réunissant notamment les salariés en présentiel dans le cadre professionnel peuvent être organisés dans le strict respect des gestes barrières, en particulier le port du masque, les mesures d’aération/ventilation et les règles de distanciation.Les masques FFP2 sont prioritairement réservés aux professionnels médicaux, y compris les personnels en charge du dépistage. Le HCSP précise toutefois dans son avis du 23 décembre 2021, que le port du masque FFP2 peut être indiqué pour les personnes à risque de formes graves du Covid-19 et en échec de vaccination pour raisons médicales, dès lors qu’elles sont en capacité de le supporter pendant plusieurs heures et pour un usage quotidien. Le guide de préconisations de sécurité sanitaire pour la continuité des activités de la construction en période d’épidémie de coronavirus SARS-Cov-2 est disponible sur le site internet de préventionbtp.fr. Par ailleurs, les conseillers en prévention et les formateurs de l’OPPBTP sont toujours disponibles sur le terrain ainsi qu’à distance grâce au service PréventionBTP En Direct. Une base de Questions/Réponses spécifiques sur la Covid-19 est à disposition sur le site.
Il y a 3 ans et 105 jours

Saison 2021-2022 : une situation exceptionnelle pour la filière du chauffage au granulé de bois…

Nous vivons sur l’ensemble du territoire français et bien au-delà une saison tendue sur l’énergie et sur l’approvisionnement en granulé en particulier. Bref retour sur une année tout à fait particulière : > Les producteurs de granulé en Europe ont eu d’important stock de granulé à la sortie de l’hiver 2020-2021. Conséquence : une forte […]
Il y a 3 ans et 105 jours

A Paris, restructuration du site de l’œuvre des jeunes filles aveugles par AZC

L’agence parisienne AZC architectes (Irina Cristea, Grégoire Zündel), a livré en 2021 à Paris (XIVe), pour Paris Habitat OPH maître d’ouvrage, la restructuration du site de l’œuvre des jeunes filles et sœurs aveugles de Saint-Paul. Surface utile : 9 863 m² ; budget : 17.0 M€ HT. Communiqué. Le site est un terrain dont la dimension patrimoniale […] L’article A Paris, restructuration du site de l’œuvre des jeunes filles aveugles par AZC est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 105 jours

Alkern a choisi Engie Green pour la conception de projets solaires

Environ 150 000 m2 de panneaux solaires seront installés par Engie sur les sites de production d’Alkern. [©Engie] Le spécialiste des produits préfabriqués en béton, Alkern a choisi Engie Green pour concevoir des centrales solaires en ombrières. Ces dernières serviront d’abris pour les zones de stockage dans une sélection des sites de production français d’Alkern. Ainsi, environ 150 000 m2 de surfaces au sol seront valorisés en installations d’énergie renouvelable. La production électrique est d’ailleurs estimée à 35 000 MWh/an, soit l’équivalent de la consommation annuelle d’une ville de 15 000 habitants. Ce projet n’est pas le premier engagé par Engie Green. En effet, le groupe a déjà à son actif la valorisation en centrales solaires de plus de 180 ha de sites industriels et logistiques, de parkings d’aéroport ou de parcs d’exposition. La démarche RSE d’Alkern En ce qui concerne Alkern, le groupe affirme sa volonté de contribuer à un aménagement du territoire plus respectueux de l’environnement. Le projet s’inscrit donc dans sa démarche RSE et complète ainsi une stratégie tournée vers le développement de produits éco-conçus. Lire aussi : Alkern : Entre performance et durabilité Le groupe s’oriente aussi vers des solutions bas carbone pour le bâtiment et de perméabilisation des voiries. La mise en service des installations solaires est prévue pour l’année 2024.
Il y a 3 ans et 105 jours

Trois "sociétés de projet" créées pour les nouveaux projets ferroviaires

Les trois établissements, la Société de la Ligne nouvelle Provence-Côte d'Azur, la Société du Grand Projet du Sud-Ouest et la Société de la Ligne Nouvelle Montpellier-Perpignan, devraient être créés "avant l'été", selon Matignon.Pilotés par les collectivités locales, ils devront surtout porter leur participation --40% de la facture annoncée-- dans ces projets, qui pourra être apportée par une taxation locale.Ces sociétés de projet pourront aussi apporter un appui matériel et humain au maître d'ouvrage --en l'occurrence SNCF Réseau--, assurer un rôle d'expert auprès du comité de pilotage réunissant tous les financeurs, et accompagner les collectivités dans la valorisation des gares nouvelles.Pour la Ligne nouvelle Provence-Côte d'Azur, il s'agit dans un premier temps, d'ici 2035, de désengorger les noeuds ferroviaires de Marseille –avec un tunnel sous la ville--, Toulon et Nice, pour 3,5 milliards d'euros.Le Grand Projet du Sud-Ouest prévoit d'ici 2032 d'augmenter la capacité des lignes actuelles au sud de Bordeaux et au nord de Toulouse, puis de relier ces deux villes par une ligne nouvelle. Il y en a pour 10,3 milliards d'euros. Une seconde branche doit ultérieurement rallier Dax, vers le Pays basque et l'Espagne.Enfin, la Ligne nouvelle Montpellier-Perpignan doit comme son nom l'indique relier ces deux villes en doublant la ligne classique, avec une première étape de Montpellier à Béziers "à l'horizon 2030", estimée à 2 milliards d'euros.La création de ces sociétés de projet a été rendue possible par la Loi d'orientation des mobilités (LOM) de 2019. Dans les trois cas, l'Etat doit apporter 40% de l'investissement et les collectivités locales 40%, les 20% restants étant demandés à l'Europe."Ces établissements publics locaux nous permettront de porter collectivement le financement de ces infrastructures - lignes nouvelles et aménagements des lignes existantes - résolument indispensables pour les trains du quotidien, pour l'Occitanie et le sud de la France plus largement", s'est félicitée la présidente de la région Occitanie Carole Delga dans un communiqué.
Il y a 3 ans et 105 jours

Sochaux optimise la consommation énergétique de 18 bâtiments communaux avec ENGIE Solutions

Dès la première année du contrat, l’ensemble des travaux prévus dans le cadre de ce CPE a pu être réalisé assurant ainsi rapidement l’atteinte de l’objectif d’économies de CO₂ fixé. Conclu pour une durée de dix années, ce contrat répond à l’ambition de la ville de Sochaux de réduire la consommation énergétique de la ville tout en assurant un meilleur confort des occupants de ces bâtiments. ENGIE Solutions s’est engagé, dans le cadre de ce CPE, à réduire de 20% les émissions totales de CO2 des bâtiments concernés, soit 831 tonnes de CO₂ évités par an. C’est principalement par le renouvellement des installations de production d’énergie de ces bâtiments et différentes solutions digitales d’optimisations des consommations que les économies ont pu rapidement être constatées, atteignant déjà l’objectif annuel d’économie fixé. Les bâtiments concernés par ces travaux et ces optimisations énergétiques sont : la Halle des sports, l’école élémentaire Simone VEIL et l’école de musique, les bâtiments des services techniques, le centre aéré et le restaurant scolaire du Petit Bois et la Cité Administrative.Une optimisation énergétique guidée par le digital pour la Cité Administrative Une attention particulière a été apportée à la Cité Administrative, l’un des sites les plus énergivores de la ville, qui a pour particularité d’être composée de 19 zones aux usages variables. Simple à installer et à exploiter, la solution Vertuoz Control est un dispositif digital permettant d’optimiser la performance énergétique des bâtiments en pilotant à distance la diffusion de chaleur, zone par zone, grâce aux objets connectés et à l’Intelligence Artificielle. Cette solution parfaitement adaptée aux problématiques de ce bâtiment permet d’une part à l’énergie de n’être diffusée que lorsque cela est nécessaire (en fonction de l’occupation réelle des zones), et d’autre part, d’améliorer et d’uniformiser le confort des occupants à travers l’ensemble du bâtiment. La mise en service de Vertuoz Control, c’est l’installation de 108 IoT/objets connectés comprenant :86 vannes connectées (une par radiateur).22 capteurs de température et de présence. Labellisée par la Fondation Solar Impulse, Vertuoz fait d’ailleurs partie des solutions reconnues comme ayant un impact positif sur la planète, à la fois en termes économique et environnemental.Pour Albert MATOCQ-GRABOT, maire de Sochaux : « Les enjeux de transition écologique doivent devenir des automatismes dans les collectivités. S’entourer de professionnels « éclairés » est un gage de réussite ! »Pour Matthieu BONVOISIN, Directeur du territoire Nord Est ENGIE Solutions : « Nous nous réjouissions d’accompagner la ville de Sochaux dans la réduction pérenne de ses consommations énergétiques et de son empreinte carbone grâce à nos solutions qui combinent digital et technicité. »Pour Damien Térouanne, Directeur Général Délégué ENGIE Solutions : « Agir sur la réduction des consommations des bâtiments est un levier crucial pour tendre vers la neutralité carbone »
Il y a 3 ans et 106 jours

Le Sénat veut permettre l'installation de panneaux solaires sur des friches en zone littorale

Le Sénat a adopté une proposition de loi permettant l'implantation en zone littorale de panneaux solaires sur des friches, anciennes carrières et décharges notamment, en dérogation à la loi littoral.
Il y a 3 ans et 106 jours

Weber intègre l’offre Tradical® à sa gamme produits et étoffe son panel biosourcé

Saint-Gobain Weber France annonce avoir signé avec le Groupe belge Lhoist, l’un des leaders mondiaux de la production de chaux, chaux dolomitique et autres minéraux, un accord de partenariat concernant l’offre Tradical®  de sa filiale BCB. A compter du 1er mai, l’expert en mortiers industriels Weber va commercialiser, en exclusivité sur le territoire français, les […]
Il y a 3 ans et 106 jours

BPE : Vicat et Béton Direct s’associent

Vicat “a rejoint” Béton Direct, la plate-forme numérique de vente en ligne de BPE destinée aux particuliers. [©Béton Direct] Depuis janvier 2022, Vicat “a rejoint” Béton Direct, la plate-forme numérique de vente en ligne de BPE destinée aux particuliers dans le cadre d’un partenariat. Ce dernier permet à ces deux entreprises de renforcer leurs positions sur ce marché en plein développement. « Notre ambition est de poursuivre et de développer la collaboration avec nos producteurs-partenaires actuels, explique Julien Lebourgeois, président de Béton Direct. Tout en renforçant le référencement de la marque de e-commerce sur l’ensemble du territoire national. Avec une couverture géographique plus importante, Béton Direct pourra accompagner la croissance de la demande des particuliers. » La complémentarité entre Vicat et Béton Direct « Le rapprochement avec Béton Direct, proche de nos valeurs, est une opportunité de renforcer notre ancrage territorial, précise Didier Petetin,  directeur général Lire aussi : Premier liant zéro carbone signé Vicat délégué du groupe Vicat et directeur opérationnel de ses activités en France. Mais aussi de développer les activités de Vicat et de ses partenaires auprès des particuliers, en s’appuyant sur la force et l’expertise de nos réseaux historiques. »
Il y a 3 ans et 106 jours

Inventons la Métropole du Grand Paris : les sites de la 3e édition

Depuis 2010, le Ministère de la Cohésion des territoires, la Société du Grand Paris et la Métropole du Grand Paris œuvrent dans la structuration d’une région plus « égalitaire » et « durable ». Une tâche herculéenne devant l’hétéronomie de cette métropole qui encapsule 7 millions d’habitants et 131 communes. La 3e édition de l’appel à projets Inventons la Métropole du Grand Paris (IMGP), dont les sites candidats ont été annoncés, doit permettre de relever ces...
Il y a 3 ans et 106 jours

Le prolongement de la ligne 1 du métro agite l'est parisien

Par un bel après-midi de samedi, sous le cui-cui des rouges-gorges, quelque 200 manifestants déambulent pancartes en main dans les allées du bois de Vincennes pour se recueillir au pied de vieux chênes pédonculés. Leurs vénérables troncs sont ceints d'un ruban de crêpe noir, en signe de deuil.Car sous cette portion du bois devrait passer, à horizon 2035, une nouvelle section du métro.Les autorités souhaitent prolonger la ligne 1, qui aboutit actuellement au château de Vincennes, de 5 kilomètres et trois stations dans les banlieues orientales de Paris.Ces travaux nécessitent l'abattage d'arbres sur un petit segment du bois de Vincennes, à la lisière nord de ce poumon vert classé. Même si d'autres essences seront replantées ultérieurement, ce point cristallise l'opposition au projet, pour lequel l'enquête publique ouverte fin janvier s'achève mercredi 2 mars.Cette forêt, Cécile Toison en est familière. Au petit matin comme tard le soir, cette riveraine de Vincennes la traverse sur son vélo pour prendre ou quitter son service à l'hôpital.En chemin, "je croise le fameux renard, le fameux hérisson, le fameux écureuil. De quel droit aujourd'hui se permet-on encore d'avoir cette suprématie sur le monde animal ?" s'inquiète auprès l'AFP cette infirmière puéricultrice de 46 ans, venue manifester contre le chantier prévu.La pétition antitravaux a recueilli 65.000 signatures.Mais dans ce dossier, aucun des deux camps n'a le monopole de l'écologie.Du côté des défenseurs de l'extension de la plus ancienne ligne de métro de France, inaugurée en 1900, on rappelle qu'elle doit désenclaver plusieurs quartiers de Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne et réduire ainsi le bilan carbone de leurs habitants.Moins de voituresSur les hauteurs de Montreuil, le quartier populaire de Bel Air-Grands Pêchers, marqué par un fort taux de chômage et un important programme de rénovation urbaine, bénéficiera ainsi de sa propre station. Celle-ci mettra la gare de Lyon à 15 minutes, contre 35 en moyenne avec les transports actuels.Le métro "permettrait d'une part de réduire l'usage de la voiture, et d'autre part plus de liberté pour les habitants de se déplacer, de travailler, d'étudier", pointe Haby Ka, conseillère municipale (PCF) de Montreuil et élue du quartier."Des gens nous disent +ils nous parlent du bois mais c'est juste un prétexte, ils ne veulent pas voir les banlieusards prendre la 1+", relate-t-elle, "c'est un peu un enjeu de lutte des classes."Envisagé depuis le milieu des années 1990, ce programme s'inscrit dans une tendance plus générale d'extension en petite couronne des lignes de métro qui se sont arrêtées pendant des décennies aux portes de la capitale.Signe des passions que suscite l'arrivée du métro, un soir de mi-février, des centaines de curieux convergent sur un gymnase de Fontenay-sous-Bois pour une réunion d'information.Le long des rues, des ballons jaune canari - couleur de la ligne 1 – sont accrochés aux panneaux et lampadaires, comme pour fêter un anniversaire.Des dizaines de personnes restent bloquées devant la salle par le service de sécurité. A l'intérieur, l'ambiance est électrique. On applaudit, on hue. "Pour ceux qui mènent un combat d'arrière-garde, il faut penser aux humains !" s'insurge un homme. "Déni de démocratie !" crie un militant pro-arbres.Le président de la commission d'enquête publique tente de calmer les esprits : "ce n'est pas un forum, on est entre gens responsables..."D'un coût annoncé de 1,5 milliard d'euros hors-taxes, le prolongement de la ligne 1 doit transporter 95.000 voyageurs par jour. Les travaux sont actuellement prévus pour être réalisés entre 2028 et 2035. Mais gare aux perturbations...
Il y a 3 ans et 106 jours

L'IEIF livre une analyse des premiers impacts de la guerre en Ukraine sur l'économie et l'immobilier

Aujourd’hui, l’invasion de l’Ukraine par la Russie, première guerre d’agression transfrontalière en Europe depuis 1945, a toutes les chances de les influencer durablement. Les risques extrêmes sur les marchés seraient exacerbés. Béatrice Guedj et Pierre Schoeffler, seniors advisors IEIF livrent leur analyse.Croissance économique, inflation et taux d’intérêtL’incertitude actuelle risque de provoquer un désir d’accumulation d’épargne de précaution de la part des ménages et un attentisme sur les investissements de la part des entreprises, ralentissant la vitesse de circulation de la monnaie. Entre goulot d’étranglement sur l’offre en biens manufacturiers, baisse du pouvoir d’achat et comportement de précaution, les revenus des ménages et les profits des entreprises pourraient être amputés, ce qui pèserait sur les emplois de bureaux, la demande placée et la solvabilité immobilière des agents privés Avant l’invasion de l’Ukraine, la hausse des prix en Europe était essentiellement liée à la hausse du prix de l’énergie et aux tensions post-Covid sur les chaînes d’approvisionnement. La hausse du prix de l’énergie va s’intensifier et l’inflation pourrait connaître une nouvelle dynamique qui, si les pressions perdurent, pourraient véritablement déclencher des demandes de compensation salariale. La nouvelle fragmentation du commerce mondial avec l’isolement économique de la Russie ne peut aussi déboucher que sur un régime d’inflation plus intense. Les taux d’intérêt réels devraient rester en territoire négatifs, voire baisser encore, ce qui est une configuration favorable à l’immobilier. À moyen terme, tout dépendra de l’ancrage de l’inflation dans les circuits économiques. Si cet ancrage est fort, la réponse de la BCE sera plus appuyée et la normalisation plus rapide qu’escomptée jusqu’ici.Conséquences sur l’immobilier Le scénario d’un ralentissement économique en Europe couplé à une forte inflation, soit un épisode de stagflation, voit donc sa probabilité augmenter si une issue diplomatique n’est pas rapidement trouvée. Durant ces périodes de stagflation, les loyers sont tirés à la hausse par le mécanisme d’indexation mais face à des revenus amoindris, il est difficile de faire passer ces hausses aux locataires, sauf aux entreprises qui sont capables de répercuter la pression de leurs coûts de revient sur leurs prix de vente.En France, durant la longue période de stagflation provoquée par les chocs pétroliers de 1973 et 1979, l’immobilier s’est bien comporté avec une performance globale réelle positive portée par les rendements en capital alors que les rendements locatifs réels étaient négatifs. Durant cette période de très forte inflation, les taux réels de long terme sont restés très négatifs en tout début de période avant de devenir très positifs en fin de période. La stagflation du début des années 1990 n’a pas été favorable à l’immobilier mais il s’agissait alors de l’éclatement d’une bulle immobilière. Les deux autres périodes de stagflation en France ont été de courte durée. La crise financière globale, également d’origine immobilière, a été très négative à l’immobilier. La crise Covid, très violente et très courte, n’a eu qu’un effet passager.Les marchés de l’immobilier coté en Europe n’envoient pas de signaux particuliers. L’ensemble des segments à l’exclusion du commerce s’effrite depuis le début de l’année. La logistique et la santé sont ceux qui reculent le plus. (cf graphique) De façon plus fondamentale, la fragmentation du marché immobilier à l’œuvre durant la crise Covid se corrige lentement par une convergence des performances des différents segments.
Il y a 3 ans et 106 jours

5 points clés pour le secteur du bâtiment en 2022

Une seconde vie pour les anciens bâtimentsAvec la pandémie, les mesures de santé publique ont transformé des maisons en bureaux et laissé des immeubles de bureaux vides. Si certains de ces changements se sont atténués, l’utilisation des bâtiments a véritablement changé : la fréquentation des bureaux ne sera plus la même, le télétravail et travail hybride vont perdurer et le commerce physique ne récupérera jamais complètement le terrain perdu.En parallèle, l’immobilier résidentiel fait face à une pénurie de logements que les nouvelles constructions ne peuvent combler en raison d’un manque de matériaux, de main-d'œuvre et de terrains. Dans un secteur où certains types de biens sont surabondants, alors que d’autres sont insuffisants, les entreprises devront faire de réels efforts pour relever les défis de la réaffectation des bâtiments, qui constituent des opportunités importantes afin de répondre à l'évolution des besoins immobiliers.L'énergie au cœur de la refonte de l'utilisation des bâtimentsLes évolutions observées dans l'utilisation des bâtiments au cours des deux dernières années, sont survenues alors que des changements avaient déjà été opérés afin de répondre à la pression réglementaire et sociétale pour une plus grande efficacité énergétique. Cela implique de meilleures approches de l’efficacité des bâtiments, en termes de conception, modernisation et système de gestion de l’énergie des bâtiments.Par exemple, l'adoption croissante des véhicules électriques, entraînera une demande accrue d'énergie électrique. Dans le même temps, les arguments économiques en faveur des énergies renouvelables à petite échelle entraineront les déploiements de panneaux solaires. Ces développements conduiront les bâtiments à devenir à la fois consommateurs et producteurs d'électricité. On parlera alors de "prosumers" pour décrire la manière dont les propriétaires gèrent cette nouvelle relation avec l'électricité. La façon dont les bâtiments interagissent avec l'infrastructure énergétique est depuis longtemps essentielle. Néanmoins, l’impact de l’évolution des besoins des consommateurs sur le réaménagement des bâtiments conduira à renforcer cette interaction. Les appels d'offres devraient donc être naturellement de plus en plus axés sur les questions de gestion énergétique.La digitalisation comme catalyseurLes technologies et les approches traditionnelles ne suffisent plus aujourd’hui pour que les changements majeurs dans la façon dont les bâtiments interagissent avec l'infrastructure électrique soient viables. Les technologies intelligentes, y compris les compteurs intelligents, deviendront essentielles pour permettre aux bâtiments de réinjecter de l'énergie dans le réseau et pour fournir aux opérateurs de réseau des informations sur la consommation d’énergie de chaque bâtiment.Le réseau d'un bâtiment individuel peut être rendu plus polyvalent et plus flexible grâce à la technologie numérique. Les systèmes électriques intelligents des bâtiments sont capables de réagir aux conditions du réseau, par exemple en chargeant les véhicules électriques aux heures de faible demande. Alors que le système électrique global continue de se transformer, les systèmes numériques offriront la flexibilité et l'adaptabilité nécessaires à chaque étape de la production et de l'utilisation de l'énergie. Ces changements amènent à une relation plus intelligente, plus réactive entre les bâtiments et l'infrastructure. Des projets démontrant la valeur de ce type d'approche sont déjà en cours, la gestion intelligente de l'énergie va devenir un élément essentiel de réponse à la crise climatique.La sécurité des bâtiments redéfinieAvec la pandémie, les autorités de santé publique tentent de comprendre la dynamique de la transmission virale et l'impact des interventions telles que l'augmentation de la ventilation sur le fonctionnement des systèmes de gestion des bâtiments. Il est important de trouver un équilibre entre la sécurité des personnes et le maintien des activités quotidiennes.Parallèlement, il sera indispensable d'identifier le profil de risque de cybersécurité des bâtiments, car les systèmes intelligents peuvent constituer des failles dans leur structure, au niveau des tableaux de distribution électrique et des équipements de chauffage, ventilation et climatisation. Ces éléments doivent être considérés comme faisant partie d'un système global complexe et cohérent, et non comme des questions distinctes pouvant être traitées de manière isolée. Il est donc probable que de nouvelles normes de sécurité des bâtiments se développent au cours des prochaines années.Des liens plus étroits entre les bâtiments et les autres secteurs d’activitéDe nombreux facteurs tels que les préoccupations sur le climat ou bien la pression du public pour répondre à des besoins changeants vont impacter les évolutions de ce secteur. Il est ainsi nécessaire d’impliquer un ensemble large de parties prenantes confrontées à leurs propres défis de transformation.La connexion entre les différentes industries peut être facilitée par le processus connu sous le nom de « couplage sectoriel », c’est-à-dire l’électrification des transports et des bâtiments tertiaires et industriels.Un bon couplage sectoriel dans le secteur du bâtiment permettra de soutenir et d'accélérer la décarbonation grâce à un réseau plus résilient, à une production décentralisée et à une utilisation intelligente de l'énergie qui s'adapte à l'offre. Il s'agit là d'un élément essentiel de la transformation énergétique. L’évolution de l’utilisation des bâtiments offre à ce même secteur une occasion unique de contribuer au processus.Tribune par Laëtitia Tran-Rodeghiero, Commercial Buildings Segment Manager chez Eaton Electrical France (LinkedIn).
Il y a 3 ans et 106 jours

La Fédération nationale des Communes forestières impliquée pour des solutions concrètes face à la crise du chêne

Pour le développement du label UE et de la contractualisationAujourd’hui, Il est indispensable d’être vigilant sur la prise en compte de cette ressource et plus que tout nécessaire de renforcer le maillage territorial avec la mise en place de circuits plus courts en maintenant une transformation des produits forestiers en France et dans l’Union Européenne. Le label chêne Union Européenne et la contractualisation sont des solutions pour parvenir à ces dynamiques dans lesquelles la Fédération nationale des Communes forestières (FNCOFOR) s’est toujours pleinement investie avec tous ses élus, ces dernières années.En effet, depuis 2015 en appui de l’Etat et de la Fédération Nationale du Bois (FNB), la FNCOFOR a contribué à la création du label chêne Union Européenne. Ce label apporte une réponse opérationnelle pour faire face aux difficultés d’approvisionnement important des scieries. Il vise à ce que les grumes de chênes de qualité sciage soient transformées une première fois dans l’Union européenne.La FNCOFOR souhaite également accélérer le développement de la contractualisation sur toutes les essences et particulièrement sur le chêne. La contractualisation permet la vente des bois par qualité sous contrat avec des entreprises françaises.A cet effet, la FNCOFOR a co-signé l’accord-chêne mis en place le 17 février 2022 avec le ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation et l’ensemble des propriétaires, producteurs, gestionnaires et premiers transformateurs dans une démarche concertée et globale de filière.La FNCOFOR en action auprès de la filière La FNCOFOR a mis sur pied un plan d’actions précis qui rassemble les conditions de la réussite pour développer la contractualisation en concertation avec l’Office national des forêts (ONF), présenté lors des Assises de la forêt et du bois. Cette dynamique actuelle ne pourra se faire que dans un dialogue construit et serein avec le gestionnaire unique de la FNCOFOR, l’ONF. L’ONF doit mettre les moyens et les compétences pour réaliser ce plan d’actions et l’Etat doit aussi soutenir la FNCOFOR sur plusieurs pistes d’amélioration tels que la dotation globale de fonctionnement des collectivités, les circuits de TVA, le fond d’amorçage.... La FNCOFOR est en ordre de marche depuis plusieurs années. Son comité national des ventes, rassemblant les élus du bureau des Communes forestières et la direction commerciale de l’ONF, travaille sur ces questions prioritaires d’actualités et de commercialisation des bois.C’est grâce à cet élan collectif avec la publication récente du manifeste de la filière forêt-bois, la signature de cet accord-chêne, l'implication de FNCOFOR aux Assises de la forêt et du bois qu'elle pourra trouver les meilleures solutions pour le développement de la filière sur le territoire national et pour lutter in fine contre le réchauffement climatique.
Il y a 3 ans et 106 jours

Le Quadrilatère Beauvais : DENFC, opacité et acoustique

Pour l’anecdote, c’est d’ailleurs ce dernier qui édicte, au sein d’un service à la création artistique, une commission appelée, entre autres, à soutenir les artistes vivants. Projet ponctué pour l’exemple d’une commande du plafond de l’Opéra de Paris à Marc Chagall en 1962 et de lois permettant l’affiliation à la sécurité sociale des artistes du spectacle en 1967, puis des peintres, sculpteurs et graveurs… Ces innovations ont permis des avancées dans le monde des musées et autres architectures dédiées au patrimoine vivant. Données qui alimentent encore aujourd’hui de très beaux projets de réhabilitations.C’est dans ce contexte politique et sociétal que la réalisation d’une galerie nationale de la tapisserie est confiée en 1969 à l’architecte André Hermant, assisté de Jean-Pierre Jouve. La proximité directe de la cathédrale Saint-Pierre et du rempart antique oriente le projet vers une architecture horizontale très contemporaine. La galerie nationale de la tapisserie est inaugurée en 1976. Propriété de l’État, la Galerie est reprise par la Ville de Beauvais en 2013. C’est en 2016 qu’elle devient « Le Quadrilatère ». Aujourd’hui, le projet culturel et artistique s’articule autour d’une identité « Patrimoine et Création ».Le quadrilatère : comme un carré en toiture « LE QUADRILATERE, ce polygone à quatre côtés, fait écho aux premiers plans tracés par André Hermant. » Cf. culture.beauvais.fr Par une vision oblique, on se rapproche aussi des lanterneaux de désenfumage carrés qui couvrent la toiture actuelle. Quasi invisibles au public, ils sont néanmoins des témoins réglementaires et horizontaux en adéquation, dans les faits, avec l’architecture des lieux. Voici pour la parenthèse historique au sujet d’un site chargé de mémoire, qui ne pouvait qu’engendrer une petite synthèse dans un communiqué qui n’en est pas moins professionnel.Année 2020 : feedback de travauxEn 2020, des travaux sont réalisés. Il s’agit, entre autres, de rénover une partie de la toiture de ce bâtiment ayant aujourd’hui plus de 40 ans. Intervenir dans le cadre d’un musée impose certains critères comme :Un désenfumage réglementaire,Une performance acoustique,Une maîtrise de la lumière naturelle (afin de privilégier une lumière artificielle propre à l’éclairage des expositions).Lanterneaux avec remplissage Pearl Inside : l'efficience d'un choixVia le CCTP, le choix de la maîtrise d’œuvre se porte entre autres sur des lanterneaux permettant de concilier lumière artificielle et expositions. Ils sont donc prévus en version opaque. L’entreprise Ramery Enveloppe agence Oise, chargée du projet, rajoute néanmoins une option avec un Pearl Inside intégré dans un PCA de 20 mm. Cette technologie Bluetek de remplissage polycarbonate intégrant des microbilles de verre permet une performance acoustique intéressante de l’ordre Rw = 28 (0 ;-2) Db et valeur Lia = 65 dB (impact du bruit de la pluie – réduction de l’effet peau de tambour).Le choix se porte aussi sur des lanterneaux de la gamme Therm, soit avec amélioration thermique, d’une valeur Urc de 2 à 2,1 W/m².K.Dans leur ensemble, les 23 lanterneaux Bluetek qui couvrent actuellement la tranche 1 du Quadrilatère sont composés comme suit :Bluesteel Therm Pneu 100/100,Remplissage Pearl Inside 20 mm opaque,Version standard (sans spoilers),Ouverture-fermeture par thermo-déclencheur calibré à 93° C,Costière biaise isolée 25 mm compris tôle d’accroche colaminée PVC ht. 350 mm (intérieur laqué blanc pur RAL 9010),Grille 1200 joules fixe (laquée blanc pur RAL 9010). Costière et grille 1200 joules sont laquées blanc, et complétées aussi d’un équipement supplémentaire. Il s’agit d’un barreaudage disposé dans la trémie existante. Les travaux du groupe Ramery Enveloppe – Agence Oise Forte d’environ 40 personnes, l’agence Ramery, située à Beauvais, est une inconditionnelle des travaux dédiés au bâtiment sur le secteur. En effet, le groupe Ramery, créé en 1972, s’articule autour de cinq métiers : les travaux publics, le bâtiment, l’environnement, les énergies & second œuvre et l’immobilier. Le Groupe représente actuellement près de 3 000 collaborateurs. Trois mois de travaux ont été dédiés à la rénovation du Quadrilatère par les équipes du Groupe Ramery. La rénovation de la toiture a tenu en la dépose totale du complexe d’étanchéité, et la repose d’une membrane soudée hybride EVALON® 3T France. La mission s’est déroulée entre mai et août 2020, incluant la pose des lanterneaux de toiture. « Un beau chantier. Tout s’est bien passé, y compris avec la Ville de Beauvais et le Responsable Régional Bluetek, Franck Bourdon, avec qui nous travaillons régulièrement » confirme Guillaume Tournant, Conducteur de Travaux du Groupe Ramery Enveloppe – agence Oise.MOA : Ville de Beauvais / Le Quadrilatère / Amiens (FR-80) / Contacts : Nathalie Peltier – Directrice du Service Patrimoine Bâti, Lucy Hofbauer – Directrice Le Quadrilatère et Anthony Monnier – Pilote TravauxCouverture : Ramery Enveloppe agence Oise / Amiens (FR-80) / Contacts : Guillaume Tournant et Romain Corrège – Conducteurs de Travaux et Mickaël Suys – Technicien ÉtudesFournitures : Bluetek / Luynes (FR-37) / Contacts : Franck Bourdon - Responsable Commercial et Olivier Grongnet – Responsable Prescription
Il y a 3 ans et 106 jours

Le guide pratique développement durable "Isolation thermique extérieure par enduit sur isolant PSE" du CSTB est disponible

Une explication détaillée et illustrée d’une des techniques d’ITE les plus répandues en FranceCe guide illustre la conception et la mise en œuvre des systèmes d’ITE :Quels sont les critères de choix et les supports admissibles ?Comment mettre en œuvre les composants (isolant, sous-enduit, finitions, etc.) Comment traiter les points singuliers ?Comment gérer l’entretien, la rénovation et la réfection des dégradations ?L’isolation thermique par l’extérieur (ITE) est réalisable sur les bâtiments neufs comme sur les bâtiments existants. Elle permet de traiter une grande partie des ponts thermiques linéiques, notamment ceux localisés aux jonctions façade-plancher intermédiaire et façade-refends. Elle contribue également à l’amélioration de l’inertie thermique du bâtiment.Cette nouvelle édition met en avant les évolutions dans le domaine des composants et met l’accent sur les critères de choix.Les modifications les plus importantes par rapport à la 1re édition sont les suivantes :prise en compte des nouveaux textes qui régissent les ETICSévolution du contexte réglementaire, notamment la sécurité incendie (arrêtés d'août 2019) et la RE2020 (qui remplacera à terme la RT 2012).Ce guide a été rédigé et mis à jour par Bertrand RUOT, ingénieur spécialiste de l’ITE.
Il y a 3 ans et 107 jours

Vendée : une nouvelle pelouse synthétique au pôle sportif Maxime-Bossis de Montaigu

L’avant-projet pour l’implantation d’un terrain synthétique au pôle sportif Maxime-Bossis a été validé par le conseil municipal de Montaigu.
Il y a 3 ans et 107 jours

La coopérative d’artisans, une alternative pour coordonner votre chantier

Ça y est, c’est décidé, vous lancez votre éco-construction. Le rêve sur internet, les livres aux photos inspirantes, ça va un temps. Action ! A vous la réalité, celle de la recherche du terrain ou de la ruine à retaper, des croquis et des discussions jusque tard dans la nuit, celle où l’on passe ses […]
Il y a 3 ans et 107 jours

Transformer le bâti pour "ne pas faire de ghettos de vieux"

Francis Rambert est le commissaire de ce focus sur des projets pensés pour maintenir les anciens au cœur de la ville ou du village.Question : En 2060, plus de 17% de la population en France aura plus de 75 ans, contre 9,5% actuellement selon l'Ined. Comment répondre au défi du vieillissement de la population et de la gérontocroissance ?Réponse : Chez les plus de 80 ans, 83% sont autonomes, et dans les 17% restants, seuls la moitié sont dans des Ehpad. Avec cette exposition, nous défendons la thèse qu'il est possible de rester chez soi le plus tard possible dans un bon logement, quelle que soit sa taille.La question du bien vieillir ensemble pose celle de l'insertion des anciens dans la ville. Comment ne pas faire de ghettos de vieux ? Il s'agit de réfléchir autrement la question du logement.Les architectes savent justement élaborer des projets de vie avec un espace qui soit le plus vivable possible et soit autre chose qu'un couloir qui distribue des chambres.A Barcelone, à 300 mètres de la cathédrale gothique, il existe une résidence pour personnes âgées conçue dans le cadre de la transformation d'un marché, un projet qui illustre la détermination d'une ville à dire : nos personnes âgées méritent encore plus d'attention".Q- L'urbanisme des grands ensembles en France permet-il cette adaptation au 4e âge ?R- Dans les Trente Glorieuses, il fallait rééquiper la France, il y avait une demande de logements énorme et donc on a construit très vite. L'entretien de ces grands ensemble peut poser question, de même l'espace public parfois un peu oublié ou mal traité. Mais certains ensembles marchent très bien, comme le prouve la réhabilitation du quartier du Grand Parc à Bordeaux. Une structure a été bâtie en plus devant le bâtiment existant, ce qui a agrandi les logements. Il y reste des personnes âgées déjà présentes au moment de la construction dans les années 60. Il n'est pas besoin de mettre ces personnes dehors au motif que leurs logements sont soit-disant devenus obsolètes. Le fait de ne pas démolir fait que vous pouvez hériter d'une situation que vous améliorez. On peut reconquérir dans un paysage bâti un espace pour créer des conditions sociales du vivre ensemble. Le patrimoine existant est transformable, ce qui a également été le cas par exemple de la Grande poste à Strasbourg (réhabilitée notamment en bureaux et résidence pour seniors).Q- Le logement collectif est-il la solution ?R- Certains ne veulent pas vivre seuls ou n'ont plus envie de vivre dans des grands appartements. L'architecture doit s'adapter à cela. A Maisons-Alfort, la ville a décidé d'implanter un équipement pour les anciens au cœur de la ville, au milieu d'un parc lui-même entouré d'un urbanisme des années 60, fait de tours et de barres. Dans le bâtiment, les parties communes sont dilatées pour que les couloirs deviennent des lieux où vous avez envie de vous asseoir et discuter avec les voisins.Il est possible aussi d'adapter des sites parfois très urbanisés. Ainsi dans le XVe arrondissement, à Paris, dans une ancienne friche industrielle avec des tas de logements autour, trois programmes différents s'articulent : une résidence sociale pour des femmes battues, un équipement pour la petite enfance et un Ehpad. Chacun vit dans des temporalités différentes mais ils peuvent se rencontrer. Cela fait aussi vivre le quartier. La mixité est de mélanger les générations à toutes les échelles, comme à Nancy où, dans un petit bourg, un bâtiment existant et délaissé a été transformé en trois appartements pour des personnes âgées et deux pour des familles plus jeunes. La mixité générationnelle et le dialogue sont donc tout à fait possibles.
Il y a 3 ans et 107 jours

Les ouvriers du secteur du Bâtiment du Grand Paris voient leurs salaires revalorisés

TRAVAIL. Les partenaires sociaux du Bâtiment de Paris et sa petite couronne ont signé des accords pour revaloriser les salaires minimaux cette année. La Fédération française du bâtiment (FFB) espère ainsi attirer des jeunes vers les métiers du secteur.
Il y a 3 ans et 107 jours

Guerre en Ukraine : comment réagissent les industriels de la construction ?

INTERNATIONAL. Alors que le conflit en Ukraine s'intensifie et que les mesures économiques contre la Russie se font de plus en plus drastiques, comment les industriels de la construction présents sur le territoire russe se positionnent ? Eléments de réponse.
Il y a 3 ans et 107 jours

Changement climatique : bâtiments et infrastructures seraient en première ligne

ADAPTATION. Les bâtiments et infrastructures, et plus largement le milieu urbain, seraient frappés de plein fouet par les vagues de chaleur amenées à se multiplier avec le réchauffement planétaire, selon le dernier rapport du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat. C'est notamment sur l'isolation et la régulation de la température des bâtiments que devront se concentrer les efforts en la matière.
Il y a 3 ans et 107 jours

Une maison passage du Monténégro dans l’objectif d’Olivier Wogensky

Dans le cadre d’un projet rédactionnel*, le photographe Olivier Wogenscky a accepté au pied levé d’aller photographier une maison construite par l’architecte Georges Maurios il y a plus de vingt ans, quand Internet n’existait pas encore. Séquence émotion passage du Monténégro, dans le XXe arrondissement de Paris. Chronique-photos. J’étais prévenu, avec son aspect métallique, avec […] L’article Une maison passage du Monténégro dans l’objectif d’Olivier Wogensky est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 107 jours

Eco-matériaux : comment passer de l'exceptionnel à la norme ?

DÉBATS. Pour faire face à la "révolution" qui attend le secteur du Bâtiment en termes de matériaux et de techniques constructives, il faut développer et structurer les filières, estime l'Ordre des architectes, interrogé lors d'une table-ronde, en février. La Ville de Paris, elle, exige systématiquement l'utilisation de matériaux biosourcés pour ses rénovations de logements sociaux. Enfin, l'USH rappelle que la crise écologique ne doit pas faire oublier les crises sociales.
Il y a 3 ans et 107 jours

Wargon lance deux nouveaux programmes CEE de soutien à la formation et à l'innovation dans le secteur du bâtiment

Pour faire face à l’urgence climatique, le Gouvernement s’est fixé des objectifs ambitieux pour faire baisser la consommation d’énergie de la France, notamment dans le secteur du bâtiment qui représente aujourd’hui 43 % de la consommation énergétique annuelle française et 23 % des émissions de gaz à effet de serre. Une des conditions d’atteinte de ces objectifs est la mobilisation de l’ensemble des professionnels de la rénovation énergétique, la formation et l’innovation.Le programme « OSCAR » porté par l’Association Technique Energie Environnement (ATEE) et dont la Ministre a signé ce jour la convention de mise en œuvre, répond à la demande de formation des artisans et des entreprises du bâtiment sur les aides à la rénovation énergétique. Le programme formera environ 6 000 référents sur les aides à la rénovation, interlocuteurs directs des artisans et entreprises. Il créera plusieurs outils afin de faciliter l’intégration des aides dans l’ensemble de la gestion de leurs chantiers (du devis à la clôture du chantier). Ce programme bénéficie d’un financement de 16 M€.La Ministre a également signé la convention du programme PROFEEL 2, porté par l’Agence Qualité Construction (AQC) et le Centre Scientifique et Technique du Bâtiment (CSTB) qui bénéficie d’un financement de 35 M€. Le programme s’appuie sur des outils déjà produits dans PROFEEL, bénéficiant d’un financement de 24,5 M€, de 2019 à 2021, et apporte des réponses innovantes adaptées aux besoins des professionnels de terrain par l’intermédiaire de 8 projets permettant de répondre à deux enjeux majeurs :Favoriser des décisions de rénovation performante et ainsi augmenter le volume de travaux de rénovation,Sécuriser l’atteinte des performances recherchées et améliorer la qualité des travaux de rénovation engagés.
Il y a 3 ans et 107 jours

Excel creuse vos dettes, découvrez 6 points clés pour choisir la bonne solution de gestion commerciale

Pourquoi ces PME du BTP choisissent encore Excel ?La facilité d’accès : Excel est une solution connue de tous. Pas besoin de recherche ni de formation chronophage pour commencer à gérer son entreprise dans un tableur. La flexibilité : Excel est vu comme un outil puissant et modulable. “J’ai créé mon propre logiciel, avec des macros. Ces modèles fonctionnent et cela me permet de voir les indicateurs nécessaires au suivi financier de mon activité”. Le prix : Excel est souvent perçu comme un logiciel gratuit, acheté avec le Pack Microsoft Office. Et pourtant… Le coût caché d’Excel : 3 dettes creusées chez les PME du BTP Utiliser Excel pour gérer l’activité de sa PME a des limites. L’impact de son usage au sein d’une entreprise en pleine croissance viendra creuser 3 dettes majeures, rendant périlleuse la continuité d’activité. La dette administrative Opposer l’opérationnel et la gestion est une erreur courante pour une PME. La priorité légitime est de trouver des affaires, des chantiers à réaliser pour se développer. Le premier réflexe est donc de structurer l’équipe “terrain” pour accompagner le développement du carnet de commandes tout en repoussant la remise à plat de l’organisation administrative. L’impact est un temps de saisie et de ressaisie dans les différents tableurs Excel qui gonflent et qui alimentent la charge mentale des équipes. Elles ont le sentiment d’être “sous l’eau”. Il est donc clé d’introduire une solution adaptée et robuste rapidement, et dont la prise en main est peu coûteuse, telle que Graneet. La dette financière Il est intéressant de commencer cette partie par un constat : en 3 ans d’activité chez Graneet, nous n’avons pas encore vu une entreprise avec au moins un chantier facturé à l’avancement dans Excel, ne comprenant pas une erreur. L’impact de ces erreurs, pour vous PME du BTP, va de l’allongement de la période d’encaissement à une perte sèche de cash. Dans les 2 cas, cela crée des tensions sur la trésorerie qui peuvent devenir fatales. La dette stratégique Piloter l’activité de son entreprise dans Excel est généralement synonyme de macros et de tableurs complexes à alimenter et à maintenir à jour. Ce manque de visibilité “en temps réel” de l’activité courante de l’entreprise ne facilite pas la projection à long terme. Savoir cibler la bonne typologie de clients ainsi que les chantiers les plus rentables est le résultat de la fine analyse de projets en cours et de ceux déjà clôturés. En d’autres termes, naviguer à vue avec Excel aujourd’hui aura un impact négatif sur la rentabilité de l’entreprise demain.Comment briser ce cercle vicieux ? Chaque dette qui se creuse alimente la suivante. Un processus administratif défaillant donne une mauvaise image. Elle est la preuve d’un manque de professionnalisme et entraîne une faible reconnaissance de l’expertise de l’entreprise. Dans un contexte concurrentiel fort, ce manque d’expertise perçu ne pourra être compensé que par un prix plus bas et donc une marge plus faible, brouillant ainsi la vision long terme de l’entreprise.Déployer un logiciel de gestion commerciale pour soutenir l’activité d’une entreprise en pleine croissance apparaît donc comme un des piliers indispensables à sa réussite. Se pose alors la question de choisir la solution la plus adaptée à son besoin. 6 points clés pour bien choisir son logiciel de gestion L’ergonomie La convivialité et la simplicité d’utilisation d’une solution de gestion est un point déterminant. Une prise en main rapide est synonyme de coût de formation réduit et de gain de temps au quotidien, ainsi que l’assurance d’une bonne adhésion des équipes au nouveau logiciel. Les fonctionnalités L’adage “qui peut le plus, peut le moins” s’adapte mal à l’univers du logiciel. Privilégiez un logiciel comprenant les fonctionnalités dont vous avez vraiment besoin plutôt qu’un millefeuille complexe de fonctionnalités que vous n’utiliserez pas, qui encombrera votre quotidien et freinera la prise en main par vos équipes. L’itinérance Un logiciel de type cloud* est un atout. Il permet d’utiliser l’application depuis n’importe quel ordinateur ou tablette, peu importe l’endroit où l’on se trouve. Il déplace également les coûts annexes: serveur et maintenance vers l’éditeur de la solution. Vous payez pour votre logiciel et rien de plus ! *un logiciel cloud est une solution accessible via un navigateur web et ne nécessitant qu’une simple connexion internet. Le service support Pouvoir bénéficier d’un service client dédié doit être un élément rassurant. Soyez vigilant sur les horaires de permanence du service ainsi que le délai moyen de réponse. Si vous avez un doute, n’hésitez pas à demander les coordonnées de clients utilisant déjà la solution. Leurs retours sont toujours enrichissants. Le prix Privilégiez l’abonnement mensuel à la formule achat de licence. Ainsi après une période de test, vous pourrez vous désengager à moindre frais si le logiciel ne correspond pas à vos attentes. Le collaboratif L’enjeu d’un logiciel est de faciliter les échanges d’information entre l’opérationnel et la gestion. Faire collaborer les différents profils de collaborateurs au sein d’une même plateforme est un gage de succès. Choisissez donc les solutions de gestion illimitées en nombre d’utilisateurs.Nous avons créé Graneet dans le but de démocratiser l’utilisation des logiciels de gestion par les PME du BTP, les aider à mieux appréhender le suivi financier de leur activité et à booster leurs marges en leur fournissant une visibilité sur leurs affaires, en temps réel. Graneet, c’est plus d’une centaine de PME de tous les corps d’état qui travaillent 3x plus vite sur toutes les tâches liées au suivi financier et administratif de leurs chantiers comme en témoignent nos clients.Pour Rémi Chassagne, Dirigeant de H2O BTP : Pour le démarrage, ça allait de travailler sur Excel, tant que c'était seulement pour comptabiliser les factures. Mais aujourd'hui, pour monter en puissance on avait besoin d'un logiciel support autre qu'Excel.
Il y a 3 ans et 107 jours

Thessalonique juive, carrefour culturel : échos de l’absence

Du 15 mars jusqu’à fin août 1943, plus de 50 000 juifs de Thessalonique furent déportés des ghettos vers Auschwitz-Birkenau. La gare d’alors est toujours à la périphérie de la ville mais n’est plus utilisée par le public. Comment enregistrer la mémoire d’une communauté animée disparue ? Chronique-photos d’Erieta Attali. La Thessalonique juive au travers de […] L’article Thessalonique juive, carrefour culturel : échos de l’absence est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 108 jours

Oise : une salle polyvalente verra le jour au Crocq

La ville du Crocq s’équipera d’une toute première salle polyvalente flambant neuve en 2023.
Il y a 3 ans et 108 jours

Loire-Atlantique : requalification de la promenade de mer à La Baule-Escoublac

La ville de La Baule-Escoublac envisage de réhabiliter la promenade de mer qui longe la plage.
Il y a 3 ans et 108 jours

Ille-et-Vilaine : poursuite des travaux de mise en séparatif du réseau d’assainissement dans la rue de la Gare

À Dinard, les travaux de mise en séparatif du réseau d’assainissement vont durer deux mois. Ils concernent le tronçon compris entre le boulevard Lhôtelier et la rue Ampère.
Il y a 3 ans et 108 jours

Hérault : de nouveaux aménagements à Cessenon-sur-Orb

À Cessenon-sur-Orb, un nouvel espace de convivialité a été aménagé au hameau de Lugné, et un « Bassin de la Place » a été réalisé dans le centre ancien de la commune.
Il y a 3 ans et 108 jours

Comment trouver des chantiers ?

Quel que soit le domaine d’activité qui est le vôtre, la recherche de clients est un indispensable pour évoluer. Ainsi, que vous soyez un professionnel ou une entreprise de bâtiment, il est évident que vous désirez trouver des chantiers. Certaines astuces simples à appliquer peuvent vous aider à atteindre ce but. Voici comment décrocher des contrats de chantier. S’inscrire sur une plateforme de mise en relation Il existe des plateformes telles que mestravaux.com qui vous mettent relation avec des clients. Il s’agit de courtiers qui vous évitent de devoir postuler pour obtenir des contrats. Il vous suffit de vous inscrire sur le bon site pour être sûr de décrocher les bons chantiers. Si les choses sont grandement simplifiées avec ce type de plateforme, vous devez tout de même garantir un haut niveau de qualité quant à vos prestations. Il ne faut pas oublier que c’est votre réputation, mais également celle de votre courtier qui sont mises en jeu. De plus, si ces plateformes vous permettent d’entrer en contact avec de potentiels clients, elles perçoivent une commission sur les travaux. Exploiter le bouche-à-oreille Afin de dénicher de bons contrats dans le bâtiment, vous pouvez utiliser le bouche-à-oreille. Ce moyen de communication a toujours été d’une grande efficacité. Vous pouvez l’exploiter à votre avantage. Chaque fois que vous aurez à travailler sur un chantier, veiller à le faire avec application. Votre œuvre doit témoigner de la qualité des services que vous fournissez. Tous les détails doivent être pensés pour renvoyer la meilleure image de vous. Pensez à vous assurer de la satisfaction des clients. Si ces derniers le sont, ils n’hésiteront pas à faire votre éloge auprès de leurs proches. Vous pouvez également demander à vos proches et amis de parler de vous autour d’eux. Cela vous apportera à coup sûr de nouveaux clients. Faire de la prospection sur le terrain Pour trouver des chantiers, vous ne devez pas hésiter à vous rendre sur le terrain pour mettre en avant vos compétences. Vous pouvez dans ce cas faire du porte-à-porte ou opter pour la publicité locale. La première solution peut se révéler rapidement fatigante et vous devrez vous attendre à ne pas toujours être accueilli de la meilleure des façons. Il faut cependant que vous fassiez preuve de détermination. Afin de ne pas avoir de mal sur le terrain, pensez à faire imprimer des flyers qui mettent en avant vos services. N’hésitez pas non plus à laisser votre carte de visite à un maximum de monde. Ne pas négliger les réseaux sociaux Il est impossible de nier que les réseaux sociaux sont aujourd’hui l’un des moyens de communication les plus utilisés. Les personnes qui s’y intéressent sont de plus en plus nombreuses et sont de différents âges. Il serait dommage pour vous de ne pas vous en servir pour trouver des clients. Pour ce faire, vous pouvez créer un compte sur plusieurs réseaux sociaux à la fois. Être présent à plusieurs endroits à la fois vous permettra de maximiser vos chances de trouver des clients. Ne vous contentez cependant pas de vous y inscrire. Veillez à animer vos comptes et surtout à toujours mettre en avant les services que vous proposez.
Il y a 3 ans et 108 jours

En Italie, dans les Dolomites, MoDus près du ciel avec Icaro Hotel

Dans un paysage patrimonial alpin, MoDusArchitects (Sandy Attia, Matteo Scagnol) a livré en août 2021 à Bolzano, Italie, dans les montagnes des Dolomites, la réhabilitation et extension d’Icaro Hotel, ancien pavillon de montagne devenu un ouvrage de 5 040 m² (dont 2 000 m² d’extensions). Communiqué. Situé sur le plateau de l’Alpe di Siusi (Seiser Alm) à […] L’article En Italie, dans les Dolomites, MoDus près du ciel avec Icaro Hotel est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 108 jours

Art contemporain et architecture au cœur des futures gares du Grand Paris Express

Une trentaine d'architectes et 41 artistes contemporains doivent œuvrer à la réalisation des 68 futures gares de métro automatique qui seront mises en service entre 2024 et 2030, le chantier ayant pris du retard, dit à l'AFP la Société du Grand Paris (SGP) chargée de la gestion du projet dans son ensemble.Les onze projets présentés jeudi au ministère de la Culture sont encore à l'état d'images de synthèse ou de prototypes afin de tester les matériaux.Associée à l'architecte Jean-Paul Viguier pour la gare du Kremlin-Bicêtre, l'artiste française Eva Jospin a conçu "une oeuvre intérieure dans l'esprit de (ses) forêts en carton, sous vitrine, et une autre à l'extérieur: un grand mur minéral mangé par une végétation, en béton et en bronze", indique-t-elle à l'AFP."Ce qui est très intéressant dans cette collaboration, c'est de comprendre comment adapter une oeuvre artistique à des temps de chantier, des usages. Il faut beaucoup anticiper sur la pérennité pour arriver à une harmonie de couleurs, une fusion entre l'architecture et l'oeuvre d'art", ajoute-t-elle.Dans chacune des futures gares, "un artiste est invité à créer une œuvre en tandem avec l'architecte. Progressivement d'ici à 2030, 2 à 3 millions de voyageurs visiteront chaque jour cette collection unique d'art public et d'architecture à l'échelle du Grand Paris", explique à l'AFP Olivier Klein, à la tête du conseil de surveillance de la SGP et maire de Clichy-sous-Bois.A la gare de Clichy-Montfermeil, les visiteurs pourront ainsi admirer, dit-il, "une reproduction en céramique de la fresque réalisée par l'artiste français JR pour les habitants après les émeutes de 2005". Il sera associé à l'architecte Benedetta Tagliabue.La Société Grand Paris consacre "un millième de son budget aux commandes artistiques, soit 35 millions d'euros sur un budget global de 35 milliards d'euros, auxquels s'ajouteront des fonds privés de mécènes", précise à l'AFP M. Klein."Ce projet va contribuer grandement à la démocratisation de la culture et au rayonnement de nos artistes auprès des visiteurs du monde entier", a déclaré la ministre de la Culture Roselyne Bachelot, citée dans un communiqué.Le directeur artistique de l'ensemble du projet est José Manuel Gonçalves, directeur de l'établissement public culturel parisien Cent-Quatre.Lancé à la fin des années 2000 sous la présidence de Nicolas Sarkozy, le Grand Paris Express reliera sur plus de 200 km des dizaines de communes de banlieue, les centres de recherche du plateau de Saclay ou encore les deux aéroports parisiens de Roissy au nord et d'Orly au sud.Parmi les autres futures gares intégrant le projet, l'aéroport du Bourget sera confié à Mona Hatoum et Jacques Pajot tandis que l'architecte François Tamisier et l'artiste Vhils oeuvreront à l'aéroport d'Orly.
Il y a 3 ans et 108 jours

Stratégie française pour l'énergie et le climat : France Gaz Liquides publie son cahier d’acteur

Convaincue que les gaz et biogaz liquides ont dès aujourd’hui un rôle à jouer dans ce processus de décarbonation, France Gaz Liquides a activement participé aux groupes de travail initiés par le ministère pour élaborer cette nouvelle SFEC, et vient tout juste de publier son cahier d’acteur. Le chauffage au gaz propane, une solution pertinente en rénovation et possible dans le neuf« Le choix des consommateurs engagés dans la transition énergétique s’inscrit d’autant plus dans une contrainte économique qu’ils résident au sein des territoires non ou mal desservis par les réseaux de gaz naturel ou d’électricité », mentionne le cahier d’acteur, rappelant combien précarité énergétique et décarbonation sont des sujets d’attention pour la filière.Disponibles dès à présent sur 100% des territoires, le propane et le biopropane apparaissent comme une solution accessible, pertinente et économique dans le cadre de rénovations, affichant une réduction immédiate de 50% d’émissions de GES pour le propane et de 80% pour le biopropane dans le cadre d’une substitution d’un chauffage au fioul par une chaudière gaz à Très Haute Performance Energétique (THPE). En cela, les gaz et biogaz liquides sont forts d’un potentiel de décarbonation immédiat dans la rénovation.Dans le cadre de constructions neuves, France Gaz Liquides rappelle également que « les gaz liquides renouvelables présentent les mêmes atouts de performance et de disponibilité que leurs équivalents d’origine fossile (même molécule dans les deux cas) », puisqu’ils permettent d’atteindre les critères de performance environnementale fixés par la RE2020 avec ou sans mécanisme de compensation carbone. En complément de l’électricité, et à partir de systèmes hybrides, ils sont un allié de choix à prendre en compte. Lié à la création de bioraffineries aujourd’hui matures telles que celle de La Mède ou celle de Grands-Puits, la disponibilité du propane d’origine renouvelable, le biopropane – déjà d’1TWh en 2021 – nécessite à moyen terme l’appui de technologies de production innovantes pour diversifier les sources d’approvisionnement et réduire les coûts. En cela, « la filière se tient à disposition des pouvoirs publics pour étudier les solutions techniques et réglementaires nécessaires à mettre en œuvre pour permettre aux biogaz liquides de disposer d’un cadre permettant leur développement pour participer à la décarbonation de l’économie française. »Une énergie compétitive pour réduire l’impact climatique de nombreux professionnels dont c’est l’unique solution« Les industriels et les professionnels doivent partout en France, sans être dépendants de la présence d’un réseau de gaz, être en mesure de réduire leur consommation d’énergie et leur impact climatique. Pour tous leurs usages, chauffage comme process, il s’agit de leur permettre cette transition sans compromettre leur compétitivité ».Disponibles en tout point du territoire, aisément transportables et stockables et faciles d’utilisation, les gaz et biogaz liquides sont une réponse adaptée à la diversité des besoins énergétiques des professionnels en quête d’une solution énergétique faiblement carbonée, polyvalente, performante et autonome. Que ce soit pour les activités industrielles, agricoles, artisanales ou de tourisme, ils ont le potentiel de répondre dès à présent aux exigences liées à la rénovation des bâtiments, et d’assurer l’alimentation en énergie de milliers de professionnels dont ils sont la seule alternative énergétique efficiente pour allier production et qualité de l’air.Les équipements fonctionnant aux gaz liquides permettant d’intégrer sans aucune modification ni surcoût leur version renouvelable, les gaz et biogaz liquides sont définitivement un acteur clé à prendre en compte dans la décarbonation des milieux professionnels, tous secteurs confondus.L’opportunité d’une mobilité immédiatement abordable en préservant la qualité de l’air même dans les centres urbains, avec un carburant Crit’Air 1 : le GPL et le bioGPL.À l’heure où les prix des carburants flambent et où pouvoir d’achat et mobilité durable cohabitent difficilement, le GPL se présente comme une solution immédiatement disponible pour permettre l’accès à la mobilité verte des particuliers et professionnels, pour le transport des personnes comme des marchandises. Avec un prix à la pompe de 40% inférieur à celui du diesel et de 50% inférieur à celui de l’essence et 20% d’émissions de CO2 de moins que l’essence – et jusqu’à 80% de moins avec sa version renouvelable –, le GPL, classé Crit’Air 1, est l’un des carburants les moins chers et les moins polluants qui soient actuellement. Fort d’un maillage de 1 500 stations déjà en place sur tout le territoire et ne nécessitant aucun investissement supplémentaire pour accueillir le GPL renouvelable dans sa chaîne de distribution comme dans les véhicules, le GPL est clé dans la dynamique de verdissement du parc automobile en complément du développement des infrastructures, notamment électriques, non immédiatement disponibles.Décarbonés, souverains, accessibles, et abordables, avec 11 millions d’utilisateurs sur tout le territoire, et l’ambition de devenir 100% renouvelables à l’horizon 2050, les gaz liquides, déjà en transition vers le renouvelable, font partie intégrante des solutions à intégrer dans le mix énergétique de demain… dès à présent.
Il y a 3 ans et 108 jours

Rénovation énergétique : Hellio alerte sur le reste à charge des familles en situation de précarité

Entre 600.000 et 900.000 : c'est le nombre de logements insalubres estimés en France. Selon ce rapport, en 2020, les rénovations subventionnées par l'Anah via le programme Habiter Mieux sérénité à destination des ménages modestes et très modestes, avec au moins 35 % de gain énergétique, n'ont augmenté que de 7 %, passant de 41.000 rénovations en 2019 à 52.000 en 2020, et stagnent en 2021. Après la mobilisation de toutes les aides possibles, les propriétaires très modestes en maisons individuelles subissent un reste à charge en moyenne de 39 % au lieu de 10 % du montant des travaux. Pour les ménages modestes, c'est 56 %.De plus, ces Français, qui vivent avec moins de 800 euros par mois, ont perdu 0,5 % de pouvoir d'achat, soit 39 euros par an. Cela se manifeste notamment par la difficulté à payer ses factures d'électricité. Engagé dans la lutte contre la précarité énergétique et membre historique du collectif STOP Exclusion Énergétique, Hellio, acteur de référence de la maîtrise de l'énergie, milite et agit pour éradiquer la précarité énergétique d'ici 2030. En ce sens, le groupe apporte son soutien à la démarche exemplaire menée par Réseau Éco Habitat. Lancé en 2019, le programme “1DigneToit!” rassemble Réseau Éco Habitat, structure fondée sur une logique associative et coopérative dans le Nord de la France, le Secours Catholique et Hellio. Son but ? Aider les ménages en situation de précarité énergétique à retrouver un logement décent grâce aux travaux de rénovation énergétique et d'adaptabilité en les accompagnant tout au long du processus. Depuis sa création, ce programme conventionné est venu en aide à une cinquantaine de familles. Grâce à une dotation de 45.000 € allouée par Hellio, 13 d'entre elles ont pu bénéficier d'une aide au financement de leur reste à charge. L'objectif de Réseau Éco Habitat pour 2022 est de réaliser 40 chantiers, avec une progression visée de 10 chantiers supplémentaires par an.Les ménages précaires moins enclins à réaliser des travaux de rénovation énergétique Pour sortir de la précarité énergétique les 3,5 millions de ménages qui connaissent des difficultés à payer leurs factures d'énergie, tous les acteurs de la rénovation énergétique des bâtiments doivent se mobiliser. Même si le soutien financier de l'État s'est incontestablement fait plus massif ces cinq dernières années, notamment avec la montée en puissance du rôle de l'Anah et de la distribution de l'aide MaPrimeRénov', celui-ci n'a cependant pas permis aux ménages les plus modestes de bénéficier de travaux de rénovation énergétique globale. Le “reste à charge“ qui s'élève en moyenne à 10 % du coût des travaux selon l'État, et à 39 % selon la fondation Abbé Pierre dans son rapport sur le mal logement de 2022, rend en effet inaccessible la possibilité de sortir de la précarité énergétique pour des familles qui vivent parfois avec moins de 10 € par jour. L'aide Habiter Mieux Sérénité dédiée à la rénovation globale pour ces ménages est, elle, peu lisible et moins facile d'accès. Transformée en MaPrimeRénov' Sérénité au 1er janvier 2022, ses modalités de distribution sont certainement encore à éclaircir au regard de son évolution en juillet prochain Sans compter que depuis 2021, les ménages précaires doivent faire face à plusieurs baisses successives des aides à la rénovation énergétique. Mais pour Hellio, la lutte contre la précarité énergétique n'est pas simplement qu'une question de financement. La difficulté première consiste à identifier et localiser les personnes en situation d'exclusion énergétique, parfois “invisibles” des services sociaux, car cette forme de précarité ne se voit pas de l'extérieur. De plus, 2/3 des logements insalubres appartiennent à des propriétaires occupants. Une fois identifiées, la prise de contact avec ces personnes a plus de chances d'aboutir avec des tiers de confiance. Pourtant, des solutions financières et opérationnelles existent. En combinant la relance de la construction de logements performants énergétiquement avec des aides sociales immédiates revalorisées pour alléger les factures d'énergie, et des solutions systémiques comme la rénovation globale et performante des logements, il est possible d'éradiquer la précarité énergétique d'ici 2030. Preuve, en est l'action menée par Réseau Éco Habitat.Une dotation de Hellio de 45.000 euros pour aider au financement du reste à charge de 13 familles Toutes deux membres du collectif STOP Exclusion Énergétique, Réseau Éco Habitat et Hellio ont décidé d'unir leurs forces. Via Hellio Care dédié au soutien d'actions RSE, l'acteur de référence de la maîtrise de l'énergie, a souhaité ajouter une pierre à l'édifice en donnant un coup de pouce à plusieurs familles accompagnées par Réseau Éco Habitat pour le financement de leur reste à charge. Un sujet qui tient beaucoup à coeur à l'entreprise, consciente que la massification de la rénovation énergétique ne pourra se faire qu'avec des solutions de financement innovantes et pérennes. Hellio a ainsi mis à disposition de Réseau Éco Habitat une enveloppe de 45.000 €.Pour Claire Gagnaire, secrétaire générale de Hellio : « Chez Hellio, la responsabilité environnementale est au coeur de notre ADN : nous sommes engagés dans les économies d'énergie en France depuis 2008. Notre mission est d'intensifier nos actions de terrain avec les entreprises de travaux, les artisans pour créer de l'emploi, des filières de formations adaptées aux nouveaux métiers, et d'accompagner le plus grand nombre de sociétés privées et publiques, des collectivités et bien entendu les particuliers. Nous voulons mettre notre expérience à disposition du collectif STOP Exclusion Énergétique et de ses engagements. C'est pourquoi nous sommes profondément engagés dans l'action menée conjointement avec Réseau Éco Habitat dans le financement du reste à charge des ménages en situation de précarité pour leurs travaux de rénovation énergétique. »La démarche exemplaire de Réseau Éco HabitatLes bénévoles du Secours Catholique sont la clé d'entrée de l'accompagnement de Réseau Éco Habitat car ils sont souvent sollicités par des personnes qui rencontrent des difficultés pour payer leurs factures d'énergie. Celles-ci habitent la plupart du temps dans des passoires thermiques. Face à l'envolée des prix de l'énergie, certaines se chauffent à peine et vivent dans des logements où le thermomètre affiche seulement 14°.Les bénévoles ont ainsi pris conscience que le chèque énergie n'était pas suffisant et que les travaux de rénovation énergétique seraient bien plus efficaces. Pour Franck Billeau, fondateur et directeur de Réseau Éco Habitat : « Les bénévoles sont la passerelle avec les familles. Ils jouent un rôle de repérage et sont présents du début à la fin, lors du passage des artisans jusqu'à la livraison du chantier. Ils rassurent les familles qui ont peur d'être arnaquées. Sans eux, on n'existe pas ! » La première étape consiste à étudier en détail le profil des ménages – leur composition, leurs revenus – afin d'aller chercher le maximum de subventions possibles pour limiter le reste à charge. C'est ensuite au tour du logement d'être passé à la loupe. Un audit est alors réalisé par un bureau d'études pour évaluer les travaux de rénovation énergétique à réaliser, mais aussi d'accessibilité. Place aux travaux qui consistent généralement à isoler, changer le système de chauffage et les menuiseries, pour passer par exemple d'une étiquette G à D. Les travaux durent en général entre 6 et 8 semaines, avec, si possible, une organisation en milieu occupé car le relogement des personnes n'est pas toujours possible. Réseau Éco Habitat s'entoure au maximum d'entreprises générales afin de limiter le nombre d'interlocuteurs pour les familles et ainsi simplifier la démarche. L'association compte sur l'appui de plusieurs entreprises fidèles : « Nos valeurs se fondent sur notre capacité à créer des liens de coopération et d'entraide entre tous les acteurs membres du réseau. Il y a une volonté commune de réduire les marges pour trouver le juste prix dans tout l'écosystème », précise Franck Billeau. Réseau Éco Habitat se charge de toutes les démarches pour demander l'ensemble des aides qu'il est possible de mobiliser : Anah, aides régionales, départementales, etc. L'association a même constitué une caisse pour pouvoir avancer les aides. « Avec l'ensemble des aides, on arrive à atteindre 90 % de prise en charge. On demande toujours une petite participation aux familles pour les impliquer dans le projet », précise Franck Billeau. TémoignagesArtiste peintre, Erlina élève seule ses 3 enfants. Après sa séparation, n'ayant pas accès à un logement HLM du fait de son statut de propriétaire, elle achète une petite maison, avec pour seul moyen de chauffage une cheminée. Mais au moment du ramonage, c'est la douche froide : la cheminée n'ayant jamais été entretenue, elle ne peut être utilisée en l'état. Pendant 2 ans, la famille vit dans le froid, elle ne se chauffe qu'à l'aide d'un convecteur électrique prêté par des amis, et voit ses factures d'électricité s'envoler pour atteindre 600 € pour 2 mois en période hivernale. L'assistante sociale qui l'accompagne la met alors en relation avec Réseau Eco Habitat en 2019. Les démarches ont été longues pour démarrer les travaux, le temps de constituer le dossier, réaliser les devis, les refaire en abandonnant certains travaux car le reste à charge était trop important. Les travaux sont réalisée entre mars et juin 2021 : isolation haute, isolation des murs périphériques intérieurs, pose de radiateurs électriques et d'un poêle à bois, renforcement du plancher de la cuisine, suppression de la tuyauterie en plomb (arrivée d'eau), remplacement des fenêtres de toit, pose de menuiseries en PVC, électricité et VMC. Le montant total des travaux s'élève à 41 636 €, pour un reste à charge de plus de 7 687 € financé par la dotation Hellio et un prêt de la CAF.« Avant, il faisait 14° dans notre maison car on ne chauffait pas beaucoup. En hiver, mes enfants dormaient dans les combles avec des manteaux tellement il faisait froid, et en été, il y faisait une chaleur étouffante. Maintenant, la maison est très bien isolée, on utilise principalement le poêle à bois pour se chauffer, on allume les radiateurs seulement lorsqu'il fait très froid. Mes enfants vivent désormais dans des conditions correctes et je travaille aussi dans un meilleur environnement. Je peux également de nouveau recevoir chez moi », raconte Erlina. « C'est un très beau projet pour Erlina ! Les travaux lui ont permis de valoriser son patrimoine et de lui redonner une dignité. Elle a été très impliquée dans la démarche, très conciliante, et elle entretient bien cette maison. Ça fait plaisir de voir que les travaux sont appréciés et qu'ils permettent un redémarrage dans la vie »”, se réjouit Catherine, bénévole au Secours Catholique.Alexandre est agriculteur dans les céréales. Avant de bénéficier de l'accompagnement de Réseau Éco Habitat, il occupait un logement sans isolation et payait 1 600 € d'électricité par an, une fortune ! Membre du CCAS (centre communal d'action sociale) de Compiègne, mandaté par le Secours Catholique et président de Réseau Éco Habitat, Pierre Chevillotte a accompagné Alexandre dans les démarches. Les demandes de subventions ont été un véritable parcours du combattant, entre l'identification des aides de l'Anah, de la région, du département et de la communauté de communes !Après un an pour boucler le dossier, les travaux d'un montant de 52 000 € peuvent enfin être réalisés en février 2021 : isolation des murs intérieurs et des combles, changement de menuiseries et du système de chauffage, adaptation de la salle d'eau.« Aujourd'hui, mon logement est confortable, je chauffe à 19° sans problème grâce à une meilleure isolation et une nouvelle chaudière gaz », constate Alexandre.« Avant ma retraite, je n'avais aucune notion de ce qu'était la précarité énergétique. Je me suis rendu compte que les personnes en situation de précarité énergétique étaient “indivisibles”. Quand on passait devant la maison d'Alexandre, on ne pouvait pas deviner les conditions dans lesquelles il vivait. Ces personnes ne se plaignent jamais, leur repérage est lié à un concours de circonstances. Mon devoir est que les communes arrivent à identifier ces personnes en situation de précarité », confie Pierre Chevillotte.
Il y a 3 ans et 108 jours

La mission d’accompagnement des entreprises en sortie de crise restera opérationnelle jusqu’au 30 juin 2022

Ce plan est destiné à proposer à chaque entreprise qui en aurait besoin une solution adaptée à sa situation autour de trois axes : détection anticipée des difficultés, orientation des entreprises en situation de fragilité et proposition d’une solution adaptée. Sous l’impulsion de Gérard Pfauwadel, ce plan a été pleinement déployé au niveau territorial au cours de l’automne dernier. Les comités départementaux se sont réunis et les conseillers départementaux à la sortie de crise, référents territoriaux du dispositif incarnés par le secrétaire permanent des CODEFI, ont été désignés dans chaque département. Un numéro unique a été mis en place afin de pouvoir répondre aux demandes des entreprises. Les premières informations issues du dispositif « signaux faibles » ont pu être diffusées aux conseillers départementaux. La pleine réussite de ce déploiement repose sur la mobilisation de l’ensemble des partenaires publics (URSSAF, Banque de France, Médiateur du crédit et Médiateur des entreprises, CCI France, BPI France et CMA France) et privés (fédérations professionnelles des entreprises, professionnels du droit et du chiffre et associations professionnelles de soutien aux entreprises en difficulté). Les conférences des chefs des juridictions judiciaires sont aussi associées au plan.Pleinement opérationnels, les conseillers départementaux et territoriaux à la sortie de crise sont devenus les interlocuteurs des entreprises en difficulté pour les orienter et les accompagner en fonction de leurs besoins. Les conseillers peuvent aussi orienter les entreprises qui en éprouveraient le besoin vers de nouveaux dispositifs, notamment le traitement de sortie de crise (redressement judiciaire simplifié), ainsi que le recours au Médiateur du crédit pour réaménager les PGE des petites entreprises en difficulté.Les derniers chiffres de l’emploi (67,5%) et du taux de croissance (7% en 2021) confirment aujourd’hui la reprise exceptionnelle de l’économie française dès 2021. Le Gouvernement est néanmoins conscient que cette reprise, et son rythme, peuvent poser de nouveaux défis aux entreprises. Dans certains secteurs encore impactés par des restrictions sanitaires, cette reprise peut être plus tardive. Dans d’autres secteurs, qui profitent pleinement d’une croissance exceptionnelle, le niveau soutenu de la demande, conjugué dans certains cas à des tensions d’approvisionnement, requièrent des besoins en fonds de roulement très importants. Enfin, la sortie du « quoi qu’il coûte » et le retour à des conditions normales de financement des entreprises nécessitent un accompagnement spécifique des entreprises plus vulnérables.C’est pourquoi, les ministres Bruno Le Maire et Eric Dupond-Moretti ont décidé de maintenir opérationnel, sous l’égide de Gérard Pfauwadel, le plan de sortie de crise jusqu’à fin juin 2022. Les conditions de fonctionnement de cette mission ont prouvé leur efficacité et seront donc maintenues.Pour Bruno Le Maire, Ministre de l’Economie, des Finances et de la Relance : « Alors que notre pays connait une reprise très forte, nous devons veiller à poursuivre notre accompagnement des entreprises qui connaitraient encore des difficultés. Nous avons donc souhaité maintenir jusque fin juin prochain le plan d’accompagnement des entreprises à la sortie de crise qui a fait ses preuves. Notre objectif est simple : aucun chef d’entreprise ne doit se retrouver seul face à ses difficultés »Pour Eric Dupond-Moretti, Garde des Sceaux, Ministre de la justice : « Il est impératif de maintenir la mobilisation autour de la détection et de l’accompagnement des entreprises en difficulté, qui doivent intervenir au stade le plus précoce possible. Cette mobilisation porte ses fruits : le recours aux procédures de prévention devant les tribunaux a quasiment doublé entre 2021 et 2020, alors que dans le même temps les procédures collectives ont chuté. »
Il y a 3 ans et 109 jours

Foncière Atland et PGGM annoncent le lancement des travaux de restructuration du 51 avenue Hoche à Paris

Cet ancien hôtel particulier situé en plein cœur du Quartier Central des Affaires de Paris fait l’objet d’un important programme de restructuration lui permettant de viser des labels environnementaux très exigeants. La livraison est prévue au 1er trimestre 2023, l’immeuble proposera 1 650 m² de bureaux et 350 m² d’espaces extérieurs.Luminosité, performance et élégance pour un actif primeEmblématique de l’architecture haussmannienne, cet immeuble a été réinventé, dans le respect de son élégance originelle avec l’ajout subtile d’éléments contemporains avec notamment :Un porche d’entrée repensé pour magnifier l’escalier d’honneur donnant accès au hall d’accueilLa construction de loggias, de paliers vitrés et d’une verrière au 5ème étage pour offrir une luminosité maximale des plateauxUne cour pavée prolongée d’un écrin de verdure pour profiter du cœur d’ilotLa création d’un espace événementiel flexible de 200 m² permettant de recevoir du public (classé ERP) ouvert sur le jardinÉléments environnementaux et traitement végétal Le 51 Hoche a entrepris une démarche environnementale exigeante en visant 3 certifications majeures :HQE rénovation : niveau très performantBREEAM : niveau Very GoodWIREDSCORE : niveau CertifiedUn intérêt particulier a été apporté au bilan carbone de l’opération avec un réemploi à 80% de la structure originelle de l’actif, un engagement de tri et de valorisation des déchets lors de la déconstruction et une performance cible conforme aux exigences fixées pour 2030 par le dispositif éco-énergie tertiaire.Le jardin paysagé accueille trois strates végétales - arbres, arbustes et plantes herbacées refuges à faune - qui participent au renforcement du patrimoine écologique et à la qualité de vie du lieu.Un actif idéalement situé à ParisSitué au cœur du QCA, prestigieux quartier d’affaire parisien, le 51 Hoche bénéficie d’une excellente desserte grâce au hub métro-RER de l’Étoile (Charles de Gaulle Étoile à 150 m, lignes de métro 1, 2 & 6 et RER A), facilitant l’accès à l’immeuble.Cette opération s’inscrit dans le cadre du partenariat établi entre Foncière ATLAND et PGGM en 2016. L’OPPCI géré par ATLAND Voisin (société de gestion réglementée, filiale d’ATLAND) a pour objectif d'investir dans des actifs de bureaux en Ile-de-France.Une opération imaginée avec le cabinet d’architecte BSTLL, réunissant l’agence Samuel Nageotte Architectures, l’Atelier Nicolas Salmeron pour l'architecture intérieure et JIGEN Interactive Studio pour les illustrations.
Il y a 3 ans et 109 jours

Les résultats d'Eiffage en 2021 dépassent ceux de 2019

L'activité travaux (plus de trois quarts de ses revenus) a dépassé le niveau de 2019, tandis que du côté des concessions autoroutières, le trafic, d'abord affecté par les confinements début 2021, rebondissait "fortement" au second semestre, explique le groupe.A 777 millions d'euros, Eiffage double ainsi son bénéfice par rapport à 2020. C'est aussi une hausse de 7,2% par rapport à 2019. Son chiffre d'affaires s'élève à 18,72 milliards d'euros, soit +14,7% et +3,2% respectivement par rapport à 2020 et 2019. La branche Infrastructures est particulièrement dynamique (6,84 milliards d'euros de chiffre d'affaires), notamment en France où elle a été portée par les projets du Grand Paris Express et d'un parc éolien offshore au large de Saint-Nazaire (Loire-Atlantique).Eiffage a profité à l'international du dynamisme du marché des infrastructures de transport en Allemagne et de la montée en puissance de la LGV HS2 au Royaume-Uni.Le groupe se dit "confiant" pour la suite, anticipant "une nouvelle augmentation des résultats en 2022" côté travaux comme côté concessions, notamment grâce à un bon renouvellement de son carnet de commandes, incluant plusieurs contrats pluriannuels.Le carnet de commandes des Travaux atteint ainsi 16,3 milliards d'euros, soit +1% par rapport à 2020, année au cours de laquelle plusieurs commandes importantes avaient été enregistrées (A79 en France, HS2 au Royaume-Uni, A3 en Allemagne), note Eiffage.Au-delà de 2022, le groupe insiste sur son positionnement sur des métiers liés à la transition écologique, ce qui lui "confère une excellente visibilité", dit-il, citant des succès récents comme le contrat pluriannuel de l'éclairage public de la ville de Paris (10 ans).
Il y a 3 ans et 109 jours

[Livre] Ingénierie écoresponsable d’aujourd’hui par Dominique Gauzin-Müller

Dominique Gauzin-Müller ouvre son coffre-fort éco-responsable en publiant dans ce nouvel ouvrage 30 ans de projets de son Bureau d’études Tribu. La TRIBU, au cœur de la recherche Le bureau d’études TRIBU, créé en 1986, est pionnier de l’approche écoresponsable de l’architecture et de l’aménagement du territoire avec 700 opérations réalisées ou en cours. Ce livre présente les projets […]
Il y a 3 ans et 111 jours

Décret « Accompagnateur rénov’ » : la Fédération Cinov réclame des clarifications

Si la Fédération Cinov, représentative des TPE PME de la branche BETIC (ingénierie, conseil, numérique), soutient la création du rôle d’ « Accompagnateur rénov », elle estime que des clarifications sont nécessaires car, en l’état, le texte ne permet pas de clarifier la mission d’accompagnateur. La Fédération Cinov tient également à rappeler le rôle déterminant qu’ont à jouer les entreprises de la branche BETIC dans la mise en place de ce nouveau dispositif.Un décret qui manque de précisions pour encadrer efficacement la mise en place du dispositifPour la Fédération Cinov, la création du rôle d’« Accompagnateur rénov » est une initiative positive qui devrait permettre d’améliorer sensiblement l’accès à la rénovation et de faciliter des prises en charge globales et sur-mesure pour les problématiques diverses auxquelles sont confrontées les particuliers dans leurs démarches. La fédération tient cependant à alerter sur un besoin crucial de clarifications sur les missions conférées aux accompagnateurs, que l’actuel décret soumis à la consultation publique ne permet pas d’appréhender suffisamment. En effet, la volonté du décret de massifier et d’ouvrir ces missions à d’autres professions que les architectes et les bureaux d’étude, qui en assumaient jusqu’ici la charge, soulève des interrogations sur les compétences, qualifications et certifications requises. Le texte doit être mieux cadré afin d’éviter à des structures de s’improviser « accompagnateur » et d’ouvrir la porte aux escroqueries.Par ailleurs, le texte mentionnant des missions de MOE (analyse des offres, suivi de chantier…), les accompagnateurs devront présenter des garanties assurancielles. Ce point est essentiel pour éviter les dérives, notamment le risque de collusion des accompagnateurs avec des entreprises de travaux (via un système de sous-traitance, filiale…). En outre, la fédération défend l’indépendance absolue des accompagnateurs. Le décret indique actuellement « l’impossibilité de réaliser directement des activités d’exécution d’ouvrage ». Or, ceci n’exclut pas la sous-traitance ou la filialisation de la réalisation des travaux, qui sont la source de bien des fraudes. Les professionnels de la branche BETIC, des acteurs clés pour accompagner l’ensemble des dispositifs d’aide à la rénovation énergétiqueA l’occasion de la publication de ce décret encadrant la mise en application du dispositif « Accompagnateur Rénov’ », la Fédération Cinov tient à rappeler que les professionnels de la branche BETIC possèdent toutes les compétences et les qualifications nécessaires à l’accompagnement de l’ensemble des dispositifs d’aide à la rénovation énergétique. Les entreprises de la branche BETIC bénéficient en outre d’un ancrage territorial permettant d’épauler les particuliers et les professionnels dans leurs transitions quel que soit leur lieu d’implantation. Pour ces raisons et étant donné l’envergure des enjeux, la Fédération Cinov souhaite que les bureaux d’études puissent assurer des missions « Accompagnateur rénov’ » en complémentarité des structures parapubliques.Par ailleurs, la Fédération Cinov insiste sur le fait que le pouvoir de persuasion de l'accompagnateur restera toujours limité si l’Etat ne renforce pas les contraintes et obligations en matière de rénovation.Pour Frédéric Lafage, Président de la Fédération Cinov : « Pour que les objectifs en matière de rénovation énergétique puissent être tenus, il est impératif qu’au-delà de la mise en place de ce dispositif, l’Etat travaille activement sur la visibilité, la stabilité, la fluidité des aides financières et la réactivité des banques. »
Il y a 3 ans et 111 jours

La Loi 3DS intègre le permis d’aménager multi-sites dans le code de l’urbanisme

Avec l’élargissement du périmètre des Opérations de Revitalisation Territoriale (ORT), auquel la ville principale de l’EPCI n’est plus obligatoirement rattachée, c’est un grand pas en avant pour l’aménagement réalisé au cours du quinquennat se félicite l’Union Nationale des Aménageurs (Unam).Pour l’Unam, le permis d’aménager et son extension multi-sites sont en effet de véritables leviers : pour créer des projets désirables, fédérer et travailler à des solutions d’intérêt général d’aucun riverain n’aurait intérêt à s’opposer par voie de recours ; pour composer avec le bâti existant et maîtriser l’artificialisation des sols en extension urbaine. Pour François Rieussec, Président de l’Unam : « L’adage selon lequel il faut aménager avant de construire trop vite et n’importe où vaut aussi pour le renouvellement urbain. » Lors de l’élaboration de la loi Élan, l’Unam avait été à l’initiative du permis d’aménager multisites pour appréhender de manière globale le besoin de rénovation et de réaménagement des centres urbains, des centres-bourgs ou des bourgs ruraux : concevoir des opérations d’aménagement d’ensemble sur des terrains ne formant pas un seul tenant (friches, dents creuses, entrées de ville). Autorisé uniquement dans le périmètre d’ORT et de PPA, le permis d’aménager multisites n’est cependant pas applicable partout. Pour François Rieussec, Président de l’Unam : « Je le regrette car cela faciliterait un engagement plus rapide de la profession sur le recyclage foncier, plus complexe et plus coûteux, qui nécessite de trouver un modèle économique à travers des péréquations de sites. Les aménageurs ont suffisamment dénoncé le manque d’opérationnalité de la loi Climat et Résilience pour se réjouir néanmoins de cette avancée. Ce permis d’aménager multi-sites doit contribuer à créer les conditions d’un dialogue compétitif au niveau local, entre les collectivités, les acteurs économiques et les citoyens ».