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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Urbanisme - Aménagement

(35877 résultats)
Il y a 3 ans et 111 jours

Guide d’aide à la conception d’un parking perméable avec les systèmes O2D

Afin d’accompagner les collectivités et les entreprises dans leurs travaux de perméabilisation mais aussi pour limiter les obstacles à l’aménagement de sols perméables en ville, O2D publie aujourd’hui son guide d’aide à la conception de parkings perméables reprenant les principes de base de leur mise en place mais aussi les principales erreurs à éviter. Pour l’entreprise, il s’agit ici de prouver que quelle que soit la composition des sols ou les contraintes locales, il existe une solution O2D permettant l’infiltration en direct ou à minima de créer des espaces de stockage temporaire laissant l’eau s’infiltrer progressivement.Tout d’abord, le guide revient sur les étapes préliminaires à un projet de gestion des eaux pluviales lors desquelles certaines études sont indispensables. Il est en effet nécessaire d’étudier préalablement le contexte hydrogéologique (nature et perméabilité du sol support, niveau piézométrique des nappes souterraines), le contexte topographique, le dimensionnement hydraulique (volume d’eaux pluviales à gérer par le projet) et enfin les éventuels besoins de tamponnement. Dans un second temps, le guide s’attarde sur les critères de mise en place d’une couche de forme (ou sous-fondation) pour les projets où la perméabilité du sol support n’est pas suffisante pour infiltrer la totalité des eaux pluviales et/ou si la portance de ce même sol n’est pas adaptée à l’usage final envisagé. Enfin, le guide revient sur les différents principes de conception d’un projet de parking perméable si les coefficients de perméabilité du sol support sont bons ou mauvais.
Il y a 3 ans et 112 jours

En Côte d’Ivoire, la future plus haute tour d’Afrique signée Pierre Fakhoury

À l’initiative du ministère ivoirien de la Construction, du Logement et de l’Urbanisme, et en partenariat avec PFO Africa, promoteur et concepteur du projet, BESIX participe à la construction de la Tour F à Abidjan, en Côte d’Ivoire. Dessinée par l’architecte Pierre Fakhoury, il s’agira de la plus haute tour d’Afrique. Communiqué du constructeur. La […] L’article En Côte d’Ivoire, la future plus haute tour d’Afrique signée Pierre Fakhoury est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 112 jours

AGM TEC lance TUBICAM PERIZOOM une nouvelle caméra high tech d’inspection de canalisations  

Leader français de la fabrication et de la distribution de caméras d’inspection de canalisations, l’entreprise toulousaine AMG TEC étoffe sa gamme avec Tubicam Perizoom, une nouvelle caméra d’inspection de canalisations aux performances renforcées. Fondée en 2004 à Bessières dans la métropole toulousaine, AMG TEC est aujourd’hui le leader français de la fabrication et de la […]
Il y a 3 ans et 112 jours

Rairies Montrieux fête 110 ans de savoir-terre au service d'une marque tournée vers l'avenir

Ce procédé a fait la renommée de RAIRIES MONTRIEUX qui conserve son savoir-faire ancestral malgré l’industrialisation du processus.RAIRIES MONTRIEUX produit aujourd’hui des briques, des carreaux et des plaquettes de parement en terre cuite naturelle ou émaillées pour les sols, murs intérieurs, façades extérieures et aménagement des jardins.Feu sacré et esprit de familleLa région environnante des Rairies, située à la limite du Maine-et-Loire (49) et de la Sarthe (72), dispose d’une argile dite rouge qui a fait sa renommée quant à la transformation de l’argile en terre cuite. Du XVIIe au XVIIIe siècle, la réputation du village est bien établie, mais c’est à partir de 1864 que la reconnaissance du savoir-faire des villageois des Rairies s’établie fortement.En dehors de l’argile, une briqueterie a besoin de deux éléments indispensables : un puit, un four. La halle de fabrication et la grange étant des constructions facultatives. La grange (ou le séchoir) est une construction en bois dont la charpente présente quatre pans bas couverts de tuiles dont la forme et la disposition assurent une bonne circulation de l’air sans laisser pénétrer la pluie. A ce jour, Rairies Montrieux exploite cette grange en lieu d’exposition.Assurer la transition entre procédé ancestral et industrialisationUne fois l’argile étirée, après trois semaines de séchage, les matériaux (briques, carreaux, plaquettes, etc.) sont méthodiquement disposés dans le four qui leur donne cette teinte spécifique. Après préchauffage du four, la cuisson dure environ trente-six heures sans discontinuer (la température du four oscillant entre 800°C et 1 200°C selon la météo). Une semaine s’écoule entre le début du remplissage du four et la fin du cycle de cuisson. Si la technique de fabrication des produits en terre cuite demeure inchangée, certains procédés se sont industrialisés depuis 1910 (date de création de RAIRIES MONTRIEUX par Ernest et Victor Montrieux) ; période où la demande de produits en terre cuite devient plus forte. On remplace alors l’homme par des machines puis la généralisation de l’électricité complète l’industrialisation de la production. Malgré cela, le processus de fabrication n’a pas fondamentalement changé. La cuisson se fait toujours en partie au four à bois, rien ne pouvant remplacer l’intervention humaine pour maîtriser parfaitement tous les paramètres.Pérenniser l'entrepriseIssu de la septième génération d’une famille de briquetiers, Rémy Montrieux prend la direction de la société en 1972. Il commence alors à moderniser les outils de production et oriente les produits de la marque vers les architectes en proposant des solutions de façades. Le pari s’avère aujourd’hui gagnant, l’entreprise étant présente sur tout le territoire et voit ses ventes à l’export progresser. Grâce à sa clientèle composée de 90% de professionnels ainsi qu’à sa renommée, RAIRIES MONTRIEUX participe à près de 300 chantiers par an dont de prestigieuses réalisations comme le conservatoire de Nantes, le Cité du cinéma à Paris, les Hexagones à Londres, le siège de l’Immobilière Podelhia à Angers...Une marque de reconnaissance, une reconnaissance de la marqueEn 2006, RAIRIES MONTRIEUX obtient le label “Entreprise du Patrimoine Vivant”. Véritable marque de reconnaissance octroyée par l’État, cette labellisation créée en 2005 lui offre une place de choix dans le peloton des entreprises françaises aux savoir-faire artisanaux et industriels d’excellence. Délivré sous l’autorité du ministère de l’Économie et des Finances après une instruction rigoureuse, ce label a pour objectif de récompenser des petites et moyennes entreprises emblématiques de l’excellence française industrielle ou artisanale. Ses critères permettent de souligner nettement la haute valeur ajoutée d’une fabrication “made in France”. Ce label couronne ainsi le savoir-faire de RAIRIES MONTRIEUX valorisant une tradition, renommé et ancien, reposant sur la maîtrise de techniques ancestrales et lié aux origines d’un territoire.En 2020, RAIRIES MONTRIEUX reçoit également le label ”Produit en Anjou”, dont la vocation est de mettre en valeur et de faire connaître les nombreux savoir-faire du Maine-et-Loire. Dans un contexte de mondialisation des échanges, ce label est un signe de reconnaissance destiné à promouvoir les produits et services élaborés en Maine-et-Loire, en conjuguant énergie et transparence. L’obtention de cette marque territoriale repose sur deux critères cumulatifs : plus de 50 % de la valeur ajoutée du produit doit être acquis sur le territoire du Maine-et-Loire et les éléments constitutifs du produit doivent être issus ou élaborés dans le département.Un laboratoire R&D au service du sur-mesureLe laboratoire R&D et le bureau d’étude de RAIRIES MONTRIEUX sont à même de répondre à de nombreuses problématiques en apportant des solutions techniques inhérentes à chaque projet.Créateur de nouvelles tendances, RAIRIES MONTRIEUX peut s’appuyer sur un laboratoire de recherches où la compétence des employés performe au quotidien afin de garantir des réalisations de qualité irréprochable. Cette expertise autorise entre autres la création de nouvelles couleurs et une réponse sur mesure en coloris sur la base de teintes RAL. RAIRIES MONTRIEUX s’est ainsi positionné comme l’un des acteurs majeurs de l’émaillage couleur, pour des produits de caractère.La préoccupation de l'environnementProtection des ressources : de l’extraction des carrières au recyclage de la matière finale, la terre cuite s’inscrit dans le projet du développement durable et de la norme Haute Qualité Environnementale (H.Q.E.). L’entreprise s’engage dans la maîtrise des matières premières et la remise en état des sites d’extraction en fin d’exploitation.Économie d’énergie : grâce à la limitation des ressources énergétiques et des rejets dans l’atmosphère, le recours au bois pour la cuisson pour les tomettes et le séchage naturel permettent de réduire la consommation d’énergie fossile.Recyclage des eaux : le site de production intègre une station de traitement et de recyclage des eaux usées pour avoir une politique zéro déchet et être une entreprise respectueuse de l’environnement.Déchets écologiques : classés inertes (décret 2002), les déchets de terre cuite sont garantis non dangereux pour la santé humaine et pour l’environnement.
Il y a 3 ans et 112 jours

Cette maison suédoise en bois est jumelée pour créer 2 habitations

Sur une pente orientée sud-ouest, en bord de mer, se dresse la Villa Timmerman, une maison mitoyenne conçue par le couple d’architectes Andreas Lyckefors et Josefine Wikholm à Göteborg en Suède. [De l’architecte] Askim, au sud de Göteborg, est une banlieue résidentielle populaire qui a été progressivement densifiée depuis les années 1960 et qui est aujourd’hui […]
Il y a 3 ans et 112 jours

Nouveaux types d'espaces publics - Livre

Avec sa couverture consacrant le « Navire », spectaculaire structure de 16 étages réalisée en 2017 par le studio du Britannique Thomas Heatherwick, dans le cadre du réaménagement des chantiers d'Hudson Yards à Manhattan, cet ouvrage donne le ton de ce à quoi peut s'apparenter aujourd'hui un paysage urbain. Le modèle de […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 112 jours

Le bilan des pluies à Petropolis au Brésil dépasse les 200 morts

Selon le dernier bilan communiqué par la police, 204 personnes, "124 femmes et 80 hommes", ont péri dans les inondations et glissements de terrain, et 51 personnes sont toujours portées disparues.Ce chiffre a diminué ces derniers jours, au fur et à mesure que les corps ont été identifiés ou que des familles ont retrouvé des proches sains et saufs. Plus de 800 personnes contraintes de quitter leurs domiciles demeurent hébergées dans des structures d'accueil d'urgence, notamment des écoles municipales.Le 15 février, il a plu en quelques heures dans la soirée davantage que la moyenne pour un mois de février, le plus grand volume de précipitations jamais enregistré depuis 1932, selon les autorités.Les violents orages ont provoqué des glissements de terrain qui ont détruit des dizaines d'habitations construites à flanc de colline.Ces précipitations extrêmes ont également provoqué de terribles inondations, transformant les rues de cette ville très touristique en torrents de boue et renversant des véhicules, y compris des autobus, entraînés dans des rivières.La plupart des victimes étaient des habitants de maisons bâties dans des zones à risque, sans permis de construire, dans cette ville de 300.000 habitants située dans une région montagneuse à 60 km au nord de Rio de Janeiro.La surface de terrains occupés par des habitations construites illégalement à Petropolis a plus que doublé de 1985 à 2020, selon des données de la plateforme scientifique Mapbiomas et de l'institut de statistiques IBGE publiées mercredi par le site d'informations G1.Une augmentation de 108%, malgré d'autres drames similaires survenus pendant cette période, comme en 1988 quand 171 personnes avaient trouvé la mort lors de glissements de terrain. En 2011, d'autres pluies meurtrières avaient fait plus de 900 morts dans la vaste région montagneuse qui comprend Petropolis et les villes voisines de Nova Friburgo, Itaipava et Teresopolis.Le Morro da Oficina, colline où a eu lieu le pire glissement de terrain du 15 février, dans le quartier Alto da Serra, figure parmi les 48 zones occupées illégalement par des habitations à Petropolis, indique l'IBGE.Selon le Centre de surveillance des catastrophes naturelles (Cemaden), environ 9,5 millions de personnes au Brésil vivent dans des zones dites "à risque", particulièrement vulnérables face aux inondations ou aux glissements de terrain.La plupart d'entre elles résident dans des favelas, quartiers pauvres aux constructions précaires, la plus souvent sans tout-à-l'égout.
Il y a 3 ans et 112 jours

2022 : Année Internationale du verre, une double cérémonie d'ouverture à l'ONU à Genève et au Palais du Luxembourg à Paris

Les interventions de 30 experts ont permis de mettre en lumière les dernières réflexions sur la manière dont le verre peut contribuer au développement de sociétés plus justes et durables, ainsi que les dernières avancées scientifiques et techniques.En France, le 11 février 2022, la Fédération des Industries du Verre et la Fédération du Cristal et du Verre ont organisé la conférence d'ouverture « Le verre pour un quotidien durable », au Palais du Luxembourg sous le parrainage de Catherine Dumas, Sénatrice de Paris et Présidente du Groupe Métiers d'Art.En introduction, la présentation de l'atelier Barrois a permis de mettre en avant le potentiel créatif et d'innovation du verre.« Le verre pour un quotidien durable » Deux tables rondes ont été ensuite organisées. La première dédiée au changement climatique a mis en avant les engagements et les actions concrètes de l'industrie verrière avec le témoignage de trois entreprises. Cette table ronde a démontré que la décarbonation est la priorité dans l'agenda de l'industrie verrière.La seconde a été consacrée à la diversité des usages du verre au travers de plusieurs témoignages d'utilisateurs (design, architecture, univers du luxe). Elle a ainsi présenté le formidable potentiel du verre dans le domaine de la création de formes et de produits, dans celui de l'habitat durable avec l'accès à la lumière renforcé et des performances thermiques améliorées. Et enfin dans le domaine du luxe, l'accent a été mis sur la contribution du verre aux succès des grandes marques françaises au niveau mondial. Pour Jacques Bordat, président de la Fédération des Industries du Verre : « le verre, omniprésent dans notre vie au quotidien, s'inscrit parfaitement dans une logique d'un monde durable. La transition de l'industrie verrière vers un monde décarboné est en marche. » Pour Jérôme de Lavergnolle, président de la Fédération du Cristal et du Verre : « la fierté de toute une profession de participer à cette formidable aventure grâce un matériau durable aux multiples usages et à la mise en œuvre de savoir-faire d'exception ». De très nombreux événements seront organisés tout au long de l'année 2022 afin de mieux faire connaître le verre, mettre en avant l'excellence et la diversité de ses métiers et savoir-faire et informer les jeunes générations des perspectives que l'industrie du verre peut leur offrir.Le site anneduverre2022 montrera les actions menées par la communauté verrière sur l'ensemble du territoire notamment à travers les routes du verre, initiative visant à faire connaître les sites verriers en France au plus grand nombre.
Il y a 3 ans et 112 jours

Tarkett prévoit de ne pas verser de dividendes pour l'exercice 2021

RÉSULTATS. Dans un contexte incertain, le spécialiste des revêtements de sols, Tarkett, joue la carte de la prudence et a annoncé qu'il ne devrait "pas verser un dividende au titre de l'exercice 2021". Ces résultats pour l'année écoulée sont néanmoins rassurants avec un chiffre d'affaires en hausse et un bénéfice net de nouveau dans le vert.
Il y a 3 ans et 112 jours

L'immobilier ancien de plus en plus cher, porté par les maisons

De quoi confirmer l'envie de vert et d'espace qui a surgi chez les Français après les confinements de 2020. En 2021, le prix des maisons en France a grimpé de 9%, alors que celui des appartements n'a augmenté "que" de 4,6%."2021 était une année exceptionnelle, ça se confirme", a déclaré en conférence de presse Thierry Delesalle, président de la commission Immobilier des Notaires du Grand Paris.Le nombre de ventes a atteint un niveau record depuis 2000, avec 1.178.000 transactions sur l'année 2021.En glissement annuel sur 12 mois, le record absolu a été atteint au troisième trimestre 2021, avec 1.212.000 transactions sur toute la France, une période qui prenait en compte les derniers mois de 2020, quand beaucoup de ventes consécutives à la sortie des confinements ont été conclues.David Ambrosiano, président du Conseil supérieur du notariat, voit dans cette tendance "un rattrapage post confinement dans les premiers mois et un effet d'anticipation pour 2022". Il s'attend à un volume de transactions qui "pourrait se stabiliser en 2022 à un niveau toujours élevé".Paris, "ouf, on souffle!"Une exception à cette hausse généralisée des prix : Paris. La capitale est le seul territoire où les prix ont baissé en 2021, de 1,6%. Ils restent néanmoins à des niveaux stratosphériques, avec un prix moyen au mètre carré de 10.550 euros."C'est +ouf, on souffle!+", a commenté Me Delesalle.Et plus on s'éloigne de Paris, plus les prix des appartements augmentent. +2,3% pour la petite couronne, +3,8% pour la grande couronne, +8% en métropole hors Île-de-France."Le Covid a marqué les esprits, parce qu'en étant confinés dans des appartements sans terrasse, sans balcon, sans pouvoir sortir, je pense que les gens ont pris conscience du fait que Paris ne fait pas tout", affirme à l'AFP Guillaume Martinaud, président du réseau d'agences Orpi. La capitale n'en est pas pour autant devenue un repoussoir : le nombre de ventes augmente, sans que cela se traduise pour l'instant sur les prix, a relevé Me Delesalle."Paris est en train de retrouver une vraie compétitivité, surtout par rapport aux autres capitales à l'étranger, qui augmentent beaucoup", a-t-il affirmé.Car là où le logement flambe dans plusieurs pays (Australie, Turquie, Europe du Nord...), en France, la hausse des prix, quoique sensible, est "égale à l'inflation" sur les derniers trimestres de l'année, note Me Delesalle.Une donnée clé, alors que la question du pouvoir d'achat est de plus en plus prégnante dans le débat public, et que le logement est le premier poste de dépenses des ménages en France."Il y a toujours autant d'envie de déménager, d'avoir de l'espace, mais les gens font tout de même attention au pouvoir d'achat", affirme Guillaume Martinaud du réseau Orpi.Ainsi, en 2022, si les carburants continuent de coûter très cher, cela pourrait avoir un impact sur l'attractivité des campagnes et "toutes les zones où vous avez besoin de voitures pour vous déplacer".
Il y a 3 ans et 112 jours

Crise en Ukraine : les conséquences possibles pour les secteurs du BTP et de l'énergie

INTERNATIONAL. L'entrée de forces armées russes sur le territoire ukrainien pourrait avoir des conséquences sur les secteurs du bâtiment et de l'énergie français, comme l'envisagent la Fédération française du bâtiment (FFB), Bouygues ou Vinci.
Il y a 3 ans et 112 jours

Exposition : Faites “Le Grand Tour” à la Maison de l’architecture Ile-de-France

L’œuvre du Docteur Paper sur les architectures des villes du monde sont à retrouver à la Maison de l’architecture Ile-de-France, jusqu’au 15 avril. [©Alban Lecuyer] Jusqu’au 15 avril prochain, la Maison de l’architecture Ile-de-France (Paris Xe) présente l’exposition “Le Grand Tour”. A travers une sélection des œuvres de l’illustrateur nantais Jérôme Baillet, allias Docteur Paper, l’évènement porte un regard patrimonial sur la série de dessins “Travel With Me”, dont l’artiste célèbre les 10 ans cette année. Un tour de l’architecture de 24 villes du monde capturées au cours de ses voyages, que l’exposition accompagne du récit qui a façonné l’évolution de ces villes. Discussions et ateliers rythment l’exposition d’une durée de deux mois. En son cœur, le visiteur découvre un vaste module, en pliage papier, permettant de passer de la 2e à la 3e dimension. Une ville recomposée et fantasmée… Des espaces sont aussi laissés libres et seront complétés par les créations d’enfants réalisées pendant des ateliers animés par “Les P’tits archis”, fondés par Aude de Kerangué pour initier les jeunes à l’architecture et à la ville. Une invitation aux voyages A l’origine de l’exposition, une réflexion : “Et si les œuvres de Docteur Paper devenaient le support d’une histoire patrimoniale et architecturale des villes qu’il représente ?” Par un travail complexe sur les perspectives et les juxtapositions, l’illustrateur révèle les différentes strates historiques des villes qu’il visite. De la bourgade à la métropole, de l’art roman au style international : quels sont les grands objets architecturaux qui composent nos villes ? Comment l’histoire nous les a-t-elle légués ? Que retient-on de nos voyages ? Qu’est-ce qui fonde l’imaginaire d’une ville ? Autant de questions qui peuvent trouver un début de réponse dans les créations de Docteur Paper. [©Alban Lecuyer][©Alban Lecuyer][©Alban Lecuyer] Un panel d’architectures Infatigable voyageur, l’illustrateur dessine au feutre, d’un trait précis, les items des villes qu’il découvre. Architecture, trame urbaine, véhicules, ouvrages d’art ou encore enseignes publicitaires marquent la mémoire de ses pérégrinations. Et participent à livrer une vision patrimoniale de la ville. Au-delà de l’œuvre, c’est un instantané qu’il nous fait découvrir, une histoire qu’il nous raconte. Des gratte-ciels iconiques de New York au dôme géodésique de la Biosphère, à Montréal. Mais aussi, des rues étroites du vieux Paris à la célèbre “Chaussure de ski” de l’architecte Christian de Portzamparc, à Lille. En passant par le calme des bords de la Garonne, à Bordeaux à la vie trépidante du centre d’Osaka… Plus qu’une invitation aux voyages, les dessins en noir et blanc et le sens du détail de l’artiste plaident pour une pédagogie architecturale. Jusqu’au 15 avril 2022 Exposition à la Maison de l’architecture Ile-de-France, 148 rue du Faubourg Saint-Martin, 75010 Paris
Il y a 3 ans et 113 jours

100 millions d'euros investis dans cinq nouveaux programmes d'économies d'énergie

Le dispositif des "certificats d'économies d'énergies" (CEE) concernera désormais aussi l'éclairage public, la sobriété numérique et les TPE-PME, a annoncé le gouvernement le 17 février.
Il y a 3 ans et 113 jours

Dubaï lance son "Musée du Futur"

Le Musée du Futur, un nouveau centre mondial pour la pensée, les technologies et l'innovation du futur, sera lancé aujourd'hui aux Émirats. Le Musée, situé dans la ville de Dubaï, est une exposition permanente de visions inspirantes pour l'avenir de l'humanité et un centre mondial d'inspiration, d'innovation et de développement de solutions aux défis et aux opportunités du développement humain.Surnommé "le plus beau bâtiment du monde" et conçu par la Dubai Future Foundation, le Musée bouleverse le concept traditionnel de musée, qui consiste en une exposition statique d'objets historiques. Ce Musée sert d’expérimentation pour les nouveaux concepts, idées, visions et innovations qui transformeront nos vies, amélioreront la société et profiteront au monde entier. Il reflète l'évolution rapide de l'environnement intellectuel dans des domaines tels que : la science, l'intelligence artificielle, l'exploration spatiale, l'adaptation au climat, la vie urbaine et la mobilité. Par ailleurs, il intégrera les nouvelles idées, les derniers résultats de la recherche et les capacités émergentes dans ces domaines.Le Musée du Futur est un "musée vivant", qui “s'adapte et se métamorphose en permanence, car son environnement même entraîne des changements continus et itératifs dans ses expositions et ses attractions", a déclaré Mohammed Al Gergawi, ministre des Affaires du Cabinet des Émirats arabes unis et Président de la Dubai Future Foundation. "Le Musée rassemble des futuristes, des penseurs, des innovateurs et le public dans une expérimentation d'idées qui définissent le monde du futur et façonnent la façon dont nous interagissons avec notre monde à venir."Le Musée du Futur contribuera à créer un mouvement intellectuel mondial profond et étendu, dédié à l'exploration et à la prévision des changements futurs dans les domaines de l'innovation, de la science, du développement économique et culturel au service de l'humanité.En tant que centre mondial pour le développement de la pensée futuriste, il mettra en relation des penseurs, des spécialistes et des experts du monde entier en accueillant des forums, des recherches et des sessions de connaissances tout au long de l'année. Il diffusera également des connaissances et des recherches et mettra en lumière les changements technologiques les plus importants, les nouvelles découvertes scientifiques et les tendances émergentes.Pour S.E. Mohammed Al Gergawi : “C'est le plus beau bâtiment du monde. Il est beau en raison de sa conception, il est beau en raison de son message et il est beau en raison de son objectif. Nous pensons que les 50 prochaines années seront marquées par autant de nouveaux défis et de nouvelles opportunités, par autant de changements que les 500 dernières années, et même plus. C'est le centre mondial où le monde peut partager des visions pour ce changement à venir."Pour Khalfan Belhoul, PDG de la Dubai Future Foundation : "que le Musée est un centre nous permettant de définir notre avenir humain. L’ensemble de la structure représente l’humanité et se dresse sur une colline verte, caractérisant la Terre, et l’espace en son cœur signifie un avenir encore à découvrir. C’est la porte d’entrée de notre monde futur."Conçu par l'architecte Shaun Killa de Killa Design, le bâtiment a été pensé comme une icône architecturale et culturelle, et constitue un exploit remarquable de conception et d'ingénierie assistées par ordinateur. Sa conception paramétrique, créée par un processus de conception algorithmique qui prend en charge des géométries complexes, et l'utilisation innovante du Building Information Modelling (Bim), une technologie de conception basée sur des modèles tridimensionnels, ont donné naissance à une structure toroïdale de 77 mètres de haut et mise en œuvre sans utiliser une seule colonne.La façade du Musée s'étend sur une superficie de 17 600 mètres carrés. Réalisée en acier inoxydable, composée de 1 024 pièces d'art fabriquées à l'aide de robots capables de créer les formes les plus exigeantes, la façade a été construite sur une période de 18 mois et comprend un assemblage complexe de panneaux de matériaux composites à quatre couches nécessitant chacune plus de 16 étapes de traitement. Elle est éclairée par 14 000 mètres de lignes lumineuses, traçant une calligraphie arabe représentant trois citations sur l'avenir de Son Altesse Sheikh Mohammed bin Rashid Al Maktoum, Vice-Président et Premier ministre des EAU et dirigeant de Dubaï. Les 1 024 panneaux ont été choisis pour représenter un kilobyte, soit 1 024 caractères.Les trois citations inscrites sur le bâtiment en calligraphie arabe sont les suivantes :"Nous ne vivrons peut-être pas pendant des centaines d'années, mais les produits de notre créativité peuvent laisser un héritage longtemps après notre disparition" ;"L'avenir appartient à ceux qui peuvent l'imaginer, le concevoir et l'exécuter. Ce n'est pas quelque chose que l'on attend, mais que l'on crée" ;"L'innovation n'est pas un luxe intellectuel. Elle est le secret de l'évolution et du rajeunissement des nations et des peuples".Le Musée du Futur est alimenté par 4 000 mégawattheures par an d'énergie solaire générée par un parc solaire dédié et répond aux plus hautes normes mondiales de durabilité.Le cœur du Musée est son hall polyvalent, qui peut accueillir plus de 1 000 personnes, ainsi qu'une salle spéciale pour les conférences et les ateliers interactifs, qui peut accueillir plus de 345 personnes. Le Musée comprend également des laboratoires d'innovation pour la santé, l'éducation, les villes intelligentes, l'énergie et les transports, une exposition permanente des innovations futures et des laboratoires pour générer et tester des idées, notamment dans les domaines de développement liés aux défis de la société.Le Musée intègre également une plateforme permettant de présenter et de tester les innovations de certains des leaders et entrepreneurs mondiaux en matière de technologie et d'innovation, un lieu de partenariat avec de grandes universités et des instituts de recherche internationaux, des cours de recherche avancée sur les dernières découvertes en sciences humaines ainsi que des ateliers spécialisés.Expositions expérientielles pour les visiteurs publicsLe Musée contient une série d'expositions expérimentales que le grand public peut visiter et s'inspirer des différents aspects de la pensée du futur. Réparties sur cinq niveaux du bâtiment de sept étages, elles comprennent, de haut en bas, OSS Hope, The Heal Institute, Al Waha, Tomorrow Today et Future Hereos.OSS Hope est une présentation de la maison de l'humanité dans l'espace, où les visiteurs pourront jouer leur propre histoire, rejoindre leur communauté et découvrir ce que pourrait être la vie à bord d'une immense station spatiale en 2071.The Heal Institute présente une expérience de forêt tropicale luxuriante, une recréation numérique d'une partie réelle de la forêt amazonienne à Leticia, en Colombie, décrivant l'écosystème avec un réalisme inégalé. Le simulateur de l'écosystème de la forêt tropicale aide les visiteurs à mieux comprendre la nature et leur responsabilité à son égard alors que nous sommes confrontés à des changements environnementaux.Al Waha est l'occasion pour les visiteurs de s'explorer dans un monde qui simule leurs sens, en s'embarquant pour un voyage privé dans un environnement centré sur la santé et le bien-être, détaché de la technologie, leur permettant de méditer, de se reconnecter avec eux-mêmes et de rétablir leur équilibre naturel.Tomorrow Today explore les manières contrastées dont la technologie peut façonner l'avenir et les réponses variées qu'elle peut apporter aux défis auxquels la planète et la société sont confrontées. Plus de 50 expositions présentent des prototypes et des produits actuels dans cinq domaines, dont la gestion des déchets, l'environnement, la sécurité alimentaire, l'agriculture et l'irrigation, et l'urbanisme.En bas des niveaux d'exposition publique, Future Heroes est un espace de jeu conçu pour les enfants de moins de 10 ans, qui encourage les jeunes esprits à faire de nouvelles découvertes sur eux-mêmes et sur le monde qui les entoure.
Il y a 3 ans et 113 jours

Klépierre envisage un retour à la normale en 2023

"L'année 2022 est parfaitement au milieu de ce retour à la normale. On va montrer que non seulement on a passé la crise, mais que le retour à une activité normalisée va se faire facilement, pour moitié en 2022 et pour moitié en 2023", a déclaré Jean-Marc Jestin lors d'une conférence téléphonique.La foncière, qui gère une centaine de centres commerciaux en Europe, notamment en France et Italie, ses premiers marchés, va distribuer un dividende de 1,70 euro par action, contre 1 euro en 2020.Son chiffre d'affaires s'est établi à 1,07 milliard d'euros, en baisse de 5,3% par rapport à 2020. Ses revenus locatifs nets, eux, ont progressé, de 3,9% à 879,5 millions, mais restent loin des niveaux de 2019, avant la pandémie, quand ils étaient de 1,11 milliard.Les restrictions sanitaires ont pesé davantage sur le groupe en 2021 qu'en 2020, indique-t-il, avec en moyenne 2 mois et demi de fermeture contre 2 mois l'année précédente.La valeur de ses actifs a diminué de 5,2% à 20,71 milliards d'euros, Klépierre s'étant délesté de sites pour réduire sa dette, de 8,01 milliards au 31 décembre.Le groupe va continuer de céder des centres commerciaux pour se recentrer sur les grandes métropoles européennes, a détaillé Jean-Marc Jestin. Au cours du second semestre, le taux de vacance s'est établi à 5,3%, un peu plus que le taux de 3% considéré comme "normal" hors crise sanitaire.
Il y a 3 ans et 113 jours

Seize logements pour vieillir heureux - Exposition à la Cité de l'architecture et du patrimoine à Paris

Avec sa couverture consacrant le « Navire », spectaculaire structure de 16 étages réalisée en 2017 par le studio du Britannique Thomas Heatherwick, dans le cadre du réaménagement des chantiers d'Hudson Yards à Manhattan, cet ouvrage donne le ton de ce à quoi peut s'apparenter aujourd'hui un paysage urbain. Le modèle de […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 113 jours

La Vie en Pierre vulgarise désormais la pierre sur toute la France

Depuis sa création, la marque La Vie en Pierre est pensée comme un outil de pédagogie qui valorise l’utilisation de la pierre au quotidien. Huit ans après son lancement à l’initiative de l’UNICEM Rhône-Alpes, la marque devient une démarche nationale soutenue par l’ensemble des 12 syndicats régionaux métropolitains de l’UNICEM. L’occasion de poursuivre sa mission d’information sur les atouts de la pierre et ses nombreux usages au quotidien, auprès du plus grand nombre. En 2022, l’objectif de reste le même : informer et partager, faire découvrir les petites histoires de la pierre au cœur de la grande histoire de nos villes, de nos territoires, de notre pays et parfois bien au-delà… Transmettre l’anecdote ou le chiffre pour briller lors des repas de famille, lors des sorties entre amis ou dans la voiture, lors des longs voyages où le paysage devient l’unique sujet de discussion. La volonté est de vulgariser et de susciter de la curiosité, de la sympathie et de l’intérêt pour la pierre sous toutes ses formes, en s’appuyant sur l’expertise de l’UNICEM, d’industriels engagés et responsables, d’un réseau de professionnels de la filière Carrières et Matériaux de construction et de nos patrimoines. https://lavieenpierre.com  
Il y a 3 ans et 113 jours

Les inscriptions pour le concours Architendance sont ouvertes

L’appel à projets pour la 6ème édition est ouvert jusqu’au 30 juin 2022.Qui peut s’inscrire ? Tous les architectes exerçant une activité indépendante ou en agence, domiciliés en France, inscrits à l’Ordre. Inscriptions sur le site dédié.Quels types de projets ?Ouvrages de moins de 4 ans ou en cours d’achèvement au 30 juin 2022Constructions neuves, opérations de réhabilitation, extension ou rénovation4 catégories : logement individuel, logement collectif, habitat Intermédiaire, équipement & bâtiment tertiaire Critères d’appréciation par le juryMise en valeur de la tuile terre cuite et originalité dans le traitement du toit et/ou de la façade Qualité du projet architectural Pertinence du programme et intégration dans le contexte. Jury et prix Le jury, présidé par Anne-Sophie Kehr, Présidente du rma (réseau des maisons de l’architecture), est constitué par des architectes lauréats des éditions précédentes, d’enseignants en Ecole d’architecture et de journalistes spécialisés. Outre les lauréats de chaque catégorie désignés par le jury, un Prix du public sera attribué par un vote sur Instagram. AgendaClôture des inscriptions : 30 juin 2022 Jury : 15 septembre 2022 Remise des prix : 21 octobre 2022 lors de la Biennale du réseau des maisons de l’architecture. La Tuile Terre Cuite Architendance 2012-2022 : le concours fête ses 10 ansEn 10 ans, la tuile est devenue matériau d’architecture Pour Jean-Baptiste Fayet, Président du Groupement des Tuiliers de la Fédération Française des Tuiles et Briques : «Le Grand Prix la Tuile Terre Cuite Architendance a été créé en 2012 à l’initiative de la Fédération Française des Tuiles et Briques, soutenue par le Réseau des maisons de l’architecture. Son ambition est de donner tous les deux ans de la visibilité à des réalisations architecturales contemporaines exemplaires mettant en œuvre de la tuile terre cuite en toiture ou en façade. En cinq éditions, ce sont près de 400 agences qui ont proposé des réalisations. »Pour Anne-Sophie Kehr, Présidente du Jury depuis 2018 et Présidente du Réseau des maisons de l’architecture : « Depuis l’origine, les réalisations primées par le jury partagent à travers le temps des valeurs communes : elles s’inscrivent dans une quête d’innovation, sont porteuses de valeurs d’usage nobles, en dialogue avec leur environnement et leur histoire. » «Pour les fabricants de tuiles, le Concours est un moment d’échanges précieux avec les architectes dont le regard et les attentes sont des sources de réflexion, de recherche et d’innovation » ajoute Jean-Baptiste Fayet.Un concours pour mettre avant la diversité d’usage et la modernité de la Tuile Terre Cuite « Le temps d’une décennie, de nouveaux usages se sont développés : davantage de faibles pentes, passage du toit vers la façade, formes complexes… La palette de teintes est désormais très large, depuis des coloris naturels et nuancés jusqu’à des rendus des blancs ou noirs en mat ou brillant, émaillés et vernissés, sans compter les créations sur mesure… » note Jean-Baptiste Fayet qui poursuit : « La modernité de la terre cuite, c’est aussi de répondre aux enjeux durables qui s’imposent aux bâtisseurs : elle est pérenne dans le temps, fabriquée avec une matière première naturelle, géo-sourcée, renouvelable, recyclable ». 10 ans et 5 palmarès qui reflètent l’évolution de nos façons de vivre Les palmarès reflètent également les évolutions de nos façons de vivre chez soi et ensemble, avec notre famille, nos voisins, nos liens avec le paysage, avec l’environnement, avec le présent et le passé. « Les projets récompensés sont tous créateurs d’une nouvelle harmonie et de lien avec leur environnement, gage d’intégration dans un site. Au fil des années, c’est moins le geste architectural fort qui séduit le jury que des projets qui affirment quelque chose de très symbolique rappelant que la fonction primaire de l’architecture, c’est de nous abriter » conclut Anne-Sophie Kehr.
Il y a 3 ans et 113 jours

Les logements en béton rouge de Charles-Henri Tachon pour la caserne de Reuilly, à Paris (XIIe)

La transformation de la caserne de Reuilly, dans le XIIe arrondissement de Paris, restitue à la ville une place d'armes et plusieurs bâtiments réhabilités, placés en retrait de la parcelle. L'immeuble de logements de Charles-Henri Tachon, dressé sur le lot B1 en marge de l'intervention, fait signal sur la rue de Chaligny. Il est construit en […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 113 jours

Les associations de cyclistes très critiques envers la mairie de Paris

"Les élus ont choisi les Grands Boulevards, l'un des axes les plus stratégiques et prioritaires du Plan Vélo, pour enterrer cet objectif", estiment Paris en Selle et Mieux se déplacer à bicyclette (MDB) après la présentation mardi 15 février en réunion publique du projet de pérennisation des "coronapistes" - créées pendant la crise sanitaire pour désengorger les transports en commun - de cet axe majeur de Paris."Les élus ont renoncé à aménager le boulevard Saint-Martin sur près d'un demi-kilomètre" où "les cyclistes ne disposeront pas de piste cyclable séparée du trafic automobile et devront circuler dans la voie bus", déplorent les deux associations dans un communiqué diffusé jeudi 17 février."Sur le reste de l'axe, le projet retenu comporte des pistes unidirectionnelles de chaque côté d'une largeur trop faible, qui ne sera pas à même d'accueillir le volume de vélos", reprochent-elles encore aux élus qui ont "choisi de faire du vélo une variable d'ajustement".Avec 250 millions d'euros consacrés aux pistes et au stationnement vélo, la pérennisation de plus de 50 km de "coronapistes" et un travail "sur de nouvelles pistes cyclables", "notre ambition est maintenue et amplifiée", s'est défendu vendredi à l'AFP David Belliard, adjoint (EELV) à la transformation de l'espace public.Sur le boulevard Saint-Martin, plus étroit que les autres, l'élu écologiste, qui évoque lui un "petit tronçon de 180 m" non sécurisé, "comprend l'agacement, la déception" des cyclistes mais assume le choix de "conserver un couloir de bus", choix "d'équilibre entre les transports en commun, les piétons et les vélos".Le baromètre des villes cyclables publiée le 10 février par la Fédération des usagers de la bicyclette (FUB) était assez critique envers Paris, qui a récolté la mention D, "synonyme d'un climat moyennement favorable au vélo", et perdu cinq places pour se classer 12e sur 38 parmi les grandes villes.Alors que les déplacements à vélo ont explosé dans la capitale avec la crise sanitaire (+ 67 % en 2020), "les usagers du vélo réclament une politique vélo plus ambitieuse, en commençant par un réseau cyclable complet et sans coupure", insiste Paris en Selle.M. Belliard relativise ce classement, estimant que les résultats du baromètre "sont plutôt positifs, sauf sur la sécurité. C'est pour cela qu'on investit énormément".
Il y a 3 ans et 113 jours

Le Sénat autorise l'installation de panneaux solaires sur des friches en zone littorale

PHOTOVOLTAÏQUE. La Chambre haute du Parlement a adopté ce 22 février en première lecture une proposition de loi visant à permettre l'implantation en zone littorale de panneaux solaires sur des friches, notamment des anciennes carrières et des décharges. Le texte a reçu le soutien du Gouvernement.
Il y a 3 ans et 113 jours

Quel regard portent les français sur la maison individuelle et l'accès à la propriété ?

Chiffres clés de l’étude :80 % des sondés préfèreraient vivre en maison individuelle24% des répondants associent avant tout la propriété immobilière à un privilège, 11% à un endettement, 9% à un signe de richesse ;60% pensent la propriété immobilière réservée à l’élite ;80% considèrent que l’accès à la propriété devrait davantage être encouragé par des aides financières de l’État ;Seuls 14% pensent que la maison individuelle à des conséquences négatives sur l’environnement et la biodiversité (par rapport au fait de vivre en logement collectif).71% sont prêts à avoir une maison individuelle sur un terrain plus petit pour limiter l'étalement urbainL'accès à la propriétéLa propriété immobilière aux yeux du grand public est une garantie de sécurité et un sentiment de réussite... qui reste toutefois limitée à la capacité d'investissement.Pour les Français, le logement tient une bonne place comme critère d’une bonne qualité de vie, après être en bonne santé (72%), être bien entourés (47%). Ils sont en effet 34% à choisir comme critère déterminant pour une bonne qualité de vie de « se sentir bien chez soi ».La propriété immobilière est perçue comme une forme de sécurité (57%) et d'investissement (51%). D'ailleurs, un large consensus se fait jour autour de l'affirmation « la propriété immobilière est une bonne façon de sécuriser son avenir » (88%).Le fait qu'elle soit « synonyme d'accomplissement » est également tout à fait reconnu (81% des Français adhèrent à cette idée).Pour autant, une partie des Français questionne sa capacité à accéder à la propriété puisque 60% déclarent « qu'elle sera bientôt réservée à une élite » et un quart l'associe avant tout à un privilège (24%). En conséquence de quoi, 8 Français sur 10 considèrent qu'elle devrait être davantage encouragée par des aides de l'État.L'attrait pour les maisons individuellesLes Français font montre d'une préférence particulièrement prononcée pour vivre en maison individuelle (80%) plutôt qu'en appartement (20%) et notamment ceux issus des communes rurales (94%), vivant dans un foyer de 3 personnes et plus (86%) et ayant des enfants de moins de 14 ans (87%).La vie en maison individuelle présente comme premier bénéfice le fait de « profiter d'un jardin » pour presque un tiers des sondés (28%). La liberté (absence de copropriété, moins de nuisance des voisins, etc.) et la tranquillité qu'elle offre sont des atouts bien identifiés également (respectivement 22% et 21%).Seuls 52% des Français ont le sentiment que la vie en maison individuelle a des répercussions sur l’environnement et la biodiversité, et pour la plupart d’entre eux les conséquences sont positives. Au final en effet, seuls 14% des Français entrevoient des répercussions négatives.Focus sur l'étalement urbainLa maison individuelle demeurant le modèle d'habitation idéale des Français (80% vs 20% pour l'appartement), seul un tiers d'entre eux pourrait y renoncer pour limiter l'agrandissement des villes (30%).Toutefois, dans l'optique de réduire l'étalement urbain, les personnes interrogées soutiendraient certaines actions des pouvoirs publics et notamment l'encouragement à la construction de maison sur des petits terrains (71%). Comparativement, l'incitation à la construction de maisons mitoyennes (qui nécessitent moins de surface de terrain) et à l'accès à la propriété pour les logements collectifs plutôt que les logements individuels partagent beaucoup plus les interviewés (55% dans les deux cas).Assez logiquement, la hiérarchie des concessions individuelles les plus envisageables pour limiter l'étalement urbain est similaire : le fait de construire sur un terrain plus petit serait accepté par 7 Français sur 10 (71%) mais bien moins la vie dans une maison mitoyenne (50%).Ainsi, conscients que la construction de maisons individuelles doit aussi tenir compte de la préservation des espaces naturels, 71% seraient susceptibles d'accepter la construction d'un autre logement à proximité de chez eux pour limiter l'étalement urbain.Toutefois, si 65% l'acceptent pour une maison, seuls 20% le toléreraient s'il s'agissait d'un immeuble.Relevons enfin que les différentes concessions admises pour limiter l'étalement urbain sont corrélées à l'âge et au niveau de vie : les 18-24 ans et les ménages très modestes étant plus favorables au compromis que les autres.
Il y a 3 ans et 113 jours

Les louis d’or bretons entrent dans les collections publiques

Découvert fortuitement en 2019 par trois ouvriers dans un bâtiment attenant à un manoir à Plozévet, un dépôt monétaire de 239 monnaies d’or datant des règnes de Louis XIII et Louis XIV entre en partie dans les collections de l’hôtel de la Monnaie à Paris. Il était réparti dans deux caches découvertes à quelques jours d’intervalle. La première était dissimulée dans la maçonnerie et comprenait 153 monnaies contenues dans deux boîtes en alliage cuivreux (étuis à lunettes). La seconde se trouvait dans une sablière haute du pignon du même bâtiment et contenait 86 monnaies dans une bourse. Le dépôt contient deux écus d’or frappés au marteau sous Louis XIII. Toutes les autres pièces sont des louis d’or frappés au balancier dans différents ateliers du Royaume. Les louis d’or ont été frappés à partir de 1640. Ces pièces sont remarquables car elles ont été frappées au balancier, c’est-à-dire avec un procédé mécanisé qui a remplacé la frappe manuelle au marteau qui était utilisée depuis le Moyen Âge pour fabriquer les pièces. A l’époque la fabrication monétaire n’était pas centralisée. On trouve ainsi des pièces frappées dans les ateliers de Paris, Poitiers, Limoges, Toulouse, Dijon, Reims, Rennes, Rouen, Bourges, Troyes, Aix, ou encore Amiens. Huit ateliers différents sont représentés ainsi que quelques raretés parmi les monnaies découvertes à Plozévet. Le dépôt aurait été dissimulé courant 1692 ou au début de 1693. Sa composition permet d’identifier la stratégie de thésaurisation de son propriétaire marquée par une spéculation sur les anciennes monnaies et une nette défiance à l’égard des monnaies « réformées ». Compte tenu de la date d’acquisition de l’immeuble où elles ont été découvertes, les monnaies du dépôt appartiennent pour moitié aux propriétaires du terrain, l’autre moitié revenant aux inventeurs (Article 716 du Code Civil). Ils ont décidé de vendre les monnaies aux enchères en passant par une maison de vente à Angers. Lors de la vente réalisée le 29 septembre 2021,19 monnaies ont été préemptées par le musée de la Monnaie de Paris qui a également bénéficié du don des deux contenants du dépôt par les propriétaires. Contenants et monnaies sont exposés dans la salle principale du musée de la Monnaie dans une vitrine d’exception. Une publication de ce dépôt monétaire, dont la composition est assez rare, est prévue par Thibault Cardon, chargé de recherche au CNRS, avec la contribution des archéologues de l’INRAP qui, par leurs recherches, permettront de le resituer dans son contexte historique.   Photo : présentation officielle des monnaies préemptées par le musée de la Monnaie de Paris © Monnaie de Paris  
Il y a 3 ans et 113 jours

Tracktor lève 12 millions d’euros pour simplifier la location de matériel de chantier partout en France et en Europe

La startup souhaite continuer à investir massivement pour offrir la meilleure expérience client du marché, devenir le standard de la location en France et étendre son réseau de loueurs en Europe.Lancée en 2017 par deux ingénieurs experts du secteur, TRACKTOR digitalise l’activité de location des PME du BTP et de l’industrie. La plateforme permet aux professionnels de s’affranchir de toutes les contraintes de la location traditionnelle : ils accèdent instantanément aux prix déjà négociés de plus de 400 loueurs partout en France. Toutes leurs locations sont centralisées dans un outil unique qui leur donne plus de visibilité pour optimiser leurs dépenses.Tracktor a déjà conquis plus de 3.500 entreprises des secteurs de la construction et de l’industrie, à qui elle permet de louer du matériel en 3 clics, quel que soit leur besoin, leur faisant ainsi gagner jusqu’à 3h sur la gestion de chaque location. L’entreprise, qui connaît une forte croissance, souhaite en 2022 multiplier par trois le volume d’affaires réalisé en 2021.Cette nouvelle levée de fonds va permettre à Tracktor de recruter de nouveaux talents pour doubler ses effectifs d’ici la fin de l’année. L’entreprise a pour ambition d’offrir la meilleure expérience client du marché en investissant massivement dans sa technologie et le développement de son produit : une application mobile viendra intégrer les besoins de ses clients sur le terrain, et un outil de gestion permettra de centraliser 100% de l’activité de location et de dématérialiser les flux internes des PME. Le deuxième enjeu sera de développer sa notoriété pour devenir le standard du secteur en France et de préparer son expansion en Europe dès 2023.Les nouveaux investisseurs ont apprécié cette proposition de valeur unique sur un marché de la location de matériel de chantier en très forte croissance et encore très peu digitalisé qui pèse plus de 5 milliards d’euros en France et 30 milliards d’euros en Europe (et plus de 70 milliards d’euros en Europe d’ici 10 ans).Pour Idir Ait Si Amer, co-fondateur de Tracktor : « Nous avons choisi AXA Venture Partners et Bpifrance car nous partageons une vision et une ambition communes : nous souhaitons devenir le 1-stop shop de la location de matériel de chantier en offrant la meilleure expérience client du secteur grâce à la Tech. »Pour François Robinet, Managing Partner d'AXA Venture Partners : « La crise du Covid a été un catalyseur pour l'adoption de solutions digitales notamment pour les particuliers mais aussi pour les entreprises. Nous pensons que les années qui viennent verront l'avènement d'un grand nombre de marketplaces BtoB. Dans cette optique et en établissant une véritable place de marché dédiée à la location de matériels, Tracktor peut profondément transformer le marché pour l'industrie du BTP. Nous avons été convaincus par cette vision portée par Idir et Julien et pensons qu’ils sauront la mettre en œuvre en France et à l'étranger. »Pour Victoire Millerand, Directrice d’investissements, et Claire Castel, Chargée d’investissements sénior au sein du pôle Digital Venture de Bpifrance : « Nous sommes convaincus de la pertinence de la proposition de valeur de Tracktor et de leur capacité à transformer fortement ce marché vaste et peu digitalisé à ce jour. Nous sommes ravis d’accompagner cette équipe de qualité dans la prochaine étape de son développement. »
Il y a 3 ans et 114 jours

Un budget de 9,58 millions d’euros est alloué aux grands projets 2022 de Colomiers en Haute-Garonne

La ville de Colomiers aborde 2022 avec des projets ambitieux et consacre près de 9,6 millions d’euros à ses grands chantiers.
Il y a 3 ans et 114 jours

Rénovation d’exception d’une bâtisse du 18e siècle à Dinan

  Nichée au cœur du centre historique de Dinan se trouve Perlépampille, une bâtisse devenue chambres d’hôte classée Patrimoine Remarquable de la ville de Dinan. Pour sa rénovation, les propriétaires ont fait confiance au Groupe Janneau pour le remplacement des menuiseries extérieures bois. Découverte en image de cette réalisation d’exception coordonnée par l’agence d’architecture Bucaille […]
Il y a 3 ans et 114 jours

Roxim signe EVANESENS, une Tour végétale et vivante à Montpellier.

Face au lez, aux côtés de l’hôtel de ville et son parc paysager, Montpellier accueillera la résidence EVANESENS, une tour végétale développée par Roxim et conçue par l’Architecte François Fontès. Cette véritable forêt verticale, sur près de 50 mètres de hauteur, nécessite de prendre en considération les exigences liées au développement des arbres et de […]
Il y a 3 ans et 114 jours

Vinci Autoroutes met en service 53 points de recharge électrique rapide et ultra-rapide sur son réseau

Ces dernières semaines, 53 points de recharge supplémentaires ont été mis en service - dont 38 ultra-rapides - sur 11 aires, ainsi que sur le parking de covoiturage d’Orléans Nord. Gérées et exploitées par VINCI Autoroutes ou par ses partenaires commerciaux, ces nouvelles bornes, disponibles 24h/7j, sont compatibles avec tous types de véhicules. Elles viennent densifier le maillage du réseau VINCI Autoroutes qui, avec 348 points de recharge en service sur 99 aires, est aujourd’hui le réseau autoroutier le mieux équipé en France. L’ensemble de ces nouveaux points de recharge sont géolocalisés sur l’application Ulys, qui recense aujourd’hui plus de 33 000 bornes en France. Le paiement de la recharge est possible à l’acte.Des stations de recharge en service sur près des deux tiers des aires de services du réseau VINCI AutoroutesPoursuivant le déploiement de bornes électriques sur son réseau, VINCI Autoroutes a mis en service, depuis la fin de l’année 2021, 53 nouveaux points de charge, répartis sur les 12 sites suivants :sur le pourtour méditerranéen :sur l’A7 : Lançon-de-Provence Est et Ouest (dont 4 points ultra-rapides) ainsi que Sorgues (dont 6 points ultra-rapides, > 150 kW) ;sur l’A9 : Narbonne Vinassan-Nord (dont 6 points ultra-rapides) ainsi que Béziers Montblanc Sud et Nord (avec une borne de 50 kW chacune) ;sur l’A10, en direction de la façade atlantique : Poitou-Charentes Nord (dont 4 points ultra-rapides) ainsi que Val Neuvy (une borne de 50 kW). A ces aires s’ajoute le parking de covoiturage d’Orléans Nord, qui dispose notamment de 6 points ultra-rapides ;en région Centre-Val de Loire (A71) : Bourges Sainte-Thorette (dont deux ultra-rapides) et Chaumont-sur-Tharonne (une borne de 50 kW) ;l’aire de la Bruche, sur le nouveau Contournement Ouest de Strasbourg, avec notamment 6 points de charge ultra-rapides.Chacune des stations électriques propose a minima un point de recharge universel avec trois connecteurs (type 2, combo 2 et CHAdeMO) adaptés à tous les véhicules – afin de recharger tous les types de véhicules électriques actuellement en circulation. Disponibles 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, elles proposent une assistance téléphonique pour accompagner les utilisateurs qui en auraient besoin.Le paiement se fait, au choix, soit par carte prépayée ou badge via l’un des principaux opérateurs de mobilité offrant des abonnements en France ou en Europe, soit à l’acte, par carte bleue pour les bornes affichant le logo VINCI Autoroutes, ou par smartphone pour les bornes des partenaires présents sur les aires.Une nouvelle étape dans la densification du maillage électrique sur le réseau VINCI AutoroutesLe réseau de bornes de recharge est déployé en lien avec les opérateurs spécialisés et les enseignes commerciales des aires. Il offre à date 348 points de recharge installés sur 99 aires de services (soit près de 6 aires sur 10 d’ores et déjà équipées). VINCI Autoroutes s’est fixé pour objectif d’équiper 100% des aires de services de son réseau d’ici 2023.L’installation de ces nouvelles bornes illustre la volonté de VINCI Autoroutes de contribuer activement à la décarbonation des usages de la route afin de réduire l’empreinte carbone du secteur des transports. En multipliant le nombre de bornes de recharge présentes sur son réseau, VINCI Autoroutes souhaite apporter un service de qualité aux automobilistes ayant opté – ou souhaitant le faire - pour l’électrique, tant pour les déplacements urbains que pour les trajets de moyenne et longue distance.
Il y a 3 ans et 114 jours

Hérault : l’aspect de la nouvelle place de la Comédie et de l’Esplanade à Montpellier a été dévoilé

À Montpellier, les détails de la rénovation de la place de la Comédie et de l’Esplanade ont été présentés officiellement le 2 février 2022.
Il y a 3 ans et 114 jours

Puy-de-Dôme : Clermont Auvergne Métropole poursuit le déploiement de son schéma cyclable

Pour cette année, Clermont Auvergne Métropole a programmé plusieurs opérations d’aménagements qui découlent du schéma cyclable.
Il y a 3 ans et 114 jours

Melun : des aménagements pour la reconquête de l’île Saint-Étienne

De nombreux projets municipaux contribueront à la revalorisation de ce joyau historique de la ville de Melun.
Il y a 3 ans et 114 jours

Var : requalification du cœur des quartiers d’Agay et de Boulouris à Saint-Raphaël

La Ville de Saint-Raphaël a confié cette mission au Conseil d’architecture, d’urbanisme et de l’environnement.
Il y a 3 ans et 114 jours

Yvelines : des projets à venir pour rendre la circulation plus fluide dans la ville de Plaisir

La ville de Plaisir et ses partenaires travaillent actuellement sur des projets d’aménagement de voirie.
Il y a 3 ans et 114 jours

Le confort du rationalisme : les bureaux de l'agence d'architecture Nomade, à Vannes

La transformation de la caserne de Reuilly, dans le XIIe arrondissement de Paris, restitue à la ville une place d'armes et plusieurs bâtiments réhabilités, placés en retrait de la parcelle. L'immeuble de logements de Charles-Henri Tachon, dressé sur le lot B1 en marge de l'intervention, fait signal sur la rue de Chaligny. Il est construit en […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 114 jours

Transport et logistique : Toulouse lance sa ZFE le 1er mars

La Métropole de Toulouse met en place sa zone à faible émission (ZFE), avec des conséquences sur la circulation des véhicules, notamment pour les entreprises.
Il y a 3 ans et 114 jours

Projet "Grand Stade" : la Fédération de rugby condamnée à payer 150.000 euros

Dans sa décision, le tribunal a considéré "que la résiliation du contrat de promotion immobilière pour la construction du Grand Stade avant la fin de la seconde phase était prématurée et que la FFR a rompu le contrat au cours d'une phase et non après l'achèvement de cette phase", a indiqué à l'AFP une source judiciaire.La FFR a été reconnue coupable d'avoir réalisé une "résiliation fautive" du contrat avec le consortium selon cette source, précisant que le "surplus des demandes a été rejeté".La Fédération devra acquitter la somme de 150.000 euros au titre du "préjudice" du fait de cette résiliation avec Ibelys, qui avait réclamé devant le tribunal plus de 16 millions d'euros en guise de réparation, a expliqué à l'AFP Alexandre Martinez, le trésorier général de la Fédération.Dans ce dossier, la FFR, dont le président Bernard Laporte avait fait de l'abandon de ce projet de "Grand Stade" l'une de ses promesses de campagne, a déjà été condamnée à verser 3,36 millions d'euros à la communauté d'agglomération Paris Sud Seine-Essonne-Sénart, en juillet 2020.La Fédération avait fait appel de la décision dans cette affaire qui, pour l'instant, n'a pas été été à nouveau examinée par la justice.Le projet de "Grand Stade", sur le territoire des communes de Ris-Orangis et Bondoufle (Essonne), avait été abandonné par Bernard Laporte dès son élection à la présidence de la FFR en décembre 2016.Quant à la décision du tribunal d'Evry, notifiée aux parties jeudi, "nous n'avons pas encore décidé si nous allons faire appel", a encore souligné vendredi M. Martinez, mais "la probabilité est assez faible".Elle constitue "une excellente nouvelle et démontre que notre approche était pertinente", étant donné que le total des sommes réclamées à la FFR pour rupture de contrat dépassait les 50 millions d'euros et qu'au final la Fédération n'a été condamnée à verser "que 3,5 millions environ", a ajouté son trésorier général : "C'est toujours trop mais ça aurait pu être bien plus".D'une capacité prévue de 82.000 places, le Grand Stade, appelé à devenir le phare du rugby français et initié par l'ex-président de la FFR Pierre Camou, avait un coût estimé à 581 millions d'euros."Maintenant que l'on connaît l'épilogue de cette affaire, côté Fédération en tous les cas, cette décision (d'abandon du projet) a eu des conséquences extrêmement positives pour les clubs et le rugby français en règle général : ça nous a libéré des contraintes financières qui (nous) pesaient dessus et ça nous donne de fait une vraie marge de manœuvre en terme de gestion financière", a conclu le dirigeant.
Il y a 3 ans et 114 jours

Transition : "Nous avons des solutions de grande valeur à faire valoir", F. Petry

PRÉSIDENTIELLE 2022. La transition écologique et la lutte contre le réchauffement climatique constituent de nouvelles opportunités pour les industriels du béton, qui assurent que leurs produits ont une carte à jouer. Le président de la Filière Béton, François Petry, détaille à Batiactu les propositions formulées par le secteur aux candidats à l'élection présidentielle dans différents domaines : construction neuve, urbanisme, commande publique...
Il y a 3 ans et 114 jours

Paris ville-jardin : logique de guerre à Ithaque ?

Dans une tribune publiée par Le Monde (21/02/2022)*, Christophe Najdovski, maire-adjoint de Paris en charge de l’« Écologie pour Paris », développe pour la capitale de la France le concept de « ville-jardin ». Lequel fait logiquement suite à celui de ces « forêts urbaines » censées la composer. D’un oxymore l’autre inventé par Anne Hidalgo, maire candidate à la fonction […] L’article Paris ville-jardin : logique de guerre à Ithaque ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 114 jours

Zéro artificialisation nette : Jean Castex veut "rassurer" les élus

URBANISATION. Dans une circulaire publiée ces derniers jours, le Premier ministre indique aux préfets la marche à suivre pour rassurer et accompagner les élus dans la territorialisation des objectifs de réduction de la consommation d'espaces naturels.
Il y a 3 ans et 114 jours

L’Établissement français du sang de Vendée sera en chantier à compter de mars 2023

Les consultations entreprises en vue du réaménagement du sous-sol de l’Établissement français du sang de Vendée, ouvriront à l’automne 2022.
Il y a 3 ans et 114 jours

Val-d’Oise : le centre-ville d’Herblay-sur-Seine sera en travaux en mars 2022

Le chantier de réaménagement du centre-ville d’Herblay-sur-Seine est estimé à 6 millions d’euros.
Il y a 3 ans et 114 jours

Futur des entreprises et de leur lieu de travail : 2021 vs 2022, qu’est-ce qui a changé ?

En 2022, Génie des Lieux renouvelle cette enquête auprès de 3 512 personnes qui renforce certaines attitudes ou au contraire qui met en lumière de nouveaux comportements.81 % des entreprises veulent faire revenir leurs collaborateurs au bureau en 2022, elles étaient 77 % en 2021 ! Pas de télétravail dans des espaces de coworking pour 71 % d’entreprises en 2022 (67 % en 2021). 67 % ne prévoient toujours pas de consulter les salariés sur l’évolution du travail (61% en 2021). 57% des sociétés ne laisseront pas aux collaborateurs le choix de leur lieu de travail (52% en 2021).Les incontournables dans le futur qui sont renforcés :Une grande proportion de collaborateurs en télétravail : 72 % en 2022 (contre 64 % en 2021).La possibilité aux collaborateurs de travailler en tiers-lieux : 58 % (contre 61 % en 2021).Une surface de bureau réduite au minimum : 62 % (contre 57 % en 2021).La bonne question à se poser : le retour au bureau oui, mais pour quoi faire ?Pour Romain Millet, Ergonome, directeur New Ways of Working chez Génie des Lieux : « Cette enquête met en évidence les grandes questions des entreprises que nous accompagnons. Le retour au bureau est le sujet principal, mais la question primordiale est : « pour y faire quoi ? ». Car oui, le télétravail a fait son entrée fracassante avec la crise sanitaire et il est aujourd'hui une caractéristique essentielle de la situation. Nous sommes passés de l'adaptation forcée à l'anticipation pour demain. Le Future of Work est bien la question qui taraude les entreprises. Elles sont en demande d'une expertise pour établir une analyse poussée de leurs activités et penser à la meilleure organisation pour un modèle hybride. C'est seulement après ce travail introspectif que l'on pourra adapter les aménagements et les outils à ces nouveaux modes de travail, et cela clairement, au service de la performance du collectif. »2022 : Une adaptation à la crise sanitaire bien meilleure qu’en 2021 Depuis le début de la crise sanitaire, les entreprises françaises ont pu opérer de nombreux changements. Ainsi, en 2021, 41 % des Français estimaient que leur société s’était « moyennement » adaptée à la situation et seulement 28 % que celle-ci était « bonne ». En 2022, il semble que les entreprises se sont bien améliorées puisque 37 % estiment que l’adaptation de leur entreprise est « bonne », 14 % « très bonne » et voir « excellente » pour 7 %. Des évolutions différentes en seulement 1 an Tout comme en 2021, c’est le télétravail qui reste la préoccupation majeure : 46 % en 2021 et 41 % encore en 2022. La communication interne qui enregistrait 19 % de représentativité en 2021 a certainement eu moins de nécessité en 2022 avec seulement 10 % et se trouve remplacée par la mise en place de nouvelles règles de fonctionnement avec 16 % (12 % en 2021) juste devant la formation des managers avec 15 % (13 % en 2021). Les nouvelles grandes réflexions : adaptation des espaces et des outils En 2021, l’adaptation des espaces était déjà envisagée ou en cours pour 61 % des entreprises. En 2022, c’est encore plus une réalité avec 69 % de représentativité (34 % oui et 35 % en cours). Même constat pour l’adaptation du management qui comptabilisait 48 % de « oui » en 2021 et 49 % en 2022. D’autres projets restent encore en cours comme le positionnement de l’entreprise à 51 % en 2021 et 48 % en 2022, ainsi que la mise en place de nouveaux modes d’organisation à 55 % en 2021 et 51 % en 2022. Le développement de nouveaux outils fait également un bon en 2022 avec 45 % « d’en cours » contre 44 % de qui ne l’avait pas envisagé en 2021.Toujours pas de télétravail en coworking Déjà en 2021, très peu d’entreprises (seulement 9 %) proposaient à leurs collaborateurs de télétravailler dans des espaces de coworking à proximité de leur domicile. En 2022, ce taux a baissé pour atteindre 7 % et les réfractaires sont encore plus nombreux aujourd’hui avec 71 % contre 67 % en 2021.Encore moins de concertation A la question « Votre entreprise a-t-elle consulté les collaborateurs sur leur souhait d'évolution des pratiques de travail, du management, des environnements de travail, etc.? », la réponse qui était « non » à 61 % en 2021 l’est toujours en 2022 pour 67 % des personnes interrogées. Choisir son lieu de travail ? Laisser totalement le choix aux salariés du télétravail ou du présentiel n’était pas au goût du jour en 2021… et encore moins en 2022 ! En effet, 52 % des entreprises déclaraient l’année dernière ne pas laisser aux collaborateurs le choix de leur lieu de travail et elles sont aujourd’hui plus de 57 % à le revendiquer. Seulement 24 % sont susceptibles d’accorder cette liberté pour du télétravail de 1 ou 2 jours par semaine (15 % en 2021). Un fort besoin d’accompagnement pour réaménager les espaces ! La question du réaménagement des espaces de travail reste la priorité et surtout le sujet qui nécessite un véritable accompagnement. C’est ce que déclarent 77 % des professionnels interrogés en 2022 et qui étaient déjà 64 % dans ce cas en 2021. L’organisation des modes de travail intéresse également 68% des sociétés (contre 61 % en 2021) ainsi que les nouvelles façons de manager à 62 % (contre 59 % en 2021). Les objectifs pour 2022 ? Les mêmes qu’en 2021 ! Le télétravail c’est bien, mais faire revenir les collaborateurs au bureau reste la préoccupation N°1 de 81 % des entreprises en 2022 (77 % l’année dernière). Le deuxième objectif pour 75 % concerne l’amélioration des espaces afin de mieux gérer l’hybridation quasi inévitable du travail : à distance et en présentiel. A la troisième place, 55 % des entreprises veulent rassurer leurs équipes sur les enjeux sanitaires (61 % en 2021). Retour vers le futur du travail ?Même si les entreprises veulent plus de présentiel, le télétravail fait désormais partie intégrante du quotidien. Ainsi, plus de 72 % des entreprises envisagent une grande proportion de collaborateurs en home office dans le futur et étaient déjà 64 % à le penser en 2021. La possibilité de travailler dans différents lieux ne fait plus partie de leur vision du travail dans l’avenir et enregistre 58 % de votes contre 61 % l’année dernière. En revanche, la réduction des surfaces de bureau à son strict minimum est plus envisagée pour 62 % en 2022 alors qu’ils n’étaient que 57 % en 2021.
Il y a 3 ans et 115 jours

Harbert et Foncière Magellan confient à GSE la construction d'un parc d'activités de 10.000 m² près de Nantes

Avec ce nouveau parc, portant son pipeline de projets de Parcs d’Activités sous exclusivité ou sous promesse à plus de 50.000 m², Harbert poursuit ses investissements stratégiques aux côtés de Foncière Magellan. Ce Parc d’Activités de dernière génération (Classe A) sera livré en totalité début 2023. Il bénéficiera de caractéristiques environnementales élevées (BREEAM Very Good) ainsi que d’une toiture photovoltaïque. Il sera constitué de 22 cellules modulables, allant de 260 m² à 950 m² environ, et pouvant accueillir tout type d’activité. Le parc sera construit sur un terrain de plus de 2 hectares au sein de la ZAC du Clouet à Carquefou, qui bénéficie d’une excellente desserte routière, avec un accès rapide à l’autoroute A11. Un engagement environnemental élevéLe projet de parc d’activité - Parc du Clouet - vise une certification environnementale BREEAM Very Good. Cette démarche volontaire de qualité permet au projet de valoriser une conception et une construction garantissant des performances énergétiques, une réflexion sur l’impact carbone, un confort à l’usage et une intégration dans l’environnement respectueuse de la biodiversité.S’inscrivant dans une dynamique environnementale forte, ce parc s’inscrit dans une démarche énergétique plus sobre en énergie, confortable et sain pour les futurs usagers et facilitant l’exploitation, tout en préservant le site.Ce processus de certification présent tout au long du projet, assuré par l’expertise de GSE et de ses partenaires, de sa phase conception et jusqu’à sa phase réalisation, témoigne de l’engagement de qualité ciblé sur l’opération.Par le concours de tous, GSE a pu proposer une certification cohérente et adaptée aux besoins de Harbert et Foncière Magellan, soucieux d’intégrer les thématiques environnementales à l’ensemble du projet.Une synergie au service du développement économique localPour Eric Desautel, directeur du bureau français d’Harbert : « Le projet de Parc d’Activités du Clouet est un parfait exemple de la stratégie d’investissement d’Harbert sur des marchés d’avenir au sein de territoires qui se distinguent par leur dynamisme et leur attractivité. Celui-ci permettra de répondre à la demande croissante de la région Pays de la Loire en infrastructures d’Activités de dernière génération. Cela n’aurait pas été possible sans une collaboration étroite entre Loire Atlantique Développement, Harbert, Foncière Magellan et GSE. GSE nous accompagnera sur d’autres projets de notre pipeline en cours et nous sommes ravis de cette première collaboration. Nous continuerons à investir dans des actifs existants ou à développer sur le marché des parcs d’activités. »Pour Steven Perron, Président de Foncière Magellan et Lionel Lacroix, MRICS, Directeur Grands Comptes de Foncière Magellan : « Nous sommes ravis de continuer à apporter notre expertise et notre savoir-faire dans la création et la valorisation de parcs d’activités auprès de nos clients investisseurs. Cette acquisition est le fruit d’un long travail de collaboration avec les équipes de GSE et d’Harbert Management Corporation. Cette opération renforce notre engagement sur les territoires et le développement de notre marque Magellan Parc dédiée aux Parcs d’activités ».Pour Laurent Granier, Directeur Commercial de GSE : « GSE se réjouit d’avoir finalisé ce projet avec Foncière MAGELLAN et HARBERT. Nous sommes investis depuis longtemps sur cette opération. Après avoir sourcé ce projet, GSE l’a gagné grâce à son expérience reconnue dans les Parcs d’Activités. Il est à l’image d’autres projets que nous portons, car il répond à une ambition en collaboration avec la collectivité, ainsi qu’aux attentes d’un investisseur qui se l’est approprié. »Pour cette opération, Harbert et Foncière Magellan ont été conseillés par les études VXL et 1768, le cabinet DLA PIPER et le Cabinet Altais. La transaction a été réalisée par CBRE.
Il y a 3 ans et 115 jours

Résultats annuels 2021 de Kaufman & Broad

Nordine Hachemi, Président-Directeur Général de Kaufman & Broad, a notamment déclaré : « Les résultats de l’exercice 2021 sont en ligne avec les guidances, et mieux qu’anticipé en termes de génération de trésorerie avec un excédent de 35,9 millions d’euros de trésorerie nette (hors dette IFRS 16) et une capacité financière de 439,5 millions d’euros. La demande de Logement, que ce soit de la part des particuliers ou des investisseurs institutionnels, est toujours soutenue. La croissance (+4,8 % des réservations en volume) est toujours limitée par la difficulté d’obtenir des permis de construire dont le rythme de délivrance reste encore lent même si une reprise a été constatée en 2021. Les engagements liés à la transition énergétique, associés aux tendances démographiques et sociologiques, continueront à soutenir la demande de logement. En effet, seul le logement neuf permet d’atteindre la neutralité carbone alors qu’une partie du marché locatif existant ne pourra plus répondre à terme, aux objectifs de performances énergétiques. La réserve foncière Logement s’établit à plus de 35 000 lots à fin novembre, soit environ 8,2 milliards d’euros TTC d’activité potentielle. A cela s’ajoutent les projets de réhabilitation de friches industrielles et tertiaires en cours de développement par notre filiale Aménagement et Territoires, qui représentent environ 700.000 m2 de projets soit un potentiel d’environ 10.000 logements. Kaufman & Broad a acquis 60 % du capital de la société Neoresid, gestionnaire de 13 résidences étudiants dans 11 villes représentant plus de 1 400 logements. La démarche RSE de Kaufman & Broad intégrée au cycle de production des projets est évaluée annuellement par des organismes indépendants (Vigeo, Gaia, CDP,…). Kaufman & Broad s'est engagé à réduire ses émissions de CO2d’ici à 2030, en alignement avec les accords de Paris. Cet engagement est soumis à évaluation et suivi par le SBTi (Science Based Targets initiative). En Immobilier d’entreprise, Kaufman & Broad a été désigné lauréat par le groupe EDF pour la réalisation de son campus tertiaire à Marseille pour une surface d’environ 26 000 m2, à laquelle viennent s’ajouter des surfaces commerciales pour STELLANTIS. Par ailleurs, trois opérations ont fait l’objet d’une vente en VEFA pour un total d’environ 18 000 m2 (Silva à Bordeaux, Wilton à Nantes et Prism à Montpellier). Ces projets démontrent la nécessité de concevoir des opérations adaptées aux nouveaux usages et d’une qualité environnementale élevée. Sur l’ensemble de l’exercice 2022, le chiffre d’affaires devrait progresser d’au moins 5 %, l’activité Logement présentant des perspectives plus dynamiques. Le taux de Résultat opérationnel courant (MOP) ou d’EBIT devrait être supérieur à 7 %. Le pourvoi devant le Conseil d'Etat sur le projet de réaménagement de friches du quartier de la gare d’Austerlitz a pour seule conséquence, à ce jour, le décalage du démarrage des travaux à la date du jugement définitif. Les résultats de 2021, la solidité de la structure financière de Kaufman & Broad ainsi que le niveau historiquement élevé de son Backlog ont conduit le Conseil d’Administration à proposer à l’Assemblée Générale des Actionnaires qui se réunira le 5 mai prochain, un dividende de 1,95 euro par action au titre de l’exercice 2021. L’ensemble de ces perspectives repose sur une stabilisation de la situation économique et sanitaire actuelle. »Activité commercialePôle Logement En 2021, les réservations de logements en volume s’établissent à 6 609 logements, en hausse de 4,8 % par rapport à la même période de 2020 (6 305 logements). En valeur, elles s’élèvent à 1 404,5 millions d’euros (TTC), à comparer à 1 490,8 millions d’euros (TTC) en 2020.Répartition de la clientèle En 2021, les réservations en valeur (TTC) des accédants ont progressé de 83 % (primo-accédants) et de 72 % (secundo accédants). Les accédants représentent 20 % des ventes contre 11 % pour la même période de 2020. Les réservations en valeur réalisées auprès des investisseurs représentent 34 % des ventes (26 % pour le seul dispositif Pinel), en augmentation de 41 % par rapport à novembre 2020 où ils représentaient 22 % des ventes. La part des ventes en bloc a représenté 46 % des réservations de logements, soit 651 M€. Elles représentaient 67 % des réservations en 2020.Délai d’écoulement et offre commerciale Le délai d’écoulement des programmes s’est établi à 3,7 mois sur l’année 2021, contre 3,8 mois l’année précédente. L’offre commerciale s’élève à 2 011 logements à fin novembre 2021 (1 999 logements à fin novembre 2020). 93 % de logements concernent des programmes situés en zones tendues (A, Abis et B1).Pôle Tertiaire En 2021, le pôle tertiaire a enregistré des réservations nettes de 53,7 millions d’euros (TTC). Kaufman et Broad a actuellement en commercialisation ou à l’étude environ 342 900 m² de projets tertiaires dont plus de 205 400 m² de surfaces de bureaux et environ 137 500 m² de surfaces logistiques.Par ailleurs, près de 93 000 m² de surfaces de bureaux sont actuellement en construction ainsi que plus de 42 100 m² de surfaces logistiques. Enfin, il reste environ de 100 800 m² de surfaces de bureaux dont les contrats sont en attentes de mise en vigueur. À fin novembre 2021, le backlog Tertiaire s’élève à 1 133,4 millions d’euros.Indicateurs avancés de l’activité commerciale et développement Au 30 novembre 2021, le Backlog Logement s’établit à 2 385,3 millions d’euros (HT), soit 25,8 mois d’activité. À la même date, Kaufman & Broad compte 146 programmes de logements en cours de commercialisation, représentant 2 011 logements (147 programmes pour 1 999 logements à fin 2020). Le Backlog total du groupe s’élève à près de 3,5 Mds€, dont 36,3 % du chiffre d’affaires restant à reconnaître est basé sur des terrains déjà acquis. Dans la part des opérations dont le terrain reste à acquérir, le projet de la gare d’Austerlitz A7/A8 représente à lui seul près de 28,6 % du Backlog global du groupe au 30 novembre 2021. Le portefeuille foncier Logement représente 35 149 lots. Il est stable par rapport à celui de fin novembre 2020 et correspond à un chiffre d’affaires potentiel de près de cinq années d’activité. Résultats financiersActivité Le chiffre d’affaires global s’établit à 1.281,8 millions d’euros (HT), en progression de 10,2 % par rapport à la même période de 2020 (soit 1.163,1 millions d’euros (HT)). Le chiffre d’affaires Logement s’élève à 1.109,1 millions d’euros (HT), contre 963,3 millions d’euros (HT) en 2020 (+15,1 %). Il représente 86,5 % du chiffre d’affaires du groupe. Le chiffre d'affaires de l’activité Appartements augmente de 20,2 % et s’établit à 1.054,7 millions d’euros (HT) à comparer à 877,1 millions d’euros (HT) à la même période de 2020. Le chiffre d’affaires de l’activité Maisons individuelles en village s’établit à 54,4 millions d’euros (HT) contre 86,1 millions d’euros (HT) sur la même période de 2020. Le chiffre d'affaires du pôle Tertiaire s’établit à 165,5 millions d'euros (HT), à comparer à 194,4 millions d’euros sur la même période de 2020.Eléments de rentabilité Au 30 novembre 2021, la marge brute s’élève à 222,6 millions d’euros, à comparer à 207,2 millions d’euros en 2020, en hausse de 7,5 %. Le taux de marge brute s’établit à 17,4 %, à comparer à 17,8 % en 2020. Les charges opérationnelles courantes s’élèvent à 124,2 millions d’euros (9,7 % du chiffre d’affaires), contre 127,0 millions d’euros pour la même période en 2020 (10,9 % du chiffre d’affaires). Le résultat opérationnel courant s’établit à 98,4 millions d’euros, à comparer à 80,1 millions d’euros en 2020. Le taux de marge opérationnelle courante s’élève à 7,7 % contre 6,9 % à la même période en 2020. En 2021, le résultat net de l’ensemble consolidé s’élève à 66,3 millions d'euros (à comparer à 56,5 millions en 2020). Les participations ne donnant pas le contrôle (intérêts des minoritaires) s'élèvent à 22,5 millions d’euros contre 16,4 millions d’euros en 2020. Le résultat net - part du groupe ressort à 43,9 millions d’euros (vs 40,1 millions d’euros sur l’année 2020).Structure financière et liquidité La trésorerie nette (hors impact dette IFRS 16) s’établit à 35,9 millions d’euros au 30 novembre 2021, à comparer à une trésorerie nette de 62,5 millions d’euros à fin 2020.La trésorerie active (disponibilités et valeurs mobilières de placement) s’établit à 189,5 millions d’euros, à comparer à 215,2 millions d’euros au 30 novembre 2020.La capacité financière s’élève à 439,5 millions d’euros (465,2 millions d’euros au 30 novembre 2020). Le besoin en fonds de roulement au 30 novembre 2021 s’établit à 113,7 millions d’euros, soit 8,9 % du chiffre d’affaires sur 12 mois glissants, à comparer à 122,1 millions d’euros au 30 novembre 2020 (10,5 % du chiffre d’affaires). Dividendes Le Conseil d’Administration de Kaufman & Broad SA proposera à l’Assemblée Générale des actionnaires du 5 mai 2022 la mise en paiement d’un dividende de 1,95 € par action. Réduction de capital par l’annulation de titres autodétenus Dans le cadre de l’autorisation conférée lors de l’Assemblée Générale du 6 mai 2021, le Conseil d’Administration du 26 janvier 2022 a procédé à une réduction de son capital par l’annulation de 400 000 titres autodétenus, portant ainsi le nombre de titres composant le capital social de la société de 21.713.023 à 21.313.023 actions. Perspectives 2022 Sur l’ensemble de l’exercice 2022, le chiffre d’affaires devrait progresser d’au moins 5 %, l’activité Logement présentant des perspectives plus dynamiques. Le taux de Résultat opérationnel courant (MOP) ou d’EBIT devrait être supérieur à 7 %.