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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Urbanisme - Aménagement

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Il y a 3 ans et 120 jours

Frédéric Guimbal, nouveau directeur général adjoint de Chryso

Frédéric Guimbal vient d’être nommé directeur général adjoint de Chryso, en charge des marchés, de l’innovation, des achats et de la communication. [©Chryso] Frédéric Guimbal a été nommé directeur général adjoint de Chryso (groupe Saint-Gobain), en charge des marchés, de l’innovation, des achats et de la communication. Depuis 2021, il dirigeait la BU Béton de Chryso et rejoint maintenant l’équipe du comité exécutif du groupe. « Nous allons poursuivre nos efforts de recherche et de développement de nouvelles solutions. Ceci, pour aider nos clients à relever les défis de la construction durable», explique Frédéric Guimbal. Et de poursuivre : « Nos technologies additives offrent de hautes performances. Mais aussi et des propriétés durables nécessaires à la conception de ciments et de bétons plus écologiques. Saint-Gobain dispose d’une vaste plate-forme industrielle et d’un large réseau de centres de R&D sur lesquels nous pouvons nous appuyer pour déployer nos nouvelles offres dans de nombreuses régions ». Frédéric Guimbal apportera ainsi au groupe quelque 17 ans d’expérience dans l’industrie du ciment et du béton. Etant proche du terrain et ayant géré ces activités dans diverses régions du monde, tant dans les pays matures qu’émergents. Il a notamment été directeur Lafarge Inde, en 2012 et directeur général d’Holcim Azerbaijan, en 2017.
Il y a 3 ans et 120 jours

Var : les travaux de réaménagement de la place Paul-Vernet débuteront en 2023

Le réaménagement de la place Paul-Vernet s’inscrit dans les actions de redynamisation du cœur de ville de Fréjus.
Il y a 3 ans et 120 jours

La Fédération Cinov, actrice des transitions, interpelle les candidats à l’élection présidentielle

Alors que le prochain quinquennat sera décisif pour réussir les transitions numériques, écologiques et sociétales à l’œuvre, la Fédération Cinov entend interpeller le futur exécutif sur sa vision de la conduite du changement, l’inciter à rétablir la confiance et le dialogue, et l’encourager à favoriser la formation tout au long de la vie.Faire appel aux métiers de la prestation de services intellectuels pour accompagner les changementsS’appuyant sur une analyse des conséquences induites par l’épidémie de Covid-19 (digitalisation des activités professionnelles, mouvement de réindustrialisation du pays, révision du modèle de santé), la Fédération Cinov pose le constat d’une société complexe, traversée et transformée par des événements « imprévisibles », « inédits et radicaux ». Deux grands défis s’installent néanmoins durablement : la transformation numérique et la transition écologique. Pour la Fédération Cinov, ces dernières représentent « les deux éléments incontournables des transformations de notre époque ».Face à ce constat, les petites et moyennes entreprises du Conseil, de l’Ingénierie et du Numérique déclarent, par ce Manifeste, se retrouver « sur le devant de la scène pour accompagner les changements ». La Fédération Cinov rappelle en effet que la mission de ces entreprises est d’accompagner « les collectivités, les entreprises et les territoires dans la réalisation de leurs projets de transformation ».Repenser les enjeux de gouvernance pour donner plus de pouvoir aux acteurs de terrainPour la Fédération Cinov, les transformations décrites doivent être l’occasion de repenser le modèle de gouvernance français. En effet, elles annoncent « une société renouvelée » dans laquelle la parole des « acteurs de terrain, qui perçoivent les premiers signes du changement » est écoutée et valorisée. La Fédération Cinov invite à s’enrichir de la connaissance des petites entreprises pour « apprendre en permanence des situations et [...] apporter des réponses stratégiques et innovantes ». A travers son Manifeste, la fédération demande ainsi à ce que le futur exécutif « valorise la multiplicité des points de vue et les différents types d’expériences ».Cependant, « alors que les TPE-PME représentent plus de 95 % des entreprises et emploient environ 50 % des salariés », la Fédération Cinov regrette que les décomptes de représentativité favorisent excessivement les très grosses entreprises, « qui ne représentent que 5 % de celles-ci et n’emploient pas plus de la moitié des salariés. » Elle appelle les candidats à rapprocher la représentation de « la situation réelle des entreprises et des salariés », en s’appuyant pour cela sur les nouvelles potentialités offertes par le numérique, « qui permet de nouvelles formes de mobilisation et d’expression collectives. »Généraliser la formation professionnelle pour mieux s’adapter aux changementsConsidérant la formation tout au long de la vie comme « l’outil le plus efficace pour répondre aux transitions », la Fédération Cinov demande à ce que les politiques publiques de formation soient plus ambitieuses et mieux valorisées. Même si la loi « pour la liberté de choisir son avenir professionnel » en 2018 a permis des avancées pour la formation des demandeurs d’emploi, la fédération regrette que « cette évolution se soit faite au détriment des actifs occupés ». Pour une meilleure considération des enjeux liés à la formation, le Manifeste présidentiel préconise à nouveau d’écouter davantage les TPE-PME, notamment dans la formulation de leurs besoins.Face à la prise de conscience des exigences environnementales, et de la transformation des outils et méthodes de travail, le Manifeste de la Fédération Cinov rappelle que « la formation continue est indispensable, pour le développement des compétences de l’entreprise et l’adaptation de chacun à un monde en transition permanente ». Pour cela, le document invite le futur gouvernement à développer une formation concrète qui réponde aux besoins des TPE-PME, à rééquilibrer la formation initiale et continue et à repenser nos usages dans ce domaine.Une démarche de long terme avec la mise en place de sa plateforme « Parlons 2022 »La Fédération Cinov poursuit son travail au-delà de l’échéance présidentielle. Elle compte produire des propositions sur le long terme en associant l’ensemble des ressortissants de la branche à ce travail de réflexion. Elle a souhaité favoriser l’intelligence collective par la mise en place d’une plateforme collaborative : « Parlons 2022 ». Sur ce site, l’ensemble des propositions « Métiers » des différents syndicats peuvent ainsi être présentées, mais également commentées, amendées et discutées par tout professionnel désireux de faire entendre sa voix.
Il y a 3 ans et 121 jours

REP Bâtiment : une filière en attente

Cette avancée réglementaire dans la mise en place effective du dispositif nécessite de la part de la filière des produits ou matériaux de construction du secteur du bâtiment de se mettre en ordre de marche sinon d’accélérer le mouvement.Tant attendu par les professionnels du secteur, le décret d’application n°2021-1941 du 31 décembre 2021, publié au Journal Officiel le 1er janvier 2022, est venu mettre sur pied la nouvelle REP bâtiment. Prévue par la loi relative à la lutte contre le gaspillage et à l’économie circulaire (AGEC) du 10 février 2020, la filière de responsabilité élargie des producteurs (REP) pour les déchets issus du bâtiment a pour objectif d’apporter des solutions concrètes et durables à la problématique de gestion de la production de déchets et des dépôts sauvages, émis par la filière. Chaque année, le secteur du bâtiment génère plus de 42 Mt/an de déchets, soit l’équivalent de la quantité totale de déchets produits annuellement par les ménages en France.Si la nécessité de réduire cette forme de pollution fait consensus auprès des professionnels de la filière, les moyens et les coûts de sa mise en œuvre font toutefois débat.Un dispositif centré sur la collecte et le traitement des déchets L’objectif est clair : collecter et revaloriser les déchets générés lors de la destruction et la rénovation des bâtiments. Tous les efforts sont donc concentrés sur le traitement des déchets, à défaut de pouvoir réduire efficacement leur émission.Le dispositif en tant que tel repose sur deux piliers que sont le développement des filières de réemploi et la lutte contre les dépôts sauvages.Le renforcement du maillage territorial des installations destinées à recueillir les déchets est indispensable. Or, ce dernier n’est pas directement fixé par le décret qui donne seulement compétence aux éco-organismes agréés. Ceux-ci auront donc la charge d’établir un projet de maillage. Ce projet devra respecter les standards fixés par le décret et retranscrits à l’article R. 543-290-5 du code de l’environnement. Par exemple, à l’échelle régionale, la distance moyenne entre le lieu de production des déchets et l’installation de reprise des déchets doit être, en principe, de 10 kilomètres.Ces standards ont été salués par les acteurs du bâtiment, comme la CAPEB (Confédération de l’Artisanat et des Petites Entreprises du Bâtiment), car ils permettraient de limiter les coûts de transport, sous réserve qu’un projet de maillage soit mis en œuvre incessamment. A défaut, les dépôts sauvages continueront de croître et les dispositifs comme l’obligation de reprise des déchets perdront de leur efficacité.Si ce décret ne permettra pas de résoudre à lui seul cette question majeure, son apport est indéniable. Il permet en effet de fixer l’étendue des nouvelles obligations de reprise des déchets. Par ailleurs, en définissant les matériaux et producteurs concernés par la REP, ce décret ajoute une pierre à l’édifice au régime de responsabilité élargie des producteurs.Des retards dommageables dans la mise en œuvre du dispositifPour autant, et bien que le texte ait été salué par l’ensemble de la filière, sa mise en œuvre s’avère plus complexe que prévu. En effet, les concertations engagées avec les parties prenantes de la filière n’ont pas abouti dans les temps impartis par la réglementation applicable. A ce jour, aucun éco-organisme n’a été agréé alors que cet agrément est indispensable à la mise en place de la REP.Alors que la loi relative à la lutte contre le gaspillage et à l’économie circulaire (AGEC) du 10 février 2020, prévoyait une mise en œuvre du dispositif au 1er janvier 2022, le gouvernement a annoncé un report pour partie au 1er janvier 2023. La filière du bâtiment se retrouve de fait dans une situation paradoxale où la REP a force obligatoire, nécessitant de se mobiliser afin d’être en conformité avec cette réglementation, alors que les moyens de traitement et de collecte des déchets n’ont toujours pas été précisément définis et déployés concrètement. Cela se traduira pour l’exercice 2022 par un rattrapage dont les modalités devront être ultérieurement précisées d’ici à 2023.Ainsi, bien que ce décret soit une avancée majeure, l’agrément d’un éco-organisme est encore indispensable. Plus la période entre la mise en vigueur de la REP et cet agrément sera longue, plus le rattrapage dans la structuration de la filière sera complexe à organiser.Tribune de Maître Adrien Fourmon, Counsel en Droit public, énergie et environnement au sein du cabinet Jeantet (LinkedIn).
Il y a 3 ans et 121 jours

A Huzhou (Chine), toile soyeuse pour la ville aux mille soies selon Jiangong Architect

Dans la province du Zhejiang en Chine, le centre culturel et sportif de Huzhou Zhili conçu par l’agence de Shanghai Jiangong Architect accueille ses usagers sous une toiture légère composée de Flexlight TX 30 III HTL Serge Ferrari. Cette « toile soyeuse » est une solution éclatante pour Huzhou, « la ville aux mille soies ». Un […] L’article A Huzhou (Chine), toile soyeuse pour la ville aux mille soies selon Jiangong Architect est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 121 jours

A Winterthur, Schenker Stores recycle ses anciens BSO dans la rénovation circulaire et durable des bâtiment du projet K118

Pour mieux comprendre ce projet, en préambule, quelques mots sur sa genèse. Il y a près de 12 ans, la fondation Abendrot – qui est l’un des plus grands fonds de pension Suisse – achète à Sulzer Immobilier AG la zone industrielle désaffectée de Lagerplatz à Winterthur, district du canton de Zurich, pour y mener un projet de réaménagement. Accompagné par l’agence d’urbanisme Denkstatt, le cabinet d’architectes Baubüro In Situ et les usagers existants, Abendrot conçoit un projet de restauration architecturale et thermique des bâtiments qui se fonde sur un principe de rénovation circulaire et durable, pour ainsi dire laisser en l’état ce qui peut l’être, réparer si nécessaire et ne reconstruire que ce qui n’est pas réparable. Aussi, pour transformer et étendre les bâtiments industriels avec des éléments de structure de façade et d’intérieur de réemploi, l’équipe a fait le choix d’utiliser des matériaux issus pour la plupart de chantiers de déconstruction situés dans un rayon de 100 kilomètres autour du site en projet. Ils sont, autant que possible, réemployés en exploitant au maximum leurs propriétés, tout en minimisant l’investissement en temps et en énergie supplémentaire nécessaires à leur mise en œuvre. Le projet K118, de Baubüro In Situ, qui est le projet pilote de rénovation et de surélévation de l’extrémité de la Halle 118, s’est achevé fin 2021 et place la barre très haut en matière de construction circulaire et durable. DES STORES DURABLES Le bâtiment 118 se compose d’un soubassement existant de 3 niveaux en brique dont les façades, planchers intermédiaires et la structure intérieure ont été conservés au maximum et renforcés lorsque cela s’est avéré nécessaire, afin de tirer profit au maximum de l’existant et de minimiser les déchets du chantier. A cela s’ajoutent trois niveaux de surélévation en structure métallique et façade en bois et isolation paille. Les fenêtres et les stores, tout comme les façades, les radiateurs et les parquets en bois, viennent de bâtiments démantelés de la région de Winterthur et notamment de l’immeuble de bureaux Orion à Zurich-Ouest. Outre les nombreux éléments de façade, les brise-soleil orientables VR 90 de Schenker Stores qui équipaient le bâtiment Orion, ont également pu être réutilisés pour le K 118. Au regard des solutions de protection contre le soleil, l’Orion s’est avéré être un coup de chance ! Après leur démontage, chaque BSO, chaque lamelle, chaque support, chaque étrier et chaque butée de verrouillage ainsi que tous les basculateurs, tous les supports Texband et toutes les bandes-échelles ont été contrôlés pour vérifier leur état et leur fonctionnement, et réparés si nécessaire. Ce long travail minutieux de vérification et de réparation a demandé une expertise notable : valeur ajoutée indéniable dans ce processus de rénovation circulaire. Au total, plus de 2750 pièces détachées ont été inspectées. Le but était d’en laisser un maximum dans leur état d’origine. En temps normal, Schenker Stores fabrique des stores sur mesure, mais pour ce projet, ce fut l’inverse: les embrasures des fenêtres ont été adaptées aux dimensions des stores après consultation avec le constructeur de la façade et le charpentier. La situation initiale particulière de ce projet a demandé une gestion minutieusement coordonnée de la part de toutes les parties prenantes ainsi que plus du double de l’effort de coordination habituellement nécessaire. Outre les stores recyclés, Schenker Store a également monté de nouveaux BSO VR 90. Spécialement conçu pour résister au vent, ce store à lamelles reliées s’intègre à presque toutes les particularités architecturales, et se distingue par ailleurs par sa longue durée de vie. L’actionnement est le seul élément qui distingue les nouveaux modèles de VR 90 des anciens modèles. Une motorisation fait désormais le travail là où il fallait avant tourner un treuil. Doté de lamelles à la forme spéciale en Z, leur profil élégant habille esthétiquement les façades. Les lamelles en Z sont stables avec une largeur de 90 mm et une épaisseur d’environ 0,42 mm. Leur position est réglable librement, en fonction des besoins. La technique éprouvée des stores à lamelles reliées est facile à manœuvrer et silencieuse. Grâce à leur forme spéciale, elles offrent un contrôle précis et en continu de la lumière naturelle ainsi qu’un très bon obscurcissement. Conçues en composites, les lamelles, en position fermée, offrent d’excellentes propriétés isolantes permettant de réduire les dépenses énergétiques. Contrairement au principe du « décyclage », tous les matériaux de construction n’ont ici pas été d’abord retravaillés par un processus énergivore, mais directement réutilisés. Au total, près de 50 tonnes de CO2 ont ainsi pu être économisées. Alors que les émissions de CO2 de la construction ont pu être réduites de plus de moitié, les coûts financiers sont restés dans les limites de ce que peut représenter un nouveau bâtiment similaire. La différence réside dans le fait que la majeure partie des dépenses est allée directement dans la valeur ajoutée des artisans impliqués, car le matériau de réutilisation , peu coûteux, nécessite cependant un certain travail manuel et une certaine expertise avant de pouvoir être installé. Le projet K 118 a remporté l’or au concours international Global Holcim Award 2021 et obtient ainsi la plus haute distinction en matière de durabilité.
Il y a 3 ans et 121 jours

Autour du chantier de la Tour Triangle, riverains et commerçants parisiens sont partagés

Ils ont pris place en contrebas du périphérique, derrière une palissade, au milieu d'une rangée d'arbres à moitié épargnée : après deux mois de travaux préparatoires, l'arrivée lundi de dix silos de 16 mètres de hauteur, renfermant du béton liquide, a marqué le début officiel d'un chantier de quatre ans.A terme, une pyramide de 180 m de hauteur pour 42 étages, soit 95.000 m2, doit devenir le troisième édifice le plus haut de Paris, derrière les tours Eiffel et Montparnasse. "Trois fois par semaine, je m'arrête et j'imagine cette horreur", frémit Michèle Guittard-Golberin, qui habite à une centaine de mètres de là.Cette riveraine de longue date lutte contre ce projet "aberrant" au sein du Collectif contre la Tour Triangle. "On ne verra plus ce ciel", désespère la retraitée de 70 ans pour qui le futur gratte-ciel "va faire une sacrée ombre".Au milieu du Parc des expositions et sous le périphérique, personne ne prête trop attention aux premiers travaux sur cette artère qui relie Paris à Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine). Mais chacun y va de son avis."Arrêter avec ces délires"Nassera, 53 ans, redoute "beaucoup de monde" dans le quartier. Pour Rémi, éducateur spécialisé de 34 ans, "il faut arrêter avec ces délires" car "il y a assez de tours comme ça". Un autre passant redoute lui des "problèmes d'embouteillage, de circulation, de transports en commun".Du côté des "pour", Thierry, 52 ans, pense que la tour va permettre "une transition entre Paris et Issy". "Il y a des grandes capitales internationales qui évoluent, comme Londres", juge cet Isséen pour qui le choix du site, sans vis-à-vis direct, a été fait "de manière intelligente".Le tour "va redynamiser le quartier", positive Anne, une propriétaire qui espère voir "monter le prix du m2".La tour ne commencera à sortir de terre qu'à l'été 2023, pour finir d'être érigée mi-2025 et livrée en 2026, selon le calendrier du promoteur, le géant des centres commerciaux Unibail-Rodamco-Westfield (URW) qui anticipe 5.000 emplois directs et indirects pendant le chantier et 5.000 collaborateurs installés à terme.De quoi redonner espoir à des commerces à la peine après deux ans de crise sanitaire. "Tout le quartier vit avec les salons" du Parc des expositions, "c'est très dur pour nous", souligne Tran, gérante d'un restaurant de sushi."Depuis deux jours que le chantier est ouvert, on bosse bien le matin, les patron des sous-traitants payent le café", note une serveuse du Dupont qui redoute en revanche "la poussière en terrasse"."Réversibilité"Pour faire accepter son projet, URW met en avant les 1.000 m2 de panneaux photovoltaïques, le "béton bas carbone" et la "réversibilité" de la tour, critiquée pour faire la part belle à des bureaux (75% d'espaces de travail) pourtant mis à mal par le télétravail."Demain, on pourra si on le souhaite transformer 30.000 m2 de bureaux en logements", affirme URW.Pas de quoi convaincre Christine Nedelec, présidente de France Nature Environnement (FNE) Paris et SOS Paris, qui dénonce une "impasse verticale avec une pléthore d'ascenseurs" et "une tour-barre de 150 m de long". "C'est faux de dire qu'il n'y aura pas d'ombre", assure-t-elle."Sa forme a été définie pour ne pas générer d'ombre sur les riverains" mais en "majorité" sur le Parc des expos, répond Vincent Jean-Pierre, directeur du développement bureaux et projets mixtes chez URW.Les opposants espèrent toujours pouvoir arrêter le chantier, notamment grâce à l'enquête préliminaire pour "favoritisme" ouverte en juin 2021 autour de la concession.Jeudi 10 février, Patrice Maire, président de l'association Monts 14, a demandé à Emmanuel Macron un moratoire sur les travaux, s'appuyant sur un document récent de l'Unesco demandant à l'Etat de redéfinir la zone tampon entourant les Rives de Seine, classées au patrimoine mondial.
Il y a 3 ans et 121 jours

La RE2020 en maison individuelle, tout simplement avec les solutions bio’bric

Un bâtiment bien conçu et bien isolé permet de limiter les consommations d’énergie. Plus la résistance thermique de l’enveloppe de la maison (murs de structure) est élevée et les ponts thermiques traités grâce à des accessoires isolants, plus le bâtiment gardera la chaleur produite en hiver. C’est le double objectif du Pack maison individuelle :Gamme de briques de murs alvéolées avec une résistance thermique allant de 0,75 à 1,50 m².K/W (contre 0,23 m².K/W pour une maçonnerie traditionnelle non isolante).Planelles en terre cuite pour réduire les déperditions d’énergie en about de plancher.Les coffres de volet roulant et les briques à bancher-acrotères viennent compléter le Pack pour garantir une façade homogène 100 % terre cuite.La forte inertie des briques bio’bric permet une régulation de la température intérieure. La brique agit comme un climatiseur naturel, pour un confort d’été optimal.Quant à la limitation de l’impact environnemental du bâtiment, la brique en terre cuite bio’bric présente un impact carbone limité rapporté à l’ensemble de son cycle de vie. Ses bons résultats environnementaux sont consignés dans les FDES (Fiches de déclaration environnementale et sanitaire) mises à disposition par bio’bric dans la base Inies.Par ailleurs, fabriqués en France à partir d’une matière première géosourcée, l’argile, les produits bio’bric ne se dégradent pas dans le temps et les moisissures ne s’y développent pas, ce qui permet d’assurer la pérennité des ouvrages.La haute performance thermique des solutions bio’bric permet d’optimiser les prestations d’isolation et/ou des choix techniques sur les équipements de la maison. En limitant l’épaisseur d’isolation, la surface habitable est préservée.bio’bric accompagne les constructeurs et maîtres d’œuvres dans la définition et l’optimisation de leur système constructif RE2020 ; en partenariat avec les bureaux d’études thermiques.
Il y a 3 ans et 121 jours

Alpes-Maritimes : requalification des allées de la Liberté à Cannes : la phase 2 se poursuit

À Cannes, les travaux de réaménagement des allées de la Liberté prendront fin en juillet 2022.
Il y a 3 ans et 121 jours

Yvelines : rénovation du parc immobilier privé dans le centre ancien de Mantes-la-Jolie

La Ville, l’Agglomération et l’État mettent en place une opération programmée d’amélioration de l’habitat dans le centre ancien de Mantes-la-Jolie.
Il y a 3 ans et 121 jours

Val-d’Oise : un nouveau groupe scolaire au premier semestre 2023

Le futur groupe scolaire d’Argenteuil sera construit sur un terrain de 6 000 m2, à la croisée de trois quartiers.
Il y a 3 ans et 121 jours

Ville Low tech : le projet de recherche URBALOTEK

La démarche low-tech appliquée à la ville s’érige comme une nécessité pour le développement durable. Ce concept a pour objectif de mettre sur pied des solutions technologiques simples, mais performantes, tout en consommant peu de ressources. Le projet de recherche URBALOTEK va précisément dans ce sens. Son objectif est d’interroger la pertinence d’une traduction de […]
Il y a 3 ans et 121 jours

Pratique du vélo en ville : Montreuil ville cyclable en plus forte progression ces deux dernières années

Pour Patrice Bessac, maire de Montreuil : « Meilleure progression en Seine-Saint-Denis : Montreuil ! Comment ne pas se réjouir de ce classement issu d'une enquête de satisfaction menée auprès de celles et ceux pour lesquels nous travaillons au quotidien à améliorer, sécuriser, faciliter les déplacements alternatifs. En deux ans, Montreuil s'est fortement impliquée et a fait preuve d'un réel volontarisme dans l'amélioration du partage de la voirie en aménageant 7 nouveaux kilomètres de pistes cyclables au sortir du premier confinement qui ont permis d'améliorer le réseau cyclable, de réduire les coupures et de renforcer les liaisons avec les autres réseaux comme celui du RER V, le réseau vélo de la Région Île-de-France. »Avec son adjoint en charge des mobilités et de la ville cyclable, Olivier Stern, Montreuil prête une attention renforcée à cette enquête de satisfaction spontanée qui se reproduit tous les deux ans car, c'est pour elle une façon de mesurer et d'évaluer les efforts qu'elle met en œuvre pour répondre à la diversité des besoins de mobilité des habitants. Montreuil est la ville d'Île-de-France qui enregistre la plus forte progression et qui creuse l'écart avec les autres villes. Montreuil obtient une des meilleures notes à la question de l’ouverture au double sens cyclable des rues en sens unique, résultat de la mise en place généralisée à toute la ville de la zone 30.Au-delà, Montreuil est récompensée pour l'écosystème favorable à l'usage du vélo qu'elle a réussi à générer et qui transparaît au travers de la bonne note obtenue dans les catégorie « trouver un magasin ou un atelier de réparation de vélo » et « efforts faits en faveur du vélo par la ville sont importants ».En effet, les cyclistes montreuillois ayant répondu au questionnaire de ce baromètre saluent les efforts de la Ville faits en faveur du vélo et disent se sentir en sécurité dans les rues résidentielles. Deux catégories qui permettent à Montreuil de creuser l'écart avec d'autres collectivités.Bien entendu, et comme dans toutes les villes, des efforts restent à mener notamment sur le stationnement de véhicules motorisés sur les aménagements cyclables, sur les solutions alternatives à mettre en œuvre lors de travaux sur les itinéraires cyclables, sur le manque de respect de la part des conducteurs de véhicules motorisés ou encore sur le nombre de vols de vélo.Si Montreuil progresse c'est que la Ville s'est engagée depuis plusieurs années maintenant dans un plan vélo qui repose sur l’apaisement de la circulation et sur la création d’un réseau complet et sans coupures d’aménagements cyclables. Montreuil conçoit son développement en protégeant l’environnement, en favorisant la santé des Montreuillois et en préservant leur qualité de vie. Le développement de ce réseau de transport alternatif au déplacement automobile est un des éléments essentiels de la politique menée par la Ville en faveur des mobilités durables et de la lutte contre la pollution de l’air.En juin 2018, Montreuil a adopté un plan vélo sur cinq ans, destiné à rendre ce mode de déplacement plus populaire en programmant des aménagements qui en facilitent et en sécurisent la pratique.Ce Plan vélo concrétise l'attachement de la Ville de Montreuil à concevoir des politiques publiques de déplacement qui préservent l'environnement en réduisant les émissions de gaz à effet de serre pour améliorer la qualité de vie en ville. Ce mode de déplacement est performant, économe, souvent plus rapide que la voiture sur de courts trajets et bon pour la santé.Le Plan vélo de Montreuil compte cinq volets d'action, financés à hauteur de 30 % ou 50 % par la Région Île-de-France :Sécuriser et améliorer la qualité des déplacements cyclables ;Développer l’offre de stationnement vélo ;Proposer des services aux cyclistes ;Promouvoir le vélo ;Évaluer, en concertation avec les usagers, la progression de la politique vélo de la Ville.Le Plan vélo adopté par le Conseil municipal de juin 2018 s'est fixé pour objectifs de contribuer à :améliorer les aménagements et itinéraires cyclables continus, structurants et sécurisés pour renforcer et apaiser le partage de la voirie ;augmenter l’offre de stationnement sécurisé, dans les nouvelles constructions et sur l’espace public (nouveaux parcs de stationnement Véligo' et arrivée de 20 Vélobox dans les rues) ;garantir un meilleur partage de la voirie par des aménagements luttant contre les points noirs de vitesse et d’insécurité routière, en confortant ainsi le passage à la ville à 30 km/h généralisés en juin 2018 et permettant la mise en double sens de toutes les rues pour les cyclistes ;poursuivre l’expérimentation de la suppression des répétiteurs installés sur les feux tricolores créant naturellement un sas-vélo qui renforce la sécurité des cyclistes et piétons ;soutenir le marquage Bicycode permettant d’identifier un vélo volé ou perdu.Le Plan vélo de Montreuil c'est : 28 km d’itinéraires cyclables, 4 400 places de stationnement (2 200 arceaux), 11 pompes à vélo publiques en libre service, l’installation en 2018 de la première borne publique de réparation de vélo en Île-de-France et, une augmentation de 13 à 21 stations Vélib’ ainsi que de multiples associations de cyclistes et points de vente.
Il y a 3 ans et 122 jours

Les ventes de logements neufs à la peine en zones tendues

En 2021, 104.477 nouveaux logements ont été mis à la vente, en hausse de 21% par rapport à 2020, année exceptionnelle du fait des confinements mais en baisse de 8,8% par rapport à 2019, dernière année avant l'arrivée du Covid-19.Même tendance pour les réservations (annulations non comprises), 116.714 en 2021, soit 15% de plus qu'en 2020 mais 11% de moins qu'en 2019.Dans les zones les plus tendues (région parisienne, Côte d'Azur, frontière suisse) et les villes de plus de 250.000 habitants, réservations et mises en vente sont encore en-deçà de leur niveau d'avant-crise.A l'inverse, dans les villes de 50.000 à 250.000 habitants et dans le reste du territoire, les chiffres de 2019 sont atteints voire nettement dépassés.Dans ces deux zones, "la promotion immobilière a été moins impactée par la crise sanitaire que dans les zones plus tendues", note le ministère.Au quatrième trimestre, les biens les plus grands ont été les plus demandés, relève le ministère: appartements de plus de quatre pièces et maisons de plus de cinq pièces.Les prix moyens ont surtout progressé pour les maisons individuelles, qui sont parties à 339.000 euros en moyenne au quatrième trimestre, en hausse de 13,1% par rapport à 2020. La hausse des prix est surtout portée par les maisons de quatre pièces ou plus.Côté appartements, le prix moyen de vente s'établit à 4.500 euros le mètre carré, 4,7% de plus qu'en 2020, avec une hausse plus sensible pour les deux pièces (+5,8%).
Il y a 3 ans et 122 jours

Dessous l’image, à Paris-Saclay, le plan du master. Euro le master ?

Soudain, parmi les images qui inondent la rédaction, celle-ci (ci-dessus) pour un projet de 312 logements en résidence pour étudiants à Paris-Saclay, la banlieue cambrousse de Paris, une proposition signée de l’agence autrichienne Dietrich – Untertrifaller. Chacun sait qu’il ne faut pas se fier à une image de concours. Pour autant, que dit celle-ci du […] L’article Dessous l’image, à Paris-Saclay, le plan du master. Euro le master ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 122 jours

Le Groupe Lorillard signe deux conventions de sponsoring et de mécénat avec le C’Chartres Football Club

Le Groupe Lorillard et le C’Chartres Football Club ont officialisé la signature de 2 conventions pour 2022 dont un programme de sponsoring qui implique différents vecteurs de visibilité comme la présence du logo de la marque grand public Lorenove sur les supports print et digitaux, ainsi que sur les panneaux au stade de 2m x 1m, mais également l’annonce au micro pour les matchs à domicile de Ligue 2. Un dispositif d’hospitalité et de billetterie est également mis en place pour les matchs à domicile permettant d’animer le réseau de partenaires et clients du Groupe. En outre, un programme de mécénat vient soutenir des actions sociales du club pour des missions d’intérêt général de développement sportif des équipes U6 à U19, comme par exemple le soutien scolaire des licenciés. Fondé en 1936 à Chartres et présidé par Thierry Luce, le Groupe Lorillard figure parmi les leaders français de la menuiserie industrielle sur-mesure. Première entreprise indépendante du secteur, Lorillard couvre l’ensemble du marché de la fenêtre et maîtrise la fabrication de ses produits grâce à un pôle industriel intégré. La production est 100% française et le Groupe Lorillard s’engage dans la promotion du fabriqué en France et soutient son économie locale en privilégiant les fournisseurs proches des bassins de production du Groupe. Le Groupe compte aujourd’hui 1200 collaborateurs à travers la France qui partagent des valeurs communes : soutien, solidarité, sens des priorités, engagement. C’est autour de ces valeurs que le Groupe s’engage aujourd’hui auprès du C’Chartres Football Club, dans un partenariat qui permettra à l’entreprise de renforcer son ancrage local, de nouer de relations durables et d’accroître sa notoriété auprès d’un plus large public. Ci-dessus, l’équipe Senior de ligue 2 et de gauche à droite : Pierre Lorillard, Directeur Général Délégué au Commerce, au Marketing et à la Communication, Jean-Pierre Papin, entraîneur, Thierry Bocquet entraîneur adjoint, Thierry Luce Président, Gérard Soler Président du C’ Chartres Football Club. Pour Thierry Luce, Président du Groupe : « La force du collectif et l’ambition d’entreprendre animent notre Groupe depuis ses débuts. Nous sommes très heureux de nous engager aujourd’hui aux côtés du C’Chartres Football Club et d’accompagner les équipes et leurs supporters dans une nouvelle page de leur histoire. » L’équipe senior masculine de ligue 2 est entraînée par Jean-Pierre Papin depuis juin 2020. C’est le mécénat Neuf de Cœur (association présidée par l’épouse de Jean-Pierre Papin), débuté en 2019 avec le Groupe Lorillard et reconduit cette année, qui a initié la relation entre le Groupe et le footballeur. Ainsi, accompagner le C’Chartres Football Club est la continuité des actions de soutien du Groupe. Par ailleurs, l’attachement au territoire chartrain s’illustre également par un partenariat avec Chartres en Lumières depuis 2011, un événement désormais incontournable de la ville. Pour finir, le site de production chartrain pourvoit des centaines d’emplois de production et services supports auprès des actifs d’Eure-et-Loir. L’égalité des chances, la parité, l’accès à la formation sont des priorités pour le Groupe qui se retrouvent dans les valeurs du football et dans les actions du club en faveur de ses jeunes recrues. On le voit, au fil du temps et des évolutions, le Groupe Lorillard s’est agrandi, mais son attachement au territoire est resté intact. Un ancrage fort aux origines qui prend également vie dans les relations avec les partenaires. Ce double partenariat offre au Groupe l’opportunité de soutenir et renforcer sa présence auprès de la jeunesse du bassin chartrain, futurs acteurs du Groupe, en partageant les valeurs de respect et de dépassement de soi dans un contexte favorable à l’égalité des chances.
Il y a 3 ans et 122 jours

Rebelote pour « Réinventons nos cœurs de ville »

Avec 3,8 Mds € engagés au 31 décembre 2021 sur les 5 Mds annoncés entre 2018 et 2022, les pilotes d’Action cœur de ville abordent la dernière année de la première programmation quinquennale avec le cœur léger. En juin prochain, le gouvernement issu des prochaines élections législatives pourra appuyer sur le bouton Go du second acte, jusqu’en 2026.
Il y a 3 ans et 122 jours

Présidentielles 2022 : le syndicat des Énergies Renouvelables présente ses propositions pour la transition énergétique

L’urgence climatique impose en effet de mettre en place un véritable plan de bataille pour respecter la trajectoire fixée par l'accord de Paris. Les mesures transversales et sectorielles détaillées par le SER dans le second volet de son Livre Blanc 2022 permettraient ainsi de répondre à ces objectifs de décarbonation tout en pérennisant des industries créatrices d’emploi et d’économie durable dans les territoires.A l’heure de la révélation des programmes des candidats à la Présidentielle, le SER souhaite porter ses propositions auprès de l’ensemble des acteurs de la campagne et partager l’énergie d’un nouvel élan pour la France.Agir pour la transition énergétique à tous les échelonsL’Ademe et le gestionnaire du Réseau de transport d’électricité français (RTE) l’ont désormais rappelé : pour garantir notre sécurité d’approvisionnement et permettre à la France d’atteindre la neutralité carbone en 2050, près de 75% de notre consommation d’énergie devra être satisfaite par des énergies renouvelables à cet horizon. Un projet qui nécessite d’agir aux niveaux international et européen mais aussi à l’échelle des territoires. En première ligne pour planifier et participer à la concertation autour des projets d’énergies renouvelables, ils en sont les acteurs majeurs mais aussi les premiers bénéficiaires d’un point de vue socio-économique. Pour Jean-Louis Bal, Président du SER : « Pour être au rendez-vous en 2050, la France doit dès à présent passer à la vitesse supérieure en matière de renouvelables. C’est aussi un enjeu de responsabilité et de crédibilité par rapport aux jeunes générations, qui attendent une mobilisation forte de toutes les parties-prenantes. Dans ce contexte, les candidats doivent se saisir des outils déjà existants et être en capacité d’en faire émerger de nouveaux pour accélérer et accompagner le formidable projet rassembleur qu’est la transition énergétique. »Les clés pour déployer nos énergies dans les filières renouvelablesAprès avoir livré une vision de ce que la France peut retirer du développement massif des renouvelables, le second volet du Livre blanc du SER présente une série de 10 mesures transversales et concrètes pour passer à l’action dans le cadre du quinquennat à venir : 01. Un « Fonds social pour le climat » pour accompagner les plus vulnérables et permettre une transition énergétique pour tous.02. Un « Parcours renouvelable » pour décrocher un emploi dans la transition énergétique.03. Une « étude d’impact climatique » sous l’autorité du Premier ministre pour une meilleure cohérence des politiques publiques.04. Une ambition énergétique cohérente avec celle de l’Union Européenne et assise sur une fiscalité allégée pour les énergies renouvelables.05. Un nouveau programme industriel « France Renouvelables » pour renforcer la souveraineté de la France dans les technologies stratégiques de la transition énergétique.06. Un pacte « Investir en confiance » pour renouveler les modes de financement des énergies renouvelables.07. Un programme national de sortie des énergies fossiles dans les secteurs encore dépendants.08. Un renforcement des ressources humaines et des capacités de pilotage de la politique de développement des énergies renouvelables pour respecter les objectifs fixés.09. Un programme national d’information sur les énergies renouvelables pour un débat éclairé et fondé sur des faits.10. Une France exemplaire en Europe et dans le monde pour se positionner comme une nation leader de la transition énergétique.En complément de ces propositions, près de 50 mesures sectorielles ont été élaborées afin de répondre aux enjeux des 12 filières du renouvelable français et ainsi générer des retombées environnementales et économiques significatives.Les biocarburants. Objectif : pérenniser les industries et les emplois liés à la production de biocarburants conventionnels et développer les emplois liés à la production de biocarburants avancés.Le bois-énergie individuel. Objectif : améliorer la qualité de l’air grâce au remplacement d’appareils anciens et polluants par des équipements labellisés, tout en participant à la stabilité du réseau électrique.Le bois-énergie collectif. Objectif : pérenniser et développer des emplois ancrés dans les territoires et souvent générés par des PME pour renforcer et structurer l’ensemble de la chaîne de valeur.L’éolien terrestre. Objectif : permettre à chacun de disposer des clés pour en comprendre les enjeux et participer au débat, accélérer les instructions des projets et faire bénéficier les communes d’implantation des retombées directes des parcs à travers la mise en place d’un nouveau fonds.L’éolien en mer. Objectif : lancer un exercice de planification maritime dès 2022 et conclure un Pacte de filière pour formaliser des engagements relatifs à sa pérennisation et demander un engagement de l’État sur le rehaussement des ambitions de développement, à moyen et long-terme.Les énergies marines renouvelables (EMR). Objectif : doter la France d’un objectif de développement pour tirer parti de ces ressources en métropole comme en Outre-mer.Les gaz renouvelables. Objectif : produire et injecter 12 TWh de biométhane dans les réseaux gaziers à horizon 2023 et créer près de 16 000 emplois directs et indirects d’ici la fin de la décennie.La géothermie. Objectif : doubler la production de chaleur par géothermie en dix ans, soit une économie de 1,1 million de tonnes équivalent pétrole.L’hydroélectricité. Objectif : optimiser la production des installations existantes et en développer de nouvelles.Le solaire photovoltaïque. Objectif : créer de nouvelles implantations industrielles innovantes pour positionner la France comme un véritable acteur du solaire, crédible en Europe et dans le monde.Le solaire thermique. Objectif : accélérer son développement pour diversifier les solutions de production de chaleur renouvelable, en particulier pour l’industrie et les réseaux de chaleur.La valorisation énergétique des déchets. Objectifs : tendre vers 100 % de valorisation des déchets en complément du recyclage.
Il y a 3 ans et 122 jours

Action coeur de ville dépasse ses objectifs avec 67.000 logements engagés

VILLES MOYENNES. Alors que le programme Action coeur de ville entre dans sa dernière année, l'ANCT donne à voir les résultats obtenus dans les villes moyennes bénéficiaires, et esquisse la prochaine étape du programme, qui se poursuivra jusqu'en 2026.
Il y a 3 ans et 122 jours

Toulouse: Téléo prendra son envol en avril 2022

Le compte à rebours est lancé pour Téléo, le téléphérique urbain de Toulouse. Tisséo Ingénierie, le maître d’ouvrage, termine ses derniers essais techniques avant la marche à blanc prévue en mars et la mise en service fin avril.
Il y a 3 ans et 122 jours

Un compromis pour le réaménagement du site de la Tour Eiffel

La mairie de Paris a trouvé un compromis sur le projet contesté de réaménagement entre le Trocadéro et la Tour Eiffel, dont sera finalement exclue une partie du Champs-de-Mars.
Il y a 3 ans et 122 jours

La relation client au cœur de la stratégie ROMUS® grâce au nouveau portail digital ROME lancé en janvier 2022.

Bienvenue dans une nouvelle ère de service optimisé, plus réactif et exhaustif pour gagner en efficacité terrain. Romus®, plus que jamais du côté des professionnels du sol, de la finition et de la peinture. 2022 s’annonce dynamique et technologique ! + de 50 ans de savoir-faire et d’écoute terrain pour optimiser nos solutions. nouvel outil […]
Il y a 3 ans et 122 jours

Würth ajoute un espace dédié au clouage sur son e-shop

Celle dernière s’adresse principalement aux applications des métiers du Bois, du Bâtiment et des Installateurs.À ce jour 6 cloueurs composent l’offre de Würth France afin de couvrir l’ensemble des besoins techniques des professionnels. Une équipe de 7 spécialistes terrain est présente pour accompagner au mieux les clients partout en France : démonstration produits, conseils techniques, formation et service d’entretien. Eric Hanss, coordinateur de la gamme Clouage chez Würth France précise : "À chaque application sa solution clouage. En fonction du support rencontré, de l’application visée, un cloueur et les consommables adaptés. Le but est d'utiliser un cloueur le plus souvent sur chaque chantier. La finalité est de gagner en temps, en confort de travail et en rentabilité."L’ensemble des cloueurs Würth est également disponible en location via l'offre MasterFleet.Un succès sur les réseaux sociaux ! L’un des cloueurs Würth (le BST 350 – 0864 22) a même fait le buzz sur TikTok grâce à une vidéo qui a été vues plus de 5.9 millions de fois ! Découvrez là ici.
Il y a 3 ans et 122 jours

Vinci augmente sa participation dans la concession des deux ponts de Lisbonne

INTERNATIONAL. Vinci Concessions et son partenaire Lineas ont acquis les parts précédemment détenues par Atlantia dans Lusoponte. Ils prennent ainsi le plein contrôle de l'exploitation des ponts lisboètes Vasco de Gama et du 25-Avril, sur l'estuaire du Tage.
Il y a 3 ans et 122 jours

RATP Real Estate s’associe à Morning et ouvre son premier espace de travail à Paris

Le premier site entièrement réhabilité par Urban Station, en partenariat avec Morning, est le poste de redressement dit des “Petites Écuries”. Situé dans le 10ème arrondissement de Paris, il permet l’alimentation électrique des lignes du RER B. Les bureaux attenant à ce poste de redressement ont été transformés, grâce à l’expertise de Morning, en espace de travail. Une cinquantaine de travailleurs peuvent désormais y être accueillis, bénéficiant de bureaux clé en main.C’est l’entreprise Joone, spécialisée dans les produits d’hygiène et de soin pour toute la famille qui prendra possession des lieux pour une durée de 16 mois.Un partenariat de confianceEn juin dernier, Urban Station a confié à Morning l’intégralité de la conception et de l’aménagement du site (dans le respect de la charte design d’Urban Station), ainsi que les travaux, la commercialisation et la gestion courante de l’espace. Ce partenariat démontre l’expertise d’aménageur et d’opérateur pour le compte de tiers de Morning. En seulement quelques mois de travaux et d’aménagement, l’espace est fin prêt à accueillir ses nouveaux occupants !Un lieu à la hauteur des attentes de JooneDès la rentrée de janvier 2022, l'entreprise Joone, spécialisée dans les produits d’hygiène et de soin pour toute la famille, s'installera dans ce nouvel espace d’Urban Station correspondant parfaitement à leurs critères. Ce qui a conquis Joone ? La flexibilité du contrat proposé, le délai d’installation presque imminent ainsi que la localisation stratégique de l’espace de travail.Pour Harold Favre, Office Manager chez Joone : “Nous souhaitions avoir un espace qui soit entièrement notre, respectant notre identité et notre intimité. Étant une cinquantaine de collaborateurs, il était primordial que l’espace comporte un poste par personne même si tous ne viennent pas en même temps, pour assurer l’espace personnel et le confort de chacun. La localisation stratégique de l’espace dans l’hypercentre de Paris était également un prérequis.”
Il y a 3 ans et 122 jours

Entrepreneurs individuels... Vos textes officiels du mardi 15 février 2022

La rédaction du "Moniteur" vous propose une sélection quotidienne des textes officiels intéressant le secteur. Au menu : droit de la construction, urbanisme, commande publique et privée, réglementation technique, logement, social…
Il y a 3 ans et 122 jours

Haute-Garonne : ouverture à l’été 2022 du nouveau bassin nordique

La ville de Blagnac a fait le choix de transformer sa piscine olympique extérieure en bassin nordique pour augmenter et diversifier sa fréquentation.
Il y a 3 ans et 122 jours

HeidelbergCement France, nouveau mécène des Arts et Métiers

Signature de la convention de mécénat par Bruno Pillon, président des activités France d’HeidelbergCement, et Laurent Champaney, directeur général des Arts et Métiers (tous les deux au centre de la photo). [©HeidelbergCement France] Le 8 février dernier, HeidelbergCement France et l’Ecole des arts et métiers ont signé une convention de mécénat, pour une durée de 3 ans. Des actions spécifiques seront organisées pour les étudiants, comme des visites des différentes installations d’HeidelbergCement France. Aujourd’hui, le groupe compte 300 sites de production répartis sur le territoire. Ainsi, les étudiants des différents campus seront directement en contact avec les professionnels. Par ailleurs, HeidelbergCement France prévoit un recrutement de 25 à 30 ingénieurs en 2022/2023, ainsi qu’une intégration de jeunes talents dans ses rangs. « Le partenariat s’appuiera sur le programme “Engineers in training”, qui permet un accompagnement au poste pendant 18 mois, constituant ainsi un excellent parcours d’intégration. Ouvert à tout jeune diplômé, ce dispositif prévoit une formation globale, alliant théorie et pratique, en France au sein de nos filiales », témoigne Jérémie Pieri, directeur des ressources humaines d’HeidelbergCement France. Et Aurore Friedlander, directrice marketing et communication des Arts et Métiers, d’ajouter : « Faire participer les professionnels et industriels aux orientations de recherche et de formation permet aux étudiants d’être préparés aux réalités qui les attendent sur le terrain ». Un mécénat en faveur de la transition écologique Les Arts et Métiers ont affirmé leur volonté d’intégrer la notion de transition écologique au sein de ses programmes d’enseignement. Quant à HeidelbergCement France, l’entreprise souhaite devenir une référence en matière de décarbonation de l’industrie cimentière. Pour cela, le groupe souhaite miser plus de 400 M€ en France. Les Arts et Métiers et HeidelbergeCement France partagent tous deux des valeurs communes et s’engagent pour une industrie plus durable. « Ce partenariat avec les Arts et Métiers s’inscrit dans la transformation en cours de l’entreprise. Les écoles sont essentielles. Puisqu’elles forment nos futurs collaborateurs et portent ainsi en elles une part de l’avenir de notre entreprise. C’est une aventure passionnante pour construire ensemble le monde de demain », conclut Bruno Pillon, président des activités d’HeidelbergCement France. Charline David
Il y a 3 ans et 122 jours

Le Collectif de la Rénovation Globale en Copropriété intègre l’Alliance HQE-GBC

En France, environ 100 000 copropriétés soit 1,1 million logements sont considérés comme des passoires énergétiques. Rénover l’ensemble du parc immobilier au standard BBC d’ici 2050 est l’un des objectifs du projet de loi Climat et Résilience avec une étape visant à éliminer les passoires thermiques d’ici 2025. De plus dès 2028, il ne sera plus possible de louer un appartement classé F ou G. Face à cet enjeu majeur, il est apparu urgent aux acteurs de la filière de se mobiliser dans le cadre du Collectif de la Rénovation Globale en Copropriété (RGC) avec pour vocation de réfléchir et d’agir depuis l’intérieur et avec l’ensemble de la filière (MOA, Maîtrise d’Usage, MOE, AMO, Entreprises, Industriels, fournisseurs d’énergie et organismes de sensibilisation du public) dans le but de multiplier les rénovations globales efficientes en copropriété. Afin d’accélérer la massification de la rénovation énergétique des copropriétés, le Collectif vient d’intégrer l’Alliance HQE-GBC France en créant un groupe de travail dédié. Pour fluidifier le processus de rénovation globale et démultiplier les chantiers, le groupe de travail Rénovation Globale en Copropriété s’appuiera sur 4 axes d’actions fortes nourries par l’innovation collective : 1. Faciliter la commande de rénovations globales efficientes grâce à la systématisation de la réalisation d’un diagnostic technique global et la définition d’un langage commun pour mettre en place des guides et référentiels. 2. Proposer des outils opérationnels, notamment des formations par cœur de métier et interdisciplinaires, une base de données documentaire centralisée, une boite à outils de gestion de projet de rénovation, un mode de dévolution des marchés. 3. Développer le réseau des professionnels en déployant en régions la politique nationale de rénovation des copropriétés et en faisant la promotion des actions interprofessionnelles sur le territoire. 4. Innover dans les financements en exploitant les financements verts, les prêts avance mutation (PAM), le levier surélévation… Les membres actuels du groupe Rénovation Globale en Copropriété au sein de l’Alliance HQE-GBC France : UNIS, UNSFA, FNAIM, CINOV, SNPI, ANAH, Compagnie des Architectes de Copropriété, l’Échappée des Copropriétés, La Copro des Possibles, l’Agence Parisienne du Climat, le Plan Bâtiment Durable, Ile de France Énergies, Vert Durable, le Club de l’Amélioration de l’Habitat, , STO, Saint-Gobain, EDF, GRDF.   Photo : Jean-Charles Vaillant, Compagnie des Architectes de Copropriété – Olivier Safar, UNIS – Gérard Sénior, UNSFA – Emira Zaag, UNSFA – Marjolaine Meynier-Millefert, Présidente de l’Alliance HQE-GBC Alexandre Vitry, Compagnie des Architectes de Copropriété – Danielle Dubrac, UNIS – François Pelegrin, UNSFA  
Il y a 3 ans et 122 jours

Le Collectif de la Rénovation Globale en Copropriété intègre l’Alliance HQE-GBC

En France, environ 100 000 copropriétés soit 1,1 million logements sont considérés comme des passoires énergétiques. Rénover l’ensemble du parc immobilier au standard BBC d’ici 2050 est l’un des objectifs du projet de loi Climat et Résilience avec une étape visant à éliminer les passoires thermiques d’ici 2025. De plus dès 2028, il ne sera plus possible de louer un appartement classé F ou G. Face à cet enjeu majeur, il est apparu urgent aux acteurs de la filière de se mobiliser dans le cadre du Collectif de la Rénovation Globale en Copropriété (RGC) avec pour vocation de réfléchir et d’agir depuis l’intérieur et avec l’ensemble de la filière (MOA, Maîtrise d’Usage, MOE, AMO, Entreprises, Industriels, fournisseurs d’énergie et organismes de sensibilisation du public) dans le but de multiplier les rénovations globales efficientes en copropriété. Afin d’accélérer la massification de la rénovation énergétique des copropriétés, le Collectif vient d’intégrer l’Alliance HQE-GBC France en créant un groupe de travail dédié. Pour fluidifier le processus de rénovation globale et démultiplier les chantiers, le groupe de travail Rénovation Globale en Copropriété s’appuiera sur 4 axes d’actions fortes nourries par l’innovation collective : 1. Faciliter la commande de rénovations globales efficientes grâce à la systématisation de la réalisation d’un diagnostic technique global et la définition d’un langage commun pour mettre en place des guides et référentiels. 2. Proposer des outils opérationnels, notamment des formations par cœur de métier et interdisciplinaires, une base de données documentaire centralisée, une boite à outils de gestion de projet de rénovation, un mode de dévolution des marchés. 3. Développer le réseau des professionnels en déployant en régions la politique nationale de rénovation des copropriétés et en faisant la promotion des actions interprofessionnelles sur le territoire. 4. Innover dans les financements en exploitant les financements verts, les prêts avance mutation (PAM), le levier surélévation… Les membres actuels du groupe Rénovation Globale en Copropriété au sein de l’Alliance HQE-GBC France : UNIS, UNSFA, FNAIM, CINOV, SNPI, ANAH, Compagnie des Architectes de Copropriété, l’Échappée des Copropriétés, La Copro des Possibles, l’Agence Parisienne du Climat, le Plan Bâtiment Durable, Ile de France Énergies, Vert Durable, le Club de l’Amélioration de l’Habitat, , STO, Saint-Gobain, EDF, GRDF.   Photo : Jean-Charles Vaillant, Compagnie des Architectes de Copropriété – Olivier Safar, UNIS – Gérard Sénior, UNSFA – Emira Zaag, UNSFA – Marjolaine Meynier-Millefert, Présidente de l’Alliance HQE-GBC Alexandre Vitry, Compagnie des Architectes de Copropriété – Danielle Dubrac, UNIS – François Pelegrin, UNSFA   Cet article Le Collectif de la Rénovation Globale en Copropriété intègre l’Alliance HQE-GBC est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 122 jours

A Bordeaux, quai de Paludate, un projet mixte signé COSA

Quai de Paludate à Bordeaux (Gironde), l’agence parisienne COSA (Benjamin Colboc et Arnaud Sachet) construit un programme mixte associant un immeuble tertiaire et commerces et un second bâtiment où sont superposés un équipement municipal (centre de propreté), un parking silo de 420 places et 56 logements. Superficies : 12 000 m². Livraison 2022. Communiqué. Les métapoles […] L’article A Bordeaux, quai de Paludate, un projet mixte signé COSA est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 122 jours

Le célèbre pont des Arts à Paris sera rénové en 2022

"Le travaux se tiendront bien cette année", a indiqué David Belliard, adjoint (EELV) à la voirie de la maire PS Anne Hidalgo, en réponse à une requête du maire LR du VIe arrondissement Jean-Pierre Lecoq au Conseil de Paris.Inaugurée en 1984 à l'emplacement d'un précédent pont du XIXe siècle, la passerelle située entre le Louvre et l'Institut de France, siège de l'Académie française, est mondialement célèbre pour sa perspective sur le fleuve, l'île de la Cité et le coeur de la capitale.En 2014, une partie du grillage du pont s'effondrait sous le poids de près d'un million de "cadenas d'amour", définitivement retirés l'année suivante en raison de la "dégradation durable du patrimoine" et du "risque" d'effondrement qu'ils engendraient, selon la Ville.Cette dernière avait remplacé les grillages par des panneaux à verre afin d'empêcher les amoureux de réinstaller ces cadenas, qui avaient fini par peser un total de 45 tonnes.Mais entre les rafistolages, les trous ou les planches branlantes, le platelage en bois de la passerelle "est en très mauvais état depuis des années", a souligné M. Lecoq.Au point de devenir un des symboles de saccageParis, le mouvement né début 2021 sur Twitter pour dénoncer le délabrement de la capitale, en particulier la mauvaise gestion du mobilier urbain et de la voirie par l'actuelle équipe municipale.Selon M. Belliard, le projet a été retardé par "la tension mondiale sur le marché du bois" mais "le marché est en cours pour désigner l'entreprisee prestataire" et "la préparation des travaux a été réalisée".Le platelage actuel sera "entièrement démonté et les planches actuelles en bon état seront transformées en lames, pour des bancs par exemple", a précisé l'élu écologiste.Interrogée par l'AFP, la mairie n'a pas pu préciser le calendrier ni le montant des travaux.
Il y a 3 ans et 122 jours

Aux Bassins des Lumières de Bordeaux, une rêverie immersive au cœur de Venise

Jusqu'au 2 janvier 2023, l'exposition "Venise la Sérénissime", installée dans une ancienne base sous-marine de la Seconde guerre mondiale, invite le visiteur à déambuler le long de quatre immenses bassins parallèles de 110 mètres de long, 22 mètres de large et 12 mètres de hauteur sur lesquels sont projetés des centaines d'images sonorisées.Canaletto, Le Titien, Bellini, Le Tintoret ou Véronèse...: pendant une quarantaine de minutes, tableaux et gravures représentant la cité lacustre s'enchaînent aux sons de Verdi, Vivaldi ou de réinterprétations plus contemporaines."Il ne s'agit pas d'un catalogue sur l'une des villes les plus connues au monde mais d'une promenade entre intérieur et extérieur. On ouvre des portes, on découvre un plafond, un sol en marbre", explique Gianfranco Iannuzzi, directeur artistique, lui-même d'origine vénitienne."Ce qui m'a toujours fasciné pendant mon enfance, ce sont les canaux et les reflets de la ville dans l'eau. Ici, c'est l'endroit idéal pour récréer cette sensation. Le lieu valorise les images et leur donne un peu de magie", souligne ce précurseur dans la création d'installations d'art numérique, à l'origine de toutes les expositions immersives de l'organisme privé Culturespaces, qui gère le site.Par un subtil jeu de perspectives et d'images détourées, le visiteur navigue sur le Grand Canal, admire au plus près les mosaïques et l'orfèvrerie byzantines de la basilique Saint-Marc ou tournoie sous les lustres de Murano lors de bals masqués.Les chefs d'oeuvre de l'art italien du 12e au 17e siècle côtoient les visions chatoyantes d'autres peintres : Monet, Signac, Turner.Des photos de stars des années 50-60, Marcello Mastroianni, Sean Connery ou Sophia Loren, rappellent que Venise, c'est aussi la Mostra.L'exposition est suivie d'un programme immersif plus court (10 minutes) consacré au peintre espagnol Jaoquin Sorolla et ses "Promenades en bord de mer".Les Bassins des Lumières ont attiré 570.000 visiteurs l'an passé. Après Bordeaux, l'exposition rejoindra d'autres lieux de Culturespaces, à commencer par les "Carrières de lumières" aux Baux-de-Provence et "l'Atelier des Lumières" à Paris.
Il y a 3 ans et 123 jours

Embarquez pour "le Grand Tour" du monde avec l'exposition d'architecture de Docteur Paper

CULTURE. La Maison de l'architecture Ile-de-France expose les illustrations de Docteur Paper durant deux mois. L'occasion de (re)découvrir l'architecture de grandes villes internationales et leurs célèbres bâtiments.
Il y a 3 ans et 123 jours

Logement : L'Institut Montaigne appelle à rebâtir nos ambitions

Pourtant, cette intervention importante de la puissance publique peine à répondre à la demande croissante de logements, notamment dans les zones tendues. Le prochain quinquennat doit être l’occasion de repenser cette politique afin d’en faire une grande cause nationale. Les constats que l’Institut Montaigne a établi dans son précédent rapport Politique du logement : faire sauter les verrous (2015) sont toujours d’actualité et méritent une attention renouvelée, en particulier la territorialisation de la politique de logement et la question de l’efficacité des dépenses publiques. À ces constats s’ajoutent de nouvelles évolutions : les réformes à l'œuvre dans le champ du logement social, la prise en compte croissante des enjeux environnementaux et les modes de vie changeants nés de la crise sanitaire et amènent à repenser l’aménagement de nos territoires. Autant d’enjeux que l’Institut Montaigne souhaite positionner au cœur du débat pour que la question du logement (re)devienne centrale dans les politiques publiques.Des besoins de logements différenciés…La France connaît une demande en logement croissante, reflétée par une hausse importante des prix de l’immobilier partout en France au cours des vingt dernières années. Entre 2005 et 2020, le prix au mètre carré des appartements neufs est passé de 2.757 € à 4.318 €, soit une augmentation de 57 % en quinze ans. Cependant, les besoins de logements et les tensions sur l’offre liées à ces derniers sont hétérogènes en fonction des territoires. L’indice de tension immobilière, qui mesure le rapport entre le nombre d’acheteurs et le nombre de biens à vendre, atteint 16 % dans les Hauts-de-Seine alors qu’il s’établit à - 1 % dans les Landes et dans le Gers. Les écarts de prix peuvent également être très significatifs au sein d’un même département : dans le Nord par exemple, il faut débourser en moyenne 3.500 € à Lille contre à peine 1.000 € à Maubeuge.…qui plaident pour la territorialisation de la politique du logementAujourd’hui, la politique du logement en France repose sur la logique d’une stratégie nationale pour des décisions locales : l’État définit l’objectif de construction de logements à échelle nationale et l’acte de construire résulte en premier lieu des compétences dévolues aux maires. Fixer des d’objectifs de construction à l’échelle du pays entier semble pourtant inadapté aux dynamiques territoriales et aux besoins qui en résultent. La baisse constante du nombre de permis de construire accordés et le décrochage de la France en la matière par rapport à ses voisins européens sont des indicateurs des ambivalences de ce système.Si l’on regarde cela d’encore plus près on constate que la politique du logement s’articule autour de nombreux acteurs sur plusieurs échelons :l’État définit la stratégie de la politique du logement au niveau national, et fixe des règles générales (aides financières, fiscales et personnelles au logement ; attribution des aides au logement social…) et les objectifs nationaux de la politique du logement (notamment en termes de construction de logements) ;la Région établit le SRADDET (schéma régional d’aménagement, de développement durable et d’égalité des territoires) ;les Établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) peuvent définir les plans locaux d’urbanisme intercommunaux. L’exercice de cette compétence est aujourd’hui assurée par seulement 51,5 % des EPCI ;les Communes définissent des plans locaux d’urbanisme et délivrent les permis de construire. Ces deux compétences peuvent être déléguées à l’EPCI, même si dans les faits cela n’arrive que très rarement.Nos propositions pour territorialiser la politique du logementLa réponse aux enjeux de chaque territoire doit passer par le renforcement de la territorialisation des politiques de logement, tout en l’adaptant aux besoins de chacun. Donner plus de poids au local permettrait la constitution d’un véritable projet de territoire associant l’ensemble des acteurs concernés (services de l’État, collectivités territoriales, bailleurs sociaux, investisseurs institutionnels, etc.).Proposition n°1 : Accorder aux établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) un rôle de "chef de file" en matière de logement.Proposition n°2 : Mettre en place un mécanisme de contractualisation entre l’État et les intercommunalités en vue notamment de définir le cadre de la politique du logement à l’échelle du bassin de vie.Proposition n°3 : Rendre obligatoire les plans locaux d’urbanisme à l’échelle intercommunale.Proposition n°4 : Transférer la délivrance des permis de construire aux intercommunalités.Proposition n°5 : Faire du schéma régional d’aménagement, de développement durable et d’égalité des territoires un outil de planification de la politique du logement à l’échelle de chaque région. Le rôle de la Région gagnerait à être renforcé comme échelon de concertation et de pilotage de la politique du logement à échelle locale. En effet, la région est compétente en matière d’aménagement du territoire (en matière d’infrastructures de transport ou de prévention et de gestion des déchets par exemple) et elle pourrait se voir reconnaître un rôle effectif de planification et d’évaluation des besoins à satisfaire.Une forte demande en logements que la dépense publique ne parvient pas à satisfaireLes dépenses publiques liées au logement, qui représentent 1,6 % de notre PIB (contre 0,7 % au sein de l’Union européenne), ne consistent pas seulement à soutenir la construction de logements.Ces dépenses doivent être distinguées entre les dépenses pour le "hard" bâti, la construction, et celles pour le "soft", c’est-à-dire le soutien à la consommation de logement par les ménages. En réalité, c’est surtout ce deuxième type de dépenses qui sont les plus importantes, elles correspondent en effet à 22,1 milliards d’euros, tandis que les aides pour le "hard" représentent un montant d’environ 15,2 milliards d’euros. L’existence d’aides directes au profit des ménages permet de solvabiliser la demande, notamment des plus vulnérables. Rappelons que le taux d’effort des ménages - c’est-à-dire le pourcentage des revenus des ménages dédiés au logement - est globalement plus faible que dans le reste de l’Union Européenne, l’intervention de l’État reste donc nécessaire.Néanmoins, il existe toujours une demande sociale forte que la dépense publique ne parvient pas à satisfaire : pour ceux dont les ressources sont inférieures à 60 % du revenu médian, le taux d’effort s’établit à 36,3 % contre 14,7 % pour les autres alors que les dépenses publiques en faveur du logement sont près de deux fois supérieures à celles de nos voisins. À l’heure où le redressement des comptes nationaux est nécessaire, la faible efficacité de cette intervention publique massive doit nous pousser vers de nouvelles pistes de solutions.Nos propositions pour mettre en place une politique du logement plus efficaceProposition n°6 : Acter l’extinction du dispositif Pinel après 2024.Proposition n°7 : D’ici 2024 et la fin du dispositif Pinel, initier une réflexion sur l’opportunité de définir un régime pérenne pour les investisseurs particuliers, à l’image d’un "statut" du bailleur privé.Proposition n°8 : Simplifier le cadre juridique en limitant le recours à de nouveaux textes législatifs et en instituant une procédure de déclassement des dispositions de nature réglementaire dans la partie législative du code de la construction et de l’habitation.Proposition n°9 : Mettre fin aux dispositifs d’encadrement des loyers à tout le moins lors de la conclusion d’un nouveau bail.Une nouvelle réflexion sur le logement social semble nécessaireLe modèle français de logement social se distingue par son caractère "généraliste", c’est-à-dire qu’il ne cible pas seulement les plus démunis mais l’ensemble des ménages disposant de faibles revenus : dans les faits, c’est deux tiers des ménages qui sont susceptibles d’être éligibles au logement social. Cette conception, qui constitue le fondement de notre politique en matière de logement social, poursuit trois grands objectifs : favoriser la mixité sociale, accompagner l’ensemble des ménages modestes et influer sur le niveau global des prix. Pourtant, la demande exprimée par les plus vulnérables n’est qu’imparfaitement satisfaite. Selon les données de l’ANCOLS, les ménages devaient patienter un an et deux mois en 2019 avant de bénéficier d’un logement social. Dans Paris et sa proche couronne, l’attente atteignait plus de trois ans.Une réflexion d’ensemble sur ce qu’est le logement social en France, sa vocation et les publics auxquels il doit s’adresser doit permettre de s’interroger sur ce qu’est la mixité sociale et les parcours résidentiels qu’il faut encourager, la mobilité résidentielle - c’est-à-dire la possibilité d’évoluer au sein du parc social ou du parc social au logement libre - étant une problématique majeure dans le champ du logement social.Nos propositions pour faire évoluer le logement socialProposition n°10 : Initier en début de quinquennat une réflexion d’ensemble sur ce qu’est le logement social en France, sa vocation et les publics auxquels il doit s’adresser.Proposition n°11 : Évaluer, au moins dans les zones tendues, l’opportunité de recourir à des contrats de bail à durée déterminée dans le parc social afin d’accroître la mobilité résidentielle.Proposition n°12 : Évaluer l’opportunité de recourir largement au bail réel solidaire dans les zones tendues au-delà du seul champ du logement social.Poursuivre et massifier la rénovation énergétique : un impératif pour atteindre les objectifs de neutralité carbone d’ici 2050La question de la rénovation énergétique des bâtiments est devenue indissociable de la politique du logement. Selon les estimations réalisées par le Haut conseil pour le climat (HCC), l’investissement annuel public et privé en faveur de la rénovation énergétique des bâtiments est estimé à 13 milliards d’euros. Bien que conséquent, ce montant devra être multiplié au moins par deux dans les prochaines années pour atteindre les objectifs de neutralité carbone d’ici 2050. Pour y parvenir, de nombreux dispositifs ont été mis en place par les pouvoirs publics : "MaPrimeRénov" (2 milliards d’euros en 2022), de l’éco-prêt à taux zéro ou encore du taux réduit de TVA à 5,5 % pour certains travaux de rénovation, (1,5 milliard d’euros en 2022). De même, le prêt avance mutation (PAM +) et le prêt viager hypothécaire sont des dispositifs prometteurs.Si ces dispositifs semblent aller dans le bon sens, trois axes pourraient utilement guider l’action de l’État dans les prochaines années : viser la massification de la rénovation énergétique, simplifier l’accès aux dispositifs existants en créant par exemple un guichet unique et se garder de toute mise à contribution excessive des finances publiques.
Il y a 3 ans et 123 jours

Qualifelec crée la première cartographie nationale des entreprises qualifiées en matière d'IRVE

La forte augmentation des prix des carburants, conjuguée aux plans de soutien du Gouvernement au développement des infrastructures de recharge de véhicules électriques (IRVE), vont contribuer, dans les prochains mois, à accélérer encore cette tendance. Dans ce contexte, il est nécessaire de disposer de la vision la plus précise possible des professionnels habilités à assurer l’installation, la maintenance et la qualité des infrastructures de recharge. C’est notamment la mission des entreprises du génie électrique, dont Qualifelec est l’organisme de qualification de référence depuis 1955. C’est pourquoi, Qualifelec a développé une cartographie interactive et dynamique des entreprises qualifiées IRVE sur l’ensemble du territoire. Elle permet de centraliser, tant pour les consommateurs, que pour les entreprises du génie électrique ou les pouvoirs publics, toutes les informations relatives au maillage territorial des entreprises habilitées à installer des IRVE.C’est la première étape de la création d’un véritable observatoire national des IRVE, que Qualifelec est en train d’élaborer, et qui constituera un outil de référence pour celles et ceux qui s’engagent en faveur du changement de nos modes de déplacement. C’est une preuve supplémentaire de l’engagement de Qualifelec en faveur de la transition écologique dans notre pays.
Il y a 3 ans et 123 jours

Le pont des Arts à Paris va être rénové en 2022

CHANTIER. La passerelle piétonne inaugurée en 1984 va être rénovée cette année, a annoncé la mairie. Celle-ci n'a pas encore dévoilé le calendrier et le montant des travaux.
Il y a 3 ans et 123 jours

“Un jour dans la nuit”, un roman graphique à l’initiative de NGE

[©NGE] A l’initiative de groupe de BTPNGE, l’illustrateur rouennais Virgile Dureuil et les éditions “Autrement” publient un roman graphique retraçant la reprise d’un chantier de nuit à Marseille, au sortir du premier confinement de 2020. Il s’agit d’un chantier sur la Côte bleue commandité par la SNCF. La Côte bleue est la façade maritime qui se situe au Nord de Marseille, après le quartier de l’Estaque. Et se termine à Martigues, en passant par Carry-le-Rouet. Une superbe luminosité s’en dégage… « Le cadre était tellement exceptionnel qu’un film contemplatif a été réalisé. Et NGE a voulu compléter tout l’univers visuel qu’il y avait autour de ce chantier, avec un roman graphique », raconte Virgile Dureuil. Une association inédite entre le 9e art et le 1er, c’est-à-dire l’architecture. Cette démarche s’inscrit dans la série des nombreuses initiatives prises par NGE pour recruter. Et aller au-devant de ses publics cibles. Et qui donne le ton de l’année pour l’entreprise… En effet, le groupe fête ses 20 ans en 2022. Une journée type de chantier Bruno Pavie, le “tintinophile” DRH du groupe NGE, devant une planche géante extraite du roman graphique “Un jour dans la nuit”, présentée en grands formats à la gare Saint-Charles, à Marseille. [©NGE]  « A la base, je suis fan de BD. J’avais déjà lu des ouvrages de Virgile, dont “Dans les forêts de Sibérie”. En plus, Virgile est Haut-Normand comme moi ! Ca rapproche !  Les choses se sont donc faites naturellement… », explique Bruno Pavie, le “tintinophile” DRH du groupe NGE. Le résultat est l’ouvrage “Un Jour dans la nuit”, qui raconte l’histoire de ce site, avec deux personnages : Cémal, le chef de chantier et Lucille, la conductrice de travaux. « On a travaillé pendant 4-5 mois et NGE nous a donné carte blanche », poursuit Virgile Dureuil, qui a collaboré avec Foucauld Duchange pour les textes et les dialogues. Ce livre qui retrace la journée type d’un chantier s’adresse à tous ceux qui sont intéressés par le milieu du BTP. Et à ceux qui s’intéressent aux profils qui travaillent sur ce type de chantiers. Mais aussi à ceux qui sont passionnés de la Côte bleue… Son objectif : toucher le grand public, en offrant un nouvel éclairage sur les métiers du BTP par une narration sensible, un dessin précis et très chaleureux. « Accessible à tous, de 5 à 95 ans ! », insiste Bruno Pavie. Comment raconter l’expérience vécue par les équipes de la “deuxième ligne” lors de la reprise des chantiers après plus de 50 j d’arrêt ? Intensité de la vie de chantier Virgile Dureuil, l’illustrateur, qui a collaboré avec Foucauld Duchange pour les textes et les dialogues du roman graphique “Un jour dans la nuit”. [©Virgile Dureuil] Comment faire découvrir et ressentir par la même occasion, ce qu’est l’engagement quotidien des invisibles du BTP ? Quelque 64 pages où Lucille et Cémal nous font vivre leur quotidien et leurs métiers… Juste la réalité, sans pudeur… « Ce roman aux dessins expressifs porte une attention particulière sur l’illustration du terrain. On vit avec Lucille et Cémal les différentes parties de ce chantier de nuit», reprend Bruno Pavie. Ainsi, ce roman graphique reprend sur le papier l’intensité de la vie de chantier dans ce qu’elle a de foncièrement humaine. Celle que l’on ne soupçonne jamais une fois que l’ouvrage est fini et qu’il s’inscrit dans le quotidien. L’occasion pour les jeunes lecteurs de découvrir des métiers d’excellence… Muriel Carbonnet
Il y a 3 ans et 123 jours

132 logements à Saclay pour Béal & Blanckaert et Charles-Henri Tachon

Les agences d’architecture Béal & Blanckaert et Charles-Henri Tachon sélectionnées pour réaliser un programme de 132 logements familiaux porté par Legendre Immobilier dans le quartier de Moulon, à Gif-sur-Yvette (Essonne). Livraison prévue : 2025. Communiqué. A la suite de la consultation d’opérateurs lancée en mai 2019, l’EPA Paris-Saclay, en concertation avec les collectivités du territoire, a […] L’article 132 logements à Saclay pour Béal & Blanckaert et Charles-Henri Tachon est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 123 jours

504 logements du futur village olympique en Vefa entre VINCI Immobilier et CDC Habitat

VINCI Immobilier et CDC Habitat ont signé la Vente en l’État de Futur Achèvement (VEFA) de 504 logements et de locaux d’activités, situés au cœur du projet d’aménagement du futur village olympique Universeine à Saint-Denis. L’ensemble immobilier sera reconverti après les JO de 2024, comportera 151 logements locatifs intermédiaires, 203 logements abordables contractualisés, une résidence étudiants Student Factory de 150 logements, 1 200 m² de locaux commerciaux et un pôle médical. Conçu par les agences Pascal Gontier, Gaëtan Lepenhuel, Lina Gotmeh et Triptyque, sous la coordination de l’agence Clément Vergély architectes, le projet architectural prévoit une utilisation prépondérante du bois, notamment pour l’ossature des façades et la structure de 54 logements, ainsi que la mise en œuvre de matériaux tels que la terre cuite et l’acier. Les logements disposeront d’espaces extérieurs privatifs tels que loggias, balcons et terrasses, et les toitures seront végétalisées et accessibles aux résidents. Conçus selon des principes bioclimatiques, les bâtiments visent un bilan carbone inférieur de 40 % à celui de bâtiments conventionnels. 75 % des matériaux des ouvrages démontés à l’issue des Jeux seront réemployés ou recyclés et 10 % de la masse de certains équipements seront issus du réemploi. Une centrale photovoltaïque sera par ailleurs installée sur les toitures en complément des surfaces végétalisées. Le programme vise les labels Biodiversity, E+C- et BBCA ainsi que la certification NH Habitat HQE niveau Très Performant. Il s’intègre dans le projet d’aménagement Universeine, l’opération de requalification d’une ancienne friche industrielle réalisée en partenariat avec la SOLIDEO, la Ville de Saint-Denis et Plaine Commune. Cet article 504 logements du futur village olympique en Vefa entre VINCI Immobilier et CDC Habitat est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 123 jours

Covid-19 et qualité de l’air dans les écoles : le collège Jean Jaurès, un chantier exemplaire

Entièrement équipé par Kingspan Light + Air en dispositifs de ventilation naturelle, le collège Jean Jaurès est le premier établissement à s’engager aussi massivement pour améliorer la qualité de l’air intérieur ; une bonne aération constituant un geste barrière contre la Covid.Le plus grand projet d’équipement en solution de ventilation naturelle réalisé par KingspanLe collège Jean Jaurès est un chantier exemplaire qui a mobilisé l’expertise de Kingspan Light + Air associé au bureau d’étude LESS is MORE, pour mettre en place un dispositif permettant d’assurer de manière optimale le confort et la sécurité des élèves et enseignants. Lancé en 2019, le chantier s’est achevé en juin 2021, avec l’installation d’un système de ventilation naturelle Windcatcher dans chaque salle de classe, soit 40 appareils au total. En cas de forte chaleur, ou d’augmentation de CO2 supérieur aux exigences réglementaires, les tourelles Windcatcher s’ouvrent automatiquement, permettant un renouvellement de l’air complètement naturel sans ouvrir les fenêtres.Répondant à un Marché Global de Performance, l’objectif de résultat réel prend sur cette opération toute son importance. C’est pourquoi un suivi en temps réel de la composition de l’air dans chaque salle de classe (température, taux de CO2, consommation en chauffage) permet de veiller au respect des normes et seuil de consommation énergétique.Kingspan Light + Air est allé encore plus loin, en intégrant des fonctions complémentaires, spécialement destinées aux écoles, comme l’assainissement mécanique de la salle de classe avec un programme de renouvèlement de l’air intérieur qui s’enclenche automatiquement durant la pause déjeuner. En cohérence avec les enjeux de transition environnementale et d’économie d’énergie, le Conseil départemental de la Gironde et le collège de Jean Jaurès, souhaitaient trouver une solution de ventilation plus écologique pour assurer le confort des occupants durant les épisodes caniculaires tout en consommant moins. Le système de ventilation naturelle proposé par Kingspan permet de réduire considérablement la consommation et la maintenance électrique : un Windcatcher photovoltaïque consomme moins qu’une ampoule !Comment ça marche ?Windcatcher®, est une solution unique en France qui assure le renouvellement de l’air, le rafraîchissement des bâtiments et la diminution de la concentration en CO2 en utilisant la force éolienne et la convection thermique.Solution à énergie passive, ce système utilise les mouvements naturels de flux d’air dans l’espace (ascension de l’air chaud vicié).Quelle que soit la direction du vent, ces tourelles à énergie passive captent l’air des vents dominants pour rafraichir le bâtiment et évacuer l’air vicié. Elles équipent aujourd’hui des locaux d’envergure comme les écoles, hôpitaux, grandes entreprises, et autres bâtiments recevant du public.
Il y a 3 ans et 123 jours

Le sol, richesse commune à décrypter - Exposition au CAUE Rhône Métropole

Les sols sont témoins de notre histoire, porteurs d’écosystèmes au service de la planète, mais aussi souvent des produits d’investissement soumis à la spéculation. Conçue par l’agence ANMA et présentée au CAUE Rhône Métropole jusqu’au 20 mai 2022,  l’exposition « Terre Terrain […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 124 jours

Un Indien érige une copie du Taj Mahal, message d'amour à son épouse

"Nous souhaitons envoyer un message de paix et d'harmonie religieuse", a déclaré à l'AFP Anand Prakash Chouksey."Il y a beaucoup de haine autour de nous", a-t-il poursuivi,"l'amour résout tous les problèmes de la vie et le Taj Mahal en est un symbole".'Énergie positive'Ce chef-d'oeuvre architectural de l'art indo-islamique, principale attraction touristique du pays, a été bâti à Agra, au XVIIe siècle à l'initiative de l'empereur moghol Shah Jahan pour perpétuer le souvenir de Mumtaz, son épouse favorite décédée. L'épouse d'Anand Prakash Chouksey, elle, est en revanche bien vivante, et a pu donner son avis sur l'édification du palais, d'un tiers plus petit que le Taj Mahal, situé à 800 km de là."Ma femme a seulement demandé une salle de méditation. C'est une femme pieuse", confie-t-il encore."Selon elle, le dôme apporte une atmosphère différente et beaucoup d'énergie positive", ajoute-t-il.Sa reproduction aura requis trois ans de travaux, soit seize années de moins que le mausolée qui l'a inspiré.Selon l'amoureux, cette fantaisie sentimentale lui aura coûté plus de 15 millions de roupies (180.000 euros).Poème d'amour en marbreLe Taj Mahal resplendit, à Agra sur la rive de la Yamuna, telle "une larme pure et solitaire (...) sur la joue du temps", selon les vers du Nobel indien de littérature Rabindranath Tagore, dédiés au monument, véritable poème d'amour en marbre."Nous avons utilisé du marbre de Makrana pour construire la bâtisse", soit le même matériau dans lequel a été conçu le Taj Mahal", a précisé M. Chouskey qui prévoit de fixer le drapeau indien au sommet du dôme principal.Il ne sera totalement satisfait que lorsqu'il aura, pour finir, fait apparaître les symboles des religions les plus populaires de l'Inde sur les minarets qui se dressent aux quatre coins de son palais de Burhanpur.C'est dans cette même ville que Mumtaz est décédée en donnant la vie à son 14e enfant en juin 1632, après avoir accompagné Shah Jahan venu pour réprimer une révolte locale.La défunte y avait été inhumée quelque temps et, selon les habitants, Shah Jahan avait envisagé de construire le Taj Mahal au bord de la rivière Tapti traversant la ville."La structure du sol ne permettait pas à l'époque de construire le Taj Mahal ici, c'est ainsi qu'il a été érigé à Agra", où Shah Jahan et Mumtaz reposent côte-à-côte, a expliqué M. Chouksey.La vieille cité de Burhanpur abrite les vestiges délabrés du palais où résidaient les membres de la famille impériale, et son magnifique hammam destiné à Mumtaz que l'empereur moghol avait fait bâtir pour qu'elle s'y détendre en beauté.
Il y a 3 ans et 125 jours

JO-2024 : la justice demande de préserver les jardins d'Aubervilliers

"Il est enjoint au président de l'établissement public territorial Plaine commune d'engager la procédure de modification du plan local d'urbanisme intercommunal en ce qu'il classe en zone urbaine une partie de la frange ouest des jardins des Vertus", le nom de ces jardins centenaires en Seine-Saint-Denis, a décidé la cour dans son arrêt consulté par l'AFP.L'intercommunalité, dirigée par le maire (PS) de Saint-Denis Mathieu Hanotin, a quatre mois pour proposer une nouvelle mouture, a-t-elle précisé.La cour administrative d'appel de Paris estime que "l'urbanisation de la frange ouest des jardins des Vertus", pour la piscine mais aussi une future gare de métro, "portera également atteinte à la préservation d'un noyau de biodiversité primaire et accroîtra les discontinuités écologiques existantes".Dans son arrêt, cette instance compétente en matière de litige autour des projets olympiques a rappelé que le document contesté présentait des "incohérences" avec ses propres obligations, notamment environnementales.Le futur centre aquatique dispose d'un solarium, qui doit se construire sur environ 4.000 m2 de parcelles vivrières."Il n'y a pas de conséquence immédiate sur la question des travaux, le permis de construire reste valable. Ça ne remet pas en cause le projet", a réagi Mathieu Hanotin auprès de l'AFP, assurant que Plaine commune se mettrait en conformité.Sollicitée, la ville d'Aubervilliers a déclaré ne pas vouloir réagir "à ce stade"."On a toujours dit que le projet était illégitime, maintenant c'est illégal. Pour la première fois la justice nous donne raison en leur disant +vous n'avez pas le droit de faire ce que vous avez fait+", a réagi Ziad Maalouf, un des jardiniers à l'origine de la requête.Une bataille juridique s'est engagée autour du projet. Les opposants, qui l'estiment à contre-courant de l'urgence écologique, ont également attaqué le permis de construire et ont occupé les lieux pendant quatre mois en 2021.Brièvement suspendus par décision de justice, les travaux ont finalement pu se poursuivre. Ce qui n'a pas empêché le 2 février des militants de s'accrocher à une bétonneuse jusqu'à l'intervention des forces de l'ordre.D'un montant de 33 millions d'euros dont un tiers financé par la Solideo (la société chargée de livrer les ouvrages pour les JO-2024), le centre aquatique doit servir de bassin d'entraînement pour les nageurs lors des JO, avant d'être accessible aux habitants.