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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Urbanisme - Aménagement

(35878 résultats)
Il y a 3 ans et 126 jours

JO-2024 : la justice demande de préserver les jardins d'Aubervilliers

"Il est enjoint au président de l'établissement public territorial Plaine commune d'engager la procédure de modification du plan local d'urbanisme intercommunal en ce qu'il classe en zone urbaine une partie de la frange ouest des jardins des Vertus", le nom de ces jardins centenaires en Seine-Saint-Denis, a décidé la cour dans son arrêt consulté par l'AFP.L'intercommunalité, dirigée par le maire (PS) de Saint-Denis Mathieu Hanotin, a quatre mois pour proposer une nouvelle mouture, a-t-elle précisé.La cour administrative d'appel de Paris estime que "l'urbanisation de la frange ouest des jardins des Vertus", pour la piscine mais aussi une future gare de métro, "portera également atteinte à la préservation d'un noyau de biodiversité primaire et accroîtra les discontinuités écologiques existantes".Dans son arrêt, cette instance compétente en matière de litige autour des projets olympiques a rappelé que le document contesté présentait des "incohérences" avec ses propres obligations, notamment environnementales.Le futur centre aquatique dispose d'un solarium, qui doit se construire sur environ 4.000 m2 de parcelles vivrières."Il n'y a pas de conséquence immédiate sur la question des travaux, le permis de construire reste valable. Ça ne remet pas en cause le projet", a réagi Mathieu Hanotin auprès de l'AFP, assurant que Plaine commune se mettrait en conformité.Sollicitée, la ville d'Aubervilliers a déclaré ne pas vouloir réagir "à ce stade"."On a toujours dit que le projet était illégitime, maintenant c'est illégal. Pour la première fois la justice nous donne raison en leur disant +vous n'avez pas le droit de faire ce que vous avez fait+", a réagi Ziad Maalouf, un des jardiniers à l'origine de la requête.Une bataille juridique s'est engagée autour du projet. Les opposants, qui l'estiment à contre-courant de l'urgence écologique, ont également attaqué le permis de construire et ont occupé les lieux pendant quatre mois en 2021.Brièvement suspendus par décision de justice, les travaux ont finalement pu se poursuivre. Ce qui n'a pas empêché le 2 février des militants de s'accrocher à une bétonneuse jusqu'à l'intervention des forces de l'ordre.D'un montant de 33 millions d'euros dont un tiers financé par la Solideo (la société chargée de livrer les ouvrages pour les JO-2024), le centre aquatique doit servir de bassin d'entraînement pour les nageurs lors des JO, avant d'être accessible aux habitants.
Il y a 3 ans et 126 jours

Vélib' : la mairie de Paris n'exclut pas une reprise en régie après Smovengo

"A échéance du contrat en cours", soit fin 2032, "il faudra évidemment à mon sens étudier cette option", a répondu David Belliard à une question du chef du groupe communiste, Nicolas Bonnet-Oulaldj, qui a entraîné d'inhabituelles escarmouches entre ces deux alliés de la maire PS Anne Hidalgo.Eau de Paris, dont la Ville de Paris a repris la maîtrise en 2010, "est l'exemple même d'une reprise en régie qui n'apporte que du positif", a souligné M. Belliard, pour qui il faudra "étudier si Vélib' pourrait suivre ce même chemin".Une reprise en régie publique "prend des mois et parfois des années", a toutefois prévenu l'élu écologiste pour écarter toute rupture de contrat anticipée."On estime à dix-huit mois minimum l'interruption de service si nous décidions de passer en régie aujourd'hui, sans compter que casser un tel contrat ne serait pas anodin pour les finances du SAVM (Syndicat Autolib' Vélib' Métropole) et donc de notre ville", a-t-il ajouté.Si "la qualité du service que nous nous sommes fixés n'est pas encore au rendez-vous", a admis M. Belliard, "on ne peut pas dire que c'était mieux avant" Smovengo, qualifiée d'entreprise "low-cost" par M. Bonnet-Oulaldj.L'objectif de la Ville "est d'abord de faire fonctionner le Vélib', et de le faire bien fonctionner", a insisté M. Belliard en visant une "réelle amélioration de la qualité de service dans les prochains mois".Quatre ans après une passation cauchemardesque entre le consortium Smovengo et JCDecaux, l'opérateur historique, avec des stations en travaux ou fermées pendant des mois, le service est toujours décrié par de nombreux utilisateurs: vélos inutilisables ou défectueux, assistance électrique en panne, stations vides ou pleines...A tel point que les élus du SAVM ont exprimé fin janvier "leur préoccupation persistante" vis-à-vis du service.En réponse, le président de Smovengo Stéphane Volant a présenté une série d'investissements pour 2022, dont 4.000 nouveaux vélos électriques et un plan de 2,7 millions sur la maintenance et la régulation, avec l'embauche de 35 techniciens supplémentaires.
Il y a 3 ans et 126 jours

Grenoble, La Rochelle et Saint-Aubin, stars du vélo selon les cyclistes

Rennes rejoint cette année les deux capitales françaises du vélo devant Annecy, Nantes, Lyon et Tours, selon ce baromètre biennal présenté jeudi par la Fédération des usagers de la bicyclette (FUB), qui tient son congrès à Tours.La Rochelle, Bourg-en-Bresse et Chambéry se classent comme les meilleures villes moyennes, la catégorie la plus mal notée de toutes. Saint-Aubin-de-Médoc, Le Tech et Séné sont les meilleures communes de banlieue, respectivement situées près de Bordeaux, Arcachon et Vannes."Les villes qui s'en sortent bien sont celles qui ont historiquement une politique tournée vers le vélo", a indiqué à l'AFP le secrétaire général de la FUB, Séraphin Elie.Pour la troisième édition de ce baromètre, l'association a recueilli 277.384 contributions en ligne du 14 septembre au 30 novembre 2021, et 1.625 communes ont été classées, soit une participation en forte hausse, avec plus de femmes et de cyclistes occasionnels que les années précédentes."Avec le Covid, on aurait pu s'attendre à ce que la participation des grandes villes augmente. Mais l'explosion des participations vient des petites villes", a précisé M. Elie."Le vélo est redevenu un mode de transport sérieux et un objet politique", a-t-il souligné. "Les élus ne peuvent plus ignorer le sujet. De plus en plus de maires s'y mettent, mais beaucoup partent de très bas".Saint-Jean-de-Monts (Vendée), Val-de-Reuil (Eure) et Marseillan (Hérault) se classent comme les meilleurs petites villes pour le vélo.La-Tranche-sur-Mer (Vendée), Vieux-Boucau (Landes) et Brétignolles-sur-Mer (Vendée) se classent en tête des meilleurs bourgs et villages."Les communes de la côte atlantique se sont emparées du vélo il y a longtemps, grâce au tourisme notamment. Elles s'en sortent très bien. Le ressenti est positif, même si, à la campagne, on circule toujours en voiture", a commenté M. Elie.64% des répondants trouvent que les conditions pour l'usage du vélo sont mauvaises, et 47,8% que la situation est restée identique pour les cyclistes sur les deux dernières années. 36,5% trouvent qu'elle s'est améliorée.
Il y a 3 ans et 126 jours

La baisse de production de logements sociaux est-elle l’échec de tous les organismes HLM ou celui du Gouvernement ?

Pour la Fédération, ce n'est pas en ponctionnant deux milliards d'euros par an qu'on accroit les capacités d'investissement des HLM.Par ailleurs, si les Offices représentent 40% du parc et seulement 20% de la production de logements HLM.Pour Marcel Rogemont, Président de la Fédération des OPH, « il est clair qu'ils affrontent plus que d'autres, la rénovation urbaine en lien avec les collectivités locales. Stigmatiser les Offices d'HLM, est-ce pour masquer l'échec du choc de l'offre ? Ou faire payer aux Offices le fait que leur Fédération n'ait pas signé le protocole des « 250 000 » logements sociaux proposé par Emmanuelle Wargon, Ministre du logement, signature refusée parce que l'objectif de 120 000 logements était déjà inatteignable ? Seulement 87 500 logements ont été agréés en 2020, 94 800 logements en 2021, bien loin de l'objectif de 120 000. L'échec est-il celui de tous les organismes d'HLM ou celui du Gouvernement ? »La Fédération entend rappeler que les Offices sont mobilisés pour répondre à l'ensemble des trois défis des politiques de l'habitat : la rénovation urbaine, la réhabilitation thermique et la construction neuve.
Il y a 3 ans et 126 jours

Les Français plus heureux dans des grandes villes... sauf à Paris

Peu étonnamment, pour être heureux, mieux vaut être bien portant, jeune, en couple, cadre, riche, en emploi et français, révèle cette étude sur des chiffres de 2019.L'institut national de la statistique a demandé à des Français de noter de 0 à 10 leur vie en général et sous différents aspects (logement, loisirs, relations familiales et amicales, travail).La note moyenne pour la vie en général s'établit à 7,3, un chiffre presque identique à 2010 et qui a très peu évolué depuis 2015.Toutes choses égales par ailleurs, la satisfaction diminue avec l'âge, à l'exception d'un rebond autour de 60 ans.Les cadres sont la catégorie socio-professionnelle la plus heureuse, suivie des professions intermédiaires (0,13 point de moins), employés (-0,22), ouvriers (-0,23), artisans (-0,30) et agriculteurs (-0,48).Par situation familiale, les couples, avec et sans enfants, sont les plus heureux, loin devant les personnes seules (-0,46 par rapport à un couple avec enfants) et les familles monoparentales (-0,57).En données corrigées des caractéristiques de la population, les habitants les moins heureux sont ceux de Paris, du "pôle" (communes alentour) et de la "couronne" (communes plus éloignées) de la capitale. Ceux des pôles de petites aires urbaines (entre 50.000 et 200.000 habitants) suivent.Les habitants les plus satisfaits, au contraire, sont ceux des pôles des grandes aires urbaines (plus de 700.000 habitants) et de celles entre 200.000 et 700.000 habitants, et ceux des couronnes d'aires de 200 à 700.000 habitants.Hommes et femmes sont également satisfaits de leur vie et de leur logement, mais les hommes sont en moyenne plus satisfaits de leurs loisirs (+0,38 points) et de leur travail (+0,10) et les femmes plus satisfaites de leur famille et amis (+0,12).
Il y a 3 ans et 126 jours

HeidelbergCement France, acteur majeur des matériaux de construction, nouveau mécène d’Arts et Métiers

Le mardi 8 février 2022, Arts et Métiers et HeidelbergCement France signent sur le Campus de Paris une convention de mécénat, pour une durée de trois ans, afin de nouer des liens durables entre les étudiants et les professionnels du secteur des matériaux de construction. Ce partenariat nourrit l’ancrage industriel et territorial de l’École, grand […]
Il y a 3 ans et 126 jours

Piscine d'entraînement à Aubervilliers : une nouvelle décision judiciaire défavorable

PARIS 2024. La cour administrative d'appel de Paris a invalidé, le 10 février 2022, le plan local d'urbanisme qui permet de détruire une partie des jardins ouvriers d'Aubervilliers pour y construire une piscine pour l'entraînement des athlètes lors des Jeux olympiques et paralympiques de 2024.
Il y a 3 ans et 126 jours

Poujoulat recrute 30 agents de production

L'envie suffit !Sur son site de Saint-Symphorien, l'entreprise de 800 salariés continue d'investir dans le recrutement et la formation après avoir déjà embauché 60 collaborateurs en 2021.Pour le recrutement de ces 30 nouveaux postes d'agents de production (10 en semaine et 20 en week-end), « la motivation et le désir de travailler en équipe suffisent » explique-t-on chez Poujoulat, et d'ajouter que « chaque nouveau collaborateur bénéficie d'un parcours de formation assuré par l'École de Formation agréée pour développer ses compétences techniques ».Les avantages d'intégrer PoujoulatTravailler chez Poujoulat c'est :L'assurance de bénéficier d'une formation pour assurer une haute qualité de production.Des conditions de travail et rémunération attractives. Le travail du samedi et dimanche, soit 24 heures, est rémunéré l'équivalent de 36 heures.Participer au dynamisme d'une entreprise familiale, fabricant français depuis 1950, et acteur de la performance énergétique quelle que soit l'énergie en logement individuel et collectif.Intégrer une entreprise engagée sur le territoire niortais à travers le sport : partenaire majeur des Chamois Niortais, sponsor du Niort Rugby Club et du VBP Niort.Comment expliquer un tel besoin ?La production est soutenue pour les raisons suivantes :Le marché de la rénovation énergétique très dynamique via notamment le dispositif MaPrimeRénov'.L'appétence forte pour les équipements à énergie bois (bûches et granulés) qui a conduit à de hauts niveaux de ventes de ces équipements en 2021.La recherche par le consommateur de confort et d'amélioration de l'habitat.Pour candidater ou en savoir plus, envoyer un mail à : recrutement@poujoulat.fr, en précisant dans l'objet "candidature agent de production".
Il y a 3 ans et 126 jours

Seine-Saint-Denis : les grands projets de la Ville pour l’année 2022

En 2022, des projets d’envergure vont animer la ville du sud de la Seine-Saint-Denis
Il y a 3 ans et 127 jours

Effondrement mortel d'un balcon à Angers : le procès des constructeurs s'est ouvert

Ce soir-là, une crémaillère organisée par deux soeurs et réunissant une trentaine de copains de fac et de tennis se transforme en cauchemar. La soirée se déroulait calmement au 4ème étage de la résidence "Le Surcouf", dans le centre d'Angers, lorsque vers 23H00, le balcon se décroche et bascule dans le vide, entraînant 18 jeunes dans sa chute de plus de 8 mètres.Antoine, 21 ans, Benjamin, 23 ans, Lou, 18 ans, et Baptiste, 25 ans, y laissent la vie, tandis que quatorze autres sont conduits en urgence à l'hôpital.Cinq prévenus comparaissent depuis mercredi matin devant le tribunal correctionnel d'Angers pour homicides et blessures involontaires: l'architecte Frédéric Rolland, 66 ans, maître d'oeuvre du chantier, dont le cabinet a pignon sur rue à Angers, le constructeur Patrick Bonnel, 72 ans, gérant d'une entreprise de gros oeuvre, et deux de ses salariés, Eric Morand, conducteur de travaux, 53 ans, et Jean-Marcel Moreau, 63 ans, chef de chantier. Le dernier prévenu, André de Douvan, 84 ans, était chargé du contrôle du chantier pour le groupe Apave. Ils encourent jusqu'à 3 ans de prison et 45.000 euros d'amende.Les débats de la matinée ont porté sur une question procédurale soulevée par les avocats de Frédéric Rolland. Cette demande de nullité aurait pu conduire à l'exclusion de 43 parties civiles et entraîner un renvoi du procès.Les échanges ont été particulièrement houleux entre le procureur Eric Bouillard et Me Patrick Descamps. "Dans un procès normal on s'en prend rarement aux victimes. Ca s'appelle montrer les pectoraux. Si ce procès doit être serein, ne commencez pas par me donner une leçon de droit", a lancé le procureur à l'adresse de Me Descamps."Ce qui est demandé d'évacuer 43 victimes de ce procès donne une impression de lâcheté, c'est une attitude très décevante", a déclaré Me Bertrand Salquain, avocat des parties civiles."Irresponsabilité"Les conclusions des enquêteurs ont été sans appel. Ecartant toute responsabilité des invités qui se trouvaient sur le balcon, et l'hypothèse d'un défaut d'entretien, elles incriminent en revanche les constructeurs.Béton gorgé d'eau, supervision désinvolte du chantier, arrangements avec les règles de construction, mauvais positionnement des armatures en acier... Surtout, les balcons qui devaient initialement être préfabriqués en usine ont finalement été coulés sur place sans que de nouveaux plans ne soient réalisés.Au total, 83 personnes se sont constituées parties civiles.Durant l'instruction, le conducteur de travaux Eric Morand est le seul à avoir reconnu une part de responsabilité, expliquant que le changement de mode de construction des balcons avait permis de gagner 14 semaines sur le calendrier des travaux."L'objectif était de gagner toujours plus d'argent. On n'utilise pas la bonne qualité de béton parce que c'est moins cher, on construit sur place pour éviter de payer des pénalités, on envoie un simple salarié suivre un chantier pour économiser sur des honoraires et on oublie le coeur même du métier", observe Me Louis-René Penneau, avocat de 32 parties civiles, dénonçant "l'irresponsabilité et l'inconscience totales" des constructeurs."L'architecte a une part de responsabilité indéniable comme le constructeur et l'Apave. Pour moi ce sont les trois principaux responsables", a réagi avant l'audience Me Laurence Couvreux, avocate des parties civiles.De son côté, l'avocat de Patrick Bonnel, Thierry Fillion, assure que son client, qui fut copropriétaire d'un appartement dans l'immeuble, "reconnaît des erreurs". "Il est extrêmement affecté. Il ne peut que reconnaître qu'il y a eu manifestement des malfaçons dont la société Bonnel est au moins en partie responsable".Frédéric Rolland est lui poursuivi pour son contrôle déficient du chantier.Le procès doit durer jusqu'au 4 mars.L'architecte affirme qu'il "ignorait" tout du chantierL'architecte et maître d'oeuvre de la résidence "Le Surcouf" à Angers, dont l'effondrement d'un balcon a tué quatre étudiants et blessé quatorze autres en 2016, a affirmé jeudi qu'il "ignorait tout du déroulé et du contenu" de la construction du bâtiment.Au deuxième jour du procès en correctionnelle, pour lequel 88 personnes se sont constituées parties civiles, les débats ont porté sur les contrats passés par les différentes entreprises intervenant sur le chantier et l'étendue de leurs missions.Construite à partir de 1997 et livrée en octobre 1998 avec une réception "sans réserve", la résidence "Le Surcouf", située dans le centre-ville d'Angers, compte 20 logements d'habitations, un ensemble "relativement petit", a commenté la présidente du tribunal, Catherine Ménardais.En mars 1997, l'entreprise Comine, maître d'ouvrage, a passé un contrat avec le cabinet d'architecte Rolland afin d'assurer la maîtrise d'oeuvre complète du projet, pour huit millions d'euros.Cette mission complète "comporte toutes les phases de la construction, les études préliminaires, l'obtention du permis de construire, les avant-projets, les appels d'offres et le contrôle, la surveillance et la réception des travaux", a rappelé Mme Ménardais.L'architecte Frédéric Rolland, l'un des cinq prévenus, qui exerçait alors en entreprise individuelle et non sous la forme juridique d'une société, a expliqué qu'il s'agissait d'un bâtiment sans "complexité architecturale particulière"."Le contrat a été signé par le secrétaire général (du cabinet Rolland, décédé depuis, ndlr) avec le tampon de l'atelier Rolland et sa signature", a expliqué M. Rolland, qui a repris en 1989 l'affaire de son père."L'atelier s'appelle Frédéric Rolland, je suis l'architecte de l'agence (...) C'est un projet dont j'ignore tout le déroulé et le contenu. Je suis le titulaire d'un contrat que je n'ai pas signé, comme les contrats précédents", a déclaré M. Rolland.
Il y a 3 ans et 127 jours

Au Havre, K Architectures redynamise un quartier avec le pôle multiculturel Simone Veil

DIAPORAMA. L'agence parisienne a imaginé un grand bâtiment d'équipements sportif et multiculturel dans cette ville portuaire de Normandie. Visite en images...
Il y a 3 ans et 127 jours

Tour Triangle : Unibail-Rodamco-Westfield a lancé les travaux

GRANDS PROJETS. Le géant des centres commerciaux a annoncé le lancement de la construction d'un de ses projets-phares, la controversée Tour Triangle à Paris, malgré une dette toujours lourde.
Il y a 3 ans et 127 jours

3DS : le cabinet de Jacqueline Gourault s’explique

Des routes aux éoliennes en passant par les opérations de revitalisation du territoire, la loi 3DS appelle de nombreuses demandes d’éclaircissement, après le vote définitif des deux assemblées, les 8 et 9 février. Les retours du terrain encouragent le cabinet de la ministre de la Cohésion des territoires Jacqueline Gourault : « Les maires se l’approprient », se réjouit un de ses membres qui y voit le résultat du travail de co-construction auquel ont participé 2000 élus locaux.
Il y a 3 ans et 127 jours

Comment Marseille cherche à devenir neutre en carbone d'ici 2030

DÉCRYPTAGE. De nombreux acteurs de la cité phocéenne, à l'image de la municipalité, s'engagent à décarboner le territoire. Pour réussir cette transition écologique, ils doivent s'attaquer de front à des thématiques essentielles, telles que la mobilité, la production d'énergies renouvelables ou encore la réhabilitation thermique du parc immobilier. Explications...
Il y a 3 ans et 127 jours

Seine-et-Marne : requalification du parking Lafayette

À Meaux, le projet de requalification du parking Lafayette prévoit un nouvel espace qui accueillera à terme de multiples initiatives.
Il y a 3 ans et 127 jours

Lancement du chantier controversé de la tour Triangle, un des projets-phares de Paris

La Tour Triangle, projet pharaonique chiffré à 660 millions d'euros, commence à sortir de terre dans le XVe arrondissement. Des silos de plusieurs mètres de haut y ont fait leur apparition sur le site des travaux.Une fois terminé, ce gratte-ciel de 180 mètres et 42 étages, dont la livraison est prévue au premier semestre 2026, doit devenir le troisième immeuble le plus haut de Paris, derrière les tours Eiffel et Montparnasse."Ça participe de la philosophie de développement du groupe, qui est un opérateur des grandes villes", s'est félicité auprès de l'AFP le président d'URW, Jean-Marie Tritant. "Cette tour fait une couture urbaine entre Issy-les-Moulineaux et Paris, elle participe à l'évolution de la ville de demain".Le projet, lancé en 2008, a été validé en 2015 sous la mandature d'Anne Hidalgo malgré la vive opposition de ses alliés écologistes et d'élus de droite dont Philippe Goujon, le maire (LR) du XVe."Le quartier va être sinistré pendant plusieurs années", s'est-il indigné auprès de l'AFP, dénonçant déjà un "ballet ininterrompu de camions qui vont délivrer du béton, quatre grues géantes..."Le parquet de Paris a ouvert en juin une enquête préliminaire pour "favoritisme" autour de la concession sur laquelle doit être bâtie la tour.Prévue essentiellement pour des bureaux, qui occuperont les trois quarts de ses 91.000 mètres carrés de surface, elle abritera également un hôtel de 130 chambres, une crèche et des commerces, mais est conçue comme "réversible", c'est-à-dire facilement transformable en logements.Redresser la barreSigne de sa fragilité financière, le groupe a réduit à 30% sa participation au chantier en lançant une coentreprise avec l'assureur Axa pour réduire ses coûts.En 2021, la foncière, propriétaire du Forum des Halles à Paris ou du centre commercial de la Part-Dieu à Lyon, a vu ses résultats s'éroder encore, largement à cause des restrictions anti-Covid en Europe pendant le premier semestre.Son chiffre d'affaires s'est établi à 1,72 milliard d'euros, soit moins qu'en 2020 (-3,7%, -1,6% à périmètre constant), tandis que son résultat net récurrent, indicateur de référence pour les foncières, a rétréci à 1,01 milliard (-4,9%).Mais le groupe a redressé la barre, avec un taux de vacance qui a nettement reculé au second semestre (à 7%, -1,3 point en un an), grâce aux réouvertures permises par la campagne de vaccination."C'est quand même une entreprise qui a subi un énorme +stress test+ en 2020 et 2021. On a fermé à plusieurs reprises les centres commerciaux, l'activité événementielle, et là, on voit une reprise", note Florent Laroche-Joubert, analyste chez Oddo BHF.L'activité événementielle du groupe, qui possède plusieurs parcs d'expositions dont celui de Villepinte (Seine-Saint-Denis), s'est relevée avec 32 millions d'euros de chiffre d'affaires, contre 6 en 2020.Bye bye USA ?Mais le groupe est toujours corseté par une dette de 22,6 milliards d'euros (contre 24,2 milliards fin 2020), produit de l'absorption en 2018 du groupe Westfield et de son large portefeuille aux Etats-Unis, jamais totalement digérée.Il n'engage ainsi plus de nouveaux investissements seul, et a promis de céder pour 4 milliards d'actifs en Europe d'ici à la fin de l'année.Il en est pour l'heure à 2,5 milliards, la dernière cession en date étant une part de 45% dans le centre commercial Carré Sénart, en région parisienne, reprise par les filiales assurances de la Société Générale et BNP Paribas."La deuxième partie de cet effort, c'est la réduction drastique de notre exposition au marché américain", explique à l'AFP Jean-Marie Tritant, qui avait pris la tête d'URW après une fronde d'actionnaires menée par Xavier Niel, premier actionnaire du groupe, et Léon Bressler, l'ancien patron, opposés à l'acquisition de Westfield."On aura engagé dans le courant de l'année 2022 la sortie de tout ou partie des Etats-Unis", a assuré Jean-Marie Tritant lors d'une conférence téléphonique.A la Bourse de Paris, vers 09h40, le titre URW prenait 5,79% à 70,48 euros dans un marché en légère hausse de 0,13%.
Il y a 3 ans et 127 jours

Bas-Rhin: des parcs de stationnement supplémentaires à la gare d’Entzheim à partir de mars 2022

À partir de mars 2022, 75 à 300 places de parking seront ouvertes gratuitement au pôle d’échange multimodal d’Entzheim.
Il y a 3 ans et 127 jours

Tryba poursuit ses objectifs de croissance pour 2022 et dévoile les résultats prometteurs de 2021

Ces résultats encourageants en 2021 vont permettre à Tryba, qui a déjà convaincu les porteurs de projet par son concept pérenne et rentable depuis 42 ans, de poursuivre son développement sur tout le territoire.Le réseau dispose cependant encore d’une trentaine de secteurs disponibles en France, autant dans des grandes villes que dans des villes de taille moyenne. Forte de son expertise dans l’accompagnement de ses concessionnaires, la marque intègre aujourd’hui 80 % d’entrepreneurs qui ne sont pas issus du secteur de la menuiserie, affichant, au bout de 3 ans, une rentabilité de 8 à 10 %. Des objectifs atteints pour 2021Avec 15 ouvertures en 2021, Tryba enregistre de bonnes performances, et ce, malgré la crise sanitaire. Ce bilan met en lumière la dynamique du réseau et la confiance des Français envers la marque alsacienne.Répartis sur toute la France, les nouveaux points de vente Tryba sont venus étendre en 2021 le maillage territorial de la marque en offrant plus de proximité à ses clients grâce à l’ouverture de 7 Espaces-Conseil (zone de chalandise de 150 000 à 200 000 habitants), 7 magasins secondaires et 1 Carré Tryba. Tous ces magasins servent à renforcer la présence d’un concessionnaire sur le secteur géographique exclusif qui lui est concédé.Dorénavant, il est possible de découvrir l’enseigne dans les villes suivantes : Espace conseil : Saint Maur des Fossés (94) Lons le Saunier (39) Seclin (59) Dunkerque (59) Lille (59) Saint-Berthevin (53) Maromme (76) Magasin secondaire : Sézanne (77) Monistrol (43) Crest (26) Propriano (20) Saint-Girons (09) Les Sables d'Olonne (85) Carré Tryba : Mayenne (53)En parallèle des ouvertures de concessions, le modèle de franchise participative, dénommé « Carré Tryba » instauré en 2013 (zone de chalandise de 70 000 habitants), continue de se développer avec une ouverture à Mayenne (53) en 2021. Ainsi, depuis 2013, Tryba a développé 19 Carrés, dont 11 sont devenus concessionnaires en 3 ans.Quant aux reprises de fonds de commerce, elles sont régulières puisque la marque âgée de plus 40 ans dénombre des concessionnaires qui ont rejoint le réseau depuis de longues années et qui veulent notamment partir à la retraite après une belle carrière aux côtés de l’enseigne. Tryba leur trouve alors un successeur. Ainsi, en 2021, 4 rachats de concessions ont eu lieu dans le réseau.Une dynamique qui se poursuit en 2022Alors que les Français viennent de passer plusieurs mois chez eux, le marché de l’amélioration de l’habitat bénéficie aujourd’hui de l’effet confinement. En effet, une étude de l’institut CSA pour HomeServe révèle que 94% des Français se voient investir autant (73%), voire plus (21%) dans les postes de dépenses liés à la maison (aménagement, entretien, travaux), au détriment d’autres postes (loisirs, sorties, etc.)[1]. De fait, les 15 points de vente Tryba ouverts en 2021 connaissent un bon lancement.Tryba va également étendre son réseau au 1er semestre 2022, avec 14 magasins en cours d’ouverture dans les secteurs géographiques suivants :Espace-Conseil :Faulquemont (54)Chaumont (54)Châtellerault (86)Saint Marcel Les Valences (26)Alès (30)Sotteville-les-Rouen (76)Beaune (21)Les Lilas (93)Angoulême (16)Abbeville (80)Magasin secondaire :Langon (33)Gaillan en Médoc (33)Veigné (37)Pontcharra (38)Grâce à son réseau mature, Tryba compte actuellement le plus grand nombre de points de vente de menuiseries en France. Si elle confirme sa position de leader sur le marché de la rénovation des fenêtres, portes d’entrée, volets, portes de garage et accessoires, la marque garde le cap des objectifs d’implantations dans les régions suivantes, où des secteurs sont encore disponibles :Hauts-de-France : Béthune (62) et Lens (62)Normandie : Le Havre (76), Yvetot (76), Dieppe (76), Saint-Lô (50), Coutances (50) et Bayeux (14)Bretagne : Brest (29), Montfort-sur-Meu (35) et Redon (35)Pays de la Loire : Pornic (44) et Les Herbiers (85)Centre : Loches (37)Nouvelle-Aquitaine : Niort (79), Bressuire (79), Cognac (16), Villeneuve-sur-Lot (47), Agen (47) et Mont-de-Marsan (40)Grand Est : Charleville-Mézières (08), Bar-le-Duc (55) et Epinal (88)Auvergne - Rhône-Alpes : Montluçon (03), Moulins (03) Roanne (42) et Aurillac (15)Bourgogne – Franche-Comté : Auxerre (89), Nevers (58), Fontaine-les-Dijon (21), et Avallon (89)Corse : Bastia et AjaccioTryba offre également de nombreuses opportunités de reprises sur tout l’hexagone, aux entrepreneurs qui préfèreraient racheter une concession existante, avec un chiffre d’affaires établi et une équipe déjà en place.Une formation initiale et un accompagnement solideTryba a à cœur de transmettre son savoir-faire unique aux porteurs de projet, d’autant plus que 80 % de ces derniers ne sont pas issus du secteur de la menuiserie. Pour y parvenir, le franchiseur Tryba dispense auprès des nouveaux concessionnaires une formation initiale gratuite de trois semaines, indispensable pour maitriser tous les domaines : produits, commerce, technique, logiciels informatique.La marque aide et accompagne étape par étape ses nouveaux entrepreneurs, tout au long du processus de création ou de reprise d’une concession, au travers de différentes actions :La présentation des secteurs disponibles en création et/ou des concessions à racheter.La découverte précise du métier avec un stage « vis ma vie » sur le terrain, en concession-pilote.La recherche et la négociation de locaux adaptés.La recherche de financement.La création de la société.La formation du concessionnaire à son nouveau métier.Après ce processus d'environ 9 mois pour mener à bien leur projet personnalisé, les nouveaux concessionnaires prennent la tête d'une structure à taille humaine, avec une équipe polyvalente de 6 à 8 personnes (assistant, commerciaux et techniciens-poseurs), positionnée comme référence sur un secteur géographique exclusif étendu.En parallèle, de nombreux outils permettent également aux concessionnaires de se former en continu : formations « produits » et pose chaque année, tutoriels ou encore programmes e-learning. Par ailleurs, ils bénéficient pendant 6 mois, d’un accompagnement soutenu par 3 formateurs techniques de la cellule ouverture . Véritable lien entre les franchiseurs Tryba et leur réseau, 9 animateurs-réseau sont répartis par grandes régions.
Il y a 3 ans et 127 jours

Les propositions de la Filière Béton aux candidats à la présidentielle

La Filière Béton se mobilise pour proposer des solutions sociétales et politiques auprès des candidats aux élections présidentielles 2022. La Filière Béton se mobilise pour la construction décarbonée. Dans le cadre de l’élection présidentielle 2022, elle souhaite faire connaître des solutions sociétales et politiques auprès des candidats. Plus particulièrement, elle évoquera des solutions de dynamisation de l’activité dans les territoires. Favorable à la RE 2020, la filière s’est engagée dans la réduction de ses émissions de gaz à effet de serre, suivant la même trajectoire que la Stratégie nationale Bas Carbone. Notamment au niveau de l’industrie du ciment qui a diminué de 39 % son impact carbone entre 1990 et 2018. De nombreux investissements sont en cours pour permettre à la profession d’atteindre – 80 % d’ici 2050. Ainsi, les propositions de la Filière Béton, pour les candidats à la présidentielle, s’articulent autour de plusieurs axes. La ville de demain en ligne de mire Tout d’abord, la Filière Béton s’est focalisée sur le logement. Cela, dans l’optique de construire plus, mieux et à coût maîtrisé. Parmi ses recommandations, elle demande aux pouvoirs publics d’investir au-delà des 650 M€ prévus pour le recyclage des friches, afin de faciliter la construction d’habitations. En parallèle, la Filière souhaite engager une réflexion collective autour de la sécurité pour élaborer de nouveaux outils permettant de simuler de façon optimale la prévention des incendies. Elle insiste aussi sur la nécessaire tenue d’un sommet pour la relance de la construction. Lire aussi : Pénuries sur les matières premières : La Filière Béton résiste Ensuite, la Filière a voulu mettre l’accent sur la question de l’urbanisme. En effet, la ville de demain devra faire face à différentes problématiques comme la limitation de l’étalement urbain, les catastrophes naturelles. Ou encore, la hausse démographique et le besoin d’un retour à la nature dans les villes. La Filière Béton incite pour privilégier les solutions béton qui permettent de concevoir de manière durable et résiliente. Et ainsi, favoriser le confort des citoyens, tout en évitant la création d’îlots de chaleur. Les axes stratégiques de la Filière Béton Le troisième axe centré sur l’économie circulaire ouvre la discussion sur la dynamisation du territoire, ou encore l’approvisionnement durable et le maillage des sites de production et d’extraction de matières premières. Pour la Filière Béton, la commande publique, la valorisation du caractère local des produits et des emplois ou l’économie de la fonctionnalité sont autant de leviers à actionner. L’objectif est de limiter l’empreinte carbone des constructions de leur début à leur fin de vie. Lire aussi : Cerema : Un label pour accompagner l’économie circulaire Favoriser l’économie circulaire nécessite aussi la rénovation et le développement de nombreux axes de circulation. Cela, afin de garantir la croissance économique, commerciale et la sécurité. Dans son quatrième axe, consacré aux réseaux, la Filière demande la création de galeries multi-réseaux, d’intégrer des réseaux en sous-sols, de développer de nouvelles mobilités. Mais aussi, de rénover les ponts/infrastructures et de favoriser les axes ferroviaires et maritimes. Enfin, la gestion de l’eau constitue le dernier axe. L’urbanisation croissante a réduit l’infiltration naturelle et a augmenté le ruissellement. C’est pourquoi, pour protéger les zones urbanisées, approvisionner et retraiter l’eau destinée aux citoyens, la Filière rappelle la pertinence technique de ses solutions.
Il y a 3 ans et 127 jours

Top départ pour le chantier du premier immeuble d'habitation bois R+6, en Bretagne

Le premier immeuble d'habitation bois de 6 étages Dans le cadre de la dernière tranche opérationnelle de la ZAC Beauregard-Quincé, l'aménageur Territoires a lancé une consultation en 2018 pour la réalisation de logements en accession libre intégrant une démarche de développement de la filière locale de construction bois. L'appel à manifestation d'intérêt (AMI) « Construction Bois pour Tous » initié par Rennes Métropole, avec Fibois Bretagne (la filière bois en Bretagne), a retenu ATARAXIA Promotion pour le plus ambitieux des 11 programmes immobiliers. Premier immeuble d'habitation de cette hauteur en Bretagne, il se compose de 111 logements en accession à la propriété, 72 en collectif (R+6, soit 25m de haut) et 39 maisons individuelles. Tout en construction à ossature bois (poteaux, poutres, planchers, refends, façades) ils sont répartis sur trois îlots fonciers distincts, qui feront l'objet de trois copropriétés.Un engagement précurseur pour la construction bois en BretagneConscient que la construction est un élément qui pèse dans l'activité carbonée, la volonté d'ATARAXIA Promotion est d'être le plus éco responsable possible dans son rôle de promoteur et acteur de la ville. Avec la construction bois, de plus en plus plébiscitée par les citoyens et encouragée par Rennes Métropole, il s'agit de démontrer qu'une nouvelle voie est possible. Le projet impose de penser « bas carbone » et d'apporter des solutions pertinentes pour produire les logements de demain, à coûts maîtrisés. Avec Île Ô Bois, ATARAXIA Promotion souhaite ouvrir la voie au développement de la construction bois en Bretagne en se donnant les moyens d'être au rendez-vous de cette expérimentation. « Ce projet pionnier s'inscrit dans une vision urbaine ambitieuse et responsable de la Ville de Rennes, souligne Philippe Clément, chef de projet chez Territoires. Ce type de construction demande un engagement et un investissement humain, financier très fort. Tout est encore à construire avec la filière bois. L'idée est d'avancer collectivement dans une démarche de pédagogie et de reproductibilité. »L'écosystème, un réseau d'experts performantPour relever ce challenge, ATARAXIA Promotion s'est entourée de partenaires expérimentés dans la construction bois : architectes, constructeur, bureaux d'études spécialisés (bois, acoustique, environnement) et paysagiste, accompagnée par Fibois Bretagne, cette équipe pluridisciplinaire a consacré plus de 3 ans à la conception du projet dans une approche ouverte et transparente. Malgré les aléas et les contraintes dus au contexte sanitaire, l'ensemble des équipes a gardé le cap ! Une opération qui permet à ATARAXIA Promotion d'acquérir une grande connaissance sur ce type de construction, de plus en plus demandé par les collectivités, et d'avoir un temps d'avance pour répondre aux enjeux environnementaux et sociétaux.« Nous cherchons à être audacieux et responsables, dans une démarche environnementale que l'on se doit d'adopter, explique Dominique Feuvrier, directeur agence Bretagne ATARAXIA Promotion. Notre société évolue très vite : alimentation, mobilités, qualité de l'habitat sont des enjeux majeurs… Il était important d'être pionnier en s'entourant de partenaires, qui comme nous s'engagent, dans une voie nouvelle avec des savoir-faire et des compétences complémentaires. »Un projet bas carbone qui répond aux enjeux de santé environnementaleÎle Ô Bois a été conçu comme un projet résolument bas carbone. En réponse aux problématiques climatiques, environnementales et de santé, et aux nouvelles normes réglementaires telles que la RE 2020 qui s'impose depuis janvier, ATARAXIA Promotion a mis au coeur de ses priorités les enjeux de transition énergétique et de qualité sanitaire, en faisant la part belle aux matériaux biosourcés. « C'est pour ATARAXIA Promotion une opportunité d'innover sur les modes de vie, sur l'habitat et sur les procédés constructifs pour diminuer l'impact environnemental de la construction » souligne Dominique Feuvrier.Le bois et tous les matériaux biosourcés répondent aux attentes d'un habitat sain : ils régulent naturellement la température et l'humidité intérieures des bâtiments, permettant ainsi de conserver une atmosphère saine, sans développement de moisissures, de bactéries ou de virus.Le bois, matériau-roiPour Île Ô Bois, l'ossature et la structure primaire de l'ensemble des constructions sont intégralement en bois. Matériau isolant, il émet peu de carbone pour sa transformation contrairement au béton et à l'acier. Le bois stocke le carbone absorbé durant la croissance de l'arbre : 1 m3 de bois séquestre 1 tonne équivalent CO2 alors que la fabrication de 1m3 de béton en émet 471 kg ! « Pour Île Ô Bois, on a utilisé le bois lamellé croisé (CLT) qui offre de nombreux avantages comme sa flexibilité, sa légèreté et son aspect naturel très esthétique. Il permet également une rapidité incomparable d'exécution en matière d'assemblage et de construction qui réduit le temps de chantier. Les panneaux sont découpés et préassemblés directement chez le constructeur, Belliard. C'est un chantier sec, plus propre, moins bruyant. » précisent les architectes Christine Tanguy et Patrick Liard, du cabinet Liard et Tanguy à Rennes.
Il y a 3 ans et 127 jours

Nouvelles plaques Onduline Easystyle : une couverture imitation tuile facile à poser, durable et sûre

Pour offrir à ces structures annexes une couverture esthétique, durable et facile à poser, Onduline Easystyle, expert en toitures et sous-toitures légères, lance la nouvelle plaque bitumée au profil moderne imitation tuile : Onduline Easystyle. Au plus près des attentes des bricoleurs, les nouvelles plaques Onduline Easystyle - composées à 50 % de matière recyclée - s'intègrent à la perfection aux différents aménagements grâce à leur bel aspect imitation tuile. Légère, souple, facile à manipuler et à installer, cette plaque bitumée garantie 10 ans offre une couverture durable et respectueuse de l'environnement. Un rendu esthétique De couleur rouge ombré, les nouvelles plaques de bitume ondulées Onduline Easystyle apportent une couverture contemporaine avec un effet relief qui imite les vraies tuiles. Ce rendu est très esthétique pour les couvertures de bâtiments auxiliaires extérieurs de petite à moyenne taille (abris de jardin, pergolas, carports, cabanes pour enfants, niches pour animaux…). À base de bitume renforcé, les nouvelles plaques Onduline Easystyle sont étanches et très résistantes aux chocs et aux intempéries. Leur épaisseur de 2,6 mm leur confère une bonne rigidité et une grande solidité, ce qui permet au fabricant de les garantir pendant 10 ans. Les fuites et autres infiltrations sont évitées et les constructions sont ainsi protégées pour longtemps. Une installation rapide et accessible à tousLégères et souples, les nouvelles plaques Onduline Easystyle ne pèsent que 2,8 kg/m2 ce qui les rend très faciles à manipuler lors de l’installation et évite d’avoir recours à un équipement de levage pour poser les plaques. Simples d’installation, elles peuvent être montées sur un support plein ou discontinu avec des chevrons espacés au maximum 36,6 cm sur une pente de 15 % minimum.Côté fixation, c’est à l’installateur de choisir en fonction de la qualité du support. Onduline propose des vis universelles de 60 mm munies de leur collerette d’étanchéité. Pour assurer une finition soignée de la toiture, le fabricant a également développé des rives et des faîtières associées. Ces dernières, proposées dans le même matériau et les mêmes coloris que les plaques, permettent un rendu uniforme et harmonieux.Un matériau fiable et respectueux de l’environnementDes pigments naturels, issus du service de recherche et développement d’Onduline, sont utilisés pour la coloration de la plaque Onduline Easystyle. Composés de fibres recyclées, les matériaux de cette plaque n’émettent aucune substance dangereuse dans l’atmosphère pendant l’installation ou tout au long de son cycle de vie.
Il y a 3 ans et 127 jours

Cros & Leclercq, en conférence à la SFA ce soir

Les architectes Benjamin Cros et Rémy Leclercq seront en conférence, ce soir, 10 février 2022, à la Société française des architectes (SFA) à Paris. Lauréats du prix de la Première Œuvre en 2018 pour un restaurant scolaire à Pamiers (Ariège), la ville où ils ont grandi, Benjamin Cros et Rémy […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 128 jours

Énergies renouvelables : Paris, Rouen et Le Havre créent leur "catalyseur"

La société d'économie mixte locale (SEML) "Axe Seine Energies Renouvelables" vise à l'horizon 2030 le développement d'une cinquantaine de projets, "représentant potentiellement une puissance installée de 250 MW d'énergie renouvelable", selon la délibération votée mercredi par les élus de Paris, dans la foulée de ceux du Havre et de Rouen.S'il est atteint, cet objectif nécessitera de porter à 28,5 millions un capital social initialement fixé à 7,8 millions d'euros, précise le texte.Pour l'instant, les métropoles du Havre et de Rouen y participent à hauteur de 2 millions (25% du capital chacun), la Caisse des dépôts et consignations à un niveau équivalent (24,5%). Avec 1 million d'euros chacun, la Ville de Paris et la Métropole du Grand Paris se partagent le dernier quart.Photovoltaïque, biomasse, éolien, récupération de chaleur, hydrogène... "Catalyseur de politiques publiques en faveur de la transition énergétique" via des études et le codéveloppement des projets, cette société "va nous permettre de générer plusieurs centaines de millions d'euros d'investissements", a affirmé à l'AFP Dan Lert, l'adjoint (EELV) à la transition écologique de la maire PS de Paris Anne Hidalgo."Aujourd'hui à Paris, nous sommes à 21% d'énergies renouvelables dans la consommation du territoire, dont 6% produites localement. On doit passer à 45% dont 10% produites localement d'ici 2030", réclame l'élu écologiste.La métropole de Rouen a identifié les premiers projets, principalement photovoltaïques et éoliens, qui pourraient démarrer dès 2022. Selon M. Lert, "une douzaine de projets ont déjà été identifiés".Pas de quoi convaincre les élus communistes, pourtant alliés d'Anne Hidalgo, qui ont voté contre une "forme de partenariat public-privé qui ne garantit en rien le statut des personnels, les prix de l'énergie et le rapport avec les populations", a expliqué Nicolas Bonnet-Oulaldj. "La garantie, c'est le service public."La présence de l'ancien Premier ministre Edouard Philippe, maire (Horizons) du Havre, et de Nicolas Mayer-Rossignol, maire PS de Rouen, dans l'hémicycle aux côtés d'Anne Hidalgo, a entraîné le départ des élus LR et apparentés, Rachida Dati accusant la candidate du PS à l'élection présidentielle "de transformer ce Conseil en tribune électorale"."Que le maire du Havre se prête à cette instrumentalisation nous choque", a ajouté la maire du VIIe arrondissement.
Il y a 3 ans et 128 jours

Crues des Alpes-Maritimes: la parole aux habitants

"Quand on donne la parole aux citoyens, il ne faut pas cracher dans la soupe": Eliane Guigo, 71 ans, retraitée à Venanson, a pris place dans la petite salle de cinéma Jean-Gabin de Saint-Martin-Vésubie. Autour d'elle, beaucoup de retraités, mais aussi des jeunes actifs, comme ces deux agricultrices d'une trentaine d'années, des artisans, des commerçants ou un architecte.Depuis début janvier, le micro a été tendu aux résidents des trois vallées, où les crues historiques d'octobre 2020 ont fait 10 morts et huit disparus. Jeudi et vendredi, c'était le tour des habitants de la Vésubie, dont les propositions seront ensuite soumises aux maires, sous l'égide de la Direction interministérielle à la transformation publique.Sur les 5.000 habitants de la vallée, où les stigmates de la tempête sont encore partout visibles, 80 s'étaient portés candidats à cette consultation. Cinquante ont finalement été tirés au sort, défrayés 50 euros par jour, a précisé à l'AFP Domitille Arrivet, la modératrice, directrice conseil chez État d'Esprit, entreprise spécialisée dans les missions de concertation publique.Pour Mme Guigo, la question "fondamentale" dans la Vésubie reste de se trouver un toit, avec toutes ces habitations détruites ou endommagées. Résultat: "La demande est en hausse de 35% sur les deux dernières années" pour des logements sociaux, souligne-t-elle, très au fait du dossier. Et de nombreuses familles consacrent jusqu'à "50% de leurs revenus" pour se loger, alors que certains "ont déjà un niveau de vie très bas".Animatrice du débat, Mme Arrivet n'a pu que constater à quel point "la vue du désastre reste encore prégnante chez les habitants", avec cette obsession d'une "réhabilitation de la beauté de leur vallée". "C'est assez poignant quand ils parlent du bruit qui résonne encore dans leur tête"."Pas une commission postiche"Kamil Monge, de Lantosque, souligne lui les problèmes de mobilité, ces personnes "qui ont toujours des difficultés pour se rendre à leur travail, à Carros ou Nice, avec des voies de communication encore en mauvais état".Mais pour Sarah de Caqueray, agricultrice de 30 ans, "il faut surtout aider les gens qui sont sur le territoire à y rester". Logement, emploi, "des sujets sensibles et longs à débrouiller" selon cette productrice de fruits, habitante de Saint-Martin-Vésubie.Au fil des débats sont aussi évoqués la remise en état des canaux d'irrigation, la nécessité d'un tourisme "plus harmonieux", ou encore le manque de crèches et "les opportunités" de la fibre optique.Parallèlement à ces débats publics, une plateforme a été ouverte sur Internet, afin de recueillir les doléances des habitants. Ce sont plus de 120 projets qui ont émergé, de la création d'une Maison de pays pour les produits locaux à l'ouverture d'un café associatif.Sur les 572 millions d'euros consacrés à la reconstruction, "l'Etat a réservé 50 millions d'euros pour ces projets, potentiel porté à 100 millions grâce aux collectivités et à l'Union européenne", explique Xavier Pelletier, préfet délégué à la reconstruction, assurant que "les petits projets ne seront pas oubliés".Le 14 février, l'ensemble des participants aux concertations dans les trois vallées se réuniront au Musée du sport de Nice, pour dégager les grandes lignes d'une reconstruction qu'ils veulent tous "durable", puis ces demandes seront présentées aux élus, le 28 février.Mais comment s'assurer que les recommandations seront bien prises en compte ?"Le préfet Pelletier nous a garanti, je le cite, que +ce ne serait pas une commission postiche+", veut croire M. Monge. "Nous l'espérons, car quand on voit ce qui s'est passé avec la commission sur le climat ou les doléances des gilets jaunes, on a parfois l'impression que c'est de bon ton d'interroger les citoyens mais que ça n'aboutit pas à grand chose..."
Il y a 3 ans et 128 jours

Les propositions de la Filière Béton pour une construction décarbonée basée sur une chaîne de valeur locale

Pour aller plus loin, des propositions en termes de dynamisation de l’activité dans les territoires seront développées dans le cadre des élections législatives. La Filière Béton est favorable à la RE2020 et est engagée dans une stratégie ambitieuse de réduction de ses émissions, en phase avec la Stratégie Nationale Bas-Carbone (SNBC). La décarbonation du secteur est un process continu puisque les émissions de carbone du ciment ont baissé de 39% entre 1990 et 2018 et la trajectoire fixée prévoit une baisse supplémentaire de 24% d’ici 2030. Des investissements conséquents sont en cours et l’ensemble de la profession travaille sur les innovations de demain, qui permettront d’aller plus loin et d’atteindre -80% en 2050. Il est important de souligner que les efforts consentis aujourd’hui ou demain sont conditionnés à un certain nombre de paramètres pour que l’industrie puisse rester compétitive.La Filière souhaite ainsi que soit reconnue sa trajectoire de décarbonation, de sorte que les matériaux de construction qu’elle propose ne soient pas discriminés. Les propositions formulées par la Filière Béton, dans le cadre de l’élection présidentielle, s’articulent autour de 5 axes : le logement, l’urbanisme, l’économie circulaire, les réseaux et la gestion de l’eau.Les premiers fruits de cette réflexion menée par la Filière Béton, dont ces propositions sont issues, ont été transmis récemment aux candidats et à leurs équipes dans le cadre d’un processus collaboratif.
Il y a 3 ans et 128 jours

"Plug N Charge", un moyen rapide et facile à utiliser pour recharger son véhicule électrique

Il n'est plus nécessaire d'utiliser sa carte ou d'autres méthodes de paiement au moment de l'utilisation. La technologie de charge est simple - il suffit de brancher son véhicule et de repartir lorsque la charge est terminée.
Il y a 3 ans et 128 jours

Routes, logement, éolien... les mesures de la loi 3DS pour le secteur de la construction

DÉCRYPTAGE. Au terme de plus de 2 ans de "coconstruction" avec les élus locaux et 9 mois de débats au Parlement, le projet de loi 3DS (pour Différenciation, décentralisation, déconcentration et simplification) doit être adopté définitivement ce 9 février 2022. Retour sur les principales dispositions qui concernent les acteurs du BTP et de l'aménagement du territoire.
Il y a 3 ans et 128 jours

Une partie du Champ-de-Mars exclue du réaménagement autour de la Tour Eiffel

TRANSFORMATION. La Ville de Paris souhaite réaménager les alentours de la Tour Eiffel. Elle vient d'annoncer un accord avec les écologistes pour rendre le quartier plus vert.
Il y a 3 ans et 128 jours

A Toulouse, deux nouvelles passerelles pour desservir une île en pleine mutation

OUVRAGES D'ART. Dans le cadre d'un grand projet d'aménagement visant la transformation de l'île du Ramier, Toulouse Métropole prévoit la réalisation de 4 nouvelles passerelles, destinées aux mobilités actives. Elle vient d'attribuer les marchés pour les deux premières.
Il y a 3 ans et 128 jours

"Folie" ou projet "d'intérêt général" ? Dans la forêt landaise, un parc solaire XXL à l'étude

A Saucats, commune de 3.200 habitants à 20 km au sud de Bordeaux, les opérateurs Engie, Neoen et RTE veulent établir d'ici quatre ans une gigantesque centrale solaire.Cette centrale générerait chaque année l'équivalent "d'un cinquième à un quart" de la production électrique d'un réacteur nucléaire. Mais ce projet d'énergie renouvelable, enjeu de la présidentielle d'avril avec l'actuelle flambée des prix de l'énergie, se heurte pourtant à une forte opposition locale de tous bords.Baptisé "Horizeo", le projet d'un milliard d'euros prévoit aussi l'installation de batteries de stockage, d'une unité de production d'hydrogène vert, d'un centre de données et d'une surface associant cultures maraichères et panneaux solaires."C'est vraiment immense", dit cet agriculteur, qui exige l'anonymat tant le projet divise localement. Au volant de son pick-up sur des routes départementales puis des pistes sableuses, il met plus de 20 mn pour contourner les clôtures de la zone d'étude du projet.Pour ses parcelles de maïs doux et de haricots cultivées juste à côté, il redoute l'apparition d'îlots de chaleur et la répétition d'inondations, que provoquerait, selon lui, un futur déboisement.Car pour bâtir Horizeo, il faudra défricher 1.000 hectares de pins maritimes actuellement exploités -l'équivalent de 1.400 terrains de football- dans cette commune boisée à 75% et où le projet est soumis à un grand débat public, encadré par l'Etat, depuis l'automne dernier."C'est une folie" guidée par "la rentabilité financière", s'insurge, également sous couvert d'anonymat, Sabine, une chargée de communication de 51 ans qui réside à 6 km."Les centrales nucléaires sont en fin de vie, il faut d'autres solutions", rétorque un habitant de 34 ans, qui soutient l'installation de la centrale solaire car "tant que la société continuera de consommer, il faudra produire de l'énergie".Pour atteindre la neutralité carbone en 2050 en France, il faudrait entre 7 et 22 fois plus de capacité de production photovoltaïque qu'aujourd'hui, rappelait en novembre la Commission nationale chargée du débat public, en se basant sur les scénarios nationaux du gestionnaire du réseau électrique RTE - qui vont d'une production électrique 100% renouvelable à un duo renouvelable-nucléaire à 50-50.C'est donc pour "l'intérêt général" que le Conseil municipal a "donné un accord de principe" à Horizeo, défend le maire socialiste Bruno Clément.Mais situé à l'endroit exact où démarra le feu de forêt le plus meurtrier de l'histoire moderne du pays, qui tua 82 personnes en août 1949, le parc solaire ne se fera que s'il ne présente "aucune aggravation des risques incendie et inondation", prévient-il.AccaparementPour son gigantisme, ses risques sur l'environnement et la biodiversité, le projet est fraîchement accueilli, des Verts menés par le maire de Bordeaux Pierre Hurmic, qui réclament "un projet alternatif", jusqu'aux partis d'extrême droite (RN et Reconquête), farouchement opposés."On doit être attentif au maintien du massif forestier", tempère Alain Rousset, président socialiste de la région Nouvelle-Aquitaine, première productrice d'énergie photovoltaïque, qui vise un mix énergétique 100% renouvelable d'ici 2050.Horizeo permettrait pourtant à lui seul "d'atteindre 15% des objectifs régionaux", défend Mathieu Le Grelle, son porte-parole."Une opportunité rare", car situé à quelques kilomètres d'un des seuls postes électriques capables d'injecter autant d'électricité dans le réseau, souligne-t-il, rappelant que les entreprises s'engagent à reboiser "deux arbres pour un coupé".Si Horizeo reste soutenu par les professionnels du secteur, la Chambre du Commerce et de l'Industrie, et, "avec des réserves", par la section locale de Greenpeace, il se heurte à un arc d'opposants hétéroclites - riverains, syndicats sylvicole, agricole et viticole, chasseurs et associations environnementales locales - qui émergent au fur et à mur de l'avancée du projet.Selon des opposants, le terrain serait loué entre 3.000 et 4.000 euros l'hectare chaque année durant 40 ans par les porteurs d'Horizeo - qui n'ont pas souhaité commenter ces montants- contre 3.000 à 5.000 euros l'hectare pour une vente foncière classique entre professionnels du bois.Pour Stéphanie Lafitte, sylvicultrice voisine, l'écart est tel que si "ce giga-projet est validé", "l'industrie (du renouvelable) finira par s'accaparer la forêt".D'après l'inventaire des autorités publié par la Dreal et les objectifs du Conseil régional, les espaces déjà artificialisés - sites pollués, parkings, friches - disponibles pour y établir de nouvelles plateformes photovoltaïques sont largement "insuffisants" pour couvrir les besoins.
Il y a 3 ans et 128 jours

Au Palais idéal, dialogue entre la glaneuse et le facteur avec l'exposition Agnès Varda, Architextures et perspectives

Les architectes Benjamin Cros et Rémy Leclercq seront en conférence, ce soir, 10 février 2022, à la Société française des architectes (SFA) à Paris. Lauréats du prix de la Première Œuvre en 2018 pour un restaurant scolaire à Pamiers (Ariège), la ville où ils ont grandi, Benjamin Cros et Rémy […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 128 jours

Le Cluster Lumière s’installe dans Lumen

L’équipe d’animation du Cluster Lumière et du Campus Lumière vient de s’installer dans Lumen, la Cité de la Lumière, dans le quartier de Confluence au cœur de Lyon. Ce nouveau hub européen de la lumière va offrir dans les mois qui viennent de nombreuses prestations liées à l’éclairage et à la lumière : espace recherche & innovation, espace formation, innovation Trail (show-room permanent de 23 boxes permettant aux entreprises de présenter leurs innovations)… Le programme d’animations de 2022 compte une trentaine d’événements aux formats variés sur le terrain régional, mais aussi national et européen, une partie sera organisée dans Lumen. « Se croiser dans un bâtiment ne suffit pas. L’animation pilotée par le Cluster Lumière autour de Lumen doit créer un maximum d’opportunités entre les résidents de Lumen mais aussi avec d’autres professionnels, en amont et en aval, pour alimenter toute la chaine de valeur. Lumen offre la possibilité d’imaginer un futur ensemble », indique Philippe Badaroux, président du Cluster Lumière. Cet article Le Cluster Lumière s’installe dans Lumen est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 128 jours

Castelnau-le-Lez : la rue Émile-Combes et l’allée du Docteur-Constantin sont en travaux

Deux artères du centre ancien de Castelnau-le-Lez font l’objet d’importants travaux de réaménagement et de requalification.
Il y a 3 ans et 128 jours

Issy-les-Moulineaux : travaux d’installation d’une géothermie aux ILN Mairie

Des travaux de voirie importants sont nécessaires pour raccorder le quartier Issy Cœur de Ville aux 315 logements sociaux des ILN Mairie.
Il y a 3 ans et 129 jours

Un compromis trouvé pour le réaménagement du site de la Tour Eiffel excluant une partie du Champ-de-Mars

Le premier adjoint Emmanuel Grégoire, chargé de l'urbanisme, a accepté la demande des élus écologistes de retirer du projet la partie nord du Champ-de-Mars, correspondant selon lui à 5% de la surface du projet, et de limiter les événements prévus sur la célèbre esplanade, visitée chaque année par des millions de touristes."A partir du moment où la partie du Champ-de-Mars est retirée, le projet dans l'ensemble est satisfaisant", a commenté pour l'AFP Fatoumata Koné, présidente du groupe écologiste au Conseil de Paris.Le Conseil doit se prononcer mardi l'après-midi sur la mise en compatibilité du plan local d'urbanisme (PLU) avec ce projet, avant le début des travaux dans les prochaines semaines.La délibération devrait donc être adoptée avec un amendement des écologistes imposant un moratoire sur le permis d'aménager du Champ-de-Mars afin de réaliser "la réhabilitation de la totalité du Champ-de-Mars lors d'une seule même phase d'aménagement, postérieure aux Jeux olympiques et paralympiques" de 2024.Les Verts souhaitent aussi que la Ville "s'engage à respecter un total de 250 jours de relâche totale où aucun événement n'aura lieu sur l'ensemble du site". Un comité de gestion va être créé en ce sens, a indiqué l'exécutif à l'AFP.Le projet "OnE" choisi en 2019, pour lequel la mairie table désormais sur un budget de 107 millions d'euros, vise notamment à la réduction de la place de la voiture de part et d'autre du pont d'Iéna, appelé à devenir "le premier pont végétalisé de Paris", ainsi que sur la création d'un "amphithéâtre végétalisé" place du Trocadéro, où la circulation sera réorganisée en demi-lune.Les travaux permettront la création d'1,6 hectare d'espaces verts de pleine terre, souligne la majorité, qui promet aussi une légère diminution de l'emprise au sol des bâtiments de la Société d'exploitation de la Tour Eiffel (Sete).Ce projet suscite l'opposition des trois maires d'arrondissement concernés, tous dans l'opposition LR. Celui du XVIe Francis Szpiner a demandé au ministère de la Culture de classer la place du Trocadéro comme monument historique afin d'empêcher sa transformation.Les opposants au projet se sont fortement mobilisés lors de la participation du public par voie électronique (PPVE) menée pendant l'automne.
Il y a 3 ans et 129 jours

Valérie Pécresse veut "une France de propriétaires" avec 500.000 constructions par an

"Il faudrait 500.000 constructions de logements par an au bas mot" car "si la tendance continue, nous nous dirigeons tout droit vers l'une des plus graves crises du logement depuis 1954", a-t-elle affirmé lors d'une conférence de presse à Champigny-sur-Marne.Accusant le président Emmanuel Macron d'avoir "fragilisé le secteur", elle a dénoncé son "mépris" vis-à-vis de la propriété privée. "Je veux bâtir une France de propriétaires, ne pas contrecarrer leur envie mais puissamment l'aider" et pour cela il faut "que le prêt à taux zéro soit généralisé à l'ensemble du territoire et notamment aux zones rurales", a-t-elle ajouté.Il faut aussi "libérer les contraintes", avec "un grand choc de simplification": abaissement général "de 10 à 5,5%" de la TVA sur la construction de logements sociaux, transformation de bureaux en logements..."Nous allons lever les entraves à la construction dans ces bourgs et villes" où les Français aspirent à habiter depuis la crise du Covid et pour cela "je ferai confiance aux maires", a-t-elle dit, qualifiant d'"absurdité dans un territoire rural" la règle "zéro artificialisation nette" des sols.Elle a aussi promis "une grande loi sur le droit des propriétaires" avec une "tolérance zéro pour les squatteurs", pouvant "être expulsés en 48 heures".Mme Pécresse veut également "aider les travailleurs exclus du prêt bancaire" en instituant "une caution solidaire" de l'Etat.Sur le logement social, elle a plaidé pour un "principe cardinal du respect" autorisant les bailleurs à "expulser les locataires condamnés pour trafic ou violence". Le logement social ne doit pas être "un droit à vie", a-t-elle ajouté, prônant un bail "de six ans renouvelable" des nouveaux entrants.Elle a aussi plaidé pour que les maires puissent attribuer 60% des logements sociaux de leur commune, afin que "ceux qui iront travailler aient un droit prioritaire" au logement.Appelant à "une politique de peuplement" avec une "vraie politique de mixité sociale", elle a répété son projet de limiter à 30% la proportion de logements très sociaux. Il faut "desserrer l'étau de la loi SRU" pour y intégrer "toutes les formes de logements intermédiaire" ainsi que "l'accession sociale à la propriété", selon elle.
Il y a 3 ans et 129 jours

Habitat indigne à Marseille : prison requise contre un ex-notaire

MARCHANDS DE SOMMEIL. Le propriétaire de plusieurs dizaines de logements dont de nombreux considérés comme dangereux ou insalubres risque une peine de prison, dans une ville dont le centre est sujet à l'habitat indigne.
Il y a 3 ans et 129 jours

« Enseignant, chercheur, praticien : j’ai envie d’être les trois ! »

Dimitri Toubanos, Architecte HMONP, Urbaniste Sciences Po et Docteur en Architecture est maître de Conférences à l’ENSA Paris Val-de-Seine. Verbatim. [De l’enseignement] Il y a plusieurs manières d’enseigner et de transmettre. De la même manière qu’un théoricien peut savoir parler d’architecture sans savoir la faire, un architecte peut savoir faire de l’architecture mais sans savoir […] L’article « Enseignant, chercheur, praticien : j’ai envie d’être les trois ! » est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 130 jours

Un projet alternatif pour Austerlitz Gare Rive Gauche à Paris

Le Collectif Austerlitz, groupe d'associations opposé au projet de construction qu'il qualifie de "mur écrasant", a présenté le 2 février un contre-projet faisant la part belle aux espaces verts.
Il y a 3 ans et 130 jours

A Paris (XIIIe), la Tour Watt de Vincent Lavergne parle de son temps

L’agence Vincent Lavergne Architecture Urbanisme (VLAU), avec A&B PMCR pour l’aménagement intérieur, a livré en décembre 2021 la réhabilitation, extension et surélévation de la Tour Watt, icône du XIIIe arrondissement à Paris. Le montant de travaux de transformation de l’ancienne Tour du Loiret, réalisés pour ICF Habitat La Sablière, est de 11,5 M€ HT pour […] L’article A Paris (XIIIe), la Tour Watt de Vincent Lavergne parle de son temps est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 130 jours

Habitat indigne à Marseille: prison requise contre un ex-notaire

Le procureur a également réclamé la confiscation d'un immeuble, en guise de "signal fort adressé à tous ces investisseurs qui comptent tirer des profits" en louant des logements insalubres ou dangereux.Une amende de 100.000 euros a de même été requise contre la SCI propriétaire du bien immobilier.Dans ce cas emblématique des dossiers ouverts par la justice après le drame de la rue d'Aubagne et ces huit morts le 5 novembre 2018 dans l'effondrement d'un immeuble au coeur de Marseille, Pierre-Yves Loiseau, 42 ans, était jugé pour mise en danger d'autrui et refus d'exécuter des travaux dans l'un de ses nombreux biens.En 2013, cinq après l'achat d'un immeuble, dans un des quartiers les plus pauvres de Marseille, le bâtiment, aux installations électriques vétustes, était rongé par l'humidité.A la barre, l'ex-notaire a renvoyé la responsabilité sur les locataires "qui jouent au ballon dans les parties communes et font des barbecues à l'intérieur". Toujours selon lui, les entreprises envoyées pour les travaux se faisaient voler leur matériel ou voyaient leur travail immédiatement dégradé.Entre 2008 et 2010, le notaire s'était lancé dans des investissements immobiliers tous azimuts, créant 23 SCI pour acquérir 80 logements en empruntant 4 millions d'euros. Depuis, sept de ses immeubles ont été frappés d'un arrêté de mise en sécurité ou d'insalubrité, a précisé le procureur."On est sur un comportement délinquant, a insisté le procureur, car on n'achète pas autant de biens dans ce type d'immeubles, dans ce type de quartiers, si on n'a pas l'idée de faire un profit maximum"."Je n'ai plus d'argent, plus de moyens", s'est défendu le prévenu, qui avait déclaré des revenus de 300.000 euros par an entre 2014 et 2016, alors qu'il était encore notaire, et dont le domicile, un hôtel particulier à Aix-en-Provence, ainsi qu'une maison de bord de mer en Corse, ont déjà été saisis.Seuls une ancienne locataire et son fils, victimes de l'insalubrité de leur logement, relevée en 2012 par les services d'hygiène de la ville de Marseille, se sont constitués partie civile.Rappelant que M. Loiseau ne risquait pas d'impayés, leur loyer étant versé par la caisse d'allocations familiales, leur avocat a réclamé 30.000 euros de dommages et intérêts pour préjudice moral.Le jugement sera rendu le 21 février.
Il y a 3 ans et 130 jours

Balcon effondré à Angers : le procès s'ouvre mercredi

JUSTICE. Cinq après les faits, l'affaire du balcon effondré dans le centre-ville de la préfecture de Maine-et-Loire pourrait connaître un dénouement. Quatre jeunes sont décédés dans ce drame.
Il y a 3 ans et 130 jours

Xella dévoile son nouveau site internet

Historiquement, Xella fabriquait et commercialisait des murs et des cloisons en béton cellulaire via la marque Ytong, et les outils de communication arboraient essentiellement les couleurs de la marque. Au fil des décennies, l’offre produits Xella s’est diversifiée et étoffée pour couvrir l’ensemble des besoins du marché en matière de solutions constructives, saines et durables. De nombreuses marques, dont les solutions sont complémentaires, sont ainsi venues renforcer le portefeuille du groupe :Ytong : Mur gros œuvre et coupe-feu passif en béton cellulaireSiporex : Aménagement intérieur et cloison en béton cellulaireSilka : Mur silico-calcaireHebel : Dalle en béton cellulaire arméMultipor : Isolation minérale thermique et coupe-feu Au travers de ses 5 marques, Xella peut répondre à toutes les demandes que ce soient pour des projets de constructions neuves, en rénovation ou réhabilitation, en maisons individuelles, logements collectifs, bâtiments industriels et tertiaires ou établissements recevant du public. C’est dans l’objectif de valoriser l’offre du groupe dans sa globalité, les champs d’application et de mise en œuvre de chaque solution constructive, et de proposer une expérience utilisateur optimale que Xella lance son nouveau site internet www.xella.fr. Un site riche qui présente tous les avantages de construire durable et sainement Arborant la charte graphique et la couleur bleue du groupe, le nouveau site corporate www.xella.fr est une véritable vitrine du savoir-faire Xella, des services et produits proposés. Destiné aux professionnels de la construction, ce site responsive a été développé pour offrir une expérience utilisateur agréable et fonctionnelle. La navigation est particulièrement fluide et agréable, les pages sont épurées et le contenu aéré, que ce soit sur un ordinateur, un Smartphone ou une tablette. Une homepage défilante permet de visualiser, d’un seul coup d’œil et de manière intuitive, l’ensemble du portefeuille des marques Xella. Plusieurs « entrées » sont proposées pour que chaque visiteur puisse trouver la ou les solutions constructives Xella les mieux adaptées à leur projet, accompagnées de vidéos et des avantages produits :Par projets : regroupe l’offre produits selon que le projet soit une maison individuelle, des logements collectifs, des bâtiments industriels et logistiques, des établissements recevant du public, de la rénovation ou réhabilitation.Par solutions : permet de trouver le produit selon l’application souhaitée - mur porteur, coupe-feu, isolation, traitement de ponts thermiques... ou les bénéfices recherchés : résistance au feu, confort de vie...Par produits : présente les principales caractéristiques de chaque solution constructive.Par marques : met en avant les particularités de chacune des marques. D’autres rubriques sont également rapidement accessibles pour accompagner au mieux les visiteurs : Documentations : rassemble l’ensemble de la documentation technique et commerciale de chaque marque, Services : présente les services Xella mis à disposition des partenaires distributeurs et des professionnels de la construction,Entreprise : met en avant l’histoire, les valeurs, le savoir-faire de l’entreprise Xella France et du groupe.www.carriere.xella.fr : un site internet pour attirer de nouveaux talents Le lancement du site corporate s’accompage du nouveau site www.carriere.xella.fr. Cette plateforme permet de valoriser la politique sociale et environnementale engagée par le groupe, de présenter les différents métiers exercés au sein de l’entreprise, de faire connaître les avantages dont bénéficient les collaborateurs, et de diffuser les offres d’emplois. Enfin, ce site permet de repositionner Xella France au sein de Xella Group, un groupe international, le plus gros producteur mondial de béton cellulaire. Cet outil entend attirer ainsi de nombreux talents pour étoffer les équipes Xella.
Il y a 3 ans et 130 jours

Siège d’Orange à Montpellier par BGA : paysage exceptionnel ?

L’agence Brenac & Gonzalez & Associés (BGA), avec Vivien Gimenez Architecte, a livré à Montpellier (Hérault) en 2020 pour Covivio le nouveau siège social d’Orange (16 000 m²). Communiqué. Le siège d’Orange est localisé à la Pompignane, il prend place dans un vaste parc paysagé de 28 hectares issu de l’ancien Campus d’IBM. Aujourd’hui, un […] L’article Siège d’Orange à Montpellier par BGA : paysage exceptionnel ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.