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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Urbanisme - Aménagement

(35881 résultats)
Il y a 3 ans et 136 jours

SECTEUR DE LA CONSTRUCTION -Le groupe Fondasol lance Solscore, l’outil d’aide à la décision pour les projets de construction

Le groupe Fondasol lance SOLSCORE, un outil d’aide à la décision destiné aux acteurs de la construction, dans le cadre de l’acquisition d’un terrain ou de la construction d’un projet. S’appuyant sur la profondeur de la base de données de Fondasol, son expertise géotechnique et sa capacité de modélisation, Solscore délivre une tendance immédiate, une […]
Il y a 3 ans et 136 jours

Hérault : extension et modernisation de la station d’épuration de Lunel

À Lunel, dans l’Hérault, la phase actuelle des travaux porte sur le réaménagement du hangar. Elle consiste à rehausser les murs.
Il y a 3 ans et 136 jours

Gennevilliers : la Municipalité se dote d’un vrai centre-ville

Le nouveau quartier en face de la mairie de Gennevilliers fait l’objet d’un aménagement important pour rendre le centre-ville plus accueillant d’ici à 2024.
Il y a 3 ans et 136 jours

Le Groupe Novaxia franchit les 4 milliards d’euros d’actifs pilotés avec 70 projets et une collecte de près de 300 millions d’euros en 2021

Le Groupe Novaxia, classé par le Financial Times comme l’une des 1000 entreprises européennes ayant la plus forte croissance, accélère et confirme sa position de leader innovant dans la classe d’actif « recyclage urbain ».Pour Joachim Azan, Président Fondateur du Groupe Novaxia : « Nous nous réjouissons de la confiance des assureurs qui ont permis de faire entrer le recyclage urbain dans l’assurance-vie. Ce changement d’échelle est la preuve que cette thématique répond à la demande des épargnants, ainsi qu’aux besoins des collectivités et des acteurs de la ville. Ce fort développement des montants investis dans le recyclage urbain sera bénéfique au plus grand nombre : les Hommes, les territoires et l’environnement. »Triplement de la collecte en 2021 dans le recyclage urbainLa société de gestion Novaxia Investissement dépasse ses objectifs et a collecté 286,7 millions d’euros sur la totalité de ses fonds immobiliers. La société de gestion fait plus que tripler le montant de ses capitaux levés entre 2020 et 2021. Il y a un an, Novaxia mobilisait ses partenaires assureurs-vie, sous l’égide de la Ministre chargée du logement et de la Secrétaire d’Etat à l’Economie Sociale et Solidaire, pour donner la possibilité aux épargnants d’investir dans le premier fonds immobilier résidentiel et responsable en assurance-vie, Novaxia R.Pour Mathilde Krieger, Directrice Générale de Novaxia Investissement : « En ouvrant l'offre de Novaxia Investissement à l’assurance vie avec le fonds Novaxia R, notre collecte a triplé entre 2020 et 2021. Nos partenaires assureurs, CGP, banquiers et mutuelles nous ont fait confiance et ont cru aux vertus du recyclage urbain. En 2021, nos fonds ont offert aux clients investisseurs une performance en ligne avec les objectifs fixés et nous œuvrons encore au quotidien en 2022 pour démontrer qu’un investissement responsable et solidaire peut également offrir de la rentabilité. »La SC Novaxia R a collecté en 2021 près de 200 millions d’euros sur ses 9 mois de commercialisation, ce qui témoigne de l’attrait de la classe d’actif du recyclage urbain auprès du plus grand nombre. Novaxia Investissement a affecté la totalité de cette collecte à l’acquisition de 10 biens tertiaires obsolètes, qui seront recyclés en logement. Ils contribueront grâce à leur recyclage à la création de plus de 3 000 logements.Une performance supérieure en ligne avec les objectifs Novaxia R et Novaxia Neo, labellisés ISR et catégorisés en article 9 au sens du SFDR, affichent des performances en ligne avec la promesse pour ses clients investisseurs :+5% pour Novaxia R, la SC du recyclage de bureaux en logements, disponible en assurance-vie, doublement labelisée ISR (responsable) et Finansol (solidaire)+6% pour la SCPI Novaxia Neo : La SCPI ISR du recyclage urbain, au patrimoine réversible. Novaxia Neo fait l’acquisition d’immeubles loués, qui pourront être recyclés en logements s’ils venaient à ne plus trouver preneur.11 000 logements en cours de création et 70 projetsLa plateforme de services Novaxia+ a noué 60 partenariats promoteurs. Ils rejoignent la mobilisation de Novaxia pour accélérer le recyclage urbain. Ils développent en copromotion du recyclage d’immeubles obsolètes acquis par Novaxia Investissement sans conditions suspensives. En tout, 11 000 logements sont en cours de création pour 70 projets pilotés.Un impact environnemental avec 30 ans d’avance sur la loi Climat et RésilienceLe Groupe Novaxia a créé en net plus de 70 000 m² de pleine terre sur ses projets en 2021. Novaxia dépasse ainsi son engagement d’entreprise à mission d’avoir un bilan global Zéro Artificialisation Nette des Sols et se positionne en pionnier de la loi Climat et Résilience adoptée en 2021Un impact social au bénéfice du plus grand nombre : 12 projets d’occupations temporaires solidaires, 148 000 personnes bénéficiairesEn 2021, Novaxia Investissement systématise le recours à l’occupation temporaire en ouvrant près d’un projet tous les mois avec des acteurs de l’économie sociale et solidaire.Ces projets, issus de la mise à disposition gratuite des immeubles en attente de travaux ont bénéficié à plus de 148 000 personnes en 2021. Distribution alimentaire, hébergement d’urgence, ateliers d’accès à la culture, expositions, résidences artistiques… En tout, une cinquantaine d’emplois ont été soutenus ou créés par ces projets lancés dans des bâtiments vacants en attente de travaux de recyclage. 43 000 personnes ont accédé à la culture à travers ces occupations temporaires, dont plus de 3 300 enfants.
Il y a 3 ans et 136 jours

Des travaux de rénovation sous voûte menés par GCC et Ouest Acro à Paris

Dans le 10e arrondissement de Paris, GCC mène un chantier de rénovation atypique pour la SNCF : purger et démolir 200m2 de sous-face d'une voûte en béton particulièrement difficile d'accès.
Il y a 3 ans et 136 jours

Haute-Garonne : à Tournefeuille, des travaux de voirie et de rénovation des réseaux

La ville de Tournefeuille prévoit des travaux rue du Médoc, rue Gaston-Doumergue, chemin de la Peyrette et dans les quartiers Utopia et Quéfets.
Il y a 3 ans et 136 jours

Un bilan très encourageant pour l'anniversaire de la Fondation Castorama

Avec le constat de la progression du mal-logement en France et le contexte du Covid-19 qui a renforcé les inégalités de conditions de logement, la Fondation Castorama a mis un point d’honneur à accompagner les plus fragiles dans l’amélioration de leur logement. Depuis sa création, la Fondation a soutenu 26 associations et plus de 37 000 personnes ont bénéficié de son soutien.Un engagement solidaire sur l’ensemble du territoireLa Fondation Castorama agit au niveau local et a soutenu depuis sa création 26 associations de lutte contre le mal-logement, réparties dans toute la France. Ces associations sélectionnées au travers d’appels à projets ont bénéficié d’un soutien financier s’élevant à 230 000 euros. A l’échelle nationale, des partenariats ont été conclus, comme avec la Fondation Abbé Pierre qui a reçu une dotation de 100 000 euros. La Fondation Castorama a également soutenu à hauteur de 60 000 euros les Compagnons Bâtisseurs dans le projet Bricobus, ayant permis d’aider des personnes démunies confrontées à des problèmes de logement.Pour Yosr Dallegi, Chargée de Programme et Fondations Abritées de la Fondation de France : « La Fondation Castorama et l’ensemble des collaborateurs sont très investis dans leur démarche. L’engagement dont ils font preuve localement et les convictions qu’ils défendent collectivement constituent des relais de solidarité précieux pour les associations et les bénéficiaires qui en ont grandement besoin. »L’action locale des collaborateurs en faveur du mieux-logementDepuis la création de la Fondation Castorama, les collaborateurs de l’enseigne sont pleinement impliqués sur le terrain au travers d’actions locales. En 2021, une centaine de collaborateurs des magasins et du siège ont participé à la réhabilitation de logements à destination de personnes en situation de précarité.Par ailleurs, sept partenariats entre magasins et antennes locales de l’association les Compagnons Bâtisseurs ont pris la forme de dons de produits et de mécénat de compétences.Des initiatives concrètes auxquelles s’ajoute le financement de Castorama à travers la vente de sacs de caisse et de sapins de Noël au profit de la Fondation ainsi que la participation des collaborateurs de l’enseigne à des défis sportifs, tels que le Boost’n’go. Une dynamique qui se poursuit en 2022Dans le prolongement des initiatives solidaires déjà engagées, la Fondation Castorama apportera en 2022 son soutien à 10 nouveaux projets associatifs de lutte contre le mal- logement pour un montant total de 120 000 euros. Les collaborateurs pourront de nouveau participer à une dizaine de chantiers solidaires organisés dans toute la France et s’engager collectivement en se challengeant sur des défis sportifs avec Boost’n’go. Pour Franck Moreno, Président de la Fondation Castorama et Directeur de l’enseigne Castorama en France : « La création de la Fondation est la concrétisation d’un engagement de longue date de Castorama dans la lutte contre le mal-logement. Nous sommes extrêmement fiers de soutenir sur le terrain des projets pour aider les plus démunis. Je remercie vivement mes équipes pour leur enthousiasme et leur implication. Nous nous réjouissons de poursuivre l’aventure en 2022 avec de nouvelles associations et de nouveaux projets. »
Il y a 3 ans et 137 jours

Le totem sculpté de SOA à Beyrouth

La Fondation Luma de Frank Gehry dressée en pays arlésien, les Tours Duo de Jean Nouvel érigées en surplomb du boulevard périphérique à Paris ou encore la Samaritaine de Sanaa inaugurée sur les rives de la Seine. L'année 2021 a vu des réalisations très attendues s'achever sur tout le territoire. […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 137 jours

Lancement de 250 chantiers de quartier à Paris

"Il y en aura beaucoup à l'été, cela va durer environ quinze mois", a indiqué jeudi 27 janvier à l'AFP Jacques Baudrier, adjoint (PCF) à la construction publique de la maire PS Anne Hidalgo, après un point d'étape sur les premiers chantiers "Embellir votre quartier", qui concernent à tour de rôle un seul secteur par arrondissement.La mairie de Paris consacre environ 100 millions d'euros, soit 5,5 millions par quartier, à cette première série de travaux qui doit aboutir à l'été 2023 dans ces 17 quartiers.Parallèlement, les concertations avec les riverains des neuf quartiers de la deuxième vague, dont le très touristique Montmartre, débuteront entre février et avril, pour un début des travaux en fin d'année et un budget de 55,5 millions d'euros.Pour les quartiers de la troisième phase, M. Baudrier souhaite "avancer la concertation à fin 2022 afin de finir un maximum de travaux avant les Jeux olympiques".Aménagement de places, de pistes cyclables, de "rues aux écoles", rues rendues piétonnes, plantation de 50 à 100 arbres dans chaque secteur : "quartier par quartier, Paris se refait une beauté", affirme la mairie qui veut avec cette démarche "offrir une meilleure visibilité" quant aux nuisances générées par les travaux et éviter "autant que possible" que la zone réaménagée soit "rouverte" par les concessionnaires dans les 4 ou 5 années suivantes.Pour cela, "tous les concessionnaires passent avant" les travaux d'aménagement de la Ville, souhaite M. Baudrier qui se satisfait d'avoir à ce stade 95% des chantiers des opérateurs bien coordonnés. Même s'il "reste encore 98 chantiers" à décaler dans le temps, "la mutualisation progresse", se réjouit-il.Selon les données de la mairie, il y a actuellement 5.200 emprises de chantier dans la capitale, dont seulement 11% gérées par la Ville, 28% par ses concessionnaires et la majorité (60%) par des tiers. Les surfaces gérées par la Ville sont en revanche les plus importantes.Avant sa réélection en 2020 et sa candidature à la présidentielle, Anne Hidalgo, critiquée pour le nombre de chantiers en cours dans la capitale, avait reconnu une "gêne réelle".
Il y a 3 ans et 137 jours

La RATP exige des millions d'euros à la Ville de Paris pour des problèmes d'infiltration

JUSTICE. La RATP a annoncé avoir saisi la justice contre la Ville de Paris, à la suite de dégâts causés par l'aménagement de la place de la République. La régie réclame des millions d'euros de dédommagements.
Il y a 3 ans et 137 jours

Retour à la normale pour l'immobilier neuf en stations de ski avec des opportunités à saisir

Même si la montagne française a montré qu’elle savait s’adapter depuis bientôt deux ans, cette normalité retrouvée permet de profiter de l’intérêt des acheteurs pour la résidence secondaire post-confinement et de la valeur refuge qu’a l’immobilier. Grâce aux données du site spécialisé dans l’immobilier neuf : Trouver-un-logement-neuf.com, découvrez les stations du sillon alpin où cela construit et les prix qui y sont pratiqués en résidence de tourisme ou en copropriété classique.Comment investir dans l’immobilier neuf en station de ski ?Dans l’immobilier neuf en montagne, il existe principalement deux types de produit. Il y a l’achat en résidence de tourisme plutôt axée sur l’investissement locatif avec possible occupation des lieux quelques semaines par an ou la copropriété classique pour acquérir une résidence secondaire traditionnelle. Deux produits différents qui entraînent une diversité de prix. Différence de prix entre copropriété classique et résidence de tourismeManque de foncier, PLU plus restrictif, les emplacements premium sont de plus en plus rares et donc chers. Pour pouvoir construire en stations, il faut racheter d’anciens hôtels, reconstruire entièrement sur d’anciennes copropriétés… sans oublier la montée en gamme assumée des opérateurs et des appartements volontairement plus grands… d’où des prix en stations qui ont tendance à augmenter. Les prix en résidence de tourisme restent en général moindres que pour un appartement neuf en copropriété classique, notamment grâce à la récupération de TVA que procure le statut LMNP de la location meublée. Illustration à Samoëns en Haute-Savoie : 330.000 € HT pour un trois-pièces en résidence de tourisme, 390.000 € TTC pour un T3 en copropriété classique.Même s’il est compliqué de comparer deux programmes neufs dans une même station, autre exemple à Praz-sur-Arly, toujours dans le 74 : 206.000 € HT pour un T3 en résidence de tourisme, contre 426.000 € TTC en copropriété classique.Ce qui peut expliquer cette différence de prix, ce sont les « contraintes » qui ne sont pas les mêmes. Si vous devenez pleinement propriétaire de votre bien en copropriété classique, investir en résidence de tourisme impose de s’engager à louer le bien via un gestionnaire exploitant. De quoi attirer des investisseurs au ticket d’entrée moindre et qui ne veulent occuper le bien que quelques jours par an.Des prix du neuf crescendos en montagne Quelle que soit la formule : résidence de tourisme ou copropriété classique, Trouver-un-logement-neuf.com recense actuellement une quarantaine de programmes neufs en commercialisation en stations sur son site spécialisé dans l’immobilier neuf. Comme toujours en immobilier, les prix connaissent de grandes disparités selon la renommée de la station, l’emplacement skis aux pieds ou non, la gamme proposée… Pour devenir propriétaire d’un trois-pièces en montagne, il faut compter actuellement à partir de 233.000 € aux Carroz d’Arâches, domaine skiable du Grand Massif. Comptez moins de 300.000 € pour investir à Châtel, à Pralognan-la-Vanoise… Plus la station est cotée, plus les prix grimpent forcément : 325.000 € HT à Tignes, 600.000 € TTC à Megève, à partir de 665.000 € TTC à l’Alpe d’Huez et jusqu’à un programme neuf à Courchevel 1650 avec un trois-pièces à partir de 1.150.000 € TTC.Les biens d’exception à la montagneSi vous rêvez d’un chalet neuf à la montagne, c’est encore possible. De temps en temps, des opérations sortent de terre et elles permettent de devenir propriétaire d’un bien immobilier neuf d’exception en station. Exemple à La Plagne Montalbert avec 7 chalets mitoyens à partir de 1.116.000 €, avec des surfaces allant de 150 m² à 190 m², de 5 ou 6 chambres. Conseil pour trouver les meilleurs prix en station Deux temps forts pour profiter des meilleurs prix du neuf en stations : lors du lancement commercial ou quand la livraison approche. Réserver un appartement neuf à la montagne lors de la mise en vente d’un programme immobilier en station, c’est s’offrir le plus large choix possible, c’est-à-dire toutes les typologies, les meilleures orientations… C’est ainsi pouvoir trouver le bien qui correspond le plus à votre budget, dans la station de votre choix. Autre moment-clé : lorsque le programme neuf est en livraison immédiate ou à quelques semaines de sa livraison définitive. Cela permet de pouvoir visiter la résidence et son environnement, les appartements… et d’en profiter plus rapidement. L’achat neuf en montagne se fait sur un temps plus long qu’une opération résidentielle classique en ville, il est habituel d’avoir encore des lots disponibles lors de la livraison. De quoi profiter des avantages du neuf sans l’attente de la durée du chantier plus long en altitude.
Il y a 3 ans et 137 jours

Le Gouvernement met en œuvre le blocage à 4% de la hausse des tarifs réglementés de l'électricité

Dans sa délibération du 18 janvier dernier, la Commission de régulation de l’énergie, autorité administrative indépendante, a proposé au gouvernement des tarifs réglementés de vente qui, conformément à la loi, reflètent les coûts d’approvisionnement sans mesure additionnelle. Les propositions de tarifs conduiraient à une très forte hausse : + 44,5 % HT, soit +35,4% TTC, pour les tarifs bleus applicables aux consommateurs résidentiels ; + 44,7 % HT, soit + 35,9% TTC, pour les tarifs bleus applicables aux consommateurs professionnels éligibles. Cette hausse s’explique principalement par l’envolée des prix sur le marché européen de l’électricité, elle-même notamment liée à la forte hausse des prix du gaz en Europe induite par la reprise économique et amplifiée par le faible niveau des livraisons de gaz russe.Le Gouvernement avait anticipé ce mouvement haussier et prévu plusieurs dispositions pour en limiter les effets :Le niveau de la taxe portant sur l’électricité (TICFE) est réduit de 95 % pour 1 an à son minimum possible prévu par le droit européen, soit 1€/MWh pour les clients résidentiels et assimilés et 0,5€/MWh pour les autres. Cette baisse, applicable à compter du 1er février, représente un coût budgétaire pour l’Etat de 8 milliards d’euros. Cette mesure fiscale permet de ramener la hausse des tarifs réglementés à 20,04% TTC pour les consommateurs résidentiels et à 20,88% TTC pour les consommateurs professionnels.De manière exceptionnelle et temporaire en 2022, le volume d’ARENH livré en 2022 augmentera de 20 TWh, afin que l’ensemble des consommateurs bénéficie de la compétitivité du parc électronucléaire français. Ce volume d’électricité à tarif régulé profitera à tous les consommateurs, particuliers, collectivités comme professionnels. Les fournisseurs répercuteront intégralement cette mesure au bénéfice des consommateurs, sous la surveillance de la Commission de régulation de l’énergie.La loi de finances autorise enfin le Gouvernement à s’opposer aux propositions tarifaire de la Commission de régulation de l’énergie à titre exceptionnel en 2022 et à en limiter la hausse à 4%. Les arrêtés publiés aujourd’hui mettent en œuvre ce plafonnement qui s’applique pour les consommateurs résidentiels et les petits consommateurs professionnels en métropole continentale et pour tous les consommateurs dans les zones non interconnectées (Corse et territoires ultramarins).Ce plafonnement permet de réduire la hausse moyenne des factures d’électricité des ménages à 38 €/an sur la facture d’un client résidentiel et environ 60 €/an pour un client professionnel. En l’absence de mesures, la hausse aurait été de 330 €/an pour un client résidentiel et de 540 €/an pour un client professionnel. Le bouclier tarifaire bénéficie à tous les français quel que soit leur fournisseur. La loi de finances prévoit en effet que tous les fournisseurs bénéficient d’une compensation en 2022 par l’Etat des charges qu’induisent pour eux le plafonnement des prix, à concurrence de l’effet du plafonnement appliqué aux tarifs réglementés. Ils pourront ainsi mettre en œuvre ce plafonnement et en faire bénéficier tous leurs clients.Ces mesures s’inscrivent dans un ensemble d’actions prises par le Gouvernement depuis plusieurs mois pour atténuer les conséquences de la hausse des prix des énergies pour les consommateurs, et notamment les plus modestes :Un chèque énergie exceptionnel de 100 € a été distribué au cours du mois de décembre 2021. Ce nouveau chèque aide les 5,8 millions de ménages qui avaient déjà reçu un chèque énergie en avril 2021 à régler leurs factures d’énergie. Ce soutien ciblé sur les ménages les plus en modestes représente une aide de près de 600 millions d’euros. Un nouveau chèque énergie sera adressé en avril 2022.Les tarifs réglementés du gaz ont été gelés à leur niveau du mois d’octobre 2021 durant toute la durée de l’hiver et au besoin jusqu’à la fin de l’année 2022. L’Etat prendra en charge le surcoût induit par ce gel pour les fournisseurs, conformément aux dispositions prévues dans la loi de finances pour 2022.Une indemnité inflation, d’un montant de 100 €, est attribuée aux 38 millions de personnes résidant en France dont le revenu net mensuel est inférieur à 2 000 €, entre décembre 2021 et février 2022, soit un soutien additionnel de l’Etat de 3,8 milliards d’euros. L’aide est versée en une fois par les employeurs aux salariés, ceux-ci étant intégralement compensés par l’État de ces versements via une aide au paiement de leurs charges sociales.Enfin, compte tenu de la hausse continue des prix des carburants, le Premier ministre a annoncé le 25 janvier 2022 une revalorisation de 10% du barème des indemnités kilométriques. 2,5 millions de foyers environ sont concernés par cette mesure dont l'effet sera rapide et direct dès leur déclaration d'impôt sur les revenus 2021 ou sur les bénéfices de l'année dernière. Cette revalorisation a vocation également à servir de référence, et donc potentiellement à se répercuter, sur les indemnités kilométriques directement versées par les employeurs à leurs salariés qui utilisent leur véhicule personnel.Le Gouvernement agit ainsi pour protéger le pouvoir d’achat des Français et la compétitivité de l’économie face à la hausse des prix des énergies.
Il y a 3 ans et 137 jours

Immobilier : en Ile-de-France, le prix des maisons explose, la capitale stagne

CONJONCTURE. D'après les Notaires du Grand Paris, entre maisons et appartements, les écarts se creusent, chacun porté par des logiques propres. Et si la petite et la grande couronne restent dynamiques en termes de prix, la capitale stagne. L'activité bat, partout, des records.
Il y a 3 ans et 137 jours

« Il ne peut pas y avoir de Socotec performant sans une activité France performante », Hervé Montjotin, CEO

Mi-janvier, le leader des services de testing, d'inspection et de certification des projets de construction a annoncé avoir dépassé le milliard d'euros de chiffre d'affaires et fait l'acquisition de deux sociétés, Urbads et sa filiale Urbycom, spécialisées dans l’instruction déléguée des autorisations d’urbanisme et l’élaboration de plans locaux d’urbanisme (PLU). Le CEO de Socotec explique ce choix stratégique au Moniteur.
Il y a 3 ans et 137 jours

Le marché de l’immobilier logistique s’envole en 2021

Avec une hausse significative de 34% par rapport à l’année 2020 et de 12% par rapport à l’année 2019, le secteur connaît une évolution très favorable. Point à date sur ce marché en pleine expansion malgré la crise sanitaire et qui, selon les régions, affiche des résultats bien au-delà des prévisions initiales. Quelques faits marquants : Plus de 3.700.000 m² transactés (bâtiments ICPE de plus de 10.000m²), soit une augmentation de la demande placée de 34 % par rapport à 2020 et 12 % par rapport à 2019La région des Hauts-de-France représente à elle-seule 28 % du marché globalLes opérations de plus de 50.000 m² sont de retour et représentent 28 % du marchéLes opérations de construction (clé en main) représentent environ 45 % du marché global Les prestataires logistiques sont les acteurs majeurs du marché (50% des transactions)La raréfaction des terrains dédiés à la logistique s’accélère : on observe une pénurie de terrains de plus de 5 hectares libres sur les principaux pôles logistiques de l’hexagone. Les prix ont donc été multipliés par 3 sur certains secteursLes coûts de construction et les loyers progressentLes taux de capitalisation prime sont de l’ordre de 3,5%.Chiffres clefs et tendances Sur l’année 2021, EOL comptabilise 3,7 millions m² de surfaces placées (dont 1.271.000 m² sur le dernier trimestre) pour 143 transactions. Des chiffres en forte hausse par rapport à 2020 (2.785.000 m² et 107 transactions), mais également par rapport à l’année 2019 (3.377.000 m² et 112 transactions).Les 4 marchés de la dorsale (Lille, Paris, Lyon et Marseille) représentent 70 % de la demande placée, ce résultat est principalement lié à la performance exceptionnelle des Hauts-de-France et à la bonne performance de l’Ile-de-France. Le manque d’offre disponible et l’absence de développement limitent les performances de Lyon et Marseille. Malgré le peu de fonciers disponibles et l’absence de projets de développement à court terme, l’Ile-de-France affiche une performance satisfaisante avec plus de 800.000 m² placés (+ 45 % par rapport à 2019), essentiellement sur des immeubles existants (61 % des transactions). Le marché en régionsLa région des Hauts-de-France : La région des Hauts-de-France bat encore un record inédit avec 1.070.000 m2 de surfaces placées (soit 1/3 du marché français).Pour Laurent Sabatucci, directeur associé, fondateur EOL : « Près de 3500 emplois au cours de l’année 2021 ont été créés et la logistique a généré un investissement privé de plus 500 millions d’euros. La région Hauts-de-France a mené une stratégie « logistique friendly » et a séduit de grands acteurs, rappelons-nous des opérations de Seb et La Redoute qui ont marquées l’année 2021. »Le marché en Rhône-Alpes (Lyon) : 400.000 m² transactés en 2021. 3ème région de France en termes de demande placée loin derrière les Hauts-de-France et l’Ile-de-France, Lyon souffre du manque de développement et d’un stock d’offres disponibles très faible. Très forte tension sur l’offre avec un taux de vacance historiquement bas (3%). Les quelques opérations lancées en blanc et les terrains disponibles pour des clés en main ont été commercialisés. Peu de développements à venir et peu de solutions de report sur des marchés périphériques.Le marché dans les Bouches-du-Rhône (Marseille) : 288.000 m² placés. 5ème région de France en termes de demande placée. Une baisse continue du taux de vacance (4%). Des loyers en hausse. A la différence du marché lyonnais, le marché marseillais propose quelques solutions de développement notamment à proximité du port de Fos.Le marché en Centre-Val-de-Loire (Orléans) :Avec plus de 300.000 m² conclus en 2021, cette région confirme sa position de pôle majeur et occupe la 4ième place des régions en termes de demande placée derrière les Hauts-de-France, Paris et Lyon.Le nombre d’opérations lancées en blanc et en cours de développement garantissent une certaine fluidité du marché.Le taux de vacance est stable.Les loyers sont en hausse modérée. Le marché en Nouvelle-Aquitaine (Bordeaux) : 70.000 m² transactésPeu de transactions et très peu d’offres disponibles dans un marché sous tension.Les opérations lancées en blanc ont été commercialisées. Le marché en Occitanie (Toulouse) : Un marché qui reste atone (85.000 m²) compte tenu du manque d’offres disponibles.Un taux de vacance toujours faible.EOL acteur de référence du secteur en France et à l’internationalEn France, au global, EOL a conclu 570.000 m² de projets logistiques sur des bâtiments existants ou des développements, notamment une opération emblématique de plus de 110.000 m² pour le compte de La Redoute à Cambrai (59).En Europe, après avoir accompagné Carrefour pour un projet industriel et logistique à proximité de Bruxelles, EOL vient de signer un terrain de plus de 20 Ha en Pologne pour y développer un projet de plus de 80.000 m2pour l’un de ses clients français.EOL poursuit l’accélération de la décarbonation des entrepôts EOL a initiée dès 2016 une stratégie de décarbonation des entrepôts ce qui lui permet aujourd’hui d’accompagner les acteurs majeurs du marché dans une démarche unique et innovante. L’application du décret tertiaire oblige les exploitants des entrepôts à diminuer de 40% les consommations d'énergie, EOL apporte une approche globale et un savoir-faire technique dans le choix des sites logistiques.
Il y a 3 ans et 137 jours

Schindler confirme son positionnement d'ascensoriste 4.0

Le groupe Schindler déplace à lui seul plus d’un milliard de personnes dans le monde chaque jour. D’origine suisse, créé en 1874, le groupe familial est présent en France depuis le début des années 60 par le rachat de la célèbre société Roux-Combaluzier. En France, l’ascensoriste assure le bon fonctionnement de 150 000 appareils, avec 60 millions de trajets par jour. Schindler couvre l’intégralité des activités liées aux ascenseurs, escaliers mécaniques et trottoirs roulants, du design à installation en passant par la maintenance, la réparation et la rénovation. Complètement intégré dans le quotidien de tous, l’ascenseur, un service d’utilité quasi-public, est le moyen de transport le plus utilisé au monde. Ce secteur connaît aujourd’hui une transformation industrielle 4.0 au cœur des Smart Cities d’aujourd’hui et de demain.Schindler : acteur des Smart Cities de demainPour assurer la pérennité de ses services, Schindler fait preuve d’innovation au quotidien avec, au cœur de son action, l’expérience passager. Il mise sur l’IA et la digitalisation pour : optimiser les temps d’attente et de trajet, proposer une télésurveillance intelligente en assurant un service sans interruption (anticipation des dysfonctionnements et des pannes…) et mettre à disposition des services connectés pour les usagers. Depuis 2018, tous les ascenseurs Schindler sont dotés d’une box connectée baptisée le Cube, siège de la maintenance prédictive. Grâce à cette technologie, il est possible d’anticiper les dysfonctionnements en relayant toutes les données relatives à l’ascenseur. La maintenance prédictive c’est : plus de 20 000 ascenseurs connectés, plus de 1000 paramètres surveillés en temps réel et une intervention des techniciens, en moyenne, 5 fois plus rapide. Dans une logique de responsabilité sociétale et environnementale, Schindler intègre dans le développement de son offre digitale, des technologies d’Edge Computing (filtrage de données pour ne pas engorger le Cloud).Schindler, un acteur éco-responsableLe nouveau siège social de Schindler se situe dans un bâtiment durable, le Quartz, certifié HQE et BREEAM, équipé pour répondre au développement digital de son activité. Situé à Vélizy-Villacoublay, en région parisienne, le Quartz héberge non seulement le siège de la maintenance prédictive mais également son centre d’appels. Schindler participe à cette évolution industrielle qui vise à changer le paysage urbain de demain. C’est dans cette optique que l’entreprise poursuit sa transformation sur le plan comportemental, technologique, organisationnel et RSE afin d’apporter un bénéfice à ses clients, partenaires et collaborateurs : politique zéro papier, électrification de la flotte automobile, partenariats avec des ONG, campagne de diversité, etc…
Il y a 3 ans et 137 jours

Colas teste la nouvelle pelle Mecalac 100% électrique réduisant l’empreinte environnementale des chantiers

Mecalac finalise, par une campagne d’essais auprès de ses clients, la mise au point de la e12, première pelle sur pneus 100 % électrique au monde. Son architecture et sa technologie exclusives assurent une autonomie d’une journée type de travail.L’électrification permet de réduire les émissions de gaz à effet de serre, notamment en France, où l’électricité est peu carbonée. Elle diminue également les nuisances sonores et favorise ainsi l’acceptabilité des chantiers auprès des riverains.Cette opération s’inscrit dans la continuité de l’acquisition de quatre fourgons électriques par l’établissement Colas de Grenoble l’an dernier et répond aux enjeux de la Zone à Faible Emission de l’agglomération grenobloise.Pour Bruno Munier, Directeur Equipements de Colas France Territoire Sud-Est : « Cette expérimentation permettra d’envisager d’autres utilisations de la pelle Mecalac e12 sur les futurs chantiers urbains de Colas et de réduire leur empreinte environnementale. »Pour Patrick Brehmer, Directeur Marketing du Groupe Mecalac : « Ces essais constituent une étape importante dans la transition vers des solutions zéro émission et démontrent l’adéquation optimale de la Mecalac e12 avec les besoins réels des chantiers urbains, tant en termes de performances que d’autonomie. »Un second test de la pelle électrique Mecalac e12 sera effectué en février prochain sur un chantier réalisé par Colas pour la Métropole de Lyon.La transition vers une flotte d’engins bas carbone s'inscrit dans le cadre des engagements du Groupe Colas, qui s’est fixé des objectifs ambitieux, compatibles avec l’Accord de Paris : réduire de 30 % ses émissions directes de gaz à effet de serre et de 30 % ses émissions indirectes en amont d’ici à 2030.
Il y a 3 ans et 137 jours

TotalEnergies renonce à implanter son nouveau pôle R&D à côté de Polytechnique

"Dans ces conditions, TotalEnergies a décidé de s'installer dès cette année, comme prévu, sur le plateau de Saclay (sud-ouest de Paris, ndlr) dans des locaux destinés à accueillir des centres d'innovation d'entreprises pour y établir durablement son pôle R&D Nouvelles Energies & Electricité", explique le groupe dans son communiqué.L'implantation d'un bâtiment de 10.000 m2 était prévue au départ au cœur du campus de Polytechnique, avec 400 personnes attendues pour travailler sur la "décarbonation des énergies". Ce projet avait été contesté par une partie des élèves et des professeurs de la prestigieuse école, qui avaient manifesté en mars 2020 contre "l'ingérence du privé".En juin 2020, après la mobilisation d'étudiants et de professeurs, l'école d'ingénieurs avait décidé de sortir le futur centre de recherche du cœur du campus pour le prévoir juste à côté, sur le futur parc d'activités d'innovation porté par l'Établissement public d'aménagement (EPA) Paris-Saclay.Les travaux de construction du bâtiment au nouvel emplacement, qui devaient débuter en juillet 2021, ont été retardés."Les nouvelles énergies n'attendent pas. Et la transformation de TotalEnergies - qui a accéléré en 2021 - ne peut pas non plus attendre", affirme le groupe dans son communiqué.L'École polytechnique a réagi dans un communiqué distinct, en disant prendre acte et regretter la décision prise par TotalEnergies même si celle-ci ne remet pas en cause les partenariats avec l'entreprise "ni les engagements de l'école dans le domaine de la transition énergétique".TotalEnergies renonce en effet au projet de bâtiment en propre mais maintient son partenariat scientifique avec l'Institut polytechnique de Paris et notamment avec les départements dédiés à l'énergie, à l'intelligence artificielle et à la science des données.Le futur pôle R&D abritera 200 chercheurs et "développera des collaborations avec les laboratoires des universités et écoles, des entreprises et des start-up", précise le groupe.La double casquette de Patrick Pouyanné, PDG de TotalEnergies et membre du conseil d'administration de Polytechnique, lui a par ailleurs valu une enquête du parquet financier, ouverte en mai 2021, sur le projet de centre R&D.Une plainte avait été déposée par trois ONG reprochant à M. Pouyanné d'avoir entretenu la confusion entre son mandat d'administrateur de l'école et celui de PDG du groupe pétrolier lors des débats sur l'implantation de ce centre de recherches au cœur du campus.
Il y a 3 ans et 137 jours

Le CCCA-BTP lance l’appel à projets « Investissements innovants »

Depuis 2020, le CCCA-BTP déploie un ambitieux programme d’appels à projets, pour financer des expérimentations et innovations portées par les organismes de formation aux métiers du bâtiment et des travaux publics et en assurer le déploiement. Dans ce cadre, le CCCA-BTP lance l’appel à projets « Investissements innovants », doté d’un budget de 75 millions d’euros sur trois ans, pour accompagner le financement de deux types de projets d’investissements innovants : les projets immobiliers directement liés à un projet pédagogique ou éducatif innovant et les projets pédagogiques d’achats et de mise en œuvre de matériel pédagogique ou éducatif innovant. Tout organisme de formation en apprentissage aux métiers du BTP est éligible au dépôt d’un ou plusieurs projets. Le porteur de projet peut présenter un projet seul, ou avec des partenaires en consortium. Le CCCA-BTP encourage les candidatures groupées, notamment avec des partenaires et des entreprises du secteur du BTP, afin de renforcer et promouvoir des coopérations existantes et la création de coopérations innovantes et originales entre acteurs publics et privés d’un territoire, acteurs historiques et émergents. L’appel à projets est publié sur la plateforme dédiée du CCCA-BTP : https://www.appels-a-projets-cccabtp.fr. Chaque porteur de projet devra créer son espace candidat, afin de pouvoir déposer son dossier. Les dossiers peuvent être déposés à tout moment sur le site, jusqu’au 31 décembre 2024. Ils seront évalués au fur et à mesure de leur dépôt, dans le respect des dates des instances du CCCA-BTP.  
Il y a 3 ans et 137 jours

Pyramide bordelaise, l'îlot Queyries par MVRDV

La Fondation Luma de Frank Gehry dressée en pays arlésien, les Tours Duo de Jean Nouvel érigées en surplomb du boulevard périphérique à Paris ou encore la Samaritaine de Sanaa inaugurée sur les rives de la Seine. L'année 2021 a vu des réalisations très attendues s'achever sur tout le territoire. […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 137 jours

A Nice, Ingérop conçoit le quartier d’affaires et de vie de demain

Ingérop est un des acteurs clés du projet Nouvel’R mené dans le cadre de l’aménagement du nouveau quartier d’affaires et de vie Grand Arénas à Nice. Deux ingénieurs nous racontent les défis qu’ils ont relevés pour ce projet.
Il y a 3 ans et 138 jours

Isover a réalisé l’isolation thermique et acoustique du “Wonder of the Seas”, le plus grand paquebot du monde

Un chantier hors norme pour un paquebot hors normeConnu à Chantiers de l’Atlantique en tant que “C34”, son numéro de coque, ce mastodonte de 362 mètres de long pour 64 mètres de large affiche selon son armateur, la compagnie américaine Royal Caribbean International (RCI), des chiffres impressionnants et démesurés :D’un coût de plus d’un milliard d’euros, le Wonder of the Seas, dont l’assemblage a débuté en octobre 2019, a été mis à l’eau pour les essais en mer en septembre 2020. Les premières croisières à bord sont prévues au printemps 2022.Un panel de solutions ISOVER pour répondre à l’ensemble des postes d’isolation du navireParticulièrement drastiques, les normes de sécurité incendie à bord sont un enjeu essentiel dans la construction navale. La gamme de produits U SeaProtect®, fabriqué à base de la laine de roche légère ULTIMATE®, a fourni la réponse optimale avec une nouvelle génération de laine minérale haute performance qui combine tous les avantages en termes de feu, d’isolation thermique et acoustique, avec des économies de poids substantielles. 2/3 de l’isolation, soit 50 000 m² ont été réalisés avec U SeaProtect® pour assurer le confort thermique et la sécurité des passagersPour ce chantier d’envergure, le produit U SeaProtect® a été retenu pour ses excellents résultats sur tous les aspects : sa performance thermique qui garantit une forte augmentation de l’efficacité énergétique tout en réduisant significativement les coûts d’exploitation et les émissions de CO₂. De plus, U SeaProtect® est une solution au poids exceptionnellement léger : - 25 % versus un isolant classique en laine minérale. Aussi, le produit est conditionné avec un emballage comprimé et hautement rationalisé, permettant de réaliser des économies logistiques et facilité l’installation sur le chantier.U SeaProtect® répond également aux normes les plus exigeantes concernant la protection incendie, allant du plus haut niveau de réaction au feu à d’excellentes qualités de résistance au feu.100 000 m² de panneaux d’isolation PI Marine pour de hautes performances thermiques et anti-condensationFace aux enjeux thermiques et de condensation, ISOVER a proposé la gamme PI MARINE en laine de verre. Exclusive sur le marché, elle a été incontournable pour isoler thermiquement et assurer un rôle d’anti-condensation.3 produits ont été posés sur différents postes dans le navire :PI662, un panneau en laine de verre face alu qui a été utilisé pour isoler la coque et assurer l’anti-condensation sur bordée.PI682 a permis d’isoler une grande partie du réseau des conduits de ventilation.PI695, un écran coupe-tirage a été installé entre les cabines, aux plafonds et sur les ponts. Leur rôle coupe-feu permettant d’empêcher la propagation des fumées toxiques en cas d’incendie.Un navire moins lourd qui consomme moins de carburantDans la quête de navires plus gros et plus rapides, le poids des matériaux et la réduction de poids en général n’ont jamais joué un rôle aussi important qu’aujourd’hui. Avec sa gamme marine la plus légère du monde, ISOVER a permis une économie de poids de - 25 % sur l'isolation, pour un résultat identique en termes de performances, participant ainsi à la réduction de l’impact environnemental du plus gros paquebot du monde, dont la consommation en carburant a été réduite.
Il y a 3 ans et 138 jours

Un complexe sportif minimaliste en béton à L'Isle d'Abeau, par Lis & Daneau

La Fondation Luma de Frank Gehry dressée en pays arlésien, les Tours Duo de Jean Nouvel érigées en surplomb du boulevard périphérique à Paris ou encore la Samaritaine de Sanaa inaugurée sur les rives de la Seine. L'année 2021 a vu des réalisations très attendues s'achever sur tout le territoire. […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 138 jours

Retour sur les grandes livraisons de 2021

La Fondation Luma de Frank Gehry dressée en pays arlésien, les Tours Duo de Jean Nouvel érigées en surplomb du boulevard périphérique à Paris ou encore la Samaritaine de Sanaa inaugurée sur les rives de la Seine. L'année 2021 a vu des réalisations très attendues s'achever sur tout le territoire. […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 138 jours

Du laboratoire au logement, les lauréats de la restructuration de la barre Cassan dévoilés

L'équipe d'architectes formée par Charles Henri Tachon et Abinal & Ropars mènera la conception de 565 logements sociaux voués aux étudiants, doctorants, enseignants et chercheurs du campus Pierre-et-Marie-Curie (ex-Jussieu) à Paris. À l’aplomb de la rue Cuvier, le bâtiment F de la barre Cassan, auquel son concepteur Urbain Cassan prête son nom, fut construit en 1962 pour abriter les laboratoires de l’université. Il fait partie d’un ensemble de deux barres qui clôturent en un angle...
Il y a 3 ans et 139 jours

Urbanisme sauvage et érosion à Kinshasa : quand la rue devient ravin

Dans la commune populaire et déshéritée de Mont-Ngafula, construite sur les hauteurs, cette érosion spectaculaire a remplacé une rue asphaltée par un gouffre d'au moins 15 mètres de profondeur.En haut de la falaise, de grosses canalisations d'eau, hors d'usage, sont suspendues dans le vide. Pour traverser ce qui fut la rue séparant Ngansele du quartier voisin de Ngalasi, les riverains se fraient tant bien que mal un chemin à l'intérieur de ce ravin au sable mouvant.L'érosion a coupé net l'avenue de l'Université dans son tronçon qui relie l'université de Kinshasa (Unikin) à Kimwenza-mission, agglomération abritant plusieurs établissements scolaires et l'une des plus grandes bibliothèques d'Afrique centrale, tenue par les Jésuites.Veuve et mère de sept enfants, Espérance Tsimba, 57 ans, a vu sa boutique engloutie un jour de pluie. "J'ai perdu mon business. Depuis, il m'est difficile de scolariser" mes enfants, dit-elle, en réclamant "la construction de caniveaux" pour canaliser les eaux.Pour tenter de protéger leur domicile, les riverains construisent des digues en empilant des sacs remplis de sable, dans l'espoir de ralentir l'éboulement.Au fond de la vallée, cinq hommes placent également des sacs de sable censés dévier la trajectoire des eaux de pluie, tandis qu'en aval, à une centaine de mètres, à la surface, un véhicule de chantier aplanit et égalise le sable sur la chaussée. L'engin appartient à une entreprise chinoise, dont les responsables congolais sur le terrain ne souhaitent pas parler à la presse.L'érosion a commencé il y a environ six ans. "Ce n'est pas la première fois que des travaux de réhabilitation de la route sont lancés. Cela s'est fait à plusieurs reprises, mais sans jamais aboutir", déclare à l'AFP Sylvain Nsumbu, directeur d'une école primaire menacée par l'érosion.Retour des pluiesCe nouveau démarrage des travaux intervient après des manifestations organisées pour interpeller les autorités, racontent les riverains. "Nous avons fait des marches jusqu'à bloquer la route nationale 1 qui traverse notre commune", explique Magloire Kangondi."Nous demandons cette fois-ci que ça aille jusqu'au bout", implore Sylvain Nsumbu, qui a vu le mur de clôture de son école tomber dans le ravin et dit vivre avec "un danger permanent" depuis.Ici, "c'est la cour, les enfants y jouent pendant la recréation. Avant que l'érosion n'arrive, nous avions un portail ici, la clôture était là, il y avait même des mamans qui vendaient juste devant", dit-il en montrant le vide, là où se trouvait l'entrée de cet établissement de 170 enfants.Cette situation "nous fait très mal, nous avons aussi une école maternelle où les tout petits ont 4 ans, 5 ans, et doivent traverser ce ravin", ajoute-t-il, la mort dans l'âme. "Cette année, il y a même des parents qui ont préféré ne pas envoyer leurs enfants à l'école", ajoute M. Nsumbu.Il faut une vraie "urbanisation", plaide-t-il.Kinshasa, troisième ville la plus peuplée d'Afrique, avec quelque 12 millions d'habitants, a vu sa population doubler en 20 ans. La ville s'est étendue de manière souvent anarchique, des quartiers ont poussé sans viabilisation correcte, notamment sur les collines de la périphérie.Dans le quartier de Ngansele, un groupe de jeunes, réunis autour de Christel Bulembi, qui se présente comme un acteur de développement et leader communautaire, sensibilise pour une gestion responsable des "eaux de pluie sur un terrain fragile", combinaison expliquant selon lui l'ampleur de l'érosion.Spécialiste en gestion de l'environnement, M. Bulembi, né dans ce quartier, appelle les habitants à construire dans chaque parcelle au moins un puits de rétention des eaux de pluie, afin de minimiser les dégâts causés par les ruissellements sur la chaussée.Il estime cependant que "l'État congolais, garant de la chose publique, doit prendre ses responsabilités en urbanisant le quartier". "Et la population va accompagner les efforts du gouvernement", assure-t-il.En attendant, avec le retour des pluies, les habitants disent craindre le pire. En novembre 2019, une quarantaine de personnes avaient trouvé la mort à Kinshasa, victimes de pluies diluviennes qui avaient provoqué inondations et glissements de terrains. Mont-Ngafula avait été l'une des communes les plus touchées.
Il y a 3 ans et 139 jours

A Montpellier, Studio Jaouen joue du piano dehors

L’agence de Montpellier Studio Jaouen (Jaouen Pitois) a livré à Castelnau-le-lez (Hérault) pour des musiciens professionnels un pavillon de musique inséré entre jardin et piscine. Communiqué. Le projet des clients musiciens était d’avoir un pavillon de musique dans leur jardin en lien direct avec la grande terrasse et sa piscine existantes pour pouvoir répéter et […] L’article A Montpellier, Studio Jaouen joue du piano dehors est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 140 jours

A Rueil Malmaison, pavillon domino par Camille Hermand

Cubisme et modernisme. A Rueil Malmaison (Hauts-de-Seine), d’un pavillon miniature de 50 m² des années 60 tout en arrêtes, Camille Hermand Architectures a fait un loft moderniste de 200 m² ouvert sur un jardin. Jeu de dominos ? Communiqué. Le jardin était immense, la maison minuscule. Les propriétaires n’ont pas résisté longtemps aux chants des oiseaux […] L’article A Rueil Malmaison, pavillon domino par Camille Hermand est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 140 jours

Quartiers prioritaires : nouvelle convention pour le renouvellement urbain signée

TERRITOIRES. L'Agence nationale pour la rénovation urbaine (Anru) et la Banque des Territoires ont signé une convention nationale relative au renouvellement urbain des quartiers prioritaires de la politique de la ville.
Il y a 3 ans et 140 jours

Les logements neufs repartent nettement à la hausse tirés par les pavillons et lotissements

Selon les estimations dévoilées vendredi par le ministère de la Transition écologique, il y a eu 471.000 logements autorisés l'année dernière.Non seulement c'est nettement plus (+18,9%) qu'en 2020, quand les confinements avaient mis un coup d'arrêt à l'activité, mais c'est aussi davantage (+4,6%) qu'en 2019, avant l'irruption du Covid.Il faut remonter à août 2018 pour trouver un chiffre supérieur sur 12 mois.Mais surtout, la hausse est très nettement tirée par les pavillons et lotissements : avec 211.800 permis de construire pour des logements individuels, soit 15,8% de plus qu'en 2019, ce secteur n'a pas été aussi dynamique depuis presque 10 ans.Ce qui confirme chez les Français une forte progression pour le vert et l'envie de jardin avec la sortie des confinements.Les logements collectifs (259.200 permis de construire), eux, sont sortis du trou de la crise sanitaire mais restent encore en-deçà de l'avant-Covid.Pas le sens de l'histoire "C'est tiré par les logements individuels, c'est vraiment un des faits marquants des chiffres qui viennent de sortir", commente pour l'AFP Clara Wolf, économiste chez Meilleursagents."Dans tous les sondages qu'on fait, il y a cette envie de vert, d'espace, un certain désattrait des métropoles en faveur des zones périurbaines", ajoute Clara Wolf.Une tendance qui "ne va pas trop dans le sens de l'histoire", commente-t-elle, puisqu'en contradiction avec les impératifs environnementaux.La loi Climat et résilience, promulguée en août, pose l'objectif d'éviter l'artificialisation des sols, qui contribue au réchauffement climatique et à la perte de biodiversité.Or, les programmes immobiliers peuvent être très gourmands en foncier, surtout les maisons individuelles. La ministre du Logement Emmanuelle Wargon les avait d'ailleurs qualifiées en octobre de "non sens écologique, économique et social", pointant aussi la dépendance à la voiture qu'elles entraînent. Ce qui lui avait attiré les foudres du milieu de la construction.Le BTP à la peineDu côté des professionnels de l'immobilier, la crainte de voir les prix s'envoler en 2022 est forte.Pour Pascal Boulanger, président de la Fédération des promoteurs immobiliers, "on est repartis vers une crise du logement" car trop peu de permis de construire sont octroyés.On est toujours, note-t-il, en-deçà de 2017, quand les permis de construire avaient atteint un pic en frôlant les 500.000 par an."Je n'arrête pas d'alerter les pouvoirs publics, les maires : attention, vous ne signez pas assez de permis de construire", dit-il.D'autant qu'à partir de 2023, les "passoires thermiques", soit les logements trop énergivores, commenceront à être exclus du marché locatif, lui faisant craindre une hausse des prix.Une autre préoccupation vient du secteur du bâtiment.Car selon les données du ministère, à prendre avec précaution en raison d'un changement de méthodologie en cours d'année, le bâtiment peine à suivre le rythme de la reprise.Avec 386.700 mises en chantier estimées en 2021, la France reste légèrement en-dessous de son niveau d'avant-crise.Les professionnels du BTP ont déjà souffert de la hausse des coûts des matériaux et des difficultés d'approvisionnement consécutives à la pandémie.Et certains ont dû retarder ou reporter leurs chantiers, alertait jeudi la Capeb, le syndicat patronal du secteur.L'entrée en vigueur, le 1er janvier, de la règlementation environnementale "RE2020", risque d'accentuer le phénomène.Elle impose en effet des bâtiments moins consommateurs d'énergie et mieux adaptés aux canicules, par exemple en posant des pompes à chaleur, et des constructions avec des matériaux plus écologiques, comme le bois.Ce qui risque de renchérir le coût des travaux, et donc de retarder des chantiers... ou d'augmenter le prix des maisons.
Il y a 3 ans et 140 jours

Paris prévoit 250 chantiers de quartier pour rénover et embellir la ville

CHANTIER. La mairie de Paris débloque un budget conséquent pour réaménager 17 quartiers. Piétonnisation, végétalisation, les projets sont nombreux pour changer le visage de la ville.
Il y a 3 ans et 140 jours

Achat de terrain et construction de maison: les démarches d’urbanisme

Avant d’acheter un terrain et d’y construire une maison, il faudrait prendre le temps d’étudier le projet avec grand soin avant de s’engager. De nombreux points méritent de l’attention et surtout une grande connaissance des démarches d’urbanisme actuelles. En effet, les démarches pour un terrain hors lotissement et dans un lotissement ne sont pas les mêmes. En effet, il faudrait vérifier les points suivants: La constructibilité du terrain Les démarches d’urbanisme (auprès de la municipalité) Les procédures de vente jusqu’à la signature Les critères d’un terrain constructible On dit qu’un terrain est constructible quand il est susceptible d’accueillir une ou plusieurs nouvelles constructions. Un terrain constructible doit répondre à plusieurs critères: Être juridiquement habile à recevoir une construction: c’est le Plan Local d’Urbanisme ou le PLU qui définit ce premier critère Avoir les capacités physiques à recevoir une nouvelle construction: selon la nature du sol et la nature du sous-sol. Est-ce que le terrain peut supporter les charges des futures constructions afin de garantir la sécurité des futurs occupants? Être viabilisé: le terrain est-il raccordé ou raccordable aux voies d’accès pour les engins de construction et surtout les réseaux classiques (eau, gaz, électricité, téléphone, assainissement collectif…) Quand un terrain réunit tous ces critères, il est donc constructible. Par contre, s’il manque même une condition, le terrain devient non constructible. Sachez qu’un terrain constructible n’est pas pareil qu’un terrain à bâtir. Voyons les différences: Un terrain à bâtir est nu ou contient une construction dont l’état est impropre à un usage Un terrain constructible peut comporter une ou plusieurs constructions utilisables Les précautions à prendre avant d’acheter un terrain pour construire La première chose à faire avant d’acheter un terrain est de s’informer à la mairie s’il est constructible ou non. Les règles d’urbanisme actuelles Sachez que vous avez la possibilité de voir à la mairie le Plan Local d’Urbanisme (PLU) ou le Plan d’Occupation des sols (POS). Cela vous permet d’avoir une idée de l’évolution de l’environnement et de connaître les règles de construction applicables à cette zone. Pour ce faire, vous devez consulter les documents suivants à la mairie: Le Plan Local d’Urbanisme pour savoir quel type de construction est autorisé dans cette partie, l’accessibilité aux réseaux publics, l’aspect architectural des constructions, hauteur maximale des bâtiments autorisée… Le Plan Local d’Urbanisme Intercommunal ou PLUI La carte communale où vous avez la possibilité de voir les zones constructibles et non-constructibles Le certificat d’urbanisme: un document plein d‘informations comme les limitations administratives au droit de propriété, les dispositions d’urbanisme, les équipements publics existants ou prévus Le cadastre Ces documents vous offrent la possibilité d’obtenir des réponses en ce moment, mais le caractère constructible d’un terrain peut changer à tout moment selon les évolutions de la commune et de l’intercommunalité. Terrain dans un lotissement ou hors lotissement Il existe deux types de terrains constructibles proposés à la vente selon leur situation: Un terrain hors lotissement ou un terrain en secteur diffus (isolé) Un terrain dans un lotissement: peut être un lot ou divisé en plusieurs parcelles Terrain hors lotissement Avant d’acheter un terrain, veillez à ce que vous ayez à votre possession un certificat d’urbanisme opérationnel. Grâce à ce document, vous avez la possibilité de voir si le projet est réalisable selon les caractéristiques précisées dans la demande ou s’il y a des contraintes architecturales qui doivent être respectées. Par contre, sans un permis de construire, vous n’avez pas la garantie de l’aboutissement de votre projet de construction. La majorité des gens optent pour l’achat d’un terrain en secteur diffus. En plus de ne pas être le résultat d’une division d’un bien existant, ce type de terrain vous donne une grande liberté de choix sur la configuration et l’emplacement du terrain, le constructeur, sur l’architecture des futures constructions. Cependant, vous devez tout de même respecter les règlements d’urbanisme et vos possibilités financières pour viabiliser le terrain. Mais vous devez également vérifier la nature du sol et consulter les servitudes de passage. Terrain dans un lotissement Selon l’article L.442-1 du Code de l’Urbanisme, le lotissement est: “la division en propriété ou en jouissance d’une unité foncière ou de plusieurs unités foncières contiguës ayant pour objet de créer un ou plusieurs lots destinés à être bâtis”. Un terrain dans un lotissement est un terrain unique divisé en plusieurs parcelles qui doivent accueillir de nouvelles constructions. La vente de ce type de terrain s’adresse aux particuliers pour construire de nouvelles maisons individuelles. Acheter un terrain dans un lotissement vous offre de nombreux avantages et garanties: Un terrain constructible Un terrain viabilisé Un terrain délimité Par contre, le choix de construction est limité pour l’acquéreur. En plus d’être proche des constructions voisines, il doit également respecter les règlements et le cahier de charges du lotisseur. La cohérence urbanistique est à respecter. Les autres points à vérifier À part cela, il existe également d’autres points qui méritent votre attention. L’état du sol et les risques liés à l’environnement Se renseigner sur l’état du sol à la mairie est une étape essentielle avant de devenir propriétaire d’un terrain constructible. Même si un terrain est constructible, il se peut que la qualité du sol ne soit pas appropriée. Vous avez le choix entre demander aux voisins, se renseigner auprès de la mairie ou faire appel à un géomètre. Depuis le 1er octobre 2020, tous les terrains non bâtis constructibles doivent tous passer à un nouveau diagnostic avant d’être vendus. Le but est de savoir s’il y a des risques de mouvements de terrains liés à l’environnement: sécheresse, réhydratation des sols argileux. Les travaux de viabilisation Un terrain constructible qui ne se trouve pas dans une zone habitée (rurale ou semi-rurale) doit prévoir un budget pour accéder aux réseaux publics: eau potable, gaz, électricité, téléphone… La raison est simple, un terrain constructible n’est pas forcément un terrain viabilisé. Si votre terrain est dans un lotissement et que la parcelle n’est pas raccordée à l’assainissement collectif, vous devez également prévoir un autre budget pour le système d’assainissement autonome. Les limites du terrain et les servitudes L’opération de bornage doit être effectuée avant d’acquérir un terrain constructible. Le but est de connaître les limites exactes de votre terrain constructible avant d’en devenir propriétaire. De plus, grâce au cadastre, vous pouvez vérifier la présence ou l’absence des servitudes privées.
Il y a 3 ans et 140 jours

Les Trophées du béton Ecoles dévoilent ses lauréats

Parmi les vainqueurs, Majoie Tsadok Kpoviessi remporte le premier prix dans la section projet de fin d’études. [©EFB] Les Trophées béton Ecoles dévoilent ses vainqueurs. Créé en 2012, ce concours vise à révéler, parrainer et offrir une visibilité aux talents des écoles d’architecture en France. Pour cette 10e édition, la compétition s’est déclinée en deux catégories. La première, appelée PFE (projet fin d’études), récompense les élèves qui ont su tirer profit des qualités esthétiques, environnementales et techniques du béton. La seconde catégorie, dite “Studio”, cherche à réinterpréter une œuvre architecturale majeure en béton, selon un modèle graphique libre (dessin, peinture…). Parmi les 117 postulants individuels ou collectifs, 12 projets ont donc été sélectionnés par un jury. Jury présidé par Alexandre Grutter, directeur du département architecture à l’Insa de Strasbourg. Ainsi, le 13 janvier dernier, les participants retenus ont présenté leur projet à la maison de l’architecture d’Ile-de-France. A l’issue de cet oral, 5 lauréats, dont 3 dans la catégorie PFE et deux dans la Studio, ont été choisis. Majoie Tsadok Kpoviessi remporte le premier prix dans la section projet de fin d’études. Il a imaginé ce que pourrait être le musée ethnographique d’histoire et d’art de Porto-Novo, la capitale du Bénin. Son projet reflète l’identité de la ville, en tenant compte des enjeux urbains, de sa population et de son climat. A l’image d’un “activateur culturel”. Ici, Majoie a choisi du béton latérite (terre de barre rouge présente au Bénin). Il a ainsi réussi à mêler le béton et les matériaux locaux disponibles sur place. Les 5 lauréats des Trophées du béton Ecoles Quentin Risaletto obtient la deuxième place du PFE avec son programme nommé “Spatiovores”. [©EFB] La deuxième place revient à Quentin Risaletto. Ce dernier a développé un programme nommé “Spatiovores” pour éviter les inondations sur les infrastructures du Grand Manchester, au Royaume-Uni. En effet, ce projet à visée énergétique est incarné ici par une culture de miscanthus, qui apporte une réponse résiliente face aux vulnérabilités du site. L’enjeu est qu’elle puisse être la dynamique d’un espace agricole productif et ouvert, ponctué par des édifices. Lire aussi : EFB : le béton entre les mains des futurs experts de la construction Enfin, Guillaume Porche se place en troisième position, grâce au projet d’historial sur la guerre de 1914-1918, à Vauquois (55). Pour son lieu de mémoire, Guillaume a fait le choix d’un béton de site réalisé à partir des déblais de gaize issus des excavations. Ceci, pour construire le bâtiment. Concassée, cette roche remplace les granulats et teint le béton en ocre grisé. Le projet de l’historial participe au processus mémoriel de Vauquois : l’histoire du lieu ne tombe ainsi pas dans l’oubli.En parallèle, Nicolas Nugue et le binôme Zaïd Chafaqi et Clément Perret se partagent la première marche de la catégorie “Studio”. Le premier s’est inspiré de la fabrique de rhum Bacardi de Félix Candela, à Mexico. Il a ainsi transformé la structure de base avec des éléments préfabriqués en Bfup. Et ce, pour créer un espace de rencontre, qui pourrait accueillir des activités. De leur côté, Zaïd Chafaqi et Clément Perret se sont penchés sur une réinterprétation de la première église en béton armé. Ils ont donc misé sur un béton brut de décoffrage pour remodeler l’Eglise du Raincy (93) des frères Perret. Enfin, le jury a décidé de donner une mention spéciale au projet de fin d’études de Loris Bied. Ce dernier a travaillé sur le centre social et culturel de la ville de Beausoleil, près de Monaco. Un bâtiment qui mêle économie de matière et de coût, respect de l’environnement dans lequel il se trouve et performance technique.
Il y a 3 ans et 140 jours

Équilibre des Énergies fait 13 propositions aux candidats à l'élection présidentielle en faveur du climat

Dans ce contexte, le groupe de réflexion Équilibre des Énergies soumet ses propositions « Élection présidentielle : l’énergie doit être au cœur des débats » aux candidats pour accélérer la décarbonation des secteurs du bâtiment, des transports et du système énergétique.Pour Brice Lalonde, ancien ministre de l’Environnement et président d’Équilibre des Énergies : « La France a toujours eu une position forte dans le domaine des énergies grâce à sa technologie. Elle ne doit pas manquer son rendez-vous avec la neutralité carbone. Il est primordial de trouver le bon équilibre afin de lancer la transition énergétique avec le soutien des Français. »Une politique énergie-climat animée par la culture du résultat La finalité première de la politique énergie-climat doit être l’atteinte de la neutralité carbone à l’horizon 2050. Cet objectif doit être balisé par des jalons réalistes avec la réduction des émissions de gaz à effet de serre comme fil conducteur. Elle doit viser, sans négliger la recherche de l’efficacité énergétique, l’abandon des énergies fossiles, en s’appuyant majoritairement sur l’électricité décarbonée, déjà produite de façon abondante, sur la chaleur renouvelable et sur l’hydrogène bas-carbone là où il peut être compétitif. Opérer cette rupture ne sera pas gratuit. Il convient de l’inscrire dans une écologie de la prospérité, respectueuse de l’environnement, aux antipodes d’une écologie de la décroissance, afin d’assurer le bien-être des populations et disposer des ressources indispensables au financement de la transition. L’acceptabilité sociale de la transition implique également d’assurer la souveraineté énergétique de la nation, afin d’être moins dépendant du contexte géopolitique et des aléas météorologiques, et d’associer davantage les citoyens aux choix qui nous engagent tous.Treize actions pour accélérer la décarbonation Les secteurs du Bâtiment et de la Mobilité sont les deux principaux secteurs émetteurs de gaz à effet de serre et consommateurs d’énergie, C’est pourquoi Équilibre des Énergies propose treize leviers sur lesquels les candidats à l’élection présidentielle pourront s’appuyer. Ces actions partent d’une analyse de la façon dont les besoins en énergie pourront être satisfaits par des solutions décarbonées et efficaces et des conditions à réunir pour organiser cette transition, notamment au niveau du système énergétique.Résumé des treize actions préconisées par Équilibre des Énergies 1 - Accélérer la rénovation du parc de logements et son adaptation à la mobilité électrique en mettant en place, de façon pérenne, un Fonds national pour l’efficacité énergétique et la neutralité carbone, regroupant différents moyens de financement et dont la gestion sera largement déconcentrée. 2 - Soutenir l’extension au secteur des bâtiments à usage tertiaire du système européen des quotas-carbone (EU-ETS) afin d’accroître les moyens financiers de la rénovation énergétique. 3 – Renforcer les mesures d’incitation à la migration vers les solutions bas-carbone, notamment en renforçant l’exigence climatique du DPE et interdisant comme le propose la Commission européenne pour les chaudières à combustible fossile. 4 – Réajuster de façon durable la fiscalité énergétique au profit des formes d’énergie bas-carbone, notamment en pérennisant la réduction de la taxe intérieure sur la consommation finale d’électricité (TICFE). 5 – Consolider la migration des mobilités légères vers les solutions électriques en agissant conjointement sur les infrastructures de recharge, notamment avec la mise en place d’un plan stratégique d’équipement des autoroutes et voies rapides, et le soutien à l’acquisition des véhicules. 6 – Placer la France à l’avant-garde des innovations liées aux véhicules légers en soutenant la R&D et facilitant l’implantation d’usines de batteries, ainsi qu’en encourageant les initiatives liées au véhicules de plus en plus autonomes. 7 – Organiser la migration vers des solutions bas-carbone du transport de marchandises avec la mise en place d’un plan d’action adapté au potentiel de chaque segment (batteries, hydrogène, BioGNV). 8 – Promouvoir la relance du transport aérien sur la base de solutions bas-carbone, notamment en réservant prioritairement à l’aérien, sous forme de SAF, les ressources en biocarburants 9 – Opter rapidement pour un mix électrique équilibré entre nucléaire et énergies renouvelables de façon à faire face à la croissance prévisible des besoins, à assurer la robustesse du réseau et à préserver l’indépendance de notre approvisionnement électrique. 10 – Développer, avec notamment l’aide du numérique, les flexibilités qui permettront de préserver la robustesse du système électrique. 11 – Revisiter le plan hydrogène en intégrant l’ensemble de la chaîne de valeurs, de la production jusqu’à l’utilisation, en fléchant les soutiens publics en direction des usages où l’hydrogène peut être compétitif. 12 – Définir les bases d’une politique décentralisée de l’énergie en précisant la responsabilité des régions et des territoires dans la transition énergétique. 13 – Mettre en œuvre une politique publique de recherche-développement centrée sur la décarbonation, notamment sur les techniques de transport, de distribution, de flexibilité, de stockage et d’utilisation de l’électricité.
Il y a 3 ans et 140 jours

Logement social : "la maîtrise d'ouvrage directe ne garantit pas la qualité" (E. Cosse)

ARCHITECTURE. Invitée par Cadre de ville à s'exprimer sur la qualité du logement social, la présidente du Mouvement HLM a pointé les difficultés d'accès à des fonciers de qualité, ainsi que la problématique de l'équation économique dans le cadre de la RE2020 pour "sortir les logements très abordables dont le pays a besoin".
Il y a 3 ans et 140 jours

Lancement des deux premières consultations pour la réalisation de 270 logements familiaux dans la ZAC de Corbeville à Orsay

A l’horizon 2026, l’EPA Paris-Saclay ambitionne de constituer à Corbeville un quartier vivant, commerçant et animé, grâce notamment à la livraison de près de 1.000 logements familiaux dans le secteur Est de la ZAC sur la commune d’Orsay (91). Pour ce faire, l’EPA a annoncé un programme de consultations d’opérateurs tout au long de de l’année 2022.Deux premières consultations lancées en janvierElles ont pour objet de sélectionner les opérateurs des premiers logements familiaux de Corbeville, à réaliser dans le secteur Terrasse. Situé au sud-est de la ZAC, il se distingue par la grande qualité paysagère et patrimoniale que lui confère la proximité du coteau boisé et d’une châtaigneraie centenaire, du futur parc de Corbeville et de son château qui doit faire l’objet d’une occupation temporaire à vocation culturelle avant sa rénovation définitive. Ces deux consultations porteront sur trois lots de la ZAC pour un total d’environ 270 logements familiaux en très grande mixité : accession libre, accession sociale (dont BRS) et logements locatifs sociaux.L’EPA Paris-Saclay porte trois ambitions majeures pour ces programmes :l’attention portée à la qualité de l’habitat et des logements : générosité des surfaces intérieures et extérieures, conception soignée, attention portée aux usages, à l’évolutivité des espaces ;la recherche d’une exemplarité environnementale : construction bas-carbone, performance énergétique, maximisation de la végétalisation, notamment ;la maximisation de la part de familles des propriétaires occupants parmi les futurs acquéreurs, afin de constituer des quartiers mixtes et vivants.Corbeville, un démonstrateur de la ville-nature Au cœur du Campus urbain de Paris-Saclay, sur les communes d’Orsay et Saclay, le quartier de Corbeville occupe une position centrale entre les quartiers voisins de l’École polytechnique (Palaiseau, Saclay) et de Moulon (Gif-sur-Yvette, Orsay à l’ouest de la RN 118). La ZAC de Corbeville est un maillon stratégique du Campus urbain et de l’OIN Paris-Saclay, dont elle complète la programmation avec plus de 410 000 m² de surfaces de plancher constructibles et des équipements clés comme le futur hôpital Paris-Saclay, un complexe sportif universitaire, une caserne de pompiers… Plus de 40% de sa programmation est destinée au logement familial et étudiant. L’EPA Paris-Saclay place ainsi l’habitat au cœur de la conception urbaine du quartier de Corbeville. Les enjeux sont forts aujourd’hui sur la qualité des espaces du logement, en situation de crise sanitaire, qui doivent permettre de télétravailler, offrir des espaces extérieurs privatifs, des volumes généreux, modulables… Sur une emprise de 94 hectares au total, plus de 30% de la surface de la ZAC de Corbeville est dédiée à la création d’espaces naturels dont deux parcs boisés de plus de 9 hectares. Les logements seront ainsi en contact direct avec la nature, étendue jusqu’au cœur le plus dense du quartier.Le plan urbain du quartier est structuré autour de ces grands espaces verts majeurs à l’échelle du Campus urbain. Il s’agit de végétaliser la ville, mais avant tout de faire des espaces naturels la charpente du quartier, pour une urbanisation largement favorable au développement de la biodiversité et de la nature en ville.
Il y a 3 ans et 140 jours

L’OPPBTP présente son nouveau plan stratégique @Horizon 2025

Le 8 octobre 2021, le Conseil du Comité national, instance paritaire de gouvernance de l’Organisme, a adopté à l’unanimité son nouveau plan stratégique quinquennal, @HORIZON 2025, qui fixe les ambitions et orientations de l’OPPBTP jusqu’en 2026 afin d’accompagner les entreprises à relever avec succès les défis qui les attendent en prévention. Ce plan est structuré en cinq priorités stratégiques, et est construit en cohérence et complémentarité avec le Plan Santé au Travail 4.Un contexte marqué par d’importantes rupturesLe nouveau plan stratégique de l’OPPBTP s’engage dans un contexte radicalement différent du précédent, marqué par d’importants bouleversements qui ont déjà commencé à impacter le monde du BTP.Premièrement, la crise de la Covid a mis brutalement le monde à l’arrêt en mars 2020. Bien que chamboulé, le BTP a fait preuve de résilience. Les acteurs se sont organisés et sont parvenus à reprendre rapidement leurs activités, grâce au guide de préconisations sanitaires et au soutien de l’OPPBTP qui ont permis d’assurer la sécurité des acteurs de la construction. Les répercussions de cette crise sont néanmoins durables : la Covid a bouleversé les circuits économiques et sociaux, l’organisation du travail, les relations entre les personnes, le sentiment collectif de sécurité et la capacité à se projeter dans l’avenir.La crise sanitaire a également démontré la puissance et l’impact du digital, avec par exemple l’irruption des mots « présentiel » et « distanciel » dans notre quotidien. Sans le digital, l’OPPBTP n’aurait pas pu remplir sa mission au plus fort de la crise. Celui-ci a pris une place incontournable dans les vies de chacun, et constitue un puissant vecteur d’opportunités et d’innovations, dont le BTP, la prévention et l’OPPBTP commencent à tirer tous les avantages.Enfin, les bouleversements liés à la crise climatique et écologique marquent également une rupture profonde et durable, dont les premiers effets se font déjà sentir. Une profonde transformation des modes de construction et des chaînes économiques est à prévoir, avec des conséquences directes sur la prévention.Une ambition alignée avec le Plan Santé au Travail 4Depuis 2010, l’OPPBTP a choisi de caler sa planification stratégique sur celle des Plans Santé au Travail et de coordonner ses actions avec les priorités données par les pouvoirs publics. Le PST 4 a été dévoilé en décembre dernier. Il se compose d’un axe transversal et de quatre axes stratégiques principaux :Lutter contre les accidents du travail graves et mortelsRenforcer la prévention primaire au travail et la culture de préventionStructurer, développer la prévention de la désinsertion professionnelle, la prévention de l’usure, le maintien dans l’emploi et accompagner les salariés et les entreprises concernéesAdapter la politique de santé au travail aux défis d’aujourd’hui et de demainConsolider le pilotage et la gouvernance de la prévention des risques professionnels et de la santé au travailAujourd’hui, le PST 4 et le plan stratégique @HORIZON 2025 partagent donc une ambition commune : donner la priorité à la prévention, à la qualité de vie et aux conditions de travail comme leviers de performance de l’entreprise et de bien-être des salariés.Cinq priorités stratégiques pour relever ces défisDans le contexte décrit précédemment et prenant en compte les orientations du PST4, l’OPPBTP présente une stratégie pour 5 ans dont l’objectif est de répondre aux trois enjeux fondamentaux de la prévention dans le BTP, retenus lors du plan Horizon 2020 :Poursuivre la mobilisation des entreprises et de leurs salariésFaire baisser les accidents graves et mortelsRelever le défi des conditions de travail et de leur améliorationPour cela, @HORIZON 2025 s’articule autour de 5 priorités stratégiques.Programme Stratégique 1 : Maintenir une présence forte de l’Organisme sur le terrainDans un univers bousculé par le digital et l’irruption de relations virtuelles, il est essentiel pour l’Organisme de marquer sa présence sur le terrain, d’assister les chefs d’entreprises et les salariés qui en font la demande, d’expérimenter in situ les solutions adaptées aux différents métiers et situations de travail. C’est un facteur de permanence dans un monde marqué par les ruptures.Programme Stratégique 2 : Offrir une assistante technique et des parcours de prévention à toutes les entreprises grâce au digital Fort de ses premiers succès avec le digital et grâce à la nouvelle architecture du site Internet, l’Organisme peut viser un accompagnement massif des entreprises et des salariés du BTP, en particulier pour les TPE, en mettant à leur disposition des outils digitaux simples, efficaces et accessibles à tous, complémentaires de la présence terrain. Cette démultiplication des capacités de l’Organisme sera poursuivie principalement avec deux services aux entreprises : information technique et parcours d’accompagnement.Programme Stratégique 3 : Réaliser l’ingénierie prévention des métiers de demain, avec l’objectif d’une prévention intégrée dès la conception, portée par l’innovationL’innovation technique est le premier facteur d’amélioration des conditions de sécurité et de travail.L’expertise technique de l’OPPBTP doit donc continuer à être renforcée et les études poursuivies, pour imaginer et construire les solutions de prévention pour les chantiers.Programme Stratégique 4 : Former les jeunes, les nouveaux dirigeants, et les intérimaires et assurer ainsi un haut niveau de compétences prévention des personnels du BTPPour induire des changements durables dans une société, la formation des jeunes générations est une étape incontournable. Aussi, l’OPPBTP souhaite garantir les compétences indispensables en prévention des risques professionnels dès l’entrée dans la vie active et tout au long du parcours professionnel.Programme Stratégique 5 : Contribuer au changement de paradigme de la prévention, en s’appuyant sur Prévention et Performance et la culture de prévention, en vue d’une approche résolument positive et incitative en prévention des risques professionnelsEn présentant les résultats des premiers travaux sur la dimension économique de la prévention en décembre 2012, l’OPPBTP a ouvert la voie à une approche renouvelée de la prévention, établissant le lien entre prévention et performance. En poursuivant ces travaux et le changement de paradigme de la prévention, l’Organisme vise une approche en prévention résolument positive et incitative, intégrée par tous les acteurs du BTP.Pour Paul Duphil, Secrétaire général de l’OPPBTP : « Nos nouvelles priorités ont été envisagées à l’aune d’une crise qui a rendu le monde instable, afin qu’elles répondent aux ruptures actuelles et futures et soutiennent une haute performance en prévention dans le BTP. Préparer les entreprises à cet avenir doit être notre priorité. Il faut renforcer la résilience du BTP et sa capacité à s’adapter rapidement aux changements à venir. En tant que partenaire, l’OPPBTP doit accompagner les entreprises face à ce futur complexe qui s’annonce, porteur d’opportunités autant que de bouleversements, et contribuer ainsi à une performance prévention en progression constante. »
Il y a 3 ans et 140 jours

Étudiants et doctorants de la fabrique de la ville, candidatez aux Bourses Palladio

Chaque année, la Fondation Palladio donne aux étudiants, doctorants et post-doctorants de la fabrique de la ville, les moyens de mener à bien leur projet de formation ou de recherche, et de faire connaître leurs travaux. À l’occasion du lancement de leur 13ème campagne, les Bourses Palladio se dotent d’un nouveau comité de […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 140 jours

Dernière phase pour la réhabilitation des ponts Nelson-Mandela

Le chantier de rénovation des ponts Nelson-Mandela entre dans sa troisième et dernière phase. Ces travaux se dérouleront jusqu’au printemps 2023.
Il y a 3 ans et 140 jours

QuosAir lance Lucie, le capteur français écoresponsable qui mesure le CO2 et les COV directement depuis votre smartphone

La crise sanitaire a changé le regard de la société sur la qualité de l'air. Désormais, chacun a pris conscience de l'importance de respirer un air sain, exempt de virus mais aussi de tous les polluants qui peuvent être présents dans un lieu fermé.Pourtant, concrètement, comment s'assurer qu'une pièce est bien ventilée ? Dans le cadre de la lutte contre la propagation de la Covid-19, le Gouvernement préconise d'aérer au minimum quelques minutes toutes les heures. Mais est-ce suffisant ? Comment savoir quand le seuil d'alerte est atteint ?Dans les collectivités, les crèches, les écoles et les entreprises, il est primordial de disposer d'outils de mesure efficaces et simples à utiliser au quotidien.Or actuellement, les dispositifs existants sont loin d'être adaptés à la réalité du terrain. Non seulement ils manquent souvent de fiabilité, mais ils sont aussi inadaptés pour un usage en totale autonomie.Dans ce contexte, QuosAir lance Lucie, un nouveau capteur de CO2 et de COV. Il permet de visualiser immédiatement les seuils de confinements et des polluants d’une pièce directement sur n’importe quel smartphone grâce à son QR code.Le mesure de la qualité de l'air : un véritable enjeu de santé publiqueSavez-vous que l'air intérieur est 5 à 7 fois plus pollué que l'air extérieur ? Or, respirer un air qui n'est pas sain a de vraies conséquences sur la santé : allergies respiratoires, asthme, maux de tête, nausées...C'est pour cela que la surveillance de la qualité de l'air intérieur est à la fois :une obligation légale : elle s'impose déjà aux crèches, maternelles, centres de loisirs, collèges et lycées. A partir de 2023, tous les ERP (établissements recevant du public) seront concernés.une bonne pratique RSE pour améliorer la qualité de vie au travail (QVT) des collaborateurs tout en augmentant la productivité (meilleure capacité de concentration).Avec Lucie, surveiller la qualité de l'air intérieur devient simple et accessible à tous. En effet, le capteur français est équipé d'une cellule photovoltaïque permettant une recharge autonome du capteur qui mesure le CO2 et les COV présents dans votre air intérieur.Il suffit de scanner le QR code du capteur et, hop, les mesures peuvent être visualisées directement sur votre smartphone.Lucie peut donc être utilisée en totale autonomie dans les salles de classe/de professeurs, réfectoires, bibliothèques, CDI, espaces de coworking, salles de repos, salles des fêtes, salles des protocoles, centres de santé, cinémas et théâtres municipaux. Le capteur Lucie sera disponible au premier trimestre 2022. Il est possible d'effectuer dès à présent une précommande.Les (grands) petits plus de Lucie "Easy to use" et completLucie s'utilise de façon autonome, sans avoir besoin de compétences particulières : la lecture des seuils d'alerte est très simple : Led verte allumée = bon, led orange = moyen, led rouge = mauvais ; l'appareil mesure le CO2, la température, l'humidité, les PM1, PM2,5, PM10, les COV, et le formaldéhyde. Facile à vivreGrâce à un panneau photovoltaïque, le capteur se recharge tout seul. Cependant, en cas de besoin, il dispose d'une batterie de recharge USB-C.Le capteur est simple à installer, il peut être posé ou fixé sur un mur. Ensuite, dès qu'il est mis en place, il est immédiatement opérationnel.Un système anti-vol est inclus.FiableLucie utilise la technologie de mesure NDIR recommandée par les autorités sanitaires. L'appareil est étalonné selon les procédures COFRAC et conforme à la norme RoHS.Cet outil permet donc de valider en quelques instants l'efficacité des protocoles d'aération existants.Mesurer la qualité de l'air intérieur à 360° grâce aux solutions QuosAirQuosAir est devenu un véritable expert de la qualité de l'air avec plus de 500 objets déployés dans une dizaine de villes auprès d'une cinquantaine de clients.L'entreprise française a commencé en lançant un capteur de CO2 "nouvelle génération" qui permet de mesurer en temps réel la température, l'humidité et le taux de CO2. Fabriqué en France, il est connecté à la plateforme Quoslive pour faire des analyses durables et adapter les systèmes de ventilation ou de climatisation.Par la suite, QuosAir a développé le pack QAI pour aider tous les ERP sensibles (crèches, écoles, collèges, lycées, Ehpad…) à se mettre en conformité avec la loi grâce à un accompagnement pas à pas. En effet, depuis 2018, ils ont l'obligation de contrôler leur qualité de l'air (indice ICONE, Formaldéhyde et Benzène).Puis, pour répondre à la demande des clients ayant des taux mauvais, QuosAir a mis au point le pack R’Quos en partenariat avec NatéoSanté, qui permet à la fois de mesurer, purifier et désinfecter en continu avec un taux d'efficacité de 99,6%.
Il y a 3 ans et 141 jours

Hendaye : une nouvelle vélostation à la gare

Un parking pour vélos a été aménagé à la gare d’Hendaye
Il y a 3 ans et 141 jours

Penser l'écologie constructive, un restaurant scolaire par Huitorel et Morais

La Fondation Luma de Frank Gehry dressée en pays arlésien, les Tours Duo de Jean Nouvel érigées en surplomb du boulevard périphérique à Paris ou encore la Samaritaine de Sanaa inaugurée sur les rives de la Seine. L'année 2021 a vu des réalisations très attendues s'achever sur tout le territoire. […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 141 jours

Le Gouvernement lance un appel à projets pour soutenir le développement et l’industrialisation de produits biosourcés et biotechnologies industrielles

Actuellement en forte croissance en France et dans le monde, le recours aux biotechnologies industrielles et l’utilisation de matières premières biosourcées répondent à de nombreux enjeux environnementaux : décarbonation de l’industrie et des transports, stockage de carbone atmosphérique (par exemple dans les matériaux à destination du bâtiment), protection de l’environnement (notamment la biodégradabilité de produits à usage perdu comme les crèmes solaires), santé humaine grâce à l’amélioration des procédés ou du profil de risque des produits, économie circulaire ou encore reconception des intrants pour prendre le virage de l’agroécologie. Les produits biosourcés durables peuvent en outre contribuer à réduire la dépendance de notre industrie aux ressources fossiles et être un levier de croissance majeur pour la compétitivité et l’emploi. Ainsi, le Gouvernement a présenté, le 10 décembre 2021, la stratégie nationale « Produits biosourcés et biotechnologies industrielles – Carburants durables », afin d’accélérer le développement des biotechnologies industrielles françaises et la fabrication de produits biosourcés.Dotée de 420 millions d’euros de soutiens publics du Programme d’investissements d’avenir (PIA), la stratégie ambitionne de favoriser le développement des biotechnologies industrielles en France et la fabrication de produits biosourcés venant notamment se substituer aux produits pétrosourcés. Y sont inclus les carburants issus de ressources durables : biocarburants (issus de biomasse agricole, forestière ou algale), et carburants de synthèse produits à partir d’énergie décarbonée.Plus particulièrement, l’appel à projets « Produits biosourcés et biotechnologies industrielles » vise à soutenir des projets innovants, qui accélèrent la mise sur le marché de technologies et/ou de solutions ambitieuses et durables, depuis les phases de recherche industrielle jusqu'à la démonstration échelle 1 de l'intérêt d'une solution dans son environnement opérationnel. Il vise également à soutenir l’industrialisation des innovations dans le domaine des produits biosourcés et des produits issus de biotechnologies industrielles.Les projets devront prioritairement permettre :L’élargissement des gisements de biomasse, dans le respect des critères de durabilité, avec un objectif de mise à disposition d’une biomasse prête à l’emploi ou de molécules issues de la première transformation ;La démonstration de procédés de transformation de la biomasse, ou de produits issus de la première transformation ;L’accompagnement de l’industrialisation, consistant à soutenir la mise en œuvre à l’échelle industrielle d’unités de production de molécules biosourcées et leur transformation en molécules d’intérêt ou matériaux innovants à plus forte valeur ajoutée. L’AAP soutiendra les meilleurs projets d’investissement en accompagnant des initiatives ambitieuses sur le territoire français, portées par des acteurs émergents aptes à devenir des compétiteurs de niveau mondial ou par des acteurs d’excellence en place. La sélection de projets d’acteurs émergents sera priorisée dans le cadre de cet appel à projets. L’appel à projets est ouvert jusqu’au 15 janvier 2024, avec une première relève le 31 mai 2022.
Il y a 3 ans et 141 jours

Clermont-Ferrand : transformation du centre-ville grâce au projet InspiRe

Le projet InspiRe inclut plusieurs opérations qui permettront de végétaliser le centre-ville de Clermont-Ferrand.