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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Urbanisme - Aménagement

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Il y a 3 ans et 147 jours

Trois maisons R&D en construction à Saint-Nazaire pour expérimenter la maison du futur

En 2022, l’entreprise ira plus loin, avec la mise en application de son approche holistique du logement, lui permettant de tester ses recherches à travers un village R&D, pour cela, 3 maisons R&D seront construites à Saint-Nazaire en 2022.3 maisons R&D pour matérialiser l’innovation au plus près des habitantsPour Nicolas Descombes, PDG de la société : « Notre métier nous oblige à avoir une longueur d’avance et à nous projeter, sans jamais improviser. Cette longueur d’avance, nous l’avons toujours eue, par exemple en intégrant l’aluminium dans nos menuiseries dès 1985. En créant notre cellule R&D en 2019, constituée d’un bureau d’études regroupant différents métiers et d’une équipe travaux, (composée de binômes secrétaires techniques / conducteurs de travaux), l’objectif était de maintenir cette avance. »Aujourd’hui, Berthelot Constructions souhaite mettre en application les concepts innovants issus de sa cellule R&D, en les ancrant dans le quotidien des habitants pour analyser leurs utilisations. L’entreprise ligérienne annonce la construction, en 2022, de 3 maisons R&D, qui intégreront de nouvelles technologies et permettront à l’entreprise d’analyser la maîtrise des coûts de celles-ci, afin de pouvoir ensuite les dupliquer et les déployer à plus grande échelle. « Pour cela, le dialogue avec les habitants sera primordial. Nous prévoyons de mener une étude, pour comprendre et étudier l’acquisition de ces technologies pour leurs utilisateurs. » souligne le PDG.Apporter une réponse concrète aux crises du logement et écologiquePour Nicolas Descombes, PDG de la société : « Historiquement, nous développions des maisons témoins, afin de montrer aux futurs habitants à quoi pourrait ressembler leur future maison. Cela leur permettait de se projeter et de découvrir nos dernières innovations. Ce concept n’a plus de sens et n’est plus cohérent aujourd’hui, car dès la construction de cet “habitat vitrine”, il n’est plus à jour et la technologie est déjà dépassée. »L’entreprise est donc dans une autre logique, celle d’utiliser le foncier dont elle dispose, de construire des logements avec l’ensemble des innovations développées par sa cellule de R&D, pour ensuite mettre ces habitats en location. Ces maisons sont construites sur des terrains à la surface réduite, dans le but de répondre aux problématiques d’urbanisation de demain, entre autres, la densification urbaine. « Notre objectif est de répondre à deux crises majeures : la crise du logement, en permettant de construire plus et de manière plus responsable et durable, ainsi que la crise écologique, en préservant les terrains naturels et agricoles. » conclut Nicolas Descombes. L’entreprise fait un pas de plus vers le logement de demain, plus éthique, personnalisé et évolutif.3 « maisons R&D » à Saint-NazaireLa construction des 3 maisons commencera au premier trimestre 2022. Celles-ci auront une superficie comprise entre 84 et 109 m². Chaque Maison R&D est construite pour tester des éléments spécifiques.Maison Evolutia : optimiser durablement l’isolation et le chauffage des murs au plafondSurface habitable : 109.81 m².Plénum, descente de plafond au centre de la maison qui sert à desservir toutes les pièces en chauffage. Système par insufflation performant. Réversible clim/chauffage.Brique en matière première géosourcée et renouvelable exploitée uniquement en France permettant une meilleure qualité de l’air intérieur du logement.ECS (eau chaude thermo dynamique) : la PAC de cette maison ne produit pas d’eau chaude, 1 ballon d’eau chaude est donc suffisant.Isolation Knauff RT+ en accord avec la RE2020 permettant la perméabilité de l’air du bâtiment. La laine de verre utilisée est composée de liants issus de la culture de betterave.Maison Decoria : repenser la gestion des énergiesSurface habitable : 84.54 m².Laine de bois biosourcée offrant une meilleure résistance thermique à l’ensemble de la maison.VMC à simple flux Renson hygro réglable avec auto gérance du traitement de l’air et information sur la qualité de l’air intérieur via une commande tactile Touch Display.Plafond chauffant PLAFINO évitant la surconsommation et la surchauffe couplé à un puits rafraîchissant composé d’un circuit d’eau dans les fondations de la maison.Verre Planistar qui récupère les calories du soleil pour les restituer en journée dans la maison.Béton Hoffman dans les poutres, poteaux et le dallage de la maison. Ce béton est le plus neutre en carbone sur le marché.Maison Natura : lier innovation et qualité de vie en s’inspirant de la natureSurface habitable : 89.58 m².Laine de lin biosourcée.Pack Delta Dore : système de chauffage intégré avec volets roulants et modulation par pièces.VMI (Ventilation Mécanique Inversée) Ventilairsec : système avec boucles d’insufflations sur le toit de la maison et retraitement de l’air (élimine les excès polluants, filtre la pollution extérieure, ré-aspiration dans les pièces humides). Commande smartphone.Multi Splits : chauffage/clim au mur thermo dynamique.Peintures non polluantes aux algues.
Il y a 3 ans et 148 jours

BTP : finales nationales des WorldSkills

Le CCCA-BTP, partenaire de WorldSkills France, était présent à Lyon, du 13 au 15 janvier 2022, aux finales nationales de la 46e édition de la Compétition WorldSkills, sous la bannière de la campagne de communication « La Construction. Demain s’invente avec nous », organisée par le CCCA-BTP, mobilisé avec les professionnels de la construction, pour promouvoir l’innovation, la diversité et la richesse des métiers du secteur du BTP, valoriser l’apprentissage comme voie de formation professionnelle initiale d’excellence et de réussite et donner envie aux jeunes visiteurs l’envie de rejoindre une filière d’avenir. Sur le pôle BTP, le plus important en compétition avec 17 métiers représentés, 160 candidats, âgés de moins de 23 ans, se sont affrontés pendant trois jours intenses de compétition, donnant à voir le meilleur d’eux-mêmes par la maîtrise de leur savoir-faire, leur talent, leur détermination et la passion qu’ils portent à leur métier respectif. La construction digitale a fait son apparition dans la compétition avec un sujet inspiré d’un projet en cours de construction en région Auvergne-Rhône-Alpes. Durant cette épreuve de 17 heures 30, les cinq candidats ont du faire appel à toutes les compétences nécessaires pour mener un projet BIM : modélisation et création des maquettes numériques de la structure gros œuvre et des aménagements intérieurs (plafonds, cloisons, portes, sol). Le palmarès a été proclamé le 15 janvier lors de la cérémonie de clôture à Eurexpo Lyon. Ce sont 58 jeunes, dont deux binômes métiers (aménagement urbain et réseaux de canalisations / Construction béton armé) qui ont été récompensés dans les 16 métiers du BTP en compétition et pour l’épreuve Construction digitale. Ces vainqueurs auront l’honneur de concourir au niveau mondial à Shanghai en 2022 et au niveau européen à Saint-Pétersbourg en 2023. AMÉNAGEMENT URBAIN ET RÉSEAUX DE CANALISATIONS Médaille d’or : Ugo HUMBERT et Nicolas RENARD, région Grand Est Médaille d’argent : Léo BESANCON et Baptiste CAILLOT, région Bourgogne Franche-Comté Médaille de bronze : Baptiste CAPEL et Gaëtan CHARBONNEL, région Nouvelle-Aquitaine CARRELAGE Médaille d’or : Goulven LECOQ, région Pays de la Loire Médaille d’argent : Karim DOLEDEC, région Bretagne Médaille de bronze : Marius CONNAN, région Centre Val-de-Loire CHARPENTE Médaille d’or : Charles NAVELOT, région Hauts-de-France Médaille d’argent : Romain SIMON, région Normandie Médaille de bronze : Colin LAINÉ, région Pays de La Loire ONSTRUCTION BÉTON ARMÉ Médaille d’or : Manuel GAUDIN et Anthony BOSCH, région Bourgogne Franche-Comté Médaille d’argent : William ROMANO et Gabriel PIMENTA MEIRELES, région Nouvelle-Aquitaine Médaille de bronze : Florian SCHMIT / Nathan DEL-SAVIO, région Grand Est CONSTRUCTION DIGITALE Médaille d’or : Pierre LOIR, région Sud Provence-Alpes-Côte d’Azur Médaille d’Argent : Rémy EGEA, région Île-de-France Médaille de bronze : Sofiane IKRAM, région Île-de-France Médaille de bronze : Théo PRINCE, région Île-de-France COUVERTURE MÉTALLIQUE Médaille d’or : Pierre TAISNE, région Pays de La Loire Médaille d’argent : Jordan PETIT, région Auvergne Rhône-Alpes
Médaille de bronze : Quentin BESANÇON, région Bourgogne-Franche-Comté ÉBÉNISTERIE Médaille d’or : Florentin LANCELEUR, région Île de la Réunion Médaille d’argent : Dorian GROITIER, région Pays de La Loire Médaille de bronze : Alexandre SARRAZIN, région Bourgogne Franche-Comté INSTALLATION ÉLECTRIQUE Médaille d’Or : Quentin GALAIS, région Pays de la Loire Médaille d’argent : Yann QUOEURNAT, région Centre Val-de-Loire
Médaille de bronze : Erwan NOEPPEL, région Bretagne MAÇONNERIE Médaille d’or : Thomas DEGRENDELE, région Normandie Médaille d’argent : Valentin COUTANT, région Centre Val-de-Loire Médaille de bronze : Guillaume DUBOURG, région Nouvelle-Aquitaine MENUISERIE (en photo) Médaille d’or : Maxime BLOQUE, région Grand Est Médaille d’argent : Tim TARBAGAYRE, région Sud Provence-Alpes-Côte d’azur
Médaille de bronze : Pierre TYMEN, région Normandie MÉTALLERIE Médaille d’or : Guillaume OSWALD, région Pays de La Loire Médaille d’argent : William LASSALZEDE, région Sud Provence-Alpes-Côte d’azur Médaille de bronze : Vincent GAUTHIER, région Île-de-France MIROITERIE Médaille d’or : Lilian VALLET, région Auvergne Rhône-Alpes Médaille d’argent : Remy BELLUCCI, région Sud Provence-Alpes-Côte d’azur
Médaille de bronze : Téo BROHAN, région Pays de la Loire PEINTURE ET DÉCORATION Médaille d’or : Nancy MAURILLE (médaille d’excellence aux EuroSkills), région Pays de La Loire Médaille d’argent : Etienne BLANCHARD, région Pays de La Loire Médaille de bronze : Mathieu LECÂBLE, région Normandie PLÂTERIE ET CONSTRUCTION SÈCHE Médaille d’or : Baptiste LAMY, région Pays de La Loire Médaille d’argent : Alexis BOURGET, région Bretagne Médaille de bronze : Steven GILLET, région Hauts-de-France PLOMBERIE ET CHAUFFAGE Médaille d’or : Tom PEAN, région Bourgogne Franche-Comté Médaille d’argent : Aymeric JAEGY, région Grand Est Médaille de bronze : Blaise TAUZIN, région Pays de La Loire SOLIER Médaille d’or : Florian CURUTCHET, région Nouvelle-Aquitaine Médaille d’argent : Kelyan N’KOLOBISE, région Auvergne Rhône-Alpes Médaille de bronze : Benjamin HENNEBELLE, région Auvergne Rhône-Alpes TAILLE DE PIERRE Médaille d’or : Nino DELGADO, région Île-de-France Médaille d’argent : Adrien NICOLAS BUON, région Normandie Médaille de bronze : Mikael REBELO PEREIRA, région Hauts-de-France
Il y a 3 ans et 148 jours

Soprema Entreprises signe l'enveloppe forte hygrométrie du nouveau centre aqualudique l'Odyssée d'Aulnay-sous-Bois

Il s’étend sur 7 000 m2 et possède une surface de plan d’eau atteignant 2 600 m2, avec neuf bassins dont un olympique couvert, un espace balnéothérapie, une salle de fitness... 460.000 clients par an en moyenne y sont attendus. L’équipement sportif sera également l’un des centres d’entraînement des JO Paris 2024. Il a été construit, en lieu et place de l’ancien complexe de Coursaille devenu obsolète, par Spie batignolles Ile-de-France, mandataire d’un groupement de conception/réalisation aux côtés de l’agence Chabanne Archi/Ingé. Il est géré par Espacéo (Groupe Spie batignolles) dans le cadre d’une délégation de service public (financement, conception, construction et exploitation) signée avec la mairie d’Aulnay-sous-Bois.Entre mi-juillet et fin novembre 2020, les équipes SOPREMA Entreprises Paris Acier ont entrepris la mise en œuvre d’une enveloppe répondant à la problématique de forte hygrométrie du bâtiment avec 4.500 m2 de couverture acier, dont une membrane PVC blanche collée pour supprimer les ponts thermiques, et 2.200 m2 de bardage triple et simple peau.4 500 m2 de couverture acierElle se compose de bacs acier (74SPA 150 microns laqués sur les deux faces) visibles depuis l’intérieur ; de laine de roche dans les ondes pour optimiser l’acoustique ; de bandes de pontages aluminium ; d’une isolation thermique en verre cellulaire de 180 mm d’épaisseur caractéristique de ce type de bâtiment en milieu humide ; et d’un pare-vapeur soudé en plein (Elastovap) destiné à recevoir la membrane PVC (FLAGON SFC 12). Les étancheurs, entre 6 et 8 en moyenne sur le chantier, ont réalisé la mise en œuvre du complexe en moins de trois mois, de mi-juillet à début octobre 2020.Au niveau de la toiture, le point spécifique résidait dans le système de pose de cette membrane. Afin de supprimer les phénomènes de condensation liés aux ponts thermiques, il était en effet impossible de la fixer mécaniquement. SOPREMA Entreprises a effectué une pose par collage, rare pour ce type de membrane en PVC. La prise étant rapide, elle a requis un travail de précision pour garantir une exécution en une seule fois. De couleur blanche, la membrane PVC se fond dans l’esthétique globale du bâtiment habillé d’un bardage blanc irisé. Cool roof, elle joue également un rôle dans le rafraîchissement du Centre Aqualudique, essentiel pour le confort des occupants et l’empreinte environnementale. La toiture est pliée avec des pentes d’environ 30 %. Lorsque l’équipe SOPREMA Entreprises intervenait sur ces pentes, elle devait faire preuve d’encore plus de minutie.Une centaine de plots auto-adhésifs, type SOPRASOLAR FIX EVO, sans percement, ont également été mis en œuvre sur une membrane bitume pour accueillir une moquette solaire qui produit l’eau chaude sanitaire de l’établissement. La liaison entre la membrane PVC et la bitume a été réalisée à l’aide d’un joint SIKA BR500.2 200 m2 de bardageLes plateaux de bardage (150 microns laqué sur les deux faces) ont été installés à la verticale, comme exigé par l’Avis Technique pour les ouvrages en milieux à très forte hygrométrie.Ils atteignaient 10 m de hauteur. Ils étaient ensuite recouverts d’un isolant thermique en verre cellulaire de 180 mm d’épaisseur, d’une deuxième peau métallique pour l’étanchéité, puis de lames pliées décoratives en acier (ST 300 - l. 300 x h. 4 000/5 000 mm) pour les 700 m2 de bardages triple peau. 1 500 m2 de lames pliées décoratives étaient posées en simple peau sur support béton. Une équipe de 2 à 4 bardeurs a travaillé entre mi-juillet et fin février 2021 au fur et à mesure des zones libérées par les lots menuiserie extérieures, VRD...
Il y a 3 ans et 148 jours

Qualifelec renforce sa position de leader dans la qualification IRVE

En complément de la recharge à domicile, la France compte désormais environ 40.000 points de recharge ouverts au public (chiffre 3e trimestre 2021 - source Gireve) et enregistre, ces derniers mois, une très nette accélération du déploiement de ces Infrastructures de Recharge des Véhicules Électriques (IRVE). Côté filière, cette dynamique est soutenue par le nombre croissant d’installateurs électriciens qui s’investissent dans cette activité. Qualifelec, organisme de qualification de référence du génie électrique, énergétique et numérique, compte aujourd’hui 2.300 entreprises qualifiées dans l’activité IRVE. Ce qui fait de lui, le leader français dans la qualification IRVE. La qualification est un gage de confiance pour les consommateurs qui garantit que les installateurs électriciens qualifiés maîtrisent le savoir-faire indispensable pour répondre aux normes de sécurité en vigueur. Qualifelec a été le premier organisme de qualification à proposer la reconnaissance de la compétence en IRVE, deux ans avant que le législateur ne rende la qualification obligatoire dans cette activité, dans le cadre du décret de janvier 2017. Avec l’aide de ses instances, Qualifelec observe en permanence les évolutions des marchés du génie électrique, énergétique et numérique et développe un outil de cartographie qui permet de localiser, sur l’ensemble du territoire national, les entreprises qualifiées en matière d’IRVE. Pour renforcer encore sa position de leader de la qualification IRVE, le conseil d’administration de Qualifelec a adopté, le 17 novembre dernier, une nouvelle qualification dédiée qui tient compte des évolutions réglementaires et des attentes spécifiques de la maîtrise d’ouvrage, dont les besoins ont évolué. La massification des IRVE ne peut pas se faire sans une exigence d’excellence associée, et contribuer à la sécurité des installations est une priorité pour Qualifelec. C’est pourquoi cette nouvelle qualification renforce les exigences en matière de conception, d’installation et de maintenance des IRVE par les entreprises qualifiées.Que disent les textes réglementaires ? Le décret du 12 janvier 2017 fixe l’obligation de formation de l’installateur et de qualification de l’entreprise pour être autorisé à installer des IRVE d’une puissance supérieure à 3,7 kW, accessibles au public. Le décret du 4 mai 2021 prévoit un renforcement des compétences techniques des entreprises et de nouvelles obligations de qualification en Études et Maintenance.Obligation de produire une étude de conception électrique préalable pour tout projet d’IRVE dans un parc de stationnement d’au moins 50 places ainsi que dans les bâtiments d’habitation collectifs proposant au moins 4 points de recharge.Obligation de qualification spécifique Études IRVE pour les entreprises produisant ces études (détails dans l’arrêté du 27 octobre).Obligation de qualification des entreprises réalisant la maintenance des IRVE. Qualification s’appuyant sur une formation préalable des techniciens(détails dans arrêté du 27 octobre).Obligation d’obtenir une attestation de conformité visée par Consuel pour mise en service d’une IRVE :pour toute nouvelle IRVE d’une puissance supérieure à 36 kWpour toute nouvelle IRVE installée dans les bâtiments d’habitation collectifs, quelle que soit la puissancepour toute modification d’une IRVE existante dont la puissance maximale dépasse les 36kW après modification.Introduction de la notion de Pilotage de la recharge dont les caractéristiques seront fixées par un nouvel arrêté.
Il y a 3 ans et 148 jours

ViaCon acquiert 100% des actions de Tubosider UK, y compris sa filiale, et en devient l’unique propriétaire

Grâce à cette acquisition, ViaCon renforce encore sa position de leader sur le marché européen des solutions de génie civil à base d’acier ondulé, offrant une plate-forme encore plus solide pour fournir des solutions client compétitives et durables.Fondée en 1987, Tubosider UK est le principal fabricant et fournisseur de solutions en acier ondulé pour les systèmes de gestion des eaux pluviales sur les marchés britannique et irlandais. Tubosider UK fournit également des produits pour les ponts et les ponceaux. Le siège social est basé à St. Helens à Sutton au Royaume-Uni.L’acquisition s’inscrit dans la stratégie de ViaCon visant à poursuivre sa croissance en Europe de l’Ouest et à s’implanter plus solidement dans le secteur très prometteur de la gestion des eaux pluviales. Les solutions pour les eaux pluviales réduisent les risques, entre autres, d’inondations en raison de la fréquence croissante des fortes pluies en Europe en raison des changements climatiques en cours. Les solutions uniques de ViaCon basées sur des structures en acier ondulé pour StormWater Solutions apportent un meilleur coût total pour les clients tout en soutenant fortement les programmes de développement durable croissants sur tous les marchés.Pour Stefan Nordström, PDG de ViaCon : « Je suis très heureux de cette acquisition et, à l’avenir, nous voyons des synergies opérationnelles et commerciales très prometteuses. Il renforcera davantage l’activité StormWater Solutions de ViaCon, une activité que nous visons à développer sur le marché très prometteur du Royaume-Uni. L’acquisition nous donne également une plate-forme pour développer notre activité Bridges & Culverts Solutions au Royaume-Uni. »
Il y a 3 ans et 148 jours

Un vaste réseau pakistanais de travail dissimulé dans le BTP et de blanchiment d'argent démantelé

En moins de trois ans (de 2019 à 2021), le réseau aurait blanchi "41 millions d'euros", selon une estimation des policiers de l'OCRGDF (lutte contre la grande délinquance financière) et l'Ocriest (lutte contre le travail dissimulé).Le 10 janvier, 11 personnes (dirigeants de fait de sociétés du BTP et dirigeants de sociétés fictives) ont été interpellées, dont deux frères à la tête du réseau. Tous, Pakistanais ou originaires du Pakistan, ont été mis en examen et écroués le 13 janvier.L'enquête a débuté en 2020 par une information sur une filière approvisionnant un ressortissant pakistanais en France en faux documents administratifs (passeports, carte d'identité, permis de conduire...) issus de différents pays de l'espace Schengen.Depuis le Pakistan, les faux documents transitaient par la Grèce et la Turquie avant d'arriver en France.Les entreprises du BTP concernées utilisaient des salariés non déclarés et sans papiers, ce qui leur permettait de ne pas payer de cotisations sociales et ainsi d'augmenter leurs marges.Parallèlement, le réseau avait créé des sociétés fictives dites "taxi", destinées uniquement à faire transiter l'argent.Les fonds, dont l'origine est encore inconnue, étaient versés sur des comptes bancaires ouverts avec de faux documents (180 au total). La moitié des sommes allait vers des comptes au Pakistan et l'autre moitié était décaissée en espèces ou redirigée vers d'autres comptes.Lors des perquisitions, les enquêteurs ont découvert 134.000 euros en espèces, "plus d'un million d'euros sur plusieurs comptes" et des voitures de luxe.
Il y a 3 ans et 148 jours

La mairie de Paris promet la fin des pieds d'arbres décriés par #saccageParis

"Nous n'aurons plus de fosses d'arbre à Paris (...) parce que ce n'est pas satisfaisant sur le plan esthétique" et que "cela pose d'énormes problèmes d'entretien", a déclaré Emmanuel Grégoire, premier adjoint (PS) de la maire PS Anne Hidalgo, en introduisant devant la presse son "manifeste pour la beauté" de la capitale.Enclos en bois pourris ou cassés, remplis de mégots et autres déchets, végétation non entretenue, épanchements d'urine ou déjections canines : ces fosses d'arbres de 3 mètres sur 3 étaient particulièrement visées par les militants de #saccageParis, un mouvement surgi en 2021 pour dénoncer le bilan d'Anne Hidalgo en matière de propreté, de mobilier urbain ou d'aménagement de l'espace public.A la place de ces "parcs à cochons", durant la période de deux à trois ans nécessaire au renouvellement de la terre et à la croissance du jeune arbre, "nous reviendrons à un aménagement provisoire avec du pavage", méthode "historique" à Paris, a indiqué Emmanuel Grégoire."Sauf", a-t-il précisé, "dans les cas où nous avons des liens avec des associations qui font de la végétalisation de pieds d'arbres qui sont très satisfaisants, mais il y en a peu"."Au bout de trois ans, soit on referme et on remet la grille Davioud", du nom du créateur du mobilier urbain parisien du Second Empire, "soit on fait des grandes bandes végétalisées", a ajouté M. Grégoire, pour qui "cette stratégie de reprise des pieds d'arbres mobilisera 12,5 millions d'euros dans les trois années qui viennent".Les "permis de végétaliser", lancés en 2015 pour permettre aux riverains de jardiner eux-mêmes dans la rue, au pied des arbres, après retrait du bitume ou dans des jardinières, "ne marchaient pas bien", a encore reconnu Emmanuel Grégoire, sauf quand ils étaient "portés par des collectifs très motivés"."Les permis de végétaliser, les Parisiens ne les tiennent pas assez longtemps et rapidement ils les abandonnent", a encore dit le bras droit d'Anne Hidalgo, disant vouloir "corriger ce qui peut l'être".Concernant le mobilier électrique et lumineux, autre cible de saccageParis, 350 mâts d'éclairage public accidentés ou rouillés vont être remplacés en 2022, a encore indiqué le premier adjoint.Sa collègue chargée de la propreté, Colombe Brossel (PS), va renforcer la lutte contre l'affichage sauvage et les tags. Dépôts sauvages et dégradations feront l'objet d'une "systématisation des actions en justice".M. Grégoire a aussi précisé la suppression de tous les marquages jaunes des pistes cyclables temporaires, désormais équipées "de nouvelles balisettes noires" et de glissières en béton armé "plus discrètes". Cette mesure faisait partie d'une précédente série d'annonces sur le mobilier urbain, faite en juillet 2021.Le banc Davioud racheté aux enchères par des habitants qui l'ont offert à la Ville afin d'alerter sur la sauvegarde de ce mobilier emblématique sera installé en juin en plein coeur du Marais.Alors que certains avaient critiqué la réfection de ce banc symbolique, ces amoureux du patrimoine sont maintenant "pleinement satisfaits" de sa rénovation, a assuré M. Grégoire.SaccageParis "a pu être utile aussi dans la dimension d'interpellation et la réactivité que cela nous impose", a reconnu le bras droit d'Anne Hidalgo. "Ce qu'ils dénoncent est vrai, parfois faux parce qu'ils reproduisent ad nauseam certaines photos" et "alimentent des fake news".
Il y a 3 ans et 148 jours

Coup d'envoi à Marseille du plan de rénovation des écoles de 1,2 milliard d'euros

L'édile, à la tête d'une union de la gauche, s'est rendu pour ce lancement sur le chantier de rénovation du groupe scolaire "Saint-Louis Gare", dans un quartier populaire : "C'est le premier projet de la grande aventure du plan écoles que l'on a lancé. Pour les Marseillais, c'est le premier qui sortira (à la rentrée 2023). C'est un symbole", a-t-il expliqué.Le groupe actuellement composé de 11 classes élémentaires (203 élèves) et six de maternelles (119 enfants) doit accueillir à terme 500 enfants dans 27 classes dont sept dédoublées avec des espaces supplémentaires (atelier, bibliothèque, gymnase...), une végétalisation et des panneaux solaires pour réduire la facture énergétique."On a voulu que cela se fasse dans la concertation, on a discuté avec les familles, les enseignants, les agents de la ville. Cela va être une école au service d'un quartier et des associations qui pourront utiliser le nouveau gymnase. C'est plus que des écoles, c'est de la dignité. C'est être au service de lieux qui ont été trop longtemps abandonnés", a-t-il lancé.Initié en octobre 2021 après une visite du président Emmanuel Macron, le plan de rénovation vise à réhabiliter l'ensemble des 470 établissements scolaires qui accueillent quelque 80.000 enfants et dont environ un tiers, 174, dans un état préoccupant, doivent être entièrement rénovés."En 2022, 30 chantiers de rénovations lourdes seront menés", a annoncé Benoît Payan en promettant la mise en route de 80 chantiers d'ici la fin de son mandat en 2026.Ce plan bénéficie d'une aide exceptionnelle de l'Etat de 400 millions d'euros. L'Etat garantira également plus de 650 millions d'euros d'emprunts sur les 800 millions que mobilisera la ville de Marseille. "Et en travaillant sur les taux d'intérêts, on a gagné près de 50 millions d'euros de plus", a souligné M. Payan.Un protocole d'accord, signé par le maire et le Premier ministre le 14 décembre, a été entériné en Conseil municipal le 17 décembre. Reste à créer une structure de pilotage.Le maire de Marseille a indiqué qu'il déposerait dès la semaine prochaine avec le préfet les statuts de la "Société publique des écoles marseillaise", qui sera chargée de superviser ce projet. Cette structure qui associe à part égale la ville et l'Etat sera présidée par M. Payan."C'est la boite à outil qui va nous permettre de construire des écoles de manière intelligente, rapide et efficace", a vanté l'édile évoquant une structure inédite. "C'est la première fois dans l'histoire de ce pays qu'une ville fabrique une société publique avec de l'argent public au service d'un projet municipal spécifique", a-t-il dit.
Il y a 3 ans et 148 jours

Pénurie : "Nous avons des difficultés sur des produits de couverture", DG France Matériaux

INTERVIEW. Depuis plus de 20 ans, France Matériaux, groupement de négoces en matériaux indépendants, se déploie sur le territoire pour servir les entreprises et artisans. Suite à son Carrefour des Partenaires qui a eu lieu la semaine dernière, son directeur général, Eric Petitdemange, nous dresse les grandes orientations stratégiques 2022 et revient sur la pénurie de matériaux et les hausses des prix.
Il y a 3 ans et 148 jours

Le Cerema poursuit le déploiement de la règlementation environnementale (RE2020) dans les territoires

Le Cerema a apporté pour l’élaboration de la nouvelle réglementation thermique « RE2020 », un appui technique aux services du ministère de la Transition écologique : expertise pour les mesures de performance réelle des bâtiments, détection et analyse de non-conformités et analyse du cycle de vie des bâtiments (ACV). Le Cerema avait auparavant accompagné l’expérimentation Energie Positive et Réduction Carbone E+/C-, qui a préfiguré la RE2020 notamment sur le volet de l’ACV. Nos missions auprès des acteurs des territoires et des professionnels du bâtimentAujourd’hui, la mission de service public du Cerema se poursuit pour déployer la nouvelle règlementation et accompagner tous les acteurs publics et privés avec :La formation des professionnels et des maîtres d’ouvrages à la RE2020 ;L’animation des territoires avec des webinaires dédiés et des conférences techniques territoriales ;L’élaboration de guides de décryptage et de fiches d’application ;La réalisation de Fiches de Données Environnementales et Sanitaires (FDES) pour quantifier l’impact environnemental de chaque produit ;L’évaluation des logiciels RE 2020 sur le volet Analyse du Cycle de Vie ;Le décryptage de l’analyse de cycle de vie dynamique et son lien avec les matériaux biosourcés ;L’encadrement de la filière des professionnels habilités à vérifier sur le terrain le respect des exigences de la réglementation.Avec ses 26 implantations partout en métropole et dans les Outre-mer, le Cerema développe des projets au plus proche des besoins et du contexte des territoires. Il organise régulièrement des conférences techniques territoriales pour accompagner les collectivités et les services de l’État. Focus sur l’action du Cerema en région Bourgogne-Franche-ComtéLe Cerema est présent en région Bourgogne-Franche-Comté par son agence d’Autun qui a développé une expertise de pointe sur plusieurs volets de la RE2020 :Les méthodologies de calcul de la performance des bâtiments : avec des contributions à de nombreux groupes d’expertises pour définir la méthodologie de calcul de la performance des bâtiments, les indicateurs et les seuils réglementaires à retenir dans la RE2020.L’étanchéité à l’air des parois des bâtiments neufs : l’agence d’Autun dispose de matériels de mesure uniques en France et d’une expertise historique mobilisés pour l’élaboration de la RE2020. Cette agence du Cerema accompagne aussi les maîtres d’ouvrages publics dans les territoires afin d’assurer la meilleure performance énergétique et environnementale possible de leurs bâtiments. C’est le cas notamment au collège Dorgelès à Longvic au Sud de Dijon où le Conseil départemental de la Côte d’Or réhabilite un collège par le biais d’une déconstruction – reconstruction en site occupé. L’assistance du Cerema à ce projet a débuté dès 2016 pour finaliser le programme du projet et se poursuivra deux ans après la livraison pour vérifier que le bâtiment tient ses promesses.Pour rappel, la RE2020 a pour objectifs de :Réduire les émissions de gaz à effet de serre des bâtiments, en prenant en compte tout le cycle de vie du bâtiment, de sa conception à sa fin de vie ;Améliorer le confort d’été dès la conception pour éviter le recourt à la climatisation ;Faire baisser la facture énergétique en améliorant les performances des bâtiments neufs.
Il y a 3 ans et 148 jours

Grand Paris Express, au Pavillon France à Dubaï

L’exposition Grand Paris Express, conçue par Dominique Perrault, avec une intervention artistique de JR, présente au Pavillon France à Dubaï le plus grand projet urbain d’Europe piloté par la Société du Grand Paris. Jusqu’au 21 février 2022. Conçue par l’architecte Dominique Perrault, avec une intervention artistique de JR, cette exposition temporaire présente le plus grand […] L’article Grand Paris Express, au Pavillon France à Dubaï est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 149 jours

À Marseille, le maire signe le coup d'envoi des travaux de rénovation des écoles

CHANTIER. L'édile de la seconde plus grande ville de France a assisté au début des travaux d'un chantier de rénovation d'une école. Au total, 470 établissements scolaires marseillais doivent être réhabilités, notamment pour offrir des conditions plus "dignes" de aux enfants.
Il y a 3 ans et 149 jours

Le réseau d'assainissement obligatoirement couvert par l'assurance

Un assureur ne peut pas soutenir que le réseau d'assainissement ne ferait pas partie du bâtiment d'habitation assuré, a jugé la Cour de cassation.
Il y a 3 ans et 149 jours

Loubat Fermetures rejoint le groupe Estémi

Cette opération s'inscrit dans le cadre du développement externe du groupe ESTÉMI orchestré par son président Jean-Luc Nouveau à la tête du groupe depuis 2007. Loubat Fermetures vient compléter les 4 sites de fabrication et de production du groupe Estémi (tout nouvellement nommé) implantés sur le territoire national.Pour Jean- Luc Nouveau, président du Groupe Estémi : « La construction du groupe Estémi, depuis son origine, s’appuie sur la proximité locale et le produire en France sur des sites déjà ancrés sur leur territoire pratiquant une relation de proximité avec leurs clients, professionnels indépendants de la pose et entreprises générales. Loubat Fermetures devient le 5ème site de fabrication et production du groupe Estémi et vient ainsi enrichir, grâce à son expertise reconnue, notre offre de fermetures sur-mesure, performantes, durables et de fabrication française. Cette opération amène à l’équilibre notre offre de menuiseries et notre offre de fermetures tout en nous permettant de continuer à mailler le territoire national. » Loubat Fermetures est une société spécialisée dans la conception et la fabrication de fermetures sur-mesure implantée à Sainte-Livrade-sur-Lot (47) depuis 1952. Monsieur Kim Van Roy, Président depuis 2020, poursuivra avec son équipe le développement de l’entreprise tant sur le plan industriel que commercial. La société a acquis et capitalisé une expérience et un savoir-faire importants dans le métier de la fermeture sur-mesure et en matière de fabrication industrialisée depuis son origine. Ses produits sont distribués par des artisans professionnels de la pose et des entreprises générales sur une grande partie du territoire français. L’ensemble de son offre de volets roulants, volets battants, volets coulissants et portes de garage, essentiellement en aluminium, est certifiée NF. L’entreprise a été précurseur en France pour la certification NF de volets battant (2016). Ce rachat conforte l'assise financière de Loubat Fermetures et lui permettra de bénéficier à terme, au sein d'un groupe industriel à taille humaine, des synergies d'ordre commercial, productif et administratif, ainsi que d'un appui opérationnel et stratégique. De son côté, Loubat Fermetures apporte au groupe Estémi un savoir-faire et une expertise technique reconnus depuis des décennies dans les métiers de la fabrication de fermetures et notamment des volets battants.Pour Jean- Luc Nouveau, président du Groupe Estémi : « Cette acquisition élève le groupe Estémi à un CA de 88 millions d’euros avec un effectif de 450 salariés. Une nouvelle croissance externe sur le Rhône-Alpes reste d’entière actualité et sera, nous l’espérons le prochain chapitre du groupe sur 2022. »
Il y a 3 ans et 149 jours

Le groupe LP Promotion affiche l’ambition de tripler son chiffre d’affaires en 5 ans

Véritable promoteur des territoires, LP Promotion souhaite poursuivre un développement fort en offrant des solutions d’habitat sur mesure et ambitionne de tripler son chiffre d’affaires consolidé d’ici 2026 pour le porter à plus de 800 millions d’euros.Grandir pour aller plus loin au service des territoiresDéjà présent dans quatre grandes régions de France (Occitanie, Nouvelle-Aquitaine, Ile-de-France et depuis peu Auvergne-Rhône-Alpes), le Groupe s’appuie sur son expertise territoriale pour passer de 2.400 lots réservés en 2021 à près de 7.000 en 2026. Son ambition : être à l’écoute des besoins et spécificités locales.Pour Pierre Aoun, Directeur Général du Groupe LP Promotion : « Notre positionnement de promoteur des territoires a un sens. Il s’agit de nous développer localement, au cœur de nos régions d’implantation, en nous adaptant aux besoins réels des territoires, en répondant aux enjeux locaux et en offrant aux résidents des solutions d’habitat adaptées. Le but est d’aller encore plus loin dans notre maillage régional afin d’anticiper finement les besoins des collectivités et de leurs parties prenantes (riverains, élus...). »Ce changement d’échelle permet à LP Promotion de s’inscrire concrètement en tant qu’acteur de la vie locale. Cela se traduit notamment par une contribution au développement économique des tissus régionaux :Plus de 3.700 emplois seront créés en équivalent temps plein en 2021, via les chantiers,95% des entreprises impliquées sont des acteurs locaux,Des emplois durables sont créés pour la gestion des résidences de services (régisseurs...).Cette volonté d’être un acteur de la vie locale se traduit aussi par différents leviers d’implication de terrain qui participent à l’essor des territoires. Le Groupe soutient ainsi plus de 70 clubs sportifs, associations culturelles et caritatives tels que le Toulouse Football, le Club Nautique Chambéry-Le Bourget du Lac, l’Aviron Bayonnais, les Journées de l’Économie à Lyon ou encore le Spectacle Historique de la Ville de Meaux.Afin d’être encore plus proche des territoires, le Groupe a décidé, en 2021, d’associer plus de 40 managers au capital, favorisant leur implication dans le devenir de l’entreprise et assurant une relation pérenne entre le Groupe et ses partenaires locaux. Cette prise de participation a été rendue possible grâce à l’arrivée d’un nouvel actionnaire, Aermont. Il entérine la sortie d’Abénex (son partenaire durant 4 ans) et du fondateur historique, Lucien Ponsot, tout en assurant la continuité de l’équipe en place. Cette réorganisation de l’actionnariat du Groupe a permis la mise à disposition de moyens financiers importants pour soutenir ses ambitions et accélérer la mise en œuvre de nouvelles réalisations dans les territoires où il est présent.Devenir un leader du marché des résidences géréesEn 2008, le Groupe LP Promotion a fondé la filiale Privilege Services dont le rôle est d’aider à développer et concevoir des résidences de services destinées à des populations ou besoins spécifiques (étudiants, jeunes actifs, coworking, seniors), puis d’en assurer la gestion. Via sa filiale, le Groupe gère aujourd’hui 22 résidences partout en France et souhaite développer fortement cette activité. Pour atteindre ses objectifs, il prévoit, d’ici cinq ans, de multiplier par quatre le nombre de ses résidences gérées.Pour Pierre Aoun, Directeur Général du Groupe LP Promotion : « Être promoteur et gestionnaire nous permet d’être un interlocuteur unique auprès des collectivités et de les accompagner dans la durée. Nous assurons la conception, la construction, la commercialisation et la gestion. Grâce à cette maîtrise globale de la chaîne immobilière, nous pouvons concrètement répondre aux enjeux de la ville de demain et proposer des services en accord avec les attentes et les besoins de la population. Notre volonté est de créer des lieux de vie conviviaux et adaptés à tous les parcours résidentiels. »S’engager en faveur de l’eco-responsabilité et de l’innovation au service de l’habitatConscient de la nécessité d’agir pour inscrire l’habitat dans une transition écologique concrète, LP Promotion mène au quotidien une politique RSE ambitieuse et promeut un habitat durable et respectueux de l’environnement, notamment par le recours à des matériaux renouvelables et à faible empreinte carbone. Le Groupe est ainsi entré, en juillet 2021, au capital de Briques Technic Concept, une société de fabrication et de distribution de briques en terre crue compressée. Ce partenariat représente un véritable engagement pour l’entreprise qui souhaite intégrer la brique en terre crue dans 20% de ses projets d’ici trois ans. Il accompagne le développement territorial de LP Promotion et participe également à la création d’emplois non délocalisables. En effet, chaque ouverture d’unités de production générera 2 à 3 emplois directs et 20 emplois indirects.D’autre part, depuis plusieurs années, le Groupe s’appuie sur un département Recherche &Développement qui travaille quotidiennement, avec les équipes opérationnelles, à développer l’innovation technique et sociétale. Ainsi, en 2020, LP Promotion a été récompensé par une Pyramide d’Or pour son utilisation novatrice du BIM (Building Information Management) pour son projet Les Terrasses de Jade à Toulouse. En 2021, le Groupe a investi un million d’euros en R&D et souhaite maintenir ce cap, au service des territoires.
Il y a 3 ans et 149 jours

Marseille: coup d'envoi du plan de rénovation des écoles

Le maire socialiste de Marseille Benoît Payan a donné mercredi 19 janvier le coup d'envoi du plan de rénovation des écoles doté d'un budget d'1,2 milliard d'euros en partie financé par l’Etat dans le cadre d'un plan de redressement de la deuxième ville de France.
Il y a 3 ans et 149 jours

L'aéroport de Nice termine 2021 avec un trafic "supérieur à ses attentes"

Deuxième plateforme aéroportuaire de France, l'aéroport azuréen a connu un premier semestre 2021 "très touché" par les mesures de confinement, avec un trafic passagers représentant 23% du bilan sur la même période de 2019 et un second semestre "bien mieux orienté", équivalent à 64% du trafic sur les six derniers mois de 2019.Les Aéroports de la Côte d'Azur (ACA), qui regroupent les aéroports de Nice, Cannes et Saint-Tropez, avaient enregistré en 2019 un trafic de 14,5 millions de passagers, avant une chute à 4,6 millions de passagers en 2020 avec le début de la crise sanitaire."Cette reprise du trafic passagers, et plus particulièrement des vols long-courriers, témoigne de la vigueur de l'attractivité de notre territoire, de la confiance des compagnies aériennes comme des voyageurs dans les mesures de sécurité sanitaire mises en oeuvre, et nous permet d'être optimiste pour l'année à venir", a déclaré Franck Goldnagel, président du directoire d'ACA dans un communiqué.L'aviation d'affaires, "par nature plus résiliente", a de son côté retrouvé ses niveaux d'avant pandémie sur les trois plateformes, avec notamment 37.000 mouvements sur le seul aéroport de Nice, a précisé le communiqué.Fermé pendant la crise sanitaire, rouvert durant l'été et de nouveau fermé depuis la mi-septembre, le Terminal 1 devrait rouvrir fin mars pour la saison estivale.Quant au projet d'extension du Terminal 2, engagé avant la crise sanitaire, "il reste d'actualité", a indiqué l'aéroport, alors qu'un recours intenté par un collectif d'associations qui dénoncent un "danger environnemental" est pendant devant le tribunal administratif de Marseille.Dans le même temps, l'aéroport a indiqué poursuivre une stratégie de "promotion d'une aviation bas carbone". Concernant ses propres émissions, l'aéroport, qui affirme être "déjà neutre carbone depuis 2016", a obtenu en 2021 la certification Airport Carbone Accreditation niveau 4+, qui atteste d'une réduction des émissions de manière absolue, selon l'aéroport.
Il y a 3 ans et 149 jours

Courdimanche : réaménagement du bassin de la Louvière

Le site de rétention des eaux pluviales de la Louvière fait l’objet de travaux de réaménagement d’une durée de cinq mois
Il y a 3 ans et 150 jours

Le maire du XVIe demande le classement de la place du Trocadéro

Le maire du XVIe arrondissement de Paris demande à Roselyne Bachelot le classement comme monument historique de la place du Trocadéro pour empêcher le projet d'en fermer un côté à la circulation.
Il y a 3 ans et 150 jours

Palmarès WorldSkills : une belle moisson pour l’équipe des métiers du bâtiment et des travaux publics

Une campagne organisée par le CCCA-BTP, mobilisé avec les professionnels de la construction, pour promouvoir l’innovation, la diversité et la richesse des métiers du secteur du BTP, valoriser l’apprentissage comme voie de formation professionnelle initiale d’excellence et de réussite et donner envie aux jeunes visiteurs l’envie de rejoindre une filière d’avenir.160 jeunes en lice dans 17 métiers du BTP et dans la nouvelle épreuve Construction digitaleSur le pôle BTP, le plus important en compétition avec 17 métiers représentés, 160 candidats, âgés de moins de 23 ans, se sont affrontés pendant trois jours intenses de compétition, donnant à voir le meilleur d’eux-mêmes par la maîtrise de leur savoir-faire, leur talent, leur détermination et la passion qu’ils portent à leur métier respectif.La construction digitale a fait son apparition dans la compétition à l’occasion de ces finales nationales, avec un sujet inspiré d’un projet en cours de construction en région Auvergne-Rhône-Alpes. Durant cette épreuve de 17 heures 30, les cinq candidats ont du faire appel à toutes les compétences nécessaires pour mener un projet BIM : modélisation et création des maquettes numériques de la structure gros œuvre et des aménagements intérieurs (plafonds, cloisons, portes, sol).Formidables ambassadeurs des valeurs d’excellence et de réussite transmises lors de leur parcours de formation, les jeunes compétiteurs ont tous pleinement incarné l’entraide, la complémentarité et l’esprit d’équipe inhérents aux métiers du BTP, tout en symbolisant l’excellence du modèle de l’apprentissage.Visite ministérielle sur l’espace « La Construction. Demain s’invente avec nous »Le Premier ministre Jean Castex est venu le 14 janvier sur le site de la compétition à la rencontre des jeunes compétiteurs, accompagné de Jean-Michel Blanquer, ministre de l’Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports, et d’Élisabeth Borne, ministre du Travail, de l’Emploi et de l’Insertion. Jean Castex s’est attardé sur l’espace du CCCA-BTP pour encourager les jeunes en compétition dans les 17 métiers du BTP. Il a échangé avec Éric Routier, président du CCCA-BTP, et Jean-Christophe Repon, vice-président du CCCA-BTP, sur la formation des jeunes aux métiers de la construction par la voie de l’apprentissage et insisté sur la nécessité de les rendre encore plus attractifs.58 jeunes vainqueurs pour le pôle BTPLe palmarès des finales nationales des 46e WorldSkills Competition a été proclamé le 15 janvier lors de la cérémonie de clôture à Eurexpo Lyon. Ce sont 58 jeunes, dont deux binômes métiers (aménagement urbain et réseaux de canalisations / Construction béton armé) qui ont été récompensés dans les 16 métiers du BTP en compétition et pour l’épreuve Construction digitale. Ces vainqueurs auront l’honneur de concourir au niveau mondial à Shanghai en 2022 et au niveau européen à Saint-Pétersbourg en 2023.Retrouver la liste complète du palmarès BTP sur laconstruction.fr et ccca-btp.frPour Éric Routier, président du CCCA-BTP : « Avec nos métiers du BTP, les jeunes en recherche de leur orientation professionnelle ont un avenir solide assuré dans notre secteur, qui offre de belles perspectives de carrière. La plupart des compétiteurs ont été formés par la voie de l’apprentissage, grâce à l’implication quotidienne de leur maître d’apprentissage en entreprise et de leurs formateurs en centre de formation. Les jeunes champions médaillés lors de ces finales nationales ont une nouvelle fois démontré leur talent et leur professionnalisme, ainsi que leur parfaite maîtrise dans la pratique de leur métier respectif. Il était aussi important de profiter de cet événement national pour mettre les jeunes et nos métiers du BTP à l’honneur, affirmer haut et fort que l’apprentissage est plus que jamais une voie qui conduit vers l’excellence et la réussite. Le CCCA-BTP, partenaire de longue date de WorldSkills France et partenaire de ces finales nationales, était présent au cœur du pôle BTP, sous les couleurs de la campagne de promotion des métiers et de l’apprentissage BTP « La Construction », que nous menons auprès des jeunes. Cet événement, où l’on voit combien les jeunes qui ont fait le choix de notre secteur du BTP sont heureux, a été une exceptionnelle vitrine pour valoriser nos métiers, montrer aux jeunes visiteurs qu’ils sont innovants et attractifs et leur donner envie de rejoindre de notre secteur du BTP ! »
Il y a 3 ans et 150 jours

Biarritz : un parking à l’angle de l’avenue du Maréchal-Juin au premier trimestre 2022

Un nouveau parking sera aménagé sur une parcelle appartenant à la Ville de Biarritz.
Il y a 3 ans et 150 jours

Liancourt : rénovation de la place La Rochefoucauld

La Ville de Liancourt souhaite améliorer l’aspect de la place La Rochefoucauld.
Il y a 3 ans et 150 jours

Nouvelle offre RSOFT Bas Carbone PRÉMURS & PRÉDALLES de RECTOR pour la sobriété carbone de la structure des bâtiments

La décarbonation de la construction est un enjeu majeur de la nouvelle réglementation environnementale (RE 2020). La Stratégie Nationale Bas Carbone (SNBC) ambitionne pour le secteur du bâtiment une réduction de ses émissions de près de 50% d’ici 2030 (par rapport au niveau de 2015). Dès la phase de construction, tous les composants voient leur empreinte carbone quantifiée et additionnée pour constituer l’impact environnemental global du bâtiment. Cet indicateur réglementaire, soumis à un seuil maximal dans le cadre de la RE2020, sera par ailleurs revu à la baisse tous les trois ans. C’est dans cette optique de sobriété carbone, initiée il y a tout juste un an avec ses premiers Prémurs béton bas carbone, et pour marquer son propre engagement dans la lutte contre le réchauffement climatique que RECTOR crée aujourd’hui Rsoft, une offre de prémurs et prédalles bas carbone. Une large gamme de produits et systèmes préfabriqués bas carbone pour répondre à tous les projets de construction Fruit d’un travail de recherche et développement sur l’impact carbone de ses produits, l’offre Rsoft Bas Carbone de RECTOR se compose de systèmes constructifs qui garantissent un bilan carbone nettement réduit tout en améliorant la productivité, la sécurité et l’efficacité des chantiers : . Prédalles BA Rsoft, pour un bilan carbone allégé à tous les étages ; . Prémurs Rsoft : en infrastructure ou superstructure les verticaux profitent d’une meilleure empreinte environnementale ; . Thermoprédalles BA 0,45 Rsoft, la solution de plancher préfabriqué à rupteurs thermiques intégrés qui contribue à la réduction des consommations d’énergie et lutte contre les émissions de gaz à effet de serre ; . Prédalle SPD Rsoft en association avec le plancher-dalle Caméléo pour une structure à l’empreinte environnementale optimisée. Rsoft, des matériaux sobres aux performances garanties Pour alléger l’empreinte environnementale des constructions neuves, l’offre Rsoft Bas Carbone de RECTOR est basée sur l’économie circulaire. Elle intègre, en effet, des formulations béton à faible intensité carbone, des armatures issues d’aciers recyclés et profite d’un processus de fabrication et d’étuvage optimisé afin de garantir la qualité et la performance de ses produits. Ses performances sont certifiées par des FDES, disponibles sur la base INIES. Rsoft, tous les atouts de la préfabrication béton L’offre de prédalles et prémurs Rsoft Bas Carbone offre tous les avantages de la préfabrication : . une mise en œuvre rapide, . des délais d’exécution maîtrisés, . une qualité de parement optimale, . des performances structurelles de l’ouvrage inchangé et identique à des produits en béton classique. A ceux-ci s’ajoutent : . la garantie sur les gains carbone annoncés grâce à un process de qualité industrielle, . une résistance à jeune âge du béton maîtrisée en usine et garantie à la livraison sur chantier. L’ensemble de l’offre Rsoft Bas Carbone de RECTOR est disponible sur l’ensemble du territoire grâce au maillage industriel national du fabricant. Cette proximité participe également à la réduction de l’empreinte environnementale liée au transport.http://www.rector.fr/
Il y a 3 ans et 150 jours

Les menuiseries Performance 70 Sapa participent à la rénovation d’une maison des années 1980

La bâtisse était construite de plain-pied et avait pour particularité de posséder des toitures quatre pans avec une faible hauteur. L’architecte a imaginé une villa-patio, en concevant quatre extensions cubiques, permettant d’atteindre environ 250 m2 de surface habitable. Il a travaillé de concert avec le fabricant-installateur DUTHOIT Menuiseries (Lesquin - 59) pour habiller ces volumes et percer les toitures d’une multitude d’ouvertures Sapa. Baies coulissantes, porte d’entrée, fenêtres fixes, à la française..., la gamme PERFORMANCE 70, large et éprouvée, est mise en avant mais dans des formats XXL. Ces grandes dimensions, conjuguées à des masses d’aluminium réduites, optimisent les apports lumineux, et créent une relation immuable entre les espaces intérieurs et le jardin.Pour Richard Claeyman, dirigeant de l’entreprise DUTHOIT Menuiseries : « Ce projet de rénovation a requis beaucoup de savoir-faire. Au-delà des formats « oversize », il a fallu faire preuve de technicité par exemple en intégrant sur la porte d’entrée grand trafic GTI+ (L. 1,20 x H. 2,70 m) un système connecté avec reconnaissance des empreintes palmaires. Les doubles châssis fixes en angle à 45°, des solutions murs-rideaux de la gamme ELEGANCE 52, constituaient également un vrai défi. Nous avons effectué une pose bord à bord pour un maximum de finesse et mis en œuvre des manchons sur-mesure pour garantir une étanchéité maximale. »Voir la vie en grandDepuis le grand espace de vie salon/séjour/cuisine, les trois chambres, la salle de bain ou encore le hall d’entrée, les occupants profitent de larges vues sur l’extérieur grâce aux menuiseries PERFORMANCE 70 Sapa :la baie coulissante côté piscine atteint 7 m de longueur (3 vantaux) sur une hauteur de 2,50 m. Cette version forte charge conserve l’esthétique épurée originelle de PERFORMANCE 70 CL,deux coulissants de 3,50 m de longueur chacun permettent d’accéder au patio,une baie coulissante de 2,20 m au niveau de la chambre parentale offre une bulle cocooning et lumineuse,deux grands fixes (L. 2 x H. 2,70 m), de part et d’autre de la porte d’entrée, créent un hall d’accueil monumental,six fenêtres à ouvrants cachés OC+ baignent de lumière les quatre chambres et la salle de bain.Ces solutions Sapa sont revêtues d’un noir structuré 9005. Cette teinte participe à l’écriture contemporaine du projet et s’harmonise parfaitement aux tuiles et au bardage aluminium noir structuré. La protection face aux rayons du soleil est assurée grâce à un vitrage à contrôle solaire.Sapa ouvre les portes virtuelles de cette villa-patio grâce à son nouveau showroom digital lancé depuis fin septembre.Les professionnels peuvent voir et manipuler en réalité virtuelle les gammes Sapa, et découvrir toutes les informations disponibles autour des menuiseries (performances, configurations, brochures digitales, vidéos promotionnelles, posters techniques...).
Il y a 3 ans et 150 jours

Écully : le chemin de Charbonnières rouvre au public

Une enveloppe de 500 k€ sera nécessaire au projet de réaménagement du chemin de Charbonnières à Écully.
Il y a 3 ans et 150 jours

Pau : l’enseigne Monoprix va s’agrandir de 700 m²

L’enseigne Monoprix, dans le centre-ville de Pau, passera prochainement de 1 200 m² à 1 900 m².
Il y a 3 ans et 150 jours

Rénovation de maison : à qui confier les travaux ?

La réhabilitation d’un logement est un grand projet qui ne doit pas être pris à la légère. Si vous voulez un travail soigné, on vous conseille de faire appel à une entreprise de rénovation de maison. Celle-ci est en mesure de vous accompagner tout au long de la réalisation. Elle vous donnera aussi de précieux conseils pour améliorer votre confort, optimiser votre sécurité et embellir votre propriété à prix réduit. Mais pour choisir correctement les artisans qui prendront en charge votre chantier, vous devez aussi bien analyser la question. Solliciter les services d’un spécialiste en restauration Si vous voulez des garanties sur le résultat de votre projet, il vaut mieux demander les prestations d’un professionnel. Sachez que cette opération ne doit pas être laissée au hasard et chaque détail doit être soigneusement pris en compte. Pour éviter les éventuelles mauvaises surprises, il est recommandé de faire appel à une entreprise de rénovation maison expérimentée. Mettre les travaux entre les mains d’un expert vous permettra de bénéficier d’une exécution soignée et en toute tranquillité. En outre, la réalisation de cette opération nécessite des compétences particulières. Pour répondre à toutes vos exigences, vous devez contacter des experts en électricité et en plomberie. Mais vous devez aussi trouver des spécialistes en équipement de chauffage, en isolation, en étanchéité, etc. Par conséquent, confier votre restauration à une équipe compétente, c’est la garantie d’une intervention de qualité. Le choix entre un architecte et un constructeur Si vous recherchez un artisan professionnel qui vous aidera à restaurer votre maison, vous pouvez contacter un architecte. Il vous proposera ses aides pour remettre en état votre logement. Polyvalent, il gèrera assurément votre projet de réhabilitation selon les règles d’art. Il innovera également votre habitation en fonction de votre budget et de vos demandes. Il étudiera l’état des lieux, diagnostiquera le bâti et déterminera les tâches à entreprendre. Pour rénover un grand bâtiment, ses connaissances sont toujours indispensables. Mais vous pouvez aussi demander les services d’un constructeur pour réaménager votre immobilier. Il s’occupera des lourds travaux, de la démolition de murs ou du désencombrement. De même, avec son savoir-faire, il est à même de vous créer un plan sur mesure. Si nécessaire, il peut aussi se charger des démarches administratives et des finitions. Tout dépend donc du genre de remise à neuf que vous voulez réaliser. Mais en tout cas, différents corps de métier interviennent jusqu’à l’achèvement du chantier. Trouver l’expert idéal D’innombrables sociétés sont présentes sur le marché. Pour éviter les éventuelles mauvaises surprises, faites votre recherche en vous basant sur certains critères. Le type de rénovation à faire dépend de l’étude effectuée par le professionnel qui s’occupe de l’état des lieux. Après avoir établi vos paramètres de choix comme la carte d’identité de l’entreprise, sa notoriété et ses anciennes réalisations, vous pouvez demander des devis. Cela vous permettra d’avoir une idée plus précise sur l’ampleur des travaux et les prix pratiqués. Puis, choisissez l’offre qui convient le mieux à vos exigences. Et surtout, n’hésitez pas à étudier chaque tarif avant de vous engager. C’est le moyen le plus approprié pour faire des économies sur votre réhabilitation.
Il y a 3 ans et 150 jours

Paris retrouve sa poste rue du Louvre, mais plus 24 heures sur 24

L'immense bâtiment, achevé en 1888, couvre tout un pâté de maisons à deux pas des Halles. Derrière sa fière façade de pierre se cache un fleuron de l'architecture industrielle de la fin du XIXe siècle, avec notamment une armature métallique que la restauration a magnifiée."Ce qui nous a guidé, c'est évidemment le patrimoine", a expliqué l'architecte Dominique Perrault, choisi en 2012 pour restructurer les lieux, lors d'une brève cérémonie d'inauguration la semaine dernière."Le baron Haussmann (qui a transformé Paris sous le Second Empire, ndlr) ne voyait pas d'un oeil ravi l'apparition d'une usine proche du Louvre et l'architecte Julien Guadet a apporté une réponse tout à fait extraordinaire : il a monumentalisé l'usine de l'époque, il lui a donné une dimension tout à fait urbaine, tout à fait exceptionnelle", a-t-il raconté, estimant que l'édifice rappelait plutôt les immeubles du sud de Manhattan, à New York."Cet héritage, nous avons voulu le protéger, mais aussi l'intégrer, l'insérer, le projeter (...) dans l'avenir, afin d'y accueillir non seulement La Poste, mais aussi d'autres usages", a-t-il expliqué.Le centre de tri qu'accueillait le bâtiment --une véritable usine-- est depuis longtemps parti en banlieue, et les quantités de lettres transportées ont fondu. Le groupe public, toujours propriétaire des lieux, a donc trouvé des locataires, qui lui permettront d'occuper l'espace et d'amortir les 150 millions d'euros qu'a coûté le chantier. "La Poste du Louvre est un lieu emblématique de la capacité de notre groupe à se transformer", décrit le PDG de La Poste Philippe Wahl.Dernière levée à 18H00Un hôtel de luxe a déjà ouvert ses portes. Appelé "Madame Rêve", il ouvrira au printemps un bar offrant une vue imprenable sur le centre de Paris, installé sur le toit arboré. Le programme immobilier comprend aussi des logements sociaux, un commissariat, des bureaux, une halte-garderie et treize commerces thématiques, que La Poste veut "conceptuels".L'immeuble se déploie désormais sur neuf niveaux pour un total de 32.000 m2 de surface de plancher, tandis que la cour centrale est devenue un patio ouvert sur les rues adjacentes.La Poste va y reloger la partie banque privée de La Banque Postale, et aménage pour Colissimo un vaste espace dédié à la logistique urbaine, au sous-sol où étaient installées les écuries jusqu'en 1908."Les colis vont arriver en véhicule électrique et repartir à vélo" pour être distribués dans quatre arrondissements parisiens, note Nicolas Fournel, directeur de projets à Poste Immo.Et puis, bien sûr, il y a le retour du bureau de poste, qui était fermé depuis 2015. Il est resté dans la mémoire des Parisiens qui s'y précipitaient pour envoyer leur déclaration d'impôt au dernier moment, le cachet de la poste faisant foi."Après six années de travaux, nous renouons avec la tradition d'une poste très accessible. Nous sommes sur une combinaison du patrimonial et de la modernité", insiste Nathalie Collin, directrice du réseau et du numérique.Le décor des années 1960 a disparu pour faire place à un espace très contemporain, lumineux, ouvert tant sur la rue que sur la cour intérieure.Cette restauration radicale a néanmoins permis de retrouver les peintures originales du plafond.Les traditionnels guichets ont disparu, à l'exception d'un unique bureau au fond, près de la vitrine philatélique. A leur place, des bornes de vente et des écrans multimédia attendent les clients, de même qu'une vénérable estafette Citroën, transformée en mini-salle d'examen pour passer le code de la route."Des chargés de clientèle vont être au plus près des clients (...) en se déplaçant avec leur smartphone pour répondre à leurs besoins", explique la directrice du bureau Linda Prince.Le bureau ne sera plus ouvert 24 heures sur 24, mais de 08H00 à minuit du lundi au samedi, et de 10H00 à minuit le dimanche. La dernière levée est à 18H00, comme dans les autres postes parisiennes, mais il sera toujours possible de faire tamponner son courrier jusqu'à la fermeture avec le cachet du jour, précise La Poste.
Il y a 3 ans et 150 jours

Low-tech en rénovation énergétique : des ressources gratuites pour sensibiliser les maîtres d’ouvrage et les professionnels du bâtiment

Gratuites et pédagogiques, ces ressources s’adressent à la fois aux particuliers et aux professionnels du bâtiment. Elles donnent les principales clés d’une démarche ou de solutions low-tech en rénovation.De quoi parle-t-on ?En rénovation de bâtiment, le low-tech désigne un ensemble de techniques et de savoir-faire simples qui mobilisent des ressources locales, accessibles et renouvelables en matériaux et en énergie. Le low-tech fait appel à des savoir-faire locaux et transmissibles pour une mise en œuvre, un usage et une maintenance simples, peu coûteux, durables et accessibles à tous. Cette démarche permet de valoriser le patrimoine tout en s’affranchissant des questions d’approvisionnement et de renouvellement en matériel sophistiqué produit hors du territoire et rapidement obsolète.Une collection variée de ressources gratuitesPour sensibiliser les particuliers et les professionnels du bâtiment sur la valeur ajoutée et les bonnes pratiques associées à une démarche low-tech en rénovation, le programme PROFEEL, dédié à la rénovation énergétique des bâtiments, publie un ensemble de ressources gratuites dans différents formats, à retrouver surprogrammeprofeel.fr :8 podcasts1 bande dessinée8 fiches d’opérations exemplaires1 vidéo introductiveCes outils ont été élaborés de manière concertée avec l’Ordre des Architectes (CNOA), les organisations professionnelles du bâtiment (CAPEB et FFB), les pouvoirs publics (ADEME et DHUP), sous le pilotage de l’Agence Qualité Construction (AQC) accompagné de l’Institut pour la Conception Ecoresponsable du Bâti (ICEB).
Il y a 3 ans et 150 jours

Bureaux : les investissements ont chuté de 18% en Ile-de-France

TERTIAIRE. Le bilan annuel du conseil en immobilier tertiaire Knight Frank montre que la première région de France est confrontée à la fois à une suroffre et à l'obsolescence d'une large partie du parc de bureaux. Les centres commerciaux sont également en berne partout sur le territoire, tandis que la logistique explose.
Il y a 3 ans et 150 jours

Urbanisme et identité : pour une ville de tempérament

La notice de la territorialité a muté, se métamorphosant au rythme d’une symphonie politique dans laquelle la mondialisation occupe une place de premier violon. L’urbanisme moderne est diabétique ! Sa représentation est amoindrie par un excès de douceur hypocrite, dont la vocation est de cacher l’embarras, de loger la misère, de dissimuler les résultantes d’actions […] L’article Urbanisme et identité : pour une ville de tempérament est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 150 jours

Les lauréats du 4ème challenge Start-Ups Construction Tech de Batimat

Quatre lauréats (Buildrz, Traxxs, Bimeo et Stockpro) ainsi qu’un Grand Lauréat (Ioga) ont émergé des délibérations. Le jury a par ailleurs tenu à saluer d’une mention spéciale « Prix du Jury » la start-up Optimiz Construction.Le Grand Lauréat sera présent sur l’espace Construction Tech à BATIMAT.Les 50 start-ups inscrites au 4ème Challenge Construction Tech seront également intégrées à l’Annuaire digital des Start-Ups . Cet outil exclusif a été développé par BATIMAT pour faciliter la mise en relation entre les start-ups et les autres acteurs du Bâtiment et de l’Immobilier et compte à date près de 300 start-ups.Grand lauréatIOGA (Catégorie : Data)IOGA est une start-up qui révolutionne le « Knowledge Management » avec la smart vidéo. L’objectif de IOGA est de partager les meilleurs pratiques, les savoir-faire des entreprises pour répondre aux enjeux de la formation. Convaincu que la transmission des compétences et sa diffusion aux équipes est le seul moyen pour s’adapter à un environnement en pleine transformation, IOGA a déjà convaincu des majors (SPIE, VINCI, Eiffage, GCC) séduites par la possibilité de pouvoir partager l’expertise et le savoir-faire de leurs équipes terrain. Pour démultiplier la collecte des connaissances, IOGA a choisi le procédé de l’auto-interview. Un scénario de questions/réponses, adapté au projet vidéo, guide la captation. Le collaborateur, le sachant, joue à la fois le rôle de l'interviewer et de l'interviewé.LauréatsBIMEO (Catégorie : Réalité augmentée)BIMEO est la première application de scan 3D des bâtiments existants utilisant la réalité augmentée sur smartphone. Les différents acteurs du projet sont informés lors d'une modification et peuvent ajouter leur contribution technique. BIMEO développe des outils d'acquisition, de structuration et de partage de la donnée technique des bâtiments existants. Depuis plus de 5 ans BIMEO a structuré son offre produit autour de l’exploitation et la gestion de la donnée technique dans les bâtiments. Quels que soient les acteurs (architectes, maîtres d’œuvre, maîtres d’ouvrage, gestionnaires de parc immobilier, diagnostiqueurs, experts, entreprises ou tout autre professionnel ...) la donnée doit être unifiée, enrichie et partagée pour optimiser les process et améliorer la qualité. C’est sur ce principe de « LEAN » que BIMEO déploie ses outils pour faciliter le travail des professionnels.BUILDRZ (Catégorie : IA)Buildrz est la plateforme digitale qui permet aux maîtres d'ouvrage de simuler en 3D les opérations futures et leurs enjeux financiers, dans le but de construire une relation unique avec le propriétaire et la collectivité. Fort de plusieurs années de recherches fructueuses (maquette numérique 3D, simulation et optimisation de constructions, big data), Buildrz bouleverse les pratiques des grands acteurs du secteur :Pour les architectes et le BTP, la solution propose de développer sur du foncier des opérations exemplaires qui correspondent aux aspirations des jeunes, des familles, des actifs, etc... des grandes villes.Pour les opérateurs qui construisent (bailleurs, promoteurs...) elle permet de réorganiser, moderniser et donner de l’élan aux équipes de développement.Pour les collectivités, elle donne de la puissance à leurs politiques logement, foncier et urbanisme, aide à préparer les négociations avec les opérateurs et à se doter d’outils pour échanger avec élus, directeurs, partenaires, associations.STOCKPRO (Catégorie : Digitalisation des entreprises)La plateforme StockPro permet aux acteurs du BTP de digitaliser, enrichir, structurer l’ensemble des matériaux neufs non utilisés, puis d’activer et de piloter leur réemploi sur plusieurs canaux marchands.TRAXXS (Catégorie : IOT)TRAXxs conçoit et commercialise des solutions de protection active des travailleurs (type PTI/DATI) intégrées à des semelles connectées, qui s’insèrent directement dans des chaussures de sécurité, et fonctionnent sans smartphone ou autre accessoire. La mission de TRAXxs est de proposer une solution innovante, efficace, simple d’usage pour protéger les travailleurs ayant des activités dites « à risques ». Pour ce faire les semelles embarquent l’équivalent de la technologie d’un smartphone dans quelques millimètres d’épaisseur. Un choix audacieux au démarrage mais qui constitue aujourd’hui un vecteur de différenciation majeure pour assurer la sécurité des travailleurs.Mention spéciale : Prix du juryOPTIMIZ CONSTRUCTION (Catégorie : IA)Avec son logiciel inédit, Optimiz Construction aide les entreprises de gros-œuvre à gagner 20 % de performance sur leur poste de ferraillage en optimisant les matériaux et la mise en œuvre. Le logiciel simule, en quelques minutes, le plan de découpe et les coupes de panneaux standard. Un plan de calepinage est ensuite édité, accompagné d’étiquettes biodégradables de couleurs différentes selon les nappes. La traçabilité est ainsi totale. La solution garantit 3 performances :Environnementale : réduction des déchets, de l'empreinte carbone et des rotations de bennes,Économique : réduction des quantités de matériaux standards à commander et du temps de mise en œuvre sur le chantier,Applicative : simplification des plans de poses, réduction de la découpe chantier et des déplacements.
Il y a 3 ans et 150 jours

Carpentras : la Maison de la parentalité doit ouvrir en 2024

La ville de Carpentras disposera d’une Maison de la parentalité en 2024.
Il y a 3 ans et 151 jours

Ni ville ni campagne, gros lot pour les territoires bien lotis

Il y a des logis allotis, certains sont dé-lotis, mais nombreux sont ceux mal lotis d’avoir tiré le mauvais lot. Des produits fabriqués en lots et vendus par lot de deux, puis trois, puis quatre etc. De la chaussure à la chaussette en passant par notre logis, notre quotidien s’inscrit indubitablement dans le système d’allotement de […] L’article Ni ville ni campagne, gros lot pour les territoires bien lotis est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 151 jours

Saint-Raphaël : réaménagement en vue pour l’avenue du Général-Leclerc

Dans le cadre de son grand plan de réaménagement urbain, la Ville de Saint-Raphaël va procéder à une requalification de l’avenue du Général-Leclerc.
Il y a 3 ans et 151 jours

Le Groupe Panhard et Bricqueville développent en copromotion une opération mixte dans le nouveau quartier des Groues à Nanterre

Pour ce vaste territoire de la ville de Nanterre aménagé par Paris La Défense, et situé face au Conseil départemental des Hauts-de-Seine et de Paris La Défense Arena, le programme imaginé par le tandem Panhard-Bricqueville reflète l’évolution des paysages urbains.Il confirme la fin de l’ère de la mono-fonctionnalité et réunit, au sein d’un seul ensemble, près de 140 logements, une école d’enseignement supérieur, des bureaux, des locaux de stockage et commerciaux ainsi que des espaces verts.À l’Ouest du pôle tertiaire historique, au-delà de la Grande Arche, les Groues, 11e quartier de Nanterre, ambitionnent de devenir un pôle urbain d’excellence développé selon les valeurs du Développement Durable. Sur 65 hectares desservis dès 2023 par le RER E, cette vaste opération de désenclavement et de reconquête urbaine entend créer, en concertation avec les populations concernées, un pôle d’attractivité aux atouts complémentaires de ceux affichés par le premier quartier d’affaires européen.Le Groupe Panhard et Bricqueville ont travaillé avec la ville, l’aménageur et l’urbaniste de la ZAC pour proposer un concept inédit, développé notamment à partir de matériaux bio-sourcés. Face à la nouvelle gare Nanterre-La Folie (RER E et ligne GPE 15 en 2030), sur environ 2.400 m2 d’espaces végétalisés, le projet cristallise toutes les ambitions actuelles de mixité des fonctions citadines. Sur le plan environnemental, il répondra à l’indicateur Bbio -30 % et vise les certifications RT2012 -20% et NF Habitat HQE pour le volet résidentiel et le BREEAM en niveau Very Good pour les bureaux.D’une superficie globale de 29.117 m2 répartis entre trois bâtiments s’articulant autour d’un grand cœur d’îlot végétalisé et paysagé, irrigué de voies douces, le programme repose sur :un bâtiment résidentiel de 16 étages, Hélios, signé du cabinet Nicolas Laisné Architectes qui comprendra 94 appartements, du studio au cinq-pièces ; dont la plupart sont dotés de balcons ou de terrasses,un immeuble de huit étages, imaginé par l’agence d’architecture et d’urbanisme AQMA qui alliera 2.700 m2 de bureaux lancés en blanc ainsi que 43 logements sociaux et intermédiaires dans les étages supérieurs,une école d’enseignement supérieur conçue par les agences d’architecture A26 et MBE Atelier qui accueillera, sur environ 10.500 m2 répartis sur huit étages, le Campus Groupe IGS, un groupe d’écoles de management. Agrémenté de terrasses et jardins suspendus, ce bâtiment abritera également une cafétéria en rez-de-chaussée.Le site disposera, en infrastructure, d’emplacements de parking et d’environ 6.000 m² de locaux de self-stockage qui seront exploités par Une pièce en plus.Pour Pierre-Emmanuel Arnal, Directeur du pôle résidentiel du Groupe Panhard : « Cette opération offre au Groupe Panhard l’opportunité, au sein d’un même programme, de développer différentes classes d’actifs dans une logique de synergies et d’équilibre, en lien avec les aspirations des Franciliens. Être parmi les premiers opérateurs à intervenir dans le quartier des Groues constitue également une fierté, les challenges urbains de cette ampleur étant rares, même à l’échelle du Grand Paris. »Pour Gérault de Sèze, Président de Bricqueville : « Nanterre est une ville modèle en matière de développement urbain et nous sommes conscients de notre responsabilité et fiers d’y prendre une part active. En travaillant la programmation avec la collectivité et l’aménageur à l’échelle de notre îlot et du quartier, nous avons pu proposer une grande mixité d’usage. C’est elle qui fera la richesse et le charme de la ville de demain. » Pour Pierre-Yves Guice, Directeur général de Paris La Défense : « La mixité de ce programme fait parfaitement écho aux aspirations que nous portons pour la ZAC des Groues. Un quartier complémentaire à La Défense sur le plan des usages, faisant la part belle au végétal, mais également exigeant en matière d'environnement et de qualité de vie. » La livraison du Campus Groupe IGS est prévue à la rentrée 2024. La livraison de l’exploitant Une Pièce En Plus est prévue à l’été 2025.La livraison des logements et des bureaux est prévue quant à elle entre fin 2024 et le 1er semestre 2025.
Il y a 3 ans et 151 jours

Du nouveau dans la mesure de la surchauffe urbaine

A la fois outil de sensibilisation et aide à la décision pour l’aménagement du territoire, une solution de modélisation des îlots de chaleur joue la carte de la simplicité pour convaincre les maîtres d’ouvrage.
Il y a 3 ans et 151 jours

Montataire : point sur les dernières interventions sur l’espace public avant le début des opérations du projet de renouvellement urbain

À Montataire, les différents chantiers, réalisés récemment, en cours ou à venir, s’inscrivent dans le cadre du projet de renouvellement urbain.
Il y a 3 ans et 151 jours

Nouveaux tutos vidéos de l'Agence Qualité Construction sur le dispositif REX Bâtiments performants

Ils s'appellent "Les Tutos du Dispositif REX Bâtiments performants" et ont pour but de faire découvrir les mauvaises et bonnes pratiques repérées sur le terrain par les enquêteurs du dispositif.
Il y a 3 ans et 151 jours

Des aménagements dans les quartiers du cœur d’Antibes

La commune d’Antibes poursuit sa transformation. Divers aménagements sont programmés en centre-ville.
Il y a 3 ans et 151 jours

Aux Etats-Unis, les locataires défavorisés cibles des incendies mortels

Dans le quartier populaire du Bronx à New York, dimanche 9 janvier, un feu provoqué par un radiateur électrique a tué 17 personnes, dont huit enfants, dans un immeuble en brique de type HLM.Mercredi dernier, un terrible incendie dans une habitation à Philadelphie avait fait 12 morts, dont huit enfants.Ces deux tragédies constituent les pires catastrophes à cause d'un feu que ces deux villes aient connues depuis des années. Leur emplacement - dans des appartements construits pour les ménages défavorisés - n'est pas une coïncidence, selon des défenseurs du droit au logement."Quand j'ai lu les infos, je me suis dit, vu le quartier et le type de bâtiment, ce sont des logements sociaux", remarque Jenna Collins, une avocate des services sociaux de Philadelphie, à propos de l'incendie de New York."J'étais encore moins surprise quand j'ai entendu qu'un chauffage d'appoint électrique était en cause", a-t-elle ajouté, expliquant que les appartements financés par l'Etat ne sont souvent pas suffisamment chauffés en hiver.Pendant la pandémie, les prix de l'immobilier ont atteint des niveaux record. Cette hausse a éloigné encore un peu plus la perspective de s'acheter un logement pour de nombreux Américains.Dans le même temps, la réserve de logements subventionnés pâtit, dans de nombreuses villes, des retards dans les travaux et entretiens, qui créent les conditions pour de tels désastres."Ce type d'habitation a été plus négligé que tout autre", souligne Lena Afridi,directrice par intérim du Pratt Center for Community Development à New York. "Les gens vivent où ils peuvent, et dans les deux cas, ils se sont installés dans des lieux qui n'étaient pas sûrs parce que cela semblait préférable à dormir dans la rue. Mais cela ne devrait pas être la seule alternative."Des années d'attenteAucun Etat ni ville américaine majeure ne disposait l'année dernière de suffisamment de logements disponibles pour les ménages ayant des moyens très réduits, d'après la National Low Income Housing Coalition, une ONG.En centre-ville à New York et Philadelphie, il y avait moins d'habitations abordables que la moyenne nationale de 37 de ces logements pour 100 locataires défavorisés.Cette pénurie conduit à des situations comme celle de Philadelphie, où l'habitation qui a brûlé abritait environ 26 personnes, 8 au rez-de-chaussée et 18 aux premier et deuxième étages, selon un pompier.La ville a assuré dans un communiqué que les détecteurs de fumée fonctionnaient lors de l'inspection au printemps l'année dernière. Mais ils n'ont pas marché au moment du feu."C'est parce que ce bâtiment était surpeuplé qu'autant de vies ont été perdues", insiste Jenna Collins.A Philadelphie, la liste d'attente pour des logements sociaux est fermée depuis des années aux nouveaux candidats. Et certains qui ont réussi à s'inscrire attendent depuis des décennies.Construire, mais aussi réparerA New York, l'immeuble de 19 étages qui a pris feu hébergeait de nombreux habitants qui dépendent des aides du gouvernement, selon les médias américains.Lena Afridi pense que le manque de travaux de maintenance a contribué à la catastrophe, évoquant des témoignages de locataires qui utilisaient des radiateurs électriques mobiles et avaient pris l'habitude d'ignorer les alarmes à incendie à cause des nombreuses fausses alertes.Le président des Etats-Unis Joe Biden entend investir des milliards de dollars dans les logements sociaux, via un vaste plan social et environnemental de 1.800 milliards de dollars. Mais le texte, baptisé "Build Back Better" (Reconstruire en mieux), est dans l'impasse au Congrès.Ce n'est de toute façon qu'une partie de la solution, note Lena Afridi. "Il s'agit moins de construire que de nous assurer que les bâtiments existants soient sûrs", affirme-t-elle.
Il y a 3 ans et 151 jours

En Belgique, une "ville fantôme" bien décidée à renaître

Il s'agirait d'un spectaculaire revirement pour un lieu qui se vide régulièrement depuis la fin des années 1970, époque où sa population était 60 fois plus importante.Surtout connue pour héberger une centrale nucléaire, isolée au milieu des polders en bordure de l'Escaut, la petite cité flamande a été victime d'un projet d'extension du gigantesque port d'Anvers qui a poussé les habitants à fuir... mais n'a finalement jamais vu le jour.Conséquence : elle est devenue un terrain de jeu pour les graffeurs, ainsi qu'une sorte d'attraction morbide pour les touristes curieux et les "explorateurs urbains" venant se filmer dans des bâtiments en ruine.La police patrouille régulièrement pour prévenir le vandalisme et empêcher l'installation de squatteurs.Seuls une église et deux cafés -- dont un adossé à un moulin du XVIIe siècle -- rappellent aux visiteurs que le village n'est pas complètement déserté."Ce n'est pas une ville fantôme... Bien sûr si vous venez ici le dimanche, ou surtout le soir, vous voyez les maisons vides et c'est ça qui suscite ce type de commentaires", explique à l'AFP une habitante, Liese Stuer."Il est très important que les gens sachent qu'on peut encore vivre ici et venir s'installer", ajoute-t-elle.Cette femme de 37 ans, professeure de néerlandais pour les étrangers et graphiste indépendante, s'est installée il y a cinq ans à Doel où résidait déjà son conjoint.Enfant, elle s'y rendait avec ses grands-parents, qui vivaient à proximité, et elle se souvient du lieu comme d'une destination courue pour s'aérer dans la verdure.Mais le destin de Doel a dérapé à la fin des années 1990, lorsque les autorités belges ont décidé d'exproprier et de raser plusieurs zones urbanisées autour du port d'Anvers --le deuxième d'Europe-- pour construire un nouveau quai à conteneurs.Si la plupart des habitants sont partis, une poignée d'irréductibles est restée et a décidé de contester ce projet devant les tribunaux, tout en promouvant le street-art pour égayer les maisons vides."Cicatrices du passé"Après une série de rebondissements en justice, la victoire est acquise en 2019 quand le gouvernement régional flamand confirme que le village pourra être conservé.Trois ans plus tôt, en 2016, le Conseil d'État belge avait invalidé le projet d'extension du port, en s'appuyant sur une décision de la Cour de justice de l'UE qui insistait sur la nécessaire préservation des marécages au bord de l'Escaut.Liese Stuer explique être restée à Doel pour la nature, et pour la solidarité et les liens qui se sont créés entre résidents."Le vert que l'on voit ici l'été, c'est vraiment agréable (...) c'est l'endroit où je veux que mon enfant grandisse", poursuit la graphiste. "Et puis je n'ai pas l'impression d'être isolée, pas du tout, l'ambiance est très chaleureuse ici".Sur la forme que prendra la résurrection du lieu, les discussions se poursuivent entre autorités et habitants.En décembre, la commune a présenté un plan visant à accueillir progressivement de nouveaux habitants et à rénover un vieux bateau échoué, tout en construisant un nouveau quai pour les besoins du trafic portuaire."Nous savons que le village ne disparaîtra pas... Il a effectivement l'image d'une ville fantôme, mais il ne doit pas l'être", assure à l'AFP Matthias Diependaele, ministre flamand chargé des Finances et du Patrimoine immobilier. Le gouvernement flamand est aujourd'hui propriétaire de toutes les maisons sauf une."La chose la plus difficile est que nous savons pertinemment que juste à côté, il y aura une activité portuaire 24 heures sur 24 et sept jours sur sept", ajoute-t-il.À ce stade, aucun calendrier n'a été arrêté, il est seulement question de préciser dans les semaines ou mois à venir les projets pour faire revivre Doel."J'espère vraiment qu'ils évolueront dans le sens du retour à un village normal, avec ses cicatrices, bien sûr... Elles seront toujours visibles, les cicatrices de ce passé récent", lâche Liese Stuer.
Il y a 3 ans et 151 jours

Nantes : changement de tête à la Samoa

CARNET-NOMINATION. Virginie Vial prendra, ce printemps, la tête de l'aménageur de l'Ile de Nantes, projet urbain au long cours. Elle remplacera Jean-Luc Charles, qui a dirigé la société d'aménagement pendant 11 ans.
Il y a 3 ans et 151 jours

Face à la hausse des prix de l'énergie, le gouvernement engage des mesures exceptionnelles

En complément des mesures déjà engagées, le Gouvernement a décidé d’augmenter à titre exceptionnel de 20 TWh le volume d’ARENH qui sera livré en 2022, afin que l’ensemble des consommateurs bénéficie de la compétitivité du parc électronucléaire français. Ces volumes seront accessibles à tous les consommateurs, particuliers, collectivités comme professionnels, via leur fournisseur selon des modalités qui seront précisées très prochainement. Les fournisseurs répercuteront intégralement l’avantage retiré au bénéfice des consommateurs. Ce point fera l’objet d’une surveillance étroite, en lien avec la Commission de régulation de l’énergie.La révision des volumes additionnels d'ARENH Dans le même temps, afin d’assurer une juste rémunération de l’outil de production qui contribue à la protection de l’ensemble des consommateurs français face à cette hausse de prix, le prix de ces volumes additionnels d’ARENH sera révisé à 46,2€/MWh. Les autorités européennes ont été informées de cette décision qui s’inscrit dans le cadre des mesures exceptionnelles d’adaptation à la situation de crise des prix de l’énergie qui touche l’ensemble des pays européens. Ce relèvement du plafond de l’ARENH s’ajoute à la baisse pour un an de la taxe portant sur l’électricité (TICFE) à son niveau minimum prévu par le droit européen à compter du 1er février prochain. Cette baisse représente un coût budgétaire pour l’Etat de 8 milliards d’euros. Combinée au relèvement du plafond de l’ARENH, elle apportera un soutien massif au pouvoir d’achat de tous les consommateurs. Ces mesures permettront de sécuriser la mise en œuvre du bouclier tarifaire pour l’électricité annoncé par le Premier ministre et inscrite dans la loi de finances pour 2022. En effet, comme il s’y était engagé, le Gouvernement bloquera la hausse des tarifs réglementés de vente de l’électricité à 4% TTC au 1er février pour les consommateurs résidentiels alors que, sans intervention de sa part, la hausse aurait atteint 35%.Le gouvernement étend le bouclier tarifaire Compte tenu de la situation exceptionnelle, le Gouvernement a également décidé d’étendre le bouclier tarifaire en limitant la hausse des tarifs réglementés de vente d’électricité à 4% pour les petits consommateurs professionnels qui en bénéficient en métropole, ainsi que pour l’ensemble des consommateurs professionnels des territoires ultramarins et de la Corse (zones non interconnectées) qui bénéficient de ces tarifs. Ces mesures viennent en complément de l’action résolue du Gouvernement depuis plusieurs mois pour atténuer les conséquences de la hausse des prix des énergies pour l’ensemble des consommateurs, et notamment les plus modestes, qui s’est traduite par des mesures d’accompagnement fortes :Un chèque énergie exceptionnel de 100 € a été distribué au cours du mois de décembre 2021. Ce nouveau chèque aide les 5,8 millions de ménages qui avaient déjà reçu un chèque énergie d’un montant moyen de 150€ en avril 2021 à régler leurs factures d’énergie. Ce soutien ciblé sur les ménages les plus en modestes représente une aide de près de 600 M€.Un bouclier tarifaire a été mis en place pour les prix du gaz, pour lequel les tarifs réglementés ont été gelés à leur niveau du mois d’octobre 2021 durant toute la durée de l’hiver et au besoin jusqu’à la fin de l’année 2022. L’État prendra en charge le surcoût induit par ce gel pour les fournisseurs, conformément aux dispositions prévues dans la loi de finances pour 2022.Enfin, une indemnité inflation, d’un montant de 100 €, est attribuée aux 38 millions de personnes résidant en France dont le revenu net mensuel est inférieur à 2 000 €, entre décembre 2021 et février 2022, soit un soutien additionnel de l’État de 3,8 Md€. L’aide est versée en une fois par les employeurs aux salariés, ceux-ci étant intégralement compensés par l’État de ces versements via une aide au paiement de leurs charges sociales. Le Gouvernement continuera à suivre avec la plus grande attention l’évolution de la situation des marchés de l’énergie au cours des prochaines semaines et veillera à ce que les mesures prises aujourd’hui soient pleinement répercutées par les fournisseurs à leurs clients.Pour Barbara Pompili, ministre de la Transition Écologique : « Nous restons mobilisés, comme nous le sommes depuis le début de la crise, pour protéger tous les consommateurs face à la hausse exceptionnelle des prix de l’énergie et sécuriser notre tissu économique et industriel. Cette situation nous rappelle l’importance d’investir dans les économies d’énergie, comme nous le faisons notamment grâce 2 milliards d’euros prévus en 2022 pour les aides à la rénovation énergétique des logements. Dans le même temps, nous préparons l’avenir et sommes engagés pour faire évoluer au niveau européen les marchés de l’énergie vers un fonctionnement qui soutienne une transition énergétique juste. » Pour Bruno Le Maire, ministre de l’Économie, des Finances et de la Relance : « Ces mesures complémentaires et massives traduisent l’engagement total de ce Gouvernement en faveur du pouvoir d’achat des ménages et de la compétitivité des entreprises. Elles sont rendues possibles par la compétitivité du parc nucléaire français, qui permet de bénéficier d’une énergie peu chère et totalement décarbonée. »