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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Urbanisme - Aménagement

(35881 résultats)
Il y a 3 ans et 141 jours

Sélestat : rénovation de la Commanderie Saint-Jean

La ville de Sélestat procède à des travaux de réhabilitation dans le bâtiment de la Commanderie Saint-Jean.
Il y a 3 ans et 141 jours

Plus de 750.000 logements rénovés en 2021 grâce aux financements de l'Anah

En 2022, l’Anah franchit une étape supplémentaire avec France Rénov’, et sera désormais en capacité de guider tous les Français qui souhaitent s’engager dans la rénovation de leur logement en leur apportant un conseil neutre et indépendant.Plus de 750.000 logements rénovés en 2021L’Anah a financé la rénovation de 751.646 logements en 2021 grâce aux 3,11 milliards d’aides distribuées. L’amélioration de l’habitat privé a atteint des niveaux exceptionnels, grâce à une forte dynamique sur l’ensemble des programmes d’intervention de l’Agence. Cette activité a permis de générer plus de 8 milliards d’euros de travaux et de créer ou préserver près de 90.000 emplois.Grâce à France Relance, MaPrimeRénov’ est devenue une aide universelle, qui rencontre un succès indéniable auprès des Français. En 2021, 764.732 dossiers ont été déposés, 644.073 primes ont été accordées, soit 2,06 milliards d’aides distribuées et 372.828 primes ont été payées à l’issue du chantier. C’est 4,5 fois plus de primes accordées en 2021 qu’en 2020. MaPrimeRénov’ a bénéficié pour 63% à des ménages aux revenus modestes et très modestes. Les aides ont été majoritairement mobilisées pour changer le système de chauffage (68%), suivi de l’isolation (26%) et de la ventilation (3%).Par ailleurs, l’Anah poursuit sa dynamique sur les autres programmes :57.117 logements ont bénéficié d’une rénovation énergétique globale, que ce soit grâce à Habiter Mieux ou MaPrimeRénov’ Copropriété ;21.836 logements ont été rénovés dans le cadre du Plan Initiative Copropriétés, soit 71.495 depuis son lancement. Le programme a connu une phase d’accélération avec des moyens doublés grâce aux crédits France Relance ;52.504 et 15.780 logements ont été subventionnés dans le cadre des programmes Action Cœur de Ville et Petites Villes de demain ;15.272 logements rénovés dans le traitement de l’habitat indigne et très dégradé, et 14,9 millions d’euros ont été consacrés au financement de 36 opérations de résorption de l’habitat insalubre (RHI) ;Depuis 2017, près de 48.000 logements ont été conventionnés afin de mobiliser utilement le parc privé à des fins sociales dans la cadre du programme Logement d’abord, dont 8.371 en 2021.Avec France Rénov’, les missions de l’Anah s’amplifient en 2022France Rénov’, le nouveau service public de la rénovation de l’habitat, piloté par l’Anah, devient le point d’entrée unique de tous les parcours de travaux, des plus simples aux plus complexes pour informer et conseiller tous les Français. Pensé pour les ménages et déployé grâce aux collectivités territoriales, France Rénov’ permet ainsi de répondre au besoin de clarification et d’harmonisation du parcours usager, dans le cadre d’un service de proximité. Depuis janvier, les ménages ont à leur disposition une plateforme web (France-renov.gouv.fr), un numéro de téléphone national unique (0 808 800 700) et plus de 450 Espaces conseils France Rénov’ présents sur l’ensemble du territoire. « Mon Accompagnateurs Rénov’ » sera chargé d’accompagner les ménages qui en ont le plus besoin à toutes les étapes de leur projet de travaux. L’accompagnement professionnalisé comporte quatre volets :Technique : identification des travaux à réaliser, des artisans RGE, conseils pour la phase travaux et l’utilisation du logement ;Financier : identification des aides mobilisables ;Administratif : montage du dossier de financement, aide avec les plateformes et outils numériques ;Social : modalités de financement du reste à charge, identification de besoins spécifiques. Enfin, afin de mieux cibler les passoires thermiques et renforcer l’accompagnement des ménages les plus fragiles, MaPrimeRénov’ Sérénité remplace le programme Habiter Mieux de l’Anah. En 10 ans, ce programme aura permis la rénovation globale de plus de 550 000 logements. MaPrimeRénov’ Sérénité, avec des financements plus avantageux et, un accompagnement personnalisé pour permettre aux ménages d’engager les travaux les plus efficaces et de bénéficier de l’ensemble des financements publics disponibles, permettra d’amplifier la dynamique en faveur de la rénovation globale.Un budget de 3,2 milliards d’euros pour rénover 800.000 logementsLe budget 2022 de l’Anah atteint 3,2 milliards d’euros pour la rénovation des logements privés. Il accompagne ainsi le succès de MaPrimeRénov’, avec un objectif de 685.000 logements rénovés, la réussite du Plan Initiative Copropriétés, avec un objectif de 60.000 logements rénovés en copropriété, l’adaptation des logements à la perte d’autonomie, avec un objectif de 24.000 logements adaptés et le déploiement des programmes Action Cœur de Ville et Petites Villes de Demain grâce au financement d’ingénierie pour les collectivités.Au total, ce sont près de 800.000 logements dont la rénovation devrait être financée par l’Agence en 2022.Pour Emmanuelle Wargon, Ministre déléguée en charge du Logement : « L’Anah a su montrer qu’elle était au rendez-vous des enjeux de la rénovation de l’habitat privé dans toutes ses composantes et des défis du 21ème siècle. Les chiffres 2021 témoignent de cette capacité à mettre en œuvre les politiques ambitieuses portées par le gouvernement. La politique de rénovation énergétique va continuer à se structurer en 2022 autour de France Rénov’ pour simplifier le parcours des ménages et massifier les rénovations les plus ambitieuses en lien avec les collectivités territoriales. C’est ainsi que nous pourrons diminuer les factures énergétiques des Français, augmenter leur confort et limiter nos émissions de gaz à effet de serre. »Pour Thierry Repentin, Président du Conseil d’administration de l’Anah : « Les résultats de l’Anah en 2021 démontrent la très forte dynamique de rénovation dans l’habitat privé, qui année après année traduit les attentes fortes de nos concitoyens. Pour continuer sur cette lancée et réussir la transition écologique des logements, il faut faciliter l’accès des ménages qui ont un projet de rénovation à un conseil neutre et indépendant, ainsi qu’un accompagnement personnalisé. C’est l’objectif de France Rénov’ qui, grâce à un parcours harmonisé et simplifié, pourra mieux conseiller, mieux accompagner et mieux financer leurs projets afin de retrouver du confort chez eux et de réduire leur facture énergétique. L’Anah sera au rendez-vous. »
Il y a 3 ans et 141 jours

Collections d’extérieurs Fabemi 2022

La mise en situation des gammes de matériaux aux textures, formes et coloris variés, sont autant de sources d’inspiration pour mettre en œuvre des projets personnalisés, dans un esprit moderne. La maquette, illustrée de scènes ouvertes sur le ciel et la nature, valorise les aspects techniques et pratiques de chaque produit - pose, joint, calepinage, échantillons, protection et nettoyage. Ces mentions introduites par des pictos servent de points de repère pour la mise en œuvre. À signaler également, le renvoi au site internet www.fabemi.fr, où il est désormais possible de commander et recevoir un échantillon gratuit du produit de son choix, pour être certain de choisir la bonne couleur, la bonne matière... (explications en dernière page). Cette année, la ligne Béton des marques BRADSTONE et CARRÉ D’ARC domine le sommaire du catalogue. Intercalées entre les chapitres consacrés aux dallages et aux pavés Béton, les deux autres lignes, Pierre naturelle et Céramique CARRÉ D’ARC, sont superbement déclinées dans leurs styles spécifiques produit fait l’objet d’un bref résumé, suivi d’une liste de pictos informatifs. Plusieurs photos d’aménagements extérieurs donnent une idée sur les possibilités de décors offertes par le modèle. Les coloris des matériaux sont représentés par des pastilles (tous réunis dans le Nuancier en fin de catalogue). Dans la ligne Béton, les pavés CARRÉ D’ARC ont toujours la cote, avec leurs infinies possibilités de décorateurs pour chemins carrossables, terrasses, patios, plages de piscine... Quant aux lignes Pierre naturelle et Céramique CARRÉ D’ARC, elles déclinent des collections qui rivalisent de beauté, avec leur texture fine et leur style authentique, en parfaite harmonie avec l’habitat et le jardin. Après l’intermède des pastilles de couleur au chapitre Nuancier, une double page ouvre sur les Produits complémentaires qui participent à l’entretien et au traitement des surfaces, ou interviennent dans la mise en œuvre (mortiers divers). Enfin, de nombreux conseils de pose sont détaillés en fin de catalogue. Il est également possible de se reporter aux vidéos mises en lignes sur le site de Fabemi.
Il y a 3 ans et 141 jours

Investissements : Montpellier Méditerranée Métropole tente la planification pluriannuelle

« Historique » : la première programmation pluriannuelle d’investissements (PPI) de Montpellier méditerranée métropole mérite ce qualificatif selon Renaud Calvat, premier vice-président délégué aux finances, politiques contractuelles et coopération avec les communes. En novembre 2021, la collectivité de 31 membres pour 481 276 habitants a engagé 2,5 milliards d’euros pour la durée du mandat.
Il y a 3 ans et 142 jours

Europan 16 : Magnétisme salin, projet lauréat à Pont-Aven

Chaque année, la Fondation Palladio donne aux étudiants, doctorants et post-doctorants de la fabrique de la ville, les moyens de mener à bien leur projet de formation ou de recherche, et de faire connaître leurs travaux. À l’occasion du lancement de leur 13ème campagne, les Bourses Palladio se dotent d’un nouveau comité de […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 142 jours

Plus verte et inclusive : la tour des Poissonniers, à Paris, veut se renouveler

RÉHABILITATION. La tour des Poissonniers, qui surplombe le périphérique, va devenir une résidence pour étudiants. Le projet urbain du XVIIIème arrondissement de Paris, en pleine mutation, devrait être inauguré en 2025.
Il y a 3 ans et 142 jours

Sobriété foncière : front uni des urbanistes et aménageurs

La lutte contre l’étalement urbain fédère trois réseaux nationaux dans une « déclaration commune » : la fédération nationale des agences d’urbanisme, l’association des établissements publics fonciers locaux et le réseau national des établissements publics fonciers de l’Etat profiteront de toutes les occasions, en 2022, pour faire connaître et partager leurs pratiques de sobriété foncière.
Il y a 3 ans et 142 jours

L’ADEME et le CSTB présentent 4 scénarios prospectifs inédits permettant d’anticiper les avenirs possibles pour le bâtiment et l’immobilier, à l’horizon 2050

Pour permettre à chacun de se préparer, l’ADEME et le CSTB ont conduit depuis deux ans des travaux de prospective qui dessinent pour les bâtiments, d’ici à 2050, des avenirs plus ou moins cléments, mais probables.Ils ont permis, dans le cadre d’une concertation avec les acteurs, d’élaborer une boite à outils, partant de 22 facteurs-clés et aboutissant à 4 scénarios présentés ce 25 janvier, à l’occasion d’un colloque dédié. Dans le cadre de la démarche prospective « Imaginons ensemble les bâtiments de demain », menée par l’ADEME et le CSTB, les acteurs de la construction et de l’immobilier ont été invités à partager leurs points de vue sur ce que pourraient être les bâtiments en France, à l’horizon 2050. A quoi ressembleront-ils ? Dans quelle mesure seront-ils en capacité d’abriter les activités humaines ? Les filières se seront-elles adaptées aux nouveaux défis ? Etc.4 scénarios ont ainsi été élaborés, tenant compte de 22 facteurs-clés dans leur évolution, dessinant des avenirs plus ou moins cléments, sources de rééquilibrages ou au contraire, de disparités :Difficile de tout faire, ou la difficulté pour les acteurs de tout faire simultanément, face aux grandes transitions. Le parc évolue alors de manière contrastée, avec des bâtiments performants, mais aussi un nombre encore important d’ouvrages mal adaptés. Le bâtiment comme service, les acteurs s’adapteraient rapidement aux défis des transitions écologique et démographique. Une mutation profonde du bâtiment s’opère, avec, en ville des ouvrages, pensés comme des « services » mis à disposition des occupants. Rééquilibrage(s), au profit des territoires périurbains, des villes moyennes ou des territoires ruraux. La préservation de l’environnement et l’anticipation des crises systémiques deviennent des priorités. Pénuries, ou l’impact des crises systémiques (climatique, économique, sanitaires) sur les capacités de fonctionnement des parties prenantes (ménages, entreprises, pouvoirs publics…).Une démarche prospective qui se poursuitCes 4 scénarios livrent un premier éclairage précieux aux acteurs de la construction et de l’immobilier. Pour leur permettre d’aller plus loin, l’action prospective « Imaginons ensemble les bâtiments de demain », forte de l’accueil très positif rencontré et de l’implication de la filière dans la démarche, s’enrichit. L’enjeu est désormais de capitaliser sur les travaux déjà menés, à travers 3 axes : L’accompagnement des acteurs souhaitant utiliser les outils créés dans le cadre de la démarche, afin d’alimenter la réflexion stratégique au sein de leur organisationL’enrichissement et le croisement des données, pour des scénarios encore plus robustes et facilement déclinables, selon les activitésLe lancement d’une démarche collective complémentaire, intitulée « Imaginons le bâtiment et l’immobilier au temps de l’économie circulaire ».Pour Arnaud Leroy, Président de l’ADEME : « Avec les scénarios Transition(s) 2050 et la Boite à Outils « Imaginons ensemble les bâtiments de demain », nous avons voulu donner à chaque acteur du bâtiment et de l’immobilier toutes les clés pour les aider à mieux se projeter dans les grandes mutations à venir. Ces travaux permettent de comprendre les ordres de grandeur de la transition écologique, mais également les implications concrètes en termes d’évolution des filières bâtiment et immobilier. N’hésitez pas à vous en saisir ! »Pour Etienne Crépon, Président du CSTB : « Le secteur de l’immobilier est au cœur de toutes les transitions et transformations que connaît et va connaître notre société. La démarche collective « Imaginons ensemble les bâtiments de demain », permet d’esquisser des avenirs possibles. A nous de nous en saisir pour anticiper et mieux préparer le futur. C’est dans cette optique que cette démarche va se poursuivre : forts de ces premiers travaux et des recherches que nous avons menées en parallèle, nous sommes à même de les enrichir par une analyse quantitative et les approfondir sur la question des ressources et de l’économie circulaire. »
Il y a 3 ans et 142 jours

L’économie de l’hydrogène laisse entrevoir une nouvelle dynamique énergétique mondiale

La croissance rapide de l’économie mondiale de l’hydrogène pourrait apporter des changements géoéconomiques et géopolitiques importants en générant une vague d’interdépendances inédites, selon une nouvelle analyse de l’Agence internationale pour les énergies renouvelables (IRENA). D’après le rapport intitulé « Geopolitics of the Energy Transformation: The Hydrogen Factor », l’hydrogène serait en train de modifier la géographie du commerce de l’énergie et de régionaliser les relations énergétiques, comme en témoigne l’émergence de nouveaux centres d’influence géopolitique construits autour de la production et de l’utilisation de l’hydrogène, alors que le commerce traditionnel du pétrole et du gaz est en déclin.Sous l’effet de l’urgence climatique et des engagements des pays à réduire leurs émissions nettes à zéro, l’IRENA estime que l’hydrogène couvrira jusqu’à 12 % de la consommation mondiale d’énergie d’ici 2050. La croissance du commerce et des investissements ciblés sur un marché dominé par les combustibles fossiles et actuellement évalué à 174 milliards d’USD va probablement stimuler la compétitivité économique et modifier le panorama de la politique étrangère avec la conclusion d’accords bilatéraux très éloignés du type de relations qui caractérisaient le marché des hydrocarbures au XXe siècle.« L’hydrogène pourrait s’avérer être le chaînon manquant vers un avenir énergétique sans danger pour le climat », signale Francesco La Camera, directeur général de l’IRENA. « L’hydrogène profite clairement de la révolution des énergies renouvelables, l’hydrogène vert s’imposant comme le joker qui permettra d’atteindre la neutralité climatique sans compromettre la croissance industrielle et le développement social. Mais l’hydrogène n’est pas le nouveau pétrole. Et la transition ne consiste pas à changer de carburant mais à changer de système, d’où des perturbations politiques, techniques, environnementales et économiques. »« C’est l’hydrogène vert qui amènera toutes sortes de nouveaux participants sur le marché, diversifiera les itinéraires et les sources d’approvisionnements et entraînera une déconcentration du pouvoir vers une multitude d’acteurs. Avec la coopération internationale, le marché de l’hydrogène pourrait être plus démocratique et plus inclusif, et offrir de nouvelles perspectives aussi bien aux pays développés qu’aux pays en développement. »L’IRENA estime que plus de 30 % de l’hydrogène pourrait être dédié au commerce transfrontalier d’ici 2050, un pourcentage plus élevé que pour le gaz naturel aujourd’hui. Des pays qui ne sont pas des acteurs traditionnels du négoce d’énergie établissent des relations bilatérales autour de l’hydrogène. Alors que de plus en plus d’intervenants et de nouvelles classes d’importateurs et d’exportateurs nets émergent sur la scène mondiale, il est peu probable qu’on assiste à une militarisation et à une cartellisation du commerce de l’hydrogène, contrairement à ce qu’on observe avec l’influence géopolitique du pétrole et du gaz.Le commerce transfrontalier d’hydrogène est appelé à se développer considérablement. En effet, plus de 30 pays et régions prévoient déjà aujourd’hui une forte activité commerciale. Certains pays qui se projettent en tant que futurs importateurs, comme le Japon et l’Allemagne, misent déjà sur la diplomatie dans le domaine de l’hydrogène. Les exportateurs de combustibles fossiles considèrent de plus en plus l’hydrogène propre comme un moyen intéressant de diversifier leur économie. C’est le cas, par exemple, de l’Australie, d’Oman, de l’Arabie saoudite ou des Émirats arabes unis. Néanmoins, des stratégies de transition économique plus larges s’imposent car l’hydrogène ne compensera pas les pertes de revenus du pétrole et du gaz.Le potentiel technique de production d’hydrogène dépasse largement la demande mondiale estimée. Les pays les plus capables de produire de l’électricité renouvelable bon marché seront les mieux placés pour produire de l’hydrogène vert compétitif. Alors que certains pays comme le Chili, le Maroc ou la Namibie sont aujourd’hui des importateurs nets d’énergie, ils sont en passe de devenir des exportateurs d’hydrogène vert. Tirer parti du potentiel de régions comme l’Afrique, les Amériques, le Moyen-Orient et l’Océanie pourrait limiter le risque de concentration des exportations, mais de nombreux pays auront besoin de transferts de technologie, d’infrastructures et d’investissements à grande échelle.La géopolitique de l’hydrogène propre se déroulera probablement en différentes étapes. D’après le rapport, on assistera dans les années 2020 à une grande course au leadership technologique. Mais la demande ne devrait décoller qu’au milieu des années 2030. À ce moment-là, l’hydrogène vert concurrencera les coûts de l’hydrogène fossile à l’échelle mondiale, un phénomène annoncé encore plus tôt dans des pays comme la Chine, le Brésil et l’Inde. L’hydrogène vert était déjà abordable en Europe lors de la flambée des prix du gaz naturel en 2021. La remise à neuf des gazoducs devrait encore stimuler la demande et faciliter le commerce de l’hydrogène.Les pays dotés d’un vaste potentiel d’énergie renouvelable pourraient devenir des sites d’industrialisation verte et utiliser leur potentiel pour attirer des industries très énergivores. De plus, prendre part à la chaîne de valeur de l’hydrogène peut stimuler la compétitivité économique. La fabrication d’équipements comme les électrolyseurs et les piles à combustible, en particulier, pourrait stimuler l’activité. La Chine, le Japon et l’Europe ont déjà acquis une longueur d’avance dans la production, mais l’innovation transformera encore le paysage manufacturier actuel.L’hydrogène vert peut renforcer l’indépendance, la sécurité et la résilience énergétiques en réduisant la dépendance aux importations et la volatilité des prix et en renforçant la flexibilité du système énergétique. Cependant, les matières premières nécessaires à l’hydrogène et aux technologies renouvelables posent la question de la sécurité matérielle. Les pénuries et les fluctuations de prix pourraient se répercuter sur les chaînes d’approvisionnement en hydrogène et avoir une incidence négative sur les coûts et les revenus.Façonner les règles, les normes et la gouvernance de l’hydrogène pourrait conduire à une concurrence géopolitique ou ouvrir une nouvelle ère de coopération internationale renforcée. En particulier, aider les pays en développement à déployer des technologies de l’hydrogène vert et à développer les industries de l’hydrogène permettrait d’éviter d’accentuer encore les écarts en matière de décarbonisation au niveau mondial et favoriserait l’équité et l’inclusion en créant des chaînes de valeur locales, des industries vertes et des emplois dans les pays riches en énergies renouvelables.
Il y a 3 ans et 142 jours

"Les Promesses", un film qui plonge dans la réalité des copropriétés dégradées

CULTURE. Le nouveau long-métrage de Thomas Kruithof s'intéresse à la politique locale, à la banlieue et à la survie d'une cité insalubre. Un portrait réaliste des difficultés que peuvent rencontrer les élus, applaudi par de grands acteurs de l'habitat.
Il y a 3 ans et 142 jours

Pour son 60e anniversaire, Sateco s’offre un nouveau logo

« En 2022, François Guilleteau, le Pdg, a souhaité travailler à relooker notre image institutionnelle. Afin qu’elle colle davantage à ce que Sateco est devenu », indique Nadia Quesada, responsable marketing et communication. [©Sateco] En 60 ans, les outils Sateco se sont réinventés pour plus d’ergonomie et de sécurité. Ainsi pour cet anniversaire, l’industriel s’offre un relooking avec un changement de logo et une nouvelle application SatecoTuto. Il s’agit du premier outil digital gratuit de formation et d’information. Ceci, pour l’utilisation des équipements de coffrages et de sécurité de la marque. « Ceci, pour accompagner notre évolution et nos actions sur le marché français. Mais aussi pour nous permettre de déployer nos projets à l’international », peut-on lire dans le communiqué de presse. D’autre part, Sateco s’est offert un changement d’identité visuelle avec un nouveau logo. « En 2022, François Guilleteau, notre Pdg, a souhaité travailler à relooker notre image institutionnelle, afin qu’elle colle davantage à ce que Sateco est devenu : un groupe avec 2 usines en France et une implantation sur le territoire en position de leader. Mais aussi un développement à l’international mis en œuvre depuis le rachat de la filiale HK Services. Et enfin, en 2022 de nouveaux axes de développement », indique Nadia Quesada, responsable marketing et communication de la marque. Un tout nouveau logo pour Sateco Lancement de la nouvelle application SatecoTuto. [©Sateco] Ce logo est un engagement pour le futur. Le carré et le monde sont inscrits en son sein, associés à la police de caractère historique, connu et reconnu par tous les utilisateurs du BTP. « Il fallait réinterpréter l’image de Sateco avec des valeurs modernes. C’est pourquoi, compte tenu des marges de progression de l’entreprise, il était logique de le faire évoluer avec un look plus contemporain, explique Nadia Quesada. Le logo doit être à l’image de l’entreprise tournée vers l’innovation et le futur. » Le nouveau design figure l’univers de la construction, avec la banche – rectangle rouge – en son centre. Mais on peut aussi laisser une libre interprétation avec certains éléments du logo. Le rond sur l’extrémité peut représenter un arbre (RSE) ou un homme : l’humain étant au cœur des préoccupations de l’industriel. « Le logo en flat design, dans le monde digital d’aujourd’hui est très facile à manipuler et à utiliser sur le web. Mais aussi en termes de signalétique sur nos produits. » Le logo historique datait de 1960 et avait déjà subi quelques modifications en 2006, « afin de donner une nouvelle dynamique à notre image, notamment pour l’activité coffrage », reprend Nadia Quesada. Puis, en 2010, la charte graphique avait été complétée par l’apparition de carrés de couleur qui schématisaient l’évolution des activités, avec l’innovation et le service. En 2012, nouvelle mouture du logo institutionnelle. 
Il y a 3 ans et 143 jours

Puy-de-Dôme : réaménagement de la Poste de Clermont-Ferrand Saint-Éloi

Les travaux de réaménagement de la Poste de Clermont-Ferrand Saint-Éloi se poursuivront jusqu’en avril prochain.
Il y a 3 ans et 143 jours

Construction d’un bassin monumental dans la perspective du château de Saint-Germain-en-Laye

En 1845, le grand parterre du domaine national de Saint-Germain-en-Laye avait été totalement détruit pour permettre l’arrivée des voies de chemin de fer. L’arrivée du RER et l’enterrement des voies dans les années 1970 a permis de le reconstituer. À cette occasion, l’un des trois bassins représentés sur les gravures du XVIIe siècle avait pu être édifié. Aujourd’hui, le creusement, de la liaison souterraine entre la gare RATP et l’arrivée du nouveau Tram 13 est l’occasion de réaliser le grand bassin, permettant ainsi de retrouver l’organisation de la perspective des Loges telle que Le Nôtre l’a imaginée, il y a plus de trois siècles. Ce projet, dont la maîtrise d’ouvrage est assurée par l’Opérateur du patrimoine et des projets immobiliers de la culture (OPPIC) pour le compte du ministère de la Culture, est réalisé par Régis Martin, architecte en chef des monuments historiques. Du fait de la complexité de cette opération, en raison de la très grande proximité des ouvrages de la RATP, la durée prévisionnelle des travaux est estimée à 12 mois. Le 13 janvier 2022, Roselyne Bachelot-Narquin, ministre de la Culture a posé la première pierre du grand bassin en présence des financeurs et acteurs du projet dont l’enveloppe financière prévisionnelle de l’opération est de 6,686 M€. Les contributeurs sont le ministère de la Culture, la région Île-de-France, le département des Yvelines, la ville de Saint-Germain-en-Laye et l’entreprise Suez mécène. Le Domaine national de Saint-Germain-en-Laye offre 40 hectares d’espaces préservés en lisière d’une immense forêt de 3500 hectares. Le parc labellisé « Jardin remarquable » est classé au titre des monuments historiques depuis 1964 et géré de manière écologique. Son parcours patrimonial amène le visiteur à découvrir une véritable histoire de l’art des jardins, depuis les allées dessinées par André Le Nôtre pour Louis XIV et ouvrant sur la perspective de la Grande terrasse, jusqu’aux essences rares du jardin anglais. Il accueille plus de deux millions de visiteurs chaque année. Photo : Ministère de la Culture – Thibaut Chapotot  
Il y a 3 ans et 143 jours

Habitats légers : quand peuvent-ils s’installer sans autorisation d’urbanisme ?

Vous avez le projet d’implanter un habitat léger, de type yourte ou tiny house, sur un terrain pour profiter du calme de la nature ? Il est possible dans certains cas de se passer d’autorisation d’urbanisme pour réaliser votre projet, à condition de respecter les quelques règles présentées ici… Les petites constructions et les habitations […]
Il y a 3 ans et 143 jours

La Métropole du Grand Paris adopte un document-clé d'urbanisme

"Un grand moment pour moi comme pour vous", a salué le président (LR) de la MGP Patrick Ollier après l'approbation du projet par 129 conseillers métropolitains sur 179 votants, dont 137 exprimés.Premier document de planification urbaine à l'échelle de la métropole, créée en 2016 et qui regroupe 131 communes pour une population de 7,2 millions d'habitants, le Scot doit permettre de bâtir une "métropole résiliente face aux aléas climatiques, aux risques naturels, technologiques et sanitaires", a souligné la MGP dans un communiqué.Les 12 orientations du document lui donnent en effet une tonalité résolument environnementale : "conforter une Métropole polycentrique, économe en espaces et équilibrée dans la répartition de ses fonctions", "renforcer la présence de la nature et de l'agriculture en ville", "agir pour la qualité de l'air", "organiser la transition énergétique" ou encore favoriser la "reconquête des espaces naturels, boisés et agricoles"...Mais le consensus entre droite et gauche autour du texte, fruit de quatre ans de travail entre les élus, l'Etat et des experts, s'est étiolé avec la présentation d'une petite dizaine d'amendements, portés pour la plupart par le maire (LR) de Boulogne-Billancourt, Pierre-Christophe Baguet.Ces amendements "qui arrivent le matin après 4 ans de discussions, cela pose question", a commenté pour l'AFP Sylvain Raifaud, co-président du groupe écologiste qui s'est notamment opposé aux amendements ouvrant la possibilité aux "exceptions au code de l'urbanisme", aux "constructions isolées à proximité des forêts" ou à la modification de l'objectif de 30% de pleines terres, tous trois rejetés.Ce Scot "n'est pas parfait", ont reconnu plusieurs présidents de groupe, mais "le texte libellé en l'état nous permet d'avancer", a résumé le vice-président (PS) de la MGP Daniel Guiraud.
Il y a 3 ans et 143 jours

Le dispositif "Louer abordable" réformé et rebaptisé

Instauré en 2017 par Emmanuelle Cosse, sous le quinquennat de François Hollande, "Louer abordable" offrait une déduction fiscale aux propriétaires s'engageant à louer, pour au moins 6 ans, à des personnes à faibles revenus à des tarifs réglementés.Courant jusqu'à fin 2022, il est prolongé, en principe jusqu'à fin 2024, avec plusieurs changements.La déduction fiscale est transformée en réduction d'impôt, plus égalitaire, et plafonnée à 10.000 euros, la limite habituelle des niches fiscales.Elle sera de 15 à 65% selon l'ampleur de la réduction de loyer consentie et du recours ou non à un intermédiaire social pour la gestion du logement.Le zonage, qui ouvrait droit à des déductions différentes selon que le logement se trouvait en zone tendue ou non, est abandonné. Ce système, dit-on dans l'entourage de la ministre Emmanuelle Wargon, rendait le dispositif peu attractif dans certaines zones tendues, notamment la petite couronne d'Ile-de-France, et peu utile en zone détendue.Les niveaux de loyers de référence par commune, qui doivent être fixés par un arrêté ultérieur, seront désormais basés sur la carte des loyers du ministère.Un propriétaire "sera toujours gagnant, quel que soit le territoire, et notamment en zone tendue", assure-t-on au ministère.Et la durée de la convention passe à 6 ans dans tous les cas, alors qu'elle était auparavant de 9 ans si le propriétaire se faisait aussi financer des travaux de rénovation via le dispositif.Le ministère se fixe comme objectif 20.000 nouvelles conventions signées d'ici à la fin 2022, contre 8.000 l'année dernière.Le coût pour l'Etat du dispositif, évalué à 70 millions d'euros par an jusqu'ici, devrait donc "au moins doubler".Les premiers dossiers pourront être déposés à partir du 1er avril à l'Agence nationale de l'habitat (Anah), avec effet rétroactif pour les baux signés à partir du 1er janvier 2022.Les quelque 110.000 logements loués via l'ancien dispositif continuent d'en bénéficier et pourront être prorogés.Un simulateur à destination des propriétaires est mis en place sur le site de l'Anah.
Il y a 3 ans et 143 jours

Innovations, formation : l’OPPBTP livre sa feuille de route jusqu’à 2025

Maintenir sa présence sur le terrain, développer des applications digitales, former davantage les nouveaux dirigeants, expérimenter de nouvelles technologies… L’OPPBTP a présenté, le 25 janvier, son plan stratégique Horizon 2025 pour mobiliser les entreprises et combattre les accidents graves et mortels.
Il y a 3 ans et 143 jours

Socotec se muscle sur le secteur de l'urbanisme avec deux acquisitions

ACQUISITIONS. Le spécialiste de la maîtrise des risques et de l'amélioration des performances, Socotec, annonce deux acquisitions dans le secteur de l'urbanisme : Urbycom et Urbads.
Il y a 3 ans et 143 jours

La Métropole du Grand Paris vote son Scot à une très large majorité

URBANISME. Objectif de 30% de pleine-terre, mixité fonctionnelle à partir de 5.000 mètres carrés de projet, fortes restrictions à l'artificialisation... Les prescriptions du schéma de cohérence territoriale adoptées lundi fixent, "pour les 10 à 15 ans à venir", les grandes orientations d'aménagement de la Métropole du Grand Paris, qui s'imposeront aux PLUI de ses 11 Territoires.
Il y a 3 ans et 143 jours

Écoquartier Prunel labellisé, à Paris comme à Saint-Denis de la Réunion ?

Emmanuelle Wargon, ministre déléguée auprès de la ministre de la Transition écologique, chargée du Logement, a décerné le vendredi 21 janvier 2022 les labels EcoQuartier aux 17 lauréats 2021. Entre Quezac, Quasquara et Septèmes-les-Vallons, Prunel à Saint-Denis à La Réunion. Une pépite d’empire aux préoccupations pourtant bien éloignées de celle de la Métropole. Dans la […] L’article Écoquartier Prunel labellisé, à Paris comme à Saint-Denis de la Réunion ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 143 jours

Le Covid et l'e-commerce, pain bénit pour les entrepôts

"La demande d'entrepôts en France a encore de beaux jours devant elle !", commente auprès de l'AFP Pierre-Louis Dumont, directeur exécutif industriel et logistique au cabinet de conseil en immobilier d'entreprise CBRE.Selon le groupement Immostat, dont les chiffres font référence pour l'immobilier d'entreprise, la demande placée, c'est-à-dire le nombre de mètres carrés d'entrepôts nouvellement loués ou vendus pour être occupés, a connu en 2021 sa meilleure année depuis 2017.Autre symbole de cette santé, le groupe Argan, qui loue des entrepôts à la grande distribution (Carrefour, Casino, Auchan...), à des logisticiens (FM, Geodis...) ou à Amazon, a vu ses revenus locatifs grimper de 10% en 2021. Une progression dopée par la livraison au géant américain de l'e-commerce d'un gigantesque entrepôt de 185.000 mètres carrés sur quatre étages, près de Metz."Il y a une très forte demande, portée d'abord par l'adoption de l'e-commerce, qui oblige à changer les réseaux de distribution, et ensuite par le fait que tout le monde a besoin de le faire en même temps", résume Pierre-Louis Dumont.La pandémie a été un "accélérateur de tendance" pour la France, qui avait moins adopté l'e-commerce que ses voisins, note-t-il.Or, pour passer à l'e-commerce et pouvoir livrer très rapidement ses produits aux clients, une entreprise doit réorganiser sa chaîne d'approvisionnement, faire davantage de stocks et utiliser plus de petits entrepôts à proximité des villes, pour la logistique dite du "dernier kilomètre". Loyers en hausse ?D'où la multiplication de petits entrepôts au coeur des villes. Même si leur poids économique est marginal, et devrait le rester selon Laetitia Dablanc, directrice de recherche à l'université Gustave Eiffel. "Ça restera une niche, mais qui va rester longtemps très active", dit-elle à l'AFP.Autre explication, avancée par François Le Levier, du cabinet CBRE : "Les investisseurs ont mis le frein sur les classes d'actifs traditionnelles, comme le bureau, l'hôtel... qui ont subi de plein fouet la crise sanitaire, et se sont reportés sur les entrepôts logistiques."Et en 2022, le secteur devrait continuer à attirer malgré une offre qui peine à suivre.Construire de nouveaux entrepôts, très gourmands en foncier, va devenir de plus en plus difficile, du fait de la loi française contre l'artificialisation des sols."Il n'y a pas de limitation pour l'instant, mais ils (les entreprises du secteur, NDLR) savent que ça risque de leur arriver, donc ils regardent comment on fait des entrepôts à étages", remarque Laetitia Dablanc.Autre obstacle: l'opposition fréquente des riverains, comme dans le Gard ou près de Nantes, où des mobilisations ont dissuadé l'implantation d'entrepôts Amazon."C'est toujours plus agréable pour les habitants d'avoir à côté de chez eux une résidence seniors ou un immeuble de bureaux qu'un entrepôt avec des camions qui vont et viennent", souligne Pierre-Louis Dumont.Du coup, les loyers pourraient grimper en flèche.D'autant que beaucoup de bailleurs sont des investisseurs, qui achètent des portefeuilles dans toute l'Europe, avec des objectifs de rentabilité financière.Pour eux, "il y a une croissance importante des valeurs locatives à aller chercher, par la rareté du foncier et la loi sur l'artificialisation des sols", relève François Le Levier.
Il y a 3 ans et 143 jours

L’écologie urbaine à la rue ! Du désir au principe de réalité

L’une des grandes marottes de nos édiles pour rendre la ville supportable consiste à vouloir réinterpréter la rue. Zone de rencontre, zone apaisée, zone piétonne, rue verte, rue des écoles, qu’importe le nom pourvu qu’il évoque autre chose que la bagnole et qu’il laisse imaginer que chacun va pouvoir se l’approprier. A grand renfort d’images […] L’article L’écologie urbaine à la rue ! Du désir au principe de réalité est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 143 jours

Évolution des filières de recyclage : quel avenir pour le service public de gestion des déchets ?

La plupart de ces mesures, dont AMORCE a souvent été à l’origine, vont dans le bon sens. Mais des arbitrages précipités et rarement concertés avec les collectivités en charge depuis des décennies de la gestion des déchets laissent craindre des résultats en trompe-l’œil.Certaines décisions risquent en effet d’entraîner des conséquences beaucoup moins positives pour l’avenir du service public, pour la fiscalité locale, et un fort risque de démobilisation des élus et des acteurs territoriaux trop souvent mis devant le fait accompli. Cette déstabilisation progressive du service public de gestion des déchets a connu un nouveau point d’orgue avec la décision récente de bouleverser la filière des emballages.100 % des échéances reportées sur les nouvelles filières de recyclage aux dépens des collectivités et des contribuables locauxEn cette rentrée 2022, AMORCE fait d’abord le constat amer que si l’augmentation massive de la taxe sur le stockage des déchets (TGAP) a été effective dès le début du mandat, sans un jour de retard en 2018, aucune des nouvelles filières de collectes sélectives (jouets, sport et loisirs, bricolage, jardinerie…) qui devaient justement permettre de réduire le stockage des déchets n’est opérationnelle au 1er janvier 2022 comme le prévoyait la loi Agec. Pendant 4 ans, la TGAP aura ainsi rapporté des centaines de millions d’euros au budget de l’État sur le dos des collectivités, y compris les plus vertueuses en matière de recyclage.Le constat est le même pour la filière de recyclage des emballages professionnels de la restauration qui devait initialement être mise en place au 1er janvier 2021 et qui a été reportée de deux ans. Pire encore, 12 ans après la loi Grenelle qui prévoyait déjà un dispositif financier pour gérer les déchets du bâtiment, la mise en place de la filière a de nouveau été reportée d’un an sous la pression des metteurs sur le marché à l’aube de la campagne présidentielle. Et ce, sans aucune concertation avec les collectivités locales concernées qui ont été mises devant le fait accompli. Ces reports successifs laissent des dizaines de milliers de tonnes de déchets à la charge des collectivités et des contribuables locaux.Des changements de règles du jeu pour la filière des emballages et d’autres filières existantes qui risquent de fragiliser lourdement l’organisation du service public de gestion des déchetsConcernant les filières déjà en fonctionnement (emballages, déchets électriques et électroniques, déchets dangereux …), AMORCE déplore une simplification dangereuse des cahiers des charges des éco-organismes, pourtant déjà en situation monopolistique. Les contrats avec les éco-organismes sont de plus en plus déséquilibrés et fragilisent l’action des collectivités. AMORCE déplore également l’affaiblissement de l’ambition initiale de la loi Agec sur les objectifs environnementaux, avec très peu de moyens supplémentaires de coercition pour l’État en cas de non-atteinte de ces objectifs, alors que ce dernier sait être beaucoup plus sévère avec les obligations des collectivités locales.Mais c'est surtout la décision récente de donner à l’éco-organisme le contrôle exclusif de la plupart des flux de déchets d’emballages en plastique, à l’exception des bouteilles et flacons, qui pose question sur les objectifs visés. Une décision prise sans véritable concertation, ni évaluation environnementale et économique, et sans garantie que cela améliore le recyclage des nouveaux plastiques que doivent désormais trier les Français. Ce faisant, les collectivités apparaissent à nouveau comme les variables d’ajustement des stratégies industrielles des metteurs sur le marché en quête de résine, alors qu’elles ont dû investir des centaines de millions d’euros d'argent public, payé par les contribuables, dans de nouveaux centres de tri aujourd’hui remis partiellement en cause. AMORCE dénonce enfin le développement souterrain des automates de consignation des bouteilles en plastique, dernier gisement de déchets qui pourrait encore être trié par les collectivités, le seul ayant de la valeur et faisant baisser le coût du service public des déchets. Le développement de ces automates sur le territoire entre contradiction complète avec l’accord établi avec le gouvernement dans la loi Agec sur le report de ces dispositifs face à l’opposition de nombreux acteurs.Un risque important de démobilisation des collectivités et des élus locauxLes collectivités locales, qui ont été jusqu’ici des acteurs majeurs de l’économie circulaire à l’échelle des territoires, se sentent de plus en plus otages des stratégies commerciales et industrielles nationales ou internationales qui sont très éloignées des préoccupations des citoyens et des enjeux environnementaux de long terme. Sans visibilité sur l’avenir, et impactés financièrement par des décisions ne prenant pas en compte le service public de première nécessité de gestion des déchets, les élus locaux sont de plus en plus nombreux à s’interroger sur leur motivation à s’engager dans les filières de recyclage et à signer les futurs contrats avec les éco-organismes.AMORCE appelle donc le gouvernement à un rééquilibrage des échanges et des décisions entre industriels et collectivités en matière de gestion des déchets, pour éviter la démobilisation, voire le retrait massif des collectivités de nombreuses filières de collecte sélective et de recyclage, dont elles sont la clé de voute. AMORCE présentera dans les prochaines semaines ses propositions en ce sens aux candidats à l’élection présidentielle.
Il y a 3 ans et 143 jours

L'accès mobile : l'avenir du contrôle d'accès sans fil

Utilisés comme GPS puis comme carte de paiement, les smartphones évoluent à grande vitesse et deviennent de véritables clés digitales. Grâce à ces derniers, il est désormais possible d’accéder à un bâtiment, sur un ou plusieurs sites, de manière totalement sécurisée.Un récent rapport sur le marché du contrôle d’accès démontre que les utilisateurs voient dans l’accès mobile plusieurs avantages tels que la praticité, le coût et la sécurité. Les identifiants mobiles, lecteur d’empreinte et reconnaissance faciale, sont considérés comme plus sécurisés qu’un badge ou une clé. Le comportement humain est également considéré comme un avantage de l’accès mobile. Par exemple, un employé ne remarquera pas tout de suite avoir perdu son badge d’accès alors que cette personne sera plus soigneuse avec son smartphone.Uniformiser la gestion de la sécurité et des accès avec un smartphone D’après une étude* menée par IFSEC Global et ASSA ABLOY Opening Solutions, deux tiers des entreprises prévoient d’adopter un système de contrôle d’accès mobile dans les deux prochaines années. Avec le téléchargement des identifiants mobiles qui a connu une augmentation de 220% entre 2018 et 2019 et qui continue de croître, selon une étude Omdia**, le contrôle d’accès mobile est l’avenir. D’un point de vue de la gestion de la sécurité, la facilité d’utilisation d’un smartphone est un atout majeur. En effet, les identifiants mobiles peuvent être envoyés à distance et un administrateur peut annuler ces derniers à tout moment. Il n’y a plus de besoin de récupérer les badges des visiteurs occasionnels ou des personnes arrivant à la fin de leur contrat. Financièrement, cette solution est plus intéressante puisqu’elle permet de ne plus imprimer les badges physiques.Les lecteurs sans fil Aperio, une solution de contrôle d’accès mobile pour les bâtiments Les solutions sans fil Aperio offrent un moyen très simple d'étendre le nombre de portes sous contrôle d'accès ou pour remplacer les serrures mécaniques par du contrôle d'accès intelligent. Parce que les solutions Aperio sont sans fil et alimentées par une pile, leur installation est rapide et économique et leurs coûts de fonctionnement et de maintenance en seront donc réduits. L’accès mobile Aperio fonctionne grâce à la technologie Seos®, une plateforme innovante dotée d’une technologie de cryptographie et d’authentification de pointe ainsi que d’une protection à la confidentialité inégalée. Déverrouiller une porte, avec les solutions sans fils Aperio, est simple et intuitif. Les utilisateurs présentent leur smartphone aux lecteurs, sans avoir à ouvrir l’application, tel qu’ils le feraient avec un badge classique. Les produits Aperio peuvent lire simultanément plusieurs technologies de badges. Ainsi, tous les accès n’ont pas vocation à être mobile et les responsables sécurité n’auront pas à migrer tous les identifiants sur une seule et même plateforme. Les lecteurs sans fil Aperio sont pensés pour une compatibilité maximum : les entreprises peuvent utiliser des badges RFID tout en utilisant des identifiants dématérialisés simultanément sur le même équipement. Les lecteurs Aperio permettent de réduire les coûts d’installation et d’extension dans un bâtiment grâce à leur compatibilité avec les systèmes existants. Rapides à installer et peu énergivores en énergie, les lecteurs sans fil Aperio s’intègrent parfaitement avec les systèmes de plus de cent fabricants de contrôle d’accès.
Il y a 3 ans et 143 jours

Nantes : le parking Commerce du centre-ville est à nouveau ouvert

Le parking Commerce, situé dans le centre-ville de Nantes, vient d’être remis en service après avoir bénéficié d’une cure de jouvence.
Il y a 3 ans et 143 jours

Rennes : la ligne B du métro sera mise en service à partir du printemps 2022

La ligne B du métro de Rennes Métropole commencera à circuler dès le printemps prochain.
Il y a 3 ans et 143 jours

Soliha est « Mon Accompagnateur Rénov’ » depuis le 1er janvier 2022

Réseau associatif neutre et tiers de confiance, SOLIHA s’inscrit pleinement dans le nouveau dispositif France Rénov’, qui doit permettre au parc de logement français d’atteindre la neutralité carbone.27 millions de logements à rénover énergétiquement d’ici 2050, un enjeu climatique et social !Le secteur résidentiel pèse encore aujourd’hui 29 % de la consommation énergétique nationale et 20 % des émissions de gaz à effets de serre. Le parc de résidences principales français compte près de 30 millions de logements et seulement 3 millions d’entre eux ont une étiquette A ou B, c’est-à-dire, performants d’un point de vue énergétique. Il reste donc 27 millions de logements à rénover en 28 ans pour atteindre la neutralité carbone ! Parmi ces logements, 18% sont des passoires thermiques avec des étiquettes énergétiques F ou G, c’est-à-dire, non décentes au sens de la loi. Cela représente, 11 Millions de Français. Et nombre de ces personnes sont en situation de précarité, se privent de chauffage pour ne pas générer des factures énergétiques trop importantes, risquent des impayés, contractent des problèmes de santé, ont froid l’hiver et chaud l’été chez elles.Le service public France Rénov' a pour mission de relever le défi de la décarbonation du parc de logements et de la diminution de la précarité énergétiqueFrance Rénov’, lancé par la Ministre du Logement Emmanuelle Wargon le 12 Janvier dernier, a pour objectif de déployer une politique de rénovation ambitieuse : « la transition écologique des logements est bel et bien en cours, et aujourd’hui, elle n’entend négliger ni la qualité, ni la performance ». De fait France Rénov’, qui rassemble le réseau Faire de l’ADEME et les opérateurs de l’Anah, doit permettre de fluidifier le parcours des ménages. L’objectif est de les orienter immédiatement vers l’Accompagnateur Rénov’ le plus proche, pour qu’il trouve la solution la plus adaptée à leur projet de rénovation et à leur situation sociale. Afin de faciliter la mise en œuvre de cette réforme, cette mission d’accompagnement est d’ailleurs confiée à ces mêmes acteurs, dont SOLIHA, déjà identifiés localement. De même, tous les financements sont regroupés sous la bannière « MaPrimeRénov’ ». Soliha, l'acteur clé et de confiance pour accompagner les français dans leur projet de rénovation énergétiqueSoliha, ce sont 145 associations, 3 100 salariés, des équipes composées de thermiciens, conseillers habitat et travailleurs sociaux, présentes sur l’ensemble du territoire hexagonal et ultra-marin. Elles déploient des méthodes de travail et des outils éprouvés, permettant d’apporter des solutions de rénovation énergétique personnalisées à chaque ménage. SOLIHA, c’est aussi un tiers de confiance, qui joue un rôle d’ensemblier de toutes les aides existantes pour minimiser le reste à charge de ces personnes.Soliha attire l'attention sur trois points, conditions de succès pour aller à la neutralité carbone L’accompagnement des ménages requiert impérativement la neutralité. Le rôle de tiers de confiance ne saurait être biaisé par des logiques de commercialisation de matériaux ou d’équipement. SOLIHA sera très attentif à l’établissement et respect du cahier des charges de « Mon Accompagnateur Rénov’ ». L’accompagnement social des ménages les plus en difficulté est un levier indispensable pour les amener vers les rénovations les plus ambitieuses. Le financement de ces missions doit être à la hauteur des ambitions. Le financement des travaux suppose un engagement résolu et à haut niveau de l’État, notamment, auprès des ménages modestes et très modestes, pour que leur reste à charge soit soutenable. Il suppose également un engagement des banques à distribuer l’Eco-PTZ ou le Prêt Avance Rénovation.
Il y a 3 ans et 143 jours

Alpes-Maritimes : le département a dévoilé son Plan vélo 2028

Le département des Alpes-Maritimes met en place le Plan vélo 2028 pour développer ce mode de déplacement sur le territoire.
Il y a 3 ans et 143 jours

L’évaluation budgétaire verte progresse dans les collectivités

Cinq grandes villes et métropoles ont montré la voie, suivies par quatre régions pilote : l’évaluation climatique des budgets publics suscite un engouement croissant dans les collectivités, sous l’impulsion de l’Institut de l’économie pour le climat (I4CE), think-tank associatif créé en 2015 par la caisse des dépôts et de l’agence française de développement.
Il y a 3 ans et 144 jours

Partenariat pour l’économie circulaire dans la construction de logements sociaux

Agyre, hub d’accélération national pour une économie circulaire dans la construction, et Valor Promotion, spécialiste de la vente en bloc d’immeubles entiers à bailleurs et investisseurs, associent leurs expertises pour inscrire la démarche de l’économie circulaire le plus en amont des projets de construction de logements conventionnés. La construction de 28 logements sociaux (un bâtiment collectif en R+2 et 5 maisons individuelles) en hyper centre ville de Saran est une première opération commune estampillée économie circulaire. Elle est conduite comme un démonstrateur transposable à d’autres communes après exploitation des retours d’expérience. Agyre accompagne le projet pour répondre à l’objectif d’exemplarité environnementale de Valor Promotion, notamment en termes de ressources en matière, énergie et eaux, de suivi et de tri de déchets et pour satisfaire à ses ambitions environnementales et énergétiques : Certification Prestaterre Mention Label BEE+ (Bâtiment Énergie Environnement +), option Économie de charges et démarche de chantier propre.  Pour palier aux diverses contraintes du site, en particulier en termes de logistique, délais, budget, pollutions, Agyre réalisera un accompagnement méthodologique du chantier, dès son démarrage en janvier 2022 avec le désamiantage et la déconstruction des pavillons résidentiels du site datant des années 1970. Pour ce faire, Agyre attachera une attention particulière à la logistique, avec l’identification des filières locales et structurées et la prise en compte du transport, du stockage, du tri et de la traçabilité des ressources du site, dans l’objectif de réduire la production des déchets, d’optimiser la consommation des ressources et d’éviter les externalités carbone. Agyre assurera également la sensibilisation et la formation des différents acteurs du projet pour favoriser leur montée en compétences sur les questions d’économie circulaire et veillera au respect du planning des travaux et du budget pour une meilleure viabilité économique de l’offre.  Promoteur : Valor Promotion Maître d’ouvrage : SCCV La FontaineAssistance à maîtrise d’ouvrage économie circulaire : Agyre Maître d’œuvre de conception : CYM Architecture   Cet article Partenariat pour l’économie circulaire dans la construction de logements sociaux est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 144 jours

En Suisse, l’école primaire de Meinier est signée Mue

Mue atelier d’architecture a livré en 2021 la nouvelle école primaire de Meinier, dans le canton de Genève, en Suisse. L’architecture compacte de l’ouvrage de 2 600m² (8M€) a permis de dilater l’espace public et d’établir des porosités avec les espaces verts existants. Communiqué. Le programme de l’école primaire de Meinier répond à l’accroissement modéré […] L’article En Suisse, l’école primaire de Meinier est signée Mue est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 144 jours

La consultation sur le périphérique parisien a coûté 350.000 euros

Dans un courrier daté du 5 janvier, la candidate LR à l'élection présidentielle indique que le budget de cette consultation est constitué de "crédits de fonctionnement de la transformation numérique", pour la plateforme en ligne, et de ceux de la "communication institutionnelle" pour ce qui concerne "l'information des usagers".Selon la région, près de 80.000 personnes ont participé à cette consultation et se sont opposés à 90% à la "suppression d'une voie de circulation pour tous" sur le périphérique, objet d'une bataille politique avec la mairie de Paris qui en a la gestion.La mairie, dirigée par la socialiste Anne Hidalgo, elle aussi candidate à la présidentielle, envisage de réserver cette voie au covoiturage, aux transports en commun voire aux véhicules électriques à l'issue des Jeux olympiques 2024, pendant lesquels elle sera réservée aux participants.L'adjoint (EELV) aux transports de la mairie David Belliard considère donc que cette voie ne sera pas "supprimée" mais "transformée", et avait accusé Mme Pécresse de "mensonge".L'analyse des quelque 46.000 explications de vote est en cours, indique Mme Pécresse, même si des "grandes lignes apparaissent avec force", notamment sur "le risque d'augmentation de la congestion et de la pollution" et "les difficultés pratiques" liés au projet de la mairie.Mme Pécresse, qui avait promis un référendum sur le sujet lors de sa campagne de réélection, début 2021, a aussi réclamé via le syndicat régional des transports qu'elle préside, Ile-de-France Mobilités, de récupérer la gestion du boulevard périphérique.Utilisé chaque jour par un million de véhicules, ce dernier "compte moins de 20% d'usagers parisiens et 40% des trajets se font de banlieue à banlieue", souligne-t-elle dans son courrier, en réponse au conseiller régional PS Jean-Marc Germain, mari d'Anne Hidalgo, et au président du groupe socialistes et apparentés, Maxime des Gayets.Contacté par l'AFP, ce dernier a déploré la "gestion Pécresse" : "après avoir dépensé 130.000 euros pour tenter de bloquer la piétonnisation des voies sur berges portée par la Ville de Paris, Valérie Pécresse aura donc gaspillé 350.000 euros pour une opération de communication insincère et sans objet d'intérêt général", estime-t-il.
Il y a 3 ans et 144 jours

En Occitanie, coups d'accélérateur pour la grande vitesse comme pour les petites lignes

MOBILITÉS. Le Premier ministre Jean Castex était en Occitanie, le 22 janvier 2022. Un déplacement qui a été l'occasion de signer deux protocoles d'accord concernant le réseau ferroviaire de la région : l'un permet de boucler le financement de la ligne nouvelle Montpellier-Perpignan ; l'autre est le plan dédié aux lignes de desserte fine du territoire.
Il y a 3 ans et 144 jours

France Matériaux : orientations stratégiques 2022 dévoilées au Carrefour des Partenaires

A l’occasion de la 11ème édition du Carrefour des Partenaires, organisée les 12 et 13 janvier 2022 à Chambéry, FRANCE MATÉRIAUX, groupement national de négoces en matériaux indépendants, a accueilli ses 147 adhérents et 180 partenaires industriels fabricants. Ponctuées par une plénière, des ateliers pratiques, des rencontres d’affaires et la remise des Trophées 2022, ces deux journées d’échanges ont permis à Eric Petitdemange, Directeur Général, de dévoiler les orientations stratégiques du groupement pour gagner en performance, dynamiser et développer le réseau. 2022, UN PLAN STRATÉGIQUE POUR RELEVER LES DÉFIS D’AUJOURD’HUI ET CONSTRUIRE DEMAIN, ENSEMBLE Face à l’accélération des changements, à la concentration du secteur et aux différentes mutations, FRANCE MATÉRIAUX a redéfini ses orientations pour relever les défis d’aujourd’hui et construire demain, ensemble. Lors de la 11ème édition du Carrefour des Partenaires, FRANCE MATÉRIAUX a ainsi présenté les grands axes que le groupement va déployer pour accompagner ses adhérents et les faire gagner en efficacité grâce à une stratégie qui capitalise à la fois sur des outils digitaux et une palette de services physiques. Le premier objectif vise à améliorer leur performance grâce au lancement de deux nouvelles offres de qualité professionnelle : • SIGNÉ PRO, du mortier et béton en sac de 25 kg, à un tarif défiant toute concurrence, négocié par la centrale CMEM à la demande de ses membres dont FRANCE MATÉRIAUX. • LES ÉLÉMENTAIRES, une collection spécialement développée par la commission sol de FRANCE MATÉRIAUX pour ses adhérents spécialistes et généralistes. Elle se compose de produits normés (carrelage, revêtements de sol stratifiés et sols souples). De plus, FRANCE MATÉRIAUX renforce son pôle Services avec la création d’une première base logistique commune située en Occitanie et de nouveaux outils parmi lesquels : • le déploiement du Programme de fidélisation HORIZON pour les adhérents grâce à un site internet dédié ; • la mise en ligne de la plateforme MAESTRO réservée aux professionnels clients des points de vente, leur offrant des avantages et remises sur leur consommation de frais généraux (location de voitures, d’engins, …) ; • les nouveaux catalogues sur les isolants bio-sourcés et la gamme sol LES ÉLÉMENTAIRES ; • le Bureau de la Performance Energétique destiné à renforcer l’expertise et la capacité de conseil de ses adhérents et de leurs clients installateurs RGE dans le montage des dossiers d’aide à la rénovation énergétique (dispositif CEE et MaPrime Rénov’). Véritable accompagnement clé en main, celui-ci doit leur permettre de mieux capter ce type de chantiers. Seconde priorité de FRANCE MATÉRIAUX, dynamiser et développer son réseau de partenaires en commençant par une nouvelle charte graphique qui reflète l’ambition du groupement de renforcer son positionnement d’enseigne nationale et référente du négoce matériaux multi-spécialiste indépendant. Le logo modernisé avec pour signature « Construire demain, ensemble » exprime le positionnement de la marque FRANCE MATÉRIAUX et installe son discours. Une formule impactante, facile à mémoriser qui fait la part belle à ses fondamentaux : à visage humain, libre et indépendante, fière de son histoire, engagée, connectée, pragmatique et experte. Ainsi dynamisée, la marque s’adresse directement à son écosystème (industriels, adhérents, clients professionnels et particuliers). Inédite, cette identité visuelle sera déclinée sur tous les supports ainsi que sur le nouveau site internet de France Matériaux. FRANCE MATÉRIAUX met également à disposition de ces adhérents « monfrancematériaux », un extranet pour encore mieux communiquer entre-eux et répondre aux enjeux de la transformation digitale. En effet, comme le souligne Philippe DESSERTINE, intervenant au Carrefour des Partenaires, « le digital prend une place de plus en plus forte et sa valeur augmente dans tous les secteurs. Les entreprises qui réussissent seront celles qui auront intégré cette nouvelle façon de fonctionner. Au sein de FRANCE MATÉRIAUX, il convient d’y penser tous ensemble pour tous profiter des avancées des uns et des autres et les répandre pour que le secteur continue à vivre ». Tel est l’objectif de ce nouvel outil. Enfin, conscient que 60% de ses adhérents ont plus de 50 ans, le groupement lance LA FINANCIERE FRANCE MATÉRIAUX. Les missions de cette structure juridique reposent sur : • l’aide dans les processus de création d’entreprise, de transmission et de développement par croissance externe, • le conseil en droit des affaires et ressources humaines. LES TROPHÉES FRANCE MATÉRIAUX 2022 : LES PARTENAIRES INDUSTRIELS FABRICANTS RÉCOMPENSÉS Suite aux réponses au questionnaire adressé par FRANCE MATÉRIAUX à ses adhérents pour évaluer leurs fournisseurs sur trois critères essentiels : relation commerciale, dynamique de l’offre et qualité de service, les Trophées FRANCE MATÉRIAUX 2022 ont été attribués à : • ROCKWOOL pour la Relation Commerciale Ce trophée est l’expression des adhérents sur différents critères portant sur la présence et la dynamique commerciale, mais aussi sur l’accompagnement pour gagner ensemble. • NICOLL pour la Dynamique de l’Offre Ce prix récompense la largeur de l’offre et la capacité d’innovation de l’industriel. • CPG ILLBRUCK TREMCO pour la Qualité de Service Ce trophée le distingue non seulement pour sa qualité mais aussi pour son taux de service, de la commande à la facturation. FRANCE MATÉRIAUX, LA FORCE D’UN RÉSEAU NATIONAL ASSOCIÉ À L’EXPERTISE DE PARTENAIRES INDÉPENDANTS DE PROXIMITÉ Né en 2001, de la volonté de plusieurs adhérents de s’unir, FRANCE MATÉRIAUX est un groupement national de négoces en matériaux indépendants généralistes ou spécialistes en gros-œuvre, second-œuvre, bois et panneaux, menuiserie, aménagement intérieur et extérieur, travaux publics et environnement. Ensemble, ils partagent l’ambition commune d’offrir le meilleur à leurs clients tout en conservant leur liberté et leur indépendance. Présidé par M. Guillaume Dumas depuis juin 2021 et dirigé par M. Eric Petitdemange, FRANCE MATÉRIAUX regroupe 147 adhérents, 1800 collaborateurs, 237 points de vente répartis sur 67 départements du territoire français. Le réseau a réalisé un chiffre d’affaires de 850 M€ HT en 2021. https://www.france-materiaux.fr/
Il y a 3 ans et 144 jours

L'immobilier de luxe en France a battu des records en 2021

"C'est vraiment l'année qui a battu tous les records", se félicite auprès de l'AFP Alexander Kraft, PDG de l'agence Sotheby's International Realty France. "2020 était déjà une très bonne année, ce développement continue en pleine force en 2021, et ça continue même jusqu'à aujourd'hui".Comme ses concurrents dans l'immobilier "de prestige" Barnes et Daniel Féau, l'agence a largement battu son record de transactions en France l'an dernier : +42% en un an.Pour la seule région parisienne, par rapport à 2019, la meilleure année jusque-là, le nombre des ventes a bondi de 39% pour Daniel Féau. Barnes, de son côté, a fait 30% de transactions en plus qu'avant la pandémie."Résidences semi-principales"Des chiffres portés par l'envie de vert et d'espace : chez Daniel Féau, le nombre des ventes de maisons et d'hôtels particuliers avec jardin a presque triplé en deux ans."Les clients sont à la recherche d'espaces verts, de terrasses, de jardins, et lorsqu'ils sont dans les grandes villes, ils vont dans la périphérie. C'est pour cela que les Hauts-de-Seine et les Yvelines ont clairement explosé au niveau des ventes de maisons et des ventes d'appartements avec terrasse", témoigne pour l'AFP Thibault de Saint-Vincent, président de Barnes."Les gens, avec les confinements, se sont rendus compte que le lieu de vie était peut-être le facteur décisif pour la qualité de vie, et pourquoi rester dans un appartement si on peut avoir plus de verdure et plus d'espace ailleurs ?", explique Alexander Kraft.D'où l'engouement pour les biens situés loin de Paris, tandis que les prix stagnent dans la capitale.Barnes observe que les ventes et les prix ont "explosé" sur la côte atlantique, la côte basque ou à Deauville, avec des propriétés parties pour 3, 5 ou même 10 millions d'euros.Le département "Propriétés et châteaux" de l'agence, plutôt centré sur la campagne, a aussi "clairement repris des couleurs", explique Thibault de Saint-Vincent.Au point de déceler un phénomène de "résidences semi-principales" : avec l'essor du télétravail, des propriétaires achètent un bien en région en conservant un pied-à-terre en région parisienne."C'est une tendance qu'on a vu apparaître après le premier confinement, et elle se voit au niveau mondial : on a des New-Yorkais qui vont s'installer en Floride ou dans les Hamptons (littoral à l'est de New York, NDLR), des Parisiens qui vont s'installer sur la côte basque...", observe Thibault de Saint-Vincent.Les Français portent le marchéBarnes comme Sotheby's observent que le fossé se creuse entre les biens impeccables, sans défaut majeur, et ceux, même de luxe, sans terrasse ni jardin, ou situés à un étage bas, ou avec des travaux à faire."Les acheteurs sont devenus plus gourmands. Ils n'ont pas nécessairement envie de faire des gros travaux, de restaurer, de rénover... ils veulent acheter des biens qui sont déjà en bon état, qui ont déjà des atouts comme des piscines, des grandes cuisines bien équipées, des chambres avec des salles de bain en suite... et ils sont prêts à payer un prix pour ça", relève Alexander Kraft.En France, ce sont encore les Français qui portent le marché, assure-t-il. Les étrangers "sont prêts à acheter, mais évidemment il n'y a pas beaucoup de gens prêts à acheter sans avoir visité le bien", explique-t-il, estimant entre 90 et 95% la part de Français parmi ses clients l'an dernier, contre environ 50% en temps normal."La clientèle française d'entrepreneurs, de jeunes travaillant dans les nouvelles technologies, de jeunes ayant fait des investissements très profitables dans les cryptos, commence à apparaître", note Thibault de Saint-Vincent, qui voit cependant la clientèle étrangère revenir progressivement depuis le printemps 2021.De quoi lui faire pronostiquer une "très belle année" 2022, quoiqu'un peu en deçà de 2021.
Il y a 3 ans et 144 jours

Toulon Provence Méditerranée investit avec raison

En 2022, la métropole Toulon Provence Méditerranée maintient ses efforts d’investissements. Lors de l’adoption, le 16 décembre, de son budget primitif 2022 établi à 675,8 millions d’euros, elle a voté 287 millions d’euros de dépenses d’équipements. Ses ambitions s’inscrivent dans une stratégie de la sincérité qui repose sur deux impératifs : arriver à un taux d’exécution des crédits entre 60-70% et maintenir un autofinancement de 50 millions d’euros.
Il y a 3 ans et 144 jours

Le passage ouvert au voisin déprécie le terrain

Si l'on est obligé de laisser un passage au voisin enclavé, l'indemnité doit prendre en compte la dépréciation du terrain, a jugé la Cour de cassation. (Image © Ricinator)
Il y a 3 ans et 144 jours

Rector lance sa nouvelle offre Rsoft Bas Carbone de prémurs et prédalles

Dès la phase de construction, tous les composants voient leur empreinte carbone quantifiée et additionnée pour constituer l’impact environnemental global du bâtiment. Cet indicateur réglementaire, soumis à un seuil maximal dans le cadre de la RE2020, sera par ailleurs revu à la baisse tous les trois ans. C’est dans cette optique de sobriété carbone, initiée il y a tout juste un an avec ses premiers Prémurs béton bas carbone, et pour marquer son propre engagement dans la lutte contre le réchauffement climatique que RECTOR crée aujourd’hui Rsoft, une offre de prémurs et prédalles bas carbone.Une large gamme de produits et systèmes préfabriqués bas carbone pour répondre à tous les projets de construction Fruit d’un travail de recherche et développement sur l’impact carbone de ses produits, l’offre Rsoft Bas Carbone de RECTOR se compose de systèmes constructifs qui garantissent un bilan carbone nettement réduit tout en améliorant la productivité, la sécurité et l’efficacité des chantiers : Prédalles BA Rsoft, pour un bilan carbone allégé à tous les étagesPrémurs Rsoft en infrastructure ou superstructure les verticaux profitent d’une meilleure empreinte environnementaleThermoprédalles BA 0,45 Rsoft la solution de plancher préfabriqué à rupteurs thermiques intégrés qui contribue à la réduction des consommations d’énergie et lutte contre les émissions de gaz à effet de serrePrédalle SPD Rsoft en association avec le plancher-dalle Caméléo pour une structure à l’empreinte environnementale optimisée.Rsoft, des matériaux sobres aux performances garanties Pour alléger l’empreinte environnementale des constructions neuves, l’offre Rsoft Bas Carbone de RECTOR est basée sur l’économie circulaire. Elle intègre, en effet, des formulations béton à faible intensité carbone, des armatures issues d’aciers recyclés et profite d’un processus de fabrication et d’étuvage optimisé afin de garantir la qualité et la performance de ses produits.Ses performances sont certifiées par des FDES, disponibles sur la base INIES.Rsoft, tous les atouts de la préfabrication béton L’offre de prédalles et prémurs Rsoft Bas Carbone offre tous les avantages de la préfabrication : une mise en œuvre rapide, des délais d’exécution maîtrisés, une qualité de parement optimale, des performances structurelles de l’ouvrage inchangé et identique à des produits en béton classique. A ceux-ci s’ajoutent : la garantie sur les gains carbone annoncés grâce à un process de qualité industrielle, une résistance à jeune âge du béton maîtrisée en usine et garantie à la livraison sur chantier.L’ensemble de l’offre Rsoft Bas Carbone de RECTOR est disponible sur l’ensemble du territoire grâce au maillage industriel national du fabricant. Cette proximité participe également à la réduction de l’empreinte environnementale liée au transport.
Il y a 3 ans et 144 jours

Faire évoluer la démarche EcoQuartier

A l’occasion de l’annonce des 42 lauréats de la 9e campagne de labellisation EcoQuartier, Florian Bercault, maire de Laval a remis à Emmanuelle Wargon, ministre déléguée chargée du logement un livre blanc qui contient 9 mesures articulées autour de trois axes – accompagner les territoires pour faire émerger de nouveaux écoquartiers, valoriser (démonstrateurs de la ville durable), populariser et communiquer sur la démarche : – Production d’un guide «universel» de l’aménagement durable, et utile à tous les porteurs de projets d’aménagement, qu’ils se lancent ou non dans la labellisation. Ce guide sera le fruit de la convergence des référentiels d’aménagement et de management ÉcoQuartier, HQE aménagement et ISO 37101, mis à jour des dernières réformes (dont la RE2020 et le zéro artificialisation nette), et du manifeste présenté dans la démarche « Habiter la France de Demain ». – Accompagnement stratégique et opérationnel par le CEREMA d’une quinzaine de quartiers sur 3 ans (soit 45 quartiers par an accompagnés en routine), pour l’émergence d’ÉcoQuartiers « en projet » et le confortement d’ÉcoQuartiers « en chantier ». – Offre de service ÉcoQuartiers constituée d’aides à l’ingénierie, d’aides financières et de formations gratuites, lisible et accessible grâce à un portail dédié « Aides-Territoires », qui en assure l’actualisation et le géoréférencement. – Ciblage de la labellisation sur les quartiers livrés et vécus, selon une logique de millésime, et en l’associant à des objectifs de performance qualitatifs, quantitatifs et contextualisés. – Lancement de programmes annuels sur des thématiques ou territoires prioritaires, avec, dès 2022, un programme relatif à la requalification des « entrées de ville ». – Valorisation des porteurs de projets labellisés et de leurs partenaires par un évènement annuel et sur le portail « France Ville Durable ». – Mise en place d’une nouvelle comitologie, plus représentative des parties prenantes, des moyens et des ambitions, avec une Commission Nationale intégrant les citoyens, la réintroduction d’un comité scientifique, et la création d’un comité des financeurs. – Poursuite du club ÉcoQuartier, avec une double fonction d’animation de réseau de proximité et de capitalisation-diffusion des meilleures pratiques, par la connexion de relais territoriaux parmi les services déconcentrés, les établissements publics et les partenaires porteurs de démarches ou programmes de développement urbain (Petites Villes de Demain, Action Cœur de Ville…). – Déploiement d’une nouvelle stratégie de communication, avec une plateforme de marque rénovée, orientée vers les élus qui portent les projets et les habitants qui participent à leur réalisation et qui les vivent. Cet article Faire évoluer la démarche EcoQuartier est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 144 jours

Les prix de la 10ème édition du Trophée béton Écoles

Pour cette 10ième édition, ce concours s’est décliné en deux catégories. La première, appelée PFE (projet de fin d’étude), récompense traditionnellement les jeunes diplômés dont le projet de fin d’étude valorise les qualités esthétiques, environnementales et techniques du béton. Et, pour la première fois cette année, la catégorie dite Studio s’ouvre aux étudiants en architecture de premier et second cycle qui sont invités à réinterpréter une œuvre architecturale majeure en béton, selon une expression graphique libre (dessin, peinture, collage, maquette). Parmi les 117 postulants inscrits, soit de manière individuelle, soit dans la cadre d’équipes intégrant des architectes et/ou ingénieurs, douze projets ont été sélectionnés. Les candidats sont venus défendre leurs travaux devant un jury réunissant des personnalités du monde de l’architecture, de l’ingénierie et de l’enseignement, le jeudi 13 janvier 2022, à la maison de l’architecture Ile-de-France. Ce « Grand oral » constituant pour ces jeunes étudiants une première approche de la réalité du métier. À l’issue de la journée de délibération, le jury, sous la présidence d’Alexandre Grutter, Architecte, Directeur du Département Architecture, INSA Strasbourg – École d’Architecture, a désigné cinq lauréats – trois dans la catégorie PFE et deux exæquos dans la catégorie Studio – lors de la soirée de remise des prix du Trophée béton Écoles. Outre leur Trophée, les gagnants se sont vu remettre une gratification non négligeable de 5 000 euros pour le 1er prix PFE, 4 000 euros pour le 2ème, 3 000 euros pour le 3ème et 2 000 euros pour chaque lauréat de la catégorie Studio. Une mention a été remise par l’association AAIIA. 1er prix PFE : Majoie Tsadok KPOVIESSI Un activateur culturel pour le rayonnement d’une capitale méconnue École nationale supérieure d’architecture de Strasbourg 2ème prix PFE : Quentin RISALETTO Les silos de Withington – Paysage énergétique et poétique de la matière École nationale supérieure d’architecture de Clermont-Ferrand 3ème prix PFE : Guillaume PORCHE L’Historial de Vauquois et de sa Région – Un lieu de mémoire de la guerre des mines en Argonne de 1914 à 1918 École nationale supérieure d’architecture de Strasbourg 1er prix catégorie Studio exæquo : Nicolas NUGUE Félix CANDELA – La fabrique de rhum Bacardi à Mexico École nationale supérieure d’architecture de Versailles 1er prix catégorie Studio exæquo : Zaid CHAFAQI et Clément CHAFAIE Les frères Auguste et Gustave PERRET – L’église du Raincy École nationale supérieure d’architecture de Marseille-Luminy Mention spéciale AAIIA : Loris BIED Un centre social et culturel pour Beausoleil : La réhabilitation du Domaine Charlot École nationale supérieure d’architecture de Saint-Étienne Le Trophée béton Écoles organisé depuis 2012 par l’association Bétocib, le Centre d’information sur le ciment et ses applications (CIMbéton) et la Fondation École Française du béton, sous le patronage du ministère de la Culture, a pour but de révéler les jeunes talents des écoles d’architecture françaises, de les parrainer et de leur offrir une visibilité à l’orée de leur vie professionnelle. En 2021, un partenariat a été créé avec l’Association Architecte Ingénieur & Ingénieur Architecte (AAIIA), afin de mention les binômes ou les doubles diplômes architectes – ingénieurs. Le jury a réuni différentes personnalités du monde de l’architecture pour lesquelles qualités architecturales et qualités structurelles sont indissociables. Alexandre Grutter, Président du Jury, Architecte et Directeur du Département Architecture à l’INSA Strasbourg – École d’Architecture. Stéphanie Celle, Adjointe au Directeur de l’enseignement supérieur et de la recherche en architecture au ministère de la Culture. Thomas Corbasson, Administrateur de la Maison de l’Architecture Ile-de-France Gilles Davoine, Rédacteur en chef de la revue AMC, groupe Moniteur Laure Regnaud, Directrice de la Fondation École Française du Béton Marc Botineau, Architecte Paul Chemetov, Architecte Antoine Daudré-Vignier, Architecte Jérôme Einbinder, Architecte Françoise N’Thépé, Architecte Giovanni Pace, Architecte Philippe Béboux, Architecte epfl sia fas, ingénieur ets et urbaniste fsu, Lausanne Adrien Paporello, Ingénieur-architecte, Représentant de l’association AAIIA Alessandro Formisano Altarea, Maître d’ouvrage, Cogedim Arthur Dalloni, Architecte, Lauréats de la 9ème édition du Trophée béton Écoles Coordination générale Claire Barbou, Architecte et Secrétaire général de Bétocib Visuel : 1er prix catégorie Studio exæquo – Nicolas NUGUE  
Il y a 3 ans et 145 jours

1er immeuble préfabriqué avec modules de matériaux biosourcés et recyclés à Amsterdam

Les premiers modules de logements en bois de Juf Nienke, un nouveau projet circulaire de logements préfabriqués en bois conçu par SeARCH, RAU et Landscape Architecture, ont été installés à Amsterdam. Le projet comprend 61 logements locatifs entièrement en bois et se situe à l’entrée de Centrumeiland, un nouveau terrain surélevé sur le lac IJmeer qui […]
Il y a 3 ans et 146 jours

Les députés indonésiens approuvent la construction d'une nouvelle capitale : "Nusantara"

La nouvelle capitale politique de l'archipel d'Asie du Sud-Est, baptisée "Nusantara", doit être construite à quelque 2.000 kilomètres de la capitale actuelle, qui devrait rester la capitale économique.La chambre basse du Parlement indonésien a approuvé le cadre législatif du projet qui avait été annoncé par le président Joko Widodo en 2019.Jakarta, une conurbation géante de plus de 30 millions d'habitants manque d'infrastructures, est affectée des embouteillages géants, un haut niveau de pollution et voit sa zone côtière s'enfoncer sous le niveau de la mer provoquant de fréquentes inondations.La nouvelle capitale occupera plus de 56.000 hectares dans la province de Kalimantan Est, sur l'île de Bornéo, partagée entre l'Indonésie, la Malaisie et Brunei.Au total, plus de 256.000 hectares ont été réservés en vue d'une expansion du projet.Les premières maquettes de la nouvelle capitale montrent un projet utopiste de ville intelligente construite au milieu des arbres, mais peu de détails ont été confirmés à ce stade.La construction du projet qui devait débuter dès 2020 a été ralentie par la pandémie. Elle devrait s'étaler en plusieurs étapes jusqu'en 2045.Le président Joko Widodo a indiqué lundi que dans la nouvelle capitale "zéro émission", "les gens seront proches de toute destination, et pourront s'y rendre en vélo ou à pied"."Cette capitale aura des bureaux gouvernementaux" mais sera aussi "une nouvelle métropole intelligente qui pourra attirer des talents internationaux et sera un centre pour l'innovation"."Nusantara", qui signifie "archipel" en indonésien, a été choisi parmi une liste de 80 noms car il est reconnaissable facilement par les citoyens et facile à mémoriser, a expliqué lundi 17 janvier le ministre au Développement Suharso Monoarfa.La future capitale sera gouvernée par l'Autorité gouvernementale pour la capitale, une nouvelle entité dirigée par un responsable nommé par le président pour un mandat de cinq ans, selon la loi adoptée par le parlement.Un futur décret présidentiel détaillera le budget du projet évalué précédemment à quelque 33 milliards de dollars.En Asie, la Malaisie a également déménagé sa capitale administrative à Putrajaya en 2003 tandis que la Birmanie a établi une nouvelle capitale en 2006 à Naypyidaw.
Il y a 3 ans et 147 jours

Rénover sa charpente : comment cela se passe?

La rénovation d’une charpente est un projet qui doit être confié à un spécialiste dans le domaine. En effet, il ne faut pas vous aventurer à réaliser les travaux tout seul au risque d’avoir des problèmes. En tout cas, vous devez prendre quelques points en compte avant de valider la réalisation des opérations. Pourquoi rénover la charpente ? Vous êtes surement au courant du fait que la durée de vie d’une charpente peut varier entre 10 et 30 ans. Vous devez alors vous préparer à la rénover quand ce délai est dépassé. En tout cas, une intervention peut s’avérer incontournable si vous constatez que votre toit se déforme. La présence de termites ou d’insectes xylophages peut aussi vous mettre la puce à l’oreille. Il ne faut pas non plus négliger la formation de moisissures au niveau des combles. Il faut contacter un spécialiste en charpente au plus vite quand vous verrez l’un de ces signes. Comment se passe la rénovation d’une charpente ? La rénovation d’une charpente peut se présenter sous différentes manières. Cela concerne en premier lieu la réalisation d’un traitement hydrofuge au niveau des poutres. Il y a aussi les traitements insecticide et fongicide selon la situation. Le remplacement de quelques pièces peut aussi se faire ainsi que le cerclage des poutres. Il se peut en outre que vous soyez emmené à poser des contreventements et des entretoisements. Une opération de renforcement peut être conseillée dans certains cas. Il ne faut pas non plus négliger le blanchissement ainsi que le sablage des poutres. L’isolation est une intervention à part entière L’isolation reste une rénovation à ne pas négliger sur une charpente. Il faut hésiter de faire les choses tout seul si vous n’êtes pas sûr d’y arriver. Il ne faut pas oublier que ce type d’intervention nécessite une parfaite maitrise de la situation. La réussite des travaux permettra d’améliorer la performance thermique de votre habitation. Cela est valable que ce soit en été ou en hiver. S’informer sur les normes concernant ce type d’intervention Rénover une charpente ne doit pas se faire n’importe comment. C’est pour cela que vous devez vous fier à un spécialiste pour réaliser les travaux. Vous éviterez ainsi de causer d’autres problèmes. Un spécialiste interviendra tout en respectant les règles locales d’urbanisme, mais aussi le DTU (Documents Techniques Unifiés). Il est plus judicieux de s’informer sur l’utilité d’un permis de construire ou d’une déclaration des travaux. L’intervention d’un architecte peut même s’avérer incontournable dans certains cas. Demandez des aides financières pour vos travaux Le fait de solliciter l’intervention d’un artisan couvreur charpentier vous donnera l’opportunité de demander des aides financiers. Cela vous sera bénéfique au cas où vous ne disposerez pas de la somme essentielle pour réaliser les travaux. Vous pouvez par exemple demander une éco-PTZ (Eco-prêt à taux zéro). Il y a aussi la réduction de la TVA avec un taux de 5,5 % sans oublier les aides départemental ou régional. En tout cas, il faut engager un spécialiste qualifié pour réaliser les travaux. Cela concerne principalement le RGE (Reconnu Garant de l’Environnement).
Il y a 3 ans et 147 jours

Trois maisons R&D en construction à Saint-Nazaire pour expérimenter la maison du futur

En 2022, l’entreprise ira plus loin, avec la mise en application de son approche holistique du logement, lui permettant de tester ses recherches à travers un village R&D, pour cela, 3 maisons R&D seront construites à Saint-Nazaire en 2022.3 maisons R&D pour matérialiser l’innovation au plus près des habitantsPour Nicolas Descombes, PDG de la société : « Notre métier nous oblige à avoir une longueur d’avance et à nous projeter, sans jamais improviser. Cette longueur d’avance, nous l’avons toujours eue, par exemple en intégrant l’aluminium dans nos menuiseries dès 1985. En créant notre cellule R&D en 2019, constituée d’un bureau d’études regroupant différents métiers et d’une équipe travaux, (composée de binômes secrétaires techniques / conducteurs de travaux), l’objectif était de maintenir cette avance. »Aujourd’hui, Berthelot Constructions souhaite mettre en application les concepts innovants issus de sa cellule R&D, en les ancrant dans le quotidien des habitants pour analyser leurs utilisations. L’entreprise ligérienne annonce la construction, en 2022, de 3 maisons R&D, qui intégreront de nouvelles technologies et permettront à l’entreprise d’analyser la maîtrise des coûts de celles-ci, afin de pouvoir ensuite les dupliquer et les déployer à plus grande échelle. « Pour cela, le dialogue avec les habitants sera primordial. Nous prévoyons de mener une étude, pour comprendre et étudier l’acquisition de ces technologies pour leurs utilisateurs. » souligne le PDG.Apporter une réponse concrète aux crises du logement et écologiquePour Nicolas Descombes, PDG de la société : « Historiquement, nous développions des maisons témoins, afin de montrer aux futurs habitants à quoi pourrait ressembler leur future maison. Cela leur permettait de se projeter et de découvrir nos dernières innovations. Ce concept n’a plus de sens et n’est plus cohérent aujourd’hui, car dès la construction de cet “habitat vitrine”, il n’est plus à jour et la technologie est déjà dépassée. »L’entreprise est donc dans une autre logique, celle d’utiliser le foncier dont elle dispose, de construire des logements avec l’ensemble des innovations développées par sa cellule de R&D, pour ensuite mettre ces habitats en location. Ces maisons sont construites sur des terrains à la surface réduite, dans le but de répondre aux problématiques d’urbanisation de demain, entre autres, la densification urbaine. « Notre objectif est de répondre à deux crises majeures : la crise du logement, en permettant de construire plus et de manière plus responsable et durable, ainsi que la crise écologique, en préservant les terrains naturels et agricoles. » conclut Nicolas Descombes. L’entreprise fait un pas de plus vers le logement de demain, plus éthique, personnalisé et évolutif.3 « maisons R&D » à Saint-NazaireLa construction des 3 maisons commencera au premier trimestre 2022. Celles-ci auront une superficie comprise entre 84 et 109 m². Chaque Maison R&D est construite pour tester des éléments spécifiques.Maison Evolutia : optimiser durablement l’isolation et le chauffage des murs au plafondSurface habitable : 109.81 m².Plénum, descente de plafond au centre de la maison qui sert à desservir toutes les pièces en chauffage. Système par insufflation performant. Réversible clim/chauffage.Brique en matière première géosourcée et renouvelable exploitée uniquement en France permettant une meilleure qualité de l’air intérieur du logement.ECS (eau chaude thermo dynamique) : la PAC de cette maison ne produit pas d’eau chaude, 1 ballon d’eau chaude est donc suffisant.Isolation Knauff RT+ en accord avec la RE2020 permettant la perméabilité de l’air du bâtiment. La laine de verre utilisée est composée de liants issus de la culture de betterave.Maison Decoria : repenser la gestion des énergiesSurface habitable : 84.54 m².Laine de bois biosourcée offrant une meilleure résistance thermique à l’ensemble de la maison.VMC à simple flux Renson hygro réglable avec auto gérance du traitement de l’air et information sur la qualité de l’air intérieur via une commande tactile Touch Display.Plafond chauffant PLAFINO évitant la surconsommation et la surchauffe couplé à un puits rafraîchissant composé d’un circuit d’eau dans les fondations de la maison.Verre Planistar qui récupère les calories du soleil pour les restituer en journée dans la maison.Béton Hoffman dans les poutres, poteaux et le dallage de la maison. Ce béton est le plus neutre en carbone sur le marché.Maison Natura : lier innovation et qualité de vie en s’inspirant de la natureSurface habitable : 89.58 m².Laine de lin biosourcée.Pack Delta Dore : système de chauffage intégré avec volets roulants et modulation par pièces.VMI (Ventilation Mécanique Inversée) Ventilairsec : système avec boucles d’insufflations sur le toit de la maison et retraitement de l’air (élimine les excès polluants, filtre la pollution extérieure, ré-aspiration dans les pièces humides). Commande smartphone.Multi Splits : chauffage/clim au mur thermo dynamique.Peintures non polluantes aux algues.