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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Urbanisme - Aménagement

(35882 résultats)
Il y a 3 ans et 158 jours

Comment reconquérir les îlots anciens dégradés ?

ÉTUDE. La direction de l'habitat, de l'urbanisme et des paysages met à disposition des acteurs locaux un guide pour les aider à transformer leur habitat dégradé de centre-ville, afin de retrouver une attractivité, dans le cadre du programme Action coeur de ville notamment. De la conception à la réalisation, la gouvernance, les outils opérationnels, et les échelles sont questionnées, avec une vingtaine d'exemple de villes ayant lancé, de manière innovante, des politiques de résorption d'îlots dégradés.
Il y a 3 ans et 158 jours

Dans la vallée de la Roya, Macron face au chantier "colossal" accompli et aux difficultés persistantes

Après un passage sur le chantier titanesque de la route départementale que le fleuve avait transformé en pointillés, le président de la République est arrivé à Tende, au coeur d'une des trois vallées alpines touchées dans l'arrière-pays de Menton. Les crues avaient fait dix morts et huit disparus côté français.Le maire, Jean-Pierre Vassalo, l'a accueilli des larmes dans la voix: "Il y a eu une volonté époustouflante, extraordinaire. Moi, (le) lendemain, je croyais qu'on était foutu, franchement foutu", qu'il nous faudrait "au moins cinq à six ans pour nous relever".L'élu a cependant évoqué la voie ferrée, "cordon ombilical" avec la côte, qui a besoin d'être "plus performante", ou les établissements hospitaliers de la vallée qui emploient 500 personnes et qui ont "besoin d'être confortés".Sans parler du hameau de Casterino, toujours coupé du monde.Emmanuel Macron, qui s'était déjà rendu dans la vallée quelques jours après la catastrophe et avait promis de revenir, a été à l'écoute, parlant peu."L'important est de nous alerter sur les points sur lesquels il faut qu'on continue d'être vigilants", a-t-il assuré.Il a tenu à "saluer le travail colossal" fait depuis 15 mois face à des "dégâts immenses", les plus graves en France métropolitaine depuis la Seconde Guerre mondiale, assurant que "l'année 2022, ce sera la fin complète des travaux".Ce délai sera cependant difficile à tenir pour le tunnel de Tende, qui permet habituellement de relier Tende à Limone côté italien, et devrait rouvrir au plus tôt en 2023 selon les autorités."Il faut encore plus de 300 jours pour le percer", a confirmé le maire de Tende. Il faut "qu'on ait une vraie entente, une coopération franco-italienne, pour que ce ne soit pas toujours des blocages", a insisté auprès de l'AFP Sébastian Olharan, maire (LR) de Breil-sur-Roya."C'est un sujet européen, on a la présidence (de l'Union européenne, NDLR) et on peut avoir un accord tout de suite", a répondu Emmanuel Macron.Quelque 200 habitants avaient aussi attendu le chef de l'Etat pendant des heures, dans le froid: "Par rapport à la construction de la route, qui a pris des siècles, en l'espace d'un an déjà on a été extrêmement rapidement dans (la) reconstruction", a assuré Cédric Voinet, 45 ans, philosophe.
Il y a 3 ans et 158 jours

GenePlanet a créé un environnement de travail sur-mesure avec la moquette modulaire Isotherm de Milliken

GenePlanet a choisi le cabinet d'architectes local Kragelj pour cette mission consistant à créer un environnement qui répondrait à tous les besoins diversifiés de ses collaborateurs, opérant dans des domaines aussi variés que le médical, les opérations, l’informatique et le marketing.Approche designL'équipe de conception devait créer un lieu de travail cohésif disposant de zones de collaboration et de circulation ouvertes, de plusieurs salles de réunion de tailles différentes, de zones réservées aux postes de travail et de quelques espaces privés pour les conférences téléphoniques. Le brillant travail de conception de Kragelj a permis d'atteindre cet objectif. Le nouveau bâtiment présente un atrium central spacieux et à double hauteur, entouré d'une série de zones fonctionnelles fermées et vitrées qui permettent aux espaces de conserver une sensation de clarté et d'ouverture.La moquette modulaire en planches Isotherm de Milliken, issue de la collection Arctic Survey, a été sélectionnée pour s'intégrer parfaitement à l'esthétique fraîche, calme et neutre de ce lieu de travail moderne et sophistiqué. La collection Arctic Survey s'inspire du paysage en constante évolution de la région polaire et de la beauté naturelle de ses icebergs. Leurs surfaces changeantes sont reflétées par les crêtes et les textures des dalles Isotherm, installées sur l'ensemble du sol.Deux gris complémentaires, Antarctic et Snow Caves, plus clair, ont été choisis pour ce projet. Les couleurs saturées du nylon teint dans la masse et la surface sculptée de la moquette Isotherm s'associent pour créer un aspect riche et tonique qui évoque la qualité de ce projet de haut vol. La résistance aux taches, inhérente au fil teint dans la masse, ainsi que le traitement supplémentaire StainSmart® antisalissure permettront à ce revêtement de sol de couleur claire de conserver son aspect net et propre au fil du temps.« La moquette Isotherm d'Arctic Survey offre un confort de déplacement luxueux au sein de l’espace et contribue à réduire la fatigue musculaire des jambes de ses occupants. »Des dalles de moquette équipées d’un dossier en mousseProposer un lieu de travail agréable et inspirant est essentiel à la culture de GenePlanet. C’est d’ailleurs devenu l’une des principales exigences figurant dans le cahier des charges. Les finitions intérieures haut de gamme et les revêtements de sol luxueux de ce nouveau bâtiment étaient primordiaux pour atteindre cet objectif. Avec le support Comfort Plus® de Milliken, la moquette Isotherm d'Arctic Survey offre un confort de déplacement luxueux au sein de l’espace et contribue à réduire la fatigue musculaire des jambes de ses occupants.Les performances acoustiques du dossier en mousse sont inégalées. Avec une absorption du son allant jusqu'à 36 dB, pour un espace de bureau ouvert comme celui de Geneplanet, cela contribue à créer un environnement de travail plus calme, plus silencieux et plus productif.Outre le fil teint dans la masse et le traitement antitache, le dossier Comfort Plus® jouera également un rôle important dans le maintien de l'apparence de la moquette en absorbant l'usure due à une utilisation intensive.Des influences du design biophiliqueLe design biophilique a été d’une grande influence dans la solution proposée par Kragelj. L'intérieur est ponctué de plantes vertes luxuriantes, tandis que les finitions en bois naturel se retrouvent dans les escaliers, les assises informelles et les plateformes. Les tons glacés et les textures organiques des revêtements de sol s'accordent sans peine avec ces autres références biophiliques.Pour cette entreprise moderne, la durabilité a été une considération clé dans le choix des matériaux. La moquette Arctic Survey de Milliken est fabriquée avec 20 % de fils recyclés, et 90 % de matériaux recyclés dans son dossier. Ce revêtement de sol durable est certifié GuT, CRI Green Label Plus et BRE, vérifié EPD pour la transparence des matériaux et recyclable par le biais du programme de reprise des moquettes Milliken.Avec son approche avant-gardiste, professionnelle et inspirante, le cabinet d'architectes Kragelj a créé un projet de design qui reflète parfaitement l'ADN de GenePlanet et ses valeurs culturelles.En savoir plus sur les revêtements de sol Milliken
Il y a 3 ans et 158 jours

Le décret mettant en place la Rep Bâtiment est paru

Un éco-organisme pour le développement de la filière de recyclage des matériaux de construction a été créé par les syndicats et les fédérations des industriels de la construction. [©ACPresse] Si en novembre dernier, le ministère de la Transition écologique et solidaire annonçait le report de la Rep, le décret n° 2021-1941 qui définit les obligations des metteurs sur le marché de produits de construction est finalement paru au Journal officiel. Publié au 1er janvier 2022, le décret met en place la responsabilité élargie des producteurs de déchets du bâtiment prévue par la loi Agec. L’objectif ? Accélérer et optimiser le recyclage. Lire aussi :Ecominero : Une marque pour valoriser les déchets inertes du bâtiment Car pour rappel, le bâtiment génère près de 42 Mt/an de déchets. Le décret définit ainsi le rôle et les obligations des éco-organismes. Sans toutefois acter les entités agréées, qui font l’objet d’une concertation depuis novembre 2021. De plus, le décret indique que les dispositions actuelles de reprise des déchets restent en vigueur jusqu’à ce qu’au moins un éco-organisme soit agréé. Lorsque cela sera fait, ces derniers s’engagent à reprendre sans frais les déchets triés du bâtiment. Le texte stipule que plusieurs éco-organismes peuvent exister pour une même filière de produits et de matériaux. Un décret mis sur pause De plus, ils devront assurer un maillage territorial efficace en concertation avec les collectivités locales. « Sauf lorsque le plan ou le schéma régional en dispose autrement, la distance moyenne à l’échelle régionale entre le lieu de production des déchets et l’installation de reprise des déchets est de l’ordre de 10 km. » Toutefois, dans les zones où la densité d’habitants et d’activités économiques est faible, cette distance est de l’ordre de 20 km. « Lorsque le maillage ne permet pas de respecter cette distance, l’éco-organisme propose des mesures de reprise des déchets auprès de leur détenteur ou de compensation financière des coûts de transport. » Lire aussi :Valobat : Pour faire progresser le recyclage des déchets du bâtiment Enfin, le texte définit deux types de produits et matériaux de construction. D’une part, les solutions constituées de minéraux et dépourvues de verre, laines minérales ou plâtre (béton, chaux, terre cuite…). Et d’autre part, les autres produits de la construction (bois, laine de verre et de roche, métal…). Les terres excavées, les outils et équipements techniques industriels ou encore les installations nucléaires de base ne rentrent pas dans le giron de ce dispositif.
Il y a 3 ans et 158 jours

Démantèlement en vue pour un parc éolien du Morbihan jugé illégal

JUSTICE. Dans la foulée d'une décision du Conseil d'État jugeant illégal le parc éolien de Guern, dans le Morbihan, le préfet a ordonné le démantèlement des trois aérogénérateurs qui le composent. L'installation a été mise en service en 2008 mais son permis de construire a fait l'objet de 15 ans de procédures judiciaires.
Il y a 3 ans et 158 jours

Inauguration du Pavillon by Cemex à Paris

Le Pavillon by Cemex est le nouveau showroom de l’industriel, situé sur son site de production de Port-Victor, à Paris dans le XVe arrondissement. [©Cemex] Fin novembre dernier s’est déroulée l’inauguration virtuelle du Pavillon by Cemex. Cet évènement a été l’occasion de visiter ce lieu innovant. Et d’assister à la démonstration de l’outil digital “Le Pavillon Virtual Tour”. Ce dernier étant destiné à la découverte des bétons et des solutions constructives Cemex en lien avec la ville durable. « Le Pavillon by Cemex a pour vocation d’accueillir décideurs, prescripteurs, maîtres d’ouvrage et maîtres d’œuvre. Ceci, afin de les soutenir dans leurs projets de construction et de rénovation », indique Michel André, directeur général Cemex Matériaux Europe de l’Ouest. Et de poursuivre : « Nous avons créé un cadre propice à la discussion, à la réflexion et à la créativité. Les équipes prescription et promotion y conseilleront les acteurs de la construction et de l’aménagement du territoire. Sur les solutions les plus adaptées à leurs ambitions ». A la découverte du Pavillon Virtual Tour La visite guidée par Dominique Sestillange, responsable produits spéciaux et réseaux partenaires de Cemex France, a permis aux invités de découvrir les différents espaces du show-room. Mais aussi les technologies phares du groupe. Ainsi que des références de chantiers innovants. « L’objectif est de co-construire des solutions sur mesure directement avec les maîtres d’ouvrage. Et ce, en présentant les différentes technologies que nous mettons à leur disposition comme la durabilité, l’économie circulaire, la perméabilité, le confort ou encore l’esthétique », ajoute Dominique Sestillange. Et de conclure : « Pour les porteurs de projets qui ne pourraient pas venir nous rencontrer sur place, nous avons créé Le Pavillon Virtual Tour, qui leur permet de s’immerger à distance dans Le Pavillon by Cemex ». Retrouvez prochainement l’intégralité du reportage-vidéo sur notre site www.acpresse.fr et de “l’Esprit Béton” dans Béton[s] le Magazine n° 100.
Il y a 3 ans et 158 jours

SMAC cède Resipoly et Eurosyntec au groupe MAPEI

Cette vente s’inscrit pleinement dans la stratégie de SMAC qui se recentre sur son cœur de métier, à savoir son activité de travaux : étanchéité, bardage, façade architecturale, rénovation énergétique ainsi que l’entretien et la maintenance de l’enveloppe du bâtiment.En cohérence avec cette stratégie, SMAC avait initié dès 2020 la vente de ses filiales industrielles, dont la cession de RESIPOLY et d’EUROSYNTEC marque l’achèvement. Il s’agit pour SMAC d’une réelle opportunité. L’entreprise souhaite ainsi se concentrer sur sa raison d’être, à savoir : concevoir, construire et entretenir de manière éco-responsable l’enveloppe du patrimoine immobilier d’aujourd’hui et de demain. Il est en effet à noter que le secteur du bâtiment représente plus de 40 % de l’énergie totale consommée et génère plus de 20 % des émissions globales de gaz à effet de serre.Construire et rénover les enveloppes des bâtiments qui modèlent nos villes et nos paysages constituent un enjeu environnemental fort. À travers ses choix stratégiques, SMAC s’engage pleinement pour relever ce défi via ses activités de travaux et de services, jouer un rôle d’acteur majeur de la ville durable et contribuer à l’amélioration de la vie quotidienne des citoyens.Rappelons qu’au début du mois de mars, SMAC a finalisé la vente d’AXTER, son pôle de production et de commercialisation de membranes, et en avril la vente de SKYDÔME et ESSEMES Services spécialisées dans la production, la commercialisation et l’installation de lanterneaux.
Il y a 3 ans et 158 jours

Clapp de début pour JPB Système à Montereau-sur-le-Jard

L’agence Clapp architectes (Clara Georgelin-Conan et Pier Paolo Bonandrini) a été retenue pour la construction à Montereau-sur-le-Jard (Seine-et-Marne) d’un siège social et d’une usine 4.0 (10 000m²) pour JPB système, un fabricant de pièces pour moteurs aéronautiques, maître d’ouvrage. Livraison prévue : 2023. Communiqué. Sur un terrain plat sans relief ni végétation, le projet réunit un […] L’article Clapp de début pour JPB Système à Montereau-sur-le-Jard est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 159 jours

L'Etat déploie 100 millions d'euros supplémentaires pour le fonds friches

ANNONCE. Le gouvernement a décidé d'allouer un budget supplémentaire au programme de financement destiné à recycler des friches sur le territoire français. Un appel à projets est annoncé au premier trimestre.
Il y a 3 ans et 159 jours

Notre-Dame de Paris: les abords de la cathédrale repensés via la réalité virtuelle

CONCEPTION. Autodesk a modélisé les abords de la Cathédrale Notre-Dame, dans le cadre du réaménagement de cette partie de l'Ile de la Cité, à Paris. Une "base commune" qui permettra aux équipes finalistes du concours d'architecture de travailler ensemble.
Il y a 3 ans et 159 jours

Aménagement du site Tour Eiffel : piétonnisation et végétalisation des axes routiers à l'étude

La mairie de Paris s'est engagée à revoir certains points de son projet de réaménagement autour de la Tour Eiffel, où elle veut piétonniser et végétaliser l'axe entre le Trocadéro et le Champ-de-Mars.
Il y a 3 ans et 159 jours

La Cité de la gastronomie, nouveau quartier et équipement à rayonnement pour Dijon

ATTRACTIVITÉ. Une collaboration public-privé "exemplaire" entre la Ville de Dijon et Eiffage a permis l'émergence d'un projet à même de renforcer Dijon sur le plan de l'attractivité touristique. Outre la Cité de la gastronomie, logée en parti dans l'ancien hôpital général réhabilité, ce sont plusieurs centaines de logements qui sont attendus dans un nouvel écoquartier.
Il y a 3 ans et 159 jours

Bientôt une visite virtuelle de Notre-Dame sous le parvis de la cathédrale

Une société associée à Orange va proposer une visite en réalité virtuelle de Notre-Dame-de-Paris dans le parking situé sous le parvis, pendant les travaux de reconstruction de la cathédrale incendiée.
Il y a 3 ans et 159 jours

Le bailleur Maisons&Cités lance l'expérimentation Pecquenchanvre

Objectif : encourager le développement d’une filière du chanvre à usage du BTP dans les Hauts-de-France et accompagner la transition écologique du territoire. Les travaux qui ont débuté cet été se poursuivront jusque fin 2022.Le recours aux matériaux biosourcés pour l’amélioration thermique des logements devient une problématique majeure pour répondre aux enjeux sociaux et environnementaux actuels. En effet, la baisse des factures énergétiques et la réduction des émissions de gaz à effet de serre face au dérèglement climatique constituent une priorité pour les bailleurs sociaux. Depuis plus de cinq ans, Maisons & Cités est engagé dans une réflexion autour d’une alternative aux isolants classiques dans le cadre de la rénovation de son parc de logements. Après plusieurs expérimentations menées dans le bassin minier à travers les opérations Réafutur 1 & 2, ainsi que Rénochanvre, le bailleur a reconnu le béton de chanvre comme biomatériaux d’avenir, notamment dans le cadre de la rénovation d’habitations en briques, dominantes sur le territoire des Hauts-de-France. Un projet pilote en FranceD’un montant d’investissement de 800.000 €, le projet Pecquenchanvre constitue une nouvelle étape dans ce cheminement. Sur une période de 2 ans, 50 logements de la Cité Barrois à Pecquencourt seront ainsi rénovés en utilisant du béton de chanvre, à un rythme de 6 logements livrés chaque mois. Une étude scientifique sera menée en parallèle par le CEREMA, l’Université Polytechnique des Hauts-de-France et l’Université Catholique de Lille afin de mesurer l’efficacité de la démarche écologique de l’opération. En complément, une étude sociologique sera réalisée afin d’analyser les pratiques et le ressenti des occupants. Pour l’heure, les retours des 1ers habitants ayant regagné leur logement rénové sont prometteurs.Pour Corinne Sevin, bénéficiaire de l’opération Pecquenchanvre : « Le recours au béton de chanvre comme isolant thermique assure une température ambiante idéale dans mon habitat. A la mi-novembre, je n’ai toujours pas allumé le chauffage. »Si l’expérimentation est concluante, Maisons & Cités prévoit de rénover, à terme, 1000 logements en faisant appel à ce matériau biosourcé : un défi ambitieux et inédit de la part d’un bailleur social à travers l’Hexagone. Bâtir une filière régionale du béton de chanvre d'ici 5 ansSoutenue par la région dans le cadre de la Troisième Révolution Industrielle Rev3 et accompagnée par le CD2E et le cabinet ÖPUN, ce projet s’intègre par ailleurs dans une démarche plus globale baptisée « Hauts-de-Chanvre », qui tend à initier la création d’une filière du béton de chanvre dans les Hauts-de-France d’ici 5 ans.Le développement d’un marché du chanvre et d’une filière régionale de culture et de transformation constituerait en effet un formidable vecteur de développement économique pour les Hauts-de-France. Dans le Bassin minier, la naissance de cette filière pourrait s’accompagner du développement d’unités de préfabrication en local et ainsi générer de nouveaux emplois. De quoi contribuer à la renaissance de ce territoire.Mais pour y parvenir, le chemin est encore long et nécessite l’implication de tous les acteurs du territoire, tous secteurs confondus. Pour ce faire, Maisons & Cités travaille en étroite collaboration avec le CD2E, aussi bien sur les aspects de développement de la culture du chanvre sur le territoire que de la formation des entreprises de BTP à son usage. Pour Jean-François Campion, Président de Maisons et Cités : « Il faut leur montrer que le modèle peut être rentable. C’est en créant le marché que l’on parviendra à rendre ce matériau compétitif et à œuvrer pour la transition écologique du territoire. »
Il y a 3 ans et 159 jours

Un balcon sur l'océan, la restructuration du siège social de l'Ifremer par DLW Architectes

Pour la restructuration-extension du siège social de l'Ifremer en Bretagne, face à l'océan, DLW architectes a pris le parti d'amplifier l'effet de courbure formelle de la façade d'entrée. Dans une volonté de compacité, le plan s'évase vers le nord, et un niveau complémentaire en rez-de-jardin a été […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 160 jours

La Libye tente de contenir son urbanisation anarchique

Des terrains agricoles non aménagés divisés à la hâte pour accueillir des logements, des quartiers entiers sortis de terre sans autorisation et des villes confrontées à une forte tension immobilière.La Libye est aujourd'hui "incapable de suivre le rythme" de son urbanisation galopante et anarchique, concède à l'AFP le ministre du Logement et de la Construction du gouvernement intérimaire, Aboubakr al-Ghawi.A Benghazi (est), la superficie construite a doublé depuis 2009, passant de 32.000 à 64.000 hectares, selon le directeur du Bureau des projets de la ville, Oussama Al-Kazza. Et la moitié de la deuxième ville du pays a été construite "en dehors du schéma directeur", indique-t-il.A 1.000 km à l'ouest, dans la capitale Tripoli, des quartiers entiers ont aussi vu le jour sans la moindre autorisation.Alors que la Libye commence à retrouver un semblant de stabilité, le ministère du Logement s'apprête à accélérer l'achèvement de la "troisième phase des plans d'urbanisme, en collaboration avec des bureaux d'études locaux et internationaux pour revoir les schémas aléatoires élaborés ces dix dernières années", affirme M. al-Ghawi.Le premier plan d'urbanisme a été adopté en 1966, le deuxième en 1980 et le dernier en 2009. Mais celui-ci n'a jamais été mis en oeuvre en raison du chaos et de l'instabilité."Maisons détruites"A l'insu des autorités, des milliers d'hectares de terres agricoles en périphérie de Benghazi ont été divisés en parcelles de 500 mètres carrés, vendues pour abriter des logements, sans planification ni aménagement.Les autorités locales peinent à contenir le phénomène et à réaménager les secteurs endommagés par la guerre, ce qui favorise la création de quartiers entiers non autorisés où se sont installées des familles déplacées depuis 2014.Plusieurs faubourgs de la ville ont été entièrement détruits lors des violents combats menés ces dernières années pour en chasser les groupes jihadistes qui s'y sont retranchés après 2011.Leurs habitants ont dû trouver des solutions dans l'urgence, pas toujours dans les règles, pour ne pas finir à la rue."Nous avons quitté nos maisons du centre-ville à cause de la guerre", confie Jallal al-Gotrani, un fonctionnaire de 48 ans qui a construit une maison dans un nouveau quartier de cette ville orientale, berceau de la révolte de 2011."A la fin des combats, nous avons découvert nos maisons détruites, inhabitables. Nous n'étions plus en mesure de payer le loyer, nous avons donc été obligés de construire une petite maison dans un secteur créé par des habitants de manière aléatoire, en l'absence d'un nouveau plan de l'Etat ou d'une aide pour réhabiliter les secteurs détruits", raconte-t-il.A la rueSelon M. al-Kazza, plus de 50.000 unités de logement échappent au plan général de la ville et ne répondent pas aux normes de planification en matière de routes, d'espaces verts, d'écoles ou de centres de santé, mais surtout de réseaux d'eau et d'égouts.La Garde municipale s'efforce de contenir le phénomène. "Arrêtez la construction et contactez la direction" du plan urbain, peut-on lire en lettres rouges sur des clôtures de chantiers non autorisés à Benghazi.Le chef du département de l'urbanisme, Abdulhakim Amer, appelle à passer outre la "bureaucratie administrative" pour contrecarrer cette urbanisation qui échappe à tout contrôle.A Tripoli, les besoins en logement sont particulièrement criants. Les affrontements autour de la capitale l'an dernier et les violences sanglantes dans l'Est ont mis sous pression la plus grande ville du pays, qui a vu affluer des dizaines de milliers de familles affectées par la guerre, provoquant une crise du logement combinée à une flambée des prix.Depuis quelques semaines, les autorités locales mènent une importante campagne contre les constructions sans permis qui ont poussé dans la capitale pendant la période de chaos post-révolte, notamment le long de la corniche où ont prospéré des dizaines de cafés, fast-foods et habitations.Des dizaines de commerces mais aussi des logements non autorisés ont ainsi été rasés. Une reprise en main qui n'est pas sans conséquences pour les occupants, sommés de vider les lieux sans préavis et sans leur offrir d'alternatives.
Il y a 3 ans et 162 jours

A Pau, Ameller Dubois requalifie le centre-ville

A Pau (Pyrénées-Atlantiques), pour la réhabilitation des Halles République, l’agence parisienne Ameller Dubois devait répondre à un enjeu à la fois esthétique, politique et fonctionnel. La gamme Rythmic Elistic de Gantois participe du choix des architectes d’une requalification contemporaine du centre-ville. Le projet Construit en 1975, l’ensemble connu sous le nom de Complexe de la […] L’article A Pau, Ameller Dubois requalifie le centre-ville est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 162 jours

En 2022, Hidalgo veut "poursuivre l'embellissement de Paris" alors que ses habitants dénoncent un saccage de la capitale

La maire socialiste a déclaré dans ses vœux diffusés en ligne, en lieu et place d'une cérémonie annulée en raison de la nouvelle vague de contaminations due au variant Omicron, qu'alors que « le compte à rebours des Jeux olympiques et paralympiques de 2024 va s'accélérer », « nous continuerons à redonner à Paris toute sa splendeur : je pense au grand site Tour Eiffel (...) et au lancement du réaménagement des abords de Notre-Dame ».Alors que 2021 a été une année riche en contestations des décisions prises par la mairie parisienne, notamment avec le mouvement #SaccageParis, qui dénonçait les choix d'aménagement de voirie, la manque de propreté des rues ou le mobilier urbain entre autre, la mairie de Paris s'est engagée en décembre dernier à revenir sur certains points de son projet de réaménagement autour de la Tour Eiffel pour tenir compte des critiques mises en lumière lors d'une concertation publique menée à l'automne.Tandis que la mairie veut piétonniser et végétaliser l'axe Trocadéro-Champ-de-Mars, pour un budget de 107 millions d'euros, elle a annoncé « étudier un nouveau mobilier » pour le pont d'Iéna, où la perspective de bacs végétalisés a été « largement remise en question » par les contributions.Les abords de Notre-Dame-de-Paris sont également concernés : le « dialogue compétitif » en cours entre les quatre finalistes doit toucher au but fin juin à la désignation du lauréat. En revanche, les travaux, d'un montant de 50 millions d'euros, ne démarreront qu'après les Jeux olympiques de 2024."Nous poursuivrons l'embellissement de Paris", a encore déclaré la candidate PS à la présidentielle, "en portant une attention particulière aux portes qui nous relient à la métropole: la Porte de la Chapelle", où l'Arena 2 (salle multifonctionnelle d'environ 8.000 places) est en cours de construction, "et la Porte de Montreuil", où le projet de halle pour abriter les commerçants des puces suscite la méfiance de ces derniers."Nous investirons cette année 1,65 milliard d'euros pour transformer notre ville et lutter contre les inégalités", a rappelé Anne Hidalgo en annonçant la création de 6 nouvelles cours-oasis et d'une "trentaine" de nouvelles "rues aux écoles".Ces « rues aux écoles » ont été créée suite au premier confinement dans le but de favoriser la distanciation physique des élèves et d'éloigner les voitures. Ces rues partiellement ou totalement piétonisées vont être au nombre de 169 d'ici les prochaines semaines selon un décompte de la mairie. L'aménagement de 21 nouvelles rues aux écoles sont prévues pour un coût de 9 millions d'euros.
Il y a 3 ans et 162 jours

Impression 3D béton : La genèse de la construction durable ?

L’impression 3D commence à s’installer dans le secteur de la construction. [©Contour Crafting] Le secteur de la construction met en place de nombreuses initiatives pour décarboner les bâtiments. Parmi elles, figurent l’impression 3D béton. Encore peu exploité, ce procédé, pourrait devenir la solution pour assurer une construction plus durable et respectueuse de l’environnement. L’innovation voit le jour en 2004 avec Behrokh Khoshnevis. Ce professeur de l’Université de Caroline du Sud a mis au point une imprimante 3D montée sur un bras robotisé. Cette dernière s’utilise ensuite avec la technologie Contour Crafting1. Ainsi, des rails sont installées autour du terrain de construction pour diriger la machine. L’imprimante crée ensuite des couches de béton selon un modèle prédéfini. Behrokh Khoshnevis a ainsi commencé à imprimer pour la première fois un mur de béton. Cette révolution technologique permettrait alors de pouvoir construire une maison en 24h. Lire aussi : Creabeton Matériaux : L’impression 3D pour résoudre des problématiques C’est pourquoi l’entreprise chinoise WinSun Decoration Engineering en a tiré profit pour présenter des maisons de 200 m2 imprimées en un jour. La Beijing HuaShang Tengda Industry and Trade a aussi l’intention de bâtir une villa de 400 m2.Dans la continuité, la technique d’impression D-Shape a été développée en 2006 par Enrico Dini. Elle permettait de créer des objets avec un matériau similaire à la pierre. L’Agence Spatiale Européenne a d’ailleurs prévu de l’utiliser pour imprimer une base sur la Lune. Un projet ambitieux qui reflète bien les possibilités d’innovation. Les avantages de l’impression 3D béton Behrokh Khoshnevis et les autres innovateurs dans ce secteur ont démontré tous les avantages de l’impression 3D béton. Tout d’abord, sur chantier ou en usine, la fabrication additive2 permet une réduction des coûts et des déchets. Evitant ainsi le gaspillage de matières premières. Ensuite, ce procédé diminue les risques d’accident. Pour concevoir des murs de plusieurs mètres, les manipulations sont optimisées, tout comme l’utilisation de certains matériels. Cette technique offrirait plus de facilité dans la conception du bâtiment. Exemple avec BetAbram, société slovène qui a créé le modèle d’imprimante 3D “P1” capable de réaliser des impressions de la taille d’un immeuble. En parallèle, WinSun Decoration Engineering a de nouveau marqué les esprits en construisant un immeuble de 5 étages à Shuzou, en Chine. Les imprimantes 3D béton actuelles ont été conçues pour améliorer l’efficacité sur les chantiers, sans négliger la qualité. Andrey Rudenko, ingénieur russe, a imprimé un petit château en béton dans le Minnesota aux Etats-Unis [© totalkustom.com] Aujourd’hui, les industriels formulent des encres “béton” adaptées aux contraintes de la fabrication additive. A savoir : la nécessaire fluidité, la rapidité de prise et la robustesse du matériau. Avec un tel procédé, l’impression 3D béton pourrait permettre de lutter contre la crise du logement. L’industriel américain, Icon a prévu d’inaugurer le plus grand rassemblement de maisons imprimées en béton au monde au courant 2022. Andrey Rudenko, ingénieur russe, a lui aussi apporté sa pierre à l’édifice. Il a d’abord commencé par imprimer un petit château en béton dans le Minnesota aux Etats-Unis. Pour ensuite créer plusieurs villages et fonder des communautés internationales dans le monde entier. L’impression 3D béton pourrait aussi avoir des avantages pour les travaux publics. Pour les Jeux Olympiques de Paris en 2024, un pont de 40 m de long sera imprimé à Aubervilliers (93). Les limites de l’impression 3D béton Malgré les nombreux avantages de l’impression 3D béton, il subsiste certaines interrogations. En effet, cette méthode n’est pas considérée comme un procédé de construction par les codes et normes en vigueur. Les ouvrages habitables sont donc testés pour s’assurer de leur fonctionnalité. L’idée est de voir si ces structures résisteront à n’importe quel type d’environnement extérieur. De plus, l’automatisation des chantiers peut engendrer une évolution au niveau de l’emploi. En effet, si construire une maison nécessite moins de main d’œuvre, le rôle et les qualifications des compagnons pourraient changer. « Les métiers vont évoluer, de l’architecte au maçon qui devient un opérateur en maçonnerie, déclare Benoît Furet, professeur à l’IUT de Nantes. A terme, la chaîne numérique globale va se simplifier. Les opérateurs avec bac pro du secteur de la construction seront les maçons numériques, les pilotes des robots. » A Dubaï, un gratte-ciel imprimé en 3D nommé « Belgrade Tower » pourrait bientôt s’élever dans le ciel. [© Aleksandar Grusanovic] Les méthodes conventionnelles pour construire un habitat restent malgré tout toujours dominantes. Cependant, l’impression 3D béton attise l’attention du secteur de la construction à l’échelle internationale. A Dubaï, un gratte-ciel imprimé en 3D nommé « Belgrade Tower » pourrait bientôt s’élever dans le ciel. Ce serait le premier bâtiment de cette taille au monde à être construit avec le procédé d’impression monté sur une grue. L’avenir dira si cette innovation technologique est la clef pour une construction durable. 1 Le « Contour crafting » est une technologie émergente qui permet de produire par fabrication additive une « architecture imprimée » 2 Synonyme impression 3D
Il y a 3 ans et 162 jours

Val-de-Fontenay : "Nous revendiquons la souplesse programmatique" (F.Bourvic, MAB SPL)

INTERVIEW. Le réaménagement de Val-de-Fontenay, principal pôle tertiaire à l'Est de Paris, devra se faire "dans la dentelle" et en démolissant le moins possible, explique le directeur général de l'opérateur public local en charge du quartier. Il devra comprendre un tiers de logements et des espaces verts, aujourd'hui quasi-absents. Les investisseurs institutionnels seront privilégiés par rapport au Pinel, qui provoque, selon lui, à moyen terme, "des copropriétés moins bien entretenues".
Il y a 3 ans et 162 jours

Dotations de l’État aux collectivités : quelle répartition territoriale et par politique publique des DETR et DSIL exceptionnelle ?

Cette étude inédite est le fruit d’un travail de compilation et de traitement des données fournies par l’ANCT et les préfectures, débouchant sur une cartographie exhaustive de la répartition de ces dotations par intercommunalité, mais aussi par type de politiques publiques subventionnées.1,5 milliard d’euros sont alloués en moyenne aux territoires, chaque année, via la DSIL et la DETR, auxquels le plan de relance a permis d’ajouter 570 millions euros, au travers d’une DSIL dite « exceptionnelle ». En 2020, la DSIL exceptionnelle a aidé financièrement 68 % des territoires intercommunaux mais pour des montants souvent inférieurs à ceux attribués via la DSIL. Ces résultats sont donc cohérents avec l’objectif assigné à cet abondement : soutenir un grand nombre de territoires, pour des projets matures. Ce dispositif s’inscrivant dans le cadre de France relance, les politiques publiques les plus subventionnées varient également par rapport à celles soutenues classiquement par la DSIL, notamment dans le champ environnemental. L’étude d’Intercommunalités de France démontre la faible différence dans les politiques publiques soutenues entre la DSIL traditionnelle et la DETR. Environ un tiers de ces dotations soutiennent des projets de voirie et d’aménagement public. Or, la DSIL devrait avant tout servir à financer les projets les plus structurants et stratégiques. D’un point de vue géographique, ces travaux confirment l’effet correcteur de la DETR pour les territoires ruraux, particulièrement le long de la « diagonale du vide ». En ce qui concerne la DSIL, certaines zones du territoire sont mieux couvertes que d’autres.Le projet de loi « 3DS » prévoit de revenir sur les conditions d’octroi de la DSIL, en donnant un rôle plus important aux préfets de département alors que jusqu’à présent elle est allouée par les préfets de région. Intercommunalités de France craint qu’une telle évolution conduise encore un peu plus à rapprocher la DSIL de la DETR.
Il y a 3 ans et 162 jours

Wavin réinvente son centre de formation Wavin Academy

Le fabricant se pose comme objectif de mettre en place des centres de formation dans l’ensemble des pays où il est implanté. Dans le cadre du déploiement de ce nouveau concept international, Wavin France a entièrement repensé son centre de formation Wavin Academy situé en Auvergne, au siège de Varennes-sur-Allier (03). Après plusieurs mois d’études et de travaux, la Wavin Academy ouvrira ses portes à l’automne2021 et permettra des sessions de formations pointues dans un cadre parfaitement adapté. Dans le prolongement des formations jusqu’alors proposées dans son centre Technopole, la Wavin Academy propose des formations théoriques et techniques dans un tout nouveau cadre où une large place est destinée à la mise en situation des solutions Wavin.Des formations sur mesure pour partager le savoir-faire WavinAvec plus de 600 m2 répartis sur 2 bâtiments, le nouveau centre Wavin Academy a été pensé pour s’adapter à toutes les configurations de formation : amphithéâtre, ateliers pratiques destinés aux solutions TP et Construction, fosses de mises en situation des solutions TP…La Wavin Academy propose des formations accessibles, claires et ludiques à l’ensemble des acteurs impliqués dans les chaînes de décision et de mises en œuvre : maîtres d’œuvre, maîtres d’ouvrage, entreprises de Travaux Publics et de la construction, distributeurs et installateurs (plombiers, chauffagistes...). Elle répond aux besoins de formation des partenaires du fabricant pour s’assurer du bon déroulement des chantiers. Wavin y apporte un enseignement concret dans des ateliers reproduisant les environnements de chantiers tels qu’ils sont pratiqués en réel.Au cœur de ce nouveau centre, un éclairage complet est proposé sur les solutions Wavin pour les Travaux Publics (tubes polypropylène, bassins de rétention, boites d’inspection et regards de visite Tegra, avaloirs de chaussée…) et pour le Bâtiment (hydrodistribution, raccords multicouches, planchers chauffants, plafonds climatiques, systèmes de régulation de chauffage, multiconnecteurs…). Les produits sont présents physiquement pour les voir et les toucher.Le déploiement de la Wavin Academy témoigne de la volonté d’accompagnement de ses partenaires par le fabricant. De la formation au suivi des chantiers, de la préconisation des produits à leur mise en œuvre, les équipes du bureau d’études et commerciales Wavin s’attachent à développer une relation de proximité avec leurs partenaires à chaque étape du chantier.Au cœur de la Wavin Academy, en situation de chantier ou à distance via Teams ou des webinars, les équipes Wavin n’ont de cesse de se consacrer à la formation des professionnels du Bâtiment et des Travaux Publics pour une mise en œuvre technique des solutions dans les règles de l’art comme dans le respect des cadres normatifs et législatifs.C’est pourquoi, chaque partenaire Wavin peut faire appel aux équipes de la Wavin Academy pour demander la mise en place de formation sur mesure au siège du fabricant voire chez le client ou encore directement sur le chantier. Idéalement situé, en plein cœur de la France en Auvergne, la Wavin Academy est très facile d’accès grâce à sa proximité avec Vichy et Clermont-Ferrand.Des formations pour les acteurs de demainParce que les étudiants constituent l’avenir du secteur, Wavin propose également des sessions de formation au sein des CFA TP tels que le CFA d’Egletons et CFA de Mallemort. En 2020, malgré un contexte sanitaire particulier, 150 étudiants ont été formés par Wavin. Ces formations sont venues compléter celles de 400 professionnels des Travaux Publics et du Bâtiment. Pour un encadrement parfait et un accompagnement idéal, les sessions de formation de la Wavin Academy sont dispensées en moyenne sur 2 jours.
Il y a 3 ans et 162 jours

La ville est-elle morte ?

À écouter nos décideurs, chacun y va de sa volonté de faire la ville autrement, plus ...More about Cet article La ville est-elle morte ? est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 3 ans et 162 jours

Snaam : L’expertise d’un spécialiste des armatures

La T Box de Snaam intègre un renfort dans l’axe longitudinal sur sa face arrière pour rigidifier le boîtier. [©Snaam] Au-delà des armatures, l’industriel propose un catalogue complet de produits pour les chantiers : boîtes de réservations, coupleurs, distanciers et boîtes d’attente. A ce niveau, l’offre s’articule autour de trois types de produits fabriqués dans deux usines du groupe : Snaam Saint-Priest (69) et Technobat (49). « Ces deux sites bénéficient de la certification Afcab Boîtes d’attente pour le béton armé », confirme Jean-François Barrère, responsable technique et développement du groupe Snaam. La boîte d’attente Start est le modèle à support amovible. « C’est notre produit historique. Son boîtier est réalisé en PVC recyclé et permet de créer une engravure dans le béton conforme à l’Eurocode 2 pour une meilleure reprise de bétonnage. Son profil est ouvert pour faciliter son extraction. » Son avantage est aussi de pouvoir être posée sur des voiles courbes, car le boîtier PVC est suffisamment souple pour pouvoir être cintré. « La boîte d’attente Start est certifiée Afcab avec l’option LPPVE pour les prédalles suspendues des ouvrages situés en zones sismiques ou non sismiques, détaille Jean-François Barrère. La règle magnétique RMP permet de créer une engravure conforme au Fascicule de documentation FD P 18-720. » La boîte d’attente T Box est le modèle à support incorporé de la gamme. Elle intègre un renfort dans l’axe longitudinal de la boîte sur sa face arrière pour rigidifier le boîtier. Sa tôle est gaufrée pour garantir une meilleure accroche du béton. « Nous proposons en complément, pour les coffrages métalliques, des fixations magnétiques dédiées qui permettent de garantir le bon espacement entre les armatures, d’une boîte à l’autre, détaille Luc Rozier, directeur commercial produits du Groupe Snaam. L’autre particularité est la présence d’un perçage pré-découpé sur la face arrière pour installer des entretoises destinées à plaquer le boîtier contre le coffrage au moment de la fermeture des banches. Ainsi, aucun risque de voir de la laitance ou du béton s’immiscer entre le couvercle du boîtier et la peau coffrante. » La P Box est le 3emodèle de boîtes d’attente. Plus simple, elle est plate sur sa partie arrière, car prévue pour une utilisation sur les tables coffrantes en préfabrication. La P Box est aussi plus fine, même si déclinée en deux épaisseurs, pour répondre à la demande de l’industrie du béton.  Dernière particularité des boîtes d’attente du Groupe Snaam, elles emploient toutes des aciers de nuance B500B, référence obligatoire pour toute utilisation en zone sismique.
Il y a 3 ans et 162 jours

Conception bioclimatique et matériaux recyclés pour ce chalet alpin revisité

Ce chalet a été réalisé par le studio Albori pour Emanuele Almagioni qui souhaitait une maison dans une ville froide et venteuse, mais très ensoleillée, située dans les Alpes italiennes. L’édifice devait utiliser le soleil comme source d’énergie pour répondre à tous ses besoins de chauffage. Avec des températures hivernales basses atteignant -25°C, la maison […]
Il y a 3 ans et 163 jours

Murs extérieurs de maison : comment les peindre?

Le ravalement de façade comprend l’ensemble des travaux destinés à préserver ou améliorer l’état des murs extérieurs d’une bâtisse. À ce titre, il peut revêtir plusieurs formes. Les travaux peuvent en effet consister à nettoyer la façade, à réparer les fissures ou encore à rénover la peinture. Dans cet article, nous allons particulièrement nous intéresser à cette dernière opération. Comment peindre les murs extérieurs de sa maison ? Découvrez dans ce qui suit les étapes à suivre. Se renseigner sur les démarches administratives à suivre Dans le cadre du ravalement de façade, la peinture est classée parmi les travaux de finition. Elle est de ce fait réalisée en dernier lieu. Mais avant d’entamer la moindre chose, il est essentiel de se renseigner sur les démarches administratives nécessaires. En effet, les travaux de peinture peuvent nécessiter le dépôt d’une déclaration préalable auprès de la mairie, et ce, même s’ils consistent à repeindre les murs au même. Pour pouvoir changer leur couleur, il faudra toutefois obtenir un permis de construire. Il en faudra également un dans le cas où le bâtiment se situe dans une zone protégée, à proximité d’un monument historique ou s’il est considéré comme tel. Malgré tout, les travaux doivent se faire en considération des normes d’urbanisme en vigueur. Pour connaitre les démarches administratives à suivre, n’hésitez pas à vous renseigner auprès de votre mairie. Vous pouvez également faire appel à un façadier professionnel de votre localité. Préparer minutieusement l’intervention Avoir ce dont vous aurez besoin pour peindre la façade de votre habitation vous fera gagner du temps. Pensez donc à organiser au préalable votre intervention. Cette organisation comprend d’une par le choix de la peinture. Pour cela, plusieurs facteurs entrent en compte. En l’espèce, il s’agit des particularités de la façade, de son état, du climat de la région et de l’environnement du logement. Pour choisir la bonne peinture, nous vous encourageons à solliciter les conseils d’un artisan ravaleur. En outre, sachez que c’est à ce stade que vous installerez les échafaudages. S’ils devaient empiéter sur la parcelle de votre voisin, il est primordial que vous obteniez son accord. En revanche, si vos échafaudages empiètent sur la voie publique, demandez une autorisation de voirie auprès de votre mairie. Préparer les murs avant l’application de la peinture Les murs extérieurs de votre logement devront être exempts d’aspérités au moment de les peindre. En d’autres termes, leur nettoyage est de mise avant l’application de la peinture. Il est nécessaire de se débarrasser des saletés et des champignons qui les recouvrent afin d’avoir un meilleur aperçu sur leurs défauts. Mettre à nu la façade vous permettra également de déterminer la gravité des problèmes qui l’affectent et de définir le type de réparation dont elle a besoin. Il faudra par exemple colmater les fissures et les lézardes. Quelques couches de peinture ne parviendront pas à les dissimuler. Néanmoins, si l’état de vos murs est déplorable, nous vous préconisons d’engager des travaux de ravalement de façade. Dans tous les cas, le recours aux services d’un ravaleur professionnel reste recommandé. Sachez que son intervention garantit également un travail bien fait, et ce, dans les meilleurs délais. Peindre les murs extérieurs de la bâtisse Il faut généralement trois couches de peinture pour une façade. La première couche, également appelée « sous-couche » ou « primaire d’accrochage », permet l’adhérence des deux autres couches de peinture sur les murs. En général, elle est de couleur planche et permet de rectifier les petits défauts de ces derniers. Il faudra attendre au moins 24 heures le temps qu’elle sèche avant de poursuivre les travaux. Vient ensuite l’application de la deuxième couche et de la troisième couche de peinture. Il s’agit là de la peinture de la couleur de votre choix. Néanmoins, il faudra laisser 24 heures de séchage entre ces deux dernières couches. Pour qu’elle sèche de manière optimale, attendez les beaux temps pour appliquer la peinture sur vos murs. Dans le cas où la météo annonce des averses ou des intempéries, fixez une autre date pour entamer vos travaux de peinture.
Il y a 3 ans et 163 jours

Explosion rue de Trévise : la Ville de Paris prête à signer l'accord d'indemnisation

La maire PS de Paris Anne Hidalgo "demande à son avocate à ce que l'accord-cadre soit signé aujourd'hui" lors d'une réunion de médiation avec les avocats des autres parties impliquées et des victimes, affirme la Ville à une semaine de la troisième commémoration du drame.Mme Hidalgo doit recevoir vendredi après-midi les victimes, qui lui reprochent jusqu'ici de "jouer la montre".Le 12 janvier 2019, une très forte détonation provoquée par une fuite de gaz avait soufflé cette rue du IXe arrondissement de la capitale, faisant 4 morts, 66 blessés et quelque 400 riverains sinistrés.Si la signature effective de l'accord-cadre reste encore une "question de jours", c'est "qu'il faut que tout le monde signe", souligne la Ville pour qui l'opposition de certains assureurs au principe de préjudice spécifique constitue le dernier frein.Pour Linda Zaourar, présidente de l'association Vret (Victimes et rescapés de l'explosion de la rue de Trévise) contactée par l'AFP, ce préjudice spécifique permettrait de valoriser des traumatismes tels que "la peur du gaz, la peur de la voirie, d'avoir été confrontés à la mort" ou encore "le fait d'avoir attendu trois ans" pour une indemnisation.A la place du préjudice spécifique, la Ville propose une majoration des préjudices prévus par la nomenclature Dintilhac afin d'intégrer le "caractère exceptionnel" de l'explosion, a indiqué le premier adjoint Emmanuel Grégoire dans un courriel aux associations de victimes et transmis à l'AFP.M. Grégoire, qui avait annoncé début octobre que la Ville, mise en examen dans ce dossier, abonderait de 20 millions d'euros le fonds d'indemnisation "sans que cela présume de sa culpabilité", assure que le versement des provisions n'aura pas à être voté en conseil municipal "pour toutes les victimes dont le dommage n'est pas consolidé, ainsi que pour celles pour lesquelles un accord n'est pas tout de suite trouvé sur le montant".La mairie pourra avancer "80% des sommes sans passage par le Conseil", qui se prononcera uniquement sur les transactions définitives, précise la Ville, qui s'engage à verser les sommes dans un délai de deux mois maximum.Alors que l'estimation du total des préjudices immobiliers et corporels s'élève à 200 millions d'euros, selon Linda Zaourar, la mairie "devra compléter à un moment" même si les 4 autres parties impliquées dans l'explosion devant le 6 rue de Trévise - le syndic de copropriété lui aussi mis en examen, le distributeur de gaz GRDF, l'assureur du conseil syndical Generali et l'entreprise de BTP Fayolle - abondent elles aussi le fonds.
Il y a 3 ans et 163 jours

Climat : priorité carbone pour la présidence française de l’Union

Prudence ! Avant d’étendre aux transports et au logement le marché carbone européen, la ministre de la Transition écologique recommande que le dispositif fasse ses preuves dans le ciment et l’acier. Elle l’a dit le 5 janvier lors de son audition à la commission de l’Aménagement du territoire du Sénat, consacrée aux objectifs climatiques de la présidence française de l’Union européenne.
Il y a 3 ans et 163 jours

Le décret interdisant l'installation d'équipements de chauffage fonctionnant au charbon ou au fioul à compter du 1er juillet 2022 est paru

"Pour pouvoir être installé dans un bâtiment, y compris en remplacement d'un équipement existant, un équipement de chauffage ou de production d'eau chaude sanitaire" doit respecter un niveau d'émissions de gaz à effet de serre "inférieur à 300 gCO2eq / kWh PCI", indique le texte.Les nouvelles normes s'appliquent à compter du 1er juillet 2022, précise le décret.Ce plafond revient "à exclure l'installation d'équipements neufs fonctionnant au charbon ou au fioul, qui conduirait à pérenniser pour plusieurs années des modes de chauffage fortement émetteurs de gaz à effet de serre", indique dans un communiqué le ministère de la Transition écologique."En revanche, les propriétaires d'équipements existants fonctionnant au fioul ou au charbon pourront continuer à les utiliser sans changement de combustible, les entretenir et les faire réparer pour maintenir leur efficacité", précise-t-on de même source.Le sujet, sensible, concerne des millions de Français, notamment en zones rurales.Le fioul domestique est "la 3e énergie de chauffage en France", chauffant "près de 4 millions de bâtiments dont plus de 3 millions de maisons individuelles en résidence principale", selon un communiqué de la filière biofioul, alternative au fioul domestique fossile.Ces maisons chauffées au fioul se trouvent "principalement dans des territoires ruraux et périurbains que les réseaux de chaleur ou le gaz de ville ne desservent souvent pas", selon des données de l'Ademe citées par le communiqué.L'utilisation de ce type d'énergie est particulièrement importante dans des zones où les températures hivernales sont basses, comme la façade Est, et les régions Hauts-de-France et Auvergne-Rhône-Alpes, entre autres.Les acteurs impliqués dans le développement du biofioul saluent un texte ambitieuxLa Fédération Française des Combustibles, Carburants et Chauffage (FF3C), organisation représentative regroupant les professionnels de la distribution des énergies hors réseaux ; la Fédération Française des Pétroliers Indépendants (FFPI) ; la Fédération Française des Producteurs d’Oléagineux et de Protéagineux (FOP) ; Esterifrance, le syndicat des esterificateurs français ; Uniclima, le syndicat des industries thermiques, aérauliques et frigorifiques ; l’Union Nationale Artisanale Couverture Plomberie Chauffage (UNA CPC) de la CAPEB ; l’Union des Métiers du Génie Climatique, Couverture et Plomberie (UMGCCP) de la FFB saluent ce Décret amorçant une transition du fioul domestique 100 % fossile vers le biofioul, biocombustible liquide de chauffage incorporant une part croissante d’énergie renouvelable sous forme d’ester méthylique de colza (EMC).76 % des consommateurs prêts à opter pour du biofioul Un sondage a été réalisé par Opinion Way en juillet 2021 auprès d’utilisateurs de fioul afin de recueillir leur avis sur leur mode de chauffage actuel et leur intérêt vis-à-vis d’un biocombustible liquide. Parmi les principaux enseignements de ce sondage :99 % des répondants trouvent le chauffage au fioul efficace.68 % n’envisagent pas de changer d’énergie de chauffage ; 32 % y pensent mais « sans urgence », d’ici 2 à 5 ans pour 21 % d’entre eux.45 % ont déjà entendu parler du biofioul ; 76 % seraient prêts à opter pour du biofioul et 58 % se disent prêts à opter dès à présent pour une chaudière biocompatible utilisant du biofioul.Le biofioul, énergie des territoiresLe biofioul est une énergie liquide stockable, composée d’une part d’énergie renouvelable, prioritairement sous forme d’ester méthylique de colza (EMC). Le choix du colza tient aux nombreux atouts de cette plante dont la France est l’un des premiers producteurs en Europe : 80 000 agriculteurs cultivent du colza sur l’ensemble du territoire. Sa graine, composée à parts équivalentes d’huile (notamment valorisée en biofioul) et de matière riche en protéines (notamment valorisée pour l’alimentation animale), offre des réponses prometteuses et complémentaires aux enjeux des transitions agroalimentaire, énergétique et environnementale, dont celui de la souveraineté protéique de la France.
Il y a 3 ans et 163 jours

L’OPPBTP lance la nouvelle édition de son challenge 100% mobile 100 minutes pour la vie

La prévention des risques toujours essentielle dans le parcours de formation des jeunesLa sécurité au travail et sur les chantiers représente un enseignement incontournable, intégré dans les programmes de la formation initiale. L’opération « 100 minutes pour la vie » constitue la première étape forte de sensibilisation des apprentis aux enjeux de santé et sécurité au travail. A l’image de la mission de l’OPPBTP, cette campagne a pour ambition d’inculquer aux jeunes qui rejoignent le BTP les bons réflexes tout en changeant le regard qu’ils peuvent porter sur la notion de risque.Étendue chaque année à de plus en plus d’établissements, cette action a permis de sensibiliser plus de 210.000 apprentis à la prévention des risques depuis sa création en 2009.Un challenge reconduit en 2022L’OPPBTP lance l’édition 2022, qui se tient du 3 janvier au 4 février 2022.Ce challenge, d’envergure nationale, permet d’interpeller les jeunes sur la prévention des risques de façon originale et ludique par le bais de l’application smartphone « Challenge 100 minutes pour la vie » disponible sur Google Play et Apple Store. Chaque jour et pendant 2 semaines à compter de la date de leur inscription, les participants ont pour objectif de remporter un maximum de points en répondant correctement à des questions liées à la prévention des risques ou correspondant à des mises en situation fictives. Les participants peuvent également se lancer des défis pour gagner des points supplémentaires. L’application envoie des notifications pour leur signifier un challenge ou une nouvelle série de questions.Plus de 200 questions et mises en situation ont été imaginées, saisies et illustrées pour nourrir les deux séries de challenges correspondant aux spécialités Bâtiment et Travaux publics.Un dispositif de communication est mis en place sur les réseaux sociaux de l’OPPBTP et des établissements participants. Des publications sponsorisées sur Instagram et Facebook sont prévues pour mobiliser les jeunes à rejoindre ce challenge.A la fin du challenge, l’OPPBTP récompensera dans chaque région de France les dix participants ayant obtenus le plus de points, avec à chaque fois :Une console de jeu nouvelle génération (1er prix)Une carte cadeau Décathlon de 400 € (2ème prix)Une carte cadeau Décathlon de 200 € (3ème prix)Sept cartes cadeau Décathlon de 100 € et des coffrets bande dessinées Prev’en bulles de l’OPPBTP (du 4ème au 10ème prix).De plus, les deux établissements ayant la plus grande proportion de participants par rapport à leur effectif et la meilleure moyenne remporteront respectivement un babyfoot et 500 € de bons d’achat Décathlon.Toutes les informations relatives au BTP Challenge Prévention sont disponibles ici.Bilan de l’édition 2021Ainsi, en 2021, près de 16.000 élèves et apprentis de la filière BTP, de tous niveaux et de tous cursus (Brevet professionnel, CAP, BTS et Bac Pro) ont participé au challenge mobile dans plus de 160 établissements. Le côté ludique de l’application ainsi que la qualité des enseignements et conseils en prévention qu’elle permettait de véhiculer ont été salués par l’ensemble des établissements participants.Pour Paul Duphil, Secrétaire général de l’OPPBTP : « Les outils numériques nous offrent une opportunité unique de proposer une nouvelle façon d’appréhender la prévention. Grâce à ce challenge 100 % mobile, nous avons pu développer un mode de fonctionnement basé sur des interactions courtes mais fréquentes et sur une durée plus longue que les années précédentes, afin d’ancrer les messages de prévention dans le mode de pensée des futurs professionnels du BTP. Cela présente également l’avantage de toucher un nombre de jeunes quasiment illimité. L’application, développée par SPARTED, répond ainsi aux besoins des jeunes tout en nous permettant d’établir un nouveau mode de conversation avec eux, en faveur de la prévention des risques professionnels. »
Il y a 3 ans et 163 jours

Axtom Développement et le groupe BMF livrent un adPark de 5.340 m² à Louvres (95)

Pensé pour répondre aux besoins des entreprises du tissu économique local - notamment les PME et ETI - cet ensemble immobilier est composé de 4 lots à partir de 1 030 m². En phase avec les attentes du territoire et à l'instar de l'ensemble des projets du Groupe AXTOM, une attention particulière a été portée à la qualité environnementale de l'opération qui vient d'obtenir le label BiodiverCity®. La qualité environnementale, élément central du projetUne attention particulière a été portée à la qualité environnementale de l'opération notamment via le traitement des eaux pluviales avec la création de bassins de rétention paysagers et des zones humides favorisant le développement de nouveaux milieux écologiques. Dès leur conception, il sera fait appel à des notions d'entretien durable ou de gestion intégrée, à la fois par un paysage soigné à proximité des bâtiments, mais aussi par un entretien rustique pour les espaces plus « nature ». Afin de lier le quartier aux espaces verts alentours, des cheminements piétons et cyclables seront créés sur l'ensemble du parc de 17 ha. Cette approche a permis à l'adPark d'obtenir le label BiodiverCity® à la suite d'un audit réalisé par Deloitte. Directement raccordée à la francilienne A104, cette opération bénéficie d'une accessibilité routière exceptionnelle.« Nous sommes très satisfaits d'annoncer la livraison de cette opération, déjà intégralement commercialisée. Au cœur d'une zone en fort développement, nous avons su apporter une réponse immobilière répondant à la fois aux attentes de la collectivité en termes de solution d'accueil pour PME et ETI, et également aux attentes de ces entreprises en termes de qualité d'espaces de travail et de performance environnementale. Cette opération est une belle illustration des synergies possibles au sein du groupe AXTOM, puisque l'étude, le montage, le suivi et la commercialisation ont été réalisé par AXTOM Développement, et la construction de cet adPark a été réalisée par AXESS, également filiale du groupe » souligne Jean Kramer, directeur général délégué d'AXTOM Développement.
Il y a 3 ans et 163 jours

Vicat et Léon Grosse associent leurs expertises au service de la construction de demain

Forts d’une culture d’entreprise familiale et de valeurs communes, Léon Grosse et le groupe Vicat misent sur la complémentarité de leurs expertises. Toutes deux originaires de la région Auvergne-Rhône Alpes avec une forte implication dans le tissu industriel local, elles s’engagent dans un partenariat qui se décline autour de 3 volets :Innovation :Répondre ensemble à des projets spécifiques et innovants,Développer des projets de R&D communs (bétons bas carbone spécifiques, nouveaux process d’industrialisation, préfabrication, impression 3D...) ;Environnemental :Proposer des solutions différenciantes co-construites réduisant l’impact environnemental dans la construction, et notamment sur le “bas carbone“,Favoriser les schémas d’économie circulaire sur les territoires,Évaluer les opportunités de mise en oeuvre des solutions photovoltaïques Léon Grosse sur certains sites Vicat ;Sociétal :Construire ensemble une dynamique d’engagement territorial développant l’emploi local et les circuits courts.Contribuer à l’attractivité des métiers de la construction, notamment pour les femmes, en développant la formation et en favorisant l’inclusion, avec le support de la Fondation Louis Vicat.Ce partenariat vient concrétiser la collaboration du groupe Vicat et de Léon Grosse qui s’illustre déjà par des projets communs lancés dans la région Auvergne-Rhône Alpes :Un projet emblématique à Lyon Confluence pour lequel est utilisé un béton bas carbone fabriqué sur site, composé de matières premières régionales, notamment le ciment « DECA » Naturat CEM IV contenant des pouzzolanes naturelles ;La construction d’un établissement public pour un client historique de Léon Grosse, avec du béton prêt à l’emploi « DECA » fourni par Vicat et qui sera le premier bâtiment béton décarboné de Valence ;La fourniture de béton prêt à l’emploi pour la construction d’une importante extension d’un site industriel à Crolles, projet piloté par Léon Grosse Immobilier.L’utilisation du béton “DECA” permet une diminution de l’impact carbone de 25 à 30% par rapport à un béton dit “classique”.Guy Sidos, Président du groupe Vicat, précise : “Nous sommes fiers de nous associer à l’entreprise Léon Grosse, une organisation familiale telle que la nôtre qui s’engage en faveur des territoires et de l’environnement. Ce partenariat vient consolider notre collaboration de long terme pour construire ensemble l’habitat d’aujourd’hui et de demain.”Lionel Christolomme, Président du Directoire de Léon Grosse précise : “Notre passion pour la technique nous a toujours poussés à innover pour nos clients, notamment sur les matériaux et les structures béton. Ce partenariat entre deux entreprises qui partagent les mêmes valeurs, le même ancrage régional et la même culture d’entreprise familiale vient renforcer concrètement notre volonté d’agir chaque jour en bâtisseur responsable pour faire face aux enjeux environnementaux et sociétaux.”
Il y a 3 ans et 163 jours

Eiffage et l’Etat du Sénégal signent un avenant au contrat de concession de l’autoroute de l’Avenir

L'avenant au contrat de concession pour cette autoroute longue de 42 km qui relie le centre-ville de Dakar et l’Aéroport International Blaise Diagne (AIBD), entérine notamment l’entrée au capital de l’Etat du Sénégal à hauteur de 25 %.
Il y a 3 ans et 163 jours

Issoire : zoom sur les trois grands projets de la ville dans les prochains mois

Point sur les trois principaux chantiers qui vont être entrepris par la ville d’Issoire d’ici à 2023
Il y a 3 ans et 163 jours

Chantilly : des programmes immobiliers vont sortir de terre

De nombreux programmes sont attendus en 2022 à Chantilly. Leur réalisation s’inscrit dans la poursuite de la mise en œuvre des objectifs fixés dans le Plan Local d’Urbanisme.
Il y a 3 ans et 163 jours

Ce qu’il faut absolument savoir sur la maçonnerie paysagère

Quand on parle de travaux de maçonnerie, nous pensons directement à la construction de bâtiment ou la création d’un mur en béton. Pourtant, il faut savoir que ces travaux peuvent présenter différentes natures. La maçonnerie paysagère fait partie des formes qu’ils peuvent revêtir. En l’espèce, les travaux sont exclusivement réalisés en extérieur. Mais que faut-il donc savoir sur ce sujet ? Les réponses à cette problématique feront l’objet du présent article. Qu’entend-on par « maçonnerie paysagère » ? La maçonnerie paysagère désigne les travaux destinés à aménager, à structurer et à embellir l’espace à l’extérieur d’une habitation. Dans le secteur public, elle peut par exemple se matérialiser par l’aménagement des parcs ou encore la construction d’un terrain de sport. Dans le secteur privé, elle implique l’aménagement de jardin. Les travaux effectués dans le cadre de la maçonnerie paysagère se font en deux étapes. La première consiste à préparer le terrain. Concrètement, elle implique le terrassement et la transformation du terrain. Quant à la seconde étape, elle est relative à l’exécution des travaux de maçonnerie proprement dits (ex. : mise en place d’une terrasse, construction d’un muret ou d’un abri de jardin). Dans tous les cas, il est conseillé de faire appel à un maçon expérimenté comme sur ce site. Quels sont les types de travaux réalisés dans le cadre de la maçonnerie paysagère ? La réalisation des travaux nécessite l’intervention d’un expert du domaine. En l’occurrence, il s’agit du maçon paysagiste. Grâce à la formation qu’il a reçue, cet artisan est mesure de créer un espace extérieur harmonieux et esthétique pour votre logement. Dans la réalisation des différents travaux, il se fait d’ailleurs assister par une équipe de professionnels. En outre, la maçonnerie paysagère implique la mise en œuvre d’opération de différente nature. Par conséquent, il peut s’agir de : La création d’une allée pavée ou dallée Pour pouvoir circuler dans l’espace vert et l’harmoniser, il est indispensable de mettre en place une allée. En fonction de vos besoins et de vos préférences, vous pouvez décider de créer une allée pavée ou dallée. La construction d’un muret Le muret peut être construit soit avec des pierres naturelles ou des pierres recomposées. Comme toutes autres clôtures, il permet de délimiter les espaces. Mais dans le cadre de la maçonnerie paysagère, cet élément a pour fonction de retenir la terre et de supporter un claustra. La mise en place d’un abri de jardin Les abris de jardin font en principe office de lieu de stockage des matériels de jardinage. Toutefois, on peut les aménager en espace habitable (ex. : dépendance, bureau, etc.). La construction d’une terrasse Ici, les travaux de maçonnerie paysagère permettent d’optimiser l’espace de vie. Comme cela implique des opérations complexes, le recours aux services d’un maçon professionnel est incontournable. En effet, plusieurs facteurs devront être pris en compte dans le cadre de l’aménagement d’une terrasse. Entre autres, il s’agit de la nature du sol, du type de matériaux à utiliser, du climat de votre région, de votre budget et de l’usage que vous désirez faire de la terrasse. La conception et l’installation d’un point d’eau Pour donner du cachet à votre jardin, vous pouvez installer un bassin d’eau ou une fontaine. Cependant, il faut impérativement étudier la faisabilité d’un tel projet. C’est pourquoi l’intervention d’un maçon est indispensable.
Il y a 3 ans et 164 jours

En 2020, le coût de construction d'une maison individuelle a encore augmenté

ÉTUDE. Selon les statistiques de l'administration, les coûts d'acquisition d'un terrain et de construction d'une maison individuelle ont augmenté plus rapidement qu'en 2019. En dix ans, les terrains ont augmenté partout, parfois de manière spectaculaire.
Il y a 3 ans et 164 jours

Les mesures et conséquences positives du projet de loi de finances 2022 pour les investisseurs dans le neuf

Le cabinet de conseil en investissement immobilier Amberstone fait le point sur les principales mesures de ce nouveau Projet de loi de finances 2022 et revient sur leurs conséquences positives pour les investisseurs dans le neuf.Une baisse de l'impôt sur le revenuLes différentes tranches du barème de l'impôt sur le revenu seront rehaussées de 1,4% en 2022. La revalorisation concernera l'imposition des revenus des ménages français pour 2021. Cette mesure est née en raison de l'augmentation des prix à la consommation et son objectif est de contrebalancer les effets de l'inflation. Le barème du taux neutre (prélèvement à la source) sera également revalorisé. “Cet avantage fiscal sert directement à maintenir un niveau de consommation et d'investissement des français”, déclare la fondatrice du cabinet d'Amberstone Béatrice Dossou-Yovo.Une exonération progressive de la taxe d'habitationDéjà réduite en 2021, la taxe d'habitation sera de nouveau abaissée de 65% pour les contribuables encore soumis à cet impôt local en 2022. La taxe d'habitation pour les résidences principales sera définitivement abrogée à compter de 2023, sauf pour les logements vacants et les résidences secondaires.Une augmentation du budget alloué au logementL'enveloppe attribuée au ministère du Logement augmentera de 7% et sera évaluée à 17,1 milliards d'euros pour 2022. Ceci représente une évolution de +6% en comparaison au budget de 2020. Ce montant intègre les aides à l'accès au logement (APL), l'hébergement d'urgence, l'urbanisme et les territoires de l'habitat. Le projet de loi de finances 2022 met également l'accent sur la rénovation du parc immobilier ancien et pour les constructions neuves, le ministère assure la continuité du dispositif fiscal Censi-Bouvard.Ma PrimeRenov' prolongéeAfin de continuer à promouvoir la rénovation énergétique des logements, le dispositif MaPrimeRenov' sera prolongé en 2022 avec un budget de 2 milliards d'euros. En septembre 2020, le gouvernement a initié cette mesure avec pour objectif de réduire les passoires thermiques du marché immobilier français. Accessible aux propriétaires occupants comme aux propriétaires bailleurs et copropriétés, l'ambition pour 2021 était d'engager 400 000 dossiers. C'est le double qui est espéré pour 2022.Le dispositif Pinel + en 2022La nouvelle loi de finances prévoit la prolongation du dispositif Pinel dans les mêmes conditions jusqu'à fin 2022. Cette prolongation s'inscrit en parallèle du plan de relance énergétique de l'Etat et affirme sa volonté d'améliorer l'efficacité énergétique des logements. Ces critères de performance correspondent à la norme environnementale RE2020 pour les logements neufs.Évolutions du marché immobilier au regard de ces nouvelles mesures pharesToutes ces mesures budgétaires du Projet de loi de finances 2022 contribuent à maintenir le pouvoir d'achat et l'investissement, dans une tendance inflationniste, notamment sur le marché immobilier.Pour Béatrice Dossou-Yovo : “le maintien de la Loi Pinel (Pinel +) prouve la volonté du gouvernement de maintenir la demande sur le marché de l'immobilier neuf et donc de maintenir ce marché attractif. En effet, le Prêt à Taux Zéro ainsi que la loi Censi-Bouvard complètent le tableau des mesures incitatives. Les particuliers deviennent eux-mêmes bailleurs : ils créent leur patrimoine privé transmissible, se constituent des revenus complémentaires à la retraite. D'un autre côté, l'Etat se soulage d'une production de logement qu'il ne peut assumer seul.”
Il y a 3 ans et 164 jours

Dans les coulisses d'un laboratoire de l'Ifsttar

REPORTAGE. A l'occasion des Future Days, au début du mois de décembre 2021, Batiactu a pu visiter l'un des 7 laboratoires du département Matériaux et structures de l'Ifsttar, axé sur l'expérimentation et la modélisation pour le génie civil et urbain (EMGCU). Avec pour guides les deux directeurs adjoints.
Il y a 3 ans et 164 jours

Le décret Eco-Energie Tertiaire (DEET) : au-delà d'un nouveau défi à relever, une opportunité à saisir

Qu'est-ce que le décret Eco-Energie Tertiaire (DEET) ?Issu des décrets d'application de la loi ELAN de 2018, c'est un dispositif réglementaire qui vise à réduire de manière progressive la consommation d'énergie dans les bâtiments tertiaires. L'enjeu est important car cela représente 20 % de l'énergie en France, et une part significative des émissions de gaz à effet de serre. Ce décret s'applique aussi bien sur les bureaux que les services publics, les établissements d'enseignement, les commerces, les hôtels et restaurants, les salles de sports et de spectacles, les gares, les parkings... Bref, tous les bâtiments tertiaires. Le DEET concerne également tous les bâtiments dès lors que l'ensemble de ses surfaces à usage tertiaire sont égales ou supérieures à 1000 m2. Cela implique donc les bâtiments industriels qui intègrent le plus souvent des zones de stockage, des entrepôts climatisés ou réfrigérés, des réfectoires ou encore des bureaux. Quel est le calendrier de mise en œuvre de ce décret vertueux ?Le DEET ambitionne de réduire la consommation énergétique de 40 % d'ici 2030, 50 % d'ici 2040 et 60 % à horizon 2050. Le calendrier est donc progressif, ce qui est une garantie de sa bonne déclinaison sur le terrain. Mais cet objectif doit s'appuyer sur un point de départ. La première déclaration de consommation devra être enregistrée au plus tard le 30 septembre 2022.Le DEET laisse le propriétaire libre d'opter pour un objectif en valeur absolue ou en valeur relative. Dans le premier cas, il est déterminé en fonction du type de bâtiment. Dans le second, l'objectif de réduction de l'énergie utilisée répond à la consommation réelle observée sur une période définie. Adaptée aux bâtiments anciens, cette méthode offre l'avantage de fixer le point de référence pour prendre en compte, dès aujourd'hui, les investissements réalisés au cours des dernières années en matière d'efficacité énergétique. L'objectif est de ne pas pénaliser les acteurs déjà engagés dans une démarche vertueuse. Ceux-ci pourront ainsi prendre une année de référence antérieure à d'importants travaux effectués au cours des dernières années, comme la révision de l'isolation ou l'installation d'une chaufferie. Ainsi, il sera possible d'éviter que l'effort demandé ne les prennent pas en compte pour atteindre l'objectif de réduction de la consommation en 2030, 2040 et 2050.Y-a-t-il des obstacles pour répondre à cette nouvelle obligation réglementaire ?Le DEET est un décret. Comme souvent, le volet administratif est conséquent. Compte tenu des enjeux énergétiques, environnementaux et économiques, le suivi de sa mise en œuvre va demander de la méthode et de l'expertise. Outre la stratégie retenue par chaque acteur concerné, il faudra collecter, identifier, recenser et affecter toute l'information nécessaire pour valider les indicateurs. De multiples facteurs seront à prendre en compte : la composition du bâtiment, son histoire, l'historique de son entretien et de sa rénovation. Pour faciliter et harmoniser ces démarches exigeantes, la plateforme numérique OPERAT est mise à disposition.Il sera possible de modéliser les consommations à travers des études argumentées et justifiées par une maîtrise technique et opérationnelle des solutions déployées. Ce type de démarche scientifique doit être réalisée par des experts de la performance énergétique. EQUANS y travaille depuis 2019 et la loi ELAN peut apporter une réponse fiable et sur mesure. En matière d'efficacité énergétique en milieu tertiaire, il y a autant de situations possibles que de bâtiments concernés. Il faut donc impérativement être agile pour répondre au mieux aux exigences du DEET, avec une solution sur toute la chaîne de valeur.Le décret doit être vu comme une opportunité d'accélérer très concrètement la transition énergétique mais aussi industrielle, car le champ d'application est vaste. Il y a un formidable gisement d'économie à transformer, notamment grâce au digital. L'accompagnement dans cette triple transition est précisément au cœur de l'ADN de EQUANS.Tribune de Marc-André Merlet, Directeur Performance Energétique chez EQUANS France et expert du Dispositif Eco-Energie Tertiaire (LinkedIn).
Il y a 3 ans et 164 jours

Lyon : la restitution des concertations à propos du renouvellement urbain de la Sauvegarde est prévue au printemps 2022

Les résultats des concertations réalisées dans le cadre du renouvellement urbain du quartier de la Sauvegarde, à Lyon, seront dévoilés au printemps prochain.
Il y a 3 ans et 164 jours

Un nouveau type de radars routiers va être testé en France

Première phase d'expérimentationTrois technologies différentes vont être testées pour ces radars qui seront mis en place à partir du mardi 4 janvier ou du 5 janvier, dès la publication d'un décret dans le Journal officiel. Ces radars sont installés sur la route qui traverse Saint-Forget (78) dans la vallée de Chevreuse, route chérie des motards.Cete route avait déjà fait l'objet d'un test pour un « radar méduse » équipé d'une caméra et de micros.Six autres collectivités vont donc voir apparaître ces dispositifs dans les semaines prochaines : Paris, les métropoles niçoises, toulousaines et lyonnaises, Bron et les communes de Rueil-Malmaison (92) et Villeneuve-le-Roi (94).Pendant cette phase expérimentale, les radars ne constateront pas d'infractions, le but du test étant de déterminer le niveau sonore maximal, fixé pour commencer à 90 décibels (les sons de la vie quotidienne sont compris entre 30 et 90 décibels).Jusqu'à maintenant, chaque véhicule avait son propre niveau sonore maximal que l'on peut retrouver sur sa carte grise et que les forces de l'ordre ne pouvaient contrôler qu'à l'arrêt pour vérifier sa conformité.Le but pour le ministère est donc « d'amplifier les contrôles et d'améliorer leur efficacité ».Seconde phase d'expérimentationTrois mois à partir de la mise en place des radars tests, une deuxième phase d'expérimentation pourra commencer avec cette fois-ci la constatation d'infractions et donc de potentielles contraventions de 4ème classe, c'est-à-dire une amende forfaitaire de 135 euros, minorée à 90 euros si le paiement est effectué dans les 15 jours.Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique, souligne dans un communiqué que « le bruit a un coût très concret pour nos concitoyens » et que « des réglementations existent déjà mais la généralisation des contrôles est un levier essentiel pour lutter efficacement contre cette source de pollution, en particulier sur la voie publique ».Pour rappelLe « coût social » auquel fait référence Barbara Pompili fait référence à l'exposition au bruit, principalement des transports, qui coûte plus de 147 milliards d'euros par an en France, notamment via les conséquences sanitaires indirectes, selon un rapport publié en juillet 2021 par le Conseil national du bruit et de l'Ademe (Agence de la transition écologique).Quant à l'OMS, l'organisation considère que le bruit est le deuxième facteur environnemental provoquant le plus de dommages sanitaires en Europe, juste après la pollution de l'air, responsable de 40.000 décès prématurés par an en France par exemple.Ces nouveaux radars sonores auront donc « vocation à être généralisés sur l'ensemble du territoire national » si un dispositif législatif pérenne est adopté, selon le ministère.
Il y a 3 ans et 164 jours

Bonifacio : site patrimonial remarquable

Bonifacio forme avec ses falaises et son littoral un ensemble exceptionnel. La citadelle campée sur sa presqu’île, le port et la nature préservée, en font un des sites majeurs de la Corse. La ville centre compte 20 immeubles protégés au titre des monuments historiques et la ville ancienne, pittoresque, très dense, est un lieu touristique majeur. Au vu de la densité et de la valeur d’ensemble de son patrimoine, la conservation, la restauration, la réhabilitation et la mise en valeur de Bonifacio présentent un intérêt public du point de vue historique, architectural et paysager. Un arrêté ministériel du 22 décembre 2021 a procédé au classement du site patrimonial remarquable de Bonifacio. Cette décision fait suite à une concertation engagée avec l’ensemble des acteurs concernés. La modification du site patrimonial remarquable et l’élaboration à venir d’un plan de gestion permettront d’assurer dans les meilleures conditions la conservation et la mise en valeur du patrimoine de la ville de Bonifacio en lien notamment avec les services de l’État (en particulier la DRAC Corse et l’architecte des Bâtiments de France).    
Il y a 3 ans et 164 jours

Nomination de Gaëtan Leprince au poste de Directeur des Ventes Bâtiment France de Toupret

Spécialiste des produits de l'habitat, Gaëtan était auparavant chez Saint-Gobain, groupe dans lequel il a démarré sa carrière en 2008. Avec plus de 13 ans dans l'industrie des matériaux de construction, il a occupé différentes fonctions de responsable commercial, marketing, et management en France et à l'international pour des marques comme Placo, Isover ou Weber.Gaëtan LEPRINCE est âgé de 35 ans. Il est titulaire d'un diplôme de Manager en ingénierie d'affaires (Sup de ventes) et d'un DUT en Techniques de commercialisation.Commentant cette annonce, Hervé GUERMONPREZ, Directeur Commercial France du Groupe TOUPRET, déclare : « Du fait de son parcours, Gaëtan bénéficie d'une grande culture des produits de second œuvre, d'une parfaite connaissance des acteurs de la construction et des réseaux de distribution. À un moment où nous renforçons notre position sur le marché professionnel et notamment sur le marché du neuf avec les enduits en pâte et les gros volumes, son expérience dans l'industrie des matériaux de construction constitue un véritable atout pour accompagner notre développement ».De son côté, Gaëtan LEPRINCE, Chef de ventes Bâtiment France, commente : « Je suis très fier de porter une marque forte telle que TOUPRET et de rejoindre une équipe de commerciaux et de démonstrateurs expérimentés. Je retrouve ici une expertise terrain et produits qui selon moi fait la force d'une marque sur les chantiers. Reconnue par les applicateurs et les distributeurs pour sa qualité et sa fiabilité, c'est une marque utilisée au quotidien en neuf ou en rénovation, et pour qui l'attachement au produit est très fort ».