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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Urbanisme - Aménagement

(35885 résultats)
Il y a 3 ans et 177 jours

L’équipe de France du BTP débarque pour les WorldSkills 2024

La FFB et la FNTP ont créé l’équipe de France du BTP pour la compétition des métiers WorldSkills. [©FFB] La FFB et la FNTP ont créé l’équipe de France du BTP pour la compétition des métiers WorldSkills. Cette 47e édition se tiendra à Lyon, en septembre 2024. Plus de 1 600 compétiteurs de 80 pays différents s’affronteront autour de 65 métiers, dont 16 du BTP. Ces fédérations ont décidé de s’investir dans ce tournoi international pour mettre en lumière les jeunes talents du secteur. Mais avant de partir à la conquête du monde, il faut trouver les pépites qui représenteront le pays. Pour cela, des milliers de jeunes participeront à des compétitions au niveau national dès 2022. Les meilleurs seront alors intégrés dans cette équipe de France du BTP. De quoi montrer l’engagement et la polyvalence de la jeunesse française à travers cette compétition. L’équipe de France du BTP bien encadrée « Nos métiers forment chaque jour des jeunes, qui ont courage, talent et ambition, explique Olivier Salleron, président de la FFB. Ces fers de lance de la profession méritent d’être portés tels des champions. Ensemble, révélons la richesse de nos métiers, montrons au monde entier le savoir-faire de nos compagnons ! » Une chose est sûre, les WorldSkills ne seront pas de tout repos. Lire aussi : RE 2020 : La FFB lance la web-série “Réunion de chantier” Et qui de mieux pour coacher la crème de la crème que Christophe Urios, ancien joueur de rugby et actuel directeur sportif de l’Union Bordeaux Bègles. La FFB et la FNTP mettent donc les moyens pour exceller sur le plan international. Mais ce n’est pas tout ! Les fédérations ont constitué dans chaque région de France un réseau de chefs d’entreprise. Ce dernier a pour objectif de porter le “projet WorldSkills” partout sur le territoire. Une campagne de communication a aussi été mise en place pour sensibiliser les jeunes à ces “jeux olympiques des métiers”. Allez les bleus !
Il y a 3 ans et 177 jours

Une plongée sous les ponts de Paris, pour la sécurité

Depuis 2015, le Cerema (Centre d'études et d'expertise sur les risques, l'environnement, la mobilité et l'aménagement) est chargé des inspections subaquatiques des 37 ponts qui enjambent la Seine à Paris.On n'y pense pas forcément, mais "un pont a des parties en dessous de l'eau, il faut aller regarder régulièrement si des désordres apparaissent", explique Pascal Berteaud, directeur général du Cerema.Sur un cycle de six ans, les 37 ponts parisiens, dont certains sont plusieurs fois centenaires, sont ainsi passés au crible par des plongeurs spécialistes de la "pathologie des ouvrages d'art".Après le cycle qui vient de s'achever, "notre conclusion générale est un bon état général de la partie immergée, compte tenu de leur âge", assure Cécile Maurel, directrice du département risques, infrastructures et matériaux du Cerema en Ile-de-France.Le nouveau cycle commence, avec une dizaine de ponts ciblés pour cette première année, dont le pont des Invalides, construit au milieu du XIXe siècle.Sous l'eau, avec une visibilité limitée, deux plongeurs : l'un filme, et l'autre examine les 5 mètres de bâti sous le niveau de l'eau, relié par un câble de communication au troisième de l'équipe en surface, à qui il décrit tout ce qu'il voit.Sur les images filmées il y a quelques jours, Cécile Maurel décrit des "fissures sur une pierre", évoque des "joints lessivés" par le temps, des parties de fondations "en bois", qui ne pourrissent pas parce qu'elles restent toujours immergées. Une "maçonnerie disloquée n'a pas forcément un caractère d'urgence", assure l'experte. Tout dépend de sa place dans la structure.Après les inspections, le Cerema fait des recommandations à la mairie, définissant les degrés d'urgence des éventuels travaux à réaliser."Il y a un enjeu de sécurité des ouvrages comme pour l'ensemble des infrastructures de la ville de Paris. Les ponts font, en plus, partie de l'âme parisienne", commente David Belliard, adjoint à la maire de Paris, qui souligne l'importance de l'entretien de ces "joyaux du patrimoine parisien".En cas de fissures, des "témoins" peuvent être mis en place pour surveiller l'évolution, et des inspections supplémentaires programmées.Il n'y a "pas de signe d'inquiétude ou de risque de rupture brutale, mais il faut assurer un suivi", explique Ambroise Dufayet, responsable des ouvrages d'art à la mairie de Paris.Selon une mission sénatoriale mise en place après l'effondrement meurtrier du viaduc italien de Gênes en 2018, "au moins 25.000 ponts" français "sont en mauvais état structurel", sur les 200.000 à 250.000 ouvrages que compte le pays. Le nombre exact n'est pas connu.
Il y a 3 ans et 177 jours

Pau : poursuite des travaux de réfection de voirie dans le quartier du 14-Juillet

À Pau, l’avenue des Vallées et la rue du Colonel-Gloxin sont en cours de réaménagement.
Il y a 3 ans et 177 jours

Réaménagement du site Tour Eiffel: ces points à revoir

La mairie de Paris s'est engagée à revoir certains points du projet de réaménagement estimé à 107 M€, portant notamment sur le mobilier, l'utilisation de matériaux perméables, ou encore, les liaisons automobiles entre arrondissements.
Il y a 3 ans et 178 jours

La région Nouvelle-Aquitaine dit oui aux LGV Sud-Ouest mais les opposants se font entendre

Les élus régionaux ont décidé d'affecter 710 millions d'euros à l'établissement public chargé de financer le Grand projet du Sud-Ouest (GPSO) qui prévoit la création de ces nouvelles lignes dans le prolongement de la LGV Paris-Bordeaux.Le président (PS) de la région Alain Rousset s'est félicité d'un vote "à une large majorité" - seuls les groupes écologistes et RN s'étaient prononcés contre - qui engage "la vie de la région pour aujourd'hui, demain et après-demain".L'objectif du GPSO, vieux projet relancé cette année par le gouvernement, est de faire gagner une heure de trajet vers Toulouse, mettant la 4e ville de France à 3h10 de Paris, et 20 minutes vers Dax.Sa facture estimée à 14,3 milliards d'euros doit être réglée à 40% par l'État, qui débloquera 4,1 milliards pour Bordeaux-Toulouse mais ne s'est pas encore engagé sur Bordeaux-Dax, à 40% par les collectivités locales d'Occitanie et de Nouvelle-Aquitaine et à 20% par l'Union européenne.Son plan de financement doit être finalisé ces jours-ci, ce qui permettra la création par ordonnance d'ici au mois d'avril de l'établissement public de financement.Si les 16 collectivités d'Occitanie concernées se sont rapidement mises d'accord pour réunir 2,2 milliards d'euros, cela n'a pas été le cas pour les onze collectivités de Nouvelle-Aquitaine, qui doivent rassembler 1,7 milliard d'euros.Les départements de Lot-et-Garonne et de la Gironde ont préféré financer des "trains du quotidien".Cette semaine, les communautés d'agglomération de Dax, Agen et Pau, et le département des Pyrénées-Atlantiques, pourraient rejoindre le camp des "pour".Le Pays basque vote contre la LGV Sud-OuestEn revanche la communauté d'agglomération Pays Basque a affirmé son refus face à ce projet lors d'un vote de principe avec les élus communautaires.En séance du conseil communautaire, des élus basques ont dénoncé un projet qui "ne fera pas disparaître le mur de camions" qui passe la frontière depuis et vers l'Espagne.Le président Jean-René Etchegaray, maire (UDI) de Bayonne, a estimé que la LGV reviendrait à "exproprier une partie de notre population qui ne pourra plus se loger" en raison d'une hausse des prix de l'immobilier, déjà très élevés.Au final, 150 millions d'euros pourraient manquer au pot commun néo-aquitain, ce qui n'est pas "insurmontable", estimait la semaine dernière M. Rousset.Venues de Lot-et-Garonne et de Gironde, quelque 150 personnes - dont une vingtaine d'élus locaux en écharpe tricolore - ont manifesté lundi 20 décembre matin à Bordeaux devant l'hôtel de région, lancant en l'air "10 milliards d'euros" en billets de Monopoly, symbole selon eux de la "gabegie" d'argent public du projet.Ces manifestants ont aussi dénoncé la création d'un "impôt LGV" qui touchera les particuliers et les entreprises vivant à moins d'une heure des futures lignes.En séance, l'élu écologiste lot-et-garonnaise Maryse Combres a accusé le GPSO de "gonfler les chiffres pour justifier ses nouvelles lignes" et stigmatisé "un projet d'un autre temps" qui va affecter "5.000 hectares d'espaces naturels, 236 hectares de zones humides et huit zones Natura 2000".
Il y a 3 ans et 178 jours

Albertville : réfection de l’avenue Jean-Moulin

Le projet de réaménagement de l’avenue Jean-Moulin a été lancé afin d’encourager les mobilités douces.
Il y a 3 ans et 178 jours

Bilan des agréments de logements sociaux en 2021 : un protocole pour rien ou presque

Ce mauvais résultat n’est pas une bonne nouvelle pour toutes celles et ceux qui attendent un logement HLM.Ce bilan était prévisible, tant les conditions économiques n’étaient, ne sont pas, réunies pour créer un vrai choc de l’offre : la baisse des recettes des organismes d’HLM à cause de la RLS, l’augmentation des coûts de construction, la rareté et le coût du foncier… autant de freins à une hausse de la construction.La Fédération des Offices Publics de l’Habitat n’a pas signé ce protocole sur la production de logements. Parce qu’il affiche des ambitions irréalistes et parce qu’il ne prend pas en compte les autres priorités fixées également par le gouvernement : la rénovation urbaine et la réhabilitation thermique, avec des objectifs très forts puisqu’il faut aller vers la neutralité carbone tout en éliminant dès 2025 les étiquettes G, les F en 2028 et enfin les E en 2034.Pour parvenir à conjuguer ces trois priorités qui concernent tous les organismes du logement social, il est indispensable selon la Fédération, d’avoir une vision de long terme partagée avec les Pouvoirs publics, pas d’accords circonstanciels qui ne contribuent pas à créer un choc de confiance.En revanche, pour les offices, les chiffres* de la réhabilitation thermique seront très bons en 2021 : le nombre de logements concernés augmente de 57 %, passant ainsi de 71.000 à 108.000 (comprenant 49.000 puis 62.000 changements d’étiquette énergétique).Plus de 10.000 logements ont également été démolis sur un total de 16.500 pour l’ensemble du secteur HLM, participant ainsi à la recomposition du patrimoine en zone détendue et dans les périmètres de renouvellement urbain.Enfin, les derniers chiffres connus montrent que le nombre d’agréments déposés par les offices a crû de 3 % (hors production « ANRU »), comme pour l’autre grande famille HLM. Il est même en hausse de 7 % pour atteindre 30.000 en incluant la production dans les secteurs « ANRU » (contre 4 % pour les ESH), et ce malgré un nombre d’offices en diminution.Selon Marcel Rogemont, Président de la Fédération des Offices Publics de l’Habitat : « Il faut amplifier et inscrire dans la durée ces résultats encourageants mais insuffisants. C’est pour cela, j’insiste, qu’il faut rediscuter, principalement, de l’impact négatif de la RLS et de la baisse du taux de TVA à 5,5 % sur l’ensemble des investissements HLM. »*Les données sont issues de l’Observatoire de la Production Locative, à fin septembre 2021.
Il y a 3 ans et 178 jours

La cour administrative d’appel de Paris confirme l’annulation de la ZAC Pleyel

La cour administrative d’appel de Paris a pris un arrêt, rendu public ce mardi 21 décembre, qui confirme l’annulation de la ZAC Pleyel à Saint-Denis, portée par l’Etablissement public territorial Plaine Commune et concédée à Plaine Commune Développement, en rejetant l’appel du porteur de projet.
Il y a 3 ans et 178 jours

Bilan du Projet SEREINE : une méthode simple et rapide pour évaluer la performance énergétique d'une maison individuelle

Alors que les recherches vont se poursuivre jusqu’en 2024, dans le cadre de SEREINE 2, au sein du programme PROFEEL 2, l’équipe projet a réuni toute la filière de la construction et de la rénovation, le 16 décembre 2021, pour présenter son bilan final. Plus de 100 professionnels du bâtiment, bureaux d’études, maîtres d’ouvrage et opérateurs ont été conviés, à distance, aux 2 présentations et 2 tables rondes sur ces outils inédits, leurs enjeux, leur apport, leur mise en œuvre et leur avenir.Deux solutions inédites pour évaluer la performance énergétique réelle d’un bâtimentUn enjeu, deux outils et objectif atteintsPour objectiver la qualité des travaux de rénovation ou de construction et les gains en efficacité énergétique, le projet SEREINE a développé avec succès deux solutions inédites pour la maison individuelle neuve ou rénovée : une méthode pour mesurer la performance thermique de l’enveloppe de la construction dans des délais records et une application pour évaluer la performance énergétique de tous ses systèmes de chauffage, climatisation, eau chaude sanitaire, ventilation et éclairage.Pour Philippe Estingoy, Directeur général de l’Agence Qualité Construction : « Malgré la crise sanitaire qui a fortement ralenti les expérimentations sur le terrain, nous avons atteint nos objectifs. La mesure de la performance de l’enveloppe peut se faire aujourd’hui en 24 h, ce qui est unique au monde et les outils de mesure ont été optimisés pour que les opérateurs puissent les utiliser facilement. Quant à l’application interactive qui permet d’évaluer tous les systèmes, elle est aujourd’hui accessible à tous, en téléchargement, et les non-qualités y sont listées par ordre de gravité, ce qui permet de les corriger. Nous avons ainsi relevé plusieurs grands défis scientifiques et nous allons pouvoir développer encore plus cette performance avec SEREINE 2 ».Pour Pierre Oberlé, Responsable de tâches, contributeur technique de SEREINE et Expert Performance énergétique du bâtiment à l’INES : « Au vu des enjeux climatiques inédits, nous avons la responsabilité de faire des bâtiments réellement performants : le projet SEREINE y a contribué et va continuer à le faire, en apportant aux professionnels du bâtiment de nouveaux outils de caractérisation de la performance réelle de l’enveloppe comme des systèmes ».C’est à ce titre que SEREINE a été le projet le plus stratégique des 9 projets du Programme d’innovation PROFEEL. Doté d’un budget de 5 millions, sur 3 ans (2019-2021), il a embarqué toute la filière de la rénovation énergétique, c’est-à-dire ceux qui conçoivent et font les travaux (entreprises, artisans, bureaux d’études et architectes) mais aussi ceux qui leur passent commande, à savoir les maîtres d’ouvrage (bailleurs sociaux, copropriétés et particuliers) et enfin les opérateurs de mesure qui les évaluent.SEREINE enveloppe : une gamme simple et fiable pour mesurer la performance thermique d'une maison en 24h ou 48hUne mesure en 24 h ou 48 h selon le type d’isolationSEREINE est une gamme simple de méthodes opérationnelles permettant de mesurer de façon fiable la performance thermique réelle d’une maison neuve ou rénovée dans des délais acceptables. Les travaux conduits par l’équipe projets ont permis de réduire ce délai à 24 h pour les maisons isolées par l’intérieur et 48 h pour celles isolées par l’extérieur. Lorsque la température extérieure est inférieure à 8 °C. Au-delà, les durées sont multipliées par deux. La mesure reste bien entendu impossible en cas de canicule ou de vents importants.Pour Stéphanie Derouineau, coordinatrice scientifique et technique de SEREINE, Directrice adjointe de la direction Énergie Environnement au CSTB : « SEREINE propose aujourd’hui une gamme complète de protocoles pour la mesure du niveau d’isolation thermique des maisons individuelles. Une gamme qui se décline en fonction du type d’isolation et de la saison. La mesure est ainsi accessible à une très large part des marchés de l’habitat individuel, qu’il soit neuf ou rénové. »Une mise en œuvre simple et rapide grâce à du matériel optimiséLe déroulement d’une mesure SEREINE est simple. L’opérateur, préalablement formé, doit dans un premier temps préparer sa campagne en ligne. Pour ce faire, il documente les caractéristiques du logement et définit l’emplacement des capteurs. Une fois sur place, dans la maison vidée de ses occupants, il obstrue toutes les ouvertures, éteint les systèmes énergétiques à demeure, installe le matériel, puis lance le chauffage et la mesure. Un algorithme très élaboré génère alors des modèles numériques adaptés à chaque type de bâti, et calcule à partir des mesures réalisées le coefficient de déperdition énergétique.Pour que tous les opérateurs puissent s’approprier rapidement ce protocole, le kit de mesure a été optimisé et son volume réduit. Il suffit désormais d’un smartphone pour préparer, lancer et suivre la mesure à distance.À l’extérieur, le nombre de capteurs a été réduit de 10 à 3 et la sonde d’irradiation a été supprimée au profit de données météorologiques, récupérées automatiquement. À l’intérieur, pour chaque pièce de la maison, l’opérateur dispose désormais d’un module de 13 x 20 x 30 cm contenant un chauffage avec ventilateur intégré et une sonde de température sur perche télescopique. Le nombre de ces modules a été porté de 7 à 10 pour pouvoir équiper toutes les pièces de certaines grandes maisons.Pour Rémi BOUCHIE, Contributeur technique de SEREINE, Chef de division au CSTB : « Notre priorité était de faciliter l’utilisation du kit et de la rendre la plus fluide possible, pour que les opérateurs se l’approprient intuitivement. Grâce à leurs retours d’expérience, nous avons pu à la fois réduire son encombrement et simplifier sa mise en place, tout en préservant la fiabilité de la mesure. Son installation se fait aujourd’hui beaucoup plus rapidement, ce qui réduit le coût humain d’intervention sur site. »Des indicateurs visuels accessibles à tousQu’il s’agisse d’une maison neuve ou rénovée, le résultat de la mesure est exprimé en Watt/Kelvin, accompagné d’un intervalle de confiance. Mais pour être plus concret et accessible à tous, il est interprété de façon graphique. En cas de rénovation, SEREINE positionne la maison par rapport à l’échelle isolation du nouveau DPE avec le même code couleur. Pour le neuf, SEREINE affiche un feu tricolore qui matérialise l’écart entre la performance mesurée et la performance calculée lors de la conception. Lorsque le feu est vert, la performance attendue a été atteinte. S’il est rouge, c’est qu’elle n’est pas au rendez-vous.SEREINE systèmes : une application interactive pour évaluer la performance énergétique de tous les systèmes de la maisonUne application mobile pour évaluer tous les systèmesContrairement à l’enveloppe, dont la performance peut être mesurée, les systèmes font l’objet d’une évaluation qualitative qui consiste à vérifier que les bonnes pratiques de conception, de mise en œuvre et de réglage ont été respectées, à travers près de 200 vérifications sur 60 systèmes différents. Pour ce faire, l’équipe SEREINE, a conçu une application mobile couvrant les principaux équipements de chauffage, eau chaude sanitaire, ventilation, rafraîchissement et éclairage. Cette solution est aujourd’hui la seule qui couvre tous les systèmes énergétiques d’un bâtiment de façon exhaustive.Une évaluation en deux tempsRépartie sur deux demi-journées, cette évaluation se déroule en 2 étapes. Un audit documentaire au cours duquel l’opérateur recueille les documents, précise la configuration et vérifie des éléments de conception, à partir des informations disponibles. Et un audit sur site, avec ou sans occupants, durant lequel il met à jour la configuration à partir de ce qu’il constate sur place, puis vérifie la bonne installation et le réglage des équipements. Cette étape passe par des constats visuels et des mesures.Téléchargeable depuis le 16 décembre, l’application SEREINE Systèmes a été conçue pour être la plus intuitive possible et faciliter la vie des opérateurs. Pour ce faire, l’équipe projet s’est projetée dans un maximum d’utilisations possible, afin de concevoir un outil flexible qui s’adapte aux différents modes opératoires des auditeurs. Ils peuvent réaliser l’audit à leur rythme et dans l’ordre qu’ils veulent, sur tablette, smartphone ou ordinateur et ce même sans être connectés à un réseau.Des indicateurs tournés vers l’actionUne fois l’audit terminé, l’application génère un rapport automatique avec une synthèse et des résultats détaillés. Parce que certaines informations peuvent manquer ou parce que certaines vérifications peuvent avoir été impossibles à effectuer, la synthèse présente tout d’abord un taux de complétude, exprimé en %. Ce taux indique le niveau de représentativité de l’évaluation.Tournés vers l’action, les indicateurs qui suivent se présentent sous la forme d’une liste de défauts, classés par ordre de gravité, comme dans un contrôle technique automobile. Avec des défauts dits critiques, des défauts majeurs et des défauts mineurs. Ce qui permet de visualiser les problèmes en un clin d’œil.Les résultats détaillés retracent quant à eux toutes les vérifications faites, qu’il y ait un défaut ou pas. Avec, à chaque fois, ce qui a été observé, la réponse de référence ainsi que les éventuels écarts, leur cause et leur incidence.SEREINE 2Compte tenu de ces résultats prometteurs et des nombreuses pistes qui se dessinent, SEREINE va être reconduit pour 3 ans (2022-2024). Doté d’un nouveau budget de 5 millions €, SEREINE 2 se déploiera toujours au sein du programme PROFEEL qui sera lui aussi prolongé.Pour Aurélien LOPES, porteur de projet SEREINE à l’AQC : « L’objectif est de massifier les expérimentations sur l’enveloppe comme sur les systèmes et, pour SEREINE Enveloppe, de réduire encore le temps de mesure, d’identifier les non-qualités et de finaliser la méthode pour le collectif. Pour SEREINE Systèmes, il s’agira de finaliser et nourrir la plateforme de données ouvertes ».
Il y a 3 ans et 178 jours

Un budget 2022 à 3,2 milliards d'euros pour le changement d'échelle de l'agence nationale de l'habitat

Le dernier Conseil d’administration de l’année a été introduit par la Ministre déléguée en charge du Logement, Mme Emmanuelle Wargon. Il a notamment permis l’adoption d’un budget en hausse et la création de MaPrimeRénov’ Sérénité, qui devient le programme de référence pour financer les rénovations globales les plus ambitieuses, des ménages aux revenus modestes et très modestes. Ce budget permettra d’accompagner les particuliers dans leur parcours de travaux avec France Rénov’ et d’accélérer la rénovation du parc privé, avec une aide unique et universelle, MaPrimeRénov’. Ce budget conforte donc l’Agence dans ses missions et lui donne les moyens de déployer dès janvier 2022 France Rénov, le service public de la rénovation de l’habitat, afin de permettre l’information et l’accompagnement d’un maximum de ménage et ainsi d’accélérer la rénovation du parc de logements privés.Des objectifs 2021 atteintsEn 2021, l’activité de l’Anah conserve une forte dynamique sur l’ensemble de ses programmes, avec des résultats déjà supérieurs à 2020 à la même période, qui témoignent des attentes fortes des citoyens en matière d’amélioration de l’habitat. L’Agence sera donc en mesure d’atteindre ses objectifs pour la troisième année consécutive.3,2 milliards d’euros pour l’amélioration du parc privé en 2022Le budget 2022 de l’Anah dépasse les 3,2 milliards d’euros pour la rénovation des logements privés. Il accompagne ainsi le succès de MaPrimeRénov’, avec un objectif de 685 000 primes distribuées, la réussite du Plan Initiative Copropriétés, avec un objectif de 60 000 logements rénovés en copropriété, l’adaptation des logements à la perte d’autonomie, avec un objectif de 24 000 logements adaptés et le déploiement des programmes Action Cœur de Ville et Petites Villes de Demain grâce au financement d’ingénierie pour les collectivités.Au total, ce sont plus de 800 000 logements dont la rénovation sera financée par l’Agence en 2022.Habiter mieux devient MaPrimeRénov’ SérénitéAfin de simplifier les aides et de renforcer la lutte contre la précarité énergétique, le programme Habiter Mieux de l’Anah devient MaPrimeRénov’ Sérénité. Destinée aux 5,5 millions de propriétaires aux revenus modestes et très modestes, cette nouvelle aide financera la rénovation globale de leur logement, permettant un gain énergétique de plus de 35%. Le taux de financement pourra aller jusqu’à 50% du montant des travaux, avec un accompagnement technique, social et financier obligatoire pour les ménages. MaPrimeRénov’ Sérénité sera cumulable à compter du 1er juillet 2022 avec les CEE et les aides locales afin de réduire le reste à charge des ménages. Un bonus pour les sorties de passoires énergétiques et un autre pour les rénovations atteignant l’étiquette A ou B complètent le dispositif.Conseiller et accompagner les ménages dans leur projet de rénovationAfin d’accompagner les ménages dans leur projet de rénovation, l’Anah déploiera à partir du 1e janvier 2022 France Rénov’, le service public de la rénovation de l’habitat. Réunissant l’expertise du réseau FAIRE et celle du réseau de l’Anah, France Rénov’ permettra d’informer, conseiller et d’orienter les particuliers vers les travaux les plus performants et les aides les mieux adaptées à leur projet. France Rénov’ va permettre un parcours usager fluide et sans couture pour faciliter le passage à l’acte des ménages. Il s’agira de :plus de 450 guichets présents sur l’ensemble du territoire ;un site web unique : France-renov.gouv.fr ;un numéro de téléphone unique : 0808 800 700un service public de proximité, qui se déploie grâce aux collectivités territoriales.Pour Emmanuelle Wargon, Ministre déléguée au logement : « La lutte contre le réchauffement climatique ne pourra se faire sans la massification de la rénovation de l’habitat, et la lutte contre les passoires thermiques. Afin de répondre aux ambitions de la loi Climat et Résilience et pour promouvoir les rénovations globales et performantes l’Anah dispose de moyens supplémentaires pour garantir une offre plus visible et plus claire pour tous avec MaPrimeRénov’, et permettre à chacun d’être accompagné dans son projet avec le déploiement de FranceRénov’ ».Pour Thierry Repentin, Président de l’Anah : « Depuis 50 ans, l’Anah agit pour l’amélioration du parc privé et lutte contre le mal logement. Elle a su se transformer pour réussir à massifier les aides à la rénovation énergétique. Le succès de MaPrimeRénov’ est au rendez-vous, et les objectifs fixés par le gouvernement ont largement été dépassés. Demain, dans tous les territoires, l’Anah amplifie son action pour accompagner tous les Français dans leur projet avec France Rénov’, le service public de la rénovation de l’habitat. Les objectifs sont ambitieux, et ils répondent aux besoins des Français en matière d’accompagnement et de simplification pour réussir la transition énergétique ».
Il y a 3 ans et 178 jours

A Orléans, un "saut-de-mouton" pour sécuriser le trafic sur l'autoroute

EN IMAGES. En cette fin 2021, Vinci Autoroute a ouvert à la circulation un nouvel ouvrage au niveau de la bifurcation entre l'A10 et l'A71, près d'Orléans. Celui-ci doit permettre de fluidifier et sécuriser le trafic, notamment de ceux qui entraient à cet endroit depuis la métropole et se dirigeaient vers Tours et Bordeaux.
Il y a 3 ans et 178 jours

Chatillon Architectes signe la restauration des emblématiques Bains municipaux de Strasbourg

Construits par l’architecte Fritz Beblo à partir de 1905, les Bains municipaux de Strasbourg sont un lieu emblématique de la ville. Très cher à ses habitants, le bâtiment nécessitait à la fois une restauration, une réhabilitation et la création de nouveaux espaces afin de lui permettre de redevenir une piscine ancrée dans son temps et tournée vers l’avenir. Cette mission a été confiée au groupement composé de Chatillon Architectes, TNA Architectes, Eiffage, Equalia et Quadriplus.
Il y a 3 ans et 178 jours

Le tunnel de la ligne 15 Sud creusé pour le Métro Grand Paris

Lors d'une cérémonie à Créteil, le président de la Société du Grand Paris (SGP) Jean-François Monteils a vanté "un grand courant d'air de 37 km" résultant de l'achèvement des tunnels de cette ligne de métro, qui doit relier Pont-de-Sèvres (dans les Hauts-de-Seine) à Noisy-Champs (à la frontière de la Seine-Saint-Denis et de la Seine-et-Marne) en traversant le Val-de-Marne.Déclarée d'utilité publique en décembre 2014, la ligne 15 Sud est en travaux depuis mars 2015. Dix tunneliers ont été nécessaires pour creuser depuis avril 2018 les 33 km de la ligne et 4 km supplémentaires de raccordements, a-t-il rappelé.Cette liaison faisant un arc dans la banlieue sud de Paris sera "plus longue que n'importe quelle ligne en Ile-de-France, et en France", a relevé M. Monteils.Reste qu'il faudra encore quatre ans pour terminer les stations, installer les voies dans les tunnels, les équiper et tester le matériel. L'ouverture de la ligne est prévue fin 2025.Un premier morceau du métro du Grand Paris doit être mis en service auparavant, au printemps 2024 pour les jeux Olympiques : le prolongement de la ligne 14 au sud et au nord, de l'aéroport d'Orly à Saint-Denis Pleyel (Seine-Saint-Denis).L'ouverture des autres tronçons des 200 km du supermétro francilien est annoncée entre 2026 et 2030, y compris des prolongements de la ligne 15 à l'ouest, au nord et à l'est de Paris pour former une ligne circulaire.
Il y a 3 ans et 178 jours

Les professionnels de la construction partent en campagne auprès des jeunes

Dans les métiers de la construction, chaque jour est un nouveau défi… Pour le faire savoir, à l’initiative de l’ensemble des fédérations professionnelles d’employeurs et des organisations syndicales de salariés réunies au sein du conseil d’administration du CCCA-BTP, les professionnels de la construction partent en campagne avec « La Construction. Demain s’invente avec nous ».Cette campagne nationale s’adresse aux jeunes, pour leur faire découvrir la diversité et la richesse des métiers du bâtiment et des travaux publics et leur donner envie de rejoindre le secteur, en s’y formant par l’apprentissage. Lancée le 13 décembre 2021, elle se déploiera jusqu’au mois de juin 2022. La campagne s’inscrit dans le cadre de la dynamique de développement de l’apprentissage BTP du CCCA-BTP, au profit de l’ensemble des professionnels du bâtiment et des travaux publics, pour susciter de nouvelles vocations auprès des jeunes en quête d’orientation, futures forces vives du secteur de la construction.L’objectif de cette campagne ? Faire découvrir aux jeunes les atouts d’un secteur dynamique et innovant, qui offre à chaque talent de belles perspectives d’évolution et de carrière, tout au long de sa vie professionnelle, la garantie d’un emploi hautement qualifié et, surtout, que dans les métiers de la construction, chaque jour est un nouveau défi.Un casting de jeunes professionnels pour partager la fierté de leurs métiersParce que les professionnels de la construction sont les meilleurs porte-parole pour promouvoir leur métier auprès des jeunes en recherche d’une orientation, six jeunes professionnels du bâtiment et des travaux publics, venus de toute la France et retenu parmi les 200 candidats ayant participé à l’appel à candidatures « La Construction fait son casting ».Monteur de réseaux électriques, installateur thermique, couvreur, carreleur-mosaïste, maçon et menuisier aluminium-verre... Tous ont moins de 30 ans, sont apprentis, chef d'entreprise ou salariés.Leur point commun : l’envie de partager la passion et la fierté d’exercer leur métier au quotidien et d’en montrer toute la diversité !Les ambassadeurs de la campagne :Antoine : couvreur, apprenti, formé à BTP CFA Gironde (Blanquefort)Benjamin : maçon, salarié, formé chez les Compagnons du devoir et du Tour de FranceCallum : monteur de réseaux électriques, salarié, formé au CFCTP d’ÉgletonsDinis : menuisier aluminium-verre, apprenti, formé à BTP CFA Gironde (Blanquefort)Justine : carreleuse-mosaïste, salariée, formée à BTP CFA Vendée (La Roche-sur-Yon)Sébastien : installateur thermique, chef d’entreprise, formé à BTP CFA AntibesUn dispositif de communication à la hauteur des ambitions de la campagneLe dispositif de communication pluri média mis en place est à la hauteur des ambitions des professionnels : six films publicitaires diffusés à la télévision et sur Internet, un plan média et une animation sur les réseaux sociaux, un site internet dédié, un module de découverte ludique et interactive des métiers de la construction, une opération au sein des territoires…Six films publicitairesLes six films publicitaires, d’une durée de 30 secondes, mettent chacun en scène un métier : carreleur-mosaïste, couvreur, installateur thermique, maçon, menuisier aluminium-verre et monteur de réseaux électriques. Chacun montre qu’en exerçant un métier de la construction, chaque jour est différent, grâce à la diversité des situations de chantier.Trois vagues de deux semaines sont organisées pour la diffusion des six films en télévision sur les chaînes C8 et CStar, NRJ12, 6ter et W9, TFX et L’Équipe : du 13 au 26 décembre 2021, du 24 janvier au 6 février 2022 et du 5 au 19 mars 2022. Le dispositif est complété par un plan média digital sur les moteurs de recherche et les réseaux sociaux.Un site Internet dédié : laconstruction.frLe site internet laconstruction.fr propose de nombreux contenus, pour répondre aux interrogations des jeunes et les accompagner dans leur orientation professionnelle, notamment avec un moteur de recherche des formations en apprentissage aux métiers du BTP sur l’ensemble du territoire, un formulaire d’inscription, en lien avec l’opération de recrutement du CCCA-BTP « Boost apprentissage BTP », des fiches métiers, ou encore des vidéos de témoignages de professionnels.Un kit de communication de tous les supports de la campagne (affiches, flyer, fiches métiers, bannières Internet, vignettes pour les réseaux sociaux, etc.) est également mis à disposition, pour permettre à tous les organismes de formation aux métiers du BTP et prescripteurs de l’orientation et de l’emploi de relayer et d’être acteurs de la campagne sur leur territoire.Construction City, le module de découverte des métiers, disponible sur laconstruction.frConstruction City est un quiz sur les métiers du bâtiment et des travaux publics accessible via le site laconstruction.fr, pour faire découvrir leur diversité aux jeunes de façon interactive et ludique. Il peut être utilisé individuellement ou collectivement en classe, ou lors des portes ouvertes dans un CFA par exemple.Dans un univers urbain imaginaire créé en 3D, l’utilisateur découvre les métiers de la construction en cliquant sur différentes zones de construction, dans lesquelles les professionnels peuvent être amenés à intervenir, et répond à un quiz sur chacun des métiers. Pour répondre correctement, il peut s’appuyer l’ensemble des informations mises à sa disposition (fiches métiers, vidéos, etc.).Une opération de mobilisation nationale pour créer l’événement autour de l’apprentissage BTPDu 5 au 19 mars 2022, une opération spéciale de mobilisation #PassionConstruction sera organisée pour mettre un coup de projecteur sur les métiers de la construction et l’apprentissage comme voie d’excellence pour s’y former.L’occasion de donner plus de visibilité à tous les événements pouvant être organisés à cette période par les organismes de formation aux métiers du BTP, entreprises et prescripteurs de l’orientation, comme les journées portes ouvertes, pour promouvoir les métiers de la construction et la voie de l’apprentissage.Pour accompagner cette opération, une journée spéciale sur l’antenne d’une radio nationale, de la publicité digitale, à la télévision et en radio, une campagne d’affichage…
Il y a 3 ans et 178 jours

Antoine Dupont, nouveau phénomène du rugby mondial, ambassadeur du groupe Sika France

Stratège, puissant et considéré, à seulement 25 ans, comme l’un des joueurs de rugby le plus brillant de sa génération, Antoine DUPONT prône l’esprit de créativité, le leadership et le respect sur le terrain et en dehors pour réussir. Des valeurs pleinement incarnées par les 1400 collaborateurs du Groupe Sika France, connu pour sa capacité d’innovation et sa proximité sur le terrain pour accompagner la réussite de ses clients.En tant qu’ambassadeur, Antoine DUPONT sera présent aux cotés des marques Sika et Parexlanko lors de nombreux évènements et temps forts qui se dérouleront jusqu’au 31 décembre 2023."Nous sommes très fiers qu’Antoine DUPONT ait accepté de représenter nos marques dédiées au monde de la construction et de l’industrie et de l’accueillir au sein de notre équipe. Nous l'avons choisi pour les valeurs qu’il incarne et que nous partageons : l’excellence, la créativité, l'esprit d’équipe, le leadership ainsi que le respect de l’environnement, nous appelons cela le Sika Spirit. Merci à Antoine de nous accompagner jusqu’à la Coupe du Monde de rugby qui aura lieu en France en 2023 ” précise Pascal MALAFOSSE, Directeur Général de Sika France SAS et ParexGroup SAS."C’est un grand honneur pour moi de devenir l’Ambassadeur du Groupe Sika France et de ses marques, reconnues pour leurs hautes valeurs ajoutées techniques. J'ai été séduit par ce projet, en raison de nos valeurs communes et de la puissance du Groupe Sika France, référent incontournable sur les marchés du bâtiment et du bricolage" indique Antoine DUPONT.* Élu meilleur joueur européen de la saison 2020-2021, meilleur joueur du tournoi des 6 nations 2020, meilleur joueur du Top 14 saison 20-21, meilleur joueur international français 20-21
Il y a 3 ans et 178 jours

Les terrains pour habitats légers avec domiciliation

Comment gérer collectivement un terrain qui a vocation à intégrer un collectif d’habitats légers (type village tiny house ou hameau léger) sur un terrain dit familial ?  Les terrains familiaux pour résidences mobiles constituant l’habitat permanent des gens du voyage. Le décret n°2015-482 du 27 avril 2015 pris en application de la loi n°2014-366 du […]
Il y a 3 ans et 179 jours

Destruction controversée d'un îlot de maisons menaçant de s'effondrer à Perpignan

"L'Aspahr s'élève avec force contre cette destruction. Le quartier Saint-Jacques a une valeur d'ensemble qui, au fil des démolitions, disparaît", souligne cette association pour la sauvegarde du patrimoine roussillonnais.De son côté, la mairie dirigée par le RN Louis Aliot met en avant "deux rapports d'experts (qui) ont démontré que les fortes pluies de fin novembre ont sérieusement endommagé les derniers bâtiments de l'îlot Puig"."Cette évolution entraîne de facto un risque imminent d'effondrement", explique-t-elle dans un communiqué.Jean-Bernard Mathon, spécialiste du patrimoine de la région et membre de l'Aspahr, affirme ne "pas avoir connaissance de ces expertises" citées par la municipalité."Peut-être qu'il y a un risque avéré d'effondrement, mais le vrai problème c'est que ni l'ancienne municipalité, ni l'actuelle, n'ont fait le nécessaire pour éviter d'en arriver là", dit-il à l'AFP."Si on veut préserver le patrimoine architectural de Saint-Jacques, il faut y mettre les moyens", soutient-il.La démolition de cet îlot avait déjà été ordonnée par le précédent maire de Perpignan Jean-Marc Pujol (LR) mais une mobilisation inédite des habitants du quartier en 2018 avait permis de stopper net la pelleteuse.Nick Gimenez, l'un des patriarches de la communauté gitane, y avait participé, craignant qu'à long terme les gitans ne soient chassés de ce quartier du centre-ville. Il affirme aujourd'hui à l'AFP que "la violence ne mènera à rien", et prône le dialogue avec la mairie.Cette dernière a promis dans son communiqué "un projet de construction de logements en concertation avec les habitants"."Les constructions qui remplaceront celles que l'on rase aujourd'hui n'auront jamais le caractère ancien, ni les qualités de celles qui sont détruites. La ville va vers la banalité et la perte de mémoire", accuse pour sa part l'Aspahr.Peuplé d'environ 4.000 personnes, le quartier historique de Saint-Jacques, construit à partir du 13e siècle à l'initiative des rois de Majorque, possède une identité singulière car y cohabitent l'une des plus importantes communautés gitanes sédentarisées d'Europe, une population d'origine maghrébine et d'autres familles catalanes.
Il y a 3 ans et 179 jours

Après la COP26, l'espoir de respecter la limitation du réchauffement climatique à 1,5°C s’éloigne

Tel est le constat mitigé de la commission de l’aménagement du territoire et du développement durable dans un rapport prolongeant la résolution du Sénat consacrée aux négociations climatiques, adoptée le 2 novembre 2021.La COP26 a permis un léger relèvement de l’ambition climatique (-0,3°C), principalement grâce au dépôt de contributions déterminées au niveau national (CDN), nouvelles ou actualisées. Insuffisante, cette avancée de l’ambition ne permettra toutefois pas de respecter les objectifs de l’Accord de Paris : les engagements de court terme placeraient au mieux la planète sur une trajectoire d’augmentation des températures de 2,3°C, loin de la cible de 1,5°C. De plus, la capacité et la volonté des États à respecter leur propre CDN sera déterminante pour y parvenir, ce qui est loin d’être garanti en dépit de l’adoption des règles de transparence. Des pas en avant en matière de gouvernance sont en revanche à souligner : accord sur les règles de transparence – qui devraient permettre de mieux comparer les contributions de chaque État et de contrôler la réalité et l’efficacité des actions entreprises – et accélération de l’agenda climatique, par la demande faite aux États de revoir et de renforcer leur CDN dès la COP27 de 2022 – de nature à amplifier l’ambition collective dès l’année prochaine.La commission identifie un motif d’inquiétude bien réel lié aux progrès insuffisants en matière de finance climatique. D’une part, les efforts des pays développés pour financer l’atténuation et l’adaptation au changement climatique d’ici 2020, dans les pays en développement, n’ont pas été à la hauteur de l’engagement de 100 milliards de dollars par an pris en 2009. D’autre part, la COP26 n’a pas permis de trouver de solutions de financement pour les « pertes et préjudices ». Sans réponse rapide de la communauté internationale à ces problématiques, la crise de confiance entre pays développés et pays en développement pourrait s’ancrer plus encore et paralyser durablement la négociation climatique. L’absence de solidarité des pays développés pourrait également conforter l’alliance entre les pays en développement et des « grands émergents » (Chine, Inde), alliance qui participe à limiter l’ambition générale. La commission appelle donc la France et l’Union européenne à avancer sur ce volet de la négociation climatique dans la perspective de la COP27.
Il y a 3 ans et 179 jours

Trois acteurs de la terre cuite unis pour valoriser des terres de chantier à Toulouse

ASSOCIATION. Dans le cadre du chantier du métro de Toulouse, trois industriels de la terre cuite s'associent pour valoriser des déblais de chantier issus de la troisième ligne du métro de la ville.
Il y a 3 ans et 179 jours

Étanchéité d’une toiture plate : comment la garantir?

Il existe principalement deux formes de toiture. D’une part, il y a la toiture en pente et ; d’autre part, la toiture plate. La première permet facilement à l’eau de pluie de s’écouler vers les gouttières. En revanche, l’humidité a tendance à stagner sur la seconde. En raison de sa faible inclinaison, l’évacuation des eaux de pluie ne se fait pas de façon optimale sur un toit plat. Pour éviter qu’elles s’infiltrent, il est primordial d’assurer son étanchéité. Mais de quelle manière ? Nous allons justement en parler dans les lignes suivantes. En quoi est-il crucial d’avoir une toiture plate parfaitement étanche ? Également connues sous l’appellation « toitures-terrasses », les toitures plates sont très répandues en zones urbaines et en zones industrielles. En dessous de celles-ci existe souvent un espace qui peut éventuellement être habitable. Mais peu importe sa destination (ex. : stockage, garage, pièce chauffée, etc.), les infiltrations d’eau par la toiture sont à éviter. Cela passe par un système d’étanchéité efficace. Rappelons que l’humidité occasionne : Des dommages au niveau de la toiture et des éléments la composant (ex. : charpente, isolants, revêtement) ; Des dégâts des eaux au sein de l’habitat ; Des problèmes d’humidité sans fin débouchant sur le développement des moisissures sur les murs et la dégradation de leur revêtement, des traces sur le plafond et des mauvaises odeurs à l’intérieur de la maison Ce sont des signes qui témoignent de l’infiltration d’eau par la toiture. De ce fait, ils ne doivent pas être négligés. Faire appel à une entreprise d’étanchéité de toiture comme sur ce site : https://www.entreprise-etancheite-83.fr/ est donc la chose à faire. Comment faire l’étanchéité d’une toiture plate ? Pour garantir l’étanchéité d’une toiture plate, il est nécessaire qu’elle soit suffisamment inclinée. C’est cette inclinaison qui permettra l’écoulement des eaux de pluie vers les gouttières. Toutefois, on peut faire l’étanchéité d’une telle toiture en mettant en place le bon isolant. À ce titre, on peut citer : L’asphalte ; Les produits bitumés ; Les films multicouches qui se présentent soit sous la forme de feuilles de bitume armées soit sous la forme de bitume coulé. Ici encore, le recours aux services d’une entreprise d’étanchéité de toiture est recommandé. Un professionnel saura mieux vous guider quant aux choix de vos isolants. Il est d’ailleurs le mieux qualifié pour les installer. Quelques solutions pour réaliser l’étanchéité de la toiture plate À côté des trois systèmes d’étanchéité cités ci-dessus, les spécialistes du domaine peuvent proposer d’autres alternatives. En l’occurrence, il y a : La membrane d’étanchéité bitumeuse Des feuilles ou des rouleaux de bitume sont posés sur la surface du toit. Cette opération nécessite l’usage d’un appareil à flamme comme le chalumeau. Il existe cependant des modèles qui ne requièrent pas l’utilisation d’un tel outil. En l’espèce, une colle spéciale sera utilisée pour fixer les feuilles bitumeuses sur les zones concernées. La membrane d’étanchéité photovoltaïque De nos jours, on peut acheter des membranes qui intègrent des modules photovoltaïques souples ou des plots. Ce qui rend possible la mise en place de modules photovoltaïques rigides. On peut également recourir à des plots que l’on installe directement sur l’étanchéité, et ce sans qu’on ait besoin d’utiliser un traitement spécifique. Si de cette façon on génère de l’énergie solaire, il est à noter que ce système présente une faille. Comme les panneaux ne sont pas fixés sur la toiture, cela peut poser problème en cas de vent violent. La bâche EPDM Il s’agit d’un élastomère résistant et étanche. Il est produit en usine par la vulcanisation des lés EPDM. Un robot spécifique assure par la suite son pressage pour qu’il soit parfaitement étanche et inaltérable. Le système d’étanchéité liquide  ou SEL C’est la solution à adopter pour étanchéifier les zones difficiles d’accès. Ce produit est fait à base de résine. La même matière est utilisée pour la fabrication des membranes continues à épaisseur régulière.
Il y a 3 ans et 179 jours

L'Institut français de la mode rajeunit avec un nouveau campus dans Paris

ARCHITECTURE. Au bord de la Seine, l'institution représentative du secteur de la mode dans l'enseignement se renouvelle avec un programme de réhabilitation et de réaménagement intérieur. Un projet qui donne plus de chaleur et de luminosité à un bâtiment typiquement industriel.
Il y a 3 ans et 179 jours

Une façade de verre qui bombe le torse

Le nouveau siège social de BlaBlaCar (Paris XIe) offre une façade particulièrement repérable dans le tissu urbain de la capitale, en alignant 24 pans de verres bombés de quadruple hauteur.
Il y a 3 ans et 179 jours

Sauvons nos monuments 2021

Pleins feux sur l’abri conique anti-aérien en béton de Villenoy (77). [©Philippe Ayrault, Région Ile-de-France 2021] La Région Ile-de-France contribue à la préservation de son patrimoine. Elle va aussi apporter son aide aux 8 sites sélectionnés dans le cadre de l’opération organisée avec Le Parisien et le site de financement participatif dartagnans.fr en octobre-novembre 2021. Rappelons qu’entre 2016 et 2021, la Région a consacré 200 M€ au patrimoine sous tous les angles : restauration, valorisation, emploi et formation. Et enfin, recherche et innovation. Ainsi, plus de 15 000 internautes ont voté pour désigner, dans chaque département, un monument en péril à sauver en priorité (sur les 2 en lice à chaque fois). Cette opération se poursuit avec la possibilité pour le public, jusqu’au 31 décembre prochain, de contribuer à la restauration des 8 sites gagnants. Le fruit de ces collectes complétera les aides de la Région. De plus, cette dernière a proposé les monuments sélectionnés non classés au titre des Monuments historiques le label francilien “Patrimoine d’intérêt régional”. Cette labellisation permet aux propriétaires de sites, qui racontent discrètement l’histoire de l’Ile-de-France, de bénéficier d’aides. L’abri conique anti-aérien en béton de Villenoy Parmi les 8 sites plébiscités figurent l’église Notre-Dame-du-Bon-Conseil (75), l’orgue de l’église Saint-Béat à Epône (78), le boudoir d’Eugénie Renique à Bagneux (78), l’église Sainte-Agnès à Maisons-Alfort (94)… Nous avons retenu l’abri conique anti-aérien en béton de Villenoy (77). Visible au fond du parc de l’Hôtel de ville, ce bâtiment haut de 18 m en forme de cône a été réalisé entre 1938 et 1940. Ceci, pour protéger des attaques aériennes le personnel de la sucrerie de Villenoy et les habitants tout proches. Car la proximité de la Marne et du Rutel, son affluent, empêchait une construction en sous-sol. Les qualités aérodynamiques de la forme conique permettent de résister à l’effet de souffle en cas d’explosion d’une bombe à proximité. Cet abri a remporté d’une courte tête, avec 51 %, le duel face au costume de la première représentation de Cyrano de Bergerac en 1897. Avec les 15 000 € de souscription qu’elle demande, la commune de Villenoy espère pouvoir ouvrir au public ce lieu unique. Le complément participatif s’élève à 5 000 €. A vos dons… Retrouvez bientôt dans Béton[s] le Magazine l’article complet consacré à l’abri conique de Villenoy dans notre rubrique Béton d’Antan.
Il y a 3 ans et 179 jours

Vinci met en service le Contournement Ouest de Strasbourg (A355)

L’A355 a été inaugurée à Ittenheim le 11 décembre 2021 par M. Jean Castex, Premier ministre, et Pierre Coppey, président de VINCI Autoroutes et directeur général adjoint de VINCI, en présence de Xavier Huillard, président-directeur général de VINCI et de nombreux élus du territoire.VINCI Autoroutes, maître d’ouvrage du projet, a financé celui-ci pour un montant de 561 millions d’euros, et assurera l’exploitation, l’entretien et la maintenance de la nouvelle autoroute dans le cadre d’un contrat de concession d’une durée de 54 ans.Cette mise en service marque l’aboutissement d’un chantier lancé en octobre 2018, après trois ans d’études et de travaux préparatoires, qui aura mobilisé 6 000 personnes et plus de 300 entreprises, dont un tiers sont alsaciennes. La conception et la construction ont été confiées au groupement constitué de VINCI Construction (Dodin Campenon Bernard, mandataire, VINCI Construction Terrassement, VINCI Construction France, Eurovia), de VINCI Energies (Cegelec Mobility) et d’Ingerop Conseil & Ingénierie.En délestant l’ex-autoroute urbaine A35 de son important trafic de transit, l’A355 fluidifiera le trafic au sein de l’Eurométropole de Strasbourg et de son territoire - avec à la clé 10 millions d’heures gagnées chaque année - et facilitera le développement des mobilités partagées et décarbonées, contribuant ainsi à la réduction de la pollution atmosphérique et sonore, et à l’amélioration de la qualité de vie des habitants.Par sa conception, sa construction, et son mode d’exploitation, l’A355 constitue une réalisation sans précédent en France parmi les infrastructures de transport routier, en matière de transparence écologique et d’intégration environnementale. 1 315 hectares de compensations environnementales ont ainsi été mises en œuvre – soit plus de 4,5 fois la surface de l’emprise définitive de l’autoroute – et 130 passages à faune ont été aménagés, soit en moyenne un ouvrage tous les 200 mètres – une densité 20 fois supérieure aux autres réseaux autoroutiers en France.Dans le même temps, un rassemblement d'opposants à cette autoroute s'est tenu près d'une autre portion, rassemblant "une centaine" de personnes selon les organisateurs, dont plusieurs maires des communes alentours.La maire écologiste de Strasbourg, Jeanne Barseghian, a boycotté, comme d'autres élus métropolitains, la cérémonie d'inauguration, qualifiant le projet d'"inutile" et de "catastrophe écologique", dans des déclarations au quotidien Dernières Nouvelles d'Alsace.En juillet, le tribunal administratif de Strasbourg, saisi par l'association Alsace Nature, avait reconnu des "insuffisances" dans le dossier de demande d'autorisation du chantier, notamment sur les effets de l'A355 "sur la santé humaine", la "qualité de l'air" ou l'impact "sur les sols et sous-sols".Le juge avait imposé la suspension de la mise en service, mais l'Etat avait formulé un recours, et la Cour d'appel avait annulé cette suspension, sans se prononcer sur les insuffisances.
Il y a 3 ans et 180 jours

Anne-Claire Mialot nommée directrice générale de l'Anru

CARNET-NOMINATION. Anne-Claire Mialot remplace Nicolas Grivel à la tête de l'Agence nationale pour la rénovation urbaine depuis le 15 décembre.
Il y a 3 ans et 180 jours

Comment maîtriser le coût de l'assurance habitation ?

Surface et lieu de résidenceLe prix d’une assurance habitation est directement corrélé à la surface du logement. Un facteur pouvant creuser de manière significative les écarts de prix entre les régions. La dernière étude de l’UFC-Que choisir révèle ainsi une différence de prix qui frôle les 200 euros pour un logement de 5 pièces. L'Île-de-France et l’Occitanie font généralement partie des régions où la moyenne des primes est la plus chère, alors que la Bretagne affiche les prix les plus attractifs. En cause, l'occurrence des sinistres couverts qui diffèrent à travers le territoire.Nature du risqueLes sinistres couramment indemnisés par les assureurs sont liés aux risques climatiques et aux cambriolages. Deux dangers inégalement répartis sur le territoire. Les habitations situées dans les communes de l'Hérault sont ainsi régulièrement exposées au risque d'inondations, tandis que l’Île-de-France et l'Occitanie enregistrent des probabilités de cambriolages importantes. Autant de circonstances pouvant faire grimper ou baisser le montant de la prime en dehors de toute considération sur le profil du bénéficiaire.Statut du bénéficiaire et biens assurésLe contrat d’assurance habitation est obligatoire pour les locataires et recommandé pour les propriétaires qui ne sont pas soumis à l'obligation légale de souscription. Le statut du bénéficiaire peut faire varier les prix selon les assureurs. L’assurance du locataire couvre essentiellement les dommages causés par un incendie, un dégât des eaux ou une explosion. Les propriétaires tendent à couvrir l’ensemble de leurs biens de valeur avec des contrats multirisques habitation (MRH), également ouverts aux locataires.Comment agir sur le prix de son assurance habitation ?Pour maîtriser le montant de sa prime d’assurance, le bénéficiaire dispose d’une marge de manœuvre serrée. Ses principaux leviers consistent à comparer les assureurs et les offres avant la souscription et à faire le tri dans les garanties afin de ne conserver que celles visant des risques réels dans sa région. Attention également aux doublons, notamment pour l'assurance des biens de valeurs, pouvant être pris en charge par d’autres garanties.
Il y a 3 ans et 180 jours

Autorisations d'urbanisme, logements sociaux... Marseille adopte un code de bonne conduite

La nouvelle majorité avait fait de la transparence l'un des fers de lance de sa campagne, alors que la Ville de Marseille a été épinglée par l'Agence française anticorruption.
Il y a 3 ans et 181 jours

Nouveau showroom Fabemi Terrasse & Jardin

Il est souvent plus facile d'appréhender son projet d'aménagement extérieur en voyant les matériaux mis en oeuvre plutôt que sur un catalogue. Pour présenter son savoir-faire, Fabemi a investi dans un showroom d'exception sur son site de Donzère, dans la Drôme provençale. Ce nouvel espace d'exposition invite le visiteur à une véritable immersion dans l'univers de Fabemi, et propose neuf zones différentes, réparties sur plus de 1 200 m², mettant en scène l'ensemble des produits Terrasse & Jardin du Groupe.
Il y a 3 ans et 181 jours

FOAMGLAS prend de la hauteur sur la Tour WATT

La Tour WATT, propriété d'ICF Habitat Novedis, fait l'objet d'une restructuration et d'une surélévation de 4 étages conçue et menée par le Groupement A&B Architectes, Vincent Lavergne Architecture et Urbanisme et Eiffage Construction, mandataire du Groupement.
Il y a 3 ans et 182 jours

Terre crue : la case obus des mousgoum du Cameroun à Paris (18e) #BGT 020

Si vous passez par le 18e arrondissement de Paris, dans le quartier Barbès, du côté des jardins d’Eole, vous pourriez trouver La p’tite ferme de la Goutte d’Or, une des Fermes d’Espoir parisiennes, avec beaucoup d’animations autour des animaux, mais aussi cet étrange dôme en terre crue réalisé durant l’été 2021 par l’association CICAT.  Aux jardins d’Eole, dans […]
Il y a 3 ans et 183 jours

Logement, nature et vie de quartier, priorités du futur PLU de Paris

Ce PLU "bioclimatique" doit remplacer le PLU actuel datant de 2006, lors du premier mandat de Bertrand Delanoë, devenu "obsolète", a déclaré Emmanuel Grégoire, premier adjoint à la maire socialiste Anne Hidalgo, en présentant mardi les grands objectifs de ce document, à la fois stratégique et réglementaire."En 2040, 90% du Paris existant sera toujours là", a-t-il résumé en esquissant un futur "PLU de transformation, plus qu'un PLU de production".Les 6.000 contributions de la concertation publique effectuée entre avril et juin ont fait émerger comme priorités "la préservation et le développement des espaces verts" et la quête de "logements à prix abordable", souligne l'adjoint à l'urbanisme.Les six grandes orientations portées par l'exécutif parisien placeront la transition écologique "au coeur" du PLU, avec notamment "la nécessité d'adapter Paris au changement climatique"."L'effort de désartificialisation des sols doit s'intensifier", a ajouté M. Grégoire, pour qui seuls 30 hectares ont été artificialisés depuis 2006, contre 70 hectares d'espaces verts créés.Sur l'habitat, l'exécutif entrevoit avec ce PLU "la possibilité d'offrir un logement de qualité à chacun" afin de "défendre le modèle de mixité sociale à Paris, unique au monde".Le futur PLU devra aussi "protéger les locaux commerciaux", a assuré M. Grégoire, soulignant que "depuis 2015, 1/8e des commerces de Paris Centre ont été transformés en meublés touristiques".Concrètement, le promoteur devra démontrer que son projet "contribue à rendre Paris plus viable et plus résiliente" à travers une grille d'évaluation remplie par la Ville, préalable à la délivrance du permis de construire.Si un promoteur n'arrive pas à montrer les effets vertueux de son futur bâti sur une parcelle, il pourra par exemple "s'engager en parallèle à cofinancer la rénovation thermique d'un bâtiment", a illustré M. Grégoire.A partir de juillet 2022 et en attendant l'entrée en vigueur du futur PLU début 2024, "délai le plus exigeant" pour M. Grégoire, la Ville va faire valoir un sursis à statuer "sur les plus gros projets" immobiliers, a-t-il aussi annoncé.Interrogé sur le projet controversé de la Tour Triangle, dont le chantier doit débuter d'ici à la fin de l'année, M. Grégoire a assuré "qu'il n'y aura pas de proposition supplémentaire d'immeuble de grande hauteur" dans la capitale.
Il y a 3 ans et 183 jours

À Grigny, 80.000 euros d'amende en 2021 pour fraude au permis de louer

Le permis de louer, créé par la loi pour l'accès au logement et un urbanisme rénové (Alur) en 2014, oblige les bailleurs des communes où il est mis en place, à demander une autorisation avant de mettre un logement en location, sous peine de sanctions.L'objectif est de "lutter activement et fermement contre les bailleurs non respectueux des conditions dignes de location des logements de la copropriété Grigny 2", d'après la préfecture de l'Essonne."En janvier 2021, une première amende administrative d'un montant de 15.000 euros avait été infligée par le Préfet de l'Essonne à un bailleur de la copropriété n'ayant pas respecté le refus d'autorisation de mise en location exprimé par la Ville", détaille le communiqué.Cinq amendes "comprises entre 5.000 et 15.000 euros par logement en infraction" ont été infligées au courant de l'année et quatre autres ont été décidées par la préfecture de l'Essonne début décembre."Une quinzaine d'autres dossiers pouvant déboucher sur des amendes sont en cours d'instruction", a précisé la préfecture.Grigny 2 est l'une des plus grandes copropriétés d'Europe et compte de nombreux logements insalubres. L'Etat a décidé d'y mener la plus grande opération de redressement d'une copropriété en France en rachetant, par l'intermédiaire de l'établissement foncier d'Ile-de-France (Epfif), 1.320 logements sur les 5.000. Un total de 920 logements seront détruits (neuf bâtiments sur les 104) et 400 transformés en HLM.
Il y a 3 ans et 183 jours

3 Français sur 4 estiment que l'habitat senior devrait être un enjeu majeur des présidentielles

Alors que plusieurs grands thèmes commencent à s'imposer dans le débat public entre les différents prétendants à la présidentielle, Les Maisons de Marianne ont sollicité l'institut OpinionWay pour sonder les Français sur l'importance de la prise en compte, par les futurs candidats, des problématiques de dépendance et de perte d'autonomie dans le domaine de l'habitat.Les résultats sont édifiants : 76% des répondants souhaitent que les politiques s'emparent des enjeux de l'adaptation des logements aux personnes âgées, en perte d'autonomie (75%) et en situation de handicap (74%). Une préoccupation partagée par un grand nombre d'élus locaux, réunis au sein de l'Union nationale des centres communaux d'action sociale (Unccas) regroupant près de 8.800 communes, qui s'alarment de l'abandon de la loi Grand âge et autonomie et appellent à la mobilisation pour développer des solutions alternatives permettant de favoriser le maintien à domicile.Le logement social et les politiques locales de l'habitat, au cœur des enjeux de la dépendanceLe vieillissement de la population française s'accélère : en 2030, les personnes de 65 ans et plus représenteront près d'un quart de la population, contre 20% aujourd'hui. Cette accélération est renforcée par l'allongement continu de l'espérance de vie.Un vieillissement de la population qui représente l'un des défis majeurs de la société actuelle pour 88% des Français, notamment sur le plan économique. Les structures de prise en charge de la perte d'autonomie, comme les EHPAD, ont une capacité limitée et un coût moyen élevé de 2.200 euros par mois, alors que la pension de retraite moyenne nette en France est de 1.393 euros. De plus, moins d'un Français sur cinq s'estime en capacité de pouvoir aider financièrement un proche en situation de dépendance. Pourtant, selon la DREES, avec le vieillissement démographique, un actif sur quatre sera un « aidant » dans les dix ans... Des chiffres qui soulignent l'importance de favoriser le maintien à domicile. Et pour 77% des personnes interrogées, la perte d'autonomie est un sujet qui doit être supporté par la collectivité. Presque unanimes à considérer que l'accès au logement est un cristalliseur d'inégalités pour les personnes en perte d'autonomie (92%) ou en situation de handicap (91%), les Français comptent notamment sur leurs élus locaux ainsi que sur les bailleurs sociaux pour agir. Ainsi, pour encourager le maintien à domicile, l'adaptation de tous les logements sociaux à la perte d'autonomie (90%) et au handicap (89%) est un vœu très largement partagé. Et les attentes sont fortes : seuls 45% des répondants estiment que les besoins des familles touchées par ces problématiques sont bien pris en compte par les pouvoirs publics et les collectivités territoriales.Pour Éric Vialatel, Président des Maisons de Marianne : « De plus en plus de Français seront confrontés, à un moment de leur vie, à la dépendance d'un proche. Cette étude souligne l'existence d'une prise de conscience collective de l'importance des enjeux liés au vieillissement, et tout particulièrement dans l'habitat, alors que seuls 6% des logements sont actuellement adaptés à la perte d'autonomie. Il est indispensable d'innover pour proposer des solutions accessibles, avec un environnement de vie qualitatif permettant de repousser, le plus longtemps possible, la survenue de la dépendance. C'est la raison d'être des Maisons de Marianne. »Pour Raphaëlle Gilaber, Directrice générale : « Depuis 12 ans, en collaboration avec les collectivités, les promoteurs et les bailleurs sociaux, les Maisons et Villages de Marianne proposent une solution pour le logement favorisant le maintien à domicile et le lien social. Nos résidences intergénérationnelles proposent des logements abordables et une animation du vivre ensemble qui contribue à lutter contre la solitude des aînés, un facteur avéré d'accélération de la perte d'autonomie. Dans un environnement où la demande d'habitat social accessible et adapté explose, les besoins sont immenses, sur l'ensemble du territoire. »
Il y a 3 ans et 183 jours

Autorisations d'urbanisme : l'Ordre des architectes obtient une modification du Cerfa

DEMATERIALISATION. A quelques semaines de l'entrée en vigueur de la dématérialisation des autorisations d'urbanisme, l'Ordre des architectes est monté au créneau pour demander une modification du formulaire Cerfa, dont la version finale lui avait été communiquée cette semaine.
Il y a 3 ans et 183 jours

Illkirch-Graffenstaden : le renouvellement urbain du quartier Libermann est en cours

Le projet de renouvellement urbain du quartier Libermann se poursuit.
Il y a 3 ans et 183 jours

Une nouvelle cité des sports à Issy-les-Moulineaux

La ville d’Issy-les-Moulineaux s’est offert un nouveau complexe sportif. Ce dernier est déjà opérationnel.
Il y a 3 ans et 183 jours

Arpajon : rénovation de la Grande Rue

La phase 2 du projet « Cœur de ville » a concerné le tronçon compris entre l’hôtel de ville et la porte d’Étampes.
Il y a 3 ans et 183 jours

Grand Delta Habitat a inauguré une nouvelle résidence à Entraigues-sur-la-Sorgue

La ville d’Entraigues-sur-la-Sorgue dispose d’une résidence intergénérationnelle, qui porte le nom de Julien Lauprêtre.
Il y a 3 ans et 184 jours

Grand Lyon : Plateforme des acteurs métropolitains du BTP

Le BTP emploie 37 000 personnes sur le territoire du Grand Lyon. La plateforme traite de trois sujets : l’économie de la ressource, la biodiversité et l’approche en coût global…  Avec : Emeline Baume, Vice-présidente chargée de l’économie – Métropole de Lyon Béatrice Vessiller, Vice-présidente chargée de l’urbanisme – Métropole de Lyon Cet article Grand Lyon : Plateforme des acteurs métropolitains du BTP est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 184 jours

Près de 2 Français sur 3 baissent le chauffage pour réduire leur facture

LeLynx.fr, comparateur en ligne d’offres énergie, a interrogé les consommateurs et décrypte les éco-gestes les plus couramment adoptés.62% des Français limitent la température du chauffage pour payer moins cherDans une étude réalisée par YouGov, LeLynx.fr s’intéresse aux comportements des Français pour réduire leurs dépenses d’énergie à leur domicile. L’étude révèle que la grande majorité des ménages ont adopté des éco-gestes concrets pour faire des économies d’énergie. Seuls 4% d’entre eux déclarent ne rien faire pour réduire leur consommation. A l’heure où le froid hivernal s’installe à l’extérieur, près de 2 Français sur 3 (62%) reconnaissent baisser la température du chauffage pour réduire le montant de leur facture. Un geste auquel ont davantage recours les habitants des zones rurales (63%) et des petites et moyennes villes (65%). Dans les grandes villes, c’est 1 habitant sur 2 (55%) qui réduit la température des radiateurs pour économiser sur sa facture de chauffage. D’autres éco-gestes font désormais aussi partie du quotidien des Français. 65% d’entre eux ont déjà remplacé leurs ampoules par des LED, plus économes et 64% affirment privilégier les douches aux bains. Certains réflexes font également leur apparition : 38% des consommateurs pensent à comparer les étiquettes énergie quand ils achètent un appareil électrique et 23% utilisent l’application mobile de leur fournisseur d’énergie pour contrôler leur consommation. Près d’un quart d’entre eux (27%) ont d’ailleurs souscrit à une offre énergie plus avantageuse auprès de leur fournisseur d’énergie, comme une option heures creuses.Pour Itzal Arbide, Directrice générale de LeLynx.fr : « Les Français ont bien compris que changer quelques gestes au quotidien peut réduire la facture d’énergie : en passant le chauffage de son logement de 20° à 19°, un foyer peut réduire sa consommation de près de 7%. Privilégier les heures creuses pour faire fonctionner ses appareils électriques permet également de bénéficier d’un tarif réduit de 40%. »En revanche, seuls 16% des Français déclarent avoir entrepris des travaux de rénovation pour réduire la consommation énergétique de leur logement.Le chauffage représente 71% de la consommation d’énergie des Français Selon le Centre d’Etudes et de Recherches Économiques sur l’Énergie (CEREN), 71% de la consommation énergétique annuelle des ménages français sont dévolus au chauffage, toutes énergies confondues. Viennent ensuite les appareils électriques (17%), l’eau chaude sanitaire et la cuisson, à égalité à 6%. Dans le palmarès des appareils électriques qui consomment le plus, le combiné réfrigérateur/congélateur arrive en tête (346 kWh/an), talonné par le sèche-linge (301 kWh/an) et le congélateur (288 kWh/an). La télévision est au pied du podium (187 kWh/an), suivi du réfrigérateur (166 kWh/an) et du lave-vaisselle (162 kWh/an). Surprise du classement : la console de jeux vidéos consomme 103 kWh/an en moyenne, soit presque autant d’une machine à laver !
Il y a 3 ans et 184 jours

Cité jardin de la Butte rouge : "Cela ressemble à un casse-tête" (C. Willemin)

RÉNOVATION URBAINE. Clément Willemin, fondateur de l'agence Wald et lauréat de l'appel d'offres pour la rédaction du plan guide de la Cité jardin de la Butte rouge, à Châtenay-Malabry, livre à Batiactu ses premiers éléments pour la rénovation de ce quartier emblématique qui déchaîne les passions.
Il y a 3 ans et 184 jours

Les acteurs du cadre de vie présentent leur rapport "Pour une vision renouvelée de l’habitat individuel"

Cette démarche collective réunissant les principaux acteurs du secteur : Fédération des SCoT, Union Nationale des Aménageurs, Conseil National de l'Ordre des Architectes, Office Professionnel de Qualification des Urbanistes, Pôle Habitat de la Fédération Française du Bâtiment, Fédération des Promoteurs Immobiliers, Fédération Française des Constructeurs de Maisons Individuelles, a abouti ce 16 décembre, à la remise à Emmanuelle WARGON, Ministre déléguée auprès de la Ministre de la Transition écologique, chargée du Logement, d’un rapport inédit compilant diagnostics et propositions afin de repenser puis faire évoluer l’habitat individuel. La Ministre a accueilli les propositions formulées avec la plus grande attention.Un groupe de travail pluridisciplinaire pour une approche à 360°Autour de l’Ordre des géomètres-experts, l’objectif du groupe de travail était de concilier trois impératifs : la trajectoire de sobriété foncière souhaitée par le Gouvernement pour répondre aux enjeux environnementaux, les besoins en matière de logements face à une tension croissante sur le marché résidentiel, et le souhait des Français voulant très majoritairement résider dans des logements individuels.Le rapport qui résulte des travaux, disponible via ce lien, articule un diagnostic de la production neuve d’habitat individuel, du parc existant et des aspirations résidentielles des Français, ainsi que des propositions portant autant sur l’intensification urbaine douce que sur le développement d’une offre nouvelle intégrant les enjeux de sobriété foncière.Vers une vision renouvelée du cadre de vieLes crises se succèdent mais les besoins fondamentaux de nos concitoyens restent. Les modes de fabrication des espaces urbains et des territoires doivent être renouvelés pour inventer de nouveaux modèles de développement.Les métropoles portent une vision de la croissance et de la densité, qui ne saurait obérer le choix de vivre dans des villes petites ou moyennes, ni le choix de s'installer dans les communes les moins denses qui occupent les trois-quarts du territoire.Enfin la complémentarité des typologies d’habitat (collectif, individuel, groupé, maisons de villes) des modes de financements (accession et locatif, libre et social), des services, des emplois et des équipements souligne toujours plus le besoin d’une vision transversale et prospective.Dans un contexte de doute sur le modèle dominant, de graves crises de production du logement, et de crises énergétiques et environnementales, les professions réunies rappellent comment ils peuvent, avec des outils de production du logement renouvelés, concourir à faire émerger des solutions politiques, économiques et environnementales. Avec ce rapport, ils flèchent vers des réformes possibles et souhaitables.Conjuguer intensification du tissu existant et développement d’une offre nouvelle plus sobre en foncier : des solutions sont possiblesLes professions réunies font le constat que l’habitat individuel, par sa souplesse d'organisation spatiale, permet d'utiliser des emprises foncières de petite taille ou de configuration complexe et représente une réponse pertinente pour fabriquer une densité de proximité heureuse, traiter les discontinuités urbaines et territoriales, et recycler les friches urbaines et périurbaines des bourgs, petites villes et villes moyennes qui maillent notre territoire.Il constitue également un moyen de conforter la place des pôles urbains secondaires et tertiaires, à l’heure où la réduction des déplacements pendulaires doit être une priorité pour lutter contre les émissions de gaz à effet de serre.Pour le tissu d’habitat individuel existant, une double opportunité d’amélioration et d’intensification ressort dès lors qu’il peut proposer des formes urbaines adaptées plus économes en foncier. Trois axes de travail porteurs de solutions ont ainsi été identifiés :Améliorer la qualité de l’existant avec des approches mutualisées à l’échelle du territoire ou du quartierLever les freins, notamment réglementaires, à la densification et créer une incitation fiscaleRenforcer l’approche opérationnelle et professionnelle de la densification, en favorisant l’innovation et acculturant les collectivités à un urbanisme de projetEn complément, et pour répondre notamment à l’attractivité renouvelée de territoires jusqu’alors détendus, le groupe de travail a également identifié trois champs d’intervention prioritaires pour le développement d’une offre nouvelle d’habitat individuel sobre en foncier :Agir sur la fiscalité pour lutter contre la rétention foncière et encourager le développement de l’offre nouvelle à proximité des bassins d’emplois, de services et de transports et en secteur urbain constituéPromouvoir le développement de formes plus denses, en redéfinissant la notion d’habitat individuel, groupé ou organiséRenforcer la qualité de la planification et des documents d’urbanisme, et lutter contre les règles contraires à l’objectif de sobriété foncièreLa nécessité de bien prendre en compte les diversités des habitats, des besoins et des territoires« Ce qu’il faut retenir, c’est un écueil, celui qui voudrait nous voir mettre en concurrence l’habitat individuel face à l’habitat collectif. » Joseph Pascual, Président du Conseil supérieur de l’Ordre des géomètres-experts, l’a rappelé lors de la présentation du rapport : « Un parcours résidentiel serein et répondant aux besoins des Français ne peut se bâtir qu’en intégrant la diversité des typologies d’habitat proposées : on n’habite pas de la même façon pendant ses études, à l’arrivée du 3ème enfant, ou en vieillissant lorsque l’on devient moins mobile. Toutes les offres résidentielles doivent être adaptées, contextualisées au regard des attentes des Français et des besoins spécifiques des territoires. Cette territorialisation de la trajectoire nationale de sobriété foncière sera nécessairement accompagnée par les experts du foncier que sont les géomètres-experts, les acteurs de l’aménagement, de la construction et du cadre de vie. »
Il y a 3 ans et 184 jours

S'amuser pour mieux acheter, le nouveau crédo des centres commerciaux

La volonté de mettre du loisir au milieu des commerces n'est pas complètement nouvelle: déjà en 2019, la société Reed Midem, qui organise le Mapic, avait annoncé que le salon serait désormais couplé avec un autre événement nommé LeisurUp, dédié aux loisirs."Le Covid est passé par là et ça a été un moteur d'accélération de cette tendance", indique à l'AFP Nathalie Depetro, directrice du Mapic.Avec les confinements, de nombreux Français ont en effet pris le pli des achats en ligne et ne voient plus l'intérêt de se déplacer jusqu'au centre commercial, sauf pour pouvoir y faire autre chose que leurs achats habituels."On est passé d'un commerce de besoin, à un commerce dit d'envie", estime Christian Dubois, expert en distribution au sein du cabinet de conseil Cushman & Wakefield.Cette année, 50% de la zone d'exposition du Mapic est ainsi dédiée aux opérateurs de loisirs. Au milieu des stands où s'échangent cartes de visite et promesses de contrats, les promoteurs et investisseurs en costume peuvent ainsi se lancer dans une partie de jeux vidéo. Certains envoient des ballons sur un mur où est représentée une cage de football ou tirent autour d'eux avec un fusil en plastique, lunettes de réalité virtuelle sur les yeux.Malgré la pandémie, qui a beaucoup pesé sur les activités de loisirs, "on sent vraiment un engouement des centres commerciaux pour nos installations", commente Peggy Parisot, responsable marketing et communication de la société NeoXperience, qui crée des "arènes" de jeux vidéo."Les clients cherchent une solution clé en main", pour remplir des espaces vides, ajoute-t-elle. Et plus les installations sont faciles à installer et à désinstaller, plus le centre commercial peut créer un sentiment de surprise pour le consommateur.
Il y a 3 ans et 184 jours

Feu vert du gouvernement au projet autoroutier de contournement de Rouen

Le gouvernement a décidé "d'engager la réalisation" de ce projet de 41,5 km d'autoroute payante, auquel est opposée la Métropole (PS-EELV-PCF) de Rouen.