Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Urbanisme - Aménagement

(35882 résultats)
Il y a 3 ans et 165 jours

Les points essentiels à connaitre sur les pentes de toiture

La toiture est un élément essentiel de la maison. Pour sa mise en place, l’intervention d’un professionnel du domaine est incontournable. En effet, il s’agit d’une tâche très technique qui nécessite des connaissances poussées en travaux de bâtiment. En outre, l’installation doit se faire selon des normes bien précises. Le calcul de pente de la toiture fait justement partie des opérations qu’on ne peut négliger. Nous allons justement en parler dans les lignes suivantes. La pente de toiture, un sujet non négligeable Le toit est la structure qui garantit l’étanchéité de la construction. Il préserve l’habitation des infiltrations d’eau. Mais pour cela, il doit permettre une bonne évacuation des eaux de pluie. Par conséquent, il devra être suffisamment incliné. Pour la toiture plate par exemple, elle doit présenter une pente d’environ 1 % à 5 %. Peu importe sa forme, le calcul de la pente de la toiture doit se faire selon les normes de la construction. Il se fait également en tenant compte de plusieurs facteurs. C’est pourquoi il est préférable de laisser cette tâche aux soins d’un couvreur professionnel. Bon à savoir : La différence doit être faite entre la pente minimale et la pente recommandée. La première est imposée selon les différents paramètres fixés par les Documents Techniques Unifiés (DTU). Quant à la seconde, elle est décidée par le couvreur au moment de procéder au calcul. C’est notamment le cas lorsqu’il faut tenir compte d’autres critères. Pour une protection optimale de la charpente et des autres éléments du toit, cet artisan peut ainsi proposer une pente différente. Quelles sont les normes qui encadrent le calcul de la pente de toiture ? En France, la rénovation ou la construction de toiture doit se faire selon les normes imposées par les DTU. Ces derniers comprennent également les règles relatives au calcul de la pente de toiture minimale. Principalement, il y a 3 DTU et normes qui encadrent ce procédé. En l’occurrence, il s’agit de : La norme française NF P 36 201 concernant la répartition des descentes d’eau verticales ; La DTU 40.5 relative à la mise en œuvre de l’évacuation des eaux pluviales ; Le DTU 60.11 sur les dimensions et les règles de calcul des canalisations. À côté de ces normes, une consultation du Plan Local d’Urbanisme (PLU) auprès de la mairie s’impose. En fonction des spécificités régionales, le PLU peut dicter la hauteur de votre maison, l’esthétique du toit ainsi que le choix des matériaux de couverture (ex. : ardoise, zinc, tuiles de terre cuite, etc.). Vous pouvez également contacter cette entreprise de couverture qui est en connaissance de ces diverses règles. Calcul de la pente de toiture : quels sont les principaux critères à tenir compte ? Comme susmentionné, le calcul de la pente du toit se fait selon des critères bien précis. En l’occurrence, il s’agit de : La zone géographique de la toiture Pour le cas de la France, on distingue 3 zones d’habitation. À chacune de ces zones correspondent des normes pour les pentes de la toiture. Ces dernières sont déterminées en fonction de la distance entre la bâtisse et le littoral. Par exemple, la zone 1 correspond aux maisons implantées à plus de 40 km de la mer ou à moins de 200 m d’altitude. La zone 2 est relative aux habitations situées entre 20 et 40 km de la côte ou entre 200 m et 500 m d’altitude. Quant à la zone 3, elle concerne les constructions à moins de 20 km de la mer ou à moins de 500 m d’altitude. Pour cette zone, la toiture est plus exposée aux intempéries.  L’environnement autour de la bâtisse La situation exacte de votre maison et son environnement direct entrent en compte dans le calcul de la pente du toit. Une toiture de maison entourée de collines est moins exposée au vent et aux intempéries par rapport à une toiture de maison sur le littoral ou en haut d’une falaise. Les matériaux de couvertures à installer Pour le choix des matériaux de couverture, vous pouvez compter sur l’aide d’un couvreur professionnel. D’ailleurs, il est à noter que la pente de la toiture varie en fonction du type d’habillage à mettre en place. Pour les tuiles en terre cuite, il faudra par exemple prévoir une inclinaison minimale de 20 %. En revanche, une pente minimale de 26 % devra être respectée pour permettre la pose des ardoises.
Il y a 3 ans et 165 jours

L’OPPBTP met à jour son Guide de préconisations de sécurité sanitaire

Ces nouvelles directives gouvernementales ont pour objectif de faire face à l’extrême contagiosité du variant Omicron et de freiner la pandémie tout en préservant au mieux l’activité économique et sociale. Les principaux aménagements du guide concernent :Le télétravail : les entreprises doivent recourir à 3 jours de télétravail par semaine, voire plus lorsque cela est possible. Le télétravail est en revanche nécessairement de portée limitée dans le BTP. L’OPPBTP rappelle l’importance primordiale, face aux risques traditionnels des chantiers, d’assurer la présence sur chantier d’équipes complètes, y compris l’encadrement managérial et technique.Le rappel des gestes barrières : port du masque, hygiène des mains, aération des locaux, distance minimale de 2 mètres chaque fois que le port du masque n’est pas possible ou mise en place d’écrans barrière, restent valables. Dans les lieux de pause et les vestiaires qui peuvent être source de promiscuité, les mesures qui avaient été prises dès les premières vagues retrouvent toute leur utilité afin de préserver la santé de chacun et d’assurer la continuité de l’activité : roulement des horaires, écrans barrières…Isolement des cas contact : l’isolement n’est plus obligatoire pour les personnes vaccinées. Un contrôle par test à J+2 et J+4 après le dernier contact avec la personne testée positive est toutefois requis. En revanche, les personnes ne bénéficiant pas d’un schéma vaccinal complet doivent s’isoler pendant sept jours pleins. La fiche conseil Contact Tracing éditée par l’OPPBTP a été mise à jour.Pour Paul Duphil, secrétaire général de l’OPPBTP : « En ce tout début d’année 2022, c’est bien sûr la fin de l’épidémie, conjuguée à une activité soutenue et une bonne gestion des risques professionnels, que nous aimerions souhaiter à tous nos amis de la construction. Olivier Véran a exprimé hier son espoir que cette 5e vague sera la dernière, nous nous associons bien sûr à cet espoir. En attendant, continuons dans la construction à gérer cette épidémie avec professionnalisme et efficacité comme nous le faisons depuis avril 2020, pour vite nous en débarrasser. » Le guide de préconisations de sécurité sanitaire pour la continuité des activités de la construction en période d’épidémie de coronavirus SARS-Cov-2 est disponible sur le site internet de préventionbtp.fr.Par ailleurs, les conseillers en prévention et les formateurs de l’OPPBTP sont toujours disponibles sur le terrain ainsi qu’à distance grâce au service PréventionBTP En Direct. Une base de Questions/Réponses spécifiques sur la Covid-19 est à disposition sur le site.
Il y a 3 ans et 165 jours

Impression 3D béton : “Home sweet home”

Icon s’est associé à Lennar pour imprimer en 3D béton un quartier entier aux Etats-Unis. [©Icon] Spécialiste de l’impression 3D béton, Icon voit les choses en grand. L’industriel américain s’est associé à Lennar pour imprimer un quartier entier aux Etats-Unis. C’est près de la ville d’Austin, au Texas, qu’une centaine de maisons seront construites. Ce projet devrait être inauguré dans le courant de l’année 2022. Il sera d’ailleurs le plus grand regroupement de maisons en béton imprimées en 3D au monde. Pour élaborer ce quartier, Icon et Lennar ont collaboré avec le cabinet d’architecture Bjarke Ingels Group. « La fabrication additive a le potentiel de révolutionner l’environnement bâti. A mesure qu’elle est adoptée par l’industrie à grande échelle, explique Martin Voelkle, architecte chez Bjarke Ingels Group. En nous associant à Icon et à Lennar, nous sommes en mesure de voir cette nouvelle technologie se déployer autour du public le plus large possible. » Une réponse aux enjeux de la construction La technologie d’impression 3D béton d’Icon permet de produire des maisons éco-énergétiques et plus rapidement qu’avec les méthodes de construction conventionnelle. Elle permet aussi de réduire le nombre de déchets et offre plus de liberté dans la conception des habitations. C’est pourquoi allier le béton et l’impression 3D se démocratise dans ce secteur. Lire aussi : Impression 3D béton pour le logement social En effet, cette technologie pourrait répondre à une problématique majeure : la crise du logement. « Icon existe en réponse à la crise mondiale du logement et pour mettre notre savoir au service du monde », déclare Jason Ballard, Pdg d’Icon. Et d’ajouter : « Les Etats-Unis sont confrontés à un déficit d’environ 5 M de nouveaux logements. Il y a donc un besoin profond d’augmenter rapidement l’offre, sans compromettre la qualité, la beauté ou la durabilité des bâtiments. C’est là, la force de notre technologie. »
Il y a 3 ans et 165 jours

La pleine terre, une notion encore floue dans les PLU

ÉTUDE. L'institut Paris Région a analysé un échantillon de PLU sur la base de leurs préconisations en matière de surfaces de pleine terre. A l'heure où la notion d'artificialisation reste à définir réglementairement, celle de pleine terre prend toute son importance pour les documents d'urbanisme.
Il y a 3 ans et 165 jours

Plus de 4,3 millions de pompes à chaleur installées dans l'UE-27 sur l'année 2020

Chiffres clés des pompes à chaleur dans l'Union européenne en 20203,5 % Croissance des ventes de pompes à chaleur dans l'UE-27 par rapport à 20194,2 millions Nombre de nouvelles PAC aérothermiques dans l'UE-27 en 20200,1 millions Nombre de nouvelles PAC géothermiques dans l'UE-27 en 202041,9 millions Nombre total de pompes à chaleur installées dans l'UE-27 à fin 202013,2 Mtep Énergies renouvelables issues des PAC dans l'UE-27 en 2020Principaux enseignements du baromètre pompe à chaleur 2021 d'EurObserv'ERDéjà très dynamique, le marché totale croit de 3,4 % en 2020. Avec 4,2 millions de nouvelles pompes à chaleur aérothermiques installées (contre 4,1 millions en 2019) l'année 2020 confirme la domination de cette solution parmi les sources de chaleur renouvelable, tout en ayant un usage en rafraichissement en périodes estivales. Le marché des pompes à chaleur géothermiques, bien que très discret en comparaison, gagne lui aussi du terrain avec près de 101.000 nouvelles installations en 2020 (contre 92.000 en 2019). Au total le parc européen compte près de 42 millions de PAC (dont 40,1 millions de PAC aérothermiques et 1,8 millions de PAC géothermiques).Les PAC aérothermique air/air représentent toujours l'essentiel des ventes, avec plus de 3,6 millions de systèmes vendus en 2020. Les trois plus importants marchés se situent sans surprise sur le pourtour méditerranéen (Italie, France, et Espagne) et représentent 74,6 % des nouveaux systèmes réversibles air/air installés en Europe. Le marché des PAC air/eau connait une croissance de 15 % en 2020 avec près de 580.000 unités vendues. En comparaison celui des PAC sur air extrait progresse mais reste très faible, avec moins de 49.000 unités.Le marché de la géothermie connait depuis plusieurs années un regain d'intérêt et l'année 2020 voit une croissance de 9,1 % avec près de 101.000 nouvelles installations. La Suède et l'Allemagne sont toujours les marchés les plus dynamiques, accompagnés en 2020 des Pays- Bas avec une croissance de 65 % et un marché se rapprochant des 20.000 unités.
Il y a 3 ans et 165 jours

Pyramides d’Or Prix Bâtiment Bas Carbone : Valoptim primé

Les partenaires des Pyramides d’Or organisées par la FPI France récompensent les meilleures constructions en en France. Le promoteur immobilier Valoptim a obtenu le Trophée Pyramides d’Or Prix Bâtiment Bas Carbone 2021, parrainé par EDF. La PME qui s’affirme face aux grands groupes souhaite poursuivre sa stratégie verte. Le projet primé « My Wood Loft » est réalisé à 100% en bois pour Sorita à Montreuil pour la superstructure et le parement, elle est construite sur un remblai issu de matériaux inertes recyclés de démolitions de l’ancien batiment. Il s’agit d’un habitat vert hybride et « full connected » avec des technologies sur application mobile permettant la gestion de l’éclairage, du chauffage et des occultations. Le projet vise le maintien de la cohabitation entre humains et animaux en ville. Pour cela, on y trouve le plus grand mur à microfaune en IDF dont la fonction est multiple. Pour la gestion de la faune et la flore de ces résidences Valoptim a mis en place un accompagnement par un entomologiste au service des habitants. Pour promouvoir ses propres projets et contribuer à d’autres objectifs environnementaux au-delà de son secteur d’activité, Valoptim fait partie du Club PME WWF France. Valoptim défend une démarche économique et des standards écologiques exigeants en prenant en compte les intérêts des habitants et des collectivités. Toujours au courant des dernières tendances technologiques, la société réalise en outre les projets d’innovation comme par exemple les impressions dupliquées 3D des appartements franciliens. Cet article Pyramides d’Or Prix Bâtiment Bas Carbone : Valoptim primé est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 165 jours

Le décret tertiaire : obligations climatiques dans les bâtiments tertiaires

Les écoles, hôpitaux, salles des fêtes et mairies mais aussi commerces, bureaux et centres commerciaux doivent engager une baisse importante de leur consommation d’énergie et transmettre leurs données de consommation annuelle à une plateforme gérée par l’ADEME. Pour les soutenir dans cette réduction de consommation, des aides juridiques et technologiques existent, et surtout des leviers financiers qui permettent d’engager des travaux d’ampleur et de qualité. À l’antenne Marina Offel, responsable des affaires publiques et juridiques chez Hellio détaille les obligations de rénovation énergétique des bâtiments public et privé ainsi que les aides financières disponibles pour les propriétaires de ces bâtiments, primes CEE, Coup de pouce tertiaire et dépenses éligibles à la déduction d'impôt.
Il y a 3 ans et 165 jours

Marseille: Castex insiste sur la nécessité de désenclaver les quartiers nord

Confirmant l'aide de l'Etat pour les transports, Jean Castex a insisté sur "la priorité" qui doit être accordée à "la desserte des quartiers nord" populaires de la ville.
Il y a 3 ans et 165 jours

Le pilote ou driver, un élément déterminant pour optimiser le rendement des luminaires LED

Les pilotes de LED utilisent des techniques à découpage de tension et à modulation de largeur d’impulsions. Les dispositifs abaisseurs de tension fournissent le niveau de tension nécessaire à l’éclairage des LED reliées en série. Ces dispositifs disposent d’une self mémoire de courant ; en hachant la tension d’entrée on obtient la tension voulue pour l’activation des LED.Les LED nécessitent une alimentation capable de convertir le courant alternatif en tension continue, de réguler le courant traversant la LED pendant le fonctionnement et de protéger les LED des fluctuations de tension de ligne, telles que le ballast utilisé pour une lampe fluorescente. Les pilotes de LED peuvent être des types à tension constante ou des types à courant constant. Avec l'utilisation de ces pilotes électroniques, une variété de fonctions supplémentaires peut être intégrées dans le luminaire, l'intégration de tous les composants électroniques est une tendance contre l'utilisation decomposants discrets pour simplifier l'application. Les pilotes dotés d'une capacité de gradation peuvent modifier le flux lumineux sur toute la plage de 100 % à 5 à 10 %. Les pilotes dimmables peuvent tamiser les LED en réduisant le courant direct (réduction de courant constant CCR), par modulation de largeur d'impulsion (PWM) via une commande numérique ou par des méthodes plus sophistiquées comme DALI. La plupart des pilotes de gradation fonctionnent en utilisant la méthode PWM. Avec cette méthode, la fréquence peut atteindre quelques centaines de Hz à kHz, de sorte que la lumière LED semble être continue sans scintillement. L'électronique sensible du pilote est directement exposée aux effets de l'environnement, ce luminaire doit résister à tout moment. Il est donc important de connaître tous les facteurs qui peuvent influencer la fiabilité.Les exigences critiques pour les pilotes de LED sont en partie liées aux performances, en partie à la fiabilité :Attentes liées au rendement :Haute efficacité - Critique pour les économies d'énergieFonction de gradation - Améliore considérablement la fonction d'économie d'énergieAutres caractéristiques électriques (PFC, THD, Ripple)Attentes liées à la fiabilité :Haute fiabilité - Fondamentale pour minimiser les coûts de maintenanceLongue durée de vie - Compatible avec la durée de vie prévue des LEDMesure de la performanceLe pilote LED joue un rôle crucial dans le contrôle des performances de l'ensemble de l'appareil d'éclairage. La diversité des pilotes disponibles rend difficile le choix de la bonne solution, notamment en raison du fait que les fabricants fournissent des informations techniques de qualité différente. Les pilotes qui semblent parfaitement adaptés à première vue peuvent fonctionner de manière complètement différente dans des conditions particulières, donc sans connaître le comportement exact dans toutes les circonstances, il est difficile de comparer les produits. Pour pouvoir poser les bonnes questions au fabricant, il faut savoir comment spécifier les disques avec plus de précision pour obtenir les bonnes performances.Fiabilité : Durée de vie (LifeSpan) versus MTBFPar définition, la fiabilité est une probabilité que le produit remplisse la fonction attendue dans certaines conditions de fonctionnement pendant une période définie. La fiabilité est dépend du fonctionnement, des conditions et du temps attendus. Les exigences critiques pour les performances des pilotes LED sont le rendement élevé pour fournir suffisamment d'économies d'énergie, la fiabilité pour minimiser les coûts de maintenance, la longue durée de vie mesurable avec la durée de vie des puces LED et la fonction de gradation pour des économies d'énergie et de durée de vie supplémentaires. Habituellement, la fiabilité est quantifiée avec le MTBF, mais une compréhension correcte du MTBF est indispensable. En théorie, l'hypothèse selon laquelle un MTBF plus élevé signifie une fiabilité plus élevée est vraie, mais il n'y a pas de proportionnalité directe entre les deux nombres.Le temps moyen entre les pannes (MTBF) représente l'approximation statistique des heures cumulées pendant lesquelles un certain nombre d'unités doivent fonctionner avant qu'une panne puisse être attendue. Il ne représente pas la durée de vie prévue d'une unité donnée.La durée de vie d'un produit indique combien de temps un produit devrait survivre dans des conditions de fonctionnement normales.Si cette durée de vie est de 50 000 heures, la fiabilité des différentes solutions de pilotes MTBF peut être calculée :Il est bien visible que l'augmentation de 400 % ou du MTBF n'entraîne qu'une augmentation de 30 % de la fiabilité avec les mêmes attentes de durée de vie.Au début de la période de service, les défauts de production peuvent entraîner de défaillances précoces élevées, Le nombre de pannes commence à diminuer considérablement par la suite. L'intégrité de la conception, les tests de résistance et l'assurance qualité adéquate ont tendance à diminuer le nombre de défaillances précoces. Au cours de la période de vie utile, les défaillances se produisent dans un ordre aléatoire, mais le taux de défaillance est presque constant. C'est la période entre le début d'utilisation de l'appareil et le début de la phase d'usure. Ceci est déterminé par l'espérance de vie des composants utilisés dans l'assemblage de l'unité.Au fur et à mesure que les composants commencent à se dégrader, des problèmes surviennent à des taux croissants, principalement causés par la panne des composants électroniques soumis au vieillissement, aux contraintes électriques et thermiques. C'est la période où le MTBF calculé ne s'applique plus. Le MTBF n'est applicable que pendant la durée de vie normale du produit. Il peut arriver qu'un appareil avec 10 ans de MTBF s'use en 3 ans, personne ne peut prédire l'usure des composants de manière fiable. En général, les fabricants de composants de qualité ainsi que d'alimentations visent à avoir une durée de vie utile dépassant la durée de vie de conception.Mesures de fiabilitéTempérature de fonctionnementLa température à laquelle le pilote fonctionne affecte fortement sa durée de vie, c'est pourquoi une gestion efficace de la température est un point clé de la conception du luminaire.Habituellement, la température maximale du boîtier Tcmax est la limite pour donner une durée de vie garantie au pilote LED. Même s'il y a une protection thermique intégrée, elle est déclenchée bien au-delà de cette limite, par conséquent la durée de vie attendue du pilote chute considérablement, à moins que le concepteur du luminaire n'installe une protection de température externe.Condensateurs électrolytiques et autres composants critiquesLe composant le plus faible avec l'espérance de vie la plus courte détermine la durée de vie de l'ensemble du produit. Pour les alimentations, les condensateurs électrolytiques ont généralement la durée de vie la plus courte, de sorte que la durée de vie du pilote de LED AC/DC est normalement déterminée par la durée de vie des condensateurs en aluminium utilisés. Des capuchons longue durée doivent être utilisés pour assurer une longue durée de vie des pilotes de LED. Étant donné que la durée de vie des capuchons en aluminium double pour chaque diminution de 10 °C de la température de fonctionnement (règle d'Arrhenius), il est essentiel de minimiser la température de fonctionnement des condensateurs électrolytiques. Malgré ce fait, les taux de défaillance des pilotes de LED sont dominés par les dispositifs à semi-conducteurs, qui comprennent les principaux MOSFET, diodes, circuits intégrés de commande et optocoupleurs. En raison des règles de conception appliquées, les condensateurs en aluminium ne contribuent aujourd'hui qu'à une petite partie des taux de défaillance des pilotes, qui dépendent largement de la température de fonctionnement. En règle générale, le taux de défaillance d'un pilote de LED augmente de 25 à 40 % pour chaque augmentation de 10 °C de la température du boîtier.EfficacitéComme écrit précédemment, l'efficacité a un impact énorme sur la durée de vie. Moins l'auto- échauffement se produit dans le conducteur en raison des pertes thermiques, les composants sont moins soumis à des contraintes thermiques. La durée de vie typique d'un pilote de 150 W est augmentée d'environ 2,5 fois à mesure que l'efficacité du pilote passe de 85 % à 93 %.Le MTBF calculé d'un driver de 150 W augmente d'environ 90 % à mesure que l'efficacité du driver passe de 85 % à 94 %.Les soudures de jonctionLa fiabilité des soudures peut causer des problèmes en raison du cycle de température, qui provoque une dilatation thermique différente des matériaux à souder, donc un risque de fissures dans la soudure de jonction. Les contraintes mécaniques peuvent également provenir de l'utilisation de composants lourds ou de vibrations.Résumé des actions pour maximiser la fiabilité :Sélectionnez des composants de qualité, en particulier les principaux dispositifs à semi-conducteursRéduire la température de fonctionnement en améliorant l'efficacitéFournir suffisamment de marges de conception à tous les composantsSuivre des procédures de conception strictesConsidérations financièresEn plus de fournir des performances et une fiabilité élevée, les attentes financières doivent également être prises en compte et des fonctionnalités techniques supplémentaires doivent être impliquées ici.Le fait de pouvoir utiliser des pilotes connectés au même disjoncteur permet de réaliser des économies sur les coûts d'installation. Le nombre de pilotes LED est limité par des disjoncteurs à courant de déclenchement. Si tous les pilotes ont un courant d'appel optimisé, plusieurs peuvent être connectés en même temps sans problème au démarrage.Lors du démarrage d'un système d'éclairage à LED, un fort courant transitoire initial peut être maintenu, qui peut être plusieurs fois supérieur au courant nominal en fonctionnement normal.Typiquement, ces courants d'appel durent moins de 10 ms mais ils peuvent néanmoins déclencher le disjoncteur. Le courant d'appel est causé par la charge des condensateurs dans les alimentations des pilotes de LED ou parce que le flux magnétique ne s'est pas encore accumulé dans le transformateur de l'alimentation. La sélection de pilotes à régulation d’appels de charges est un moyen rentable, en particulier pour les solutions de modernisation simplifiant le câblage.ConclusionPour sélectionner le meilleur pilote LED en termes de durée de vie, de fiabilité, de performance et d'aspects financiers, plusieurs facteurs doivent être pris en compte. Il est difficile de comparer les spécifications des pilotes entre les fabricants, et il n'est pas conseillé de baser la décision sur le coût d'achat pur, car cela élimine trop de facteurs de décision, qui peuvent avoir un rôle important sur les performances réelles. Nous espérons qu'en clarifiant les facteurs ci-dessus, le concepteur aura une meilleure chance de faire une sélection exacte. MeanWell, Philips, Inventronics, Osram, Turful, Sosen, Moso… proposent une vaste gamme de pilotes LED intérieurs et extérieurs. Comme la plupart des applications d'éclairage LED sont justifiées sur la base d'économies d'énergie et de coûts de maintenance réduits, nous nous concentrons en conséquence sur la fourniture de produits à haute efficacité et longue durée de vie. Ces marque leader proposent des Pilotes LED avec un rendement jusqu'à 95 %, un facteur de puissance jusqu'à 0,99, une protection robuste contre la foudre et des niveaux d'étanchéité IP67. Ces produits sont conformes aux réglementations de sécurité mondiales et aux normes de compatibilité électromagnétique et disposent d'une protection contre les surtensions, les surintensités et les surchauffes. Ils sont largement utilisés pour les lampadaires LED, les éclairages de tunnel et l'éclairages d’atelier, locaux industriels, chantiers, zones de stockages, parking, aire de loisirs, terrain de sport et stades.Les drivers de la gamme NOVETI des série SFL, HFL, XFL utilisent des condensateurs électrolytiques spéciaux à longue durée de vie spécifiés sur une durée de vie « LS » de 50 000 heures de -40°à +85°C. La régulation de sortie de courant à faible ondulation crée une lumière stable sans scintillement et une gradation en douceur pour les modèles équipés d’une option dimable 1-10V . La conception thermique autorégulée permet une garantie jusqu’à 5 ans.Le pilote LED représente 80% de la fiabilité d’un luminaire LED. Au-dessous d’une certaine qualité il ne peut plus offrir au luminaire l’uniformité, le rendement et une fiabilité optimum.
Il y a 3 ans et 166 jours

Les "puciers" de Montreuil obtiennent une première avancée

"Un bel espace qui nous convient" : contacté par l'AFP, Djamel Zidani, président du syndicat des puciers, estime que ces derniers, 250 titulaires et 140 "volants", vont "passer de bonnes fêtes" après l'accord trouvé mi-décembre avec la mairie sur leur nouvel emplacement pendant la période de travaux.Avec un budget d'environ 100 millions d'euros, la mairie de Paris a entamé la mue de la porte de Montreuil, entrée inhospitalière à l'est de Paris, qui doit durer de 2023 jusqu'à 2029.Outre la transformation de la partie centrale en esplanade végétalisée, le projet prévoit la construction d'une double halle à la place du vaste parking extérieur occupé trois jours par semaine par le marché aux puces, qui y sera relogé.Pendant les travaux, ces puces devaient initialement déménager près de la porte de Vincennes, dans un square fréquenté par des jeunes "qui quittent peu Paris pendant les vacances", avait dénoncé en novembre Nathalie Maquoi, élue Génération.s du Xxe arrondissement.Grâce au "soutien" des élus EELV et Génération.s, selon M. Zidani, les marchands ont finalement obtenu d'occuper le large trottoir de la rue parallèle au périphérique entre les deux portes, qui permettra de loger tous les puciers. "On partait de loin" avec le square, "une proposition intermédiaire à 180 places voire même 120" alors que les puciers "sont actuellement 380", a souligné Jérôme Gleizes, élu EELV du XXe arrondissement. Le projet définitif, qui prévoyait une diminution de 350 à 240 des emplacements dans la halle en contrepartie d'une ouverture 5 jours sur 6, sera rediscuté à partir de février, affirme M. Zidani, opposé à cette ouverture élargie et qui réclame une compensation financière.La mairie doit vendre le terrain au promoteur Nexity qui construira le lot, racheté ensuite pour 26 millions d'euros par la mairie afin d'y loger ces puciers. Mais "Nexity ne respecte pas ses propres engagements qu'il avait pris lors du jury (...) quand plus de 400 places avaient été promises", avait dénoncé Antoinette Guhl (EELV) au Conseil de Paris."L'offre quantitative a évolué avant l'attribution aux lauréats", lui avait répondu l'adjoint à l'urbanisme (PS) Emmanuel Grégoire, défendant une "montée en gamme qualitative de l'accueil des puciers et de leurs clients".
Il y a 3 ans et 166 jours

2021, année record pour l'immobilier ancien mais au détriment des foyers les plus fragiles

En effet, le prix au mètre carré n'a de cesse de grimper et a même atteint au troisième trimestre 2.355 euros (+7,4%) au niveau national pour les maisons et 3.878 euros (+5,3%) pour les appartements selon l'Insee et les notaires.Cette tendance haussière, particulièrement forte en Nouvelle-Aquitaine pour les maisons (+13,2%) et en Bretagne pour les appartements (+21,4%), qui laissait habituellement certaines régions en retrait a cette année concernée toute la France. Laurent Vimont, président de Century 21, confirmaient d'ailleurs à l'occasion d'une conférence de presse que les « prix ont augmenté partout en France ».La tension sur le marché serait à l'origine de cette hausse des prix record en 2021 et s'explique car, après un recul de 4% en 2020 en raison de la pandémie, le nombre de transactions a rattrapé son retard notamment grâce aux taux d'emprunts bas.Après avoir été enfermés chez eux à plusieurs reprises avec les confinements, les français ont semble-t-il choisi d'acheter des logements plus grands alors que les investisseurs ont préféré se tourner vers la pierre, considérée comme une valeur sûre en période sanitairement incertaine.D'après les notaires, le nombre d'achats d'appartements et de maisons en 2021 devrait retrouver son niveau record de 2019, à 1,7 million environ.Le nombre de logements anciens reste limité sur le marchéCette hausse des prix pose cependant un problème selon Century 21 : elle « commence à désolvabiliser les ménages aux revenus les plus faibles et les catégories les plus jeunes ».Les jeunes ou les ménages aux plus petits revenus "n'ont pas d'autres choix que de diminuer les surfaces ou d'acheter plus loin" des grandes villes, assure Laurent Vimont face au recul de ces catégories dans les achats, particulièrement en Île-de-France.Au deuxième semestre 2021, après une augmentation, l'apport personnel nécessaire pour acheter un bien immobilier était de 32.153 euros en moyenne pour un crédit moyen de 247.499 euros.Toute nouvelle hausse dans ce contexte « des taux d'emprunts viendra effranger la part des ménages solvables » s'inquiète Laurent Vimont.Le risque de voir les investisseurs se détourner du marché va potentiellement augmenter avec l'interdiction à partir de 2025 de louer les logements considérés comme des "passoires thermiques".La part des acquisitions destinées à l'investissement locatif était en 2021 au plus haut pour la quatrième année consécutive, à 30,2%, en hausse de 2,7% par rapport à 2020.
Il y a 3 ans et 166 jours

À 24 mois de la livraison des ouvrages olympiques, "on est bien" assure le directeur de la Solideo

"On est bien", assure-t-il dans un entretien à l'AFP, lui qui a prévu "trois mois de blanc" pour faire face à des aléas que pourraient connaître ses chantiers complexes et ultra-sécurisés.QUESTION: "Il vous reste deux ans avant de livrer les principaux ouvrages olympiques, fin 2023, où en êtes-vous ?"REPONSE: "Depuis le début, on n'arrête pas de réfléchir à ce qui pourrait faire que les ouvrages ne soient pas livrés à temps. Dans le planning, on a prévu trois mois de blanc pour pouvoir anticiper, soit une inondation type 1910, soit une canicule majeure qui oblige à arrêter les chantiers pendant près d'un mois, soit une rupture d'approvisionnement, soit une grève type 1995. Ainsi, nous avons prévu que les plus gros chantiers soient finis en septembre 2023 (pour décembre 2023, ndlr). Aujourd'hui, on est dans les délais et dans les coûts."Q: "Les salariés de la Solideo expliquent que le compte à rebours, à la seconde près, est installé sur chaque ordinateur. C'est vous qui avez eu cette idée ?"R: "On ne peut pas l'enlever. Au début quand j'ai fait ça, il restait 72 mois. Je faisais rigoler tout le monde! Là à 24 mois, les sourires se crispent (rires). On est bien. On est capable de livrer le 31 décembre 2023, et Paris 2024 commencera à rentrer dans les murs."Q: "Que pensez-vous des opposants qui, pour certains, ont fait des recours juridiques, comme sur le village des médias ou la piscine d'Aubervilliers ?R: "On a toujours dit qu'on était dans un Etat de droit et que toute opposition pouvait s'exprimer. La question de fond posée par les opposants c'est qu'ils remettent en cause pas seulement le projet de la Solideo mais le projet politique. Ils nous disent aussi qu'on fait du +greenwashing+. Ce n'est pas vrai. Quand on travaille avec des associations d'environnement, celles-ci disent : ce que vous faites a dix ans d'avance sur ce qui se fera en France."Q: "Quels sont les chantiers dont on entend moins parler ?R : "Il y a Yves Du Manoir à Colombes. On l'oublie tout le temps ! C'est le site historique de 1924 (où s'est tenu la cérémonie d'ouverture en 1924, ndlr)! C'est un site de compétition de hockey sur gazon, il faut le sortir. Ce sont 90 millions d'euros d'engagés. Le site (actuel) sera rasé et reconstruit. Nous avons aussi le chantier de la voile à Marseille. Il y a également des projets d'innovations, comme à l'intérieur du village des athlètes pour les gens qui ont des troubles cognitifs et qui n'arrivent plus à lire, nous avons lancé un appel à projet pour développer de la signalétique et du mobilier urbain."Q: "Récemment une délégation de plusieurs syndicats, français et internationaux, s'est insurgée de ne pas pouvoir visiter les chantiers olympiques, que répondez-vous ?R: "Je suis tombé de ma chaise, et Bernard Thibault (ex-secrétaire général de la CGT, qui siège au comité d'organisation des JO, ndlr) est aussi tombé de sa chaise ! On a mis en place des conditions d'accès des syndicats aux chantiers. J'ai été extrêmement surpris, quand l'IBB (syndicat international des travailleurs du bois et de la construction basé à Genève) nous compare au Qatar, on a quand même pas le même droit social en France. Il y a des représentants syndicaux normaux des entreprises. Dire qu'il n'y a pas de syndicats sur les chantiers, c'est faux."Q: "Avez-vous des chiffres sur les accidents du travail ?"R: "On a des statistiques et nous avons une charte pour faire de la prévention, pour limiter le nombre d'accidents. Dans ceux qui nous sont remontés, nous avons enregistré 5 accidents graves, c'est-à-dire avec plus de 7 jours d'arrêt, et une trentaine d'accidents légers depuis le début des travaux. On est là pour que les ouvrages soient livrés et qu'il y ait le moins d'accidents possibles."Q: "Les chantiers olympiques sont très protégés, avez-vous eu des vols ou des intrusions ?"R: "Nous n'avons pas eu de vol, de dégradation, ni d'intrusion. Les chantiers sont surprotégés, on a rajouté 4,8 millions d'euros sur la sécurisation du village olympique. On a un point tous les mois avec la préfecture de police."
Il y a 3 ans et 166 jours

Dominique Granseigne, nommé directeur commercial et marketing Xella pour la France et l’Espagne

Diplômé de l’école Sup’TG Reims Néoma Business School et d’un CESA Direction Marketing et Commerciale d’HEC, Dominique Granseigne, 49 ans, profite d’un long parcours dans le monde du bâtiment et bénéficie d’une grande expérience de cet univers.Débutant sa carrière dans le monde de l’électroportatif en tant que commercial chez Hilti, Bosch puis Metabo, il devient en 2000, Manager Général d’un club professionnel de Basket.En 2006, il est nommé Chef des Ventes France d’Isoroy, spécialiste de la Maison Ossature Bois puis entre chez Monier en qualité de Directeur Régional Sud, fonction qu’il occupera pendant 8 ans. En 2016 , il prend la co-gérance de Geoxia IDF et la responsabilité du développement commercial des marques Maison Familiale et Maison Castor. C’est lors de sa mission au sein de Geoxia qu’il est élu Président de Domexpo, association qui regroupe les constructeurs de maisons individuelles autour de villages Expo.Arrivé en février 2019 chez Xella en tant que Directeur Commercial France, Dominique Granseigne a eu la charge de fusionner les forces de vente Ytong et Cellumat, entreprise nouvellement achetée par le groupe. Un an plus tard, la direction commerciale de l’Espagne entre dans son périmètre lequel s’élargit encore aujourd’hui avec les directions marketing et du développement produits pour les marques Siporex, Ytong, Multipor, Hebel et Silka.Depuis ses différentes prises de fonctions, la structure commerciale de l’entreprise a été repensée et s’organise aujourd’hui autour de :3 Directeurs Régionales des ventes rattachés aux 3 usines : Arnaud Zinsch (Saint-Savin, Région Est)Ingrid Quantin (Mios, Région Ouest)Jean-Marc Cuignez (Saint-Saulve, Région Nord).1 Responsable Nationale Maison Individuelle, Tatiana Guillot, arrivée le 8 novembre, qui a la charge de développer ce segment de marché grâce aux atouts du béton cellulaire et de sa conformité avec la RE 2020.1 Responsable technique et qualité produits, Arnaud Porte.1 Responsable ADV, Julie Didone.1 Directeur Commercial Hebel/Ytong pour les projets tertiaires et industriels et les murs séparatifs coupe-feu, Pascal Meulders.1 Directeur Commercial Espagne, Juan Irastorza et son équipe de 3 personnes.1 Directeur Commercial GSB, Eric Criquioche et son équipe de 4 personnes pour animer ce réseau.Dans l’objectif de répondre au mieux aux besoins en béton cellulaire dans les différents secteurs de la construction, l’équipe commerciale Xella est désormais plus étoffée. Notons en effet la mise en place d’une équipe de 6 Responsables de Ventes Affaires dès janvier 2022, lesquels auront pour mission de développer les ventes et les partenariats dans les secteurs de la maison individuelle, du logement collectif, de la rénovation urbaine et de la protection incendie où Xella possède un produit coupe-feu 4h, toutes hauteur dès 15 cm.
Il y a 3 ans et 166 jours

L'audit énergétique pour la vente de maisons énergivores repoussé

L'obligation pour les propriétaires de maisons énergivores d'effectuer un audit énergétique en cas de vente va être reportée courant 2022, afin que les professionnels soient formés.
Il y a 3 ans et 166 jours

Ce qui va changer en 2022 pour les territoires et les collectivités territoriales

Suppression de la taxe d'habitation et réforme des indicateurs financiers des dotations aux collectivités territorialesD'ici à 2023, les foyers exonérés de taxe d'habitation vont passer de 80% à 100% pour les résidences principales. Pour 2022, les 20% de foyers qui ne bénéficient pas de cette mesure recevront toutefois une exonération de 30% sur leur taxe d'habitation. Face à cette perte, les collectivités locales sont également intégralement compensées via de nouvelles ressources depuis 2021 :Les communes perçoivent la part de taxe sur les propriétés bâties qui jusqu'à maintenant étaient perçues par les départements. Un coefficient correcteur a été instauré afin de neutraliser les écarts de compensation liés à ce transfert.Les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI ) à fiscalité propre se voient attribuer une part de TVA à la place du produit de taxe d'habitation.Pour les départements, la perte de la taxe transférée aux communes est compensée par une fraction de TVA. La loi de finances pour 2022 a adapté en conséquence l'ensemble des indicateurs financiers utilisés pour la répartition des dotations de l'Etat et des mécanismes de péréquation (potentiel fiscal et financier, effort fiscal, coefficient d'intégration fiscale). Elle intègre en outre de nouvelles ressources aux indicateurs financiers communaux, afin de renforcer leur capacité à refléter la richesse relative des collectivités. Une correction est prévue afin de neutraliser complètement les effets de ces réformes en 2022 sur le calcul des indicateurs, puis d'en lisser graduellement les effets jusqu'en 2028. Ainsi, la répartition des dotations ne sera pas déstabilisée et intégrera progressivement les nouveaux critères.Le déploiement continue pour la réforme du fonds de compensation pour la taxe sur la valeur ajoutée (FCTVA) La loi de finances pour 2021 a acté l’automatisation progressive du FCTVA à compter du 1er janvier 2021. Son automatisation se traduit par un remplacement progressif de l'examen anciennement manuel des dossiers de demande de remboursement envoyés aux préfectures par un calcul automatique via une nouvelle application dédiée basée sur les dépenses imputées sur un ensemble de comptes éligibles. On peut donc y voir une simplification pour les collectivités qui seront allégées du travail de transmission de dossiers papiers spécifiques mais également une modernisation du travail des agents de préfecture en charge de l'application de ce dispositif. Cette automatisation concerne déjà aujourd'hui certaines catégories de collectivités et d'établissements de coopération intercommunale à fiscalité propre et va concerner dès 2022 toutes les collectivités et les groupements qui ont participé au plan de relance de 2009-2010. L'automatisation concernera toutes les entités éligibles en 2023.Prorogation de la géographie prioritaire et des dispositifs de soutien aux territoires en difficulté Cette prorogation d'une année supplémentaire des contrats de ville et de huit dispositifs zonés de soutien du développement économique et de l’emploi dans les territoires qui arrivent à échéance le 31 décembre 2022 concernent : les quartiers prioritaires de la ville (QPV ), les zones de revitalisation rurale (ZRR ), les zones franches urbaines-territoires entrepreneurs (ZFU-TE), les zones d’aide à finalité régionale (AFR), les zones d’aide à l’investissement des petites et moyennes entreprises (ZAIPME), les bassins d’emploi à redynamiser (BER), les bassins urbains à dynamiser (BUD), les zones de développement prioritaire (ZDP).L'ensemble de ces zonages concernerait près de 60% des communes de France. De plus, la liste des communes classées en zone de revitalisation des centres-villes (ZRCV) fixée par l’arrêté du 31 décembre 2020 sera actualisée au 1er janvier 2022 afin de prendre en compte les opérations de revitalisation de territoire (ORT ) signées en 2021.En 2022, la nouvelle carte des aides à finalité régionale (AFR) 2022-2027 pour les départements et régions d'outre-mer et la collectivité de St Martin va rentrer en vigueurÀ l'intérieur des AFR, la France est autorisée à octroyer des aides publiques à l'investissement et à l'emploi des entreprises par la Commission Européenne. Le but du zonage est donc de renforcé le soutien public apporté au profit des entreprises présentes dans des territoires en difficulté. Les DROM et la collectivité de Saint-Martin vont être ajoutés à la carte actuelle en vigueur depuis 2014, conformément à la Commission Européenne du 19 avril 2021. Pour la carte métropolitaine, issue des propositions des régions avec l'aide de l'État et des collectivités territoriales, elle entrera en vigueur dans les premiers mois de 2021, une fois validée par la Commission.La mise en place d'un hébergement le week-end pour les jeunes intégrant l'EPIDEL'Etablissement public d'insertion dans l'emploi (EPIDE) va progressivement offrir à ses jeunes volontaires des capacités d'hébergement le week-end alors que les centres n'étaient jusqu'à présent ouverts qu'en semaine. L'allocation qu'ils perçoivent durant leur séjour sera par ailleurs revalorisée en 2022.
Il y a 3 ans et 166 jours

La matière au coeur des réalisations

Franck Perrin Caudron et Benjamin Champlain œuvrent depuis 20 ans pour la création d’espaces architecturaux et matières artisanales uniques au sein de leur cabinet « le Jardin des Matières ». Après des années de voyages et de rénovation, le duo a posé ses valises à Marseille, après coup de coeur pour un lieu qui est devenu leur terrain d’expérimentation, au Roucas Blanc. Le jardin-showroom est l’exposition de l’univers des deux artistes et met en avant la singularité des espaces, révélés grâce aux matières artisanales qu’ils proposent (Zellige, Bejmat, Terrazzo et Béton Ciré). Ils oeuvrent pour la mise en lumière de l’artisanat en collaborant avec les mêmes fabricants depuis leur première rénovation en 2005 : une Douiria. Ils maintiennent le fil de la transmission et du savoir-faire marocain.
Il y a 3 ans et 168 jours

Nouméa renouvelle le contrat d'Engie

EEC Engie, filiale néo-calédonienne d'Engie Solutions (activités d'efficacité énergétique d'Engie), assurera l'apport d'électricité aux 100.000 habitants de la ville, avec l'entretien, le renouvellement et l'extension des installations électriques (725 km de réseaux, quatre postes sources, 630 postes de distribution et 46.000 points de livraison).Les équipes gèreront aussi les quelque 1.500 points d'injection photovoltaïque produits par des usagers producteurs.Le contrat prévoit notamment le déploiement de "solutions innovantes pour répondre aux enjeux locaux": réduction des coupures (avec d'ici 2026, des temps de coupure sous la barre des 20 minutes par an), intégration des ouvrages dans l'environnement urbain (enfouissement des réseaux) et esthétique des équipements (postes source, postes de transformation, coffrets de réseaux), résilience accrue des installations face aux événements climatiques.Pour Engie, "ce succès consolide [son] rôle comme acteur majeur de la transition énergétique dans le Pacifique".Gestionnaire de réseau de distribution d'électricité depuis 1929, EEC est délégataire pour le service public de la distribution d'électricité dans huit autres communes calédoniennes, outre Nouméa, desservant au total plus de 65% de la population de l'archipel.Engie réalise un chiffre d'affaires annuel de 500 millions d'euros en Nouvelle-Calédonie, en Polynésie française, au Vanuatu et à Wallis-et-Futuna (production d'énergie renouvelable, réseaux de distribution d'électricité, stockage batteries...)
Il y a 3 ans et 169 jours

Des centaines de maisons détruites par des incendies dans le Colorado

"Environ 370 habitations dans la sous-division de Sagamore ont été détruites. Il est possible que 210 habitations aient été détruites dans la vieille ville de Superior", a déclaré le shérif du comté de Boulder, Joe Pelle, lors d'une conférence de presse.La ville de Boulder, qui compte plus de 100.000 habitants, est située à une cinquantaine de kilomètres de Denver, la capitale du Colorado."Environ 370 habitations dans la sous-division de Sagamore ont été détruites. Il est possible que 210 habitations aient été détruites dans la vieille ville de Superior", a déclaré le shérif du comté de Boulder, Joe Pelle, lors d'une conférence de presse.Cet Etat connaît une sécheresse historique qui a largement facilité la propagation des flammes. Dans le comté de Boulder, des hôtels, des centres commerciaux et plus de 650 hectares de végétation sont partis en fumée.Des rafales de plus de 160 km/h ont été observées à certains endroits, compliquant les efforts des pompiers."J'aimerais mettre l'accent sur l'ampleur et l'intensité de cet incendie et sa présence dans une zone si densément peuplée, nous ne serions pas surpris s'il y avait des blessés ou des décès", a averti le shérif Joe Pelle.Heureusement, les vents devraient s'apaiser, a annoncé le service national météorologique tard jeudi soir, et d'importantes chutes de neige sont attendues dans les deux jours qui viennent.En tout, plus de 33.000 personnes ont reçu l'ordre d'évacuer, notamment à Louisville, une ville de 20.000 résidents, et Superior, 13.000 habitants.Selon le journal Colorado Sun, plusieurs personnes ont dû être soignées pour des brûlures, dont au moins six ont été hospitalisées.Des images diffusées par CBS ont montré un immeuble d'habitation en flammes que les pompiers tentaient d'éteindre."Quittez Louisville sinon votre vie sera en danger", avaient insisté les services météorologiques."Des vents forts propagent rapidement les flammes et tous les avions sont cloués au sol", a tweeté Jared Polis, le gouverneur de cet État montagneux où les Rocheuses rencontrent les Grandes plaines.Il a également déclaré l'état d'urgence, et souligné le danger de cet incendie qui, contrairement aux précédents, ne touche pas que des zones rurales."La région qui est touchée, c'est une banlieue ordinaire, comme celle dans laquelle vous vivez, celles dans lesquelles nous vivons tous", a-t-il lancé."Il ne reste que des cendres"Autre ville visée par un ordre d'évacuation intégrale, Superior, 13.000 habitants, était recouverte jeudi d'un nuage de fumée sombre, selon des images publiées sur les réseaux sociaux.Patrick Kilbride, 72 ans, était à son travail dans une quincaillerie quand il a reçu l'ordre d'évacuer, a rapporté le journal local Denver Post.L'homme de 72 ans s'est précipité chez lui à Superior pour rassembler ses affaires mais n'a pas été en mesure de sauver autre chose que sa voiture et les vêtements qu'il avait sur le dos. Son chat et son chien sont morts dans les flammes."Il ne reste que des cendres", a-t-il dit de la maison dans laquelle il a vécu pendant trois décennies."C'est un sentiment étrange de passer d'une situation où vous possédez tout le confort possible à n'avoir absolument rien", a-t-il confié au Denver Post.Patti Holtz a décrit la terreur ressentie en évacuant sa maison du comté de Boulder. "Tout est en flammes. Il y a des braises partout. J'ai très peur, bien sûr, avec le vent, que ça continue à se propager à d'autres maisons", a-t-elle raconté."Comme le noir de la nuit""Il faisait si sombre que vous ne pouvez rien voir. C'est comme le noir de la nuit", a-t-elle encore dit.À l'instar d'une grande partie de l'Ouest américain, le Colorado, un État déjà aride, est aux prises depuis plusieurs années avec une sécheresse exceptionnelle.Avec le réchauffement climatique, l'intensité et la fréquence des épisodes de sécheresse et de canicule risquent encore d'augmenter, continuant à créer des conditions idéales pour les feux de forêt ou de brousse. Ces dernières années l'Ouest américain a ainsi connu des incendies sans précédent, notamment en Californie ou en Oregon.Pour Daniel Swain, météorologiste à l'université UCLA, il est "dur de croire" que ces incendies ont lieu en décembre, une période habituellement peu propice à ce type d'événements dans la région."Mais prenez un automne à la chaleur et la sécheresse record, seulement deux centimètres de neige jusqu'ici cette saison, et ajoutez une tempête aux rafales descendantes extrêmes... et le résultat consiste en des incendies extrêmement dangereux et qui se déplacent très rapidement", a tweeté le chercheur.
Il y a 3 ans et 169 jours

Cemex et la Ligue pour la Protection des Oiseaux : 18 ans de partenariat en faveur de la biodiversité

Une convention renouvelée pour 3 ans venant renforcer le partenariat CEMEX-LPOCEMEX et la LPO sont partenaires depuis 2003. Cette collaboration, entre un acteur majeur dans l'industrie des matériaux de construction et l'une des plus importantes associations naturalistes de France, repose sur l'échange de savoir-faire, la sensibilisation aux enjeux de protection de la nature et la valorisation du patrimoine naturel. La convention qui encadre ce partenariat, jusqu'ici renouvelée chaque année, s'articule autour de deux volets : l'« Accompagnement », qui permet aux deux partenaires de mettre en commun leurs compétences au bénéfice de la meilleure contribution de CEMEX à la préservation de la biodiversité sur ses sites d'activités ; et le « Mécénat » en faveur de programmes de préservation du patrimoine naturel portés par la LPO. Pour la première fois renouvelée de manière triennale, cette convention couvre la période 2021-2023. Sa mise en œuvre permettra notamment à la LPO d'accompagner CEMEX dans la concrétisation de son engagement « Entreprises Engagées pour la Nature » pris sur cette même période 2021-2023 auprès du ministère de la Transition écologique et de l'Office français de la biodiversité (OFB).Des actions concrètes en faveur de la préservation de la biodiversité Parmi les actions qui seront mises en œuvre dans le cadre du volet Accompagnement de cette 18ème convention se trouve la poursuite du plan d'actions « Hirondelles de rivage ». Initié en 2013, il a pour but de concilier exploitation de carrières et accueil des hirondelles de rivage, espèce protégée trouvant fréquemment des habitats de substitution au sein des carrières. Après 9 ans de suivi de ces oiseaux sur les sites CEMEX, l'objectif est maintenant d'exploiter et de valoriser les données collectées à travers la publication d'un document de synthèse ainsi que de poursuivre le développement d'outils de sensibilisation et de bonnes pratiques à l'attention des collaborateurs de l'entreprise. Une seconde action phare sera la poursuite de la démarche « CEMEX Bétons agit pour la biodiversité » entamée en 2012 et dont l'objectif est de contribuer à l'accueil de la nature en ville à travers la mise en œuvre d'actions en faveur de la biodiversité sur les unités de production de béton de l'entreprise. Le soutien financier du programme Life Vison, pour la sauvegarde du Vison d'Europe, fait quant à lui partie du volet mécénat de la convention. Il vise à maintenir, voire accroître la population de Visons d'Europe dans le bassin de la Charente. CEMEX soutient également le programme de la LPO en faveur du Moineau domestique à Paris. En effet, face à la disparition de plus de 73 % des moineaux vivant à Paris intra-muros entre 2003 et 2016, la LPO mène plusieurs actions afin d'améliorer les connaissances sur la répartition, l'abondance et l'évolution des populations du Moineau domestique à Paris, de comprendre et promouvoir les conditions nécessaires au bon fonctionnement des colonies, d'apporter conseils et expertises aux acteurs locaux concernés (propriétaires, syndics, bailleurs sociaux...) pour les sensibiliser et préserver les colonies suivies.Au-delà de ces actions phares, les échanges réguliers de CEMEX avec la LPO pour des demandes d'avis et d'expertises sur divers projets, la réalisation d'études selon les besoins et enjeux identifiés au niveau des sites CEMEX font aussi partie intégrante de la convention. « CEMEX et la LPO sont partenaires depuis 18 ans, ce qui illustre la volonté de CEMEX de placer la préservation de la biodiversité et la maîtrise de son impact sur l'environnement au cœur de sa politique d'entreprise. Nous sommes fiers de cette collaboration ininterrompue avec la LPO, qui a permis de mener conjointement et avec succès de nombreuses actions en faveur de la biodiversité sur nos sites d'activités, ou à l'attention de nos salariés. », se réjouit Michel André, Directeur des activités matériaux de CEMEX Europe de l'Ouest.« L'alliance entre CEMEX et la LPO est inscrite dans la durée et illustre que notre partenariat ne doit rien à un effet de mode ou une visée mercantile. Au contraire, il s'est chaque année renforcé, gagnant en logique et en exemplarité » souligne Allain Bougrain Dubourg, président de la LPO.
Il y a 3 ans et 169 jours

Top 10 des actualités les plus lues sur Batinfo en 2021

10 - Le bâtiment enregistre la plus forte hausse des défaillances d'entreprises au 2e trimestre 2021Le groupe Altares, expert historique et référent de l’information sur les entreprises, vient de dévoiler dans une étude les chiffres des défaillances d’entreprises en France pour le 2ème trimestre 2021.Lire l'article9 - Suspension DPE : point de vue de Denis Mora, président du groupe AC EnvironnementLe vendredi 24 septembre dernier, le ministère de l’écologie et du logement, a recommandé la suspension de l’édition des DPE des logements construits avant 1975, hormis dans les cas rendus nécessaires par des transactions urgentes.Lire l'article8 - L’État recommande de suspendre l'édition des DPE de certains logements anciens en raison d'anomaliesLa direction générale de l'aménagement, du logement et de la nature, un service du ministère de la Transition écologique, a recommandé vendredi de suspendre l'édition des diagnostics de performance énergétique pour les logements construits avant 1975, en raison d'"anomalies".Lire l'article7 - La Fédération Française du Bâtiment alerte sur la flambée des prix des matériaux qui menace la relance du secteurLa FFB a mis en garde mardi contre la menace que constituent la pénurie et la hausse des prix des matériaux sur la relance de l'activité, après une "reprise réussie" en 2021, marqué par une accélération certaine des prises de commandes.Lire l'article6 - Pénurie et flambée des matériaux: l’État entend les alertes du BTP et annonce de nouvelles mesuresL'État n'appliquera pas de pénalités de retard aux entreprises du bâtiment qui seraient en retard de livraison en raison de l'actuelle pénurie de matériaux de construction, a annoncé le ministre de l'Économie Bruno Le Maire mardi.Lire l'article5 - Macron annonce un plan pour les 3 millions de travailleurs indépendantsDans un discours aux accents de meeting, Emmanuel Macron a dévoilé jeudi un plan en faveur des plus de trois millions de travailleurs indépendants, qui rend notamment insaisissable leur patrimoine personnel en cas de défaillance et élargit l'accès à une assurance chômage.Lire l'article4 - Cinq banques régionales de BPCE rachètent la start-up Cozynergy spécialisée dans la rénovation énergétiqueCinq banques régionales ont annoncé l'acquisition de la jeune pousse Cozynergy, spécialisée dans la rénovation énergétique, en vue de profiter d'un marché dopé par les subventions de l'État.Lire l'article3 - MaPrimeRénov’ : « Attention à ne pas jeter l’argent par les murs ! »Ces derniers jours dans l'actualité, le dispositif MaPrimeRénov' se félicite de ses bons résultats et de son enveloppe annuelle déjà bien entamée. Si ces résultats démontrent que cette politique d'Economie d'Energie est un franc succès, on observe néanmoins que la majorité des aides consommées le sont par les systèmes de chauffage, et seulement 34% par l'isolation.Lire l'article2 - Un ouvrier retrouvé mort sous "plusieurs tonnes" de graviers dans une centrale à bétonUn ouvrier de 52 ans a été retrouvé mort jeudi après-midi à Décines-Charpieu (métropole de Lyon), enseveli sous "plusieurs tonnes" de graviers d'une centrale à béton, a-t-on appris auprès des pompiers.Lire l'article1 - Schenker Stores présente le TD2, un toit de terrasse élégant et modulaireLeader du marché de la protection contre le soleil et les intempéries, Schenker Stores lance son nouveau toit de terrasse. Commercialisé en janvier 2021, ce toit de terrasse au design élégant répond en tout point aux aspirations de détente, de confort et d’amélioration de l’habitat.Lire l'article
Il y a 3 ans et 170 jours

Alfortville : résidentialisation et réaménagement du quartier Blanqui-Micolon

Le projet de résidentialisation et de réaménagement du quartier Blanqui-Micolon prévoit la construction d’un espace intergénérationnel, la mise en place d’allées piétonnes et la création d’un bois urbain.
Il y a 3 ans et 170 jours

Fabemi, acteur engagé dans l’écologie industrielle et les territoires

La démarche consiste à combiner fabrication de blocs béton bas carbone, économie circulaire et savoir-faire industriel du Groupe. Les blocs béton isolants Fabtherm® sont l’exemple même de l’engagement de l’entreprise dans l’écologie industrielle Made in France, et du développement d’innovations produits orientées clients, capables de répondre aux enjeux d’aujourd’hui et surtout de demain. De la fabrication au recyclage en fin de vie, les blocs béton Fabemi présentent une très faible empreinte carbone grâce à une politique de production-distribution locale, des choix forts d’approvisionnements au plus proche des usines et un procédé de fabrication sans cuisson avec un séchage naturel. Le transport des produits Fabemi sur une zone moyenne de 200 km autour des sites de production participe à la maîtrise de l’impact environnemental du Groupe. À l’échelle nationale, les implantations stratégiques de Fabemi permettent de réduire, voire de supprimer les livraisons/stockages/relivraisons et d’optimiser au maximum le transport des produits, majoritairement réalisé par la route.Un très faible impact carbone par nature Le Groupe Fabemi, entreprise familiale créée en 1961 à Donzère (Drôme), propose une offre globale de produits préfabriqués en béton pour les domaines suivants : Gros Œuvre, Voirie & Réseaux, Terrasse & Jardin. Fort de 60 ans d’expérience, Fabemi a su s’adapter pour proposer des produits préfabriqués performants et toujours conformes aux dernières réglementations. Les blocs isolants Fabtherm®, par exemple, contribuent à réduire l’empreinte carbone des bâtiments de l’ordre de 4 à 8 % par rapport à d’autres solutions constructives de référence sur le marché, permettant ainsi la réalisation d’ouvrages conformes au critère C de la RE2020 et de ses futurs seuils de 2025 et 2028. De plus, les géométries des blocs béton Fabemi sont optimisées pour faciliter leur mise en œuvre, tout en réduisant l’utilisation de matières premières (alternance cloison/creux). Les capacités isolantes peuvent être renforcées par une âme en mousse minérale isolante. C’est le cas des blocs isolants Fabtherm® Air Fabemi, dotés d’une mousse 100 % minérale qui leur donne une résistance thermique exceptionnelle (deux à huit fois plus isolants que des blocs traditionnels). Cette solution naturelle permet de construire tout en isolant, sans impacter le poids carbone de la façade, ce qui fait gagner du temps sur le chantier et apporte un gain de surface habitable. Les blocs béton Fabemi disposent de Fiches de Déclarations Environnementales et Sanitaires (FDES). Des données vérifiées et disponibles sur INIES qui permettent de calculer la contribution des produits, développés et fabriqués par le Groupe Fabemi, à l’impact environnemental de l’ouvrage à construire. Entièrement recyclables, les blocs béton Fabemi n’ont pas besoin d’être triés à l’issue de la déconstruction, les déchets gravats n’appelant aucune manipulation particulière. Après la démolition des bâtiments, ils deviennent recyclables à l’infini et revalorisables dans de nouveaux produits, en se substituant à une partie des granulats.Recyclage et revalorisation des bétons Au-delà de la production et la construction en circuit court, privilégiées en raison de l’impact des coûts de transport, le recyclage du béton et des déchets liés au bâtiment est devenu un enjeu majeur pour les industriels. Les rebus de fabrication de Fabemi, même dans de faibles proportions, représentent une source potentielle de granulats recyclés que l’entreprise envisage de réemployer en les réintégrant directement dans la fabrication de ses produits. Le Groupe encourage également la revalorisation des bétons issus de la déconstruction. Ainsi, Fabemi s’organise, avec le soutien de la Fédération de l’Industrie du Béton (FIB), afin de répondre à ses obligations liées à la Responsabilité Élargie du Producteur (REP). Le dispositif de REP implique que les acteurs économiques (fabricants, distributeurs, importateurs) sont responsables de l’ensemble du cycle de vie des produits qu’ils mettent sur le marché, de leur éco-conception jusqu’à leur fin de vie. Les filières REP permettent d’organiser la prévention et la gestion des déchets pour certains types de produits. L’objectif est non seulement de traiter les déchets produits, mais aussi de les prévenir en agissant sur l’ensemble du cycle de vie des produits.
Il y a 3 ans et 171 jours

La fin de l'enquête judiciaire suite à l'explosion rue de Trévise à Paris suscite l'"incompréhension"

Au matin du 12 janvier 2019, une très forte détonation provoquée par une fuite de gaz avait soufflé cette rue du IXe arrondissement de la capitale. Le bilan est lourd : quatre personnes, dont deux pompiers, sont tuées, 66 autres sont blessées et quelque 400 riverains sinistrés.Les magistrats du pôle "accidents collectifs" du tribunal judiciaire de Paris ont adressé le 13 décembre un courrier à l'ensemble des parties pour leur signifier que leur enquête était close, selon un document consulté par l'AFP.Cette décision provoque "une incompréhension" pour Virginie Mallet, sinistrée et secrétaire générale de l'association Trévise ensemble.En principe, le parquet est maintenant tenu de rendre son réquisitoire définitif dans les trois mois, avant une décision définitive des magistrats instructeurs sur la tenue ou non d'un procès.Au cours de l'enquête, la mairie de Paris et le syndic de copropriété de l'immeuble ont été mis en examen pour "homicides et blessures involontaires" et "destruction, dégradation ou détérioration par l'effet d'une explosion ou d'un incendie".Les juges ont appuyé leur décision sur les conclusions d'un collège de quatre experts, mandatés pour déterminer les causes du sinistre et les éventuelles fautes commises.Dans un premier rapport, remis en décembre 2019, ces experts avaient conclu qu'un affaissement du sol, sous le trottoir, devant le porche de l'immeuble situé 6 rue de Trévise, avait provoqué la rupture d'une canalisation de gaz, entraînant une accumulation de gaz naturel à l'origine de l'explosion.Ils avaient relevé des "manquements" du service de voirie de la Ville, notamment dans la réfection du trottoir, sans incriminer GRDF.Dans leur rapport définitif rendu en mai 2020, les experts avaient de nouveau pointé un "défaut de vigilance" de la Ville de Paris et mis également en cause le syndic de copropriété de l'immeuble qui aurait tardé à réparer la fuite d'un collecteur d'eaux usées qui aurait eu une incidence sur l'affaissement du sol.Contre-expertise demandéeL'entreprise de BTP Fayolle, chargée en novembre 2016 d'effectuer des travaux sur le trottoir, est aussi pointée du doigt par les experts. Elle a toutefois été placée sous le statut intermédiaire de témoin assisté, moins incriminant que celui de mis en examen, tandis que GDRF a échappé aux poursuites.La Ville de Paris a saisi la cour d'appel de Paris après le refus des juges d'ordonner une contre-expertise. L'audience est prévue le 26 janvier."Il ne paraît pas opportun de clôturer l'instruction sans que la cour d'appel ait statué sur la demande de contre-expertise. C'est incompréhensible", considère Me Sabrina Goldman, avocate de la Ville."Dans une affaire de cette ampleur et de cette complexité, c'est le minimum qu'on puisse avoir un avis différent et ce d'autant qu'on a démontré que les experts" mandatés dans la procédure pénale "se sont trompés", ajoute Me Goldman.L'avocate s'appuie sur une expertise ordonnée dans la procédure civile, menée parallèlement pour évaluer le préjudice des sinistrés, qui a elle conclu que l'état de la canalisation pouvait être en cause.Une contre-expertise, "qui n'empêche ni les travaux rue de Trévise ni l'indemnisation qui est très bien avancée avec l'accord-cadre", serait selon Sabrina Goldman "déterminante" et ne prendrait que "quelques mois"."Pourquoi les experts ne travaillent pas ensemble? Ça irait plus vite et ce serait plus efficace", s'interroge pour sa part Virginie Mallet, dont l'appartement au numéro 6 a été soufflé.L'explosion a été causée par le gaz "mais GRDF est le grand absent des procédures au civil et au pénal", s'étonne Mme Mallet. "On sait que le gaz est une bombe, on l'a vu à nos dépens, et pourtant c'est comme si c'était autre chose".La Ville de Paris a annoncé en octobre qu'elle abonderait de 20 millions d'euros le fonds d'indemnisation "sans que cela présume de sa culpabilité". Les premières indemnisations pourront intervenir une fois l'accord-cadre signé.
Il y a 3 ans et 171 jours

Quand la lumière du Sud influence l'art : première exposition d'un nouveau musée provençal

"En sommeil depuis plus de vingt ans, le musée de Hyères créé en 1883 va enfin renaître de ses cendres à la lumière d'un site digne d'un musée de France", s'enorgueillit Jean-Pierre Giran, maire de cette ville de 60.000 habitants, qui fut, avant Cannes et Nice, un haut-lieu de villégiature sur les bords de la Méditerranée.Acquise par la mairie en 2004, la bâtisse de 2.188 m2 d'inspiration néo-classique a été transformée pour près de six millions d'euros, sous la houlette de l'architecte en chef des monuments historique Alain-Charles Perrot, en un véritable lieu d'exposition propre à satisfaire les nombreux visiteurs de la première ville touristique du Var.Grandes baies, hauts plafonds, escaliers en bois et rampes d'acier, balcons ciselés, vitraux colorés, patio couvert et grande terrasse, l'outil culturel possède déjà 8.000 oeuvres dans ses réserves accumulées au fil du temps, notamment grâce à Emmanuel-Charles Bénézit, peintre et historien de l'art, dont le père, Emmanuel, auteur d'un dictionnaire artistique de référence, fut proche des peintres Van Gogh, Pissaro et Sisley.Puisant dans ce fond, "La Banque, musée des cultures et du paysage", a choisi d'exposer pour trois ans à son premier étage quelque 200 œuvres exprimant l'histoire de Hyères et de ses paysages sur deux millénaires, du peintre académique du second Empire Alexandre Cabanel au photographe de la rue, Henri Cartier-Bresson.Les toiles entraînent le visiteur des salins à la presqu'ile de Giens mais aussi à travers l'histoire de la ville, de la colonie grecque d'Olbia fondée par Massalia (Marseille) jusqu'au XVIIIe siècle où Hyères accueillait l'hiver dans ses huit hôtels de luxe une communauté anglaise, dont la reine Victoria."Miniature de Picasso à 14 ans"Au sous-sol, les architectes ont conservé les anciennes salles des coffres de la Banque, espace atypique pouvant servir d'extension aux expositions, de lieux de consultation de documentation numérique ou d'archivage.Mais, c'est au rez-de-chaussée du bâtiment que seront installées les expositions temporaires qui feront vivre le musée. Pour son lancement, la ville a fait appel à l'historien de l'art, Dominique Lobstein. "Mon idée a été de confronter le travail, entre 1850 et 1950, d'artistes locaux à celui d'artistes, souvent parisiens, venus s'installer ou séjourner dans la région après l'ouverture de la ligne PLM (Paris-Lyon-Marseille) dans les années 1850. Ce train va permettre à ces derniers de découvrir la lumière du Sud", explique le commissaire de l'exposition qui durera jusqu'au 27 mars 2022."Si au début, ils n'en font rien, petit à petit, beaucoup vont intégrer une nouvelle manière de peindre. Après l'apparition de la photographie, certains vont s'éloigner de la représentation naturaliste au profit d'un travail plus inventif, déstructuré où la lumière va exister dans les couleurs et la manière de les juxtaposer", explique-t-il.Prêtés par le Louvre, le musée d'Orsay, le centre Pompidou ou par des collectionneurs, près de 70 oeuvres viennent illustrer cette évolution du regard des peintres sous la lumière du Midi.Parmi les oeuvres des artistes les plus connus, figurent deux Picasso dont l'un, une miniature représentant le port de Valence (est de l'Espagne), a été peint lorsqu'il n'avait que 14 ans. Figurent également des toiles d'Eugène Boudin, Pierre Bonnard, Paul Signac, Auguste Renoir, Raoul Dufy, Francis Picabia ou encore Marc Chagall.Parmi les artistes locaux exposés, Paul Guigou, Emile Loubron ou Prosper Grésy, certains n'ont jamais quitté leur région mais d'autres ont fait carrière à Paris où la lumière qui inonde leur toile a intrigué critiques et peintres. A la fin du XIXe siècle et sur les traces de Paul Signac et d'Auguste Renoir, les rivages de la Méditerranée deviendront un laboratoire d'expérimentation plastique de l'art moderne.
Il y a 3 ans et 172 jours

Rhône : une enveloppe de 2,3 M€ pour le quartier de la Guillotière

La Métropole de Lyon a mobilisé plus de 2 M€ dans le projet de réaménagement du quartier de la Guillotière.
Il y a 3 ans et 172 jours

Ermont : mise aux normes des espaces publics de la gare de Gros Noyer – Saint-Prix

Les travaux de mise aux normes portent sur le réaménagement des espaces publics de la gare de Gros Noyer – Saint-Prix.
Il y a 3 ans et 172 jours

Muller Intuitiv dévoile la gamme de radiateurs Calidoo, ultra performants, classiques et adaptables

Ce radiateur à chaleur douce et au style intemporel est intelligent et certifiés Origine France Garantie. Le radiateur Calidoo est 100% connecté sans aucun accessoire supplémentaire pour une consommation d’énergie sur mesure grâce au dispositif Muller Intuitiv with Netatmo. Calidoo : le radiateur intemporelCALIDOO est équipé d’un double système chauffant : un cœur de fonte en chauffe est associé à une facade chauffante gérée de manière indépendante.L'apport de la fonte permet une sensation de chaleur douce stable et bien répartie dans toute la pièce. Son film chauffant réchauffe très rapidement la face avant pour procurer une sensation de chaleur permanente même quand la fonte n’est pas encore chaude, ce qui rend le radiateur très confortable même quand il chauffe très peu (en intersaison par exemple). Grâce à ses dimensions variées, il est pratique et adaptable aussi bien pour les petits que les grands espaces.En complément, CALIDOO est aussi un radiateur 100% connecté (sans accessoires à ajouter) qui, grâce à ses fonctions intégrées de pilotage intelligent, rend le quotidien plus facile et les économies d'énergies plus intuitives. L'utilisation de ce radiateur électrique est facilitée par la touche à mémoire de confort. Celle-ci rétablit la bonne température et active les fonctions à économie d'énergie, telle que la détection automatique de fenêtre ouverte (le radiateur s'arrête lorsqu'il identifie une chute anormale de la température) et un abaissement automatique de température en cas de détection d'absence dans la pièce (le détecteur capte automatiquement la température de consigne du radiateur). Un code PIN à 4 chiffres permet de verrouiller l'ensemble de fonctionnalités du radiateur évitant tout déréglage intempestif.Déclinés dans un nouveau blanc satiné lisse, très facilement nettoyable et en couleur anthracite, ces radiateurs s’harmonisent avec une large variété de mobilier.L’exigence de la fabrication françaiseTous ces modèles sont certifiés Origine France Garantie, qui contrairement aux mentions auto déclaratives « fabriqué en France » atteste, par un audit extérieur, que le produit prend ses caractéristiques essentielles en France et que 50 % à 100% du prix de revient unitaire du produit est acquis sur le territoire.La connectivité au service de l’efficacité énergétique Dotée de l’intelligence Muller Intuitiv, la nouvelle gamme de radiateurs Calidoo embarque le nec plus ultra des fonctions d’économies d’énergie avancées pour traquer au quotidien la moindre source de gaspillage tout en optimisant le confort. Ces radiateurs prennent en compte le rythme de vie des utilisateurs et adaptent leur température pour allier bien-être et économies.Analyse des rythmes d’occupation, détection de fenêtre ouverte et d'absence, anticipation, auto-programmation, indicateur comportemental, consultation au jour le jour sur graphique, pilotage par la voix par assistants vocaux, verrouillage par code PIN, ... toutes ces fonctions à économies d'énergie ainsi que le boîtier digital sont simples à utiliser !
Il y a 3 ans et 172 jours

Des villes closes entières sortent de terre en Argentine

Le boom de la construction des parcs résidentiels privés est tel en Argentine - où il en existe déjà plus de 1600 - qu’ils sont devenus la norme urbanistique en banlieue. La ville nouvelle de Puerto Escobar est la deuxième du genre à sortir de terre (et des eaux) au nord de Buenos Aires. Enquête photo.
Il y a 3 ans et 173 jours

Epinglée par l'Agence anticorruption, Marseille adopte un code de bonne conduite

"Ces deux chartes posent les principes clairs fondant la déontologie des élus municipaux et des agents de la ville", a détaillé vendredi lors d'un conseil municipal Olivia Fortin, adjointe au maire chargée de la transparence de la vie publique."Elles permettront aux élus et aux agents de disposer d'une base sur laquelle s'adosser quand ils s'interrogent ou rencontrent des difficultés" et feront l'objet de formations spécifiques, a-t-elle ajouté.L'adoption d'un tel "code de conduite" constituait l'une des recommandations prioritaires formulées par l'Agence française anticorruption (AFA) dans un rapport de contrôle rendu en juillet et consulté par l'AFP.Lors de cet audit, réalisé de septembre 2020 à février 2021, juste après l'accession aux affaires d'une nouvelle majorité de gauche après 25 ans de mandat du maire de droite Jean-Claude Gaudin, l'AFA a constaté "une insuffisante culture de la probité au sein des services" de la ville, "renforcée par l'absence d'un régime disciplinaire adéquat".Ce défaut de probité est notamment illustré, selon le rapport, par "la pratique courante des recrutements familiaux" ou encore "le nombre important de fonctionnaires ayant fait l'objet de plaintes pénales pour des faits d'atteintes à la probité".La gestion de Marseille sous les mandatures Gaudin avait déjà été épinglée sévèrement par la Chambre régionale des comptes. Depuis 2019, une information judiciaire est également en cours pour "détournement de fonds publics par une personne chargée d'une mission de service public, et recel de ce délit".La charte des élus adopté vendredi "prévoit (...) par exemple l'engagement de démissionner en cas de condamnation pénale définitive pour crime ou délit", a précisé Mme Fortin.Autre point noir mis en exergue par le rapport de l'AFA: "Le processus de délivrance des autorisations d'urbanisme présente de graves zones de risques d'atteinte à la probité non maîtrisées en l'absence de toute procédure écrite encadrant l'activité du service".Enfin, l'AFA pointe également "l'absence de tout contrôle effectif sur les actes des mairies de secteur (recrutement de vacataires, achats de biens cessibles, attribution de logements sociaux), qui a pu mener à des dérives lors de la précédente mandature".Elle rappelle ainsi que la mairie centrale n'a pris aucune sanction disciplinaire, n'a réalisé aucun signalement ni déposé aucune plainte après une enquête administrative ayant mis en évidence l'utilisation abusive de cartes de carburant à la mairie des 13e et 14e arrondissements, tenue par le Rassemblement national, entre 2015 et 2018. "Jamais une ville scandinave""Le constat de ce rapport est triste. (...) Cette ville, Marseille, elle est lumineuse mais elle a également sa part d'ombre et ce rapport le révèle cruellement", a commenté Fabien Perez, du groupe écologiste et citoyen, estimant que la charte de déontologie "acte symboliquement une nouvelle direction dans le rapport que les élus ont à l'intérêt général".Le rapport de l'AFA rappelle que "le contrôle de la commune de Marseille s'est déroulé concomitamment à l'installation d'une nouvelle majorité municipale mettant fin à un cycle de quatre mandatures" et que "cette nouvelle majorité a inscrit dans son programme une politique volontariste en matière de lutte contre les atteintes à la probité".Ces chartes sont "la première pierre de quelque chose qui va permettre à cette ville de renouer avec ce qu'elle doit être, une grande ville, ouverte, transparente, démocratique, intelligente, avec ses défauts bien sûr, on ne deviendra jamais une ville scandinave, et c'est ainsi", a déclaré le maire de Marseille, Benoît Payan.Lors de sa victoire aux municipales en juillet 2020, à la tête de la coalition de gauche du "Printemps marseillais", Michèle Rubirola, qui a démissionné cinq mois plus tard au profit du socialiste Benoît Payan, avait promis "la fin du clanisme, du népotisme et du clientélisme" à Marseille, l'une des villes les plus pauvres et les plus inégalitaires de France.
Il y a 3 ans et 173 jours

Breteuil : les travaux d’aménagement du centre-ville se poursuivent

Le projet d’aménagement du centre-ville de Breteuil entre dans sa deuxième phase.
Il y a 3 ans et 173 jours

Encadrement des loyers : des propriétaires hors-la-loi et des sanctions trop rares

Mais d'autres ont moins de scrupules, notamment lorsqu'il s'agit de locations entre particuliers.Au total, 26% des loyers parisiens sont restés en dépassement en 2020 malgré la loi réintroduite en 2019, soulignait l'Observatoire des loyers de l'agglomération parisienne (Olap) dans une note publiée mi-décembre.Le principe de l'encadrement des loyers a été instauré dans plusieurs grandes villes de France pour lutter contre des abus qui rendaient la recherche de logement très difficile pour les budgets les plus contraints. La mesure impose aux propriétaires un plafond qui varie selon les quartiers, et s'applique là "où il existe un déséquilibre marqué entre l'offre et la demande de logements".Pour Yves, propriétaire de trois appartements aux loyers plafonnés dans la capitale, cette loi "était absolument nécessaire. La situation du logement à Paris est lamentable".Mais elle n'a pas vraiment facilité la recherche d'appartement parisien de Marguerite, 26 ans et en CDI. "On trouve encore beaucoup de propriétaires qui ne respectent pas la loi", soupire-t-elle entre deux visites."Aujourd'hui, la tendance dans certaines annonces est même de ne plus indiquer le prix. Des propriétaires se plaignaient de recevoir des commentaires sur les montants élevés des loyers proposés", souligne-t-elle auprès de l'AFP.Certains renoncent carrément à louer, comme ce propriétaire dont le bien est vide depuis quatre mois et qui a dit à l'AFP préférer le garder vacant plutôt que de réduire son loyer de 30%.D'autres avouent s'arranger avec la loi."Comment contourner l'encadrement des loyers ?" : une simple recherche sur internet livre moult conseils pour resquiller. Un propriétaire explique avoir ainsi trouvé une astuce, il précise louer un "logement de fonction ou résidence secondaire", dans son annonce sur un site de particuliers à particuliers, une mention qui permet à son bien dans le sud-ouest parisien d'échapper au plafonnement.Depuis 2019, 10 amendes en Ile-de-FranceBeaucoup d'agences immobilières assurent faire barrage aux malins.Chez La Forêt, rue d'Auteuil à Paris, une conseillère explique: "On expose les risques encourus à ceux qui sont au-dessus des loyers de référence. Soit ils baissent, soit ils s'obstinent. Quand c'est le cas, il faut que cela se justifie par une prestation rare comme un balcon ou un jardin", sinon l'agence refuse le dossier. Au final, elle estime qu'environ 5% des biens en gestion "sont un peu plus chers qu'ils ne devraient l'être".La loi est-elle parvenue à faire baisser les prix là où ils étaient trop élevés ?Selon des professionnels de l'immobilier, elle permet une "certaine régulation du marché". Dans sa note, l'Olap pointe également un "effet modérateur (...) indéniable, bien que modéré".Mais du côté des sanctions, le bilan n'est pas forcément concluant : elles sont rarement appliquées, regrettent plusieurs agents immobiliers interrogés par l'AFP.Depuis 2019, 10 amendes administratives ont été dressées par la préfecture d'Ile-de-France, saisie de 98 dossiers, indiquait mi-décembre Mickaël Nogal, co-rapporteur du projet de loi de décentralisation dit "3DS".Les députés ont donné aux collectivités locales la possibilité de sanctionner elles-mêmes les bailleurs qui font fi de l'encadrement des loyers, une disposition que réclamaient notamment les élus parisiens.Pour Marguerite, installée à Paris depuis plusieurs années, c'est une découverte. "Je n'ai jamais entendu parler de sanctions, y compris quand on est déjà dans le logement", dit la jeune femme, qui regrette le manque de communication à ce sujet.D'après Bertrand Pallatin, "entre ceux qui ne sont même pas au courant de la mesure et ceux qui ont galéré pour se loger, il est très rare qu'un locataire entreprenne une procédure".Prévu par la loi Elan de 2018, le plafonnement des loyers ne concernait, jusqu'au 1er juin 2021 que Paris et Lille. Il a été étendu à cette date à neuf villes de Seine-Saint-Denis, au nord de Paris, regroupées dans l'établissement public Plaine Commune. Depuis le 1er novembre, Lyon a rejoint le dispositif, et Bordeaux et Montpellier doivent faire de même courant 2022.
Il y a 3 ans et 173 jours

Ce qui change au 1er janvier 2022 pour accélérer la transition écologique

Économie circulaireInterdiction d’éliminer les invendus non alimentairesInterdiction d'élimination des invendus non alimentaires pour les produits couverts par les filières REP (autrement appelées filières « pollueurs payeurs »), les produits d’hygiène et de puériculture, les produits d’éveil et de loisirs, les livres et fournitures scolaires, les équipements de conservation et de cuisson des aliments. L’élimination, autrement dit la mise en décharge et l’incinération, de ces produits invendus sera ainsi interdite. Les entreprises devront désormais les donner ou les recycler.Lutte contre le plastique à usage uniqueFin des emballages plastiques autour de certains fruits et légumes. Dès le 1er janvier 2022, c’est une trentaine de fruits et légumes frais non transformés qui seront vendus sans plastique dont une quinzaine de légumes : poireaux, courgettes, aubergines, poivrons, concombres, pommes de terre et carottes, tomates rondes, oignons et navets, choux, choux fleurs, courges, panais, radis, topinambours, légumes racines. Du côté des fruits, ce sont notamment les pommes, poires, oranges, clémentines, kiwis, mandarines, citrons, pamplemousses, prunes, melons, ananas, mangues, fruits de la passion, kakis, etc. que l’on retrouvera sur les étals sans emballage plastique dès 2022.Interdiction des jouets en plastique offerts dans certains menus : les restaurants qui souhaitent poursuivre la distribution gratuite de jouets avec leurs menus enfants devront en proposer dans d'autres matériaux, comme le bois ou le carton.Fin de la livraison sous plastique des journaux, magazines et publicités, qui devront être livrés sans emballage ou avec un emballage fabriqué avec un autre matériau, comme par exemple le papier.Dans le secteur de l'achat public : l'Etat ne pourra plus acheter de produits en plastique à usage unique pour une utilisation sur les lieux de travail ou lors des événements qu'il organise.Information du consommateur sur les émissions de gaz à effets de serre liées à ses consommations internet et mobilesLes fournisseurs d'accès internet et opérateurs mobiles devront communiquer à leurs abonnés les émissions de gaz à effets de serre liées à leurs consommations internet et mobiles. Cette information permettra de sensibiliser les consommateurs à l'impact de leur consommation numérique sur l’environnement et le climat.EnergieGel des prix du gazLe gel des prix du gaz en 2022 est étendu aux entreprises locales de distribution (ELD). L’instauration de ce bouclier tarifaire vise à protéger le pouvoir d’achat des ménages face à la flambée de prix de l’énergie.Modification de la réglementation relative aux installations d'éoliennes terrestresDeux nouveaux arrêtés ministériels modifient la réglementation relative aux installations éoliennes terrestres à compter du 1er janvier 2022 en introduisant :un contrôle acoustique systématique à réception pour les parcs éoliens ;un nouveau critère d’appréciation de l’impact sur les radars Météo France ;la possibilité de réutiliser les postes de livraison, les câbles et les fondations en cas de renouvellement ;une augmentation du montant des garanties financières, cohérente avec l’évolution technologique de la filière.Logement et bâtimentLancement de France Rénov', le service public pour rénover son logementFrance Rénov' est le nouveau nom du service public de la rénovation de l'habitat piloté par l’ANAH. Les Espaces Conseil FAIRE et les Points rénovation information service de l'Anah (PRIS) deviennent les Espaces Conseil France Rénov' dès le 1er janvier 2022 le point d'entrée unique pour guider les Français dans leurs travaux de rénovation. Ce service de référence délivre des informations et conseils neutres, gratuits et indépendants. Il accompagne également les ménages tout au long de leur parcours à travers l'offre spécifique « Mon accompagnateur Rénov' ».Le réseau France Rénov' est présent sur l'ensemble du territoire avec près de 450 guichets et est disponible via la plateforme france-renov.gouv.fr et au 0808.800.700.Lancement d'Eco Energie Tertiaire pour déclarer des données bâtimentaires et de consommationÉco Énergie Tertiaire est une obligation réglementaire qui impose une réduction progressive de la consommation d’énergie dans les bâtiments à usage tertiaire (surface de 1.000 m² ou plus) afin de lutter contre le changement climatique. À partir du 1er janvier 2022, les assujettis doivent déclarer leurs données bâtimentaires et de consommation d’énergie sur la plateforme Operat (Observatoire de la performance énergétique de la rénovation et des actions du tertiaire) de l’Ademe.Possibilité de déposer un permis de construire par voie électroniqueÀ partir du 1er janvier 2022, les usagers pourront choisir de déposer leur permis de construire et plus largement leur demande d’autorisation d’urbanisme (déclaration préalable, permis d’aménager, permis de démolir…) par voie électronique pour la réalisation de leurs travaux (construction/extension, ravalement, clôture, abris de jardin, fenêtres, panneaux solaires, …). Pour accompagner cette transformation d’ampleur et l’ensemble des communes, l’État en concertation avec les associations d’élus (AMF et AdCF) déploie un vaste programme de transformation numérique de l’application du droit des sols, appelé Permis de construire en ligne. Jusqu’à présent, l’usager était dans l’obligation :soit d’envoyer son dossier papier en de multiples exemplaires par voie postale en recommandé avec accusé de réception,soit de se déplacer aux horaires d’ouverture du guichet en mairie.Le dépôt et l’instruction en ligne des demandes d’autorisation d’urbanisme répondent ainsi aux enjeux de simplification et de modernisation des services publics, à l’heure où la très grande majorité de services est accessible en ligne.Mise en application de la RE2020, nouvelle réglementation environnementale des bâtiments neufsLa réglementation environnementale des bâtiments neufs, appelée RE2020, va remplacer l'actuelle réglementation thermique, la RT2012. Elle s'appliquera aux maisons individuelles et logements collectifs pour lesquels le permis de construire est déposé à partir du 1er janvier 2022 et aux bâtiments de bureau et d'enseignement pour lesquels le permis de construire est déposé à partir du 1er juillet 2022.Les trois objectifs principaux poursuivis à travers la RE2020 sont :donner la priorité à la sobriété énergétique et à la décarbonation de l’énergie ;diminuer l’impact carbone de la construction des bâtiments ;en garantir le confort en cas de forte chaleur.Ainsi, en plus de renforcer les exigences en matière de performance énergétique des bâtiments neufs par rapport à la RT2012, la RE2020 améliore la prise en compte du confort d'été et introduit la dimension environnementale en établissant des exigences relatives à l'impact carbone du bâtiment sur son cycle de vie dès sa construction. Afin de fixer une trajectoire de réduction de l'impact environnemental de la construction de bâtiments, les exigences seront progressivement renforcées tous les trois ans jusqu’en 2031.Santé-environnementMise en application du nouveau règlement bio européenDe nouvelles règles vont s’appliquer au 1er janvier 2022 pour la production biologique. Elles sont inscrites dans le règlement de base adopté en 2018 qui définit les principes généraux et les règles principales de l’agriculture biologique. Ce nouveau règlement est complété par une quinzaine de textes réglementaires sur des sujets souvent techniques. Plusieurs changements importants entreront en vigueur au 1er janvier 2022 :de nouvelles catégories de semences disponibles pour l’agriculture biologique ont été définies pour offrir aux agriculteurs bio du matériel plus adapté à leurs besoins et au service de la biodiversité agricole ;un certain nombre de nouvelles mesures visant à augmenter le bien-être des animaux sont également à l’ordre du jour, comme par exemple l’interdiction de mutilations (ébecquage, taille des dents) ;des produits qui n'étaient pas couverts par le règlement européen pourront à l’avenir bénéficier du label bio : il s'agit notamment des animaux de ferme comme les lapins et les cervidés, des huiles essentielles, du sel, etc. ;le règlement contient enfin de nouvelles règles concernant l’utilisation d’arômes et d’additifs mais aussi les importations, faisant de la conformité au cahier des charges européen la règle d’échange avec les pays tiers.TransportsProposée par la Convention citoyenne pour le climat, la taxe sur la masse en ordre de marche (malus poids) entrera en vigueur au 1er janvier. Elle s’appliquera aux véhicules de tourisme neufs pesant plus de 1,8 tonne (1.800 kg), avec un tarif unitaire de 10 € par kilogramme excédentaire. Pour tenir compte de situations personnelles particulières (familles nombreuses, personnes invalides, etc.) d’une part ; des spécificités techniques liées aux véhicules les plus performants sur le plan environnemental (véhicules électriques, hydrogène ou hybrides rechargeables d’une autonomie suffisante) d’autre part, des abattements ou des exonérations, suivant les cas, ont été intégrés au dispositif. Les véhicules utilitaires, quant à eux, ne sont pas concernés par la taxe.Renforcement du malus lié aux émissions de CO2 des véhicules et prolongation du barème actuel du bonus pour aider à l’acquisition de véhicules propresA partir du 1er janvier 2022, un nouveau barème du malus sur les émissions de CO2 des automobiles s'appliquera aux véhicules neufs. Cette évolution avait été prévue dès fin 2020 par l'article 55 de la loi de finances pour 2021. Il s'appliquera à partir de de 128 grammes de CO2/km au lieu de 133 grammes de CO2/km en 2021. Pour ce niveau de pollution, la taxation sera de 50 €. Le seuil de 1000 € sera atteint dès 151 grammes de CO2/km (1.074 €), au lieu de 156 grammes de CO2/km en 2021. La dernière tranche du barème s'élèvera à 40.000 € pour les véhicules ayant un taux de CO2 supérieur à 223 grammes de CO2/km (au lieu de 30.000 € en 2021 pour les plus de 218 grammes de CO2/km).En contrepartie de ces évolutions, et dans un contexte de forte hausse récente des prix des carburants, le barème du bonus écologique, subventionnant l’acquisition de véhicules propres, qui devait initialement diminuer d’un montant de 1.000 € au 1er janvier 2022, est finalement maintenu à son niveau actuel pour une durée supplémentaire de 6 mois. Les particuliers pourront ainsi continuer de bénéficier au 1er janvier 2022, par exemple, d’une aide de 6.000€ pour l’acquisition d’une voiture électrique ou hydrogène neuve de moins de 45.000€.Risques industrielsObligation de tenue à jour d’un état des matières stockéesL’obligation de tenue à jour d’un état des matières stockées entre en vigueur pour les entrepôts de stockage de matières combustibles, de liquides inflammables, les installations de tri transit déchets et les installations Seveso. Cet état devra être disponible sous deux formats, le premier format destiné à être utilisé par les services de l’État pour la gestion d’un évènement accidentel, le second pour répondre aux besoins d’information de la population dans ce même cadre.Les arrêtés encadrant les sites de liquides inflammables classés à enregistrement ou à déclaration entrent également en vigueur, achevant ainsi la mise en œuvre du plan d’action sur le volet de la réglementation relative aux liquides inflammables.Pour les entrepôts à autorisation, c’est la disposition visant l’anticipation des premiers prélèvements environnementaux en cas d’accident qui entre en vigueur. Par ailleurs, pour les entrepôts dotés d’un plan d’opération interne, il devient obligatoire d’y définir les dispositions à mettre en œuvre pour le nettoyage et la remise en état du site, ainsi que l’organisation pour lutter contre un incendie de plus de 2 heures.
Il y a 3 ans et 175 jours

Passerelle sur la Scarpe, à Arras, signée Jean-François Blassel

La Passerelle sur la Scarpe, livrée à Arras (Pas-de-Calais) pour la Communauté Urbaine par l’architecte Jean-François Blassel, est le projet lauréat des Trophées Eiffel 2021 dans la Catégorie « Franchir ». Une structure optimisée avec le moins de matière possible. La création d’une voie pour piétons et cyclistes reliant différentes communes de l’agglomération d’Arras fournit […] L’article Passerelle sur la Scarpe, à Arras, signée Jean-François Blassel est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 176 jours

Aubervilliers : ouverture officielle du Point Fort

La ville d’Aubervilliers dispose d’un nouvel équipement culturel. Celui-ci est désormais opérationnel.
Il y a 3 ans et 176 jours

Près de Madrid, la "cathédrale" en matériaux de récup' bâtie par un ancien moine

Qualifié de "fou" au début de son entreprise, cet homme, qui a dû renoncer à sa vocation de moine à cause de la tuberculose, est mort en novembre 2021 à 96 ans.Bâtie sur un terrain vague à Mejorada del Campo, la "cathédrale de Justo", qui n'est pas reconnue comme un lieu de culte par les autorités religieuses, a aujourd'hui une superficie de 4.700m2, une nef centrale de 50 mètres de long et 20 m de large, une hauteur de 35 m et douze tours de style gothique ou byzantin.Justo Gallego y a consacré plus de la moitié de sa vie, utilisant des briques cassées, des pots de peinture ou des boîtes de conserve et avançant mètre après mètre, sans avoir de plan.Visitant les lieux après avoir reçu le prix Princesse des Asturies, le célèbre architecte britannique Norman Foster lui avait dit: "c'est à vous qu'on aurait du remettre ce prix", a raconté vendredi à l'AFP Juan Carlos Arroyo, ingénieur et architecte dont l'entreprise, Calter Ingeniería, étudie la solidité de la construction qui doit encore être régularisée.Trop affaibli pour travailler ces dernières années, Justo a cédé l'oeuvre de sa vie à l'organisation caritative des Messagers de la Paix du Père Angel, un religieux très connu et médiatique en Espagne, qui se chargera de terminer l'édification du temple."Dans le style Justo"Né en 1925 à Mejorada del Campo, dans une famille d'agriculteurs, il a commencé à bâtir ce temple dédiée à la "Vierge du Pilier" à l'âge de 27 ans après avoir dû quitter la vie monacale et être revenu dans son village.Clin d'oeil, elle se trouve dans la rue Antonio Gaudi (1852-1926), bâtisseur de la Sagrada Familia de Barcelone inachevée à sa mort et qui n'est toujours pas terminée.Un architecte que Justo dédaignait pour avoir voulu imiter la nature alors que lui avait pour unique volonté de construire un temple roman.Selon Juan Carlos Arroyo, la cathédrale de Mejorada del Campo serait plutôt "de style gothique en terme architectonique, en raison de sa finesse, de l'échelle de construction" mais elle est surtout "dans le style Justo"."La structure a supporté des évènements météorologiques importants tout au long de sa construction", ajoute-t-il, en se disant convaincu qu'elle ne nécessitera que "de petites interventions chirurgicales". Ce qui est surprenant, au vu des matériaux utilisés. "Aujourd'hui, le recyclage est à la mode, mais (Justo) l'a utilisé il y a 60 ans quand personne ne parlait de cela" et "il a créé une esthétique, une belle esthétique".Personnes dans le besoinLe Père Angel voudrait que la cathédrale de Justo soit un lieu ouvert à toutes les confessions mais aussi aux gens dans le besoin."J'ose dire qu'il y a trop de cathédrales et trop d'églises et que parfois nous avons surtout besoin qu'elles soient pleines", dit-il devant l'autel. "Cela ne sera pas une cathédrale à proprement parler mais un centre social où pourront venir les gens pour prier" ou s'ils "ont des difficultés"A l'intérieur du bâtiment, les volontaires travaillant sous la direction d'Angel López, qui aidait Justo Gallego depuis 24 ans, se mélangent aux visiteurs qui entrent et sortent. Comme Ramon Calvo, 74 ans, venu de Madrid avec ses anciens camarades de classe."Si les moyens, surtout économiques, sont mis, pour l'achever, cela sera un très beau temple. Et vu l'histoire qu'il a, il méritera d'être visité, comme nous sommes en train de le faire", dit-il, affirmant être "convaincu" que Justo Gallego avait reçu un "message" avant de se lancer dans une telle entreprise.
Il y a 3 ans et 176 jours

A Tours, Vinci et la métropole s'unissent pour transformer l'A10 en autoroute bas carbone

INFRASTRUCTURE. Vinci Autoroutes et la métropole tourangelle ont lancé une convention pour des mobilités plus durables autour de l'A10 traversant l'aire urbaine en son coeur. Au programme : des investissements multiples pour décarboner les transports et transformer l'axe et son utilisation.
Il y a 3 ans et 176 jours

La municipalité des Mureaux va bientôt lancer les travaux de réhabilitation de son centre-ville

D’ici quelques années, les habitations anciennes du centre-ville des Mureaux seront remises à neuf.
Il y a 3 ans et 176 jours

Deux associations de commerçants s'inquiètent de l'augmentation des loyers

L'indice des loyers commerciaux (ILC), sur lequel sont indexés les baux à leur date d'anniversaire ou en début d'année, a en effet augmenté de 3,46% au troisième trimestre, par rapport à la même période l'an dernier.L'indice est calculé en fonction de trois paramètres: l'évolution des prix à la consommation, celle des prix de la construction neuve et celle du chiffre d'affaires du commerce de détail, qui comprend aussi bien les ventes en magasin que sur internet. Dans un contexte d'inflation, l'ILC augmente donc logiquement.Mais dans le même temps, beaucoup de boutiques, en particulier dans certains secteurs comme l'habillement, sont confrontées à une baisse de la fréquentation et de leur chiffre d'affaires depuis le début de la crise sanitaire. Sur la période de janvier à novembre, l'activité des magasins du commerce spécialisé a chuté de 11% par rapport à 2019, estime Procos."Dans ces conditions, l'Alliance du Commerce et Procos demandent qu'une solution soit trouvée dans l'urgence avec les propriétaires bailleurs et l'Etat pour que les commerçants n'aient pas à supporter des hausses de loyer élevées en 2022", déclarent les deux fédérations dans un communiqué commun.Le mode de calcul de l'ILC est critiqué par de nombreuses associations de commerçants ainsi que par le Comité national des centres commerciaux (CNCC) qui représente les commerçants et les bailleurs. Ils lui reprochent notamment de prendre en compte le chiffre d'affaire de certains acteurs présents uniquement en ligne, comme Amazon."Le sujet a été évoqué pendant les Assises du Commerce, on ne sait pas s'il va être repris" par le gouvernement, a indiqué à l'AFP Gontran Thuring, délégué général du CNCC.En attendant, Procos et l'Alliance du Commerce demandent un gel de l'ILC "ou au moins un abattement important", souligne Emmanuel Le Roch, délégué général de Procos. Autrement, les fédérations craignent que le poids des loyers empêche les commerçants de faire des investissements nécessaires et qu'il ait des conséquences sur l'emploi voire mène à des fermetures de magasins.De son côté, le CNCC ne soutient pas cette proposition : "dans une conjoncture inflationniste généralisée, il n'y a pas de raison qu'un indice soit gelé et pas le reste", soutient Gontran Thuring.
Il y a 3 ans et 177 jours

Rhône : signature des conventions de Partenariat territorial

Le Département du Rhône soutiendra de nombreux projets dans le cadre du Partenariat territorial.
Il y a 3 ans et 177 jours

17e édition du concours photo AQC 2022 : l'image au service de la qualité dans le bâtiment

Avec un slogan fort, Éviter les désordres du bâtiment, apprendre par l'image !, les seize éditions précédentes témoignent de l'utilité de ces images au service de la qualité des bâtiments. Elles font écho à la mission de prévention qui est au cœur des actions de l'AQC. La catégorie étudiant y trouve tout son sens : de nombreux responsables pédagogiques ont bien compris son intérêt pour leurs étudiants en l'intégrant dans leurs programmes.Ainsi, plus de 4 000 photographies ont été́ envoyées à l'AQC depuis le lancement du concours en 2006.Pour participer, rien de plus simple grâce à la plateforme numérique dédiée. Il suffit de quelques minutes pour envoyer son dossier.Observez...Le focus doit être fait sur les désordres dans le bâtiment au sens large : qu'il soit d'usage collectif ou individuel, industriel ou tertiaire.Par l'image, l'AQC sensibilise au quotidien sur l'importance du respect des bonnes pratiques en matière de construction. Et quoi de plus pédagogique et facilement compréhensible qu'une image ? De la pathologie courante au sinistre exceptionnel, les désordres revêtent toutes sortes de formes.Photographiez…Comme chaque année, le jury récompensera les meilleures photographies sur des critères de sélection précis. Si le désordre doit être bien identifié visuellement, l'explication technique détaillée du défaut de construction ou d'usage du bâtiment devra venir appuyer la photographie soumise au jury.Les seules contraintes imposées aux participants consistent à photographier un bâtiment en exploitation (pas de bâtiment laissé à l'abandon), et situé sur le territoire national métropolitain ou ultramarin.Les photos récupérées sur Internet ou résultant de montages seront exclues de l'examen du jury.Et partagez !Lancée le 15 décembre 2021, la 17e édition du Concours Photo AQC 2022 se clôturera le 31 mars 2022.Une plateforme numérique, dédiée au concours, permet aux candidats de s'inscrire très rapidement à partir d'un ordinateur, d'un smartphone ou d'une tablette.Les formulaires de participation sont à̀ renseigner en ligne, en joignant le(s) fichier(s) numérique(s) en haute résolution des photos, ainsi qu'un texte détaillé́ expliquant la (les) cause(s) du désordre et le lieu de prise de vue. Le règlement du concours et l'autorisation d'exploitation doivent également être renseignés et acceptés en ligne.La plateforme est accessible jusqu'au 31 mars 2022 minuit.Les participants concourent dans l'une des 2 catégories suivantes :Catégorie Générale : professionnels de la construction ou particuliers ;Catégorie Étudiant : étudiants, lycéens, apprentis.Chaque candidat est libre d'envoyer une ou plusieurs images, le nombre de photos n'est pas limité.Gagnez de nombreux prix en cartes cadeaux et une exposition à la clé !Le jury, composé de professionnels de la construction, distinguera, dans chaque catégorie, un premier et un deuxième prix et, éventuellement, un « Prix Spécial » du même montant que les 2e prix de chaque catégorie.Catégorie Générale :1er prix : d'une valeur de 1 000 € TTC2e prix : d'une valeur de 500 € TTCCatégorie Étudiant :1er prix : d'une valeur de 500 € TTC2e prix : d'une valeur de 250 € TTCLes photos gagnantes et une douzaine de photos distinguées de chaque catégorie seront exposées au 24e Rendez-vous Qualité Construction, le 16 juin 2022, à Paris, et mises en ligne sur le site Internet de l'AQC avec les photos des éditions précédentes.
Il y a 3 ans et 177 jours

L'agence qualité construction (AQC) publie le rapport Réversibilité des bâtiments

Destiné à tous les professionnels, ce rapport s'accompagne de la plaquette Réversibilité des bâtiments – Bonnes pratiques qui synthétise de manière pédagogique les principaux points sensibles relevés dans le rapport.Ces documents sont téléchargeables sur le site Internet de l'AQC.Au regard des enjeux environnementaux du domaine de la construction et de l'évolution des usages urbains, de plus en plus de programmes immobiliers envisagent la réversibilité de leurs bâtiments. Un des exemples les plus emblématiques est le village des athlètes des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024 : il accueillera des logements pour les sportifs pendant les compétitions avant de laisser place en phase héritage à un quartier durable avec des bureaux, des logements, des commerces et des équipements publics. Une étude menée sur la base d'une analyse bibliographique et d'enquêtes auprès de professionnels déjà parties prenantes d'opérations réversibles a permis de tirer de nombreux enseignements. Parmi les points majeurs :les réglementations (acoustique, sécurité incendie, accessibilité…) ne sont pas les mêmes selon la destination de l'ouvrage, ce qui peut représenter un frein. Pour garantir la réversibilité d'un bâtiment, il est donc important de prendre des mesures conservatoires afin d'assurer une mise à niveau ultérieure possible,le caractère innovant de la construction de bâtiments réversibles implique de procéder à une réorganisation des rôles et des méthodes de travail pour se prémunir de non-qualités,il est essentiel d'étudier les assemblages des éléments constitutifs du bâtiment en veillant à l'indépendance des couches et systèmes (trame de bâtiment, démontabilité, systèmes constructifs poteaux poutres…).Enfin, le rapport insiste également sur l'importance d'avoir une documentation qualitative, précise et exploitable pendant toute la durée de vie du bâtiment et sur le risque de chevauchement de responsabilités et garanties.Cette étude a été réalisée par l'AQC, accompagnée par Ville Aménagement Durable (VAD), avec le soutien du ministère de la Transition écologique.
Il y a 3 ans et 177 jours

L’équipe de France du BTP débarque pour les WorldSkills 2024

La FFB et la FNTP ont créé l’équipe de France du BTP pour la compétition des métiers WorldSkills. [©FFB] La FFB et la FNTP ont créé l’équipe de France du BTP pour la compétition des métiers WorldSkills. Cette 47e édition se tiendra à Lyon, en septembre 2024. Plus de 1 600 compétiteurs de 80 pays différents s’affronteront autour de 65 métiers, dont 16 du BTP. Ces fédérations ont décidé de s’investir dans ce tournoi international pour mettre en lumière les jeunes talents du secteur. Mais avant de partir à la conquête du monde, il faut trouver les pépites qui représenteront le pays. Pour cela, des milliers de jeunes participeront à des compétitions au niveau national dès 2022. Les meilleurs seront alors intégrés dans cette équipe de France du BTP. De quoi montrer l’engagement et la polyvalence de la jeunesse française à travers cette compétition. L’équipe de France du BTP bien encadrée « Nos métiers forment chaque jour des jeunes, qui ont courage, talent et ambition, explique Olivier Salleron, président de la FFB. Ces fers de lance de la profession méritent d’être portés tels des champions. Ensemble, révélons la richesse de nos métiers, montrons au monde entier le savoir-faire de nos compagnons ! » Une chose est sûre, les WorldSkills ne seront pas de tout repos. Lire aussi : RE 2020 : La FFB lance la web-série “Réunion de chantier” Et qui de mieux pour coacher la crème de la crème que Christophe Urios, ancien joueur de rugby et actuel directeur sportif de l’Union Bordeaux Bègles. La FFB et la FNTP mettent donc les moyens pour exceller sur le plan international. Mais ce n’est pas tout ! Les fédérations ont constitué dans chaque région de France un réseau de chefs d’entreprise. Ce dernier a pour objectif de porter le “projet WorldSkills” partout sur le territoire. Une campagne de communication a aussi été mise en place pour sensibiliser les jeunes à ces “jeux olympiques des métiers”. Allez les bleus !
Il y a 3 ans et 177 jours

Une plongée sous les ponts de Paris, pour la sécurité

Depuis 2015, le Cerema (Centre d'études et d'expertise sur les risques, l'environnement, la mobilité et l'aménagement) est chargé des inspections subaquatiques des 37 ponts qui enjambent la Seine à Paris.On n'y pense pas forcément, mais "un pont a des parties en dessous de l'eau, il faut aller regarder régulièrement si des désordres apparaissent", explique Pascal Berteaud, directeur général du Cerema.Sur un cycle de six ans, les 37 ponts parisiens, dont certains sont plusieurs fois centenaires, sont ainsi passés au crible par des plongeurs spécialistes de la "pathologie des ouvrages d'art".Après le cycle qui vient de s'achever, "notre conclusion générale est un bon état général de la partie immergée, compte tenu de leur âge", assure Cécile Maurel, directrice du département risques, infrastructures et matériaux du Cerema en Ile-de-France.Le nouveau cycle commence, avec une dizaine de ponts ciblés pour cette première année, dont le pont des Invalides, construit au milieu du XIXe siècle.Sous l'eau, avec une visibilité limitée, deux plongeurs : l'un filme, et l'autre examine les 5 mètres de bâti sous le niveau de l'eau, relié par un câble de communication au troisième de l'équipe en surface, à qui il décrit tout ce qu'il voit.Sur les images filmées il y a quelques jours, Cécile Maurel décrit des "fissures sur une pierre", évoque des "joints lessivés" par le temps, des parties de fondations "en bois", qui ne pourrissent pas parce qu'elles restent toujours immergées. Une "maçonnerie disloquée n'a pas forcément un caractère d'urgence", assure l'experte. Tout dépend de sa place dans la structure.Après les inspections, le Cerema fait des recommandations à la mairie, définissant les degrés d'urgence des éventuels travaux à réaliser."Il y a un enjeu de sécurité des ouvrages comme pour l'ensemble des infrastructures de la ville de Paris. Les ponts font, en plus, partie de l'âme parisienne", commente David Belliard, adjoint à la maire de Paris, qui souligne l'importance de l'entretien de ces "joyaux du patrimoine parisien".En cas de fissures, des "témoins" peuvent être mis en place pour surveiller l'évolution, et des inspections supplémentaires programmées.Il n'y a "pas de signe d'inquiétude ou de risque de rupture brutale, mais il faut assurer un suivi", explique Ambroise Dufayet, responsable des ouvrages d'art à la mairie de Paris.Selon une mission sénatoriale mise en place après l'effondrement meurtrier du viaduc italien de Gênes en 2018, "au moins 25.000 ponts" français "sont en mauvais état structurel", sur les 200.000 à 250.000 ouvrages que compte le pays. Le nombre exact n'est pas connu.
Il y a 3 ans et 177 jours

Pau : poursuite des travaux de réfection de voirie dans le quartier du 14-Juillet

À Pau, l’avenue des Vallées et la rue du Colonel-Gloxin sont en cours de réaménagement.