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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Urbanisme - Aménagement

(35885 résultats)
Il y a 3 ans et 184 jours

Colas combine les innovations sur un chantier de Lyon

ROUTE. Le groupe Colas a profité d'un chantier de réaménagement de voirie pour conjuguer l'utilisation de plusieurs innovations. Il y déploie également sa solution de marquage au sol lumineux et dynamique Flowell, en expérimentant un type de franchissement nouveau.
Il y a 3 ans et 184 jours

Lancement de “La Construction. Demain s’invente avec nous”

Affiche promotionnelle du CCA-BTP pour “La Construction. Demain s’invente avec nous”. [©CCA-BTP] Les professionnels de la construction partent en campagne auprès des jeunes, en lançant “La Construction. Demain s’invente avec nous”. Ceci, pour promouvoir la richesse et la diversité́ des métiers du BTP, et l’apprentissage pour s’y former. Pilotée par le CCCA-BTP, cette campagne se déploiera jusqu’au mois de juin 2022. Son but ? Susciter de nouvelles vocations auprès des jeunes en quête d’orientation, « futures forces vives du secteur de la construction ». Un casting de jeunes pour partager la fierté de leurs métiers Venus de toute la France, six jeunes professionnels du bâtiment et des travaux publics ont été retenus parmi les 200 candidats ayant participé à l’appel à candidatures de “La Construction. Demain s’invente avec nous” pour être les ambassadeurs de la campagne : Antoine : couvreur, apprenti, formé à BTP CFA Gironde, Benjamin : maçon, salarié, formé chez les Compagnons du devoir et du Tour de France,Callum : monteur de réseaux électriques, salarié, formé au CFCTP d’Egletons, Dinis : menuisier aluminium-verre, apprenti, formé à BTP CFA Gironde, Justine : carreleuse-mosaïste, salariée, formée à BTP CFA Vendée,Sébastien : installateur thermique, chef d’entreprise, formé à BTP CFA Antibes. Tous ont moins de 30 ans. Leur point commun : l’envie de partager la passion et la fierté d’exercer leur métier au quotidien et d’en montrer toute la diversité ! Six films publicitaires, mais pas que… La campagne s’appuie aussi sur six films promotionnels, d’une durée de 30 s, qui mettent chacun en scène un métier. Trois vagues de deux semaines sont organisées pour leur diffusion en télévision sur les chaînes 6ter, C8, CStar, L’Equipe, NRJ12, TFX et W9. Le dispositif est complété par un plan média digital sur les moteurs de recherche et les réseaux sociaux. De plus, le site Internet “laconstruction.fr” propose de nombreux contenus. Avec, en particulier un moteur de recherche des formations en apprentissage aux métiers du BTP sur l’ensemble du territoire. Et un formulaire d’inscription, en lien avec l’opération de recrutement du CCCA-BTP “Boost apprentissage BTP”, des fiches métiers. Ou encore des vidéos de témoignages de professionnels. Par ailleurs, Construction City est disponible sur site. C’est un quizz qui fait découvrir la diversité des métiers aux jeunes de façon interactive et ludique.   Enfin, un kit de communication de tous les supports de la campagne (affiches, flyer, fiches métiers, bannières Internet…) est de plus mis à disposition de tous les organismes de formation aux métiers du BTP et prescripteurs de l’orientation et de l’emploi. Et ce, pour relayer les informations.
Il y a 3 ans et 185 jours

Paris choisit Engie et la RATP pour tripler son réseau de froid

Un chiffre d'affaires prévisionnel de 2,4 milliards d'euros est annoncé pour la durée du contrat.Cette concession couvrira la production, le stockage, le transport et la distribution d'énergie frigorifique.Le réseau sera en outre étendu de 158 km et à tous les arrondissements, offrant "une alternative durable à la climatisation traditionnelle", dans le cadre de la démarche de décarbonation et d'adaptation au changement climatique de Paris, souligne le communiqué.Premier réseau de froid d'Europe, il fournit aujourd'hui près de 440 gigawatts-heure (GWh) par an de froid à plus de 780 bâtiments via 93 kilomètres de réseaux. En vingt ans, il passera de 10 à 30 centrales de production, et de 4 à 14 installations de stockage.Opéré depuis 1991 par Climespace, filiale à 100% d'Engie, l'équipement était destiné initialement à climatiser des bâtiments tertiaires (sites culturels, surfaces commerciales).Les nouvelles infrastructures rafraîchiront également hôpitaux, crèches, écoles, EHPAD, etc., soit plus de 300 bâtiments supplémentaires à vocation sanitaire, afin de protéger "les populations les plus fragiles, dans un contexte de réchauffement climatique".Le service s'adressera également aux commerces de proximité, aux établissements recevant du public et à quelques logements.Le réseau de froid de la Ville de Paris est alimenté avec 100% d'électricité renouvelable depuis 2013 et neutre en carbone depuis 2018, indique-t-on de même source.Sur ces vingt ans, les signataires prévoient toujours 100% d'électricité renouvelable, produite en France dont près de 70% par quatre nouveaux parcs solaires dédiés.Selon eux, cette solution représente 20% de consommation énergétique en moins par rapport à de la climatisation traditionnelle et une efficacité accrue via "des processus innovants" : utilisation renforcée de l'eau de la Seine en hiver, intelligence artificielle, matériaux et fluides frigorigènes plus vertueux pour l'environnement.Quelque 130.000 mètres cubes d'eau seront en outre économisés chaque année avec la collecte des eaux d'infiltration.Engie, qui se présente comme le premier opérateur de réseaux de froid dans le monde, s'associe au groupe RATP via sa filiale RATP Solutions Ville, experte en réseaux souterrains, qui permettra de transformer certains espaces en centrales de production et de stockage de froid.
Il y a 3 ans et 185 jours

Conception évolutive d’un bâti pour une modularité des espaces et des besoins

Aujourd’hui, la modularité a plusieurs enjeux sociétaux (taille des logements), économiques (de plus en plus de locaux sont non adaptés aux besoins) et environnementaux  (RE2020, durée de vie des bâtiments)…   Avec : Julien Herbert, Responsable de projet prévention construction à l’AQC Nicolas Emin, Chargé de mission « Ville et Aménagement durable » Cet article Conception évolutive d’un bâti pour une modularité des espaces et des besoins est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 185 jours

Dans le métavers, le marché immobilier a la cote

Cette semaine, l'entreprise Republic Realm, basée à New York, a annoncé avoir dépensé la somme record de 4,3 millions de dollars pour l'achat d'un terrain sur The Sandbox, une plateforme donnant accès à un monde virtuel où les participants peuvent discuter, jouer et même participer à des concerts.Sur le site concurrent Decentraland, la société canadienne Tokens.com, spécialisée dans les cryptomonnaies, avait déboursé 2,4 millions de dollars en novembre pour un achat immobilier.Quelques jours auparavant, la Barbade, un petit pays des Caraïbes, avait dit vouloir établir une ambassade dans le métavers, ce réseau d'espaces virtuels interconnectés, parfois décrit comme l'avenir d'internet.L'intérêt pour le métavers (contraction de méta et univers) a grimpé en flèche depuis octobre après la décision de Facebook de faire de cette idée son nouveau projet d'entreprise, le groupe allant jusqu'à renommer sa maison mère "Meta".Ce tournant stratégique a "fait découvrir le terme à des millions de gens bien plus rapidement que j'aurais pu l'imaginer", reconnaît Cathy Hackl, consultante tech pour des entreprises souhaitant entrer dans le métavers.Selon la base de données sur les cryptomonnaies Dapp, plus de 100 millions de dollars ont été dépensés lors de la semaine écoulée pour des achats immobiliers sur les quatre principaux sites du métavers que sont The Sandbox, Decentraland, CryptoVoxels et Somnium Space.Pour Mme Hackl, l'explosion du marché, qui fait interagir propriétaires, locataires et développeurs fonciers, n'est pas une surprise."On essaye de traduire dans le monde virtuel ce qu'on sait faire avec les biens physiques", indique-t-elle à l'AFP."5e Avenue" du métaversS'il faudra du temps avant que ces sites ne soient de vrais métavers, permettant aux utilisateurs d'explorer des mondes parallèles via des casques de réalité virtuelle, les terrains numériques fonctionnent déjà comme des actifs financiers, à l'instar de biens fonciers, explique Mme Hackl."On peut construire dessus, les louer ou les vendre", affirme-t-elle.Tokens.com a acquis une parcelle de choix sur Decentraland dans le quartier de Fashion Street que la plateforme veut transformer en destination pour les magasins virtuels des groupes de luxe."Si je n'avais pas fait de recherches et compris qu'il s'agit de propriétés de grande valeur, ça paraîtrait complètement fou", admet le patron de Tokens.com, Andrew Kiguel.Kiguel a travaillé pendant 20 ans comme banquier d'investissement dans le secteur de l'immobilier. Selon lui, les terrains virtuels représentent une opportunité semblable aux biens du monde réel: ils se situent dans un quartier en vogue très fréquenté."Ce sont des lieux pour la publicité et les événements où les gens vont se rassembler", explique-t-il, mentionnant un récent festival musical qui a attiré 50.000 visiteurs sur Decentraland.Les marques de luxe s'aventurent déjà dans le métavers: un sac à main Gucci s'est vendu sur la plateforme Roblox plus cher que sa version physique. M. Kiguel espère que Fashion Street deviendra l'équivalent de la 5e Avenue à New York.Quant à savoir comment dégager des revenus, "ça peut être aussi simple que de posséder un panneau publicitaire ou aussi complexe que d'avoir une boutique avec un vrai salarié", explique-t-il."On pourrait rentrer avec son avatar, regarder des modèles en 3D d'une chaussure qu'on pourrait tenir entre ses mains et poser des questions."Second Life 2.0Dès 2006, une promotrice immobilière avait fait parler d'elle après avoir vendu un terrain pour 1 million de dollars dans le monde virtuel de Second Life, site précurseur du métavers.Second Life est toujours en activité, mais les partisans de ses rivaux plus récents soulignent une différence majeure.Sur Decentraland, tous les achats, qu'il s'agisse d'immobilier ou d'oeuvres d'art virtuelles, se font via des jetons non fongibles (NFT).Certains internautes ont dépensé des dizaines de milliers de dollars pour ces objets numériques, le concept suscitant enthousiasme et scepticisme.M. Kiguel pense que la propriété numérique va devenir courante dans les prochaines années grâce à la technologie de la chaîne de blocs ("blockchain"), qui garantit la sécurité et la transparence des transactions."Je peux voir l'historique des propriétaires, ce que ça a coûté et comment c'est passé d'une personne à une autre", détaille-t-il.L'investissement comporte toutefois des risques, à commencer par la volatilité des cryptomonnaies utilisées pour acheter les NFT.Par ailleurs, si les concerts virtuels sur Roblox ou Fortnite ont attiré des dizaines de millions de curieux, la rareté des données sur le métavers suggère que la fréquentation de sites comme Decentraland est loin derrière celui de réseaux sociaux établis comme Facebook ou Instagram.La valeur des investissements immobiliers dans le métavers dépendra du nombre de personnes se rendant sur ces plateformes."Je sais que ça a l'air un peu absurde", reconnaît M. Kiguel. "Mais il y a une vision derrière tout ça."
Il y a 3 ans et 185 jours

La métropole de Lyon débloque plus de 2,3 millions d'euros pour la Guillotière

TRAVAUX. Alors qu'une concertation a été lancée au premier semestre 2021 pour améliorer les espaces publics du quartier de la Guillotière, la métropole de Lyon annonce débloquer 2,3 millions d'euros pour les premiers travaux qui devraient intervenir en 2022.
Il y a 3 ans et 185 jours

Crise des matières premières : Le gouvernement annonce de nouvelles mesures

Le gouvernement présente de nouvelles mesures face à la crise des matières premières. [©ACPresse] La crise des matières premières et des approvisionnements persiste… Après avoir réuni les différents représentants de filières industrielles, dont celle du bâtiment, Bruno Le Maire, ministre de l’Economie, Elisabeth Borne, ministre du Travail, et Agnès Pannier-Runacher, ministre déléguée chargée de l’Industrie annoncent de nouvelles mesures. « La reprise économique est forte et puissante. C’est la raison pour laquelle aujourd’hui nos entreprises industrielles font face à des difficultés d’approvisionnement. Notamment de matières premières et de composants électroniques. Nous apportons à ces entreprises une réponse de court terme. En particulier avec le lancement du prêt pour l’industrie, qui sera un prêt de long terme pouvant être remboursé sur 10 ans au maximum », explique Bruno Le Maire. Lire aussi :Le Synad alerte à nouveau sur les pénuries de matières premières Et de poursuivre : « Mais nous nous attachons aussi, avec le président de la République, à apporter une réponse de long terme. Cette réponse, c’est la construction de notre indépendance. C’est l’investissement massif dans les technologies d’avenir. C’est la localisation de nouvelles chaînes de valeur en France et en Europe. C’est enfin, la consolidation de nos filières industrielles traditionnelles comme le bois. » Lire aussi :Les matériaux biosourcés : Une alternative durable aux pénuries De plus, le gouvernement prévoit la prolongation de l’octroi du Prêt garanti par l’Etat, de fin décembre 2021 à fin juin 2022. Mais aussi, du dispositif des avances remboursables et de prêts à taux bonifiés (jusqu’à juin 2022) et un assouplissement de ses conditions d’octroi. L’Etat rappelle le renforcement de l’accompagnement des entreprises et les missions de conseils déployées par BPI France. Prolongation du prêt garanti par l’Etat et activité partielle Par ailleurs, les entreprises concernées peuvent demander auprès de leur service gestionnaire, des facilités de paiement. L’activité partielle est de nouveau mise sur la table. « J’invite toutes les entreprises, dont l’activité est ralentie par les tensions sur les approvisionnements à se tourner vers l’activité partielle de longue durée. Cela permet d’en bénéficier avec un reste à charge de 15 %. Près de 14 000 entreprises ont, d’ores et déjà, conclu des accords de ce type. Protégeant ainsi plus de 1,3 M de salariés. Ce dispositif permet aux entreprises de faire face à une baisse conjoncturelle de leur activité pendant deux ans, tout en conservant leurs salariés », déclare Elisabeth Borne. Lire aussi :Economie : Quand la reprise se heurte à la crise des matières premières Et Agnès Pannier-Runacher, de conclure : « Les tensions qui affectent l’industrie démontrent l’importance du travail que nous menons main dans la main avec France industrie, depuis le début de l’année 2021. Et avec aussi l’ensemble des filières industrielles. Leurs remontées de terrain sont primordiales pour détecter les signaux faibles et répondre à chaque situation. Ce travail collectif s’est matérialisé par des cellules de crise par type d’approvisionnement. Aux côtés des industriels, l’Etat a activé tous les leviers à sa disposition pour fluidifier la circulation des biens. Dans le prolongement de ces travaux, nous adaptons les mesures d’accompagnement pour protéger l’emploi et répondre aux difficultés de trésorerie des entreprises. »
Il y a 3 ans et 185 jours

A Strasbourg, Rabot Dutilleul rénove la cité administrative

CONTRAT. Rabot Dutilleul Construction a débuté un vaste chantier mêlant réhabilitation de bâtiments historiques en site occupé et la réalisation deux immeubles neufs pour accueillir des agents des services de l'Etat dans la métropole strasbourgeoise.
Il y a 3 ans et 185 jours

A Avignon, un parc relais en superstructure monté en 6 mois grâce à la préfabrication

CHANTIER EN IMAGES. Alors qu'Avignon déploie ses lignes de tramways et oriente les automobilistes vers des mobilités douces, la ville lance des chantiers de parkings relais. Après une première infrastructure, une deuxième en superstructure est en train de voir le jour dans le quartier de Saint-Chamand.
Il y a 3 ans et 185 jours

Les députés offrent aux collectivités le pouvoir de sanction pour faire respecter l'encadrement des loyers

Dans le cadre de l'examen du projet de loi dit "3DS" relatif à la décentralisation et à la différenciation, l'Assemblée a voté mardi soir des amendements de la majorité pour déléguer ce pouvoir de sanction actuellement entre les mains de l'Etat via les préfets.Il est "cohérent" que les collectivités qui se sont saisies de ce nouvel outil soient "en capacité de faire respecter elles-mêmes les règles", a appuyé la ministre du Logement, Emmanuelle Wargon."Pour que ça marche, il faut qu'il puisse y avoir des sanctions" et que cela soit décidé "au plus près du terrain", a abondé le communiste Stéphane Peu qui avait défendu un amendement quasi-similaire."Pour nous, c'est une urgence capitale", a souligné la députée socialiste Lamia El Aaraje rappelant les chiffres de l'Observatoire de l'encadrement des loyers à Paris, évalués par la Fondation Abbé Pierre avec le soutien de la Ville.Ils ont révélé en novembre qu'entre 2020 et 2021, 35% des logements parisiens proposés à la location dépassaient les plafonds prévus par la loi.La compétence de sanction n'est "pas suffisamment appliquée", a poursuivi la députée parisienne.Le co-rapporteur du projet de loi 3DS Mickaël Nogal a précisé que 10 amendes administratives avaient été dressées depuis 2019 par la préfecture d'Ile-de-France, saisie de 98 dossiers."La grande majorité a été classée du fait de la conciliation" entre propriétaires et locataires via la commission départementale, a-t-il précisé.Les députés ont souligné l'importance d'un meilleur accompagnement des citoyens "pour permettre de favoriser cet accès au droit".Saluant cette nouvelle délégation de compétences, Mme El Aaraje a regretté qu'elle ne s'accompagne pas "de compensations financières" puisque si la collectivité mettra l'amende et les moyens afférents, c'est l'Etat qui en récupèrera le montant.L'amendement voté permettra de "sortir de cette situation d'impunité dans laquelle un bon tiers des propriétaires se permet de dépasser l'encadrement des loyers sans que rien ne leur arrive", a réagi auprès de l'AFP Ian Brossat, adjoint au logement de la maire PS de Paris Anne Hidalgo. Pour l'élu communiste, les dépassements représentent en moyenne "environ 200 euros par mois, c'est considérable".Se félicitant d'une "très belle avancée", M. Brossat souligne le peu d'amendes dressées. Selon lui "pour que la peur du gendarme fonctionne, il faut quand même quelques amendes".Une fois la procédure législative achevée, le maire adjoint entend faire voter "en 2022 une délibération qui permettra de récupérer cette compétence et dans la foulée de mettre en place des équipes chargées d'effectuer ces contrôles".
Il y a 3 ans et 185 jours

La génération 50-70 ans et le logement senior : des attentes fortes mais des choix tardifs et mal éclairés

Cette nouvelle étude démontre que la demande des seniors à l’égard du logement se structure autour de quatre attentes majeures : un besoin d’autonomie, une préoccupation pour la santé et le bien-être, un environnement à taille humaine ainsi que l’importance du lien social. Et si des solutions adaptées de logement existent pour les seniors, peu s’en préoccupent à temps.Stéphane Martin, Associé Conseil Immobilier, Deloitte France : « Il est frappant de constater que les attentes de deux populations qu’une génération sépare convergent en matière de logement. Comme les 20-30 ans, les 50-70 ans recherchent une dimension humaine, dans des villes de taille moyenne, et plébiscitent la mixité intergénérationnelle et sociale. Tout comme les jeunes, les seniors doivent encore trop souvent renoncer, faute d’offre, à une partie de leurs souhaits ; un défi pour les professionnels de l’immobilier. »Subis, des choix tardifs et mal éclairésL’étude révèle que le choix de logement senior est souvent précipité et mal éclairé. En moyenne, seulement quatre mois séparent la prise de décision de l’arrivée en résidence seniors. Ce chiffre s’explique par le caractère soudain des événements qui conduisent à la prise de décision (perte d’autonomie, décès du conjoint ou maladie) et par la méconnaissance de l’offre.42% des répondants estiment ne pas avoir une bonne connaissance des différentes solutions de logement à destination des seniors et des aides financières auxquelles ils peuvent avoir accès.Le rêve du maintien à domicile est confronté aux réalités du vieillissement (santé, dépendance) : seuls 12% se projettent dans une résidence seniors et 23% envisagent de déménager dans un logement plus adapté quand 62% souhaitent rester chez eux en apportant des aménagements.Une demande de logement senior qui évolue autour de quatre attentes majeuresLes seniors interrogés pour l’étude placent la question du maintien de l’autonomie comme un enjeu majeur. Ils souhaitent massivement rester dans un logement ordinaire et sans service, que ce soit le leur (62%) ou un autre logement plus adapté (23%).Ils estiment par ailleurs que la solution de logement doit répondre aux problématiques de santé et aux fragilités liées au vieillissement. La proximité avec les services de santé est ainsi un critère majeur dans le choix du logement aux côtés de celui de la proximité avec les commerces de centre-ville et celui de la proximité avec la famille. La disponibilité de services médicaux est considérée comme un critère pertinent dans le choix de résidence seniors.Les seniors interrogés plébiscitent également des environnements à taille humaine. Ils privilégient les villes petites ou moyennes mais ne souhaitent pas pour autant vivre dans un village, par peur d’être isolés et éloignés des commerces et des services médicaux. De plus, ceux qui souhaitent se tourner vers des structures de logement collectif choisissent des résidences de petite capacité.Enfin, l’importance du lien social est un enjeu majeur pour les seniors. La majorité des répondants souhaite vivre en communauté. Ils sont même plus nombreux à privilégier l’appartement en copropriété plutôt que la maison isolée. Ce critère a été renforcé par la crise Covid-19 qui a aggravé la fragilité du lien social.Des solutions de logements neufs adaptées aux besoins spécifiques des seniorsPour répondre aux enjeux du vieillissement de la société, les promoteurs immobiliers se projettent dans une offre neuve adaptée aux besoins et aspirations des seniors. Afin de satisfaire le besoin d’autonomie, les logements neufs doivent être évolutifs pour pouvoir s’accorder à tous les âges de la vie (modification de la répartition des espaces facilitée, conception de rangements accessibles à tous, installation d’équipements utiles aux seniors).Par ailleurs, pour garantir le maintien du lien social, il est essentiel que le logement senior soit situé en ville et accessible (ascenseurs, accès sans marches ni ressauts, etc.). Le maintien du lien social passe aussi par la mise à disposition d’un espace commun afin d’organiser la vie sociale de la résidence ou de la copropriété. Les structures proposant mixité et échanges entre les générations sont également envisagées comme un levier pour maintenir le lien social, et garantir un modèle économique viable. A ce titre, 55% des seniors interrogés sont favorables à une formule de logement intergénérationnel.Pascal Boulanger, président de la FPI : « Les promoteurs immobiliers se saisissent de l’enjeu lié au vieillissement de la population française. Ils pensent la production de logement senior à travers le prisme de la fragilité liée à l’âge. Dans cette optique, l’offre de résidences de services pour les seniors est un levier pertinent qui permet un bon compromis entre intimité et partage et entre autonomie et accompagnement. »
Il y a 3 ans et 185 jours

Châtel-Guyon : un nouvel espace de loisirs aux Grosliers

À Châtel-Guyon, le nouvel espace de loisirs comprend une aire de jeux pour enfants et un terrain de pétanque.
Il y a 3 ans et 185 jours

Montreuil adhère au Pacte Bois-Biosourcés

Face aux enjeux climatiques, Montreuil est engagée dans la généralisation de solutions de constructions bas carbone dans la logique des accords de Paris, de celle de sa Charte pour la construction d’une ville résiliente mais aussi des dispositions réglementaires de son PLUi. Cette attention constante passe par une politique d’achats responsables en regardant les alternatives à l’emploi de matériaux de construction fortement émetteurs de CO2 tels le béton ou l’acier. La majorité municipale vient de voter en faveur de l’adhésion à l’association FIBOIS qui porte en Île-de-France le Pacte Bois-Biosourcés. Montreuil s’engage à viser le niveau argent de ce pacte, c’est-à-dire à garantir qu’un minimum de 20 % des surfaces planchers construites ou rénovées le soient à partir d’approvisionnement en bois issus à 30 % de forêts françaises, gérées durablement. Elle incitera à ces pratiques vertueuses les promoteurs désireux d’intervenir pour des projets d’aménagement de plus de 2 000 m2, en intégrant ces critères aux préconisations relatives aux bâtiments, à l’isolation, aux matériaux de second œuvre et aux façades pour sa Charte de la construction durable modifiée récemment. La ville a déjà mis en œuvre ces engagements lors de la construction des 5 600 m2 du groupe scolaire Marceau composé notamment de 300 tonnes de matériaux bois et bio sourcés réduisant d’autant l’emploi de béton, métal, verre et dérivés plastiques mais aussi lors de la construction de la nouvelle école Marie-et-Louis-Odru dont la troisième phase s’est achevé à l’été 2021.  
Il y a 3 ans et 186 jours

Interview de Rofaïda Lahrech, ingénieure chercheuse, directrice de projet au CSTB

Le CSTB a pour ambition d’imaginer la ville de demain en sécurisant la construction, la rénovation durable tout en améliorant la qualité de vie des occupants. Ici Rofaïda Lahrech expose le projet « Rénostandard » qui a pour objectif de faire émerger des offres de rénovation globale pour répondre aux enjeux de massification. Pour mettre en place le projet, différents outils ont été utilisés comme le diagnostic transverse permettant la collecte d’informations et permettant une amélioration du confort. Avec : Rofaïda Lahrech, Ingénieure chercheuse, directrice de projet – CSTB Toutes les vidéos de BePositive 2021
Il y a 3 ans et 186 jours

Energie dans le bâtiment : quelle place pour les réseaux de chaleur et les EnRR ?

Le moteur de calcul de la RE 2020 dévalorise l’eau chaude solaire. La future réglementation est d’une complexité inouïe et comporte encore des bugs. … En France les besoins de chaleur représentent 80% des besoins énergétiques, la chaleur renouvelable a un potentiel énorme…   Avec : Véra Drouhet, Chargée de missions ENR, ALEC Lyon / Richard Loyen, Délégué Général, ENERPLAN / Olivier Morgand, Chef de projets énergie, Métropole de Lyon Toutes les vidéos de BePositive 2021
Il y a 3 ans et 186 jours

L’État passe de 254 à 400 millions d'euros son aide aux écoles de Marseille

"Nous avions d'ores et déjà inscrit 254 millions d'euros d'autorisations d'engagements dans le projet de loi de finance 2022, tout comme la garantie d'emprunts pour 650 millions d'euros", a rappelé le chef du gouvernement mardi matin, aux côtés du maire socialiste de Marseille, Benoît Payan, au second jour de sa visite dans la cité phocéenne pour le suivi de la mise en oeuvre du plan "Marseille en grand" annoncé par le président Macron le 2 septembre."Nous monterons par différents canaux jusqu'à 400 millions d'euros le soutien de l'Etat à ce plan, qu'il nous faut maintenant démarrer de manière énergique, rapide et visible pour les parents, les enfants, et les enseignants", a ajouté le Premier ministre. Selon les services de Matignon, ces aides supplémentaires seront versées via l'ANRU, l'agence nationale pour la rénovation urbaine, ou des dotations à la politique de la ville, notamment."400 millions d'euros c'est inédit", a réagi le maire de Marseille, en notant "l'engagement historique de l'Etat qui va mobiliser 400 millions d'euros de subventions et garantir plus de 650 millions d'euros d'emprunts sur les 800 millions d'euros que mobilisera la ville": "Je veux saluer la réponse, le défi que vient de relever l'Etat", a insisté Benoît Payan.M. Castex a fait cette annonce mardi matin à l'école Ahmed-Litim, cette école d'un quartier très populaire de la cité phocéenne anciennement appelée école Bugeaud, un officier français ayant exercé en Algérie, et tout récemment rebaptisée du nom d'un tirailleur algérien."Cela fait six ans que les enfants sont dans des préfabriqués ici", a précisé le maire de Marseille, lors de sa présentation de l'établissement au Premier ministre et au ministre de l'Education nationale, Jean-Michel Blanquer: "Rien que dans ce quartier, trois écoles sont dans des préfabriqués, pour certaines depuis plus de dix ans", a-t-il expliqué.Le Premier ministre et le maire de Marseille ont également acté mardi la création d'une société publique locale d'aménagement d'intérêt national (SPLAI-N) détenue à parts égales par la ville et l'Etat, qui sera chargée de piloter ce programme de rénovation et de veiller à sa bonne exécution.Les services du Premier ministre ont précisé à l'AFP que ces aides n'étaient pas conditionnées à la participation des écoles concernées au projet d'"écoles laboratoires" annoncé par le chef de l'Etat dans son plan pour Marseille.Selon le Premier ministre, "les équipes pédagogiques de 58 écoles de Marseille ont déjà fait le choix de s'engager dans cette expérimentation pédagogique".
Il y a 3 ans et 186 jours

« Je préfère largement la durabilité à la soif névrotique et aveugle de croissance »

Tom Benoit, philosophe et essayiste, est l’auteur de plusieurs ouvrages dont le prochain à paraître en début d’année est Aphorismes sur l’architecture. Ce consultant et chroniqueur en architecture nous partage sa vision de l'urbanisme dans Marseille, sa ville natale et de résidence.
Il y a 3 ans et 186 jours

Tour Triangle : Lancement de travaux préparatoires avant le début du chantier courant janvier

Plus tôt dans la journée, le maire (LR) du XVe arrondissement Philippe Goujon, opposé au projet, avait indiqué sur son compte Twitter que "malgré l'opposition résolue des habitants, des associations environnementales et de la mairie du XVe arrondissement, les travaux de la tour Triangle commencent : un mastodonte énergivore de 15.000 tonnes de béton, imposé par Anne Hidalgo, qui ne répond à aucun besoin".Il avait accompagné son tweet de deux photos montrant une pelleteuse à l'oeuvre sur le site, en train de déblayer des gravats.Malgré l’opposition résolue des habitants, des associations environnementales et de la Mairie du 15e arrondissement, les travaux de la #TourTriangle commencent : un mastodonte énergivore de 15 000 tonnes de béton, imposée par @Anne_Hidalgo, qui ne répond à aucun besoin. pic.twitter.com/NAHbm0Dgoh— Philippe Goujon (@Philippe_Goujon) December 10, 2021Contacté par l'AFP, Unibail-Rodamco-Westfield a indiqué qu'"il s'agitssait à ce stade de travaux préparatoires de déblaiement et de sondage. Le chantier de la construction de la tour Triangle - en tant que tel - devrait commencer courant janvier".La justice a ouvert en juin une enquête préliminaire pour "favoritisme" autour de la concession sur laquelle doit être bâtie cette tour, qui suscite depuis des années de vives contestations.Le projet à quelque 700 millions d'euros - selon des estimations qui ont circulé dans la presse - prévoit une tour de 180 mètres de haut et 42 étages qui sera érigée dans l'enceinte du Parc des expositions de la porte de Versailles. Elle hébergera notamment un hôtel quatre étoiles, plus de 2.000 mètres carrés d'espace de travail partagé ("coworking"), un centre de santé et un espace culturel.
Il y a 3 ans et 186 jours

L'économie mondiale peut-elle être impactée par les déboires du géant chinois de l'immobilier Evergrande ?

La Chine ralentit déjàLocomotive de la croissance mondiale, la Chine a déjà vu son moteur se gripper depuis plusieurs mois, poussant l'OCDE a abaisser début décembre ses prévisions de croissance dans le pays cette année et l'an prochain, à 8,1% et 5,1%, dans le sillage du FMI en octobre.Davantage que les difficultés rencontrées dans son secteur immobilier qui représente environ un quart de son PIB, c'est en raison de l'impact de la pandémie sur l'économie et les actuelles difficultés d'approvisionnement que Pékin connaît ce coup de mou.S'agissant de la pierre, "les événements récents ont mis en évidence les risques persistants sur le marché immobilier chinois, avec de potentiels effets importants entre secteurs et au-delà des frontières", s'est inquiété début décembre l'OCDE, remarquant "l'affaiblissement de l'investissement immobilier, un important moteur de croissance".Il faut dire que certains chiffres liés à Evergrande donnent le vertige : son ardoise de 260 milliards d'euros, ses 200.000 employés (3,8 millions en comptant les emplois indirects), le défaut sur des emprunts totalisant 1,2 milliard de dollars officialisé jeudi par l'agence de notation Fitch...Le risque de contagion est encore mesuréDans son rapport sur la stabilité financière publié en novembre, la Banque centrale américaine (Fed) s'est inquiétée du fait que les déboires d'Evergrande puissent poser des risques pour l'économie mondiale, déjà soumise au spectre du ralentissement après une forte reprise cette année, sur fond de reprise épidémique et d'inflation élevée.Mais pour l'heure, l'économie mondiale semble épargnée par un effet de contagion et une crise d'envergure."Le ralentissement de l'immobilier en Chine sera important mais contenu, en raison du faible stock de logements invendus, de la possibilité d'assouplir les politiques publiques, de l'urbanisation et de la croissance significative des revenus", estime le cabinet Oxford Economics dans des prévisions économiques de novembre.Le cabinet a toutefois établi deux scénarios de crise, l'un où la croissance mondiale se verrait amputée de 0,7% à l'horizon de fin d'année prochaine si les déboires immobiliers chinois devaient ressembler à ceux de la période 2014-2015 dans le pays, et l'autre où le PIB mondial chuterait de 1,6 point fin 2022 si ce trou d'air ressemblait à la crise immobilière américaine ou espagnole des années 2000.L'un des enjeux importants de la crise actuelle est l'engagement des autorités chinoises, et les récentes prises de positions ont apaisé les craintes d'incendie. Lundi la banque centrale a abaissé le taux de réserve obligatoire des banques, et le même jour le bureau politique du Parti communiste chinois (PCC) a affirmé son soutien au secteur immobilier."La pression concernant un ralentissement chinois est très grande, il ne serait pas rationnel d'adopter des contraintes trop fortes de désendettement" sur les acteurs de l'immobilier, souligne Xiaodong Bao, gérant de portefeuille pour Edmont de Rothschild AM, en référence aux fortes contraintes réglementaires imposées par Pékin depuis l'an dernier pour assainir ce secteur.Économiste spécialiste de l'Asie-Pacifique pour le cabinet Euler Hermes, Françoise Huang anticipe qu'"on risque de continuer à avoir des défauts mais leur impact devrait être contenu pour que le ralentissement économique chinois ne soit pas excessivement inquiétant pour le reste du monde".Un certain nombre de mesures d'apaisement prises par les autorités chinoises depuis l'automne ont selon elle déjà eu un effet positif sur les prêts accordés par les banques et les ventes de logements réalisées, ainsi que sur les niveaux de taux d'intérêts, apportant "un coussin au choc économique" actuel.Les marchés financiers mondiaux sont restés de leur côté relativement épargnés après l'annonce officielle du défaut de paiement d'Evergrande par Fitch, et ont été assez peu ébranlés depuis les débuts des déboires d'Evergrande, en dehors d'une volatilité accrue sur certains secteurs.Les taux d'intérêt sur la dette chinoise jugée à risque ("high yield") ont toutefois connu un certain emballement ces dernières semaines et ont encore progressé jeudi.
Il y a 3 ans et 186 jours

Parenthèse automnale, à La Défense comme à Nankin …

Une promenade urbaine à La Défense. Un regard, un questionnement sur l’identité des quartiers d’affaires, leur rapport à la ville et à son identité. Aurélien Chen révèle des évidences. Coïncidences ? Chronique-photos. En ce froid matin de novembre, je me rends à La Défense pour un reportage photo. En sortant du métro je me retrouve dans […] L’article Parenthèse automnale, à La Défense comme à Nankin … est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 186 jours

Petites lignes ferroviaires : une première réouverture symbolique dans les Vosges

RÉSEAU FERRÉ. Fermée durant trois ans, la ligne ferroviaire entre Épinal et Saint-Dié-des-Vosges a pu rouvrir le 12 décembre 2021. Le fruit de la première convention signée entre l'Etat, SNCF Réseau et une région, Grand Est ici, pour réinvestir dans les lignes de desserte fine du territoire.
Il y a 3 ans et 186 jours

Une plage de piscine en bois Kebony

Le bois des lames de terrasse Kebony Clear sur fixation invisible par Grad© s'associe à la fois au grès cérame en bandes qui entoure la piscine et s'imbrique avec les lames de la terrasse, aux lignes paysagères des espaces verts, et à l'allure contemporaine de la maison d'architecte. La terrasse en bois Kebony joue le rôle de fil conducteur entre tous ces éléments grâce à ses lignes épurées, son coloris patiné, son absence de nœuds, sa pose sans vis apparentes et sa garantie de 30 ans, autant de critères qui ont séduit les propriétaires ainsi que l'architecte en charge du projet paysager.Que ce soit sur ses caractéristiques techniques ou esthétiques, le bois Kebony correspondait intégralement au projet architectural de cette maison située à moins de 500 mètres de la mer. Ses lignes verticales de bois et de zinc résonnent avec la patine grise du bois de la terrasse, lequel résiste bien aux embruns et ne nécessite pas d'entretien particulier. Les lames Burger Grad sont idéales pour un environnement humide, comme c'est le cas ici avec la piscine. Le système de pose permet quant à lui une ventilation idéale. La terrasse est entourée de pierres natureles qui facilitent l'entretien de la pelouse sans abimer les lames, et permettent de profiter de la terrasse et du gazon sans discontinuité de niveau. Enfin, un fond végétal exotique a été réalisé. Cet espace, de jour comme de nuit, est accentué par le calepinage, les lignes des lames de Kebony et de grès cérame, créant une perspective graphique depuis la maison.Technologie KebonyLa technologie Kebony est un processus de production breveté qui permet d'améliorer les propriétés des bois résineux pour leur conférer des caractéristiques comparables à celles des bois exotiques. Grâce à un procédé respectueux de l'environnement, les bois sont imprégnés d'un liquide biologique provenant de déchets de cultures agricoles. En chauffant le bois, les polymères furfuryliques sont imprégnés dans les parois cellulaires du bois, ce qui augmente sa durabilité et sa stabilité dimensionnelle, sans pour autant sacrifier son esthétique.
Il y a 3 ans et 186 jours

L'Etat passe de 254 à 400 M€ son aide aux écoles de Marseille

Le Premier ministre Jean Castex a annoncé mardi 14 décembre à Marseille l'augmentation de 254 à 400 millions d'euros la participation de l'Etat au plan de rénovation de 174 écoles vétustes de la seconde ville de France, plan évalué à 1,2 milliard d'euros au total.
Il y a 3 ans et 186 jours

Covivio s’engage pour la diminution de ses émissions de gaz à effet de serre

Pour Christophe Kullmann, Directeur Général, Covivio : « Le développement durable fait partie intégrante de l’ADN et de la stratégie de Covivio depuis plus de 10 ans et nos performances RSE sont largement saluées par les agences de notation extra-financière. Face à des enjeux environnementaux et climatiques toujours plus cruciaux, nous mettons en œuvre une trajectoire carbone ambitieuse, qui a pour objectif de faire de Covivio une référence en matière d’immobilier bas carbone. »Covivio a très tôt initié une démarche volontariste de réduction de son empreinte carbone. Dès 2018, une 1ère trajectoire, compatible avec le scénario 2°C de l’Accord de Paris, avait été approuvée par l’initiative Science Based Target (SBTi). A fin 2020, Covivio avait déjà diminué ses émissions de -20% par rapport à 2010. En avance sur ses objectifs, l’entreprise accélère sa transition et relève le niveau de ses ambitions pour atteindre -40% de réduction des émissions de gaz à effet de serre d’ici 2030 (objectif précédemment fixé à -34%).Cet objectif, qui concerne l’ensemble des scopes 1, 2 et 3, couvre l’intégralité des activités de Covivio en Europe (bureaux, résidentiel, hôtels) et la totalité du cycle de vie des actifs : matériaux, construction, restructuration et exploitation. De surcroît, Covivio vise le Net Zero Carbon dès 2030 sur ses scopes 1 et 2.Pour Jean-Eric Fournier, Directeur du Développement Durable, Covivio : « Cette trajectoire carbone repose sur un plan d’actions pertinent intégrant l’ensemble des scopes : nous avons mis un point d’honneur à ce qu’elle englobe tous nos pays d’implantation et tous nos produits, et prenne en compte la partie construction et matériaux. Nous allons utiliser tous les leviers possibles afin de relever les défis que nous nous sommes fixés. »Comment atteindre ces objectifs ?Privilégier la rénovation et lutter contre l’étalement urbain : aujourd’hui, plus de 50% des nouvelles opérations de Covivio portent sur des restructurations d’immeubles existants, avec un objectif de « zéro artificialisation nette », voire de désartificialisation, pour favoriser la biodiversité, séquestrer du carbone, et lutter contre l’effet d’ilot de chaleur urbain (100% des nouveaux projets bureaux bénéficient d’espaces verts). En couplant la réutilisation du bâti, et l’économie circulaire, l’utilisation de matériaux durables et l’installation d’équipements performants pour une gestion efficiente des bâtiments, les émissions de gaz à effet de serre sont réduites sur tout le cycle de vie de l’actif.S’engager pour la construction bas-carbone à l’échelle européenne : Covivio a fait rédiger par le CSTB un cahier des charges ACV (Analyse du Cycle de Vie) qui permet de favoriser la démarche de construction bas carbone au sein du groupe, en s’appuyant sur l’expérience française de réalisations labellisées BBCA. L’immeuble Thaïs à Levallois-Perret a ainsi été le premier immeuble Covivio labelisé, dès 2017. Fiabiliser la mesure de l’empreinte carbone des opérations est une étape clé qui permettra d’atteindre la trajectoire 1,5°C.Se doter de nouveaux outils : deux outils développés en 2020 avec le concours du CSTB permettent de suivre les performances réelles du portefeuille par rapport à la trajectoire 2°C. Le premier porte sur la construction et la rénovation, sous la forme d’une « ACV Express » qui permet de mesurer les impacts du choix des matériaux et techniques constructives sur le bilan carbone d’une opération, en phase amont du projet. Le second couvre la phase exploitation et permet de calculer l’impact financier et carbone des actions d’efficacité énergétique conduites sur le portefeuille.Promouvoir le recours aux énergies renouvelables : Covivio installe des équipements adaptés sur les projets de développement (photovoltaïque, géothermie, etc.) et vise d’ici 2030 un approvisionnement en électricité renouvelable pour 100% de ses actifs tertiaires directement gérés (61% à fin 2020), en plus de sensibiliser ses locataires à cet enjeu pour les parties privatives.Avec une politique d’achats responsables déployée à partir de 2011 auprès de ses fournisseurs et une stratégie partenariale forte avec ses locataires, Covivio mobilise l’ensemble de la chaîne d’acteurs pour réussir, ensemble, la transition climatique.Enfin, en s’impliquant dans des initiatives telles que l’Alliance HQE-GBC, BBCA, SEKOYA ou le Hub des Prescripteurs bas carbone, Covivio renforce son expertise en matière de construction et de gestion bas carbone, lui permettant de conforter sa vision à 10 ans.Applications concrètes sur le développement de nos projetsStream Building – Paris 17ème :Un immeuble de 15 700 m² sur 8 étages avec bureaux, hôtel, commerces et un rooftop Un projet réversible conçu pour un écosystème constructif recyclable et durableUne architecture signée PCA-Stream et en co-promotion avec HinesoUn immeuble référence en matière d’innovations environnementale :Une construction bois/béton, qui optimise son empreinte carbone et soutient les filières économiques localesUn volume de bois de 3 500 m3 permettant de stocker environ 3 500 tonnes de CO2Un coût énergétique pour l’ensemble de son cycle de vie inférieur à tous les autres matériaux de construction : 2 fois inférieur au béton, 5 fois inférieur au ciment et 130 fois inférieur à l’acier500 m² de panneaux photovoltaïques en toiture, à haute efficacité, permettant de produire environ 60MWh d’électricité par anTerrasse et murs végétalisésLabels et certifications : BBCA, Effinergie+, HQE tertiaire Exceptionnel, BREEAM Excellent, CPEDD, E+C-Noème – Bordeaux Lac :Redéveloppement de l’ancien siège d’IBM en un quartier urbain de 45 000 m²Une mixité d’usages résidentiels répartie en 6 îlots aux modes d’habitats différents (700 logements) : résidence service seniors, résidence de coliving et logements familiauxPlus de 33 000 m² d’espaces paysagers : 60% d’espaces extérieurs et 40% en pleine terre > reconquête des espaces après déconstruction de l’existant et plantation de 240 arbresAmplification de la biodiversité : plantes indigènes, valorisation des déchets verts, compost, ruches…Un projet aux modes constructifs vertueux : béton décarbonné sur l’ensemble du quartier, constructions mixte bois, espaces extérieurs ou bardage en bois, construction en terre crueRéemploi des matériaux de la démolition dans les futures constructionsRecours à des matériaux biosourcés et géosourcés : isolant de façade en fibre de bois, cloisons intérieures du socle actif en brique de terre crue, façades en Mur à Ossature Bois…Matérialité en circuit court : cheminements collectifs en granit du Tarn, terrasses collectives en cale bordelaise, parvis des commerces en grès de Gascogne, terrasses privatives platelage bois, pin des LandesAu-delà de la trajectoire carbone, la stratégie RSE de Covivio dans son ensemble est reconnue par les principales agences de notation, accédez ici au dernier communiqué de presse.
Il y a 3 ans et 186 jours

Saint-Raphaël : l’Office de la mer et du nautisme est en place

La municipalité de Saint-Raphaël a mis en place un organe consultatif qui se concentrera sur les actions de valorisation du territoire maritime communal.
Il y a 3 ans et 186 jours

GA Smart Building fait évoluer son activité de promotion immobilière

Acteur engagé de l’immobilier et de la construction GA Smart Building fait évoluer son activité de promotion immobilière pour mieux répondre aux enjeux de la ville de demain. Il sera co-dirigé par Nathalie Chapuis, promue Directrice de l’Innovation Urbaine et des Grands Projets, et par David Rozenberg, qui rejoint GA Smart Building en qualité de Directeur du Pôle Développement Promotion Île-de-France. David Rozenberg a pour mission le sourcing de nouvelles opérations auprès des élus, des sociétés d’économie mixte ou de son réseau professionnel, quand Nathalie Chapuis prend la responsabilité de la réflexion stratégique sur le positionnement, la programmation et le montage des développements immobiliers complexes de GA Smart Building. Ensemble, ils ont pour objectif de développer des projets durables et intelligents à même d’avoir un impact positif sur l’environnement, la ville et la vie.
Il y a 3 ans et 186 jours

Un rempart de brique pour 185 logements sur les quais du Canal de l'Ourcq, par Chartier-Dalix

À Pantin, sur le quai de l'Aisne, l'immeuble en gradins de Chartier-Dalix se dresse face à la passerelle, tandis que les lignes chahutées de ses façades se reflètent sur l'eau du canal. Derrière l'ensemble de briques brunes érigé sur les bords du canal de l'Ourcq à Pantin par Chartier-Dalix, le cœur […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 187 jours

Energies renouvelables : un nouvel amendement renforce le rôle des collectivités

LOI. La Fédération nationale des collectivités concédantes et régies (FNCCR) s'est réjouie de l'adoption de cet amendement. Celui-ci va permettre aux projets de s'ancrer plus localement dans le paysage socio-économique.
Il y a 3 ans et 187 jours

Le contournement ouvert, Strasbourg pense sa mobilité d’après

Longtemps serpent de mer, l’autoroute de contournement de Strasbourg par l’ouest signée Vinci a été inaugurée le 11 décembre. L’enjeu consiste désormais à réussir le report partiel de trafic de l’ancienne autoroute longeant la ville et de faire de cette voie, désormais sous gestion de la métropole, un maillon de l’alternative à l’autosolisme.
Il y a 3 ans et 187 jours

Plastor :12ème édition Trophée de la Vitrification – Les plus beaux chantiers en vitrification parquet 2020

Mettre en lumière le savoir-faire, la qualité du travail réalisé et les méthodes utilisées par les parqueteurs, tel est l’objectif des Trophées de la Vitrification Plastor. À travers cette récompense, Plastor distingue, parmi les chantiers réalisés en cours d’année, les plus remarquables en termes de finition à la fois sur le plan technique et décoratif. Cette 12ème édition permet de valoriser le savoirfaire de ces professionnels et la qualité du travail accompli avec les produits Plastor. Les lauréats récompensés pour cette 12ème édition sont : -1er Prix : Les lodges du Zoo de la Flèche (72), réalisés par l’Entreprise Yannick Barrault (72). – 2ème Prix : Le gymnase de Saint-Éloi à Poitiers (86), réalisé par l’Entreprise Les Sens du Bois (50). – 3ème Prix ex-aequo : L’Auberge du Vieux Château (29), réalisée par l’Entreprise Potin Patrice (29), -3ème Prix ex-aequo : La salle de spectacle de Vic-sur-Seille (57), réalisée par l’Entreprise Les créations d’Olivier (57). 1ER PRIX : Les lodges du Zoo de la Flèche (72) Entreprise Yannick Barrault (72) Yannick BARRAULT Gérant de l’entreprise  « J’ai travaillé dans une entreprise avant de créer ma société à Villaines-sous-Malicorne en novembre 2015. Je prends en charge aussi bien la pose que le ponçage et la vitrification en restauration, les réparations de lames cassées… En somme, tout ce qui concerne le parquet. La plupart de mes chantiers s’effectue dans des résidences de particuliers mais j’oeuvre parfois pour des communes. Je m’adapte à tout type de configuration. Le Zoo de la Flèche cherchait un parqueteur avec une préférence pour une entreprise locale. Nous avons entamé une collaboration qui se poursuit aujourd’hui. Je suis intervenu dans une dizaine d’hébergements situés dans le zoo et loués à la nuit. Ces lodges offrent une vue imprenable sur les animaux du zoo. Leur surface varie entre 20- 30 et 60-70 m2. Il peut s’agir de pose comme de rénovation et les chantiers durent de deux à 3 semaines. La cohabitation avec les autres corps de métier s’est toujours très bien passée. J’ai principalement posé du sapin et rénové du contrecollé chêne dans tous les types de pièces : chambres, espaces salle à manger, cuisine, salon, parfois salle de bains. J’ai utilisé l’huile AQUANAT® effet brut de Plastor après la pose pour parfaire l’aspect et la longévité du parquet.J’ai principalement posé du sapin et rénové du contrecollé chêne dans tous les types de pièces : chambres, espaces salle à manger, cuisine, salon, parfois salle de bains. J’ai utilisé l’huile AQUANAT® effet brut de Plastor après la pose pour parfaire l’aspect et la longévité du parquet. Il y a 2 ans et demi environ, un commercial de chez Plastor m’a approché. Comme la communication était excellente, j’ai voulu essayer. L’échange a été si fructueux que je suis devenu fidèle à Plastor. Au fil du temps, on se connaît mieux et les produits me donnent entière satisfaction. » 2ÈME PRIX : Le Gymnase Saint-Eloi Poitiers (86) Entreprise Les Sens du Bois (50) Nicolas TAVARES et Franck JEUFFRAULT Gérants de l’entreprise « La société Les Sens du Bois existe depuis 2009. Nous sommes deux gérants, trois salariés et nous réalisons exclusivement des rénovations de parquet. Nous intervenons sur des chantiers parfois très petits chez des particuliers comme sur d’immenses surfaces, ce qui fut le cas pour le téléphérique de Brest (3 500 m2). Au début, nous travaillions beaucoup en sous-traitance pour d’autres corps d’état mais aujourd’hui, de plus en plus, on nous contacte directement. Nous avons obtenu le chantier du gymnase Saint-Eloi en répondant à un appel d’offre de la ville de Poitiers pour une rénovation de ses parquets sportifs. Les travaux ont duré deux semaines en juillet 2020, pendant les congés des scolaires et des clubs. Les 5 membres de l’équipe étaient mobilisés. On n’a absolument pas eu à cohabiter avec d’autres corps de métier, car il s’agissait uniquement de restaurer le plateau sportif, soit 1 265 m2 d’un parquet Junckers en hêtre 2 frises. C’est un bois assez dur déjà densifié. Pour le ravoir, il faut l’attaquer assez fort aux grains 24 ou 36. Visuellement, l’ensemble semblait assez propre mais des zones de grisaillement commençaient à apparaître et certaines lames nécessitaient des réparations. En sous-couche, nous avons utilisé un PRIM’SO (primaire sans odeur) puis deux couches de PUR-T® Sport satin Plastor. Les tracés au sol ont constitué la spécificité de ce chantier, avec notamment un logo dont la forme était très délicate à réaliser. Cette pièce majeure au centre du parquet nous a pris 4 jours de travail car il fallait une coulure sèche, puis mettre le second pochoir pour la seconde coulure et ainsi de suite. Cette nouveauté nous a permis de découvrir les peintures de traçage Plastor qui semblent avoir une très bonne tenue. Nous avons également dû respecter les normes anti-glissance et choisir des vernis adaptés aux salles de sport. Nous travaillons avec Plastor depuis 2009 et en sommes très contents pour l’instant. » 3ÈME PRIX EX-AEQUO : L’Auberge Le Vieux Château à La Roche-Maurice (29) Entreprise Potin Patrice (29) Patrice POTIN Gérant de l’entreprise Partenaire Plastor depuis de nombreuses années Patrice POTIN, gérant de la société spécialisée dans la rénovation et la vitrification de parquets, a utilisé les produits Plastor pour réaliser les finitions de ce projet. «J’ai exercé mon métier durant 8 ans dans une entreprise avant de lancer mon affaire en 1998. J’effectue seul des travaux de pose et de ponçage de parquet bois, principalement en rénovation et chez des particuliers, même s’il peut m’arriver d’oeuvrer dans des espaces administratifs ou des salles de sport. Ce chantier de rénovation m’a été proposé par le maître d’oeuvre. L’Auberge du Vieux Château se trouve dans le village de La Roche-Maurice, au pied d’un château en ruine, près de Landernau, dans le Finistère nord. Les propriétaires voulaient refaire entièrement leur salle de restauration : plafond, murs, fenêtres, tout en gardant le parquet existant. Je suis donc passé le premier pour protéger le sol des dégâts éventuels liés à l’intervention des autres corps de métier. Quelques semaines plus tard, j’ai effectué la rénovation du parquet à proprement parler. L’ensemble des travaux a duré entre 4 et 5 semaines. L’Auberge a rouvert en mars 2020 et a dû fermer à cause de la Covid-19 deux jours plus tard seulement. La rénovation concernait une salle de réception avec un parquet en chêne sur 200 m2. Pour une salle de restaurant qui accueillait aussi des thés dansants depuis plusieurs décennies, il y avait étonnamment peu de rayures mais le bois avaitété décoloré par la lumière du soleil et de la lune. Mon intervention a pris une bonne semaine au cours de laquelle il a fallu aménager le temps et l’espace car certains corps de métier terminaient des finitions. Sur une surface aussi vaste, il faut veiller à limiter les reprises en calculant bien les temps de séchage. J’ai poncé l’ensemble plusieurs fois à la machine (50,80 puis 100), utilisé la sous-couche PRIM’SO et enfin appliqué le vitrificateur PUR-T®3 DUO Plastor. Plastor m’a toujours accompagné, y compris chez mon employeur avant la création de mon entreprise. J’apprécie aussi bien la qualité des produits que les relations avec les conseillers, toujours disponibles, à l’écoute et sympathiques. » 3ÈME PRIX EX-AEQUO : La salle de spectacle de Vic-sur-Seille (57) Entreprise Les créations d’Olivier (57) Lukas OLIVIER Gérant de l’entreprise « J’ai travaillé avec mon père pendant 15 ans. Lorsqu’il a cessé son activité, il y a 7 ans, j’ai repris l’entreprise et embauché un salarié. Nous sommes donc deux à effectuer toutes les opérations sur mesure concernant le bois massif : entretien, pose, rénovation. Nous intervenons plutôt sur des chantiers privés, si bien que la salle de spectacle de Vic-sur-Seille est une exception. On m’a invité à répondre à un appel d’offres que j’ai remporté. Il s’agissait de coursives en hêtre sur une surface de 240 m2 : une circulation de 40 m2 à l’étage et deux fois 100 m2 (25 x 4 de large) dont les parquets existants étaient très abîmés. Ce projet comportait deux contraintes majeures : il a fallu composer avec des maçons qui travaillaient la pierre ainsi que des peintres, et le chantier était très peu chauffé ce qui a donné lieu à quelques soucis de dilatation, d’autant que les travaux se sont déroulés tout le mois de janvier. Nous avons commencé par un ponçage très fort avec un grain à 40 et une fois que le parquet a été propre, nous sommes montés petit à petit jusqu’aux finitions au grain 120.  Nous avons utilisé le colmateur de fond de Plastor puis vitrifié avec deux couches de vernis PUR-T®3 DUO adapté aux forts passages. Ce vernis est idéal pour les salles de spectacles à trafic intensif et pour les essences très dures comme le hêtre. Au préalable, j’avais demandé conseil à un expert Plastor en décrivant précisément le projet. Nous avons toujours travaillé avec Plastor, depuis au moins 30 ans : les produits sont impeccables, nos relations avec les conseillers ont toujours été au top et le service technique est super. »
Il y a 3 ans et 187 jours

Corruption au sein d'un bailleur social de Martigues : des personnes mises en examen

JUSTICE. Cinq personnes dont des employés d'un bailleur social ont été mises en examen en Provence, a annoncé le parquet de Marseille. Le maire de la ville concernée s'est dit "soulagé".
Il y a 3 ans et 187 jours

Snohetta sculpte un meuble de coworking à Tokyo

À Pantin, sur le quai de l'Aisne, l'immeuble en gradins de Chartier-Dalix se dresse face à la passerelle, tandis que les lignes chahutées de ses façades se reflètent sur l'eau du canal. Derrière l'ensemble de briques brunes érigé sur les bords du canal de l'Ourcq à Pantin par Chartier-Dalix, le cœur […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 187 jours

Edilians renforce son activité solaire et se développe à l’international

Edilians, leader français de la tuile terre cuite, a initié une nouvelle stratégie afin de positionner l’entreprise comme créateur de solutions de toitures innovantes en faveur d’un habitat éco-responsable et durable. Cette orientation se concrétise aujourd’hui par l’entrée en négociation exclusive avec l’IRFTS, basé à Bron (69), pour l’achat de son activité solaire en toiture et par l’acquisition de la société TEJAS BORJA, un des leaders espagnols de la tuile en terre cuite et spécialiste de la céramique sérigraphiée. DES ORIENTATIONS STRATÉGIQUES CLAIRES Dans un contexte normatif et environnemental dans lequel le toit devient essentiel aux performances de l’habitat, Edilians entend en faire un élément fondamental et durable de l’enveloppe du bâtiment : • grâce au développement de technologies destinées à augmenter sa tenue dans le temps (systèmes de ventilation, crochets, …), • en favorisant la récupération des eaux de pluie, • et en la rendant à énergie positive par l’intégration de systèmes solaires pour produire de l’électricité et d’éléments fonctionnels (de type isolation). C’est la raison pour laquelle, aujourd’hui, avec un maillage de 15 usines, dont 14 sur le territoire français, majoritairement tournées sur la production de tuiles terre cuite, Edilians souhaite renforcer les axes que sont le solaire, l’isolation, l’étanchéité et la collecte des eaux pluviales. Ceci lui permettra de disposer d’une offre systèmes complète au service de l’éco-habitat afin de développer et pérenniser l’activité de l’entreprise. Pour y parvenir, Edilians renforce non seulement son ancrage local mais poursuit aussi sa stratégie d’innovation afin de se positionner comme un acteur incontournable de la toiture éco-responsable et durable. UNE MONTÉE EN PUISSANCE DE L’ACTIVITÉ SOLAIRE Pionnier sur le marché des tuiles photovoltaïques, Edilians développe depuis plus de 20 ans des produits solaires sur son site de Villefranche-sur-Saône (69) pour ses clients couvreurs qui respectent l’authenticité et la couleur des toitures tout en conservant la facilité de pose. Avec l’entrée en négociation exclusive avec l’IRFTS pour l’achat de son activité solaire en toiture (technologies, brevets et systèmes), Edilians renforcera son engagement sur ce marché. En plus d’enrichir sa gamme pour répondre à tous les besoins, cette acquisition lui donnera la possibilité d’anticiper les évolutions normatives, technologiques et environnementales tout en continuant à accompagner la présence de ses partenaires couvreurs sur ce métier. RENFORCEMENT DU MAILLAGE EUROPÉEN Après avoir repris en 2019 la société portugaise Umbelino Monteiro, fabricant de tuiles terre cuite, Edilians renforce son assise dans la péninsule ibérique avec le rachat de l’entreprise espagnole TEJAS BORJA effectif le 1er décembre 2021. Implantée près de Valence, elle produit, depuis plus de 100 ans, des tuiles terre cuite et dispose d’une grande maîtrise de la sérigraphie grâce à la technologie d’impression par jet d’encre. Très présente à l’export (dans plus de 60 pays) à travers des produits de grande qualité, elle a réalisé un chiffre d’affaires en 2020 de près de 30 M€ et emploie 230 salariés. L’expertise de TEJAS BORJA dans la sérigraphie représente une opportunité complémentaire pour Edilians afin de toujours mieux répondre aux tendances architecturales et plus particulièrement en termes de personnalisation et de reproduction de l’esthétique des toitures régionales. Attaché à l’ancrage local et aux territoires ainsi qu’au savoir-faire historique de cette entité, Edilians conservera, comme pour toutes ses implantations industrielles, la marque TEJAS BORJA qui deviendra la 12ème appellation terroir de son offre, à l’image des renommées Gélis, Ste Foy, Huguenot, … “Avec ces deux futures acquisitions, EDILIANS accélèrera la mise en œuvre de son plan stratégique de croissance au cœur de l’éco-habitat en France et au sud de l’Europe”, indique Pascal Casanova, Président Directeur Général. http://www.edilians.com/
Il y a 3 ans et 187 jours

A Massy, New Bergson, programme mixte réalisé par Gaëtan Le Penhuel

Gaëtan Le Penhuel architectes a livré New Bergson en 2021 à Massy (Essonne), sur 7 260 m² SDP un programme de 74 logements et 2 200 m² de bureaux (et parking) construit dans un budget de 12,9 M€. Maître d’ouvrage : Scoping Demathieu Bard Immobilier. Communiqué. Le projet New Bergson situé au sein de la ZAC […] L’article A Massy, New Bergson, programme mixte réalisé par Gaëtan Le Penhuel est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 187 jours

Ciguë, l'âge du "Faire" - Portrait

À Pantin, sur le quai de l'Aisne, l'immeuble en gradins de Chartier-Dalix se dresse face à la passerelle, tandis que les lignes chahutées de ses façades se reflètent sur l'eau du canal. Derrière l'ensemble de briques brunes érigé sur les bords du canal de l'Ourcq à Pantin par Chartier-Dalix, le cœur […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 187 jours

BTP Consultants acquiert NEXTiim

Dans la continuité de sa stratégie de développement, le Groupe BTP Consultants vient compléter son panel d’activités avec la double acquisition des sociétés NEXTiim et Emovision. Les activités de ces dernières étant proches, elles fusionnent pour devenir NEXTiim et renforcer ainsi le positionnement du Groupe sur les volets intégration, exploitation et maintenance.Créé en 2019, NEXTiim rassemble d’une part un savoir-faire en développement logiciels pour l’immobilier et d’autre part des compétences terrain d’intégrateur de Gestion Technique de Bâtiment (GTB). Sextant, la solution logicielle de gestion technique de patrimoine développée par NEXTiim, permet d’accompagner les acteurs du marché pour créer de la valeur d’usage durable de leurs actifs. Suez, la Société d’exploitation de la Tour Eiffel ou Sefal Property comptent déjà parmi les clients de l’entreprise.Avec une vingtaine de projets déployés dans les secteurs de la logistique, du tertiaire et de l’industrie ces derniers mois, NEXTiim ambitionne d’imposer sa plateforme Sextant comme un standard du marché.Pour Yann Jobert, président de NEXTiim, filiale du Groupe BTP Consultants : « Ce rapprochement avec le Groupe BTP Consultants nous permet d’accélérer notre développement et d’apporter des solutions toujours plus adaptées aux besoins du marché. L’agrégation des compétences et le maillage offert par le Groupe nous donnent la capacité de mieux répondre aux enjeux de nos clients : réglementaires (Décret Tertiaire, Décret BACS) mais également économiques, énergétiques et environnementaux. »Pour Roland Le Roux, président du Groupe BTP Consultants : « A l’occasion de ce double rachat, c’est une quinzaine de collaborateurs qui intègre le Groupe BTP Consultants à compter du 17 novembre 2021. Ces rachats s'intègrent pleinement dans notre stratégie de développement : positionnement sur l’exploitation maintenance partout en France et réponse aux besoins de digitalisation du secteur de l’immobilier face aux enjeux environnementaux et de productivité. NEXTiim a pour objectif de multiplier par 5 son chiffre d’affaires, en passant de 1,5 millions en 2021 à 6 millions d’ici 2025. »
Il y a 3 ans et 187 jours

Au moins 94 morts dans des tornades "historiques" aux Etats-Unis

Des dizaines de disparus, des constructions aplaties à perte de vue, des enchevêtrements de gravats: six États américains ont été traversés par "l'une des séries de tornades les pires" de l'histoire du pays, a déploré le président américain Joe Biden, en qualifiant leurs ravages "d'inimaginable tragédie".Déjà 94 décès ont été recensés mais le bilan pourrait s'alourdir: "Nous ne savons toujours pas combien de vies ont été perdues ni l'ampleur des dégâts", a relevé le président Biden sur les antennes nationales.Les agences fédérales de réponse aux catastrophes ont commencé à être déployées sur place, a affirmé le chef de l'État, en promettant que "l'Etat fédéral ferait tout ce qu'il peut pour aider".Le Kentucky, dans le centre-est du pays, a été particulièrement endeuillé par ce phénomène météorologique violent touchant particulièrement les immenses plaines américaines, colonnes noires balayant le sol, illuminées par des éclairs intermittents.Après avoir annoncé "au moins 70 morts" dans son État, le gouverneur Andy Beshear a dit craindre que le bilan ne dépasse les 100 décès et même que ce "nombre monte de manière considérable". Il a appelé les habitants à donner leur sang, pour les blessés."Un tas d'allumettes""Les ravages sont incomparables avec quoi que ce soit que j'ai pu voir dans ma vie et j'ai du mal à trouver les mots pour les décrire", a-t-il ajouté.Mayfield, une bourgade de 10.000 habitants, a été à l'épicentre de la catastrophe. Le coeur de la ville ressemble "à un tas d'allumettes", a affirmé la maire Kathy O'Nan sur la chaîne CNN."Les églises du centre ont été détruites, et le tribunal au coeur de la ville a été détruit", a-t-elle ajouté."C'est comme si une bombe avait explosé dans notre quartier", a raconté à l'AFP Alex Goodman, une habitante de Mayfield après une nuit éprouvante dans le noir et dans l'angoisse.Partout dans la ville, des bâtiments ont été éventrés, du métal tordu, des véhicules renversés et des arbres et des briques éparpillés dans les rues.Sur un parking du centre, des bénévoles étaient à pied d’œuvre pour collecter des articles de première nécessité destinés aux familles sinistrées, a constaté un journaliste de l'AFP.Ils rassemblaient des vêtements chauds, des couches pour bébés et des bouteilles d'eau potable, alors que les réseaux de distribution d'eau et d'électricités ne sont plus opérationnels.Des employés d'une fabrique de bougies y ont été piégés après que le toit a cédé sous la violence des vents. Cent-dix personnes étaient présentes lorsque la tempête a frappé. Une quarantaine de survivants ont pu être secourus.Le Kentucky a notamment été balayé sur plus de 200 miles (320 kilomètres) par l'une des plus longues tornades jamais enregistrées aux États-Unis, selon son gouverneur. La plus longue qui ait été suivie au sol, sur 219 miles, se produisit en 1925 dans le Missouri, faisant 695 morts."On a eu une alerte à 9H30, on nous a dit que la tornade arrivait. C'est venu et c'est reparti comme ça, d'un coup" a raconté à l'AFP David Norseworthy, 69 ans, devant le porche détruit de sa maison à Mayfield. "On n'a jamais rien vu de tel dans le coin. Là où ça frappe, ça démolit tout".Environ une trentaine de ces tempêtes ont déferlé vendredi soir et samedi matin sur le pays.Hors du Kentucky au moins treize morts ont été recensés, dont six dans l'Illinois. Ces six victimes travaillaient de nuit dans un entrepôt Amazon, dont le toit s'est effondré. Sur les cent personnes présentes environ, seules quarante-cinq ont pu sortir, selon les pompiers. Les secouristes continuaient leurs recherches dimanche."Nous avons le cœur brisé par la perte de nos collègues là-bas, et nos pensées et prières vont à leurs familles et à leurs proches", a réagi sur Twitter le patron d'Amazon, Jeff Bezos.Le Tennessee a recensé quatre décès, deux personnes sont mortes dans l'Arkansas, tandis qu'au moins un mort est à déplorer dans le Missouri.Le président Biden a souligné que les phénomènes météorologiques étaient "plus intenses" avec le réchauffement de la planète, sans établir toutefois de lien de causalité directe entre le dérèglement climatique et la catastrophe qui a endeuillé le pays.
Il y a 3 ans et 187 jours

Au moins 78 morts dans des tornades "historiques" aux Etats-Unis

Des dizaines de disparus, des constructions aplaties à perte de vue, des enchevêtrements de gravats: six États américains ont été traversés par "l'une des séries de tornades les pires" de l'histoire du pays, a déploré le président américain Joe Biden, en qualifiant leurs ravages "d'inimaginable tragédie".Déjà 78 décès ont été recensés mais le bilan pourrait s'alourdir: "Nous ne savons toujours pas combien de vies ont été perdues ni l'ampleur des dégâts", a relevé le président Biden sur les antennes nationales.Les agences fédérales de réponse aux catastrophes ont commencé à être déployées sur place, a affirmé le chef de l'État, en promettant que "l'Etat fédéral ferait tout ce qu'il peut pour aider".Le Kentucky, dans le centre-est du pays, a été particulièrement endeuillé par ce phénomène météorologique violent touchant particulièrement les immenses plaines américaines, colonnes noires balayant le sol, illuminées par des éclairs intermittents.Après avoir annoncé "au moins 70 morts" dans son État, le gouverneur Andy Beshear a dit craindre que le bilan ne dépasse les 100 décès et même que ce "nombre monte de manière considérable". Il a appelé les habitants à donner leur sang, pour les blessés."Un tas d'allumettes""Les ravages sont incomparables avec quoi que ce soit que j'ai pu voir dans ma vie et j'ai du mal à trouver les mots pour les décrire", a-t-il ajouté.Mayfield, une bourgade de 10.000 habitants, a été à l'épicentre de la catastrophe. Le coeur de la ville ressemble "à un tas d'allumettes", a affirmé la maire Kathy O'Nan sur la chaîne CNN."Les églises du centre ont été détruites, et le tribunal au coeur de la ville a été détruit", a-t-elle ajouté."C'est comme si une bombe avait explosé dans notre quartier", a raconté à l'AFP Alex Goodman, une habitante de Mayfield après une nuit éprouvante dans le noir et dans l'angoisse.Partout dans la ville, des bâtiments ont été éventrés, du métal tordu, des véhicules renversés et des arbres et des briques éparpillés dans les rues.Sur un parking du centre, des bénévoles étaient à pied d’œuvre pour collecter des articles de première nécessité destinés aux familles sinistrées, a constaté un journaliste de l'AFP.Ils rassemblaient des vêtements chauds, des couches pour bébés et des bouteilles d'eau potable, alors que les réseaux de distribution d'eau et d'électricités ne sont plus opérationnels.Des employés d'une fabrique de bougies y ont été piégés après que le toit a cédé sous la violence des vents. Cent-dix personnes étaient présentes lorsque la tempête a frappé. Une quarantaine de survivants ont pu être secourus.Le Kentucky a notamment été balayé sur plus de 200 miles (320 kilomètres) par l'une des plus longues tornades jamais enregistrées aux États-Unis, selon son gouverneur. La plus longue qui ait été suivie au sol, sur 219 miles, se produisit en 1925 dans le Missouri, faisant 695 morts."On a eu une alerte à 9H30, on nous a dit que la tornade arrivait. C'est venu et c'est reparti comme ça, d'un coup" a raconté à l'AFP David Norseworthy, 69 ans, devant le porche détruit de sa maison à Mayfield. "On n'a jamais rien vu de tel dans le coin. Là où ça frappe, ça démolit tout".Environ une trentaine de ces tempêtes ont déferlé vendredi soir et samedi matin sur le pays.Hors du Kentucky au moins treize morts ont été recensés, dont six dans l'Illinois. Ces six victimes travaillaient de nuit dans un entrepôt Amazon, dont le toit s'est effondré. Sur les cent personnes présentes environ, seules quarante-cinq ont pu sortir, selon les pompiers. Les secouristes continuaient leurs recherches dimanche."Nous avons le cœur brisé par la perte de nos collègues là-bas, et nos pensées et prières vont à leurs familles et à leurs proches", a réagi sur Twitter le patron d'Amazon, Jeff Bezos.Le Tennessee a recensé quatre décès, deux personnes sont mortes dans l'Arkansas, tandis qu'au moins un mort est à déplorer dans le Missouri.Le président Biden a souligné que les phénomènes météorologiques étaient "plus intenses" avec le réchauffement de la planète, sans établir toutefois de lien de causalité directe entre le dérèglement climatique et la catastrophe qui a endeuillé le pays.
Il y a 3 ans et 190 jours

L'Hexagone a perdu 100.000 exploitations agricoles en dix ans

"Si la baisse du nombre d'exploitations est continue depuis les années 1970, la dynamique baissière est moins forte que lors de la précédente décennie: le recul a été de -2,3% par an entre 2010 et 2020, contre -3,0% par an entre 2000 et 2010", relativise le ministère de l'Agriculture.Ce recensement décennal montre que les exploitations se sont agrandies et font désormais 69 hectares en moyenne, soit 14 hectares de plus qu'en 2010 (+25%)."C'est une augmentation qui reste raisonnable. On est loin de la taille de certaines exploitations hors Europe, comme aux Etats-Unis où la taille moyenne est de 178 hectares", fait valoir le cabinet du ministre de l'Agriculture Julien Denormandie.La surface agricole utile française s'est stabilisée, diminuant de 1% seulement en dix ans. Elle représente 26,7 millions d'hectares, soit près de 50% du territoire métropolitain (55 millions d'hectares).En 2020, 759.000 personnes occupent un emploi permanent dans les exploitations agricoles. C'est l'équivalent de 583.000 emplois temps plein, soit une baisse de 12% en 10 ans.Actuellement, 58% des chefs d'exploitations et co-exploitants ont 50 ans ou plus, un chiffre en augmentation de 6 points depuis 2010. "Cela montre un vieillissement certain de la population agricole et le besoin d'engager une politique volontariste encourageant le renouvellement des générations en agriculture", reconnaît le ministère."Un défi majeur"La photographie de la ferme France procurée par le recensement décennal montre une agriculture diversifiée avec des productions végétales désormais majoritaires.Actuellement, 52% des exploitations sont spécialisées en production végétale contre 45% dix ans plus tôt. Leur nombre a baissé moins fortement (-9%) que la moyenne (-21%) des exploitations.En revanche, les exploitations spécialisées en élevage accusent une chute de 31%. La baisse est encore plus marquée (-41%) parmi les exploitations combinant plusieurs types d'élevages (lait et viande) ou parmi les fermes associant cultures et élevage (-41%).Par ailleurs, le nombre d'exploitations dans les départements d'Outre-Mer se monte à 26.000. Leur surface moyenne est de 5 hectares. Au total la France compte donc 416.000 exploitations agricoles.Opération décennale européenne obligatoire, le recensement a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne. Il est mené par les services de la statistique et de la prospective du ministère.La collecte des informations s'est déroulée entre le 1er octobre 2020 et le 30 avril 2021. Une grande partie du recensement a été effectuée via internet. Les résultats présentés prochainement sont provisoires.
Il y a 3 ans et 190 jours

La copromotion, mode "exclusif" de développement de Novaxia Investissement

RECYCLAGE DE FRICHES. Le fonds d'investissement spécialisé dans le renouvellement urbain ouvre, en 2022, une nouvelle offre de service à destination des promoteurs pour leur permettre de "relever le défi" que constitue le recyclage des friches et la transformation de bâtiments obsolètes. La copromotion doit devenir son mode exclusif de développement.
Il y a 3 ans et 190 jours

Joël Fourny, réélu président de CMA France

Également président de la CMA Pays-de-La-Loire, et dirigeant de l’entreprise SIMM (société industrielle de modelage mécanique), Joël Fourny, a profité de cette confiance renouvelée pour annoncer qu’il poursuivra le plan d’actions, initié durant les 18 mois derniers, et a dévoilé ses grandes priorités pour ce nouveau mandat.Selon Joël Fourny, président de CMA France : « le combat que je souhaite mener à vos côtés est celui de la défense du modèle des CMA : leur rôle est aussi utile que nécessaire pour garantir le développement durable de l’économie de proximité. Cela passe par la poursuite de la transformation du réseau des CMA pour répondre toujours mieux aux besoins du secteur de l’artisanat et de nos entreprises artisanales. »Si le réseau a fait la démonstration de son utilité et de sa réactivité dès le début de la crise, le Président de CMA France entend poursuivre en ce sens. Il a notamment insisté sur le fait que son action serait guidée par la prise en compte des réalités que vivent les artisans sur leur territoire et de la nécessité de leur proposer des réponses adaptées tout en faisant reconnaître sur l’ensemble du territoire l’efficacité des CMA.Pour y parvenir, Joël Fourny a dressé devant l’ensemble des présidents du réseau des CMA, les priorités suivantes :défendre l’intérêt de l’artisanat en garantissant la pérennité du réseau et de ses ressources ;engager des actions concrètes pour contribuer à la réflexion nationale sur la place du secteur l’artisanat, du « Made in France » et de l’économie de proximité à l’occasion de l’élection présidentielle et des législatives ;faire rayonner le réseau des CMA et le secteur de l’artisanat à travers des projets de communication ambitieux tel que la « Fondation de l’Artisanat » ;renforcer l’accompagnement des entreprises artisanales sur les nouveaux enjeux tels que le numérique et la transition écologique ;développer la qualité de l’offre de services des CMA en poursuivant la création de produits innovants et performants, en développant une approche territorialisée et digitalisée de l’offre de formation et en formulant des propositions pour mieux prendre en compte la réalité de la micro-entreprise.Joël Fourny a également ajouté que sa réélection s’inscrivait dans un contexte où l’optimisme affiché par les artisans se conjuguait également avec un besoin d’accompagnement renforcé. Face à la 5e vague de COVID-19 et aux tensions qui peuvent peser sur l’activité des entreprises artisanales, le Président de CMA France entend poursuivre les efforts de transformation du réseau des CMA tout comme l’appui apporté en proximité aux entreprises artisanales pour leur permettre de bénéficier de la reprise économique.Selon Joël Fourny, président de CMA France : « La raison d’être des Chambres de métiers et de l’artisanat, c’est d’abord et avant tout d’être un réseau utile au service des artisans. Je suis honoré que mes collègues m’aient renouvelé leur confiance et je mesure la responsabilité que j’ai de les représenter pour les 5 années à venir. Je serai le Président de tous, et surtout de l’utilité, de la concrétisation et de la réussite au service de l’ensemble des artisans de tous les territoires. »De belles perspectives s’ouvrent pour le nouveau président de CMA France, qui célébrera en 2025 le centenaire du réseau.
Il y a 3 ans et 190 jours

Prix des diplômes de la Maison de l’architecture Ile-de-France – Les lauréats

Cette 5ème édition du Prix des diplômes de la Maison de l’architecture Ile-de-France est parrainée par Djamel Klouche, architecte et urbaniste, co-fondateur de l’agence L’AUC et Grand Prix de l’urbanisme 2021. Cette année 121 diplômes ont été reçus et neuf ont été retenus. Les lauréats 2021. Désir d’habiter : les potentiels du bâtiment délaisséViet ANH […] L’article Prix des diplômes de la Maison de l’architecture Ile-de-France – Les lauréats est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 190 jours

RSE : Lafarge Béton et Lafarge Granulats labellisées

Le label RSE “Exemplarité” a été attribué à Lafarge Béton, Lafarge Granulats a obtenu, quant à elle, le label RSE “Maturité”. Depuis 2018, Lafarge France est adhérente de la charte RSE de l’UNICEM qui a pour thématique principale : le capital humain, l’environnement, l’ancrage local, les relations avec les clients et fournisseurs et la gouvernance. Les entreprises sont évaluées par des organismes tiers-indépendants sur leurs pratiques et leurs performances. La note globale permet d’obtenir un label valable pour une période de trois ans : label RSE Engagement, label RSE Progrès, label RSE Maturité, label RSE Exemplarité. Lafarge Granulats et Lafarge Bétons ont décidé d’engager l’ensemble de leurs sites sur le territoire français, soit 300 sites pour le béton et 149 pour le granulat. Au terme de la campagne d’audits qui a duré plusieurs mois, le Comité d’évaluation UNICEM ENTREPRISES ENGAGEES a validé les labels des deux branches de l’industriel. Pour Lafarge Bétons, les auditeurs ont tenu à souligner la forte implication des collaborateurs dans la démarche RSE, la qualité des formations en la matière et particulièrement celles de l’École Mobile des Centralistes. La cohérence de la démarche “Lafarge 360”, notamment sur les bétons bas carbone a également retenu leur attention. Pour Lafarge Granulats, ils ont salué les efforts entrepris pour faire valoir et reconnaître l’empreinte socio-économique des sites et l’avancement des démarches environnementales engagées. La qualité des formations, du dialogue social et des conditions de travail également. Enfin, la promotion par Lafarge Granulats du développement durable dans ses relations avec ses clients, ses fournisseurs et les prescripteurs a également fait forte impression.
Il y a 3 ans et 190 jours

Lons : des travaux d’amélioration de l’assainissement

Le chantier s’inscrit dans un programme décennal de travaux de mise en séparatif des réseaux d’assainissement.