La sécurité incendie dans les bâtiments d'habitation dépend en grande partie des matériaux de construction qui ont été utilisés et de la configuration des lieux. Après le terrible incendie de la tour Grenfeel à Londres qui a fait près de 80 morts, et dont l'isolant pour la façade extérieure et les panneaux de bardage utilisés seraient à l'origine de la propagation du feu et des fumées toxiques, la réglementation incendie dans les bâtiments a fait l'objet d'un nouveau rapport du CSTB (Centre Scientifique et Technique du Bâtiment).

Le béton cellulaire : une solution monomur anti-feu

Appartenant à la classe Européenne A1 « matériaux non combustibles », le béton cellulaire Cellumat possèdent des propriétés thermiques exceptionnelles qui permettent de construire des murs RT2012/RT2020, et passifs selon le principe du monomur. Cette technique sans isolants rapportés, et qui sont susceptibles d'être une source de propagation des flammes, est plus sûre et peut limiter l'embrasement généralisé du bâti.

Dans son rapport, le CSTB a également constaté que face au développement de bâtiments, y compris de grande hauteur, qui utilisent en structure des solutions multi-matériau ou des matériaux combustibles (bois par exemple) qui favorisent les incendies, les exigences de réaction et de résistance au feu apparaissaient insuffisantes.

Réaction au feu
Ininflammable, le béton cellulaire Cellumat n'alimente pas le feu ni ne contribue à la combustion car il ne peut être consommé par le feu. Il n'émettra donc aucune fumée toxique, source de près 75 % des décès dues aux incendies et qui a été l'un des facteurs qui a alourdit le triste bilan de l'incendie de la Tour Grenfell .

Les blocs en béton cellulaire Cellumat limitent également le risque de propagation du feu via les façades. L'incendie en façade se propage souvent par la surface du revêtement de façade, d'un compartiment à l'autre par l'intérieur ou l'extérieur, ou au sein de la façade par le biais des composants combustibles (isolants) ou de la lame d'air ventilée située derrière le revêtement.

SOLUTIONS COUPE-FEU

Définitions des valeurs :
R = stabilité : laps de temps pendant lequel un élément de construction continue à remplir sa fonction porteuse et maintient sa stabilité pendant un incendie.
E = étanchéité aux flammes : le laps de temps pendant lequel un élément de construction reste étanche aux flammes, à la fumée et aux gaz.
I = isolation thermique : le laps de temps pendant lequel l'élement de construction limite la température du côté qui n'est pas exposé au feu, de telle sorte qu'il n'y ait pas de combustion spontanée dans l'espace qui ne brûle pas.

Un incendie peut accroître de 14 % l'empreinte CO2 d'un bâtiment, suite aux émissions de carbone liées aux gaz de combustion. Cet impact environnemental est d'autant plus accentué sur les bâtiment HQE, construits selon les modes constructifs traditionnels qui utilisent des matériaux présentant des hautes performances énergétiques mais de moins bonnes résistances au feu. Le béton cellulaire Cellumat n'a aucun impact négatif sur l'environnement lors d'un incendie car il est incombustible et ne produit aucune fumée. 
Entièrement minéraux et recyclables à 100 %, les blocs Cellumat ont une empreinte écologique exceptionnellement réduite. De par leur faible poids, leur fabrication consomme peu de matière première et peu d'énergie. 

Certifiés A+, ils ne génèrent pas de poussières ni de particules dans l'air. 

Par ailleurs, certifié ISO 1400, Cellumat s'engage à améliorer son procédé de fabrication pour réduire l'impact de son activité sur l'environnement. 
 

 

Proposé par Primavera communication
Le 13/11/2017